QUELLE EST LA PLACE DE L UNION

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1 HISTOIRE DE LA CONSTRUCTION EUROPÉENNE VIDEO QUELLE EST LA PLACE DE L UNION EUROPÉENNE DANS L ÉCONOMIE GLOBALE? 1. L UE EST UN ACTEUR MAJEUR DE L ECONOMIE GLOBALE A. PAR SON POIDS DÉMOGRAPHIQUE ET SA PUISSANCE ÉCONOMIQUE B. PARCE QU ELLE REPRÉSENTE L INTÉGRATION RÉGIONALE LA PLUS AVANCÉE a) MARCHÉ UNIQUE ET MONNAIE UNIQUE b) LA PLACE DE L EURO DANS LE SYSTÈME FINANCIER INTERNATIONAL c) DES POLITIQUES INTERDÉPENDANTES 2. MAIS L EUROPE EST UNE ZONE EN PLEINE TURBULENCE qui représente un risque pour l économie globale A. LA ZONE EURO EST PEU DYNAMIQUE B. LA CRISE DE L EURO ET DES DETTES SOUVERAINES C. DES DIFFICULTÉS DE COORDINATION D. A LA RECHERCHE D UNE NOUVELLE GOUVERNANCE VIDEO

2 LES INDICATIONS COMPLÉMENTAIRES LES ACQUIS ET LES NOTIONS SONT LES BASES QUI SERVENT POUR LES INTITULÉS AUX ÉPREUVES DU BAC INDICATIONS COMPLÉMENTAIRES : Sans entrer dans le détail des évolutions historiques, on rappellera qu'en se dotant d'un grand marché intérieur et d'une monnaie unique, les pays européens mènent une expérience originale d'intégration plus étroite de leurs économies. On montrera que l'union monétaire revêt une importance particulière dans le contexte monétaire et financier international, et qu'elle renforce les interdépendances entre les politiques macroéconomiques des Etats membres. On s'interrogera sur les difficultés de la coordination des politiques économiques dans l'union européenne. Acquis de première : banque centrale, politique budgétaire, politique monétaire. NOTIONS à connaitre: Euro, union économique et monétaire VIDEOS DE COURS VIDEO DU COURS VIDEO Institutions politiques

3 - La zone de libre-échange : suppression des barrières douanières entre les pays membres - L union douanière : suppression des barrières douanières et instauration d un tarif extérieur commun - Le marché commun : union douanière plus libre circulation des facteurs de production (travail et capital) - L union économique : marché unique plus mise en place de politiques communes - L union économique et monétaire : union économique plus mise en place d une monnaie unique intégration économique : processus par lequel plusieurs économies nationales constituent un même espace économique. L Union Européenne réalise environ 40% des échanges mondiaux soit à peu de chose près ce que réalisent l Amérique du Nord et l Asie réunies. L Union Européenne à 27 concentre 26% du PIB mondial (22% pour les USA). C est donc un acteur majeur de l économie mondiale. Ce résultat semble être le fruit d une expérience originale d intégration économique qui a commencé au lendemain de la seconde guerre mondiale. Rapidement devenue un «marché commun» avec une union douanière, Jaune= zone euro puis un «marché Jaune + violet = 27 unique», elle a construit une «union économique et monétaire» (UEM) avec une monnaie unique l Euro. L Union Européenne s est dotée d i n s t r u m e n t s économiques et financiers qui ont transformé les économies des pays membres et affermi sa place dans l économie mondiale.elle est devenue la 1 économie du monde. Cependant, la crise actuelle a mis en lumière les enjeux économiques, monétaires, sociaux et politiques auxquels l Europe est confrontée. Nous verrons d abord que l UE est un acteur majeur de l économie grâce à une intégration approfondie, puis nous analyserons la portée des problèmes et des enjeux actuels de l UE.

4 1. L UE EST UN ACTEUR MAJEUR DE L ECONOMIE GLOBALE A. PAR SON POIDS DÉMOGRAPHIQUE ET SA PUISSANCE ÉCONOMIQUE PIB de l Europe à 27 = 1 PIB mondial!!! POPULATION à 27 = 500 millions d hb à haut niveau de vie, donc forte demande 1 ZONE MONDIALE POUR LE COMMERCE avec de très importants échanges intra-communautaires (4695 milliards de $) 1 POUR LES INVESTISSEMENTS DIRECTS ETRANGERS (IDE)

5 B. PARCE QU ELLE REPRÉSENTE L INTÉGRATION RÉGIONALE LA PLUS AVANCÉE L idée d Union Européenne est ancienne, et avait souvent été invoquée comme remède aux guerres qui ravageaient le continent. Elle s est imposée avec plus d évidence après Mais la construction d une fédération européenne s est vite révélée trop difficile dans une Europe politiquement divisée et travaillée par les méfiances entre nations que révèlent l échec de la Communauté Européenne de Défense en 1954 puis du traité constitutionnel en Les partisans de l unification européenne ont donc pris le parti d une construction progressive et originale: la stratégie adoptée est essentiellement basée sur l économie et en particulier sur le libre échange en espérant que les institutions nécessaires à une Europe Fédérale en découleraient. a) DU MARCHÉ COMMUN A LA MONNAIE UNIQUE 1.Communauté Européenne du Charbon et de l Acier (CECA) 1950 : fut le premier pas de l intégration économique. La RFA, la France, l Italie, les Pays-Bas, la Belgique et le Luxembourg supprimaient toutes barrières douanières et toutes formes de protections dans les secteurs du charbon et de l acier secteurs symboliques s il en était puisqu à l époque ces deux matériaux permettaient de construire des armes (canons). 2.La Communauté Economique Européenne (CEE) ou Marché Commun. Le traité de Rome de 1957 instaure une union douanière : suppression des barrières tarifaires entre les pays signataires en 10 ans (qui doit donc être effective en 1969) et instauration d un tarif extérieur commun (le TEC). Une entité internationale la Communauté Economique Européenne (CEE) est créée avec des institutions (Commission, Conseil et Parlement européens) afin de piloter cette union. Elle reçoit en plus une compétence exclusive sur les politiques agricoles, des transports et sur la politique commerciale extérieure, qui seront donc désormais des politiques européennes et non plus nationales. La CEE passe de 6 membres en 1957 à 12 en 1986, en intégrant le Royaume-Uni, le Danemark et l Irlande (1973), la Grèce (1981, l Espagne et le Portugal ( L Acte Unique et le Grand Marché ou Marché Unique. Adopté en 1986 par les pays membres de la CEE, l Acte Unique est en fait l ensemble des règlements qui permettent la réalisation du Grand Marché, c est-à-dire l abolition définitive de toutes formes de barrières donc de taxes douanières entre les pays membres permettant une libre circulation des marchandises, des services, des capitaux et des hommes. La justification de ce processus d intégration était la libéralisaton complète des échanges qui devait stimuler l efficacité économique et donc la croissance. La concurrence devait inciter les économies nationales à se spécialiser et donc améliorer les gains de productivité et par là même la croissance...de plus l accroissement de la taille du marché devait générer des économies d échelle et permettre une baisse des prix et donc une meilleure compétitivité. 4.L Union économique et Monétaire. Signé en février 1992, le traité de Maastricht lance l ambitieux projet d Union

6 VIDEO VIDEO Economique et Monétaire (UEM) : en 1999, les pays signataires adoptent une seule et même monnaie, l euro, qui entre en vigueur en 2 étapes : en 1999 sur les marchés financiers puis en 2002 pour les particuliers (dans nos porte- monnaie). Les banques centrales des pays sont fusionnées en une seule banque centrale indépendante : la Banque centrale Européenne. Cependant, tous les pays membres de l UE n adoptent pas l euro : Royaume-Uni et Suède choisissent de rester en dehors ; aujourd hui la zone euro englobe 19 pays sur 28 pays membres de l UE. b) LA PLACE DE L EURO DANS LE SYSTÈME FINANCIER INTERNATIONAL Les avantages attendus de l euro comme monnaie unique Transparence des prix ce qui améliore la concurrence et donc la baisse des prix pour les consommateurs Elimination des coûts de transactions (ici: frais bancaires lorsqu il s agissait d échanger des produits dans une autre monnaie) Disparition des fluctuations de change donc de la spéculation sur les monnaies européennes Impossibilité de dévaluations compétitives ce certains pays(c-a-d la baisse organisée de leur monnaie pour rendre leurs produits plus compétitifs) considérée comme une concurrence déloyale. Taux d intérêt faibles (car monnaie sûre) donc favorables à la croissance. Contrôle de l inflation renforcement de l union européenne. VIDEO QU EST CE QU UNE BANQUE CENTRALE? Les contraintes perte de l indépendance monétaire et donc de la possibilité d utiliser la politique monétaire nationale pour créer de la croissance en dévaluant pour rendre les produits nationaux plus compétitifs à l internationale. Ne pouvant plus faire de «dévaluation compétitives», la tentation c est de faire de la «dévaluation salariale» (baisse ou non-augmentation des salaires) pour retrouver de la compétitivité. Une seule politique monétaire pour tous les pays quelque soit leur niveau et leurs problèmes économiques (par ex l Allemagne et la Grèce).

7 L Euro :monnaie internationale? Tapez pour saisir le texte Sur 100 Milliards d emprunts obligataires 31,4 milliards sont libellée en euro ce qui en fait de loin la 2 monnaie internationale Pour la France par exemple, 44,2% 34,8% des importations sont libellées en euros et 51,5% 48% des exportations. Même des pays comme la Roumanie (qui ne fait pas partie de la zone euro) et la Turquie (qui ne fait pas partie de l Union Européenne) utilisent l euro dans leurs échanges, mais...le $ reste évidemment la monnaie de référence dans les échanges internationaux pour les pays noneuropéens!

8 Evolution su taux de change de l Euro et ses conséquences En 2002, il fallait 0,87 $ pour 1 EURO En 2007, il fallait 1,6 $ pour 1 Après la crise, la parité $/ baisse mais l euro reste + fort que le $ : en 2011 il faut 1,4$ pour 1 Actuellement il ne vaut plus que 1,1$ à cause de la politique monétaire menée par la BCE. 1. Taux de change fort = Baisse des taux d intérêt donc augmentation de la demande de consommation à crédit et de l investissement => Croissance possible...si les ménages peuvent consommer + et si les entreprises décident d investir Taux de change fort = Faible compétitivité-prix des produits nationaux à l exportation. Baisse des exportations de produits trop chers + Hausse des importations de produits étrangers moins cher = Dégradation de la balance commerciale + Ralentissement de la croissance pour les pays qui ont une compétitivité-prix. Exemple la France, mais surtout les pays du Sud de l Europe 3. Le Taux de change fort ne gène pas les pays qui ont une compétitivité hors-prix comme l Allemagne qui reste un champion de l exportation. inversement 1. un taux de change faible rend de la compétitivité à l export pour les produits qui ont besoin d une compétitivité prix. 2. Un taux de change faible devrait provoquer de l inflation importée (produits importés + cher) et donc combattre la tendance à la déflation.

9 C. DES POLITIQUES INTERDÉPENDANTES Au fur et à mesure que l intégration européenne s intensifiait, de nouvelles institutions devaient être crées. Les organes politiques sont les suivants: Les organes économiques: La BCE (Banque Centrale Européenne) seule habilitée à mener la politique monétaire européenne La Banque Européenne d investissement BEI ORGANE D IMPULSION ET D ORIENTATION Ces institutions permettent de co-ordonner les politiques européennes. Pourquoi se coordonner? L intensité des relations commerciales et financières => coordination nécessaire L interdépendance des économies (ce que fait l une réagit sur l autre) => nécessité de co-ordonner Intérêt à réagir collectivement aux chocs externes (chocs symétriques, c-a-d concernant tous les membres)=>nécessite une coopérer

10 DEFICIT BUDGETAIRE SOLDE NEGATIF DU BUDGET DE L ETAT: Recettes < dépenses Ne pas confondre avec le déficit public DEFICIT PUBLIC Solde budgétaire cumulé de l Etat, la Sécurité sociale et des administrations territoriales. Ce déficit ne doit pas être < à 3% du PIB DETTE PUBLIQUE Dette de l ensemble des administrations publiques (c est à dire des déficits cumulés pendant des années) Cette dette ne doit pas dépasser 60% du PIB Comment se coordonner?: le pacte de stabilité et de croissance (PSC) Critères de Maastricht: déficit public < à 3% du PIB et dette publique <à 60% du PIB pour éviter les politiques budgétaires laxistes de certains membres qui nuiraient à la stabilité de l euro et qui obligerait les autres à un «sauvetage» (ex la Grèce). En 2012: le pacte budgétaire européen («règle d or») pour le retour à l équilibre budgétaire avec possibilité de supervision européenne et de sanctions. Mais La zone euro est une zone monétaire imparfaite: Il faudrait que les différents marchés soient intégrés: l intégration du marché des biens et des services est déjà très avancée; L intégration des marchés du travail avec possibilité de mobilité du travail dans les différents pays reste faible et sujette à tensions sociales. Il faudrait que les conjonctures économiques soient synchronisés synchronisées (inflation, taux d intérêt, déficits et dettes publiques, compétitivité Or ce n est pas le cas pour les déficits et les dettes publiques Il faudrait une réelle gouvernance européenne. Le célèbre prix Nobel, Milton Friedman, avait assuré que la zone euro ne pourrait que disparaitre par manque de gouvernement européen...le problème de l Euro est d être une monnaie sans Etat, tout accord doit être négocié entre les différents Etats, ce qui est lent et difficile!

11 2. L EUROPE EST ACTUELLEMENT UNE ZONE EN PLEINE TURBULENCE A. LA ZONE EURO EST PEU DYNAMIQUE Un taux de chômage élevé pour les pays du Sud La Grèce, le Portugal et l Espagne ont un fort taux de chômage alors qu en l Allemagne le taux n est que de 6,3%. Les plus touchés sont les jeunes des pays du Sud Or la croissance étant très faible, la création d emplois l est aussi et donc le chômage a peu de chance de baisser significativement La zone euro est entrée dans une phase de contraction de l'activité. La croissance est faible depuis la forte récession de C est la zone où la croissance est la plus faible et de nombreux pays sont même en récession.

12 B. LA CRISE DE L EURO ET DES DETTES SOUVERAINES VIDEOS CRISE DE LA DETTE SOUVERAINE EN GRECE Les divergences au sein de la zone euro sont importantes. Le solde budgétaire va d un excédent équivalent à 1 % du PIB en Estonie à un déficit de 13 % du PIB en Irlande. La plupart des pays ont décider de pratiquer des politiques d austérité (hausse des impôts et taxes + baisse des dépenses publiques) pour réduire ce déficit au risque de bloquer complètement la croissance économique. Les déficits budgétaires persistants viennent nourrir l endettement public. Dans la zone euro la dette publique a progressé de 2,4 points de PIB pour atteindre 88% du PIB. A part l Estonie, dont la dette publique est très faible (6 % du PIB en 2011), seule l Allemagne a enregistré en 2011 une réduction de son niveau d endettement public. Certes, la dette japonaise s élève à 211% du PIB mais il s agit d une dette vis-à-vis des épargnants japonais et non des marchés. La dette publique nord-américaine atteint 84% du PIB (+6 points), celle du Royaume-Uni 85,6 % du PIB (+3,6 points), mais avec l euro comme monnaie unique, les pays ne peuvent pas faire baisser leur monnaie (dévaluation compétitive) pour booster ses exportations, donc la croissance donc les taxes et les impôts puisque la politique monétaire, menée par la BCE, est la même pour tous qu ils soient compétitifs (Allemagne) ou non (Grèce)... La crise des dettes publiques fragilise le système bancaire européen qui a acheté ces obligations d Etat et engendre des comportements restrictifs (baisse des crédits).les entreprises françaises rencontrent des difficultés croissantes de financement et les ménages rencontrent des difficultés à emprunter. Ainsi, les mesures de consolidation budgétaire (politique d austérité) vont peser sur la demande interne et donc sur la croissance d autant plus que tous les pays de la zone euro ont le même comportement ce qui diminue les possibilités d exportations (demande externe)!

13 C. DES DIFFICULTÉS DE COORDINATION La crise financière qui a débuté en puis la crise des dettes souveraines à partir de 2010 ont fait éclater en pleine lumière les insuffisances de la gouvernance de la zone euro et plus largement de l Union européenne. TAUX D INTERET DES DETTES SOUVERAINES De 2000 à 2008 les taux d intérêt pour les emprunts d Etat sont à peu près les mêmes pour les différents pays de la zone euro... Mais à partir de 2008 les divergences ne font que s accentuer. Pour l Allemagne : moins de 2%, pour la Grèce: Plus de 16%...Les conséquences sur la dette et l économie sont très importantes. EUROBONDS un euro bond ou tout simplement une Euro obligation c-a-d une obligation émise au nom de la zone euro. Comme cette dernière inspire confiance aux marché le taux d intérêt serait faible. Son montant pourrait être reversé à un pays du Sud. Les grands gagnants seraient les pays périphériques de la zone euro qui empruntent aujourd hui à des taux très élevés du fait du risque de faillite inhérent à leurs déficits. Les perdants seraient les pays comme L Allemagne ou la France qui emprunteraient plus cher mais pour le bien de la communauté. Le fait pour la zone euro d avoir une seule politique monétaire et autant de politiques budgétaires que d Etats membres constitue une situation problématique. Il est impossible de mener une «policy mix» C est à dire de combiner la politique budgétaire et monétaire puisqu elles ne se font pas à la même échelle! Le choix d un budget de l Union très limité (plafonné à 1,24 % du RNB de la zone) et d une coordination très insuffisante des politiques nationales conduit à un manque d efficacité de la politique économique. On l a bien vu lors de la crise de où la politique de relance budgétaire européenne a été très inférieure (en pourcentage du PIB) à celle de la Chine et des Etats-Unis. S agissant de la politique monétaire, le choix d un objectif prioritaire: la lutte contre l inflation est souvent critiqué; Certes, depuis la crise de , la BCE est intervenue pour éviter la crise générale de liquidité du système bancaire, mais elle ne peut agir seule pour relancer la croissance économique. La crise des dettes souveraines (publiques) en Europe a été analysée par de nombreux économistes comme une crise de la gouvernance européenne (lenteur dans les prises de décisions, solidarité insuffisante entre Etats membres, etc.). Dès lors une question essentielle est en débat, celle de la mise en place d un gouvernement économique de la zone euro qui suppose à la fois une redéfinition des objectifs de la BCE et un fédéralisme budgétaire accru. Pour le moment les allemands sont opposés à la mise en place de ces eurobonds.

14 D. A LA RECHERCHE D UNE NOUVELLE GOUVERNANCE La gouvernance actuelle n est pas à la hauteur de la crise économique, de la crise bancaire, de la crise des dettes souveraine (voir ci-contre). Les éléments d une nouvelle gouvernance seraient: le pacte budgétaire européen («règle d or») : réforme le pacte de stabilité et de croissance (PSC) en promouvant le retour à l équilibre budgétaire avec possibilité de supervision européenne et de sanctions. Le MES (mécanisme européen de Solidarité) Ce MES, sorte de FMI européen qui pourra venir au secours d un Etat membre de la zone euro menacé de faillite à condition que ce dernier ait ratifié le pacte budgétaire. Il peut aussi intervenir si les taux d intérêt d un Etat membre deviennent insupportables. Il pourrait aussi recapitaliser les banques si les Etats le demandent. Evidemment l aide financière s accompagne de conditions (réformes économiques et financières) et de surveillance (voir la Grèce!!!) Emission «d eurobonds» qui seraient obligations européennes au lieu d obligations émises par chaque pays. L avantage serait que les taux d intérêts seraient faibles puisque l Europe a la confiance des marchés contrairement à la Grèce, l Espagne ou le Portugal. Mais les Allemands les refusent car ces nouveaux taux seraient supérieurs au leurs et ils deviendraient coresponsables... Les discussions vont être difficiles et longues...alors que l état de l économie nécessiterait des décisions rapides...

15 NOUVEAU: L union bancaire.

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