LA REDIFFUSION DES FICTIONS
|
|
- Cécile Marceau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 INSTITUT DE RECHERCHE ET D'ETUDES EN DROIT DE L'INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION LA REDIFFUSION DES FICTIONS FRANCAISES : CONCLUSIONS SUR LE RAPPORT HADAS-LEBEL Chronique réalisée par Marlène PIETRI Faculté de droit et de science politique d Aix-Marseille Master Recherche «Droit des médias» Aix-en-Provence Université Paul Cézanne U III
2 La rediffusion des fictions françaises Conclusion sur rapport Hadas Lebel Renaud Donnedieu de Vabre, alors ministre de la culture et de la communication, avait confié le 19 septembre 2005 Raphaël Hadas-Lebel, président de Section au Conseil d Etat une mission de réflexion et de médiation sur les problèmes relatifs à la rediffusion des fictions françaises sur les chaînes de télévision. Ce rapport qui a été rendu public le 12 juin 2006 présente ainsi les problèmes issus de la rediffusion de fictions françaises, et, propose les pistes de négociation à mener entre les artistes interprètes, les producteurs et les diffuseurs pour augmenter le nombre de ces rediffusions. Ainsi les acteurs de ce marché pourraient se rejoindre pour conclure un avenant aux annexes de la convention collective des artistes interprètes du 30 décembre 1992 fixant les conditions de leur rémunération en tenant compte du marché actuel 1. La place de la fiction à la télévision face à la demande des téléspectateurs La fiction télévisuelle peut être définie comme étant un genre de production dans lequel l imaginaire tient une place prépondérante, ce type de production englobe alors tant les séries que les téléfilms. Ces programmes sont appréciés d une part, par le public car il permet de le fédérer autour d un thème et d autre part, par les diffuseurs car il permet de relayer l identité d une chaîne. En effet, aux yeux du public les personnages de Navarro (fiction diffusée depuis 1989) et de Julie Lescaut (fiction diffusée depuis 1992) sont clairement identifiés à la chaîne TF1. Le rapport se penche donc sur l étude de fictions françaises et particulièrement sur leur second marché. Le premier marché correspond au marché de la première diffusion d œuvres audiovisuelles sur les chaînes hertziennes en clair. Le second marché correspond à une double plate forme, en effet, il vise à la fois la diffusion sur les chaînes du câble et du satellite et la rediffusion sur les 1 Convention collective nationale des artistes interprètes engagés pour des émissions de télévision, Etendue par arrêté du 24 janvier 1994, JORF 4 février
3 chaînes ayant effectué la première diffusion. Plusieurs caractéristiques touchent la rediffusion en France. Ainsi, les rediffusions concernent essentiellement les séries, elles sont négociées à la commande de l œuvre, et ont lieu en prime time. Cependant les fictions françaises peinent à trouver leur place face aux fictions étrangères et ce particulièrement dans les grilles de programme de journée (day time). Force est de constater l absence totale de fictions françaises sur ce créneau horaire, alors même que l attrait du public pour ce genre est indéniable. Prenons un exemple de programmation. Journée du Vendredi 11 mai 2007, programmation de l après midi 2 TF1 13h50 Les feux de l amour (série américaine) 14h40 La maison des secrets (téléfilm Canadien) France2 14h Toute une histoire (magazine français) 15h Un cas pour deux (série policière allemande) France3 13h45 Derrick (série policière allemande) 14h50 Magnum (série policière américaine) ARTE 13h05 Nu Shu, un langage secret entre femmes de chine (documentaire) 15h10 Adieu Pluton! (documentaire) 16h05 Zoom Europa (documentaire) M6 13h30 Roman meurtrier (téléfilm Canadien) 15h30 Liaison brûlante (téléfilm américain) A l occasion de sa mission Raphaël Hadas-Lebel a procédé à l audition des différents acteurs du marché pour tenter de pallier cette absence criante de production française en day time. Les grilles de programmation de l après midi désolent bien souvent le public, ne laissent pas de place aux productions françaises, et préoccupent les diffuseurs. Les raisons de cette absence de fictions françaises en day time sont essentiellement d ordre 2 Source télérama semaine du 9 au 15 mai
4 économique. D une part, le format privilégié par les producteurs français de fiction ne correspond pas au format utilisé en day time. En effet, ils tournent des fictions de 90 minutes alors que les diffuseurs préfèrent pour les grilles de journée des programmes de 52 ou 26 minutes. Cet argument avancé par les diffuseurs met en avant toute la difficulté qu il y a à établir un accord avec les producteurs, ces derniers continuant à ne pas tourner des fictions plus courtes de peur de n être de toute façon pas programmé en day time. De plus, ce format rend les fictions françaises chères, leur diffusion ne sera donc rentabilisée qu en prime time, quand l audience est haute et quand la publicité rapporte beaucoup. En plus de ces raisons techniques, deux autres arguments peuvent être avancés pour expliquer cette absence de rediffusion des fictions françaises en day time. Le premier argument est l importance de l heure de diffusion sur l image d une série. Ainsi, la grille d après midi est en quelque sorte une grille sur laquelle on décharge les programmes de second rang car on sait qu ils ne sont vu que par un public restreint. Vu sous cet angle la programmation de fictions phares sur cette horaire dévaloriserait la fiction et, à tout le moins, lui ferait perdre sa fonction fédératrice, d identification de la chaîne. La second argument tient quand à lui au régime de rémunération des artistes interprètes. La remise en question de la rémunération des artistes interprètes La rémunération des artistes interprètes français en cas de rediffusion peut dépendre de deux régimes différents selon que la chaîne dispose du droit rediffusion ou pas. Il faut noter à ce stade que bien souvent quand elles négocient les droits de diffusions les chaînes acquièrent en plus un droit pour une rediffusion, ainsi quand nous parlons ici de rediffusion nous parlons donc de la deuxième rediffusion. Si elles disposent du droit de rediffusion, la rémunération des artistes interprètes se fait par un supplément de cachet (dit «royalties») dont le taux est fixé par convention 3, la rémunération 3 Article 3 de l annexe I à la convention du 30 décembre 1992, suppléments de rémunération versé aux artistes interprètes en cas d utilisation secondaire des émissions de télévision sur le territoire national. 4
5 variant selon l heure du début de la rediffusion. Ainsi en cas de rediffusion démarrant entre 19h et 21h30 (prime time) le supplément de cachet est de - 30% du salaire initial journalier allant jusqu'à 305 euros - 20% du salaire initial journalier allant de 305 et 1525 euros - 10% du salaire initial journalier supérieur à 1525 euros En cas de rediffusion en dehors de ces horaires (day time et nuit) les royalties s élèvent à 75% du cachet initial quel qu il soit. Ce système limite donc fortement les rediffusions en journée car elles coûtent plus cher aux diffuseurs, d autant que les recettes publicitaires à ces heures sont moins élevées. Si elles ne disposent pas d un droit de rediffusion, les chaînes achètent ce droit dont le prix est fonction de celui de la première acquisition. Ce système est sensiblement celui utilisé pour la rediffusion de programmes sur les chaînes du câble, du satellite et de la TNT. Ces régimes de reversement des droits voisins sont ainsi le principal frein à la rediffusion de fictions françaises dans la journée et encouragent la diffusion ou rediffusion de programmes étrangers. Les solutions proposées Le rapporteur conclut donc à la nécessité de la modification des modes de rémunération des artistes interprètes pour lancer la rediffusion de fictions françaises en dehors du prime time. Ainsi la première solution proposée serait de diminuer les royalties de 10 points de façon à établir le barème suivant : le supplément de cachet serait de 3% du salaire initial journalier allant jusqu'à 305 euros, de 2% entre 305 et 1525 euros ou de 1% au-delà de 1525 euros. En contre partie, les artistes interprètes souhaitent alors un engagement des chaînes sur un quota de rediffusions. Ce qui est pour l instant refusé, au motif que la simple diminution des royalties est un bon compromis dans la mesure où le pourcentage actuel freine de toute façon le marché. 5
6 Hadas-Lebel propose sinon une nouvelle assise des droits de rediffusion. Ainsi au lieu de calculer le surcoût sur le salaire journalier des artistes interprètes, il serait calculé par exemple sur le montant de la cession des droits de rediffusion. Sur ce point les artistes interprètes constatent qu il faudrait alors une forte augmentation des rediffusions pour que l opération soit rentable pour eux. Une fois de plus, les diffuseurs leur répondent que l opération ne peut être que plus rentable, dans la mesure où, dans le système actuel, il n y a aucune rediffusion. De plus, ce mode de répartition étant celui utilisé pour la TNT, le satellite et le câble, le marché serait plus cohérent. Même si à cette date, aucun accord n a été trouvé, le rapport du Conseiller Hadas-Lebel a eu le mérite de présenter l état actuel du marché de la rediffusion des fictions françaises et de proposer plusieurs solutions dont certaines seulement ont été ici présentées. On peut gager que face à cette impasse les acteurs du marché (diffuseurs, artistes interprètes et producteurs), qui ont tout intérêt à modifier le système en place, ne vont plus tarder à s entendre sur un avenant à la convention collective du 30 décembre
Analyse des documentaires diffusés par TF1, FRANCE2, FRANCE3, La Cinquième, ARTE et M6
Analyse des documentaires diffusés par TF1, FRANCE2, FRANCE3, La Cinquième, ARTE et M6 Camille LEVERT & Irina KERGOURLAY DESS Traductique et Gestion d information 1999/2000 Introduction L étude consiste
Plus en détailLES NOUVELLES CONTRAINTES EN MATIERE DE MARCHES PUBLICS
LES NOUVELLES CONTRAINTES EN MATIERE DE MARCHES PUBLICS I - PREAMBULE Jusqu à présent, la majorité des achats d équipements effectués par les services échappaient à la réglementation relative aux marchés
Plus en détailEdition 2015. Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section J Division 60
Edition 2015 Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section J Division 60 60 PROGRAMMATION ET DIFFUSION Cette division comprend les activités d édition de chaines
Plus en détailFICHE METIER. «Chef de chaîne» Chef de chaîne APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER
Chef d antenne «Chef de chaîne» APPELLATION(S) DU METIER Chef de chaîne DEFINITION DU METIER Chef de chaîne est en charge de la diffusion technique des programmes. Il est garant de la continuité de la
Plus en détailLa télé, le second écran, et nous Résultat et analyse de l enquête réalisée début 2015 auprès d un panel de téléspectateurs français
TiVine Technologies La télé, le second écran, et nous Résultat et analyse de l enquête réalisée début 2015 auprès d un panel de téléspectateurs français Mosaïque représentant l icon de l application TiVipedia,
Plus en détailTEMPS PARTIEL Principe général : Quotité de temps partiel Rémunération : 50 % 50 % ; 60 % 60 % ; 70 % 70 % ; 80 % 85,7 % ; 90 % 91,4 %
Syndicat Indépendant Académique de l Enseignement Secondaire Aix-Marseille Syndicat - national - Indépendant de l Enseignement du Second degré Fédération Autonome de l Education Nationale TEMPS PARTIEL
Plus en détailLa mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires en formation
La mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires en formation (Synthèse) Enquête réalisée dans le cadre du projet Concert Action Septembre 2011 La mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires
Plus en détailEncaissement moyen du distributeur sur une entrée en salle de cinéma (1998-2007)
Encaissement moyen du distributeur sur une entrée en salle de cinéma (1998-2007) Avril 2009 Centre national de la cinématographie Direction des études, des statistiques et de la prospective 12, rue de
Plus en détailAccord négocié régissant les relations entre la Cour pénale internationale et l Organisation des Nations Unies. Préambule
Accord négocié régissant les relations entre la Cour pénale internationale et l Organisation des Nations Unies Préambule La Cour pénale internationale et l Organisation des Nations Unies, Ayant à l esprit
Plus en détailDELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL
Erreur! Argument de commutateur inconnu. DELIBERATION N DELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL DELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL LE CONSEIL REGIONAL LANGUEDOC-ROUSSILLON, VU le Code général des collectivités
Plus en détailLe marché publicitaire télévisuel français en 2009 : (r)évolution? Commission prospective
Le marché publicitaire télévisuel français en 2009 : (r)évolution? Commission prospective Février 2009 Synthèse L annonce par le Président de la République, le 8 janvier 2008, d engager une réflexion sur
Plus en détail12 ème Baromètre. de la Création TV. En partenariat avec
12 ème Baromètre de la Création TV 2015 En partenariat avec Le Baromètre de la Création TV est réalisé chaque année dans le cadre des Journées de la Création TV organisées par l APA (Association pour la
Plus en détailANNEXE 4. Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information. (Module 3, partie I, section 2.5)
ANNEXE 4 Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information (Module 3, partie I, section 2.5) Dans les pages qui suivent, nous présentons neuf méthodes de collecte d information.
Plus en détailIHECS Programmes en français
Programmes en français I. Baccalauréat en Communication appliquée Programme disponible pour les étudiants de seconde ou troisième année : A. Premier semestre (Septembre/Janvier) Usages sociaux des nouveaux
Plus en détailCommentaires. Michael Narayan. Les taux de change à terme
Commentaires Michael Narayan L étude de Levin, Mc Manus et Watt est un intéressant exercice théorique qui vise à extraire l information contenue dans les prix des options sur contrats à terme sur le dollar
Plus en détailDroits d auteurs : quelles opportunités fiscales?
Droits d auteurs : quelles opportunités fiscales? Vincent Lamberts et Jean-Luc Wuidard Avocats au Barreau de Liège 26 novembre 2010 Petit déjeuner conférence Etudes et Expansion ASBL Plan des exposés -1.
Plus en détailAssurance collective ASCO/SWICA pour les entreprises affiliées à l ASCO. Edition 2011
Assurance collective ASCO/SWICA pour les entreprises affiliées à l ASCO Edition 2011 Sommaire Partie 1: Page 4 Assurance obligatoire des soins Partie 2: Page 6 Couverture de l obligation de l employeur
Plus en détailLA FABRIQUE Lieu de formation, d échange et de création artistique. St Jean de Bournay (38) Formation
LA FABRIQUE Lieu de formation, d échange et de création artistique St Jean de Bournay (38) Formation Montage vidéo avec adobe premiere Stage de 3 jours (24h) du 8 au 10 Avril 2015 dispensé par Jean-Christophe
Plus en détailREGLEMENT JEU «Relevé de compte sur Internet» CAISSE D EPARGNE MIDI-PYRENEES
REGLEMENT JEU «Relevé de compte sur Internet» CAISSE D EPARGNE MIDI-PYRENEES ARTICLE 1 : La Caisse d Epargne et de Prévoyance de Midi- Pyrénées, Banque coopérative régie par les articles L 512-85 et suivants
Plus en détailDossier Technologies. 16 Assurance
Pour y voir Qu il soit question de normes, d élaboration d outils de gestion de données ou de vente de produits d assurance en ligne, des interrogations, des inquiétudes, 16 Assurance Elenka Alexandrov
Plus en détailTP 2 - M2204 FISCALITÉ DES PERSONNES PHYSIQUES
TP 2 - M2204 FISCALITÉ DES PERSONNES PHYSIQUES EXERCICE 1 TRAITEMENTS ET SALAIRES M. PACCOLINI a été embauché fin septembre N comme chauffeur livreur routier dans la SA DARCO Transports. Son patron lui
Plus en détailLE DEVENIR DES DIPLOMÉS
LE DEVENIR DES DIPLOMÉS Finalité : Professionnelle Situation professionnelle deux ans après l obtention d un master 2 Les enquêtes sur le devenir des diplômés du master «Marketing, publicité et communication»,
Plus en détailCollège d autorisation et de contrôle. Avis n 02/2011
Collège d autorisation et de contrôle Avis n 02/2011 Première évaluation de la Recommandation du 24 juin 2010 relative à la mise en valeur des œuvres européennes et de la Communauté française dans les
Plus en détail* règles de répartition des droits d auteur
* règles de répartition des droits d auteur Document adopté par le conseil d administration du 15 janvier 2015 Mise à jour : 19 juin 2015 Sommaire Les répertoires de la Scam et leur rémunération : les
Plus en détailCALENDRIER DES SESSIONS DE FORMATIONS QUALIFIANTES ESMA-2015
CALENDRIER DES SESSIONS DE FORMATIONS QUALIFIANTES ESMA-2015 Consultez notre plan de formation et Exprimez-nous vos besoins de formation à l adresse suivante : formations@esma-edu.com Infoline : (+225)
Plus en détailNVCC n 3090. Annexe I : Exploitants de lieux, producteurs ou diffuseurs de spectacles dramatiques, lyriques, chorégraphiques et de musique classique.
NVCC n 3090 Annexe Annexe VI : Producteurs, diffuseurs, organisateurs occasionnels (y compris les particuliers) de spectacles de bal avec ou sans orchestre Préambule A. Détermination des annexes par secteur
Plus en détailAffiliation Cash Livre PDF Gratuit Cliquez Ici Pour Télécharger Merci!
Enfin, Voici l'information que VOUS attendiez depuis longtemps. Vous allez découvrir une méthode inédite et des secrets que la plupart des affiliés ne connaitront jamais... Par: Mustapha GASSEM Le Dans
Plus en détailalimentation et médias audiovisuels : représentations et consommation en questions
alimentation et médias audiovisuels : représentations et consommation en questions enjeux et présentation exemples historiques production langages représentations publics Pierre-André Léchot web : http://www.arcinfo.ch/videos/les-magazines-de-canal/la-fourchette-verte.html
Plus en détailPièces à joindre RENTREE 2015-2016. Qui peut bénéficier de la bourse de lycée?
INFORMATIONS PRATIQUES A DESTINATION DES FAMILLES Ouverture de la campagne de bourse de lycée RENTREE 2015-2016 Pièces à joindre Qui peut bénéficier de la bourse de lycée? Où peut- on retirer un formulaire
Plus en détailLe plafonnement des impôts directs : mise en place du «bouclier fiscal»
Le plafonnement des impôts directs : mise en place du «bouclier fiscal» Ce qu il faut retenir Article 74 de la loi de finances pour 2006 Dans la situation actuelle, il peut arriver que le montant total
Plus en détailAppel à projets L Annexe pour les petits spectateurs
Appel à projets L Annexe pour les petits spectateurs Vous avez un projet dans les domaines du spectacle vivant, des arts, des jeux, des sciences pour le jeune public de 0 à 12 ans et pour sa famille? La
Plus en détailFocus. Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage
Focus Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage Introduction Le travailleur qui devient chômeur et qui est admissible sur base de prestations de travail se voit, en application du principe
Plus en détailDÉCISION DU TRIBUNAL DE LA SÉCURITÉ SOCIALE Division d appel Demande de permission d en appeler
[TRADUCTION] Citation : K. U. c. Ministre des Ressources humaines et du Développement des compétences, 2014 TSSDA 38 N o d appel : AD-13-169 ENTRE : K. U. Demanderesse et Ministre des Ressources humaines
Plus en détailL économie de la télévision de rattrapage
L économie de la télévision de rattrapage Medianalyses Scholè Marketing Sommaire I. SYNTHESE... 4 A. Le succès d audience de la télévision de rattrapage... 5 1. Environ un tiers de la population concernée...
Plus en détailDes chiffres pour comprendre : les investissements dédiés à la Conquête
Des chiffres pour comprendre : les investissements dédiés à la Conquête Afin de mieux comprendre les enjeux liés à la conquête, il est souhaitable de connaître l importance des dépenses réalisées en la
Plus en détailAssurances selon la LAMal
Assurances selon la LAMal Règlement Edition 01. 2015 Table des matières I Dispositions communes 1 Validité 2 Affiliation / admission 3 Suspension de la couverture-accidents 4 Effets juridiques de la signature
Plus en détailJalons pour l histoire du temps présent 17 mars 2006, réf. : 04690. Durée : 02 mn 24
La lutte contre le téléchargement illégal sur Internet Titre du document Emplacement Support Niveau Objectifs Compétences visées La lutte contre le téléchargement illégal sur Internet Jalons pour l histoire
Plus en détail(texte en vigueur le 1 er janvier 2008) LISTE DES INSTRUCTIONS
INSTRUCTIONS ADMINISTRATIVES POUR L APPLICATION DE L ARRANGEMENT DE MADRID CONCERNANT L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES MARQUES ET DU PROTOCOLE Y RELATIF (texte en vigueur le 1 er janvier 2008) LISTE
Plus en détailAugust 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances
August 2014 ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances Résumé L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises membres
Plus en détailFiche d animation n 1 : Pêle-mêle
Fiche d animation n 1 : Pêle-mêle Cette animation permet au participants de découvrir les différents pièges du crédit à la consommation et plus particulièrement des ouvertures de crédit. Elle suscite également
Plus en détailAssociation québécoise. des directeurs et directrices d établissement d enseignement. retraités
Association québécoise des directeurs et directrices d établissement d enseignement retraités La retraite, pour les ex-membres de la FQDE ou ceux 1 qui ont déjà occupé une fonction à la direction d établissement
Plus en détailCompte rendu des délibérations, y compris les motifs de décision
Compte rendu des délibérations, y compris les motifs de décision relativement à Demandeur Ontario Power Generation Inc. Objet Lignes directrices pour l évaluation environnementale (portée du projet et
Plus en détailConcours Sculpteo «Coque pour téléphone portable en impression 3D»
REGLEMENT Concours Sculpteo «Coque pour téléphone portable en impression 3D» Article 1 - Organisateur La société SCULPTEO, SAS immatriculée au RCS Nanterre sous le numéro 514 971 654 et dont le siège se
Plus en détailConvention collective de la production cinématographique : Etude d'impact sur le texte signé le 19 janvier 2012
AFPF APC APFP SPI UPF Convention collective de la production cinématographique : Etude d'impact sur le texte signé le 19 janvier 2012 Notre étude d impact a été réalisée à partir de données objectives
Plus en détailBienvenue. Immobilier/ Commerces/ Crédit/ Assurances/ Défiscalisation
Bienvenue Immobilier/ Commerces/ Crédit/ Assurances/ Défiscalisation Prochainement, auront lieu des stages de formation pour les non-professionnels de l immobilier et des stages de confirmation pour les
Plus en détailFacultés: les Facultés, l Ecole des Sciences Humaines et Sociales, l Ecole de Droit, l Institut de Recherche en Sciences et Technologies du Langage.
REGLEMENT CONCERNANT LES ETUDIANTS SPORTIFS DE HAUT NIVEAU (DECISION N 9/ XXXI DU CONSEIL D ADMINISTRATION DU 14 JUIN 2010, MODIFIEE PAR DECISION N 40/XII DU CONSEIL D ADMINISTRATION DU 1 ER JUILLET 2013
Plus en détailBaccalauréat professionnel vente (prospection - négociation - suivi de clientèle) RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION
RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 16 I. COMPÉTENCES C1. PROSPECTER C11. Élaborer un projet de prospection C12. Organiser une opération de prospection C13. Réaliser une opération de prospection C14. Analyser
Plus en détailSecrétariat du Grand Conseil M 1949
Secrétariat du Grand Conseil M 1949 Projet présenté par les députés : M mes et MM. Eric Stauffer, Mauro Poggia, Jean-François Girardet, Pascal Spuhler, Sandro Pistis, Henry Rappaz, Dominique Rolle, Fabien
Plus en détailL art de trouver le logement de ses rêves
L art de trouver le logement de ses rêves Introduction Etudes obligent, il n est pas toujours aisé de trouver un logement décent à prix réduit d autant plus que les villes étudiantes sont des villes où
Plus en détailNous contacter p.16 Le raid en photos p.17
1. Qui sommes nous? p.1-2 2. Qu est ce que le 4L Trophy? p.3-4 3. Le déroulement de l épreuve p.5 à 7 4. Les objectifs p.8-9 5. La médiatisation p.10 6. Budget prévisionnel p.11 7. Pourquoi nous sponsoriser?
Plus en détailAcquisitions d entreprises : traitement des actifs incorporels en IFRS
Acquisitions d entreprises : traitement des actifs incorporels en IFRS CONFERENCE IMA DU 5 AVRIL 2006 Jean-Pierre COLLE et Raphaël JACQUEMARD Associés KPMG 1 Introduction Jusqu à une période récente et
Plus en détailDocument de synthèse. Étude comparative du coût total des systèmes de vidéosurveillance IP et analogiques
Document de synthèse Étude comparative du coût total des systèmes de vidéosurveillance IP et analogiques Table des matières 1. Introduction 3 2. Méthode de recherche 3 3. Coût total de possession (TCO)
Plus en détailLa Capitale Assurances générales
- - La Capitale Assurances générales - j PROGRAMME ANNEXE 1 0' ASSURANCE 1 ~. 1 - lcaractéristiques DU PROGRAMME La Capitale a le plaisir de présenter, au membres du partenaire, un programme d'assurance
Plus en détailLa protection de vos données médicales chez l assureur
La protection de vos données médicales chez l assureur Brochure 2009 2 Questions & Réponses fréquentes FAQ 2009 La communication de données est le point de passage obligé pour le bon fonctionnement de
Plus en détailInfo «travailleur indépendant»
Info «travailleur indépendant» Quels sont les avantages et les inconvénients pour une structure (client) de faire appel à un travailleur indépendant? L équipe permanente est forcément limitée en nombre
Plus en détailStockage ou pas stockage?
Stockage ou pas stockage? Table des matières 1- Stockage chimique?...1 2- Stockage thermique?...3 3- Stockage thermique et chimique!...4 4- Conclusion...5 La question du surplus dans les installations
Plus en détailDirective relative aux assurances perte de gain pour les partenaires de distribution
innova Versicherungen AG Case postale 3073 Gümligen Directive relative aux assurances perte de gain pour les partenaires de distribution externes. 1. Intervalle de temps pour l envoi de conventions d affiliation
Plus en détailQuel est le régime d assurance maladie applicable à l artiste de spectacle vivant, mobile dans la Grande Région?
www.frontalierslorraine.eu www.espaceculturelgr.eu Quel est le régime d assurance maladie applicable à l artiste de spectacle vivant, Novembre 2011 2 Introduction Le CRD EURES Lorraine est une association
Plus en détailProgramme «Lecteurs Formateurs»
[Objectifs : Programme «Lecteurs Formateurs» Promotion de la langue française par l internationalisation des jeunes Jeunes diplômés en philologie romane, en traduction, en philologie classique ou autres
Plus en détailFrançais langue étrangère Savoir-faire - Actes de paroles - Supports d apprentissage -Tâches
Niveau C1 Descripteur global Français langue étrangère Savoir-faire - Actes de paroles - Supports d apprentissage -Tâches La personne peut : comprendre en détail de longs discours et des échanges complexes
Plus en détailTéléfilm Canada. Du cinéma au téléphone cellulaire
Téléfilm Canada Du cinéma au téléphone cellulaire Téléfilm Canada Pourquoi sommes-nous ici aujourd hui? Pour vous donner un compte rendu de ma première année comme directeur général de Téléfilm Canada
Plus en détailLA PRODUCTION AUDIOVISUELLE FRANCAISE ET SON FINANCEMENT
LA PRODUCTION AUDIOVISUELLE FRANCAISE ET SON FINANCEMENT Rapport établi à la demande du ministre de la culture et de la communication par Antoine Schwarz Décembre 2003 2 Cette mission a bénéficié de l
Plus en détailSEGPA EREA. académie Versailles ENTRE : Nom du stagiaire : Prénom : Éducation Nationale Enseignement Supérieur Recherche
Convention relative à l organisation de stages d application en milieu professionnel. Élèves de 4 ème âgés de moins 15 ans Élèves de 3 ème âgés de plus 15 ans (Convention type approuvée par la cellule
Plus en détailCour de justice de l Union européenne COMMUNIQUE DE PRESSE n 70/14
Cour de justice de l Union européenne COMMUNIQUE DE PRESSE n 70/14 Luxembourg, le 13 mai 2014 Presse et Information Arrêt dans l'affaire C-131/12 Google Spain SL, Google Inc. / Agencia Española de Protección
Plus en détailContrat d'engagement pour chef de chœur
Union Suisse des chorales Contrat d'engagement pour chef de chœur Entre (Chœur) Et (chef de chœur) 1. Madame / Monsieur assure la direction musicale de /du choeur 2. L année chorale commence en règle générale
Plus en détailMaster Management des activités culturelles et audiovisuelles (MACA)
Master Management des activités culturelles et audiovisuelles (MACA) BAC+5 Domaine : Droit, Economie, Gestion Mention : Marketing Parcours : Productions de spectacles et management d'artistes Productions
Plus en détailon à l i m a ge Famille, Centres de loisirs, Maisons de quartier...
Ed uc ati on à l i m a ge L e s a te l i e r s d u c i n é m a p o u r to u s Famille, Centres de loisirs, Maisons de quartier... Clair Obscur vous propose des ateliers audiovisuels tout public, des séances
Plus en détailSommaire. Rentabilité du retour d une franchise de baseball de la Ligue majeure de baseball à Montréal (les «Expos»)
Sommaire Rentabilité du retour d une franchise de baseball de la Ligue majeure de baseball à Montréal (les «Expos») Novembre 2013 Table des matières 1. CONTEXTE ET OBJECTIFS... 3 2. MÉTHODES DE RECHERCHE...
Plus en détailCe qu attendent les salariés et les employeurs français de leur complémentaire santé
Département Évaluation des Politiques Sociales Ce qu attendent les salariés et les employeurs français de leur complémentaire santé Anne Loones Février 2009 2 Sommaire CONTEXTE ET MÉTHODOLOGIE DE L ÉTUDE...
Plus en détailLa participation citoyenne et la politique locale
La participation citoyenne et la politique locale Comment sommes-nous arrivés à s intéresser à la participation citoyenne? Avant l arrivée du Plan de Cohésion Sociale à Waremme (avril 2008), nous étions
Plus en détailAvis régional de la Commission jeunesse du Bas-Saint-Laurent
Avis régional de la Commission jeunesse du Bas-Saint-Laurent dans le cadre des audiences publiques de la Commission des transports du Québec à la suite de la demande de la compagnie Orléans Express visant
Plus en détailPOLITIQUE D OCTROI DES DONS ET COMMANDITES
POLITIQUE D OCTROI DES DONS ET COMMANDITES Groupe Affaires corporatives et secrétariat général 19 avril 2013 TABLE DES MATIÈRES 1. CADRE GÉNÉRAL...3 1.1 Politique NOTRE RÔLE SOCIAL...3 1.2 Imputabilité...3
Plus en détail8 Certifications Minergie
8 Chapitre 8 Être Minergie, est-ce aussi être «autrement»? Pour de nombreux acteurs du marché immobilier, un label de durabilité devrait s accompagner d une appréciation de la valeur de leur immeuble,
Plus en détailEtudes publics des stades Ligue 1 et Ligue 2. mars 2014
Etudes publics des stades Ligue 1 et Ligue 2 mars 2014 Objectifs Fournir aux 40 clubs des Outils personnalisés et sortir des études nationales inexploitables au niveau local Avoir une approche club à club
Plus en détailAllianz Santé Prévoyance Collectives La couverture Santé et Prévoyance sur mesure pour protéger au mieux ses salariés.
Choisissez des solutions durables pour la couverture sociale de vos salariés. Allianz Santé Prévoyance Collectives La couverture Santé et Prévoyance sur mesure pour protéger au mieux ses salariés. Assurances
Plus en détail4 - L affectation du résultat des sociétés
Les écritures liées à la vie d une société 3.2 4 - L affectation du résultat des sociétés Référence Internet Saisissez la «Référence Internet» dans le moteur de recherche du site www.editions-tissot.fr
Plus en détailFÉDÉRATION FRANÇAISE DES SOCIÉTÉS D'ASSURANCES
FÉDÉRATION FRANÇAISE DES SOCIÉTÉS D'ASSURANCES 26, boulevard Haussmann 75311 Paris Cedex 09 Téléphone : 01 42 47 90 00 - Télécopie : 01 42 47 93 11 - Internet : http://www.ffsa.fr 12 juillet 2007 Observations
Plus en détailTextes légaux essentiels pour les associations (sections et groupes sportifs)
Textes légaux essentiels pour les associations (sections et groupes sportifs) Le droit associatif est basé sur le Code civil suisse (CC). Aux articles 60 et suivants, se trouvent toutes les dispositions
Plus en détailConvergence de A à Z 10000
Convergence de A à Z 10000 second screen : la convergence entre en jeu, atouts, questions l 21,4 millions de mobinautes au 2 ème trimestre 2012 (Médiamétrie) l 45% des équipés mobiles ont un smartphone
Plus en détailLA GESTION STRATEGIQUE DES ACHATS INTERNATIONAUX
LA GESTION STRATEGIQUE DES ACHATS INTERNATIONAUX 1 LA GESTION STRATEGIQUES DES ACHATS INTERNATIONAUX Sommaire 1 - STRATEGIE DE L ACHAT A L INTERNATIONAL Enjeux Raisons Freins Préparer l entreprise aux
Plus en détailCours de bridge. Guillaume Lafon
Cours de bridge Guillaume Lafon 1 Évaluer son jeu Pour évaluer son jeu, rien de plus simple! On compte d abord les honneurs : 4 points par as, 3 points par roi, 2 points par dame, et 1 point par valet.
Plus en détailL écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique
L écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique Rapport 2014 Table des matières Le rapport 2014... 5 1. Différences salariales générales... 6 1.1 L écart salarial en salaires horaires et annuels...
Plus en détailCheck-list. Check-list manifestations. Check-list expositions foires
Check-list Check-list manifestations Check-list expositions foires 1. Informations sur une exposition/foire Se procurer une documentation de la foire Etudier soigneusement les documents et les conditions
Plus en détailCENTRES D APPUI À LA TECHNOLOGIE ET À L INNOVATION (CATI) GUIDE DE MISE EN ŒUVRE
CENTRES D APPUI À LA TECHNOLOGIE ET À L INNOVATION (CATI) GUIDE DE MISE EN ŒUVRE Le programme de centres d'appui à la technologie et à l'innovation (CATI), mis en place par l'ompi, permet aux innovateurs
Plus en détailLE CONTRAT DE COPRODUCTION
LE CONTRAT DE COPRODUCTION 1. Parties 2. Objet 3. Durée 4. Responsabilité de la production 5. Budget et financement de la production 6. Répartition des recettes d exploitation 7. Livraison des masters
Plus en détailMaîtriser la diffusion de son catalogue e-commerce
Maîtriser la diffusion de son catalogue e-commerce Lorraine Un site marchand est sans cesse en recherche de moyens pour développer son activité. Au-delà de l optimisation de la boutique, il est possible
Plus en détailLa gestion par la fédération française de football de ses «droits de marketing»
LA GESTION PAR LA FEDERATION FRANÇAISE DE FOOTBALL DE SES «DROITS DE MARKETING» 157 La gestion par la fédération française de football de ses «droits de marketing» Les «droits de marketing» de la fédération
Plus en détailLes assurances sociales au quotidien II
François Wagner Les assurances sociales au quotidien II Assurances maladie et prévoyance professionnelle Assurance vieillesse et survivants Allocations familiales CIP-Notice abrégée de la deutsche Bibliothek
Plus en détailMinistère des Affaires étrangères et européennes. Direction de la politique culturelle et du français. Regards VII
Ministère des Affaires étrangères et européennes Direction de la politique culturelle et du français Regards VII 8. Les voitures électriques Réalisation Thomas Sorin, CAVILAM Rédaction Frédérique Gella,
Plus en détailPourquoi choisir la solution publicitaire Google AdWords?
Pourquoi choisir la solution publicitaire Google AdWords? À chaque instant, partout dans le monde, professionnels et internautes utilisent des mots-clés sur Google pour se trouver les uns les autres. Et
Plus en détailSciences de l'information et de la communication. Enseignant-e-s. Année/Structure/Enseignements. H/sem.
Université de Neuchâtel Sciences de l'information et de la Année/Structure/Enseignements 1 ère année Fondements des sciences de l information et de la (note 1) Enseignant-e-s Pilier principal de Bachelor
Plus en détailLa culture financière des Français
C entr e de Recher c h e po u r l E t u d e et l Obser va t i o n des Co n d it io n s de V ie Département Conditions de vie et aspirations La culture financière des Français Etude réalisée à la demande
Plus en détailCOMPTE RENDU. Atelier-débat avec les futurs clients éligibles. 25 septembre 2002
Paris, le 17 octobre 2002 COMPTE RENDU Atelier-débat avec les futurs clients éligibles 25 septembre 2002 *** I La fourniture d électricité... 2 Les clients éligibles peuvent-ils acheter leur électricité
Plus en détailLa tendance au regroupement : comment réussir à naviguer dans un tel contexte
Étude technique La tendance au regroupement : comment réussir à naviguer dans un tel contexte Les technologies de l'information appliquées aux solutions d'affaires MC Totalité du contenu 2006 par le Groupe
Plus en détailET COMMENT FONT-ELLES?
Le syndicat de l innovation www.synnov.org LES ENTREPRISES FAMILIALES SONT-ELLES PLUS INNOVANTES? ET COMMENT FONT-ELLES? A L EDHEC MARDI 16 OCTOBRE 2013 LES ENTREPRISES FAMILIALES SONT ELLES PLUS INNOVANTES?
Plus en détailMETTRE LE NUMÉRIQUE AU SERVICE D UN NOUVEAU MODÈLE DE BIBLIOTHÈQUE
1 METTRE LE NUMÉRIQUE AU SERVICE D UN NOUVEAU MODÈLE DE BIBLIOTHÈQUE Architectures Numériques d'informations. Usages, Contenus et Technologies. Paris, 2 juillet 2010 L emprunteur se fait rare 2 Evolution
Plus en détailRÈGLEMENT DU JEU «INSTANT GAGNANT»
RÈGLEMENT DU JEU «INSTANT GAGNANT» ARTICLE 1 IDENTIFICATION DES PARTIES La société MEDIAPLAZZA, sise au 68, rue des Archives, 75003 Paris, immatriculée au RCS de Paris sous le numéro 430 325 811 et représentée
Plus en détailPROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
77 PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE Les lois fédérales sur les brevets, le droit d auteur et les marques de commerce assurent la protection de la propriété intellectuelle au Canada. Le Canada a signé l Accord
Plus en détailOFFICE NATIONAL DE L ÉNERGIE. DEMANDE DE PERMIS D EXPORTATION D ÉLECTRICITÉ Hydro-Québec
OFFICE NATIONAL DE L ÉNERGIE DEMANDE DE PERMIS D EXPORTATION D ÉLECTRICITÉ Conformément à la Loi sur l Office national de l'énergie, S.R.C. 1985, c. N-7 et au Règlement de l Office national de l énergie
Plus en détail