MASTER 2 INFORMATIQUE - UNIVERSITE DE FRANCHE-COMTE. Projet Kinect. Détection de mouvements intempestifs dans un bloc opératoire

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "MASTER 2 INFORMATIQUE - UNIVERSITE DE FRANCHE-COMTE. Projet Kinect. Détection de mouvements intempestifs dans un bloc opératoire"

Transcription

1 MASTER 2 INFORMATIQUE - UNIVERSITE DE FRANCHE-COMTE Projet Kinect Détection de mouvements intempestifs dans un bloc opératoire Benoît Bernardin et Paul Meyer sous l encadrement de Jean-Christophe Lapayre Ce document est un rapport du projet tuteuré : «Détection de mouvements intempestifs dans un bloc opératoire» effectué dans le cadre du Master 2 Informatique à l Université de Franche-Comté.

2 Remerciements Nous tenons à remercier Jean-Christophe Lapayre pour l aide qu il nous a fourni tout au long de ce projet ainsi que les deux médecins, Daniel Talon et Daniel Pazart, pour leurs conseils avisés. Page 2

3 Sommaire Introduction... 6 I. Présentation de la Kinect... 7 a. API, kit de développement et langages de programmation... 7 b. Caractéristiques... 8 c. Reconnaissance physique... 9 d. Flux de données II. Le projet a. Etude du sujet b. Notre gestion du temps c. Développement de la version d. Améliorations et adaptation de l application (version 2) III. Axe futur de développement de l application et ses améliorations Conclusion Annexes Annexe 1 : Diagramme GANTT du projet.. 27 Annexe 2 : Solution de développement «OpenKinect» Page 3

4 Table des illustrations Figure 1 : Logo Kinect... 7 Figure 2 : La Kinect et ses capteurs... 8 Figure 3 : Champ de vision de la Kinect... 8 Figure 4 : Portée du capteur Kinect... 8 Figure 5 : Squelettes «trackés» et «non-trackés»... 9 Figure 6 : Espace 3D géré par la Kinect... 9 Figure 7 : Représentation d'un squelette tracké... 9 Figure 8 : Flux de données envoyés par la Kinect Figure 9 : Représentation graphique du sujet initial Figure 10 : Extrait du diagramme GANTT Figure 11 : Logo Figure 12 : Fonctionnement de la version Figure 13 : Tests de performances du calcul de l'écart-type Figure 14 : Comparaison des résultats du calcul de l'écart-type Figure 15 : Aperçu d'écran de la version Figure 16 : Inclinaisons verticale du capteur Kinect Figure 17 : Couplage «Kinect - ScreenAir» Figure 18 : Collaboration de Kinect Figure 19 : Schéma de l'interface graphique finale Figure 20 : Logo de la bibliothèque Dynamic Data Display Figure 21 : Fonctionnement de la version Figure 22 : Aperçu d'écran de la version Figure 23 : Extrait du fichier de sauvegarde des données Page 4

5 Bibliographie - Netographie A noter que la classification n est pas stricte. Chaque site ayant servi pour plusieurs catégories. Kinect et ses caractéristiques Kinect et le développement Algorithme de B.P. Welford Livre «The Art of Computer Programming» de Donald Knuth Dynamic Data Display Ainsi que des tutoriaux et des forums d aide au langage C# et aux applications WPF.NET Page 5

6 Introduction Dans le cadre du Master 2 Informatique à l Université de Franche-Comté, un projet doit être réalisé en binôme sous l encadrement d un enseignant. De nombreux sujets sont mis à disposition selon l option et la spécialité de chacun. Désireux d apprendre et d évoluer, nous avons décidé de choisir l un des projets Kinect proposé : «Détection de mouvements intempestifs dans un bloc opératoire». En effet, la médecine est en constante évolution et appliquer l informatique au service de ce domaine est une idée qui nous a paru très intéressante. Il existe aujourd hui trois principales sources de contamination reconnues dans un bloc opératoire : la première est le malade lui-même rejetant des particules, on appelle cela la contamination particulaire à l opposé des contaminations bactériennes comme les deux autres sources à savoir les «va-et-vient» du personnel ainsi que leurs mouvements et déplacements. C est sur ces deux derniers points qu intervient notre projet. En effet, plusieurs études ont démontré qu il existait un lien très fort entre le niveau de mouvements dans un bloc et la quantité de bactéries détectées, et donc le risque de contamination du patient : on parle alors de maladies nosocomiales. Peu d outils permettent à l heure actuelle d avoir une vision immédiate ou temporisée du niveau de mouvements des personnes au sein d un bloc opératoire. Il existe juste un système de comptabilisation d ouverture/fermeture des portes mais cela ne reflète pas le niveau général de mouvements à l intérieur. C est ici qu intervient la Kinect : l idée, de départ, est de développer une application permettant la visualisation du niveau de mouvements et de déplacements des personnes au sein d un bloc opératoire grâce à cette caméra de reconnaissance et permettre l interprétation des résultats. Le projet s inscrivant dans le cadre d une collaboration entre l Université de Franche-Comté et l hôpital Jean-Minjoz, tous deux à Besançon (25), l idée de départ sera ajustée en fonction des besoins réels du personnel médical. Afin de comprendre le travail effectué et les enjeux possibles, nous allons, tout d abord, aborder la Kinect et ses fonctionnalités en faisant, bien entendu, le parallèle avec le monde médical. Nous détaillerons ensuite les différentes phases qui ont composées ce projet pour aboutir au résultat obtenu. Puis, nous terminerons par décrire les améliorations futures à apporter à l application développée et enfin, nous conclurons en expliquant l apport de connaissances et les différents problèmes/difficultés rencontrés. Page 6

7 I. Présentation de la Kinect Afin de reconnaitre les personnes à l intérieur d un bloc et pouvoir, ensuite, interpréter leurs mouvements, l utilisation d une caméra de reconnaissance était nécessaire. L une des plus connues et des plus utilisées est, sans aucun doute, la Kinect. La Kinect est, à l origine, un périphérique destiné aux consoles de jeux-vidéo Xbox360 de Microsoft permettant de contrôler un jeu sans manette. Cette caméra, utilisant des techniques d interactions, est basée sur un périphérique d entrée branché sur la console de jeux qui permet d interagir par commande vocale et par reconnaissance de mouvements ou d images. Ainsi, on peut jouer sur des jeux spécialement conçus pour cet outil sans aucune manette ni périphérique autre que son propre corps. En Février 2012, la Kinect a aussi été porté sur les ordinateurs : on parle alors de Kinect pour Windows en opposition à la Kinect pour Xbox360. Livrée avec un kit de développement, elle permet aux développeurs de créer des applications utilisant ce périphérique. Les fonctionnalités et les caractéristiques des deux Kinect diffèrent selon la destination, pour Windows ou pour Xbox360, mais cela ne perturbe pas Figure 1 : Logo Kinect notre développement. A noter que toutes les informations indiquées ci-après correspondent à la Kinect pour Xbox360. a. API, kit de développement et langages de programmation Après une version «beta» de quelques mois, l API 1.0 de Kinect est sortie en Février 2012 avec la correction de bugs et avec la possibilité de gérer jusqu à 4 capteurs Kinect sur une même machine. Peu de temps après, en Mai 2012, la version 1.5 de l API sort avec un lot important de nouvelles fonctionnalités : enregistrement des données du capteur, guide permettant d optimiser l interaction homme-machine et proposant de nombreux exemples, intégration d un module de suivi du visage en temps réel et en 3D (3 dimensions), possibilité de ne reconnaitre que le haut du corps (position «assis») et surtout la reconnaissance vocale en français disponible exclusivement en anglais auparavant. Depuis peu, Octobre 2012, la version 1.6 est disponible et ajoute quelques fonctionnalités. Néanmoins, celles-ci sont beaucoup moins intéressantes pour notre projet que la version 1.5 (exemple : prise en charge de la langue allemande). Citons, tout de même, la prise en charge de Windows 8 et de l outil de développement Microsoft Visual Studio A ce propos, nous avons commencé au départ avec la version 1.5 et l environnement de développement Microsoft Visual Studio C est au cours du projet, mais assez rapidement, que nous nous sommes portés sur l API 1.6 avec l utilisation de la version 2012 de Visual Studio. Page 7

8 Au sujet du langage de programmation, trois langages peuvent être choisis pour développer des applications avec la Kinect : C#, C++ ou VB. Notre choix s est porté vers C# car la communauté Kinect y est très riche. De plus, ne le connaissant pas du tout, c était pour nous l occasion de découvrir un nouveau langage en plein essor. b. Caractéristiques La Kinect dispose de trois capteurs : des lentilles détectant la couleur et la profondeur grâce à la technologie infrarouge (IR), un micro à reconnaissance vocale et un capteur motorisé permettant l orientation verticale de la tête de la Kinect pour suivre les déplacements. Figure 2 : La Kinect et ses capteurs Utilisable même dans le noir, la Kinect a un champ de vision horizontal de 57 degrés et un champ de vision vertical de 43 degrés avec une marge de déplacement de +/- 27 degrés grâce à la motorisation. Au sujet de sa portée, deux modes peuvent être privilégiés. Le premier, par défaut, détecte des personnes entre 0.8 et 4 mètres avec en pratique des distances approchant davantage les 1.2 à 3.5 mètres. Le second mode est dit rapproché. Il permet une détection entre 0.4 et 3 mètres (0.8 à 2.5 mètres en pratique). Toute personne se trouvant hors du champ de vision ou même à sa limite n est pas du tout reconnue par la Kinect. De plus, à l approche de ces limites et après quelques tests, nous pouvons affirmer que la reconnaissance n est plus fiable d où la différence entre les distances théoriques et pratiques. A noter aussi que le mode utilisé fait varier le degré du champ de vision. Figure 3 : Champ de vision de la Kinect Figure 4 : Portée du capteur Kinect Page 8

9 Toutes ces caractéristiques permettent à la Kinect de gérer un espace en 3D (3 dimensions) en X, Y et Z pour respectivement l abscisse (gauche ou droite), l ordonnée (assis ou debout) et la profondeur (près ou loin). Figure 6 : Espace 3D géré par la Kinect Figure 5 : Squelettes «trackés» et «non-trackés» c. Reconnaissance physique Vocabulaire : Pour la suite, nous parlerons de squelettes détectés par la Kinect et non de personnes. La Kinect peut détecter jusqu à six squelettes, assis ou debouts, au maximum : c est cette caractéristique qui devient l une des principales limites actuelles du périphérique. Parmis ces six squelettes, deux peuvent être reconnus totalement : on parle alors de squelettes «trackés» (suivi en anglais) tandis que les quatre autres sont appelés squelettes «non-trackés». L image ci-dessus montre cette fonctionnalité. Comme vous pouvez le constater sur la figure précédente, les squelettes «non-trackés» sont gérés différemment par rapport à ceux «trackés». Dans le premier cas, la Kinect reconnait un seul point correspondant à la position courante du squelette dans le repère X, Y, Z (voir figure 5) alors que dans le second cas, elle détecte 20 points représentant le squelette de la personne détectée : c est pourquoi nous parlons de squelettes et non de personnes. Ces points sont appelés des joints. Ils correspondent pour la plupart aux articulations de l Homme et constituent le squelette de la personne. La figure ci-contre détaille les 20 joints d un squelette tracké. Dans le cas d un squelette nontracké, un seul joint est pris en compte : HIP_CENTER. Chaque joint est associé à un squelette et est identifiable par sa position en X, Y et Z dans le repère 3D. Figure 7 : Représentation d'un squelette tracké Page 9

10 d. Flux de données Lors de la connexion de la Kinect à l ordinateur, un flux de données est créé afin de récupérer toutes les informations détectées. Ce flux de données correspond à une image de la scène : 30 images sont envoyées par seconde entre la Kinect (émettrice) et l ordinateur (récepteur). Une image est composée de trois flux : - Un flux «couleur» permettant de différencier les couleurs de la scène et d afficher le flux vidéo en couleur. Figure 8 : Flux de données envoyés par la Kinect - Un flux «profondeur» principalement lié au capteur infrarouge permettant de gérer l axe Z de la scène 3D et ainsi connaitre la distance à laquelle se trouve un squelette. - Et un flux «squelettes» associé à un tableau composé des 6 squelettes avec pour chacun : un identifiant leur étant attribué automatiquement, leur position globale (joint HIP_CENTER) et la position des 20 joints pour chacun des deux squelettes trackés. Cela représente donc une quantité considérable de données envoyées et pas encore traitées pour l instant A titre d exemple, 20 secondes de scène enregistrées correspondent à 500Mo de données : une opération de trois heures dans un bloc opératoire générerait alors plus de 260Go de données. L idée est de pouvoir traiter toutes ces données afin d atteindre notre objectif mais avec des traitements peu coûteux puisque les performances sont déjà réduites dû à ces flux. C est pourquoi, tout au long du projet, nous nous sommes souciés de l optimisation de notre code. Maintenant que nous connaissons davantage la Kinect : ses caractéristiques et ses limites, nous allons pouvoir nous intéresser au projet lui-même. Page 10

11 II. Le projet Nous allons, dans un premier temps, étudier le sujet et l objectif fixé au départ. Nous poursuivrons par la gestion de notre temps tout au long de ce projet en détaillant les différentes phases par lesquelles nous sommes passés. Ensuite, nous aborderons le développement de la première version de l application finalisée par une démonstration auprès de médecins. Nous regarderons les adaptations faites pour produire la deuxième version et enfin, nous terminerons cette partie en précisant l axe de développement futur de l application et ses différentes améliorations possibles. a. Etude du sujet L idée est d utiliser la Kinect pour détecter des personnes au sein d un bloc opératoire et notamment leurs mouvements et leurs déplacements. Ainsi, après interprétations et dans un cadre préventif, il sera possible d afficher un niveau d alerte leur indiquant de faire attention à leurs gestes. Figure 9 : Représentation graphique du sujet initial Dans un premier temps, cet objectif est fixé par notre responsable M.Lapayre sans aucune intervention de médecins. Le but est donc de créer une application répondant à ses critères afin d ensuite, la proposer aux médecins et de l adapter à leurs besoins réels. C est pourquoi, deux versions de l application ont été produites durant ce projet. La première correspondant à l objectif de départ et la seconde, correspondant à la première, adaptée aux besoins des médecins. En effet, une démonstration de la première version auprès de médecins de l Hôpital Minjoz de Besançon (25), nous a permis de l adapter afin de produire la seconde version. Page 11

12 b. Notre gestion du temps Afin de respecter les délais, l une des toutes premières tâches a été de déterminer les différentes phases du projet ainsi que d estimer approximativement le temps nécessaire à leur réalisation. Le tableau suivant, extrait du diagramme GANTT généré et visible en annexe 1, présente ces étapes avec le temps réel consacré. Figure 10 : Extrait du diagramme GANTT Etude des outils Version 1 Présentation Version 2 Préparation soutenance Point bilan quotidien avec notre responsable M.Lapayre Nous pouvons distinguer rapidement les principales phases du projet. Tout d abord, une première phase d étude des outils permettant d appréhender la Kinect et de choisir une solution de développement. Suit le développement de la version 1 de l application, finalisé par sa démonstration : évènement majeur et tremplin de notre projet. Enfin, il y a eu toute une phase d améliorations en conséquence de cet échange avec les médecins (version 2) jusqu à la préparation de la soutenance. Chaque semaine, un point «bilan» était réalisé avec notre responsable afin de lui montrer notre avancement et échanger avec lui sur d éventuelles difficultés. Cela nous a permis aussi d avoir une version toujours fonctionnelle de l application. c. Développement de la version 1 Avant tout commencement, il nous fallait choisir une solution de développement parmi deux existantes : la première, officielle, s appuie sur l API et le kit de développement Kinect ainsi que sur Microsoft Visual Studio. La seconde, présentée en annexe 2, est une solution open-source basée sur l impressionnant projet «OpenNI» et appuyée par une communauté très riche. Page 12

13 Après quelques recherches, les performances de la solution opensource ne sont apparemment pas aussi satisfaisantes que la solution officielle, c est pourquoi notre choix s est porté sur cette dernière. Le fonctionnement Figure 11 : Logo Microsoft Visual Studio Une fois la solution choisie, nous avons pu nous concentrer sur l application. L idée est donc de stocker les positions de chaque squelette au fur-et-à-mesure du temps et de les comparer ensuite pour savoir s ils bougent ou non. Ainsi, il est possible d interpréter le résultat de cette opération pour afficher un niveau global des déplacements dans une pièce. Comme évoqué précédemment, la Kinect envoie toutes les informations d une scène trente fois par seconde. Parmi elles, le flux de squelettes, associé à un tableau de six squelettes avec tous les renseignements nécessaires sur eux (identifiant, position, positions des joints pour les squelettes trackés etc.). Ici, nous nous sommes d abord concentrés sur la position globale des squelettes à savoir le joint «HIP_CENTER» (centre du bassin) pour savoir s ils se déplaçaient ou non. L idée est de conserver toutes ces informations, à la seconde, est de les comparer pour interprétation. Ainsi, pour un squelette donné, nous stockons ses positions dans une table de sauvegarde. Chaque seconde, nous prenons l ensemble des données stockées et calculons l écart-type pour avoir une valeur correcte du mouvement du squelette. Nous étions partis, au départ, sur un calcul de moyenne mais nous nous sommes très rapidement rendu compte que les valeurs obtenues n étaient pas du tout représentatives des mouvements. Nous nous sommes alors dirigés sur le calcul de l écart-type donné par la formule suivante : Le schéma suivant montre ce principe. Figure 12 : Fonctionnement de la version 1 Page 13

14 Dans un souci d optimisation, nous avons volontairement omis le calcul sur «Y» correspondant à des mouvements de bas en haut et ne reflétant pas un déplacement réel. De plus, les médecins s agenouillent ou s assoient très rarement à l intérieur d un bloc durant une opération. Grâce à ce calcul d écart-type sur «X» et «Z», il est facile ensuite d interpréter les résultats afin de déduire le déplacement d un squelette. Ainsi, après de nombreux tests, une valeur limite a été fixée temporairement pour savoir si un squelette est immobile ou se déplace. En bref, si l écarttype de l ensemble des valeurs prises est supérieur à cette limite fixée, nous savons que le squelette associé est en déplacement. Pour rappel, nous distinguons ici les «déplacements» et les «mouvements» d un squelette. Dans le premier cas, nous nous concentrons sur la position générale du squelette dans la scène tandis que dans le second cas, nous regarderions la position des joints. Néanmoins et toujours dans une idée d optimisation, ce calcul classique de l écart-type est très couteux. En effet, il utilise des multiplications, des divisions et surtout une racine carrée. Par conséquent, nous avons essayé de rechercher une autre solution moins coûteuse. C est comme cela que nous avons trouvé l algorithme de B.P. Welford décrit par Donald Knuth dans son livre «The art of Computer Programming». Après implémentation de cet algorithme, nous voulions comparer ces deux méthodes de calcul de l écart-type afin de voir si nous trouvions les mêmes résultats et si l algorithme de B.P. Welford était réellement moins coûteux en termes de performances que le calcul classique. Nous avons donc effectué une série de tests dont les résultats sont détaillés ci-dessous Calcul classique 3 Calcul avec B.P. Welford Figure 13 : Tests de performances du calcul de l'écart-type Ces deux courbes représentent l utilisation du processeur lors du lancement de l application. Plusieurs phases sont à distinguer : processeur au repos (1), lancement de l application (2), un squelette est détecté (3), le squelette reste immobile (4), le squelette se déplace (5) et enfin l application se termine (6). Ces différentes étapes successives sont différenciées par les traits verticaux. Page 14

15 On observe bien la différence de performances exigée par le calcul classique lors des étapes «4» et «5» : étapes où la demande d écarts-types est importante pour savoir si le squelette se déplace ou non. L aperçu d écran suivant présente les valeurs obtenues par les algorithmes développés. Nous pourrons observer ces valeurs préfixées par le nom de la méthode de calcul utilisée : «welford» pour l algorithme correspondant, «manuel_ss» pour le calcul classique sans sauvegarde c est-à-dire le calcul de l écart-type à chaque réception de positions et enfin «manuel_as» pour le calcul classique avec sauvegarde c est-à dire le calcul de l écart-type chaque seconde (toutes les trente réceptions de positions). Bien entendu, la comparaison est à faire entre «welford» et «manuel_as» puisque le calcul à chaque réception («manuel_ss») a été testé et ne donne pas de bons résultats. Effectivement, cette méthode est tellement précise qu elle ne détecte pas du tout les déplacements. Calcul de base avec sauvegarde Calcul avec l algorithme de Welford Figure 14 : Comparaison des résultats du calcul de l'écart-type Les valeurs obtenues sont quasiment identiques entre les deux méthodes (voir les encadrés ci-dessus). Par conséquent, nous constatons que l algorithme B.P. Welford est fiable, dans le sens où il donne approximativement le même résultat que la formule classique en plus d être beaucoup moins coûteux que cette dernière. Pour des raisons de compréhension, nous ne détaillerons pas ici l implémentation de l algorithme de B.P. Welford. Toutes les informations importantes ont déjà été citées. L interface graphique Après le fond, la forme : l interface graphique de notre application. Celle-ci s appuie sur trois parties : la vidéo permettant d afficher la scène en couleur, le réglage de la motorisation permettant d incliner le capteur de la Kinect grâce à des boutons et enfin une dernière partie d informations sur les squelettes détectés. Page 15

16 La figure suivante est une visualisation de la version 1 finale de l application. Partie «Réglages» Partie «Informations» Partie «Réglages» Figure 15 : Aperçu d'écran de la version 1 Sur cette capture d écran, nous remarquons que l option «Afficher les squelettes» est activée. Celle-ci s appuie sur la détection des vingt joints (des deux squelettes «trackés») et notamment de leur position dans la scène afin de les dessiner et de les lier par un trait : ceci afin de constituer un squelette comme nous pouvons le constater. Le troisième squelette est, quant à lui, «non-tracké» (puisque deux seulement peuvent y être sur six au total détectés). Donc, nous récupérons seulement sa position générale, représentée ici par un point bleu au centre du bassin. La partie d informations sur les squelettes est dynamique. Elle affiche des renseignements sur les squelettes détectés avec pour chacun : son identifiant lui étant attribué automatiquement par le système, sa position générale en X, Y et Z, le résultat du dernier calcul d écart-type sur «X» et «Z» et enfin une barre d interprétation de ces résultats affichant «vert» si le squelette est immobile ou «orange» s il se déplace dans la scène. A noter, la présence d un bouton «tracked» permettant d indiquer au système s il faut «tracker» un squelette en particulier et abandonner, si nécessaire, un autre squelette «tracké» jusqu alors. Ainsi, si l on souhaite suivre un squelette «non-tracké», le clic de la souris sur ce bouton déclenche son «trackage». Page 16

17 Les trois boutons positionnés en bas de la fenêtre permettent d incliner verticalement le capteur de la Kinect afin de pouvoir s adapter à la scène rapidement. L inclinaison est tout de même limitée à plus ou moins vingt-sept degrés. Les figures ci-dessous présentent cette fonctionnalité Figure 16 : Inclinaisons verticale du capteur Kinect Au bout de quelques semaines de développement, nous avions donc une application optimisée par la forme et le fond, permettant de savoir pour chaque squelette, détecté par la kinect, s il se déplace ou non. La suite du développement était d intégrer un niveau de mouvement général reflétant le déplacement de tous les squelettes détectés afin de pouvoir ensuite afficher une alerte en cas de dépassement. Les règles ci-dessous présentent l implémentation que nous voulions suivre pour effectuer cette étape. - Pour un squelette, nous savons s il se déplace ou non - Pour plusieurs squelettes : - NIVEAU 1 : aucun squelette détecté ou les squelettes détectés sont immobiles - NIVEAU 2 : moins de la moitié des squelettes se déplace, les autres sont immobiles - NIVEAU 3 : tout le monde ou la majorité se déplace Néanmoins, ces règles n ont pas été implémentées car la démonstration auprès des médecins approchait et nous avions besoin de faire davantage de tests pour déterminer au mieux ces critères, et savoir s ils correspondaient réellement aux besoins des médecins. Nous ne voulions pas perdre du temps (estimé tout de même à quatre jours) à tester ces règles d interprétation au risque qu elles ne correspondent pas aux besoins du milieu médical. Présentation de l application : démonstration aux médecins La présentation s est déroulée le Mardi 27 Novembre 2012 en compagnie de notre responsable de projet Jean-Christophe Lapayre ainsi que des docteurs Daniel Talon et Lionel Pazart, médecins au CHU de Besançon. Page 17

18 Le but de cette réunion était de montrer les possibilités de la Kinect et de faire une démonstration de notre application développée jusqu à maintenant afin de voir si elle pouvait correspondre à un réel besoin dans les blocs opératoires. Très intéressés par le projet, les médecins ont même soulevés la possibilité de prendre un stagiaire pour continuer le développement. L idée initiale correspond réellement à leur besoin et pas seulement dans un souci de prévention. En effet, l application s inscrirait dans une démarche de traçabilité des conditions d intervention opératoire. Ainsi, si l hôpital est confronté à un problème en justice, ce dernier peut fournir une preuve des conditions d intervention. De plus, ils envisagent de coupler l application au dispositif «ScreenAir». Ce dernier est un appareil capable d analyser l air d un bloc constamment et d interagir avec le système de ventilation afin de renouveler l air. Couplé à l application Kinect, il pourrait comparer ses résultats aux mouvements détectés de cette dernière et déterminer précisément si un risque d aérobiocontamination. Il pourrait alors indiquer au système de ventilation de renouveler beaucoup plus d air dans la pièce. L intérêt du couplage «Kinect - ScreenAir» est double car il permettrait à terme en comparant les résultats des deux appareils de déterminer avec précision les mouvements à proscrire durant une opération : l idée serait de faire des statistiques pour associer les mouvements effectués et les pics d aérobiocontamination. A noter que cette dernière est une contamination aéroportée par la présence dans l air ambiant de micro-organismes vivants pouvant présenter un risque pathogène, véhiculés par des particules. Le schéma suivant détaille ce fonctionnement envisagé. Figure 17 : Couplage «Kinect - ScreenAir» Lors de pic d activité, le ScreenAir indique au système de ventilation du bloc de renouveler davantage d air. Système d aspiration Renouvellement d air BLOC OPERATOIRE Détection de mouvements Comparaison de ses résultats avec les infos de la Kinect ScreenAir Envoi d informations Kinect Ce couplage, nécessitant de nombreuses phases de tests et de réglages, ne pouvait pas être réalisé dans le cadre de ce projet mais pourra faire l objet d un stage comme cité ci-avant. Tout comme la possibilité d équiper un bloc avec plusieurs «Kinects» travaillant en collaboration. Effectivement, ceci est l une des possibilités que nous avons proposées durant l échange avec les médecins. Ceux-ci préfèrent, dans un premier temps, mettre en place l application avec une Kinect et envisager la collaboration de Kinect pour l avenir. Un bloc opératoire est composé de diverses zones réservées à chaque médecin (une pour l anesthésiste, une pour le chirurgien ). Cette fonctionnalité permettrait d affecter une Kinect à une zone et ainsi, savoir précisément d où provient le risque de contamination. Les Kinect pourraient travailler en collaboration et, du coup, s échanger des informations. Page 18

19 Le schéma ci-après explique cette fonctionnalité. BLOC OPERATOIRE PORTE PATIENT Zone 1 réservée à l anesthésiste Kinect n 2 Pos2 Zone 2 réservée au Pos1 chirurgien Kinect n 1 n Le chirurgien est initialement dans la zone 2 : position référencée par «pos1». Son déplacement vers la zone 1, réservée à l anesthésiste, est indiqué par «pos2». Figure 18 : Collaboration de Kinect Ici, la Kinect n 1 serait informée par la Kinect n 2 que le chirurgien passe de la zone n 2 à la zone n 1. La seconde Kinect enverrait alors les informations relatives au chirurgien (positions etc.) dont elle dispose, à la première. Nous constatons ici la collaboration étroite entre les Kinect sachant qu au final, une limite de quatre Kinect, reliées mutuellement, est imposée par le fabricant. Cela constituerait tout de même un outil très perfectionné et complet pour la détection de mouvements intempestifs au sein d un bloc opératoire. A ces deux grandes évolutions possibles s ajoutent de nombreuses remarques des médecins réalisables de suite de la part des médecins afin que l application «colle» parfaitement avec leurs besoins. Ces différentes remarques ont été prises en compte pour parvenir à une seconde version de l application étudiée ci-après. d. Améliorations et adaptation de l application (version 2) A noter, tout d abord, que toutes les remarques n ont pas été prises en compte pour le moment. En effet, étant dans une phase de développement, de tests et de réglages, certains modules présents dans l interface graphique nous sont nécessaires. On peut citer notamment l exemple de la vidéo affichant la scène visualisée par la Kinect. Les médecins ont suggéré la suppression de ce module car inutile à l intérieur d un bloc. Effectivement, l application se doit d être un outil de détection et d alerte de mouvements intempestifs mais elle ne doit en aucun cas perturber le travail du personnel médical. Page 19

20 Dans cette optique, nul besoin de regarder la vidéo lors d une opération. Néanmoins, ce module nous est nécessaire pour le moment afin de vérifier que les résultats obtenus sont en parfaite adéquation avec la scène visualisée. Par conséquent, le flux vidéo reste présent, pour le moment, sur l interface graphique de l application mais sera supprimé lors du déploiement de l application, tout comme la partie d informations sur les squelettes qui sert à tester et vérifier les résultats obtenus. Mais que reste t-il alors? De la version 1, doit rester le réglage de l inclinaison du capteur Kinect qui donnera lieu à un module complet de réglages. En effet, des paramètres supplémentaires doivent pouvoir être modifiés dynamiquement par l utilisateur lors du lancement de l application : ainsi, les médecins pourront ajuster ces paramètres en début d intervention afin de s adapter au bloc opératoire dans lequel il se trouve. A ce module de réglages s ajoute une représentation graphique des déplacements dans la pièce. C est cette partie qui a été le principal axe de développement de cette seconde version de l application. En effet, nous avions suggéré aux médecins lors de la présentation, une vue graphique et dynamique représentant le niveau général de déplacements des individus à l intérieur d un bloc. On arrive alors sur un schéma d interface comme présenté ci-après. REPRESENTATION GRAPHIQUE Niveau de mouvements REGLAGES DYNAMIQUE DES PARAMETRES Temps Figure 19 : Schéma de l'interface graphique finale Néanmoins, et comme évoqué précédemment, le flux vidéo et les informations sur les squelettes détectés seront présents pour l instant. Cette vue, ci-dessus, représente par conséquent l interface graphique de l application finale. Pour réaliser ce graphique dynamique prenant le temps en abscisse et le niveau général de déplacements des individus en ordonnée, aucune information supplémentaire n était nécessaire. En effet, le temps est une variable pouvant être récupérée très facilement et à n importe quel moment, et le niveau général était déjà calculé. On remarquera ici que nous avons bien fait de ne pas débuter la phase de tests pour interpréter les résultats globaux (voir fin du chapitre précédent). Effectivement, le niveau général est juste la somme des écarts-types calculés. Page 20

21 Deux possibilités s offraient à nous pour la réalisation de ce graphique : le développer nousmêmes ou rechercher d éventuelles solutions existantes. Nous avons privilégiés, dans un premier temps, la seconde solution : à défaut de résultats, nous aurions opté pour la première. C est après quelques recherches que nous avons trouvé une bibliothèque permettant la visualisation interactive de données dynamiques grâce à un ensemble de contrôles : «Dynamic Data Display». Cette bibliothèque open-source, reprise par le programme Microsoft Research, permet de créer des graphiques Figure 20 : Logo de la bibliothèque Dynamic Data Display linéaires et à bulles, des cartes de chaleur ou tout autre tracé 2D (deux dimensions) complexe. Basée sur la technologie Silverlight de Microsoft, elle est compatible avec les outils de développement tels que Visual Studio et elle s intègre parfaitement dans une application WPF comme la notre («Windows Presentation Foundation», spécification graphique de Microsoft.NET 3.0). Son fonctionnement est relativement aisé car il s appuie sur l utilisation de deux tableaux : un contenant les données relatives à l axe des abscisses et un second pour l axe des ordonnées. Il suffit ensuite d appeler la méthode de traçage en spécifiant les paramètres de tracé que l on désire. On arrive alors sur un fonctionnement comme décrit ci-dessous. LA SCENE Figure 21 : Fonctionnement de la version 2 P1 P3 Kinect Flux de données P2 P4 ORDINATEUR Récupération des positions des squelettes détectés : P1, P2, P3 Toutes les 30 positions (à la seconde) INTERFACE GRAPHIQUE On recommence Calcul d écart-type (pour chaque squelette) Somme des écarts-types et insertion de cette valeur dans un tableau dynamique en y ajoutant une notion de temps Découpage en deux tableaux : un pour l abscisse avec les résultats d écart-type et un second pour l ordonnée avec les valeurs de temps associées. Il suffit ensuite de réafficher le graphique à l aide de ces deux tableaux en y ajoutant quelques paramètres de tracé. Page 21

22 Ci-dessous, un aperçu du rendu de cette seconde version. Figure 22 : Aperçu d'écran de la version 2 Nous pouvons remarquer, en bleu, la courbe représentant le niveau général de déplacements et, en rouge, la limite à ne pas franchir. Cette dernière, définie déjà lors de la version n 1, s adapte au nombre de squelettes. Effectivement, on se doute bien que la limite est différente s il n y a qu un seul squelette ou s il y en a cinq. Nous obtenons donc cette valeur en multipliant la limite d un squelette avec le nombre de squelettes détectés dans la scène. Afin de respecter la notion de traçabilité des conditions d intervention opératoire, une étape de sauvegarde a été mise en place lors de l ajout de la somme des valeurs d écart-type dans le tableau dynamique. Ainsi, avant même de mettre à jour le graphique, une écriture dans un fichier texte est réalisée. Page 22

23 Un extrait de ce fichier est visualisable ci-dessous. Format de la sauvegarde : - DATE - HEURE - SOMME DES ECARTS-TYPES - LIMITE CORRESPONDANTE Un squelette détecté Deux squelettes détectés Figure 23 : Extrait du fichier de sauvegarde des données Au cours de ce développement, nous avons eu l idée de plusieurs améliorations envisageables pour le futur. Nous allons étudier brièvement ce point. III. Axe futur de développement de l application et ses améliorations L axe de développement a déjà été cité dans les pages précédentes. En effet, à la suite de ce projet, un stagiaire a été pris pour développer la suite de l application durant environ six mois. Les deux grands objectifs sont la combinaison de la Kinect avec l appareil de renouvellement d air «ScreenAir» ainsi que la collaboration de plusieurs «Kinects». Pour cela, des blocs opératoires vides ont déjà été réservés par les médecins afin de tester ces points. A cet axe s ajoute des améliorations que nous avons trouvées durant toute la phase de développement et notamment sur la deuxième version de l application. Quatre améliorations ressortent : la représentation graphique, le «multithreading», la détection de «mouvements» et enfin la reconnaissance précise de squelettes. Page 23

24 La représentation graphique Le graphique dessiné au fur-et-à-mesure doit subir deux modifications importantes : le rafraichissement et la détection d aucun squelette. Dans le premier cas, il faudrait que le graphique affiche les courbes dans un intervalle de temps toujours régulier comme par exemple les trois dernières minutes. Actuellement, si l application tourne deux heures, le graphique met juste à jour ses axes (abscisses et ordonnées) c est-à-dire qu au final, le graphique affichera les courbes représentant les deux heures de lancement. Ainsi, au début, nous avons une bonne visibilité des courbes mais celle-ci se dégrade avec le temps. Le second point concerne le déplacement des squelettes hors du champ de vision de la Kinect. Ainsi, si un squelette est détecté, les courbes s afficheront au fur-et-à-mesure du temps. Maintenant, si ce dernier sort du champ de vision de la Kinect : la courbe s arrête. Si le squelette revient, la courbe se redessine depuis le dernier point où elle s était arrêtée. Or, lors du départ du squelette du champ de vision, la courbe devrait continuer à se dessiner avec des valeurs à «zéro». Le multithreading Nous nous sommes rendu compte qu une optimisation importante pouvait être faite en «multithreadant» l application et notamment pour le calcul d écart-type. A noter tout de même qu il faut prendre connaissance du matériel sur lequel sera déployée l application. Effectivement, si l application tourne sur un ordinateur possédant deux «cœurs», cela sera différent par rapport à un ordinateur tournant avec huit processeurs. Ce détail est à prendre en compte lors du développement afin de «multithreader légèrement» l application ou non. Les points suivants sont les opérations pouvant être multithreadées afin d optimiser le fonctionnement de l application : - Lors du calcul d écart-type : nous savons que six squelettes maximum peuvent être détectés. Pourquoi ne pas envisager d associer un squelette à un processus. Ainsi, lors du calcul d écart-type, chaque processus gérerait son propre squelette et un processus «maitre» n aurait qu à récupérer les résultats. - Lors de la sauvegarde en fichier : il est envisageable d associer l écriture des valeurs à un processus unique afin de décharger le processeur gérant le programme principal. - Lors du traçage des courbes : le découpage du tableau dynamique, où sont stockées les valeurs d écart-type, en deux tableaux suivis du traçage de courbes sont deux opérations prenant un certain temps non négligeable. Nous pourrions très bien associer un processus à ces opérations. Page 24

25 La détection de mouvements Comme cité à plusieurs reprises, nous avons géré ici dans ce projet les déplacements des squelettes dans la scène. Afin d être plus précis, nous pourrions faire de même avec les mouvements des squelettes. Ainsi, un squelette qui ne se déplace pas mais qui bouge les bras fortement, par exemple, est aussi susceptible d agrandir le risque de contamination du patient. Cette partie se baserait alors sur la position en X, Y et Z des joints des squelettes. La seule limite, fixée par le fabricant, est la possibilité de gérer cela que pour deux squelettes (squelettes «trackés»). D où la dernière amélioration possible La reconnaissance précise de squelettes Comme seulement deux squelettes peuvent être trackés dans la scène, il est envisageable de détecter les mouvements des deux squelettes bougeant le plus et non de ceux définis automatiquement par le système. A noter que le système «tracke» les deux squelettes les plus proches. Ainsi, on se retrouverait avec une application détectant les déplacements des six squelettes possibles et détectant les mouvements des deux squelettes bougeant le plus dans la scène. On aurait alors un outil complet. Page 25

26 Conclusion Pour conclure, nous pouvons affirmer que ce projet a été réellement bénéfique : nous avons appris un nouveau langage de programmation et de nouveaux concepts, mais pas seulement. Ayant une grande liberté sur nos choix, nous avons pu faire preuve d autonomie et de prise d initiatives. La notion de travail en équipe a aussi joué un grand rôle : nous avons, en effet, privilégié la communication entre nous et réduit les échanges par s. Ce projet a été vraiment stimulant de par son objectif. Le fait de savoir que l application développée sera reprise par un stagiaire et qu elle est destinée aux besoins des médecins, est quelque chose de très motivant. C est la première fois, pour nous, que nous mettons l Informatique (et donc nos compétences) au service d un domaine inconnu mais riche en connaissances. Page 26

27 Annexe 1 : Diagramme GANTT du projet Page 27

µrv : Realité Virtuelle

µrv : Realité Virtuelle µrv : Realité Virtuelle Edgar-Fernando ARRIAGA-GARCIA Charles-Henri BABIAUD Clément GRELLIER Quentin PETIT Jérôme Ricoeur Florent VIOLLEAU INSA Rennes 21 septembre 2011 1 / 15 Objectifs pour cette semaine

Plus en détail

Documentation utilisateur. [EIP] TransLSF

Documentation utilisateur. [EIP] TransLSF Documentation utilisateur [EIP] TransLSF Henri HARDILLIER - Thomas MOREL - Florian JOUSSEAU Alexis MONNIER - Keo KHEMARA - Leo MARTIN Stéphane RICARDO Résumé Ce document présente la documentation destinée

Plus en détail

MANUEL UTILISATEUR. Application 4trip

MANUEL UTILISATEUR. Application 4trip * MANUEL UTILISATEUR Application 4trip Table des matières 1. Introduction... 1 1.1. Description globale du produit... 1 1.2. Description de la finalité du manuel... 1 2. Manuel d utilisation... 2 2.1.

Plus en détail

Manuel Utilisateur Chariot odys.sante-lorraine.fr

Manuel Utilisateur Chariot odys.sante-lorraine.fr odys.sante-lorraine.fr version 1.3 Sommaire 1. Présentation du chariot... 3 2. Mise en fonctionnement du chariot... 3 3. Connexion à Odys... 4 4. Téléconsultation vidéo... 5 4.1. Entrer en téléconsultation...

Plus en détail

Rapport projet MMI. Luis Domingues, I3 Naomi Favre, I3 Tiago De Deus, I3. Luis Domingues, Tiago De Deus, Naomi Favre SP 2013 - Interfaces Multimodales

Rapport projet MMI. Luis Domingues, I3 Naomi Favre, I3 Tiago De Deus, I3. Luis Domingues, Tiago De Deus, Naomi Favre SP 2013 - Interfaces Multimodales Rapport projet MMI 2013 Luis Domingues, I3 Naomi Favre, I3 Tiago De Deus, I3 Page 1 Table des matières Luis Domingues, Tiago De Deus, Naomi Favre Introduction... 4 Contexte... 4 Description du projet...

Plus en détail

Infolettre #18 : Les graphiques avec Excel 2010

Infolettre #18 : Les graphiques avec Excel 2010 Infolettre #18 : Les graphiques avec Excel 2010 Table des matières Introduction... 1 Hourra! Le retour du double-clic... 1 Modifier le graphique... 4 Onglet Création... 4 L onglet Disposition... 7 Onglet

Plus en détail

Introduction au développement SharePoint. Version 1.0

Introduction au développement SharePoint. Version 1.0 Introduction au développement SharePoint Version 1.0 Z 2 Introduction au développement SharePoint 09/05/09 Sommaire 1 SharePoint : les bases... 3 1.1 Débuter sous SharePoint... 3 1.2 Connaissances Requises...

Plus en détail

http://notes.mstechdays.fr

http://notes.mstechdays.fr Donnez votre avis! Depuis votre smartphone, sur : http://notes.mstechdays.fr De nombreux lots à gagner toutes les heures!!! Claviers, souris et jeux Microsoft Merci de nous aider à améliorer les TechDays

Plus en détail

Premiers Pas avec OneNote 2013

Premiers Pas avec OneNote 2013 Premiers Pas avec OneNote 2 Présentation de OneNote 3 Ouverture du logiciel OneNote 4 Sous Windows 8 4 Sous Windows 7 4 Création de l espace de travail OneNote 5 Introduction 5 Présentation des différentes

Plus en détail

La visio-conférence holographique : Pourquoi? Comment?

La visio-conférence holographique : Pourquoi? Comment? La visio-conférence holographique : Pourquoi? Comment? Francis Felix Labo LSIS / Arts & Métiers Paritech (ENSAM) 2 Cours des Arts et Métiers 13100 Aix-en-Provence Thierry Henocque AIP-Primeca Dauphiné

Plus en détail

MEGA ITSM Accelerator. Guide de démarrage

MEGA ITSM Accelerator. Guide de démarrage MEGA ITSM Accelerator Guide de démarrage MEGA 2013 1ère édition (janvier 2013) Les informations contenues dans ce document pourront faire l objet de modifications sans préavis et ne sauraient en aucune

Plus en détail

MEGA ITSM Accelerator. Guide de Démarrage

MEGA ITSM Accelerator. Guide de Démarrage MEGA ITSM Accelerator Guide de Démarrage MEGA 2009 SP4 1ère édition (juin 2010) Les informations contenues dans ce document pourront faire l objet de modifications sans préavis et ne sauraient en aucune

Plus en détail

The Grid 2: Manuel d utilisation

The Grid 2: Manuel d utilisation The Grid 2: Manuel d utilisation Bienvenue dans The Grid 2 Merci d avoir choisi The Grid 2! Ce guide va vous apprendre tout ce que vous devez savoir à propos de The Grid 2. Il vous guidera pas à pas pour

Plus en détail

Manuel du logiciel PrestaTest.

Manuel du logiciel PrestaTest. Manuel du logiciel. Ce document décrit les différents tests que permet le logiciel, il liste également les informations nécessaires à chacun d entre eux. Table des matières Prérequis de PrestaConnect :...2

Plus en détail

Sommaire. Leap motion... 2. Technologie... 2. Fonctionnement... 3. Langages utilisés... 3. Possibilités d utilisation... 4

Sommaire. Leap motion... 2. Technologie... 2. Fonctionnement... 3. Langages utilisés... 3. Possibilités d utilisation... 4 Leap4Skywalker Sommaire Leap motion... 2 Technologie... 2 Fonctionnement... 3 Langages utilisés... 3 Possibilités d utilisation... 4 Projet développé avec le LeapMotion... 4 Imagination... 5 Technologies

Plus en détail

Manuel d utilisation 26 juin 2011. 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2

Manuel d utilisation 26 juin 2011. 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2 éducalgo Manuel d utilisation 26 juin 2011 Table des matières 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2 2 Comment écrire un algorithme? 3 2.1 Avec quoi écrit-on? Avec les boutons d écriture........

Plus en détail

Guide plateforme FOAD ESJ Lille

Guide plateforme FOAD ESJ Lille Guide plateforme FOAD ESJ Lille v. 1.2 «étudiants» septembre 2014 Réalisé par Maxime Duthoit Ingénieur pédagogique multimédia à l ESJ Lille Sommaire Introduction... 1 1. Accueil et connexion... 2 2. Accueil

Plus en détail

Interface PC Vivago Ultra. Pro. Guide d'utilisation

Interface PC Vivago Ultra. Pro. Guide d'utilisation Interface PC Vivago Ultra Pro Guide d'utilisation Version 1.03 Configuration de l'interface PC Vivago Ultra Configuration requise Avant d'installer Vivago Ultra sur votre ordinateur assurez-vous que celui-ci

Plus en détail

Nom de l application

Nom de l application Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Direction Générale des Etudes Technologiques Institut Supérieur des Etudes Technologiques de Gafsa Département Technologies de l Informatique

Plus en détail

Tutorial Terminal Server sous

Tutorial Terminal Server sous Tutorial Terminal Server sous réalisé par Olivier BOHER Adresse @mail : xenon33@free.fr Site Internet : http://xenon33.free.fr/ Tutorial version 1a Page 1 sur 1 Index 1. Installation des services Terminal

Plus en détail

EXTENSION de Microsoft Dynamics CRM 2013. Réf FR 80452

EXTENSION de Microsoft Dynamics CRM 2013. Réf FR 80452 EXTENSION de Microsoft Dynamics CRM 2013 Réf FR 80452 Durée : 3 jours A propos de ce cours : Ce cours offre une information interactive et détaillée sur le développement d extensions pour Microsoft Dynamics

Plus en détail

Mes documents Sauvegardés

Mes documents Sauvegardés Mes documents Sauvegardés Guide d installation et Manuel d utilisation du logiciel Edition 13.12 Photos et illustrations : Copyright 2013 NordNet S.A. Tous droits réservés. Toutes les marques commerciales

Plus en détail

CREG : http://www.creg.ac- versailles.fr/spip.php?article803

CREG : http://www.creg.ac- versailles.fr/spip.php?article803 OUTILS NUMERIQUES Édu-Sondage : concevoir une enquête en ligne Rédacteur : Olivier Mondet Bla. 1 Présentation Parmi les pépites que contient l Édu-Portail, l application Édu-Sondage est l une des plus

Plus en détail

Enseignement, Handicap et tablette tactile

Enseignement, Handicap et tablette tactile RAPPORT DE PROJET TUTEURÉ Projet n 9 : Enseignement, Handicap et tablette tactile Groupe : Florent DELRIEU Romain HIRIART Aurélien LACHAPPE Enseignant tuteur : François DEMONTOUX Année 2012-2013 Sommaire

Plus en détail

Retrouver de vieux programmes et jouer sur VirtualBox

Retrouver de vieux programmes et jouer sur VirtualBox CHAPITRE 3 Retrouver de vieux programmes et jouer sur VirtualBox Ce chapitre présente des notions avancées de VirtualBox. Elles permettront de réaliser des configurations spécifiques pour évaluer des systèmes

Plus en détail

Guide de l utilisateur Mikogo Version Windows

Guide de l utilisateur Mikogo Version Windows Guide de l utilisateur Mikogo Version Windows Table des matières Création d un compte utilisateur 3 Téléchargement et installation 4 Démarrer une session 4 Joindre une session 5 Fonctionnalités 6 Liste

Plus en détail

Guide de l utilisateur

Guide de l utilisateur Guide de l utilisateur 25220A À propos de ce guide Merci d avoir fait l acquisition de l ardoise numérique à écran LCD Boogie Board Sync 9.7. Ce guide vous aidera à utiliser l ardoise numérique Boogie

Plus en détail

Working with Kinect. Intelligence Ambiante. Tomás DÍAZ TRONCOSO Arturo GARCÍA TOVAR Daoud MAROUAN LMTIUI

Working with Kinect. Intelligence Ambiante. Tomás DÍAZ TRONCOSO Arturo GARCÍA TOVAR Daoud MAROUAN LMTIUI Working with Kinect Intelligence Ambiante Tomás DÍAZ TRONCOSO Arturo GARCÍA TOVAR Daoud MAROUAN LMTIUI Table des matières I.IntroducCon à la Kinect... 3 I. Kinect à la portée de tous... 4 II. CaractérisCques...

Plus en détail

Aide à l Utilisation du site «Mon Monitoring»

Aide à l Utilisation du site «Mon Monitoring» Aide à l Utilisation du site «Mon Monitoring» Mise à jour Aout 2013 Identifiant :... Mot de passe :.. Lorsque vous mettez les colliers aux animaux prenez garde à la petite flèche gravée (colorée en noir

Plus en détail

UNIVERSITE BORDEAUX - MONTAIGNE. Projet HK_Lime

UNIVERSITE BORDEAUX - MONTAIGNE. Projet HK_Lime UNIVERSITE BORDEAUX - MONTAIGNE INSTITUT UNIVERSITAIRE DE TECHNOLOGIE Département MMI (Métier du Multimédia et de l Internet) Projet Tuteuré Deuxième Année Projet HK_Lime Etudiants: Alexandre Lacombe Jimmy

Plus en détail

Notice de fonctionnement DVR H264. + Méthode de Visionnage ESEENET

Notice de fonctionnement DVR H264. + Méthode de Visionnage ESEENET Notice de fonctionnement DVR H264 + Méthode de Visionnage ESEENET 1 Le point de départ de chacune des différentes configurations traitées ci-dessous sera l écran de visualisation des 4 ou 8 caméras. A

Plus en détail

DA MOTA Anthony - Comparaison de technologies : PhoneGap VS Cordova

DA MOTA Anthony - Comparaison de technologies : PhoneGap VS Cordova DA MOTA Anthony - Comparaison de technologies : PhoneGap VS Cordova I. Introduction Dans une période où la plasticité peut aider à réduire les coûts de développement de projets comme des applications mobile,

Plus en détail

Service On Line : Gestion des Incidents

Service On Line : Gestion des Incidents Service On Line : Gestion des Incidents Guide de l utilisateur VCSTIMELESS Support Client Octobre 07 Préface Le document SoL Guide de l utilisateur explique comment utiliser l application SoL implémentée

Plus en détail

SmartCam HD. Guide d utilisation

SmartCam HD. Guide d utilisation SmartCam HD Guide d utilisation Index P.04 Mise en route à partir d un PC (Windows) P.07 Panneau de contrôle (Windows) P.11 Contrôle PTZ (Windows) P.12 Paramétrer enregistrement vidéo (Windows) P.14 Paramétrer

Plus en détail

GloboFleet. Mode d emploi CardControl Plus

GloboFleet. Mode d emploi CardControl Plus GloboFleet Mode d emploi CardControl Plus Mode d emploi CardControl Plus Nous vous remercions d avoir choisi le logiciel GloboFleet CC Plus. Le logiciel GloboFleet CC Plus vous permet de visualiser rapidement

Plus en détail

LOGICIEL KIPICAM : Manuel d installation et d utilisation

LOGICIEL KIPICAM : Manuel d installation et d utilisation 2015 LOGICIEL KIPICAM : Manuel d installation et d utilisation Kipisoft http://w.sanchez.free.fr/product_home_overview.php 16/05/2015 SOMMAIRE 1. Présentation de l'application... 3 2. Installation de l'application...

Plus en détail

Lutter contre les virus et les attaques... 15

Lutter contre les virus et les attaques... 15 Lutter contre les virus et les attaques... 15 Astuce 1 - Télécharger et installer Avast!... 17 Astuce 2 - Configurer la protection de messagerie... 18 Astuce 3 - Enregistrer Avast!... 20 Astuce 4 - Mettre

Plus en détail

Création WEB avec DreamweaverMX

Création WEB avec DreamweaverMX Creation Web avec DreamweaverMX MX Initiation Sommaire.preparation.mise en forme.liens hypertextes.images.liens sur images.images avec zones sensibles.images survolees.liens de type courriel.apercu dans

Plus en détail

Groupe Eyrolles, 2003, ISBN : 2-212-11317-X

Groupe Eyrolles, 2003, ISBN : 2-212-11317-X Groupe Eyrolles, 2003, ISBN : 2-212-11317-X 3 Création de pages dynamiques courantes Dans le chapitre précédent, nous avons installé et configuré tous les éléments indispensables à la mise en œuvre d une

Plus en détail

SINE QUA NON. Découverte et Prise en main du logiciel Utilisation de bases

SINE QUA NON. Découverte et Prise en main du logiciel Utilisation de bases SINE QUA NON Découverte et Prise en main du logiciel Utilisation de bases Sine qua non est un logiciel «traceur de courbes planes» mais il possède aussi bien d autres fonctionnalités que nous verrons tout

Plus en détail

Optimiser pour les appareils mobiles

Optimiser pour les appareils mobiles chapitre 6 Optimiser pour les appareils mobiles 6.1 Créer un site adapté aux terminaux mobiles avec jquery Mobile... 217 6.2 Transformer son site mobile en application native grâce à PhoneGap:Build...

Plus en détail

Tutoriel. Votre site web en 30 minutes

Tutoriel. Votre site web en 30 minutes Tutoriel Votre site web en 30 minutes But du tutoriel Nous allons vous présenter comment réaliser rapidement votre site avec Web Creator Pro 6 en vous basant sur l utilisation des modèles fournis avec

Plus en détail

Un ordinateur, c est quoi?

Un ordinateur, c est quoi? B-A.BA Un ordinateur, c est quoi? Un ordinateur, c est quoi? Un ordinateur est une machine dotée d'une unité de traitement lui permettant d'exécuter des programmes enregistrés. C'est un ensemble de circuits

Plus en détail

Guide de l utilisateur du Centre de gestion des licences en volume LICENCES EN VOLUME MICROSOFT

Guide de l utilisateur du Centre de gestion des licences en volume LICENCES EN VOLUME MICROSOFT Guide de l utilisateur du Centre de gestion des licences en volume LICENCES EN VOLUME MICROSOFT Table des matières Présentation du Centre de gestion des licences en volume (VLSC)... 3 Inscription auprès

Plus en détail

GUIDE Excel (version débutante) Version 2013

GUIDE Excel (version débutante) Version 2013 Table des matières GUIDE Excel (version débutante) Version 2013 1. Créer un nouveau document Excel... 3 2. Modifier un document Excel... 3 3. La fenêtre Excel... 4 4. Les rubans... 4 5. Saisir du texte

Plus en détail

VOCABULAIRE LIÉ AUX ORDINATEURS ET À INTERNET

VOCABULAIRE LIÉ AUX ORDINATEURS ET À INTERNET VOCABULAIRE LIÉ AUX ORDINATEURS ET À INTERNET Brancher / débrancher l ordinateur de la prise Allumer / éteindre l ordinateur : pour allumer ou éteindre l ordinateur vous devez appuyer sur le bouton On/off

Plus en détail

Manuel de l utilisateur. Soft-phone - Client VoIP 3CX Version 6.0

Manuel de l utilisateur. Soft-phone - Client VoIP 3CX Version 6.0 Manuel de l utilisateur Soft-phone - Client VoIP 3CX Version 6.0 Copyright 2006-2008, 3CX Ltd. http:// E-mail: info@3cx.com Les informations contenues dans ce document sont sujettes à modifications sans

Plus en détail

Pour les futurs développeurs Sommaire

Pour les futurs développeurs Sommaire Pour les futurs développeurs Sommaire I. Présentation du projet... 2 II. Détails sur les différentes parties... 3 1. Le modèle 3D... 3 2. Reconnaissance des gestes... 4 3. Reconnaissance d objets... 6

Plus en détail

Saisissez le login et le mot de passe (attention aux minuscules et majuscules) qui vous ont

Saisissez le login et le mot de passe (attention aux minuscules et majuscules) qui vous ont I Open Boutique Sommaire : I Open Boutique... 1 Onglet «Saisie des Produits»... 3 Création d'une nouvelle fiche boutique :... 3 Création d'une nouvelle fiche lieux de retraits :... 10 Création d'une nouvelle

Plus en détail

Scopia Desktop. Sommaire

Scopia Desktop. Sommaire Scopia Desktop Objectif : le but de ce document est de vous guider sur la procédure à suivre pour le bon déroulement de l installation du logiciel Scopia Desktop, de son utilisation sur votre ordinateur

Plus en détail

MÉDICLICK! STUDIO 3 GESTION DES IMAGES ET PIÈCES JOINTES SOMMAIRE

MÉDICLICK! STUDIO 3 GESTION DES IMAGES ET PIÈCES JOINTES SOMMAIRE MÉDICLICK! STUDIO 3 GESTION DES IMAGES ET PIÈCES JOINTES SOMMAIRE COMMENT AJOUTER DES IMAGES OU DES PIECES JOINTES? COMMENT SUPPRIMER DES IMAGES OU DES PIECES JOINTES? COMMENT CHANGER L APPARENCE DE LA

Plus en détail

www.imprimermonlivre.com

www.imprimermonlivre.com 0 www.imprimermonlivre.com Composition d une couverture avec Word L objectif de ce guide est de vous proposer un mode opératoire pour créer une couverture avec Word. Nous vous rappelons toutefois que Word

Plus en détail

KWISATZ_TUTO_module_magento novembre 2012 KWISATZ MODULE MAGENTO

KWISATZ_TUTO_module_magento novembre 2012 KWISATZ MODULE MAGENTO _TUTO_module_magento Table des matières -1) - :...2-1.1) Introduction :...2-1.2) Description :...3-1.2.1) Schéma :...3-1.3) Mise en place :...4-1.3.1) MAGENTO :...4-1.3.1.1) Les Web Services :...4-1.3.1.2)

Plus en détail

Médiathèque Numérique, mode d emploi

Médiathèque Numérique, mode d emploi Médiathèque Numérique, mode d emploi 1) Inscription Sur la page d accueil du site, cliquez sur «Inscrivez vous» Remplissez le formulaire d inscription, et validez le. 1 Votre inscription est alors bien

Plus en détail

L informatique pour débutants

L informatique pour débutants L informatique pour débutants Etre à l aise face à son ordinateur Découvrir les clefs de l informatique Devenir un internaute averti Espace Public Numérique http://bibliotheque.nimes.fr bibliotheque.ecm@ville-nimes.fr

Plus en détail

MÉDICLICK! STUDIO 3 DOCUMENT CENTER : MAILCLICK! SOMMAIRE

MÉDICLICK! STUDIO 3 DOCUMENT CENTER : MAILCLICK! SOMMAIRE MÉDICLICK! STUDIO 3 DOCUMENT CENTER : MAILCLICK! SOMMAIRE Préalable important ACCES A LA FENETRE MAILCLICK! Le PARAMETRAGE DE BASE DESCRIPTION DE LA FENETRE MailClick! La Barre GENERALE de Boutons Les

Plus en détail

Guide de prise en main rapide

Guide de prise en main rapide Guide de prise en main rapide 2014 TechSmith Corporation. Tous droits réservés. 1 Guide de prise en main rapide Snagit on Windows, version 12.0 Capture d écran dans Snagit Une capture d écran est un cliché

Plus en détail

Bien travailler sur plusieurs écrans

Bien travailler sur plusieurs écrans Bien travailler sur plusieurs écrans Pour améliorer votre confort sur votre ordinateur et travailler plus efficacement, vous pouvez lui ajouter un second voire un troisième écran. En étendant la surface

Plus en détail

INSERER DES OBJETS - LE RUBAN INSERTION... 3 TABLEAUX

INSERER DES OBJETS - LE RUBAN INSERTION... 3 TABLEAUX TABLE DES MATIERES Livret Utilisateur Excel 2007 Niveau 2 INSERER DES OBJETS - LE RUBAN INSERTION... 3 TABLEAUX... 4 Les tableaux croisés dynamiques... 4 Création d un tableau croisé... 5 Comparer des

Plus en détail

IMAGES NUMÉRIQUES MATRICIELLES EN SCILAB

IMAGES NUMÉRIQUES MATRICIELLES EN SCILAB IMAGES NUMÉRIQUES MATRICIELLES EN SCILAB Ce document, écrit par des animateurs de l IREM de Besançon, a pour objectif de présenter quelques unes des fonctions du logiciel Scilab, celles qui sont spécifiques

Plus en détail

TP 7 : oscillateur de torsion

TP 7 : oscillateur de torsion TP 7 : oscillateur de torsion Objectif : étude des oscillations libres et forcées d un pendule de torsion 1 Principe général 1.1 Définition Un pendule de torsion est constitué par un fil large (métallique)

Plus en détail

offre de formations Année 2015

offre de formations Année 2015 offre de formations Année 2015 Sommaire 3 Web/Graphisme Initiation à Wordpress / p4 Formation HTML & CSS / p5 Initiation à Indesign / p6 Perfectionnement à Photoshop / p7 - Contact Richard De Logu, Damien

Plus en détail

Projet Robot Centaure

Projet Robot Centaure Projet Robot Centaure Année 2013-2014 IMA4 S8 Étudiants : Clément TACHÉ Liying WANG Enseignants : Robert Litwak Xiavier Redon Table des matières : Remerciements Introduction Présentation et état des lieux

Plus en détail

TP Blender n 2 : Importation d un modèle SketchUp et animation

TP Blender n 2 : Importation d un modèle SketchUp et animation TP Blender n 2 : Importation d un modèle SketchUp et animation Service de Conception Géométrique Université de Liège Aérospatiale et Mécanique Conçu avec Blender 2.66 et SketchUp 8 De SketchUp à Blender

Plus en détail

Utilisation de Sarbacane 3 Sarbacane Software

Utilisation de Sarbacane 3 Sarbacane Software Tutorial par Anthony Da Cruz Utilisation de Sarbacane 3 Sarbacane Software Ambiance Soleil 17 Rue Royale 74000, Annecy Sommaire 1. Présentation générale 2. Guide étape par étape 3. Astuces de l éditeur

Plus en détail

Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses. Guillaume Martinez 17 décembre 2007

Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses. Guillaume Martinez 17 décembre 2007 Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses Guillaume Martinez 17 décembre 2007 1 Table des matières 1 Le projet 3 1.1 Objectif................................ 3 1.2 Les choix techniques.........................

Plus en détail

MANUEL D INSTALLATION DE WATCHDOC 2011 (EVALUATION)

MANUEL D INSTALLATION DE WATCHDOC 2011 (EVALUATION) MANUEL D INSTALLATION DE WATCHDOC 2011 (EVALUATION) SOMMAIRE AVANT PROPOS... 3 PRÉSENTATION FONCTIONNELLE WATCHDOC... 4 APERÇU DU MANUEL... 5 INTRODUCTION... 5 CONTACTER DOXENSE... 5 PRÉPARER L INSTALLATION...

Plus en détail

JULIE SMS V2.0.1 NOTICE D INSTALLATION ET D UTILISATION

JULIE SMS V2.0.1 NOTICE D INSTALLATION ET D UTILISATION JULIE SMS V2.0.1 NOTICE D INSTALLATION ET D UTILISATION Le fabricant OWANDY S.A.S. se réserve le droit de modifier ses produits ou leurs spécifications afin d'améliorer les performances, la qualité ou

Plus en détail

Rapport de Post- Campagne 1

Rapport de Post- Campagne 1 Rapport de Post- Campagne 1 Résumé - La campagne Adwords que nous avons mené pour Galerie Photo-Originale a duré 21 jours (5.05-26.05) et nous a coûté $250,18. L objectif principal est en premier de stimuler

Plus en détail

Rapport de stage. Création d un site web. Stage du 20/01/2013 au 21/02/2013

Rapport de stage. Création d un site web. Stage du 20/01/2013 au 21/02/2013 Rapport de stage Création d un site web Stage du 20/01/2013 au 21/02/2013 Auteur : Antoine Luczak Tuteur professionnel : M. Tison Tuteur scolaire : Mme Girondon Année scolaire : 2013/2014 1 Table des matières

Plus en détail

ht t p: // w w w.m e di al o gis.c om E - Ma i l : m ed i a l og i s @ m e di a l o g i s. c om Envoi des SMS

ht t p: // w w w.m e di al o gis.c om E - Ma i l : m ed i a l og i s @ m e di a l o g i s. c om Envoi des SMS Page 1/8 Envoi des SMS La nouvelle fonctionnalité d envoi de SMS va vous permettre d envoyer des SMS directement à partir de Médialogis SQL. Ces SMS peuvent être générés automatiquement lors de la saisie

Plus en détail

DOSSIER D'UTILISATION

DOSSIER D'UTILISATION DOSSIER D'UTILISATION SYSTEME MONITORING REDACTION VERIFICATION APPROBATION Stéphane CLERICI Marc LAFLUTTE André CHEMINADE ARCLAN'System Page 1 /17 Tel.04.42.97.70.75 Siège Social Fax.04.42.97.71.99 Actimart

Plus en détail

Table des matières A. Introduction... 4 B. Principes généraux... 5 C. Exemple de formule (à réaliser) :... 7 D. Exercice pour réaliser une facture

Table des matières A. Introduction... 4 B. Principes généraux... 5 C. Exemple de formule (à réaliser) :... 7 D. Exercice pour réaliser une facture Excel 2007 -2- Avertissement Ce document accompagne le cours qui a été conçu spécialement pour les stagiaires des cours de Denis Belot. Le cours a été réalisé en réponse aux diverses questions posées par

Plus en détail

CONTACT EXPRESS 2011 ASPIRATEUR D EMAILS

CONTACT EXPRESS 2011 ASPIRATEUR D EMAILS CONTACT EXPRESS 2011 ASPIRATEUR D EMAILS MANUEL D UTILISATION Logiciel édité par la société I. PREAMBULE a) Avant propos... 3 b) Support... 3 c) Interface d accueil... 4 à 5 d) Interface de Recherche...

Plus en détail

Introduction à HTML5, CSS3 et au responsive web design

Introduction à HTML5, CSS3 et au responsive web design 1 Introduction à HTML5, CSS3 et au responsive web design Jusqu à une période récente, les sites web étaient conçus avec une largeur fixe de l ordre de 960 pixels, en espérant que les visiteurs en tirent

Plus en détail

1. Des chartes graphiques homogènes, élégantes, créatives

1. Des chartes graphiques homogènes, élégantes, créatives Comment sont résolues des difficultés rencontrées par les sites de première génération? Comment faire vivre facilement des sites élégants, réactualisés, à contenu riche, et aux fonctionnalités évolutives?

Plus en détail

SQL Server Installation Center et SQL Server Management Studio

SQL Server Installation Center et SQL Server Management Studio SQL Server Installation Center et SQL Server Management Studio Version 1.0 Grégory CASANOVA 2 SQL Server Installation Center et SQL Server Management Studio [03/07/09] Sommaire 1 Installation de SQL Server

Plus en détail

CARPE. Documentation Informatique S E T R A. Version 2.00. Août 2013. CARPE (Documentation Informatique) 1

CARPE. Documentation Informatique S E T R A. Version 2.00. Août 2013. CARPE (Documentation Informatique) 1 CARPE (Documentation Informatique) 1 CARPE Version 2.00 Août 2013 Documentation Informatique S E T R A Programme CARPE - Manuel informatique de l'utilisateur CARPE (Documentation Informatique) 2 Table

Plus en détail

Formation. Module WEB 4.1. Support de cours

Formation. Module WEB 4.1. Support de cours Formation Module WEB 4.1 Support de cours Rédacteur Date de rédaction F.CHEA 08/02/2012 Les informations contenues dans ce document pourront faire l'objet de modifications sans préavis Sauf mention contraire,

Plus en détail

GUIDE D UTILISATION DU TABLEAU BLANC INTERACTIF EBEAM EDGE

GUIDE D UTILISATION DU TABLEAU BLANC INTERACTIF EBEAM EDGE GUIDE D UTILISATION DU TABLEAU BLANC INTERACTIF EBEAM EDGE Sommaire Installer ebeam : Calibrer le TBI ebeam : Fonctions Projection animée : 1ère utilisation : manipuler votre ordinateur depuis le tableau

Plus en détail

Fabriquer son TBI avec une manette de jeu WII

Fabriquer son TBI avec une manette de jeu WII Fabriquer son TBI avec une manette de jeu WII Dans la conférence Agroéquipements de l enseignement public agricole, Jean- Paul Douzals (jean-paul.douzals@educagri.fr) nous a indiqué l adresse du site de

Plus en détail

Création d une SIGNATURE ANIMÉE avec PHOTOFILTRE 7

Création d une SIGNATURE ANIMÉE avec PHOTOFILTRE 7 Création d une SIGNATURE ANIMÉE avec PHOTOFILTRE 7 L animation est obtenue par défilement des images décomposant le mouvement de traçage de la signature. Les étapes successives seront : 1. Choix de la

Plus en détail

PRECAUTIONS DESCRIPTION DU PRODUIT

PRECAUTIONS DESCRIPTION DU PRODUIT Vous venez d acquérir un produit de la marque Essentiel b et nous vous en remercions. Nous apportons un soin particulier au design, à l'ergonomie et à la simplicité d'usage de nos produits. Nous espérons

Plus en détail

Fiche d identité produit

Fiche d identité produit Fiche d identité produit Référence DCS-5220 Désignation Caméra réseau sans fil panoramique et inclinable Clientèle cible Garantie 2 ans Particuliers Petites et moyennes entreprises Accroche marketing La

Plus en détail

Jade. Projet Intelligence Artificielle «Devine à quoi je pense»

Jade. Projet Intelligence Artificielle «Devine à quoi je pense» Jade Projet Intelligence Artificielle «Devine à quoi je pense» Réalisé par Djénéba Djikiné, Alexandre Bernard et Julien Lafont EPSI CSII2-2011 TABLE DES MATIÈRES 1. Analyse du besoin a. Cahier des charges

Plus en détail

Introduction à l informatique en BCPST

Introduction à l informatique en BCPST Introduction à l informatique en BCPST Alexandre Benoit BCPST L informatique en BCPST «L enseignement de l informatique en classes préparatoires de la filière BCPST a pour objectif d introduire puis de

Plus en détail

Solutions en ligne Guide de l utilisateur

Solutions en ligne Guide de l utilisateur Solutions en ligne Guide de l utilisateur Décembre 2009 Informations générales... 1 Configuration minimale requise... 1 Connexion... 1 Page d accueil des Solutions en ligne... 2 Utilisation de la table

Plus en détail

UN PROCEDE DE SUPERVISION ET TELESURVEILLANCE A DISTANCE : UN OUTIL PEDAGOGIQUE FAVORISANT L INITIATION AU TRAVAIL DE GROUPE

UN PROCEDE DE SUPERVISION ET TELESURVEILLANCE A DISTANCE : UN OUTIL PEDAGOGIQUE FAVORISANT L INITIATION AU TRAVAIL DE GROUPE UN PROCEDE DE SUPERVISION ET TELESURVEILLANCE A DISTANCE : UN OUTIL PEDAGOGIQUE FAVORISANT L INITIATION AU TRAVAIL DE GROUPE Cyril Noirel (1), Didier Theilliol (2), Christophe Aubrun (3), Jean Christophe

Plus en détail

Démontage d'un ordinateur

Démontage d'un ordinateur Espaces multimédias Communauté de Communes Moyenne Vilaine et Semnon : Démontage d'un ordinateur 1- A quoi sert-il de démonter son ordinateur? A) Par simple curiosité B) Pour nettoyer C) Pour remplacer

Plus en détail

Dragon Naturally Speaking 13

Dragon Naturally Speaking 13 Année 2015 Dragon Naturally Speaking 13 Guide premier pas Nathalie Macé / Grégoire Duval PROJET ORDYSCAN 1 Table des matières Introduction 3 Pourquoi utiliser Dragon Naturally Speaking avec les élèves

Plus en détail

INTRODUCTION AUX TESTS CODES DE L INTERFACE UTILISATEUR

INTRODUCTION AUX TESTS CODES DE L INTERFACE UTILISATEUR INTRODUCTION AUX TESTS CODES DE L INTERFACE UTILISATEUR 1 Introduction aux tests codés de l interface utilisateur (Coded UI Tests) Sommaire Avertissement...2 Aperçu...3 1. Génération des tests codés depuis

Plus en détail

Francis BISSON (06 794 819) Kenny CÔTÉ (06 836 427) Pierre-Luc ROGER (06 801 883) IFT702 Planification en intelligence artificielle

Francis BISSON (06 794 819) Kenny CÔTÉ (06 836 427) Pierre-Luc ROGER (06 801 883) IFT702 Planification en intelligence artificielle Francis BISSON (06 794 819) Kenny CÔTÉ (06 836 427) Pierre-Luc ROGER (06 801 883) PLANIFICATION DE TÂCHES DANS MS PROJECT IFT702 Planification en intelligence artificielle Présenté à M. Froduald KABANZA

Plus en détail

WINDOWS 8. Windows 8 se distingue par la présence de 2 interfaces complémentaires :

WINDOWS 8. Windows 8 se distingue par la présence de 2 interfaces complémentaires : WINDOWS 8 Windows 8 : généralités Windows 8 est la dernière version du système d'exploitation de Windows, sortie en octobre 2012. Si vous possédez un ordinateur récent, il y a de fortes chances que votre

Plus en détail

BIRT (Business Intelligence and Reporting Tools)

BIRT (Business Intelligence and Reporting Tools) BIRT (Business Intelligence and Reporting Tools) Introduction Cette publication a pour objectif de présenter l outil de reporting BIRT, dans le cadre de l unité de valeur «Data Warehouse et Outils Décisionnels»

Plus en détail

Mise en scène d un modèle dans l espace 3D

Mise en scène d un modèle dans l espace 3D CHAPITRE 3 Mise en scène d un modèle dans l espace 3D Blender permet de construire des espaces à la manière d une scène de théâtre. Pour cela, il présente dès l ouverture tout ce dont on a besoin : un

Plus en détail

TP Vidéo surveillance Bac pro SEN CCTV. Lycée de L Aa 1

TP Vidéo surveillance Bac pro SEN CCTV. Lycée de L Aa 1 CCTV Lycée de L Aa 1 Mise en situation Le Lycée de l Aa contact la société SENINSTAL, faisant suite à une appel d offre pour effectuer l installation d un système de vidéo surveillance dans une de ses

Plus en détail

A C T I V I T É S CE QUE JE CONNAIS CONTEXTE PROFESSIONNEL. Quel est l élément essentiel du poste informatique? ...

A C T I V I T É S CE QUE JE CONNAIS CONTEXTE PROFESSIONNEL. Quel est l élément essentiel du poste informatique? ... L informatique est devenue un outil indispensable dans les entreprises, et ce, quel que soit l emploi occupé. Aujourd hui, il est essentiel d en connaître les bases. A C T I V I T É S 1. DÉCOUVRIR SON

Plus en détail

Cahier des charges : gestion de projets agiles. Programmation d Algorithmes Distribués (PAD)

Cahier des charges : gestion de projets agiles. Programmation d Algorithmes Distribués (PAD) Cahier des charges : gestion de projets agiles Programmation d Algorithmes Distribués (PAD) Benoit Bernardin Rachid Bouherrou Bruno Juillard Kaba Kabinè Sid-ahmed Anouar Lekhal 2012 / 2013 Sommaire I.

Plus en détail

Guide utilisateur. Parrot MKi9100. Français. Parrot MKi9100 Guide utilisateur 1

Guide utilisateur. Parrot MKi9100. Français. Parrot MKi9100 Guide utilisateur 1 Guide utilisateur Parrot MKi9100 Français Parrot MKi9100 Guide utilisateur 1 Sommaire Sommaire... 2 Introduction... 4 Installer le Parrot MKi9100... 5 Autoradio avec connecteur ISO...5 Autoradio avec entrées

Plus en détail

PREMIERE UTILISATION D IS-LOG

PREMIERE UTILISATION D IS-LOG PREMIERE UTILISATION D IS-LOG Is-LOG est un logiciel d identification et d authentification à un ordinateur qui se substitue à la saisie du couple «Login / mot passe» par la présentation au lecteur de

Plus en détail