Troubles du sommeil chez les aidants à domicile de patients atteints de démence
|
|
- Lucile Trudeau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L Encéphale (2010) 36, Disponible en ligne sur journal homepage: PSYCHOGÉRIATRIE Troubles du sommeil chez les aidants à domicile de patients atteints de démence Sleep disturbances in home caregivers of persons with dementia P. Thomas a,, C. Hazif-Thomas b, M. Pareault a, F. Vieban a, J.-P. Clément a a Centre mémoire de ressources et de recherche, service hospitalo-universitaire de psychogériatrie, 15, rue du Docteur-Marcland, Limoges cedex, France b Centre mémoire de proximité, service de psychiatrie du sujet âgé, CHG de Quimperlé, Quimperlé, France Reçu le 1 er octobre 2008 ; accepté le 29 juin 2009 Disponible sur Internet le 23 septembre 2009 MOTS CLÉS Sommeil ; Insomnie ; Automédication ; Aidants ; Démence ; Maladie d Alzheimer Résumé Contexte. Des estimations suggèrent que plus de adultes sont des aidants de personnes démentes et qu un grand nombre présente, à un moment ou à un autre de leur engagement auprès du malade, diverses altérations de leur sommeil. Les professionnels de santé sont à même de repérer et gérer ces difficultés qui, compte tenu de leur ampleur, sont un enjeu de santé public. Objectif. Étude prospective du retentissement sur le sommeil de l aidant principal de la prise en charge d un patient dément vivant à domicile. Elle porte sur deux populations. Un groupe témoin concerne 86 personnes âgées vivant dans ou aux alentours de Limoges (France) et qui ont été contactées pour participer à l étude par leur club du troisième âge. L autre groupe concerne 98 aidants de personnes atteintes de démence, vivant à leur domicile et dont l examen a été réalisé lors d une consultation du malade. Dans chaque groupe, les personnes répondaient à un questionnaire pour décrire leurs possibles troubles du sommeil. Résultats. Les aidants sont en butte à davantage de troubles du sommeil que les personnes âgées n ayant pas de tels soucis. Les problèmes de sommeil des aidants sont souvent liés à des difficultés similaires chez le malade. Les aidants sont plus souvent hypertendus ou dépressifs. Ils prennent davantage de médicaments et s automédiquent plus souvent. Discussion. Trois facteurs majeurs de troubles du sommeil de l aidant sont ici relevés dans cet article : l apparition chez les aidants d éléments de vie qui rompent avec les habitudes du sommeil, le poids du fardeau qui les expose à la dépression et les risques pour la santé de l aidant. Un traitement efficace des troubles du sommeil de l aidant nécessite une prise en compte vigilante de ces trois facteurs. L Encéphale, Paris, Auteur correspondant. Adresse philippe.thomas@ch-esquirol-limoges.fr (P. Thomas) /$ see front matter L Encéphale, Paris, doi: /j.encep
2 160 P. Thomas et al. KEYWORDS Sleep; Insomnia; Self-medication; Caregivers; Dementia; Alzheimer s disease Summary Background. Estimates suggest that there are more than 700,000 adult caregivers of persons with dementia in this country, a large number of whom experience some form of sleep disturbance during the course of their caregiving career. Health care professionals are in the best position to detect and address this significant public health problem. Objectives. Prospective study of sleep with the main caregivers providing home-care for demented patients. Methods. This study was performed on elderly persons living at home. Two populations were concerned. The control group concerned 86 old persons living in the area of Limoges (France) and was contacted to join by the senior clubs of this city. The other group concerned caregivers to persons with dementia, living with them at home, and the assessments were done during the patient assessment. Each group had a cognitive evaluation by a Folstein s test and answered a questionnaire to describe their possible sleep difficulties. Results. Sixty-eight caregivers face sleep disturbance versus 25 non-caregiver controls. Caregiver sleep-problems are often linked to sleep disturbances in the care-recipient. Night-time awakenings by persons with dementia are a common precipitating cause of sleep/wake disturbances in vulnerable caregivers. Caregivers awake 2.3 times during the night versus 1.2 for control persons. Caregivers awake earlier (around 6:20) than non-caregivers (around 7:05) and their sleep time is shorter by one hour. Caregivers are more often depressed (28 in 98 versus 13 in 86) and have more often high blood pressure (56 in 98 versus 24 in 86). They received more medications and used more often self-medication. Discussion. Three major contributors to caregiver sleep-disturbance are pointed in this paper: the apparition of caregiver disrupted sleep routines, caregiver burden and depression and the caregiver s physical health status. Successful treatment of a caregiver s sleep disturbance requires careful consideration of each of these contributors. Non-pharmacological options are generally recommended as a first line of treatment for managing sleep disturbances in older adults, including caregivers of persons with dementia. L Encéphale, Paris, Les aidants de patients déments à domicile sont en butte à de nombreuses difficultés. Outre la charge de travail et le coût financier représenté par l engagement auprès du malade, des difficultés psychologiques se font rapidement jour en raison de la durée ou de la lourdeur de la prise en charge et de l aggravation progressive de la maladie avec son cortège de dépendance et de troubles du comportement. L anxiété et la dépression se rencontrent fréquemment chez eux. Les troubles du sommeil du malade sont parmi les causes le plus fréquemment citées par les aidants pour expliquer la nécessité de l institutionnalisation du malade [7]. Rapidement, ils ont un retentissement sur le sommeil de l aidant et son état de santé. Cet article vise à regarder l importance des troubles du sommeil chez les aidants, à évaluer leur risque sur la santé de l aidant et à regarder les liens qu ils peuvent avoir avec l état du malade. Une comparaison est faite entre une population d aidants et une population témoin de personnes âgées d âge comparable. Méthodes Chaque aidant ou chaque personne du groupe témoin était invité à participer à l étude et son accord écrit était requis. Le protocole de l étude a été soumis et approuvé par le président du Comité de protection de la personne humaine le 29 novembre Lors d une consultation spécialisée, psychiatrique ou gériatrique, couplée à la réalisation d une consultation du malade dément pour les aidants, le médecin lui proposait de répondre à un questionnaire en 20 points sur son sommeil, les pathologies auxquelles il était exposé et les traitements habituellement reçus, l utilisation éventuelle d hypnotiques ou d une automédication régulière (plus de cinq fois par semaine). Compte tenu de la fréquence des troubles cognitifs dans la tranche d âge de la population étudiée et d un possible retentissement de ceux-ci sur le sommeil, il était proposé, aux personnes de la population témoin et chez les aidants, sans caractère d obligation, d évaluer leurs performances cognitives par un test Mini Mental Test (MMSE) de Folstein [5] au cours d une consultation auprès d un médecin investigateur. Le médecin relevait systématiquement le niveau de l atteinte cognitive du malade dément par le même test, le diagnostic du type de démence et les problèmes éventuels de sommeil du malade. Les personnes du groupe témoin ont été contactées par les clubs du troisième âge de Limoges et n avaient comme critère d exclusion que le fait de s occuper d un malade à domicile. Proposition sans obligation leur était faite de venir en consultation mémoire. Les aidants ont été contactés par les médecins des diplômes universitaires de psychogériatrie de Limoges (Pr Clément) et d Ivry (Pr Belmin), par les médecins du service universitaire de psychogériatrie de Limoges et de Quimperlé et du centre de mémoire, de ressources et de recherche du Limousin. Les critères d inclusion étaient d être l aidant principal d un patient dément vivant avec lui à domicile. La définition prise pour cet aidant était un individu qui aide régulièrement et bénévolement un proche
3 Troubles du sommeil chez les aidants à domicile de patients atteints de démence 161 Tableau 1 Populations étudiées. Characteristics of the studied populations. H/F Âge MMSE Population témoin 28/58 72,1 ± 7,9 [60 89] 27,9 ± 2,6 [22 30] Aidants de dément 37/61 73,1 ± 7,2 [56 87] 29,4 ± 3,1 [22 30] Total 65/119 72,6 ± 8,0 [56 89] 28,9 ± 1,9 [22 30] H/F : hommes/femmes. H/F: men/women. dément, qui vit avec ce proche au moins depuis six mois [23]. Il n y avait pas de critère d exclusion. Proposition sans obligation leur était faite, comme pour la population témoin de venir en consultation mémoire. Les critères appliqués au diagnostic étaient ceux de McKeith et al. pour la maladie à corps de Lewy [14] et ceux de l American Association pour la maladie d Alzheimer [1]. Les tests statistiques utilisés ont été le Chi 2 pour les comparaisons d effectifs, le test t de Student pour les comparaisons de moyennes des variables quantitatives suivant la loi normale et le test non paramétrique de Mann- Whitney dans un autre cas : comparaison des heures de réveil. Résultats Quatre-vingt-six personnes ont été recrutées pour constituer le groupe témoin et 98 aidants ont accepté de répondre au questionnaire. Trente-trois personnes du groupe témoin et 46 aidants ont demandé à bénéficier d un test de Folstein. Le Tableau 1 présente les caractères généraux de ces deux populations. Les aidants s occupaient de 98 malades déments âgés de 78,07 ± 5,5 ans et ayant un MMSE moyen de 17,7 ± 6,3. Soixante-douze malades présentaient une démence de type Alzheimer et 26 une maladie à corps de Lewy. Les MMSE des premiers étaient significativement moins altérés que celui des seconds, respectivement 16,4 ± 6,5 et 21,4 ± 3,9 (t = 4,61 ; p < 0,001). Caractéristiques des nuits des aidants Vingt-cinq personnes du groupe témoin disent mal dormir contre 68 parmi les aidants (Chi 2 = 29,78 ; p < 0,001). Il n a pas été relevé ici de différence significative quant au genre des personnes interrogées, ou encore à leur niveau cognitif au MMSE. Les personnes des deux groupes utilisent la sieste l après-midi dans les mêmes proportions (20 %). Vingt-deux personnes témoins sur 86 signalent une fatigue matinale au réveil contre 65 aidants sur 98 (Chi 2 = 30,5 ; p < 0,001). Il n y a pas plus de cauchemars dans l un ou l autre des groupes et, si davantage d aidants se plaignent de difficultés d endormissement, 40 contre 27 dans le groupe témoin, la différence n est pas significative. Le Tableau 2 présente les caractéristiques des nuits de ces groupes. Les aidants se réveillent significativement plus souvent et plus tôt et ont des nuits plus brèves que les autres personnes âgées. Liens entre sommeil de l aidant et malade Il existe des liens entre les troubles du sommeil de l aidant et ceux du malade. Le MMSE des malades lorsque l aidant dort mal est à 16,8 ± 6,7 contre 19,7 ± 5,0 dans l autre cas (t = 2,40 ; p < 0,05). Même si le MMSE des malades atteints de démence à corps de Lewy est moins dégradé, cette maladie génère davantage de troubles du sommeil chez l aidant. Parmi les 68 aidants qui disent mal dormir, 46 s occupent d un malade Alzheimer et 22 d une maladie à corps de Lewy. Seuls quatre aidants s occupant de cette dernière démence déclarent bien dormir (Chi 2 = 3,86 ; p < 0,05). Sur ces 68 aidants qui déclarent mal dormir, 59 signalent que le malade dort mal. Seuls quatre aidants qui disent bien dormir signalent des difficultés de sommeil chez leur patient (Chi 2 = 48,8 ; p < 0,01). Toujours sur les 68 aidants qui déclarent mal dormir, 41 signalent que le malade a des cauchemars et seuls cinq qui disent bien dormir signalent ce problème chez leur patient (Chi 2 = 15,9 ; p < 0,01). Vingttrois aidants signalent que les patients ont une inversion du rythme veille sommeil. Tous déclarent mal dormir. Lorsque l aidant dort bien, le malade se réveille moins d une fois par nuit (0,9 ± 0,8) et lorsqu il dort mal, le malade se réveille plus de deux fois (2,2 ± 1,1 ; t = 6,10 ; p < 0,01). Problèmes de santé associés chez l aidant Les problèmes de santé suivants, susceptibles d interférer avec le sommeil, ont été recherchés par l interrogatoire Tableau 2 Caractéristiques du sommeil des deux populations. Sleep characteristics of the populations. Nombres de réveils/nuit a Heures sommeil/nuit b Heure réveil/matin c Témoins 1,2 ± 0,9 [0 4] 7,3 ± 1,6 [4 10] 7 h 05 ± 1h10 Aidants 2,3 ± 1,4 [0 8] 6,3 ± 1,6 [0 9] 6 h 22 ± 1h16 a t = 6,72 ; p < 0,001. b t = 4,69 ; p < 001. c U test Mann-Whitney = 5674 ; p < 0,001.
4 162 P. Thomas et al. Tableau 3 Pathologies associées chez l aidant. Caregivers associated pathologies. Problèmes cardiovasculaires Hypertension artérielle Diabète Difficultés mictionnelles Problèmes thyroïdiens Maladie de Parkinson Douleurs Dépression traitée Témoins Aidants Tableau 4 Présentation de la consommation médicamenteuse dans les deux populations. Drugs used in the two subpopulations. Nombres de médicaments a Hypnotiques b Automédication c Témoins 2,35 ± 2,37 [0 12] Aidants 3,40 ± 2,21[0 6] a t = 3,133 ; p = 0,002. b Chi 2 = 6,22 ; p = 0,013. c Chi 2 = 4,30 ; p = 0,038. dans les deux populations étudiées : problèmes cardiovasculaires en dehors de l hypertension, hypertension artérielle, diabète, difficultés mictionnelles, problèmes thyroïdiens, maladie de Parkinson, existence de douleurs chroniques et dépression traitée (Tableau 3). Seules l existence d une hypertension connue (Chi 2 = 11,95 ; p < 0,001) et l existence d une dépression traitée au moment de la consultation sont significativement plus fréquentes chez les aidants (Chi 2 = 4,78 ; p = 0,029). Médicaments pris par l aidant La population qui dort mal, aussi bien chez les témoins que chez les aidants, prend statistiquement davantage d hypnotiques et s automédique plus que celle qui dort bien. Parmi les 93 personnes qui dorment mal, dans les deux groupes étudiés, 44 ont recours à des hypnotiques (Chi 2 = 15,6 ; p = 0,001) et 31 à une automédication (Chi 2 = 8,02 ; p = 0,005). Le Tableau 4 présente la consommation médicamenteuse des deux populations étudiées. Les aidants consomment davantage de médicaments que la population témoin, prennent plus souvent des hypnotiques et utilisent plus souvent l automédication. Les hypnotiques prescrits par les médecins, dans les deux populations et à égalité de répartition, sont pour moitié des hypnotiques à demi-vie courte, pour moitié des benzodiazépines à demivie longue. Les aidants utilisent très fréquemment des hypnotiques à durée de vie courte (17 fois) ou longue (quatre fois) en automédication, quand ces traitements ne sont jamais utilisés dans cette circonstance dans la population témoin. Les autres produits utilisés, comparables dans les deux populations, sont les tisanes, le thé ou le café et plus rarement l alcool. Discussion La population d aidants de patients déments vivant à domicile est davantage exposée à des problèmes de sommeil qu une population d âge comparable sans le même type de contrainte. Elle est vulnérable au plan santé, l hypertension artérielle et la dépression étant ici plus fréquentes. Elle prend davantage de médicaments et s automédique davantage. Les médicaments utilisés pour dormir ne sont pas toujours des hypnotiques d activité rapide à durée de vie brève (zolpidem ou zopiclone) qui génèrent moins de sédation durant la journée que les benzodiazépines à durée de vie longue, qui de plus retentissent sur le sommeil paradoxal. L étude comporte cependant des biais, en particulier ne sont évalués ici que les aidants suivis par des spécialistes. Nombre d entre eux qui comptent parmi les plus vulnérables échappent à la surveillance médicale lorsque le malade n a pas un suivi spécifique. De plus la plainte sommeil est sollicitée par l interrogatoire, mais la pratique clinique montre que l aidant d un patient dément est volontiers en retrait de ses propres difficultés, derrière celles du malade [13]. C est dans ce contexte que nombre d aidants ont décliné la passation d un test de Folstein et on peut interpréter ce «retrait» comme une conduite d évitement en lien avec une certaine anxiété ; ce sont ces mêmes aidants qui parfois déclinent un traitement antidépresseur sous prétexte de la crainte alléguée que ce dernier amputerait leur mémoire. Pour le groupe témoin, d autres raisons peuvent être avancées : manque de disponibilité pour une situation de test vécue comme scolaire, refus de se projeter dans une problématique de perte d autonomie, attitude ambivalente quant à la participation authentique à une étude scientifique... La phobie d implication peut encore relier les témoins dans une certaine «timidité» et n est pas sans évoquer la question de la diminution des engagements si fréquente chez nombre de sujets âgés démotivés, plus exposés que d autres à un risque d altération cognitive. Trois types de facteurs influencent les troubles du sommeil de l aidant Les troubles du sommeil de l adulte sont influencés par trois types de facteurs (modèle 3P de Spielman) : prédisposant, précipitant et pérennisant [21]. Ces facteurs ne sont pas
5 Troubles du sommeil chez les aidants à domicile de patients atteints de démence 163 indépendants de la démence et de son retentissement sur la personne qui prend en charge un malade. Les femmes âgées, de santé fragile, sont fréquemment engagées dans le soin d un époux ou d un parent présentant des troubles cognitifs [23]. L âge avancé, le genre féminin, les problèmes de santé sont des facteurs «prédisposant» de la désorganisation du sommeil. Non seulement leur sommeil est plus fragile que chez les jeunes, mais l évolution chronique est aussi plus fréquente [3]. Plus que les hommes, les femmes âgées sont exposées à des apnées obstructives du sommeil ou à un syndrome des jambes sans repos [4]. Dans cette étude le risque spécifique des femmes n est pas relevé, mais hommes et femmes aidants sont exposés aux deux autres facteurs. Ces facteurs «prédisposant» potentialisent l effet des facteurs «précipitant» : changement des rituels d endormissement du fait de l anxiété et rupture du calme de la nuit en raison des troubles du comportement nocturnes du malade. Bien souvent l aidant ne dort que d un œil en raison des risques auxquels peut s exposer le malade et cette hypervigilance facilite les réveils nocturnes [10]. L aidant vulnérable aura de grandes difficultés à redormir après avoir été réveillé au milieu de la nuit pour changer le malade, le rassurer, lui faire regagner son lit lorsqu il a une inversion du rythme veille sommeil. L aidant a aussi souvent une relation affective forte avec le malade. Certains facteurs rendent pérennes ces troubles. Lorsque les circonstances qui ont conduit à des troubles du sommeil disparaissent, ceux-ci perdurent. Trois éléments sont importants pour expliquer cette problématique : l acquisition par l aidant d une mauvaise hygiène de sommeil, son épuisement du fait du fardeau supporté, son état de santé enfin, notamment son anxiété et sa dépression éventuelle. Les essais de restaurer le sommeil sous assistance médicale ou par automédication peuvent s avérer désastreux : prise prolongée et sans réel contrôle médical d hypnotiques, excès de temps de sieste compensateur dans la journée, café pris en abondance pour se tenir éveillé, consommation d alcool ou de diverses automédications pour trouver un sommeil qui se dérobe. Aux problèmes «précipitant» liés au malade s ajoutent les conséquences d une mauvaise hygiène de vie qui cristallisent durablement les troubles du sommeil et qui perdurent parfois alors que le malade est institutionnalisé ou qu il est décédé [12]. Le deuil de la personne jusque-là en soin ajoute un poids de douleur morale qui ne facilite pas un bon sommeil [12]. On pourrait comparer la situation de l aidant à celle des ouvriers qui font les «trois huit» et qui sont censés être alertes et disponibles la nuit comme le jour. Les conséquences pour la vie quotidienne sont notables : fatigue matinale, tendance à l endormissement dans la journée, manque de disponibilité affective et irritation pour un rien, stress, anxiété et dépression, risque accru d accident domestique ou de la vie quotidienne. Le niveau du fardeau des soins à donner au malade est un facteur de stress important qui fixe et pérennise les troubles du sommeil. De ce fardeau lié à la progression de l atteinte cognitive, résultent des problèmes physiques, psychologiques ou émotionnels, sociaux et financiers qui s abattent sur les épaules d un aidant naturel en charge d un adulte dépendant. À coté du fardeau objectif qui a un impact direct sur le sommeil comme les errances nocturnes du malade, l agitation physique et l incontinence, s ajoute un fardeau subjectif lié à la dépression du malade, l impression de solitude dans les soins de l aidant, la raréfaction des visites au fur et à mesure de la progression de la maladie, les changement non désirés des rôles familiaux ou des modalités relationnelles avec le malade [23]. La perte de maîtrise dans la gestion du quotidien de la maisonnée s aggrave progressivement et l aidant est de plus en plus noyé dans des tâches ingrates. Tous ces facteurs se combinent et vont engendrer un risque de morbidité et de mortalité [18]. Dernier facteur rendant pérennes les troubles du sommeil, l état de santé de l aidant se détériore avec la longue durée de prise en charge [23]. L anxiété de l aidant croît devant une situation qui se détériore et dont il ne sait de quoi elle sera faite demain. Les troubles du sommeil désormais bien installés facilitent le glissement de l aidant dans la dépression, ce qui, bien sûr, ne favorise pas la gestion du stress [22]. Dépression et anxiété s accompagnant volontiers de trouble du sommeil. Une boucle vicieuse est ainsi ouverte. Le stress de l aidant est directement lié au fardeau, la coexistence d une dépression et d insomnie exposent à un risque suicidaire, ce dont la presse rend régulièrement compte [11,16,24]. D autres raisons mal connues interviennent et il se peut que les moments de communication parfois plus faciles à vivre la nuit font de l inversion rythme veille sommeil une réalité encore peu appréhendée dans sa nature exacte, poussant paradoxalement l aidant à lui-même «inverser» sa vision de l hygiène de vie, d où un décalage croissant avec les attendus habituels de son environnement. Une guidance familiale et un programme de soutien psycho-éducationnel peuvent ici avoir du sens afin d aider l aidant à rester ancré dans la réalité sociale. La prise en charge au long cours d un malade dément s accompagne fréquemment de problèmes somatiques qui peuvent engendrer des difficultés à dormir : majoration du ressenti des douleurs, perte de poids [23], hypertension artérielle [6], problèmes cardiovasculaires [25]. L accès aux soins pour l aidant n est pas toujours aisé et nombre d entre eux soit ne se soignent pas ou mal, soit ne sont pas compliants aux prescriptions ou n utilisent pas suffisamment de temps pour la convalescence après un accident de santé [2,23]. La prise en charge des troubles du sommeil de l aidant Les troubles du sommeil de l aidant doivent être dépistés, en particulier lors des consultations du malade, surtout si celui-ci présente lui-même des problématiques nocturnes. Une éducation de l aidant est nécessaire pour prévenir les troubles et leur pérennisation : récupération des rituels d endormissement et d une bonne hygiène de vie. Un temps pour la sieste est indispensable lorsque les nuits sont rendues difficiles par un malade agité ou errant. Mais le temps du sommeil l après-midi doit être limité. Se conserver dans la journée des créneaux de temps à soi, de plaisir à faire, pour se recréer fait partie d une bonne hygiène de vie
6 164 P. Thomas et al. [15]. Nombre de techniques comportementales destinées à retrouver une hygiène de sommeil incluent cette dimension [20]. L activité physique, les promenades avec le malade restant longtemps possibles, la relaxation, la méditation, le yoga ont montré une efficacité sur le stress des aidants et le rythme de leur sommeil [26]. Dans l ensemble, les aidants font moins d exercice physique que les personnes de leur âge [17,19]. L exercice physique régulier, adapté à l état de santé et à la condition physique de la personne, après un avis médical, réduit le risque ou les conséquences du nombre de morbidités fréquent dans l âge avancé. Il améliore la qualité du sommeil et a un impact favorable sur le rythme circadien [8]. Les aidants présentant des troubles du sommeil doivent être examinés et pris en charge par leur médecin de famille et il est bien entendu que la prescription d un hypnotique n est pas la panacée mais un palliatif temporaire. La prise en charge d une dépression, la réduction du stress dans le soin de la personne démente par une pédagogie et la mise en œuvre de solution de répits et une aide aux aidants sont indispensables. Une prise en charge dans un groupe thérapeutique type bien-être est ici intéressante à promouvoir en tant que piste préventive pour mieux prendre les besoins de cette population particulièrement fragile. Dans ce cadre, une pratique de relaxation ou de Shiatsu. Littéralement, Shiatsu signifie pression (atsu) des doigts (shi) : c est donc une stimulation du corps par les mains, les doigts, issue d une pratique traditionnelle chinoise (age-old-therapy). Cette pratique se base sur la tendance naturelle du corps à se guérir lui-même et la stimule. Ce soin peut ainsi aider à appréhender les somatisations si fréquentes chez les aidants débordés. On note en effet que les troubles directement liés à un état de tensions musculaires (gorge serrée, estomac noué, etc.) semblent être nettement améliorés à la suite des séances de Shiatsu [9]. Conclusion Les aidants de patients déments à domicile sont davantage exposés aux troubles du sommeil que les autres personnes de leur âge. L insomnie est source d une comorbidité somatique et psychiatrique. La prise en charge des difficultés du sommeil de l aidant passe par une aide aux aidants pour réduire les conséquences des facteurs précipitant. La prévention de ces troubles nécessite un dépistage systématique des facteurs pérennisant l insomnie des aidants. La thérapeutique des troubles du sommeil de l aidant, lorsqu ils sont institués, passe par des solutions non médicamenteuses et une adaptation des psychothérapies incluant des programmes de gestion du stress. Références [1] American Psychiatric Association.Diagnostic and statistical manual of mental disorders. 4th ed., text revised Washington, DC: APA; [2] Burton LC, Newsom JT, Schulz R, et al. Preventive health behaviors among spousal caregivers. Prev Med 1997;26(2): [3] Buysse DJ, Monk TH, Carrier J, et al. Circadian patterns of sleep, sleepiness, and performance in older and younger adults. Sleep 2005;28(11): [4] Cooke JR, Ancoli-Israel S. Sleep and its disorders in older adults. Psychiatr Clin North Am 2006;29(4): , abstract x-xi. [5] Folstein MF, Folstein SE, McHugh PR. Mini-mental state. A practical method for grading the cognitive state of patients for the clinician. J Psychiatr Res 1975;12(3): [6] Goldstein IB, Ancoli-Israel S, Shapiro D. Relationship between daytime sleepiness and blood pressure in healthy older adults. Am J Hypertens 2004;17(9): [7] Hope T, Keene J, Gedling K, et al. Predictors of institutionalization for people with dementia living at home with a carer. Int J Ger Psychiatry 1998;13: [8] King AC, Oman RF, Brassington GS, et al. Moderate-intensity exercise and self-rated quality of sleep in older adults. A randomized controlled trial. JAMA 1997;277(1):32 7. [9] Long A. The effectiveness of shiatsu: findings from a cross-european, prospective observational study. J Altern Complement Med 2008;14(8): [10] Mahoney DF. Vigilance, evolution and definition for caregivers of family members with Alzheimer s disease. J Gerontol Nurs 2003;29(8): [11] Malphurs JE, Eisdorfer C, Cohen D. A comparison of antecedents of homicide-suicide and suicide in older married men. Am J Geriatr Psychiatry 2001;9(1): [12] McCrae CS, Rowe MA, Tierney CG, et al. Sleep complaints, subjective and objective sleep patterns, health, psychological adjustment, and daytime functioning in communitydwelling older adults. J Gerontol B Psychol Sci Soc Sci 2005;60(4):P [13] McCurry SM, Pike KC, Vitiello MV, et al. Factors associated with concordance and variability of sleep quality in persons with Alzheimer s disease and their caregivers. Sleep 2008;31(5): [14] McKeith IG, Fairbairn AF, Perry RH, et al. The clinical diagnosis and misdiagnosis of senile dementia of Lewy body type (SDLT). Br J Psychiatry 1994;165(3): [15] Ory MG, Hoffman 3rd RR, Yee JL, et al. Prevalence and impact of caregiving: a detailed comparison between dementia and nondementia caregivers. Gerontologist 1999;39(2): [16] Roscoe LA, Malphurs JE, Dragovic LJ, et al. Antecedents of euthanasia and suicide among older women. J Am Med Womens Assoc 2003;58(1):44 8. [17] Schulz R, Beach S, Ives D, et al. Association between depression and mortality in older adults: the Cardiovascular Health Study. Arch Intern Med 2000;160(12): [18] Schulz R, Martire LM. Family caregiving of persons with dementia: prevalence, health effects, and support strategies. Am J Geriatr Psychiatry 2004;12(3): [19] Schulz R, Newsom J, Mittelmark M, et al. Health effects of caregiving: the caregiver health effects study: an ancillary study of the Cardiovascular Health Study. Ann Behav Med 1997;19(2): [20] Singh NA, Clements KM, Fiatarone MA. A randomized controlled trial of the effect of exercise on sleep. Sleep 1997;20(2): [21] Spielman AJ, Nunes J, Glovinsky PB. Insomnia Neurol Clin 1996;14(3): [22] Spira AP, Friedman L, Aulakh JS, et al. Subclinical anxiety symptoms, sleep, and daytime dysfunction in older adults with primary insomnia. J Geriatr Psychiatry Neurol 2008;21(2): [23] Thomas P, Hazif-Thomas C. Family support and Alzheimer s disease patient. Clin Geriatr 1997;5(11):53 71.
7 Troubles du sommeil chez les aidants à domicile de patients atteints de démence 165 [24] Turvey CL, Conwell Y, Jones MP, et al. Risk factors for late-life suicide: a prospective, community-based study. Am J Geriatr Psychiatry 2002;10(4): [25] Vitaliano PP, Russo J, Scanlan JM, et al. Weight changes in caregivers of Alzheimer s care recipients: psychobehavioral predictors. Psychol Aging 1996;11(1): [26] Waelde LC, Thompson L, Gallagher-Thompson D. A pilot study of a yoga and meditation intervention for dementia caregiver stress. J Clin Psychol 2004;60(6):
Sommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010
Sommeil et sport Structure du sommeil Au cours du sommeil, on repère 2 principaux types de sommeil : Le sommeil lent. Le sommeil paradoxal. Processus de régulation 3 processus: - circadienne (processus
Plus en détailPrésentation: Aline Mendes
Présentation: Aline Mendes Définition et aspects épidémiologiques; Parcours d un aidant et survenue du fardeau; Modalités d intervention; Institutionnalisation; L aidant professionnel; Réseau à Genève.
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailL aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009
L aide aux aidants Aude Comberieu Psychologue clinicienne Hôpital Émile Roux Capacité de gériatrie mars 2009 Définition L aidant naturel L aidant non professionnel L aidant familial «L aidant familial
Plus en détail> Présentation du programme... 3. > Peps Eurêka - Mémoire : Pour donner du Peps à ses neurones et à sa vie... 4
2 SOMMAIRE > Présentation du programme... 3 > Peps Eurêka - Mémoire : Pour donner du Peps à ses neurones et à sa vie... 4 > L Équilibre, où en êtes-vous? : Prévenir les chutes et apprendre à se relever
Plus en détailAgenda. Prevalence estimates in France PAQUID 23/11/14. Workshop Innovation Alzheimer 6 Novembre 2014. Atelier BANQUE NATIONALE ALZHEIMER
23/11/14 Workshop Innovation Alzheimer 6 Novembre 2014 Atelier BANQUE NATIONALE ALZHEIMER Agenda La Banque Nationale Alzheimer Exemples d application Quelles potentialités pour la BNA? (à quelles conditions?)
Plus en détailMedication management ability assessment: results from a performance based measure in older outpatients with schizophrenia.
Medication Management Ability Assessment (MMAA) Patterson TL, Lacro J, McKibbin CL, Moscona S, Hughs T, Jeste DV. (2002) Medication management ability assessment: results from a performance based measure
Plus en détailGina Sanders. Troubles du sommeil : banal... mais pas fatal!
Gina Sanders Troubles du sommeil : banal... mais pas fatal! Tous concernés! De quoi s agit-il? encontrer ponctuellement des dif cultés pour s endormir, se réveiller en pleine nuit ou se retrouver debout
Plus en détailLes Français et leur sommeil Dossier de presse Mars 2008
Les Français et leur sommeil Dossier de presse Mars 2008 1 Sommaire Enquête sur les représentations, les attitudes, les connaissances et les pratiques du sommeil des jeunes adultes en France...3 Les durées
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailHospital Anxiety and Depression Scale (HADS)
dmt Risques psychosociaux : out ils d é va lua t ion FRPS 13 CATÉGORIE ATTEINTE À LA SANTÉ PHYSIQUE ET MENTALE Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) LANGEVIN V.*, FRANÇOIS M.**, BOINI S.***, RIOU
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailMadame, Monsieur, André GILLES, Député permanent chargé de l Enseignement et de la Formation.
Madame, Monsieur, La santé est un bien précieux que chacun doit absolument apprendre à gérer au mieux de ses intérêts. Elle doit être prise sous tous ses aspects, c est-à-dire, non seulement comme l absence
Plus en détailLes prestations des services de soins infirmiers à domicile sont-elles toujours conformes aux prescriptions médicales?
Étude originale Les prestations des services de soins infirmiers à domicile sont-elles toujours conformes aux prescriptions médicales? Is the Care Given by the Home Nursing Care Service Always in Conformity
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailQuand le stress nous rend malade
Yuri Arcurs Quand le stress nous rend malade Tous concernés! De quoi s agit-il? Le stress stimule notre organisme pour qu'il s'adapte à une nouvelle situation, bonne ou mauvaise. Deux hormones sont alors
Plus en détailvous êtes en charge des services sociaux auprès d une collectivité locale ou territoriale,
Vous êtes un professionnel du corps médical ou des services sociaux, vous travaillez au sein d un établissement spécialisé, vous êtes en charge des services sociaux auprès d une collectivité locale ou
Plus en détail«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?»
«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» Dr Adeline Paris Unité de Pharmacologie Clinique Centre d Investigation Clinique
Plus en détailPratiques d éducation thérapeutique en psychiatrie. Enquête auprès des psychiatres hospitaliers d Aquitaine
L Encéphale (2013) 39, 205 211 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com journal homepage: www.em-consulte.com/produit/encep THÉRAPEUTIQUE Pratiques d éducation thérapeutique en psychiatrie. Enquête
Plus en détailPolitique du sommeil
Politique du sommeil Centre de la Petite Enfance Beauce-Sartigan Politique du sommeil Novembre 2012 Objectif; L objectif de cette politique est de guider le personnel éducateur et d informer les parents
Plus en détailUn danger vous guette Soyez vigilant
Un danger vous guette Soyez vigilant Vous prenez un sédatif-hypnotique Alprazolam (Xanax ) Chlorazépate Chlordiazépoxide Chlordiazépoxideamitriptyline Clidinium- Chlordiazépoxide Clobazam Clonazépam (Rivotril,
Plus en détailPOUR DIFFUSION IMMÉDIATE
POUR DIFFUSION IMMÉDIATE UN NOUVEAU TRAITEMENT À ADMINISTRATION MENSUELLE CONTRE LA SCHIZOPHRÉNIE, ABILIFY MAINTENA MC (aripiprazole à libération prolongée pour suspension injectable), EST MAINTENANT OFFERT
Plus en détailÉVALUATION DE L UTILISABILITÉ D UN SITE WEB : TESTS D UTILISABILITÉ VERSUS ÉVALUATION HEURISTIQUE
ÉVALUATION DE L UTILISABILITÉ D UN SITE WEB : TESTS D UTILISABILITÉ VERSUS ÉVALUATION HEURISTIQUE BOUTIN MARIO Centre de recherche informatique de Montréal (CRIM), 550, rue Sherbrooke Ouest, Bureau 100,
Plus en détailCONTRAT D ACCUEIL. Parents Assistant(e)s Maternel(le)s. Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin
CONTRAT D ACCUEIL Parents Assistant(e)s Maternel(le)s Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin Parents, assistant(e) maternel(le), L enfant est au cœur de vos préoccupations, la qualité
Plus en détailPROJET DE LOI 15 BILL 15. 1st Session, 56th 58th Legislature New Brunswick 63-6456 Elizabeth II, II, 2014-2015 2007
1st Session, 56th 58th Legislature New Brunswick 63-6456 Elizabeth II, II, 2014-2015 2007 1 re session, 56 58 e législature Nouveau-Brunswick 63-6456 Elizabeth II, II, 2014-2015 2007 BILL 15 PROJET DE
Plus en détailÉvaluation et traitement de l insomnie associée au cancer
Évaluation et traitement de l insomnie associée au cancer Josée Savard, Ph.D. Professeure titulaire École de psychologie, Université Laval Centre de recherche du CHU de Québec et Centre de recherche sur
Plus en détailSommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs
06 NOVEMBRE 2014 Sommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs Roger Godbout, Ph.D. Laboratoire et Clinique du sommeil, Hôpital Rivière-des-Prairies Département de psychiatrie, Université de Montréal
Plus en détailVertiges et étourdissements :
: comment être à la hauteur? Anthony Zeitouni, MD, FRCSC Présenté à la 71 e édition du Programme scientifique de l Association des médecins de langue française du Canada. Est-ce bien des vertiges? Il n
Plus en détail«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»
«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture
Plus en détailCarlo Diederich Directeur Santé&Spa. Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu
Carlo Diederich Directeur Santé&Spa Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu Mondorf Healthcare at work Nouveau service destiné aux entreprises en collaboration avec les Services de Médecine du Travail
Plus en détailLes troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson
Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson Comprendre la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson se définit classiquement par des troubles moteurs. Néanmoins, de nombreux autres symptômes,
Plus en détailL adhésion au traitement: les clés du succès
L adhésion au traitement: les clés du succès Dr Marie P. Schneider, pharmacienne Policlinique Médicale Universitaire Lausanne CHUV avril 005 Mme W.M. 970 Patiente d origine angolaise, en Suisse depuis
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailLa santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services
1 solidaire Apporter une réponse concrète aux besoins de la population en matière de santé, selon des principes fondamentaux de solidarité et d entraide. Développer un important réseau d œuvres sanitaires
Plus en détailLE Module 04 : SOMMEIL Module 04 :
Module 04 : le sommeil Module 04 : le sommeil Ce module comprend les sections suivantes : Messages clés Problèmes de sommeil courants Les médicaments et le sommeil Conseils provenant de familles sur les
Plus en détailROYAUME DE BELGIQUE / KINGDOM OF BELGIUM / KONINKRIJK BELGIE
1 ROYAUME DE BELGIQUE / KINGDOM OF BELGIUM / KONINKRIJK BELGIE Service Public Fédéral Affaires Etrangères, Commerce extérieur et Coopération au Développement Federal Public Service Foreign Affairs, External
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailCommuniqué de presse. Direction Communication Externe/Interne Sylvie Nectoux TEL : 01 44 34 65 73 Email : sylvie.nectoux@boehringeringelheim.
Les données des études pivots de phase III STARTVerso démontrent l'efficacité du faldaprevir * dans des populations de patients difficiles à guérir telles que celles co-infectées par le VIH et celles avec
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailKarine Côté, Ph.D. Professeure adjointe
Karine Côté, Ph.D. Professeure adjointe FORMATION 1999-2002 Post-doctorat, Law and Mental Health Program, Centre for Addiction and Mental Health et Université de Toronto. 1999 Ph.D. Psychologie - Recherche
Plus en détailINSTITUT MARITIME DE PREVENTION. For improvement in health and security at work. Created in 1992 Under the aegis of State and the ENIM
INSTITUT MARITIME DE PREVENTION For improvement in health and security at work Created in 1992 Under the aegis of State and the ENIM Maritime fishing Shellfish-farming Sea transport 2005 Le pilier social
Plus en détailProgramme Gym Après Cancer Fédération Française d Education Physique et Gymnastique Volontaire
11-056-060 article LOPEZ_Donnadieu 18/09/13 16:30 Page56 Programme Gym Après Cancer Fédération Française d Education Physique et Gymnastique Volontaire Elodie LOPEZ*, Charlène FALZON 1, Marie-Christine
Plus en détailLa recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique
2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique
Plus en détailPHOTO ROYAUME DE BELGIQUE /KINDOM OF BELGIUM /KONINKRIJK BELGIE. Données personnelles / personal data
1 ROYAUME DE BELGIQUE /KINDOM OF BELGIUM /KONINKRIJK BELGIE Service Public Fédéral Affaires Etrangères, Commerce et Coopération au développement Federal Public Service Foreign Affairs, External Trade and
Plus en détailSe libérer de la drogue
Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir
Plus en détailL analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves
L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves Cet atelier portera sur 1. la recherche dans la documentation de sources pertinentes; 2. l évaluation
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailLa schizophrénie est une maladie évolutive; elle comporte 5 phases, qui se succèdent souvent dans l ordre 2 :
Qui peut être atteint de schizophrénie? La schizophrénie est une maladie mentale qui touche environ 1 % de la population canadienne. Elle frappe autant les hommes que les femmes, et se déclare généralement
Plus en détailPOLITIQUE SUR LE SOMMEIL ET LA SIESTE
POLITIQUE SUR LE SOMMEIL ET LA SIESTE Table des matières INTRODUCTION... 2 POURQUOI UNE POLITIQUE SUR LE SOMMEIL ET LA SIESTE... 3 L'IMPORTANCE DE LA SIESTE ET DU RESPECT DES RYTHMES BIOLOGIQUES... 3 À
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailSanté mentale au travail Enjeu Clinique ou de Leadership? Maladie ou blessure?
Santé mentale au travail Enjeu Clinique ou de Leadership? Maladie ou blessure? Contexteet facteursqui devraient motiverl ACTIONet l INNOVATION Seulement 41% des employés croient pouvoir reconnaître une
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailMaladie d Alzheimer et maladies apparentées : suivi médical des aidants naturels
RECOMMANDATIONS DE BONNE PRATIQUE Maladie d Alzheimer et maladies apparentées : suivi médical des aidants naturels ARGUMENTAIRE Février 2010 1 Les recommandations et la synthèse des recommandations sont
Plus en détailIMMED Monitoring vidéo porté
IMMED Monitoring vidéo porté L indexation vidéo au service du soin des personnes Projet financé par PEPS S2TI CNRS et des bourses BQR de l Université Bordeaux 1 1 Contexte Maladies et dépendances liées
Plus en détail«La capacité à être seul», WINNICOTT
«La capacité à être seul», WINNICOTT La capacité d être seul est un signe des plus importants de la maturité du développement affectif. On repère chez le sujet ce qu il éprouve dans des situations de solitude,
Plus en détailLe bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009
Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif
Plus en détailCONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:
CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail
Plus en détailExemple PLS avec SAS
Exemple PLS avec SAS This example, from Umetrics (1995), demonstrates different ways to examine a PLS model. The data come from the field of drug discovery. New drugs are developed from chemicals that
Plus en détailL ergonomie au service du développement de l enfant. Par Nicole Delvolvé Ergonome nicole.delvolve@orange.fr reussite-pour-tous.overblog.
L ergonomie au service du développement de l enfant Par Nicole Delvolvé Ergonome nicole.delvolve@orange.fr reussite-pour-tous.overblog.fr 1. La cadre théorique de la réflexion proposée 2. Quelles connaissances
Plus en détailDEMANDE EN TRAITEMENT D ORTHODONTIE A MADAGASCAR : INFLUENCE DE L AGE, DU SEXE ET DU STATUT SOCIO-ECONOMIQUE.
DEMANDE EN TRAITEMENT D ORTHODONTIE A MADAGASCAR : INFLUENCE DE L AGE, DU SEXE ET DU STATUT SOCIO-ECONOMIQUE. RANDRIANARIMANARIVO HM, RASOANIRINA MO, ANDRIAMBOLOLO-NIVO OR, ANDRIAMBOLOLO-NIVO RD. Institut
Plus en détailONTARIO Court File Number. Form 17E: Trial Management Conference Brief. Date of trial management conference. Name of party filing this brief
ONTARIO Court File Number at (Name of court) Court office address Form 17E: Trial Management Conference Brief Name of party filing this brief Date of trial management conference Applicant(s) Full legal
Plus en détailL'Obésité : une épidémie?
Communiqué de presse 5 mars 2014 L'Obésité : une épidémie? Résultats de l'étude MGEN «Habitudes de vie et surpoids» 3 Français sur 4 se jugent en bonne santé, 1 sur 2 est en surpoids, 16% sont obèses 2/3
Plus en détailVERS L EXCELLENCE DANS LA FORMATION PROGRAMME D APPUI A LA QUALITE AMELIORATION SUPERIEUR DE LA QUALITE DE L ENSEIGNEMENT TITRE DU PROJET
PROGRAMME D APPUI A LA QUALITE AMELIORATION DE LA QUALITE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR TITRE DU PROJET VERS L EXCELLENCE DANS LA FORMATION ETABLISSEMENT GESTIONNAIRE DU PROJET ISET DE NABEUL JUILLET 2009
Plus en détailAIDE FINANCIÈRE POUR ATHLÈTES FINANCIAL ASSISTANCE FOR ATHLETES
AIDE FINANCIÈRE POUR ATHLÈTES FINANCIAL ASSISTANCE FOR ATHLETES FORMULAIRE DE DEMANDE D AIDE / APPLICATION FORM Espace réservé pour l utilisation de la fondation This space reserved for foundation use
Plus en détailFondation Health On the Net : Accès à l information de santé digne de confiance
Fondation Health On the Net : Accès à l information de santé digne de confiance Célia Boyer Directrice exécutive de la Fondation Liège, le 2 décembre 2013 Quelques chiffres sur l usage d Internet en santé
Plus en détailLes effets nocifs du bruit sur l'homme
La santé n'est pas seulement l'absence de maladie mais un état de complet bien être physique, mental et social (OMS) Le bruit est un ensemble confus de sons non désirés (Littré) ou un ensemble de sons
Plus en détailLes troubles du sommeil peuvent être objectivement améliorés chez les seniors par un programme personnalisé d éducation à la santé
Presse Med. 2007; 36: 1721 31 2007 Publié par Elsevier Masson SAS. en ligne sur / on line on www.masson.fr/revues/pm Les troubles du sommeil peuvent être objectivement améliorés chez les seniors par un
Plus en détailDéfinition. Recherche sur Internet. Quelques chiffres. Stress et enseignement. Symptômes 3 catégories de causes Le burn out Gestion du stress
Stress et enseignement Symptômes 3 catégories de causes Le burn out Gestion du stress Recherche sur Internet Moteur de recherche: GOOGLE Mots-clés: + stress + enseignement Nombre de pages francophones
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailQu avez-vous appris pendant cet exposé?
Qu avez-vous appris pendant cet exposé? Karl VINCENT, DC IFEC 2010 Diplôme Universitaire de Méthodes en Recherche Clinique Institut de Santé Publique d Epidémiologie et de développement ISPED Bordeaux
Plus en détailGuide de rédaction de références
Guide de rédaction de références Document préparé par: Susie Dallaire, pharmacienne Marie-Josée Demers, conseillère clinicienne à la DQSSER Nathalie Gauthier, conseillère clinicienne à la DQSSER Le 13
Plus en détailTHÈSE. présentée à TÉLÉCOM PARISTECH. pour obtenir le grade de. DOCTEUR de TÉLÉCOM PARISTECH. Mention Informatique et Réseaux. par.
École Doctorale d Informatique, Télécommunications et Électronique de Paris THÈSE présentée à TÉLÉCOM PARISTECH pour obtenir le grade de DOCTEUR de TÉLÉCOM PARISTECH Mention Informatique et Réseaux par
Plus en détailStress des soignants et Douleur de l'enfant
5e rencontre francophone Suisse et France voisine de la douleur chez l enfant Stress des soignants et Douleur de l'enfant Céline ROUSSEAU-SALVADOR Psychomotricienne - Psychologue Clinicienne Service d
Plus en détailIRBMS. Institut Régional de Biologie et de Médecine du Sport N ORD PAS- DE-CALAIS WWW. IRBMS. COM. Titre : «DECALAGE HORAIRE ET SPORT»
IRBMS http://www.irbms.com Institut Régional de Biologie et de Médecine du Sport N ORD PAS- DE-CALAIS WWW. IRBMS. COM Titre : «DECALAGE HORAIRE ET SPORT» Auteur(s) : J.-D. Guieu Catégorie : Sport Santé
Plus en détailTroubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003
Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19 Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Plans et objectifs Pendant la grossesse Troubles mineurs, dépressions
Plus en détail8. Cours virtuel Enjeux nordiques / Online Class Northern Issues Formulaire de demande de bourse / Fellowship Application Form
F-8a-v1 1 / 7 8. Cours virtuel Enjeux nordiques / Online Class Northern Issues Formulaire de demande de bourse / Fellowship Application Form Nom de famille du candidat Langue de correspondance Français
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailiceps 2015 Objectifs de la Présentation Efficacité des Thérapies Comportementales et Cognitives pour les Troubles Mentaux Swendsen
iceps 2015 Efficacité des Thérapies Comportementales et Cognitives pour les Troubles Mentaux Joel Swendsen, Ph.D. CNRS 5287 CNRS / Université de Bordeaux / EPHE Sorbonne Objectifs de la Présentation Tapez
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailPrise en charge du patient adulte se plaignant d insomnie en médecine générale
Recommandations pour la pratique clinique Prise en charge du patient adulte se plaignant d insomnie en médecine générale Recommandations Décembre 2006 Avec le partenariat méthodologique et le concours
Plus en détailTROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC)
TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC) Comprendre, prévenir et prendre en charge la clinique du mouvement et de l agir de l enfant Pierre Delion 1. Actualité Les enfants sont préoccupants sur ce point
Plus en détailMiroir de presse. International Recruitment Forum 9-10 mars 2015
Miroir de presse International Recruitment Forum 9-10 mars 2015 Contenu 1. L Agefi, 9'510 ex., 02.03.2015 2. Market, online, 12.3.2015 3. Studyrama, online, 13.3.2015 4. Venture Magazine, online, 15.3.2015
Plus en détailQUEL AVENIR POUR LA PHARMACIE HOSPITALIERE EN SUISSE?
QUEL AVENIR POUR LA PHARMACIE HOSPITALIERE EN SUISSE? Regard critique sur nos filières de formation Symposium GSASA, Berne, 12 mai 2009 André Pannatier 1 PLAN 1. Les filières de formation de base et postdiplôme
Plus en détailUNIVERSITY OF MALTA FACULTY OF ARTS. French as Main Area in an ordinary Bachelor s Degree
French Programme of Studies (for courses commencing October 2009 and later) YEAR ONE (2009/10) Year (These units start in and continue in.) FRE1001 Linguistique théorique 1 4 credits Non Compensatable
Plus en détailStakeholder Feedback Form January 2013 Recirculation
071 Stakeholder Feedback Fm January 2013 Recirculation A. How to Submit Your Comments 1. 2. 3. EMAIL: submissions@collegeofpsychotherapists.on.ca OR FAX: (416) 874-4079 OR MAIL: Consultations Transitional
Plus en détailSummer Institute/Institut d Été. in Medical Education/Pédagogie Médicale
«FLY HIGH DOC/VOL HAUT DOCTEUR» Summer Institute/Institut d Été. in Medical Education/Pédagogie Médicale Ospedale San Giuseppe Milan August 25-29 2014 Teaser 1 (English) An unique opportunity to directly
Plus en détailTraitement médical de l incontinence SIFUD PP FMC 11 01 2008
Traitement médical de l incontinence SIFUD PP FMC 11 01 2008 Traiter un symptôme Position du problème Ampleur de la plainte Histoire naturelle Mode de prise en charge actuelle Règles hygiéniques Rééducation
Plus en détailLa prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre
La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,
Plus en détailPREVENTION OF MSL FOR VDT USERS IN A LARGE SERVICE ORIENTED BUSINESS
INTERVENTION POUR PRÉVENIR LES TMS CHEZ LES UTILISATEURS DE TEV DANS UNE GRANDE ENTREPRISE DE SERVICE ROBERT ALIE Régie régionale de la santé et des services sociaux de la Montérégie 12, rue Beauregard,
Plus en détailPacte européen pour la santé mentale et le bien-être
Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être CONFERENCE DE HAUT-NIVEAU DE L UE ENSEMBLE POUR LA SANTÉ MENTALE ET LE BIEN-ÊTRE Bruxelles, 12-13 juin 2008 Slovensko predsedstvo EU 2008 Slovenian
Plus en détailCURRENT UNIVERSITY EDUCATION SYSTEM IN SPAIN AND EUROPE
CURRENT UNIVERSITY EDUCATION SYSTEM IN SPAIN AND EUROPE 1 st Cycle (1 Ciclo) (I livello) DEGREE (Grado) 240 ECTS (European Credit Transfer System) credits* over four years of university study). The equivalent
Plus en détailApplication Form/ Formulaire de demande
Application Form/ Formulaire de demande Ecosystem Approaches to Health: Summer Workshop and Field school Approches écosystémiques de la santé: Atelier intensif et stage d été Please submit your application
Plus en détailSéminaire du Pôle Santé
1 Séminaire du Pôle Santé Les télésoins à domicile au Québec représentent-ils une solution économiquement viable? Guy Paré, Ph.D., MSRC Titulaire de la Chaire de recherche du Canada en technologies de
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité
Plus en détailÀ retenir... 1. Ce qu en disent les acteurs communautaires
1 Volet 4 : Ainé-e-s Table des matières À retenir... 1 Ce qu en disent les acteurs communautaires... 1 1. Un portrait des aîné e s du quartier... 2 1.1 Répartition des personnes âgées de 65 ans et plus...
Plus en détail9.11 Les jeux de hasard et d argent
9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,
Plus en détail