3 rd ACWUA Best Practice Conference Non-Revenue Water Management Rabat, Maroc, les 20 et 21 Janvier 2010
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- Émilien Pagé
- il y a 7 ans
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1 3 rd ACWUA Best Practice Conference Non-Revenue Water Management Rabat, Maroc, les 20 et 21 Janvier 2010 DRINKING WATER LOSS REDUCCION IN MOROCCO by François COULANGE Directeur Général de la Société EAUX DE MARSEILLE MAROC 1
2 1 ère Partie : Le Groupe des Eaux de Marseille Eau et assainissement, environnement, services. Le Groupe des Eaux de Marseille, c est : 2500 collaborateurs. 450 millions d Euros de chiffres d affaires. 20 Filiales en France. Une présence dans plus de 200 communes. 3 Filiales au Maghreb (Maroc, Algérie, Tunisie), 2 Bureaux en Amérique du Sud. 2
3 1 ère Partie : Le Groupe des Eaux de Marseille Un savoir-faire reconnu dans les secteurs de l eau, de l environnement et des services de proximité. Eau potable (adduction, production et distribution) et eaux usées (collecte et traitement) à Marseille (1 million d habitants) et dans plus de 7O communes du sud de la France. Déchets (collecte, transfert, gestion de déchetteries et de centre de tri). Valorisation (Production d énergie et de compost à partir de boues d épuration). Confort urbain (nettoiement de voirie, traitements de tags et graffitis). Éclairage public et mise en valeur de monuments historiques. 3
4 1 ère Partie : Le Groupe des Eaux de Marseille Une activité internationale Le partage du savoir-faire L expérience acquise en France au service des donneurs d ordre public ou privés Une réponse adaptée aux évolutions et aux besoins exprimés Une expérience reconnue par les bailleurs de fond internationaux Banque mondiale, Agence française de développement, BAD, BEI, BID,... 4
5 1 ère Partie : Le Groupe des Eaux de Marseille Activité internationale Plus de 30 ans d expérience pour : Partager 60 ans d expériences d exploitant Offrir notre capacité d intervention en optimisation de systèmes existants Trouver des solutions pratiques pour optimiser ou différer les investissements en travaux neufs Former le personnel technique et administratif Concevoir des mesures pour améliorer la rentabilité de l entreprise. Proposer des services de réduction de l Eau Non Comptabilisée (pertes commerciales et physiques) 5
6 1 ère Partie : Le Groupe des Eaux de Marseille Du diagnostic à la mise en oeuvre Ingénieur conseil Délégation de services Transfert de technologies et de compétences Accompagnement et assistance 6
7 1 ère Partie : Le Groupe des Eaux de Marseille Une spécialisation du Groupe : l amélioration des rendements des réseaux d eau potable La réduction des pertes est un pilier de l amélioration de la gestion de réseaux, pour une économie de la ressource et une gestion saine : Diagnostic des pertes d eau sur les réseaux, suivi de leur évolution; Amélioration du fonctionnement hydraulique du réseau et de son rendement; Formation du personnel aux outils et méthodes avec accompagnement sur le terrain; Assistance à la mise en place des mesures préconisées; Programmation de la maintenance et du renouvellement des équipements; Contrôle de la qualité des travaux réalisés. 7
8 2 ème Partie : EAUX DE MARSEILLE MAROC (EMM) La SEM au Maroc, c est : 20 ans de prestations auprès de la plupart des Régies et de l Office National de l Eau Potable (ONEP) ainsi que des opérateurs privés (Amendis Tétouan et Tanger, LYDEC, REDAL). Des ingénieurs et des techniciens rompus aux études en hydraulique urbaine. Des équipes de Recherches de fuites, formées en France et au Maroc par les experts de la Société des Eaux de Marseille. Trés opérationnelles aujourd hui, elles sont à la pointe des techniques de recherche de fuites, avec l avantage comparatif de la connaissance des réseaux et la capitalisation de leur expérience depuis plus de plus de 15 ans. 8
9 2ème Partie : EAUX DE MARSEILLE MAROC (EMM) Leader au Maroc pour la recherche de fuites, EMM dispose aujourd hui de 10 équipes de recherches de fuites. Depuis 10 ans, plus de km de réseaux ont été auscultés, et plus de fuites ont été détectées et réparées. EMM assure une prise en charge globale de la recherche de fuites à savoir : Campagnes de pré-localisation des fuites par balayage au «patrouilleur» ; Mesures de débits nocturnes (à l aide de débitmètres portables) afin de déterminer l indice de perte du secteur étudié; Recherche de fuites à l aide d appareil à amplification acoustique (Hydrosol (mécanique) et DF junior (électronique) et de corrélateurs acoustiques. Suivi de travaux et de réparation en partenariat avec le client ou une société spécialisée; Mesures de débit nocturne afin de mesurer le gain obtenu. 9
10 2ème Partie : EAUX DE MARSEILLE MAROC (EMM) De nombreuses références en Recherches de Fuites (RdF): Diagnostics des réseaux d'eau potable : Tanger, Tétouan, Taza, Oujda, Béni Mellal, Larache, Khouribga, Chefchaouène, Fès, Agadir, Laâyoune Recherche systématique de fuites à : Fès, Khémisset, Tiflet, Oued Zem, Laayoune, Smara, Dakhla, Khouribga, Marrakech, Oujda, Settat, El Jadida, Tanger, Tétouan, Casablanca, Meknès, Agadir, Rabat, Salé, Tétouan, Palais Royaux, Formation à la RdF : El Jadida, Fès, Khouribga, Larache, Marrakech, Oujda, Settat, Taza 10
11 Pertes d eau dans un réseau de distribution : 11
12 2ème Partie : EAUX DE MARSEILLE MAROC (EMM) : Forte augmentation du nombre d équipes
13 2ème Partie : EAUX DE MARSEILLE MAROC (EMM) Nos objectifs : Elargir l offre de services à la réparation des fuites détectées, en constituant des équipes de travaux. Etre à l écoute des nouvelles attentes des donneurs d ordre qui font confiance à la qualité des prestations EMM. Proposer des nouvelles formules contractuelles, qui pourraient être assorties d une obligation de résultats ou d un objectif à définir en % de rendement de réseau à atteindre exemple du projet de réhabilitation du réseau AEP d Alger ( ). 13
14 2ème Partie : EAUX DE MARSEILLE MAROC (EMM) 1991: création de Eaux de Marseille Maroc (EMM) Transfert d expérience et des compétences développées à Marseille Formation d équipes locales aux techniques de RDF (Régies, ONEP) Premières missions de RDF 14
15 2ème Partie : EAUX DE MARSEILLE MAROC (EMM) La Recherche de fuites : - Amplification des bruits de fuite - Corrélation acoustique - Pré-localisation des fuites par enregistrement des bruits nocturnes 15
16 2ème Partie : EAUX DE MARSEILLE MAROC (EMM) 1ère technique : par amplification des bruits de fuites par un dispositif mécanique (type Hydrosol) par un dispositif électronique (type DF-Junior) 16
17 2ème Partie : EAUX DE MARSEILLE MAROC (EMM) Autres techniques Par corrélation acoustique : Comparaison des signaux reçus par deux capteurs situés de part et d autre d une fuite décalage temporel entre les signaux détermination de la position de la fuite par rapport aux deux capteurs 17
18 2ème Partie : EAUX DE MARSEILLE MAROC (EMM) Par pré-localisation des fuites : Installation sur le secteur d un lot de capteurs (type PERMALOG ou SePem) sur les bouches à clés ou dans les regards Détection des bouches à clé Enregistrement des bruits nocturnes 18
19 2ème Partie : EAUX DE MARSEILLE MAROC (EMM) Pré-localisation des fuites (suite) : Dépose des capteurs Analyse des résultats de la pré-localisation Largeu r Niveau Capteurs Réseau Position de la fuite Localisation des fuites prélocalisées à l aide des autres techniques de détection 19
20 2ème Partie : EAUX DE MARSEILLE MAROC (EMM) Pré-localisation des fuites (suite) : A) Pour les réseaux à faible rendement: C est un moyen d amélioration rapide du rendement Orientation de la recherche de fuites vers les tronçons les plus fuyards Balayage de grandes zones du réseau en un temps court Augmentation de l efficacité des chercheurs de fuites B) Pour les réseaux à bon rendement : C est un moyen de prévention important contre l apparition de fuites. 20
21 2ème Partie : EAUX DE MARSEILLE MAROC (EMM) Mesure des débits de nuit : A l aide de débitmètres à ultrasons (sondes externes) A l aide de débitmètres électromagnétiques à insertion A l aide de compteurs (tête de lecture) 21
22 3ème Partie : La réduction des pertes d eau potable au Maroc Situation de l eau potable au Maroc en 2010 : Population urbaine desservie : près de 100% Population rurale desservie : en progression constante Rareté de la ressource en eau potable Forte augmentation de la demande Faiblesse des rendements de réseaux : - En 2009 le rendement moyen des réseaux de distribution d eau potable au Maroc était d environ 70 %. - Chaque année, sur un milliard de m3 d eau potable produits, 300 millions de m3 sont perdus. C est un enjeu majeur pour le Maroc : il faut réduire les pertes dans les réseaux d eau potable. 22
23 Fuite sur un branchement 23
24 Fuite sur un raccord 24
25 Exemple de branchement frauduleux 25
26 Autre exemple de branchement frauduleux 26
27 Principaux cas de fraudes détectées SUR LES PETITS COMPTEURS ( 15 et 20 mm) : -Aiguille chauffée pour percer le cadran et bloquer les rouleaux (ou les aiguilles). Le trou est ensuite rebouché avec une goutte de peinture. -Serre-joint placé entre le dessus du compteur et le corps du compteur afin de bloquer l enregistrement. -Désolidarisation entre la boîte mesurante et le corps du compteur. -Horlogerie détruite (en cas de grosse fuite détectée par l abonné). -Déformation volontaire de la boite mesurante (pour les compteurs volumétriques) ou de l hélice (pour les compteurs vitesse), avec un sèche-cheveux ou une lampe à souder. -Démontage de l horlogerie (cette fraude se détecte quand les cachets de cire ont été détruits). -Fil à plomb cassé (laiton). A Marseille : on pose des bagues de plombage en plastique. -Traces de clé de démontage sur les écrous. En cas de doute, il faut peindre les écrous. -Piquage en amont du compteur ou pose d un by-pass.. -Niche sans fond. On peut soupçonner l abonné de vouloir agir sur son compteur, à l abri des regards. -Compteurs posés à l envers. Il faut toujours vérifier le sens de la flèche gravée sur le compteur (surtout pour les compteurs peu courants). Avec les compteurs à clapet anti-retour intégré (tels que les Kent ou les Schlumberger-Actaris), ce risque normalement n existe plus. -En cas de doute sur des consommations : faire des relevés fréquents et comparer les consommations. SUR LES GROS COMPTEURS : -Horlogerie détruite. -Coups de bélier provoqués volontairement par l abonné pour bloquer le mécanisme (démarrage en simultané de tous les arroseurs d un circuit d arrosage par exemple). 27
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30 Programme à mettre en œuvre pour améliorer les rendements de réseaux Opération 1 Opération 2 Opération 3 Opération 4 Opération 5 Opération 6 Opération 7 Repérage des ouvrages et mise à jour de la cartographie du réseau Régulation des pressions et sectorisation du réseau Contrôle du système de macro-comptage Mesures des débits de nuit et calcul des ILP par secteur Campagne de recherches de fuites Contrôle du sytème de micro-comptage Contrôle de la gestion commerciale Opération 8 Réhabilitation des ouvrages vétustes (conduites, branchements et compteurs) 30
31 3ème Partie : La réduction des pertes d eau potable au Maroc Parmi les actions à mener : - Recherche de fuites (RDF) - Réhabilitation des réseaux EXEMPLES : -A Fès : Programme de rénovation du réseau d eau potable en (100 km de conduites à remplacer, branchements à remplacer, compteurs à remplacer), pour faire passer la valeur du rendement de réseau de 58 à 75 %. - A Khouribga : Programme de rénovation du réseau d eau potable en ( 130 km de conduites à remplacer, branchements à remplacer, compteurs à remplacer), pour faire passer la valeur du rendement de 70 à 80 %. 31
32 Rendement des réseaux dans plusieurs grandes villes du Maroc : Fès Marrakech Meknès Kénitra Agadir Larache Oujda Casablanc Rabat Tanger Tétouan Khouribga 0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 90% 32
33 Le réseau d eau potable de la ville de Fès, à l issue du programme de réduction des pertes Médina de Fès : évolution de la demande en eau l i t r e s / s e c o n d e Q moyen en 1991 : 623 l/s 1991 Années Q moyen en 1996 : 467 l/s 1996 Q moyen 623 l/s 467 l/s Qmin (à 3h00) 459 l/s 230 l/s Coeff.(Qmin/Qmoy) Qmax (à 13h00) 773 l/s 700 l/s Coeff.(Qmax/Qmoy) Heures 33
34 Courbes de débit nocturne avant et après intervention de RDF Débit (m3/h) Réduction du débit nocturne suite à une opération de recherche et réparation de fuites AVANT intervention APRES intervention Heure 3:30 3:15 3:00 2:45 2:30 2:15 2:00 1:45 1:30 1:15 1:00 0:45 0:30 0:15 (secteur de Ain Haroun, Fès, été 2006) 34
35 Variation des débits de nuit avant et après régulation des pressions dans le secteur du Lazaret (Oujda) dbit en l/s Avant stabilisation de la pression Après stabilisation de la pression Gain 20 l/s heures 35
36 Merci pour votre attention 36
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