Cas Zeltronic. Cas inspiré du DESCF (Diplôme d Etudes Supérieures Comptables et Financières)
|
|
- Sandrine Lefrançois
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Cas Zeltronic Cas inspiré du DESCF 1994 (Diplôme d Etudes Supérieures Comptables et Financières) Les dirigeants de Zeltronic ont acquis la certitude que leur système de calcul de coûts actuellement en vigueur ne s avère plus pertinent en raison des conséquences pratiques incohérentes que certaines décisions pourtant fondées et rationnelles sur la base des états fournis ont générées. C est pourquoi, au fait de l actualité, vous leur avez rapporté les débats suscités par la nouvelle méthode de calcul des coûts par activité. Visiblement très intéressés par ce concept, ils vous chargent de le mettre en œuvre à titre expérimental auprès de la division Générateurs dont le système de coûts est l objet des plus vives suspicions. Vos investigations auprès des responsables de centres vous ont permis de renseigner les annexes 1 à 3 et de comprendre le processus de production relaté ci-dessous. La production est organisée en juste à temps. Organisation du processus productif - Réalisation dans un centre usinage, totalement informatisé, deux corps de produits intermédiaires PIA et PIB. Les produits intermédiaires ainsi obtenus transitent ensuite par le centre de montage, partiellement automatisé, où il leur est adjoint une pièce spécifique en des proportions différentes pour les transformer en produits finis. - Les charges directes des produits finis A et B sont finalement les suivantes : Eléments Produit fini A Produit fini B Quantités prix quantités prix Matières premières X 0.25 kg 60 le kg 0.40 kg 60 le kg Matières premières Y 1 kg 88 le kg 0.50 kg 88 le kg 1
2 Composants P.O. 1 unité Composants P.L unité 65 Main d œuvre directe 0.01 h h 75 usinage Autres charges directes 15 /PIA * 20 /PIB * Usinage Pièces PM Main d œuvre directe 0.25 h h 80 montage Autres charges directes 50 par produit 60 par produit * : il faut un PIA pour fabriquer un produit fini A et un PIB pour fabriquer un produit fini B. - La phase de production terminée, les produits finis transitent dans le centre de distribution où ils subissent un contrôle qualité avant leur expédition auprès de la clientèle. Le prix de vente du produit A est de 490 et celui du produit B est de 815. A l aide de l annexe 1, votre assistant a déterminé les coûts complets et les résultats analytiques des produits A et B selon la méthode des centres d analyse. Ces résultats sont en annexe 4. Travail à faire 1. A l aide des annexes 1, 2 et 3, recalculer ces coûts complets selon la méthode des coûts par activité. Que constatez-vous en terme de rentabilité des produits? (On déterminera dans un premier temps les charges directes par produit puis les charges indirectes selon les tableaux en annexe 5). 2. Dans une note d une page et demi maximum, il vous est demandé : 2.1. D expliquer l origine des écarts entre les deux méthodes ; 2.2. De préciser l intérêt de la méthode des coûts par activités ; 2.3. D indiquer en quoi la méthode des coûts par activité vous semble conceptuellement différente des méthodes plus classiques. 2
3 Annexe 1 Tableau 1 Les charges indirectes pour la période étudiée centres Approvisionnement Usinage Distribution Administration Coûts totaux (K ) Nature de l unité d œuvre Valeurs des approvisionnements (matières, composants, pièces) Heures machines Heures de main d œuvre directe Coûts de production des produits finis Coût de production des produits finis. Tableau 2 Achats de la période étudiée : quantités et prix d achat Matières premières X Matières premières Y Composants P.O. Composants P.L. Pièces PM Quantités achetées kg kg unités unités unités Prix d achat unitaires 60 le kg 88 le kg 25 l unité 65 l unité 125 l unité Annexe 2 Tableau 3 Achats de la période étudiée et nombre de commande Matières premières X Matières premières Y Composants P.O. Composants P.L. Pièces PM Quantités achetées kg kg unités unités unités Nombre de commandes Prix d achat unitaire 8 60 le kg le kg l unité 5 65 l unité l unité Tableau 4 Production de la période étudiée Produits finis A Produits finis B Quantités produites Nombre de lots Taille des lots Service de maintenance (interventions sur la période étudiée) Nombre d interventions : centre d usinage : 25 ; centre de montage : 25. 3
4 Activités réalisées dans les différents centres assorties de leurs coûts respectifs Pour chaque centre, ont été recensées les activités les plus pertinentes et représentatives en terme d évolution des coûts indirects. Puis les coûts de chaque centre ont été ventilés entre les activités s y rapportant. Centres Coûts totaux Activités Coûts des activités Approvisionnement matières composants pièces Usinage Réglage des machines Planification des ordres Lancement des fabrications manuel automatisé lots Distribution Contrôle qualité Expédition Administration Organisation générale Annexe 3 Tableau 5 Détermination des inducteurs de coûts et du volume de chacun d eux pour la période étudiée Activités Inducteurs de coûts Volume des inducteurs Approvisionnements matières composants pièces Quantités achetées Nombre de commandes Quantités achetées A déterminer Cf annexe 2 A déterminer Usinage Réglage des machines Planification des ordres Lancement des fabrications manuel automatisé lots Distribution Contrôle qualité Expédition Nombre de lots Nombre de lots Heures machines Nombre d intervention Heures de MOD Heures machines Nombre de lots Nombre d intervention Temps de contrôle Nombre de lots Administration Organisation générale Chiffre d affaires A déterminer Cf annexe 2 Cf annexe heures machines Cf annexe 2 (dont 10 pour les PIA) heures de MOD HM dont 500 pour les produits A Cf annexe 2 Cf annexe 2 dont 15 pour les produits A 312.5h dont 1h/lot pour les produits A Cf annexe 2 4
5 Annexe 4 Tableau 6 Les résultats analytiques des produits A et B selon la méthode des centres d analyse Eléments Produit A Produit B Quantités Prix unitaires Montants Quantités Prix unitaires Montants Chiffre d affaires Coût de revient Résultat analytique Résultat / CAHT 1.30% 16.87% 5
6 Annexe 5 Tableau 7 Evaluation des coûts unitaires des inducteurs Centre Nature des Coût global Nature de Volume Commentaires sur Coût par «entité» activités de l activité l inducteur de d activité le volume inducteur coût Quantités Approvisionnement matières premières achetées Nombre de composants commandes Quantités pièces achetées Réglage des Nombre de lots machines fabriqués Planification Nombre de lots Usinage des ordres fabriqués Lancement des Heures machines fabrications Nombre d interventions Heures de MOD manuel Heures machines automatisé Nombre de lots lots fabriqués Nombre d intervention Contrôle Temps de qualité contrôle (heures) Distribution Expédition Nombre de lots expédiés Adminis- Organisation Chiffre d affaires tration générale 6
7 Tableau 8 Imputation des charges indirectes par produit en fonction des volumes d activité Coût Coût Volume Volumes nécessaires Coûts indirects global par unitaire par global inducteur inducteur Produit A Produit B Produit A Produit B matières premières composants pièces Réglage des machines Planification des ordres Lancement des fabrications manuel automatisé lots Contrôle qualité Expédition Organisation générale 7
8 Annexe 6 Tableau 9 Evaluation des coûts complets, des résultats par produits et des écarts de résultat entre les méthodes Produit A Eléments Quantités Prix unitaires Chiffre d affaires Coûts directs Coûts indirects Coût de revient Résultat méthode ABC Résultat méthode des centres d analyse Ecart Montants Quantités Prix Produit B unitaires Montants Tableau 10 Imputation comparée des charges indirectes Produit A Produit B Méthode 1 Méthode 2 Ecarts 2/1 Méthode 1 Méthode 2 Ecarts 2/1 Approvisionnement Usinage Distribution Administration Total
9 Cas Zeltronic (corrigé) 1 Les coûts complets par la méthode ABC 1. les charges directes Eléments Produit fini A Produit fini B quantités prix montants quantités prix montants Matières premières X * * = = Matières premières Y * = 7500 Composants P.O Composants P.L MOD usinage 0.01 * = * = Autres charges directes Pièces PM MOD montage 0.25 * = * = Autres charges directes Total des charges directes Centre «entité» Approvisionn ement Usinage Distribution 2. Les charges indirectes Tableau 11 Evaluation des coûts unitaires des inducteurs Nature des activités Coût global de l activité Nature de l inducteur de coût Volume d activité Commentaires sur le volume Coût par inducteur Quantités achetées kg MPX matières premières kg MPY composants Nombre de commandes 15 PO : 10commandes PL : 5 commandes pièces Quantités achetées Annexe 2 tableau Réglage des Nombre de lots fabriqués 275 Annexe 2 tableau machines 200 lots pour A et 75 pour B Planification des Nombre de lots fabriqués 275 Idem 960 ordres Lancement des Heures machines fabrications Nombre d interventions 25 Annexe manuel Heures de MOD automatisé Heures machines Annexe lots Nombre de lots fabriqués 275 Annexe 2 tableau Nombre d intervention 25 Annexe Contrôle qualité Temps de contrôle Annexe (heures) Expédition Nombre de lots expédiés 275 Annexe 2 tableau Administ. Organis. générale Chiffre d affaires
10 Tableau 12 Imputation des charges indirectes par produits en fonction des volumes d activité Eléments matières premières composants pièces Réglage des machines Planification des ordres Lancement des fabrications Coût global par inducteur Coût unitaire par inducteur Volume Volumes nécessaires Coûts indirects global Produit A Produit B Produit A Produit B manuel automatisé lots Contrôle qualité Expédition Organisation générale Tableau 13 Evaluation des coûts complets, des résultats par produits et des écarts de résultat entre les méthodes Eléments Produit A Produit B Quantités Prix Montants Quantités Prix Montants unitaires unitaires Chiffre d affaires Coûts directs Coûts indirects Coût de revient Résultat méthode ABC Résultat méthode des centres d analyse Ecart On constate que la méthode ABC conduit à montrer que le résultat obtenu sur le produits fini A est déficitaire, contrairement à ce qu indiquait la méthode des centres d analyse qui faisait apparaître une marge légèrement positive. L origine de l écart est expliqué dans la question suivante. 10
11 2. Explications 1. L origine des écarts entre les deux méthodes Tableau 14 Imputation comparée des charges indirectes Produit A Produit B Méthode 1 Méthode 2 Ecarts 2/1 Méthode 1 Méthode 2 Ecarts 2/1 Approvisionnement Usinage Distribution Administration Total Comme le montre ce tableau, la méthode ABC conduit à affecter ,33 de charges supplémentaires au produit A. Bien entendu (et aux arrondis près) ce montant est déduit de l évaluation des charges indirectes imputées au produit B. Si on approfondit l analyse par centre d analyse, on constate que la méthode ABC conduit à imputer davantage de charges d approvisionnement, d usinage et de distribution au produit A et moins de charges de montage et d administration. Pour comprendre l origine de ces disparités, considérons par exemple les charges d approvisionnement. Dans la méthode des centres d analyse, elles sont imputées au prorata de la valeur des approvisionnements intervenant dans la fabrication de chaque produit, qui dépend elle-même des quantités de matières premières, de composants et de pièces PM nécessaires à la fabrication. Cette règle d imputation, comme on le voit, conduit à imputer une part plus importante de charges d approvisionnement au produit consommant le plus de matières, de composants et de pièces, en tenant compte des prix respectifs de ces divers éléments. Le lien de causalité entre l activité d approvisionnement et le coût imputé est faible. La méthode ABC conduit à rétablir ce lien de causalité. Ainsi, dans cette méthode les coûts sont, selon l activité considérée, imputés soit en fonction des quantités achetées (gestion des matières premières et des pièces), soit en fonction du nombre de commandes de composants. Le lien de causalité entre l activité et le coût imputé est beaucoup mieux respecté. Cette analyse peut être prolongée pour les autres postes de charges indirectes avec les mêmes conclusions, même si l imputation des charges d administration proportionnellement au chiffre d affaires peut apparaître également arbitraire. Plus généralement, on peut distinguer trois effets à l origine des écarts constatés : 11
12 l effet de diversité des activités la considération de plusieurs activités au sein d un même centre d analyse dont les inducteurs de coût diffèrent, conduit à abandonner l hypothèse d homogénéité de l activité qui sous-tend normalement la validité de la notion de centre d analyse. Ainsi, par exemple pour le centre d usinage, il y a quatre activités caractérisées par trois inducteurs de coût différents et obéissant à des logiques d activité différentes. Une seule de ces activités retient comme inducteur de coût l u.o. heure machine qui avait été retenue dans la méthode des centres d analyse ; l effet de coût relatif des activités introduit également une distorsion. A l intérieur d un même centre d analyse, les différences d inducteurs de coût entraînent des modifications de la structure des coûts relativement aux différentes activités ; l effet de taille des séries cet effet est lié au fait que la consommation de certaines ressources est indépendante du volume ou de la taille de la série, par exemple, le réglage des machines. Dans la méthode des centres d analyse, les coûts entraînés par le réglage appartenant au centre usinage se trouvent imputés au prorata des heures machines, qui sont fonction de la taille de la série. L absence de prise en compte de ces effets dans la méthode des centres d analyse conduit à faire «subventionner» le produit A par le produit B. Ce phénomène de subventionnement entre produits est aisé à comprendre. Dans un centre d analyse incluant plusieurs activités hétérogènes, les activités non retenues comme support de l imputation sont réparties sur la base d une consommation moyenne. En conséquence, les produits qui consomment moins que la moyenne subventionnent les produits qui consomment plus que la moyenne (d après MEVELLEC, Outils de gestion la pertinence retrouvée, Editions comptables Malesherbes, 1991, p. 65). Ainsi pour le centre d usinage, l activité de réglage dont l inducteur de coût n est pas retenu comme u.o. d imputation conduit le produit B (peu consommateur de cette activité) à subventionner le produit A. Ce phénomène de subventionnement s il est ignoré peut conduire à des erreurs de décision importantes, liées à une appréciation biaisée de la rentabilité des produits. 12
13 2 Intérêt de la méthode des coûts par activité pour la prise de décision en gestion Comme on peut le conclure à partir des développements précédents, dans la mesure où elle repose sur une meilleure causalité, la méthode ABC est a priori plus pertinente, cependant cette pertinence n est véritablement fondée que si elle conduit à prendre de meilleures décisions. Les partisans de la méthode ABC prétendent qu elle conduit à de meilleures décisions en matière de réduction des coûts, de coordination et de gestion stratégique (V. notamment MEVELLEC, op. cit., p. 149 et suivantes). La meilleure pertinence de la méthode en matière de réduction des coûts s explique par la modélisation du fonctionnement de l entreprise qu elle propose et qui conduit à analyser précisément le processus de création de valeur en fonction des différentes activités. La consommation des ressources étant réalisée au niveau des activités, le problème de la création de la valeur doit être considéré également à ce niveau, particulièrement en portant l attention sur les activités non créatrices de valeur. Ce type d analyse permet également d améliorer la coordination dans la mesure où elle conduit à améliorer la pertinence du système budgétaire, notamment à cause de la meilleure représentation des liens de causalité entre consommations et productions. Elle autorise une meilleure coordination entre la gestion économique et la gestion physique en recourant davantage aux indicateurs physiques liés à la gestion de la production et à la gestion de la qualité. Enfin, la méthode ABC permet d enrichir l analyse stratégique compte tenu de son lien étroit avec l analyse de la création de la valeur. En particulier, elle est censée permettre une meilleure analyse de la chaîne de création de la valeur, une meilleure perception des liens entre la stratégie et la structure (et donc à agir plus efficacement sur cette dernière) et la définition de mesures de performance plus adaptées permettant d améliorer la gestion des ressources humaines et la performance globale de l entreprise. 13
14 3 Appréciation de la différence conceptuelle entre la méthode AJ3C et les méthodes traditionnelles Comme le souligne BOUQUIN (Comptabilité de Gestion, Sirey, 1993, p. 223), «... la méthode des sections n est en rien incompatible avec l idée de prendre l activité comme objet principal de l analyse des coûts, la relation entre activités et centres d analyse étant naturelle... Il reste que la méthode des sections ignore le concept d activité parce qu il est, pour elle, en raison de ses hypothèses, synonyme de section». Le problème est donc principalement lié au découpage en sections lorsque ces dernières regroupent des activités hétérogènes et que les u.o. retenues ne sont pas pertinentes. Par ailleurs, les critiques formulées par les partisans de la méthode ABC à la méthode traditionnelle sont au nombre de quatre (BOUQUIN, Op. cit., p. 223 et 224) l usage exclusif d u.o. volumiques liées aux quantités produites ; la difficulté à pratiquer une analyse comparative des coûts de type stratégiques, les coûts d activité critiques du point de vue stratégique n étant pas identifiés ; l accent prioritaire mis sur l objectif de réduction des coûts au détriment des autres stratégies compétitives ; la perte de vue du coût des activités de support par suite des imputations en cascade. Il apparaîtrait donc que la différence conceptuelle entre les méthodes est faible et que la méthode ABC constituerait en fait plus une reconsidération des méthodes traditionnelles dans une perspective orientée véritablement vers la gestion, au-delà de la seule perspective d évaluation ex post d un résultat. 14
Analyse des coûts. 1 ère année DUT GEA, 2005/2006 Analyse des coûts
Analyse des coûts Les techniques de calcul et d analyse des coûts portent le nom de comptabilité analytique ou comptabilité de gestion. Ces deux termes seront utilisés indifféremment dans ce cours. Contrairement
Plus en détail- la mise en place du contrôle budgétaire est souvent mal vécue, car perçue comme une sanction par le personnel de l entreprise.
C H A P I T R E 7 Le contrôle budgétaire Objectifs Le contrôle budgétaire permet de comparer les réalisations avec les prévisions. Déceler les écarts significatifs, les analyser et prendre des mesures
Plus en détailLa comptabilité analytique : un outil indispensable pour la gestion et le suivi des projets.
La comptabilité analytique : un outil indispensable pour la gestion et le suivi des projets. STAND 114 SOMMAIRE 1. Rôles et objectifs de la comptabilité analytique a) Rôle b) Objectifs 2. Organisation
Plus en détailMegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant
MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité
Plus en détailLes principales méthodes d évaluation
Attention : Cette fiche n a pas pour objet de fixer administrativement la valeur des biens. Elle ne doit pas être assimilée à une instruction administrative. Elle propose les principales méthodes d évaluation
Plus en détailLES COÛTS PRÉÉTABLIS ET LES ÉCARTS TOTAUX
7 LES COÛTS PRÉÉTABLIS ET LES ÉCARTS TOTAUX 1. LES PRINCIPES 196 2. L ÉLABORATION DES COÛTS PRÉÉTABLIS 198 3. MODÈLE GÉNÉRAL D ANALYSE DES ÉCARTS 202 4. LES ÉCARTS TOTAUX 203 5. PREMIÈRE ANALYSE DES ÉCARTS
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS
BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS DIRECTION GÉNÉRALE DES IMPÔTS 4 C-4-03 N 84 du 9 MAI 2003 DISPOSITIONS DIVERSES (BIC, IS, DISPOSITIONS COMMUNES). FRAIS ET CHARGES. DEPENSES ENGAGEES LORS DE LA CREATION DE
Plus en détailFormation PME Comptabilité analytique (ou comptabilité d exploitation)
Formation PME Comptabilité analytique (ou comptabilité d exploitation) Fit for Business (PME)? Pour plus de détails sur les cycles de formation PME et sur les businesstools, aller sous www.banquecoop.ch/business
Plus en détailLE BUDGET DES VENTES
LE BUDGET DES VENTES Objectif(s) : o Pré requis : o Modalités : o o o Elaboration du budget des ventes. Connaissances du processus "ventes". Principes, Synthèse, Application. TABLE DES MATIERES Chapitre
Plus en détailL IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES
ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX
Plus en détailL entreprise A.B.C est une société anonyme au capital de 1 200 000 DH.
Concours d accès en troisième année Programme Grande Ecole Session de Septembre 2011 Epreuve de Comptabilité Générale & Analytique Durée : 3 heures -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Plus en détailElaboration et Suivi des Budgets
Elaboration et Suivi des Budgets 1 1- La Notion Du contrôle de Gestion 2- La Place du Contrôle de Gestion dans le système organisationnel 3- La Notion des Centres de responsabilité 4- La procédure budgétaire
Plus en détailCONCOURS GÉNÉRAL SÉNÉGALAIS 1/6 Durée : 6 heures Série : G SESSION 2004 CLASSES DE TERMINALE
CONCOURS GÉNÉRAL SÉNÉGALAIS 1/6 Durée : 6 heures Série : G SESSION 2004 T E C H N I Q U E C O M P T A B L E DOSSIER I : COMPTABILITE ANALYTIQUE La société K fabrique deux produits P 1 et P 2 et un sous
Plus en détailLes Cahiers du Conseil constitutionnel Cahier n 24
Les Cahiers du Conseil constitutionnel Cahier n 24 Commentaire de la décision n 2007-557 DC du 15 novembre 2007 Loi relative à la maîtrise de l immigration, à l intégration et à l asile Déposé sur le bureau
Plus en détailCOMMISSION DES NORMES COMPTABLES
COMMISSION DES NORMES COMPTABLES Avis CNC 2010/16 - Traitement comptable des subsides, dons et legs, octroyés en espèces, dans le chef des grandes et très grandes associations et fondations bénéficiaires
Plus en détailAnnonces internes SONATRACH RECHERCHE POUR SON ACTIVITE COMMERCIALISATION :
Bourse de l emploi Annonces internes : Direction Administration et Moyens Un Technicien Electricien Un C/Maitre Electricité BAT (Chargé de la Maintenance en pompes) Un C/Maitre Electricité BAT (Chargé
Plus en détailGuide d établissement des budgets des propositions soumises aux appels à projets de
Guide d établissement des budgets des propositions soumises aux appels à projets de l ANR 1. INTRODUCTION...3 2. PRINCIPES GENERAUX...4 2.1. Assiette et taux de l aide... 4 2.2. TVA... 5 2.3. Règles spécifiques
Plus en détailNote méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1.
Version intégrale Note méthodologique 1. Les tableaux des ressources et des emplois dans les comptes nationaux L élaboration des comptes nationaux de la Belgique s effectue conformément à la méthodologie
Plus en détailCATALOGUE FORMATION CONTINUE
CATALOGUE FORMATION CONTINUE 3ème trimestre 2014 SOMMAIRE INFORMATIQUE BUREAUTIQUE 4 COMMERCIAL VENTE 5-6 COMPTABILITE GESTION 7-8 JURIDIQUE SECURITE 9 SE FORMER, MODE D EMPLOI 10-12 BULLETIN D INSCRIPTION
Plus en détailLE CONCEPT VADWAY et le «CONTRÔLE DE GESTION»
Le concept de VAD (Valeur Ajoutée Directe), est à la base de nos missions portant sur le «Contrôle de gestion», appliqué aux PME. 1. LE CONCEPT LA VALEUR AJOUTEE DIRECTE (VAD) Rappel : L entreprise achète,
Plus en détailPREAVIS DE LA MUNICIPALITE AU CONSEIL COMMUNAL
PREAVIS DE LA MUNICIPALITE AU CONSEIL COMMUNAL N 39/10.12 DEMANDE D'UN CRÉDIT DE CHF 259 200.00 POUR L ACHAT D UN LOGICIEL DE GESTION DES TEMPS ET DE PLANIFICATION DES HORAIRES DE TRAVAIL DU PERSONNEL
Plus en détailFormation logiciel Sage 100 Comptabilité i7
Sage 100 Comptabilité offre la simplicité d une base de données commune aux différents modules comptables et financiers, une grande interactivité avec votre environnement bureautique et la fluidité de
Plus en détailChapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1
Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion Introduction 2 Contrôle de gestion : fonction aujourd hui bien institutionnalisée dans les entreprises Objectif : permettre une gestion rigoureuse et une
Plus en détailCegid Business Place Produflex
CegidBusinessPlaceIndustrie Cegid Business Place Produflex Produflex GRC Gestion Commerciale Gestion de Production SAV Isoflex SGDT Paie GRH EDI SCM Comptabilité Finance Gérez en toute fluidité l ensemble
Plus en détailCour d'appel de Bruxelles - Arrêt du 8 novembre 2006 -
Cour d'appel de Bruxelles - Arrêt du 8 novembre 2006 - Rôle n 1997/FR/345 - Exercices d'imposition 1993 et 1994 Arrêt Avocats: Maître André Bailleux - pour les requérants Maître Olivier Slusny - pour l
Plus en détailLES ETAPES DE LA CREATION
LES ETAPES DE LA CREATION LES ETAPES DE LA CREATION DE VOTRE ENTREPRISE L ELABORATION DU PROJET p. 13 A/ L étude commerciale p. 13 B/ L étude financière p. 18 C/ L étude juridique p. 27 LES FORMALITES
Plus en détailSujets d actualité, débats, perspectives, enjeux Tendances Achats vous donne la parole et analyse pour vous le monde des Achats.
Sujets d actualité, débats, perspectives, enjeux Tendances Achats vous donne la parole et analyse pour vous le monde des Achats. DEMATERIALISATION DES FACTURES FOURNISSEURS : PROJET ACHATS OU PROJET D
Plus en détailNorme comptable internationale 20 Comptabilisation des subventions publiques et informations à fournir sur l aide publique 1
Norme comptable internationale 20 Comptabilisation des subventions publiques et informations à fournir sur l aide publique 1 Champ d application 1 La présente norme doit être appliquée à la comptabilisation
Plus en détailLe WACC est-il le coût du capital?
Echanges d'expériences Comptabilité et communication financière Dans une évaluation fondée sur la méthode DCF, l objectif premier du WACC est d intégrer l impact positif de la dette sur la valeur des actifs.
Plus en détailMÉTHODOLOGIE PROJET SYSTÈME D INFORMATION DÉCISIONNEL BI - BUSINESS INTELLIGENCE. En résumé :
En résumé : Phase I : collecte des besoins I - Expression des besoins II - Étude de faisabilité III - Définition des priorités IV - Rédaction puis validation du cahier des charges Phase II : implémentation
Plus en détailPremière installation : comment réussir en temps de crise?
FACULTES DE PHARMACIE DE PARIS V ET PARIS XI Première installation : comment réussir en temps de crise? Animation par Philippe BECKER (Fiducial) Joffrey BLONDEL (Astera) 1 Olivier DUPAYS (Pharmacie de
Plus en détail7. Recherche des essais
7. Recherche des essais Le chapitre précédent a insisté sur la nécessité de réaliser une recherche des essais aussi exhaustive que possible. Seule la conjonction de tous les moyens disponibles peut laisser
Plus en détailMISE EN PLACE D UNE COMPTABILITÉ ANALYTIQUE AU SEIN DES EPSCP RECUEIL DES FICHES TECHNIQUES ET MÉTHODOLOGIQUES
MISE EN PLACE D UNE COMPTABILITÉ ANALYTIQUE AU SEIN DES EPSCP RECUEIL DES FICHES TECHNIQUES ET MÉTHODOLOGIQUES F I N A N C E S LES DOSSIERS DE L AGENCE MISE EN PLACE D UNE COMPTABILITÉ ANALYTIQUE AU SEIN
Plus en détailFINANCE, COMPTABILITE Inter entreprises petits groupes (6 stagiaires maximum par session)
Octobre à juillet FINANCE, COMPTABILITE Intitulé Objectifs principaux (programme détaillé sur demande) Dates - Les principales fonctions statistiques, financières, de recherche Excel appliqué à la gestion
Plus en détailSynthèse n 16, Février 2012. Financement de la croissance verte et orientation de la création monétaire
Synthèse n 16, Février 2012 Financement de la croissance verte et orientation de la création monétaire ----------- 1. Les investissements nécessaires à la transition vers un modèle de croissance durable
Plus en détailLE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE
TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de
Plus en détailLivret 10. Mise à jour février 2008. Département Tertiaire
Élaborer mon étude financière Livret 10 Calculer mon seuil de rentabilité Mise à jour février 2008 Département Tertiaire Avertissement au lecteur Le présent fascicule fait l'objet d'une protection relative
Plus en détail!-.!#- $'( 1&) &) (,' &*- %,!
0 $'( 1&) +&&/ ( &+&& &+&))&( -.#- 2& -.#- &) (,' %&,))& &)+&&) &- $ 3.#( %, (&&/ 0 ' Il existe plusieurs types de simulation de flux Statique ou dynamique Stochastique ou déterministe A événements discrets
Plus en détailCOMPTABILITÉ. Cap vers une gestion simplifiée. www.mercator.eu POUR LES UTILISATEURS COMPTABLES ET LES PROFESSIONNELS DE LA COMPTABILITÉ
COMPTABILITÉ Cap vers une gestion simplifiée POUR LES UTILISATEURS COMPTABLES ET LES PROFESSIONNELS DE LA COMPTABILITÉ www.mercator.eu EDITO «Et si vous voyiez la comptabilité de votre entreprise comme
Plus en détail- 08 - PREVISION DU BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT - PRINCIPES
- 08 - PREVISION DU BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT - PRINCIPES Objectif(s) : o o Pré-requis : o Modalités : Relation Besoin en Fonds de Roulement (B.F.R.) et Chiffre d'affaires (C.A.), Eléments variables
Plus en détailCahier spécial des charges pour un marché de services : conclusion d'emprunts pour le financement du service d'investissements de l'exercice 2006
Centre Public d'action Sociale de Jette Rue de l'eglise 47-49 1090 Bruxelles Cahier spécial des charges pour un marché de services : conclusion d'emprunts pour le financement du service d'investissements
Plus en détailINITIATION À LA COMPTABILITÉ GÉNÉRALE
Comptabilité 155 INITIATION À LA COMPTABILITÉ GÉNÉRALE Etre capable d assurer le suivi quotidien des opérations courantes dans une entreprise afin de faciliter les échanges avec son expert comptable. Assistante
Plus en détailREGLES D IMPUTATION DES DEPENSES Fiche de gestion financière
REGLES D IMPUTATION DES DEPENSES Fiche de gestion financière Ce document a pour objet de décrire l ensemble des règles d imputation des dépenses et de préciser les biens pouvant être considérés comme des
Plus en détailDOCUMENTS DE DECOUVERTE CHAPITRE 1 L ORGANISATION DE LA COMPTABILITE DANS L ENTREPRISE
DOCUMENTS DE DECOUVERTE CHAPITRE 1 L ORGANISATION DE LA COMPTABILITE DANS L ENTREPRISE I. LA FONCTION COMPTABLE DANS L ENTREPRISE 1. Définir la comptabilité. A quoi sert la comptabilité? 2. Quelles sont
Plus en détailPhilippe BANCE Président du Conseil scientifique international du CIRIEC CREAM Normandie Université (Univ. Rouen)
20 ème Congrès du CIRIEC International Buenos Aires, octobre 2014 Philippe BANCE Président du Conseil scientifique international du CIRIEC CREAM Normandie Université (Univ. Rouen) 1 Hétérodoxie versus
Plus en détailPOURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES?
Mai 2010 POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES? Direction Générale des Statistiques Ministère de l Economie, du Commerce, de l Industrie et du Tourisme Pourquoi le Gabon a-t-il besoin
Plus en détailObjet : Nouvel exposé-sondage ES/2011/6, Produits des activités ordinaires tirés de contrats avec des clients
Le 5 mars 2012 Affiché sur le site Web http://www.iasb.org/ Objet : Nouvel exposé-sondage ES/2011/6, Produits des activités ordinaires tirés de contrats avec des clients Madame, Monsieur, L Association
Plus en détailCONTROLE DE GESTION. DUT GEA, 2 èm e année option PMO 2005-2006
CONTROLE DE GESTION Une définition classique du contrôle de gestion le décrit comme «le processus par lequel les dirigeants s assurent que les ressources sont obtenues et utilisées avec efficacité et efficience
Plus en détailMANUEL UTILISATEUR : RECETTES TABLE DES MATIERES PIE : PRESTATIONS INTERNES ET EXTERNES
JEFYCO MANUEL UTILISATEUR : RECETTES TABLE DES MATIERES PIE : PRESTATIONS INTERNES ET EXTERNES 2 1 GENERER UNE FACTURE HORS CATALOGUE 2 1.1 SAISIE DU CLIENT 3 1.2 SAISIE DU FOURNISSEUR 4 1.3 PREPARATION
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. Avant-propos... Remerciements... CHAPITRE 1 LA COMPTABILITÉ DE MANAGEMENT... 1
TABLE DES MATIÈRES Avant-propos........................................................... Remerciements......................................................... V VII CHAPITRE 1 LA COMPTABILITÉ DE MANAGEMENT................
Plus en détailTP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler
TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler Compétences exigibles : - Mettre en œuvre une démarche expérimentale pour mesurer une vitesse en utilisant l effet Doppler. - Exploiter l expression du
Plus en détailSOFI Gestion+ Version 5.4. Echanges de données informatiques Spicers Sofi gestion+ Groupements. SOFI Informatique. Actualisé le 10.09.
SOFI Gestion+ SOFI Informatique Version 5.4 Echanges de données informatiques Spicers Sofi gestion+ Groupements Actualisé le 10.09.2004 Table des matières 1. Catalogue et tarifs... 4 1.1 Définition EDI...
Plus en détailPACK PMI. Exclusivement par PMI Soft. Le droit à. la gestion intégrée. pour tous
PACK PMI Exclusivement par PMI Soft Le droit à la gestion intégrée pour tous Avec Le Pack PMI, Nous initions une véritable révolution dans la défense des droits des TPE! En effet, jusqu à présent, le prix
Plus en détailL Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte
L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en
Plus en détailCOMPTES DE GROUPE Consolidation et présentation de participations
La nouvelle Swiss GAAP RPC 30 regroupe toutes les règles applicables aux comptes. Ce qui implique que toutes les autres Swiss GAAP RPC font référence aux comptes individuels. Quelles sont les questions
Plus en détailINSTRUCTION N 009 AUX COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT ET AUX INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE RELATIVE A LA TRANSMISSION DES SITUATIONS PERIODIQUES
INSTRUCTION N 009 AUX COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT ET AUX INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE RELATIVE A LA TRANSMISSION DES SITUATIONS PERIODIQUES La Banque Centrale du Congo, Vu la Loi n 005/2002 du
Plus en détailFORMATIONS OpenERP/Odoo ORIENTEES METIERS. THEME : COMMENT OpenERP/ODOO PEUT AMELIORER LES PERFORMANCES DE VOTRE ENTREPRISE
FORMATIONS OpenERP/Odoo ORIENTEES METIERS THEME : COMMENT OpenERP/ODOO PEUT AMELIORER LES PERFORMANCES DE VOTRE ENTREPRISE - Présenter les fonctionnalités d OpenERP/ODOO, le large périmètre métier couvert
Plus en détailCHAPITRE 4 LA VALORISATION DES STOCKS COURS DE COMPTABILITE ANALYTIQUE SEMESTRE 2 DUT TC
COURS DE COMPTABILITE ANALYTIQUE SEMESTRE 2 DUT TC CHAPITRE 4 LA VALORISATION DES STOCKS CORINNE ZAMBOTTO - COURS DE COMPTABILITE ANALYTIQUE IUT SENART-FONTAINEBLEAU 1 I. LA PLACE DES STOCKS DANS LE CYCLE
Plus en détailAudit financier rétro-prospectif 2009-2018
Audit financier rétro-prospectif 2009-2018 Commune de Pierre-Olivier Hofer Directeur associé Ludivine Louette Consultante Toulouse, le 20 mai 2014 E14-0514 EXFILO Tél : 01.83.62.86.35 Fax : 01.83.62.86.34
Plus en détailLes corrigés des examens DPECF - DECF
48h après l examen sur www.comptalia.com 1 ère Ecole en ligne des professions comptables Spécialiste des préparations à l'expertise Comptable et des formations en compta-gestion via Internet Les corrigés
Plus en détailDirection des Ressources Humaines 14/10/04 CLASSIFICATION DU GROUPE CREDIT COOPERATIF
CLASSIFICATION DU GROUPE CREDIT COOPERATIF SOMMAIRE PREAMBULE P. 4 DISPOSITIONS GENERALES : I. Généralités P. 05 I.1. Définition de la classification P. 05 I.2. Relation classification emploi P. 05 I.3.
Plus en détailCONDITIONS A REMPLIR POUR L OBTENTION DU LABEL DE QUALITE NIVEAU II
PROGRAMME QUALITÉ DU TOURISME SUISSE Règlement niveau II RÈGLEMENT NIVEAU II CONDITIONS A REMPLIR POUR L OBTENTION DU LABEL DE QUALITE NIVEAU II Toute entreprise souhaitant obtenir le label de qualité
Plus en détailLes enjeux de la dématérialisation en assurance
Colloque de l'ajar 4 décembre 2012 Les enjeux de la dématérialisation en assurance Philippe POIGET, Directeur des affaires juridiques, fiscales et de la concurrence Fédération Française des Sociétés d'assurances
Plus en détail.id. _la solution de pilotage de votre entreprise ERP / CRM / BPM. www.groupeid.ch. informatique & développement
.id informatique & développement _la solution de pilotage de votre entreprise ERP / CRM / BPM marketing & crm \ ventes \ achats \ \ \ www.groupeid.ch Un outil performant basé sur des connaissances «métiers»
Plus en détailGestion commerciale. Une réponse fonctionnelle quel que soit votre secteur d activité
Gestion commerciale La rentabilité d une entreprise passe par l augmentation du chiffre d affaires et la maîtrise des coûts de gestion. Avec Sage 100 Gestion Commerciale, vous contrôlez votre activité
Plus en détailTitre 4 - Analyse de l impact de la résiliation annuelle sur les marges des contrats emprunteurs
Titre 4 - Analyse de l impact de la résiliation annuelle sur les marges des contrats emprunteurs 4.1 Le concept d Analyse en Temps Probabilisé Le concept d Analyse en Temps Probabilisé, développé et appliqué
Plus en détailGROUPE GRANDS MOULINS DE STRASBOURG
GRANDS MOULINS DE STRASBOURG S.A. SERVICES ADMINISTRATIFS : 1, Place Henry Levy B.P. 10080-67016 STRASBOURG CEDEX SIEGE SOCIAL : 61, AVENUE D IENA 75116 PARIS CODE ISIN : FR0000064180 Strasbourg le 23
Plus en détailLes défis du développement du gouvernement électronique. Par Edwin Lau Résumé par Gérard Mongbé
Les défis du développement du gouvernement électronique Par Edwin Lau Résumé par Gérard Mongbé La révolution numérique a engendré une pression sur les gouvernements qui doivent améliorer leurs prestations
Plus en détailCIRCULAIRE N 000333 DU 2 JUILLET 2002
Bruxelles, le 2 juillet 2002 Administration Générale des Personnels de l Enseignement Cellule des Accidents du Travail de l enseignement CIRCULAIRE N 000333 DU 2 JUILLET 2002 Objet : Accidents du travail
Plus en détailLes données à caractère personnel
Les données à caractère personnel Loi n 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertésrefondue par la loi du 6 août 2004, prenant en compte les directives 95/46/CE du Parlement
Plus en détailCOURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 2 COUVERTURE DU BESOIN DE FINANCEMENT CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT
COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 2 COUVERTURE DU BESOIN DE FINANCEMENT CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT SEANCE 2 COUVERTURE DU BESOIN DE FINANCEMENT CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT
Plus en détailLa Préparation Opérationnelle à l Emploi Collective
Un appui au recrutement de vos futurs salariés intérimaires La Préparation L essentiel de la POEC A la différence de la POE Individuelle, la POE n est pas conditionnée au dépôt préalable d une offre d
Plus en détailL application doit être validée et l infrastructure informatique doit être qualifiée.
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 Annexe 11: Systèmes informatisés
Plus en détailSage 100. pour le BTP. Faites de votre gestion un levier de croissance
Sage 100 pour le BTP Faites de votre gestion un levier de croissance Sage 100 pour le BTP Faites de votre gestion un levier de croissance Gagner des parts de marché, optimiser ses investissements, sécuriser
Plus en détailUnity Real Time 2.0 Service Pack 2 update
Unity Real Time 2.0 Service Pack 2 update Configuration des Objectifs Analytiques La nouvelle version permet, en un écran, de configurer un lot, un panel ou un instrument. Le menu est accessible au moyen
Plus en détailSOMMAIRE OPÉRATIONS COURANTES OPÉRATIONS D INVENTAIRE
SOMMAIRE OPÉRATIONS COURANTES OPÉRATIONS D INVENTAIRE 1 Factures de doit p. 9 Processus 1 2 Réductions sur factures de doit p. 11 Processus 1 3 Frais accessoires sur factures p. 13 Processus 1 4 Comptabilisation
Plus en détailPOINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE
POINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE MESURER LA PRODUCTIVITÉ Productivité du travail : valeur ajoutée / stock d heures travaillées. Elle est simple à calculer et facilement compréhensible.
Plus en détailCirculaire du 7 juillet 2009
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l économie, de l industrie et de l emploi NOR : ECEC0907743C Circulaire du 7 juillet 2009 concernant les conditions d application de l arrêté du 31 décembre 2008 relatif
Plus en détailENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI. Contribuer à la performance de l entreprise. Novembre 1999. GT015-rev octobre 2002
GT015-rev octobre 2002 ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI Enquête IPSOS Novembre 1999 Contribuer à la performance de l entreprise 153 rue de Courcelles 75817 Paris cedex 17 Tél. 01 44 15 60
Plus en détailLE MARCHÉ DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE
CONSEIL EN IMMOBILIER D ENTREPRISE LE MARCHÉ DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE Introduction Les surfaces disponibles Les prix La tendance Les axes de développement INTRO CONSEIL EN IMMOBILIER D ENTREPRISE Surface
Plus en détailFiscalité de l épargne et financement des entreprises. Eléments de constat et propositions
Le 11 février 2013 Fiscalité de l épargne et financement des entreprises Eléments de constat et propositions Les lois de finances adoptées au cours de ces deux dernières années ont appréhendé les revenus
Plus en détailThème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale
Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale 1. Le secteur informel en Afrique : définition et caractéristiques générales Le secteur informel est défini comme l'ensemble des unités
Plus en détailDocument de synthèse. Étude comparative du coût total des systèmes de vidéosurveillance IP et analogiques
Document de synthèse Étude comparative du coût total des systèmes de vidéosurveillance IP et analogiques Table des matières 1. Introduction 3 2. Méthode de recherche 3 3. Coût total de possession (TCO)
Plus en détailUDSG CLASSIFICATION DOSSIER DOCUMENTAIRE
UDSG CLASSIFICATION DOSSIER DOCUMENTAIRE 2 SOMMAIRE I. LES FAMILLES PROFESSIONNELLES... 5 II. LES FONCTIONS GENERIQUES... 12 FAMILLE ETUDES ET CONCEPTION......... 15 ASSISTANT D ETUDES ET CONCEPTION...16
Plus en détail2. Mise en œuvre de la réglementation sur la tacite reconduction
2. Mise en œuvre de la réglementation sur la tacite reconduction À la suite des auditions et des réponses écrites au questionnaire, il s avère qu en pratique, la loi «Chatel» suscite peu de difficultés
Plus en détailMontée en débit : la mise en œuvre de l accès à la sous-boucle et son articulation avec le développement des réseaux FttH
février 2010 Montée en débit : la mise en œuvre de l accès à la sous-boucle et son articulation avec le développement des réseaux FttH Orientations de l ARCEP - 1 - Introduction Bénéficier d une montée
Plus en détailPROJET D ELECTRIFICATION RURALE PAR RESEAU SBEE <<MESURES D ACCOMPAGNEMENT>> (MISSION D INTERMEDIATION SOCIALE)
1 PROJET D ELECTRIFICATION RURALE PAR RESEAU SBEE (MISSION D INTERMEDIATION SOCIALE) STRATEGIE DE DISTRIBUTION DES CARTES PREPAYEES 2 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION... 3 1.
Plus en détailCompte-rendu d expérience
Compte-rendu d expérience ALTANA AG Décisions rapides ALTANA utilise la solution logicielle intégrée d IDL Grâce à sa longue expérience avec IDLKONSIS, ALTANA, groupe actif dans le domaine de la chimie
Plus en détailCoût de fabrication ou d achat. Calcul des besoins Management Industriel et Logistique (4) (2) (1) (2)
Etude de cas 1 : La société Lebreton fabrique un produit A dont la nomenclature est la suivante (les chiffres entre parenthèses indiquent le nombre de composants dans un composé de niveau immédiatement
Plus en détailComptabilité à base d activités (ABC) et activités informatiques : une contribution à l amélioration des processus informatiques d une banque
Comptabilité à base d activités (ABC) et activités informatiques : une contribution à l amélioration des processus informatiques d une banque Grégory Wegmann, Stephen Nozile To cite this version: Grégory
Plus en détailGuide du client pour les services de colis Modification n o 7 En vigueur le 12 janvier 2015
Guide du client pour les services de colis Modification n o 7 En vigueur le 12 janvier 2015 La présente modification fait partie de votre convention des services de colis conclue avec Postes Canada et
Plus en détailBordeaux, le 22 mars 2010. Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992. Monsieur le Président,
Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992 Bordeaux, le 22 mars 2010 Monsieur le Président, Par lettre du 9 septembre 2008, vous avez été informé que la Chambre régionale des comptes
Plus en détailConstruire un tableau de bord par Marc Maisonneuve
Construire un tableau de bord par Marc Maisonneuve Le tableau de bord On peut le définir comme la présentation synoptique d indicateurs relatifs au suivi d une bibliothèque, d un projet, d un service.
Plus en détailRECOMMANDATION. Note de présentation
AUTORITE DES NORMES COMPTABLES RECOMMANDATION n 2013-02 du 7 novembre 2013 Relative aux règles d évaluation et de comptabilisation des engagements de retraite et avantages similaires pour les comptes annuels
Plus en détailLES STOCKS DEFINITION ET TYPOLOGIE DES STOCKS
LES STOCKS DEFINITION ET TYPOLOGIE DES STOCKS Définition des stocks Typologie LA GESTION DES STOCKS Les indicateurs de gestion des stocks Les documents de gestion des stocks Les méthodes de gestion des
Plus en détailEfficacité des Modules Maintenance dans les ERP.
Efficacité des Modules Maintenance dans les ERP. Les progiciels ERP (Entreprise Ressource Planning) proposent l ensemble des modules permettant de gérer une entreprise. Mais le module Maintenance est souvent
Plus en détailEtude sur les cadres règlementaires et leur efficacité à encourager les entreprises à améliorer leur efficacité énergétique et sur les mesures
Etude sur les cadres règlementaires et leur efficacité à encourager les entreprises à améliorer leur efficacité énergétique et sur les mesures complémentaires nécessaires Synthèse Avril 2015 Pourquoi
Plus en détailPROJET DE REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CADRE DIRIGEANT D ENTREPRISE AGRICOLE FRUITS ET LEGUMES
29 septembre 2006 PROJET DE REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CADRE DIRIGEANT D ENTREPRISE AGRICOLE FRUITS ET LEGUMES DOCUMENT DE TRAVAIL REMARQUES PREALABLES SUR LES MODALITES D ELABORATION DU
Plus en détailComment s exerce l autorisation parentale de sortie de l enfant du territoire national ou l opposition à cette sortie?
Comment s exerce l autorisation parentale de sortie de l enfant du territoire national ou l opposition à cette sortie? En cas d autorité parentale exclusive, c est la liberté ; le parent la détenant pouvant
Plus en détailSéance 4. Gestion de la capacité. Gestion des opérations et de la logistique 4-530-03
Gestion des opérations et de la logistique Séance 4 4-530-03 Gestion de la capacité Points importants présentés au dernier cours Les principaux types d aménagement Étude du travail et l amélioration des
Plus en détail