Chapitre 5. Évaluation du modèle numérique
|
|
- Alexandre Gabin Ratté
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Chapitre 5. Évaluation du modèle numérique 114
2 5.1 Introduction De nos jours, le médecin dispose d un large éventail de techniques d imagerie médicale anatomiques et fonctionnelles. L information résultante est directement exploitée quand c est possible pour le diagnostic ou du traitement. Dans de nombreuses situations cependant une analyse plus fine des images doit être réalisée pour établir le diagnostic. C est là qu entrent en jeu les techniques d analyse d images qui permettent d extraire les contours d une forme, de déterminer des paramètres quantitatifs qui vont renseigner sur la gravité d une pathologie, etc... Cependant, dans le contexte clinique, les outils d analyse doivent présenter des garanties, par exemple, dans le cas d une détection d anomalies, sous la forme d un compromis sensibilité/spécificité. Cette validation est généralement difficile à conduire en imagerie médicale du fait de l absence de référence absolue (gold standard). Le modèle numérique que nous proposons a pour objectif d aider à la validation de premier niveau dans le contexte de l imagerie cardio-vasculaire. De nombreuses situations peuvent être générées en agissant sur ses paramètres. Cependant, il ne peut échapper toutefois lui-même à sa propre évaluation. Dans ce chapitre, nous proposons une évaluation qualitative et en partie quantitative de la géométrie et de la dynamique du modèle de cœur battant. Remarquons que pour les modèles proposés dans la littérature (voir Chapitre 2), l évaluation est parfois qualitative mais jamais quantitative. 5.2 Évaluation du modèle anatomique de référence de cœur 3D Les questions qu on peut se poser face au modèle anatomique concernent le réalisme et la distance du modèle résultant par rapport à la référence constituée par les contours des experts. Nous avons établi dans le Chapitre 3 une comparaison avec les planches d un atlas anatomique et vérifié la cohérence structurelle de notre modèle numérique. Nous pouvons assez facilement comparer notre modèle à quelques autres modèles anatomiques qui présentent une richesse structurelle similaire. La Figure 5-1 met en regard notre modèle avec le modèle de Wierzbicki et al. [Wierzbicki-04] et le modèle de Lorenz et al. [Lorenz-05]. De la même façon que pour les planches anatomiques, nous sommes en mesure d établir une correspondance entre les structures de ces différents modèles. Les différences observées en terme de forme sont bien sûr attribuables aux spécificités propres des individus dont sont issues les données. 115
3 Aorte VCS (a) OG VG Aorte VCS VD OG (b) VG Figure 5-1. Comparaison structurelle entre notre modèle et les modèles de Wierzbicki et al. [Wierzbicki-04] (a) et Lorenz et al. [Lorenz-05] (b). En outre, le modèle a été expertisé par deux radiologues, en contrôlant les contours segmentés, l allure générale du modèle et les positionnements relatifs des structures les unes par rapport aux autres. Suite aux opérations d amélioration de l aspect des structures, les formes peuvent s éloigner des contours tracés par les experts. On cherche donc ici à évaluer l écart entre les formes du modèle final et les contours originaux. Le schéma de la Figure 5-2 montre tout d abord que les structures de notre modèle anatomique final, issu des opérations de r lage/lissage, ont un volume proche du modèle brut constitué à partir des contours extraits. L erreur moyenne est de ± 3 ml pour l ensemble des structures. Le volume de chaque structure anatomique en milieu de diastole est également indiqué. Par exemple, le volume du péricarde est d environ 800 ml et le volume du ventricule gauche est d environ 150 ml. Ces valeurs sont conformes aux valeurs typiques de la littérature [d'alché-99]. 116
4 Volume en ml Volume Segmenté Volume r lé Volume r lé lissé les structures cardiaques 1:VD, 2:VG, 3:OD, 4:OG et 5:Péricarde Figure 5-2. Volume des structures cardiaques. A gauche : volumes issus des contours extraits. Au milieu : volume des structures r lées. A droite : volumes des structures r lées et lissées Les contours extraits sont superposés à l intersection du modèle anatomique 3D avec des coupes IRM natives en Figure 5-3, afin de mettre en évidence de manière plus localisée les écarts avant et après les opérations d amélioration d aspect. On observe que les différences sont très minimes sur ces coupes. Le même constat peut être fait sur les autres coupes, non représentées ici. Figure 5-3. Superposition des contours initiaux et après r lage sur les données anatomiques 117
5 Afin de quantifier cette différence, nous estimons la cartographie des erreurs entre les surfaces maillées issues des contours extraits et du modèle final à l aide du logiciel Metro 1 (Measuring error on simplified surfaces). Metro est basé sur l échantillonnage des faces et le calcul de distance point à surface. Il donne également un paramètre d erreur global : la distance de Hausdorff entre deux surfaces, qui mesure l éloignement de deux sous-ensembles d un espace métrique. Soient S et T deux ensembles de points, la distance de Hausdorff est définie par : D ( S, T ) max{ f ( S, T ), f ( T, S) }, H = d Où f d est appelée la distance de Hausdorff relative (ou semi-distance de Hausdorff). Elle est définie par : f ( S, T ) = maxp d( p, T ) Habituellement, la distance d utilisée est la distance euclidienne 2. d S d Les valeurs d erreurs données par Metro pour le VG et le péricarde sont les suivantes : Péricarde VG Moyenne (mm) Distance de Hausdorff (mm) L erreur quadratique moyenne est respectivement 0.5 mm et 1.2 mm pour le péricarde et le VG, ce qui est de l ordre de la résolution des images dans le plan de coupe ( mm²). La Figure 5-4 présente les cartographies d erreur calculées. Figure 5-4. Cartographies d erreur entre les surfaces issues des contours extraits et le modèle anatomique 3D, calculées par le logiciel Metro. A gauche le péricarde et à droite le VG
6 Nous avons montré la cohérence structurelle de notre modèle anatomique. Sa richesse en termes de structures anatomiques est comparable aux modèles similaires les plus avancés de la littérature. Nous avons aussi montré que le modèle final reste proche des données d imagerie natives et des contours extraits par l expert radiologue. La segmentation des coronaires n a pu être finalisée. Les données de l acquisition anatomique permettent cependant d envisager l extraction semi-automatique des branches principales du réseau. Ce travail est en cours. 5.3 Évaluation du modèle dynamique L évaluation du modèle dynamique repose d une part sur l étude de l évolution des formes des structures au cours du cycle cardiaque et, d autre part, sur l analyse du mouvement estimé. En ce qui concerne les formes, la démarche repose, comme pour le modèle anatomique, sur l étude de l écart entre les structures déformées et une segmentation manuelle de ces structures en une série d instants du cycle. L évaluation du mouvement estimé est plus délicate. Nous tenterons d abord d analyser qualitativement le profil du mouvement au cours du cycle. Pour une évaluation plus fine, nous disposons d images par RM de marquage tissulaire acquises chez le même patient au cours de la même séance. Il est ainsi possible de comparer, au moins pour quelques niveaux de coupe, les estimations de champs de mouvement obtenues à partir de ces séquences et le mouvement estimé par notre approche à partir des séquences en Ciné-IRM Évaluation de l évolution des formes des structures L évaluation de l évolution des formes des structures repose sur la comparaison des surfaces des structures déformées à l aide du modèle de mouvement estimé avec les surfaces issues d une segmentation manuelle dans les images à plusieurs instants du cycle. Nous avons ainsi segmenté manuellement les quatre cavités pour un instant sur deux (15 instants/30) dans la séquence. La Figure 5-5 présente la comparaison des volumes des quatre cavités segmentées manuellement et obtenues par application du modèle de mouvement estimé sur le modèle anatomique dynamique. On constate d après ces courbes que la différence la plus marquée se produit lors de la phase de contraction maximale à partir du milieu de la systole. Après une phase d initialisation de la contraction, le mouvement s accélère et la déformation est importante. Le volume du VG diminue de moitié par rapport à la situation en fin de diastole. On observe bien le fonctionnement en asynchronisme entre les ventricules et les oreillettes. Les valeurs ventriculaires calculées en systole sont un peu plus élevées que pour la segmentation manuelle. Le modèle du mouvement a tendance à atténuer l amplitude du mouvement systolique. On pourrait s attendre à ce que les volumes télésystoliques des oreillettes soient sous-estimés, eux aussi. Ça n est cependant pas le cas pour l oreillette droite. 119
7 Ventricule gauche ml instatnts VG_Calculé VG_manuel Ventricule droit ml VD_Calculé VD_Manuel instants instants Figure 5-5. Courbes de volume au cours du cycle cardiaque. Comparaison entre la segmentation manuelle des structures et les structures obtenues par application du mouvement calculé 120
8 Évaluation du modèle du cœur La Figure 5-6 montre l intersection du modèle 3D dynamique avec 3 niveaux de coupe (base, milieu et apex du cœur) à 3 instants du cycle cardiaque (fin de la diastole, milieu de la systole et début de la diastole). Nous pouvons constater sur cette figure, qu à un niveau médian du cœur et au milieu de la systole, les contours ne sont pas parfaitement positionnés sur les interfaces des structures, en particulier pour la paroi libre du VG et la base du VD (flèches sur la Figure 5-6). Figure 5-6. Superposition de la trace du modèle dynamique sur 3 plans de coupe et à 3 instants du cycle cardiaque La Figure 5-7 présente des cartographies d erreur calculées avec le logiciel Metro pour les 4 cavités entre les surfaces maillées du modèle dynamique et les surfaces segmentées manuellement en milieu de systole. Les statistiques des erreurs obtenues sont : 121
9 VG VD OG OD Moyenne (mm) Distance de Hausdorff (mm) Les erreurs quadratiques moyennes (RMS) sont respectivement : VG = 6.71 mm, VD = mm, OG = 3.7 mm et OD = 5.2 mm. Elles varient en moyenne entre 3 mm pour atteindre localement 13 mm. Figure 5-7.Cartographies d erreur pour le modèle dynamique calculé comparé à la segmentation (milieu de systole) La Figure 5-8 montre les coupes où sont observées les plus grandes erreurs qui sont localisées au niveau de la base du VD et dans la paroi latérale du VG (flèches dans la Figure 5-8). Tout cela indique que la méthode séquentielle d estimation de mouvement a des difficultés à suivre l évolution brutale du mouvement dans la phase systolique. Cela constitue sans doute un aspect à améliorer même si l évolution globale du modèle reste tout à fait réaliste. 122
10 Figure 5-8. Superposition sur une coupe IRM 4- cavités du cœur des structures segmentées manuellement et des structures déformées obtenues par l application du mouvement calculé en milieu de systole (mouvement le plus important) Évaluation de la dynamique du modèle Nous commentons dans un premier temps le profil général du mouvement estimé. D autre part, des séquences d images par RM de marquage tissulaire ont été acquises lors de la même session d examen sur le même sujet. Cela nous permet d évaluer de manière un peu plus fine le mouvement estimé à partir d images en Cine-IRM par rapport à l IRM de marquage, qui constitue la référence dans ce domaine. Cette comparaison ne sera réalisée qu en 2D car seulement un niveau de coupe s est révélé exploitable. Le mouvement en IRM de marquage est estimé par le logiciel intag, spécialement développé pour ce type d images (Collaboration Creatis et Laboratoire CARIM, Professeur Theo Arts, Maastricht University). Sur la Figure 5-9 (milieu), on observe globalement sur le profil du champ de mouvement, au cours de la systole, le mouvement de contraction du VG et du VD à un niveau médian du cœur. Le mouvement d expansion de ces deux structures en fin de systole/début diastole est montré sur la même figure à droite. La comparaison entre le champ estimé par notre approche et le champ estimé à partir d IRM de marquage tissulaire est illustré en Figure 5-10 pour un niveau de coupe médian en milieu de systole. Ces champs ne sont bien évidemment pas complètement identiques mais la tendance générale est bien reproduite par notre estimation malgré le fait qu elle s appuie sur des données Ciné-IRM. 123
11 Évaluation du modèle du cœur Figure 5-9. A gauche, champs de mouvement estimé par notre méthode en fin de diastole où l on constate un mouvement de faible amplitude. Au milieu, mouvement de contraction du VG en milieu de la systole. A droite, mouvement d expansion du VG en fin de systole. En bas, agrandissement du champ dans la région antérieure du myocarde Figure A gauche, mouvement calculé par InTag. A droite, mouvement calculé par notre méthode en milieu de la systole 124
compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailLIRE UN E.C.G. Formation sur le langage et la lecture d un ECG destinée aux techniciens ambulanciers de la région Chaudière-Appalaches
LIRE UN E.C.G. Formation sur le langage et la lecture d un ECG destinée aux techniciens ambulanciers de la région Chaudière-Appalaches Denise Hébert, chargée de projet UCCSPU Février 2006 Le langage et
Plus en détailLa pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle
UEMPSfO - Physiologie Chapitre 4 : La pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle Professeur Christophe RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailComment évaluer. la fonction contractile?
Comment évaluer la fonction contractile? Pr Xavier MONNET Service de réanimation médicale Hôpital de Bicêtre Assistance publique Hôpitaux de Paris Conflit d intérêt Pulsion Medical Systems CAP PiCCO Echocardiographie
Plus en détailTronc Artériel Commun
Tronc Artériel Commun Cardiopathie congénitale conotroncale. 1.4% des cardiopathie congénitales. (1/10000) CIV Diagnostic anténatal Souvent associé à un 22q11. Anomalies associées Définition EMBRYOLOGIE
Plus en détailPRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI)
PRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI) 2 Défibrillateur Automatique Implantable SOMMAIRE Introduction Indications Principe du DAI Historique Composants et structure
Plus en détail23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement
23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d
Plus en détailMaladie des valves. Changer leur évolution. Rétrécissement aortique Insuffisance aortique Insuffisance mitrale Rétrécissement mitral
Maladie des valves Rétrécissement aortique Insuffisance aortique Insuffisance mitrale Rétrécissement mitral Quelques repères épidémiologie éditorial Pr Bernard Iung Quelques repères Les maladies des valves
Plus en détailEvaluation de la Fonction Diastolique Ventriculaire Gauche en IRM Cardiaque
Evaluation de la Fonction Diastolique Ventriculaire Gauche en IRM Cardiaque Jérôme Caudron¹,, Hend Belhiba¹,, Jeannette Fares²,, David Bertrand¹, Fabrice Bauer² et Jean-Nicolas Dacher¹ 1- Service de Radiologie
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailCREATION D UNE CHAINE DE REFERENCE POUR
CREATION D UNE CHAINE DE REFERENCE POUR LA MESURE DE LA PRESSION ARTERIELLE La mesure de la pression artérielle par méthode auscultatoire au moyen d un sphygmomanomètre est l une des méthodes les plus
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailServices Techniques de Boston Scientific - Tél. : 0 800 08 2000
Boston Scientific S.A.S 14, place Georges Pompidou BP 32 78184 Saint Quentin en Yvelines Cedex France Tel 33 (0)1 39 30 49 00 Fax 33 (0)1 39 30 49 01 www.bostonscientific.com Objet : Information sur les
Plus en détailTROUBLES DU RYTHME ARYTHMIES, TACHYCARDIES,FIBRILLATIONS, EXTRASYSTOLES, BRADYCARDIES
TROUBLES DU RYTHME CHANGER LEUR ÉVOLUTION ARYTHMIES, TACHYCARDIES,FIBRILLATIONS, EXTRASYSTOLES, BRADYCARDIES La Fédération Française de Cardiologie finance : prévention, recherche, réadaptation et gestes
Plus en détailUrgent- information de sécurité
Urgent- information de sécurité Risque augmenté de décès cardiovasculaire chez les patients insuffisants cardiaques chroniques symptomatiques avec une fraction d'éjection du ventricule gauche (FEVG) altérée,
Plus en détailSéquence maladie: insuffisance cardiaque. Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI
Séquence maladie: insuffisance cardiaque Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI Janvier 2012 Finalité de l atelier: Présentation de la séance Cette séance a pour buts de vous permettre
Plus en détailJ. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)
J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie
Plus en détailQUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?
QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation
Plus en détailDÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE
Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce
Plus en détailDate De Création 14/05/2013. PIC Poitou Charente. Préparé par : Cécilia CHARTIER. Modification 14/05/2013
Protocole médical Préparé par : Cécilia CHARTIER Objet : recueillir les données (poids, tension, qualité de vie) des patients à leur domicile par le biais d un système Twitoo (recueil d information par
Plus en détailANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE
562 ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 563 TABLE DES MATIÈRES ANNEXE J... 562 POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS
Plus en détailTests paramétriques de comparaison de 2 moyennes Exercices commentés José LABARERE
Chapitre 5 UE4 : Biostatistiques Tests paramétriques de comparaison de 2 moyennes Exercices commentés José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailLe cliché thoracique
Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2
Plus en détailUN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie
Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Mr A.A. âgé de 55ans. Facteurs de risque: Diabétique depuis 5ans. Antécédents: aucun. Fumeur 15paquets/année.
Plus en détailCATALOGUE ÉLECTRONIQUE D INDICATEURS DE QUALITÉ DE LA SOCIÉTÉ CANADIENNE DE CARDIOLOGIE INDICATEURS DE QUALITÉ POUR L INSUFFISANCE CARDIAQUE
CATALOGUE ÉLECTRONIQUE D INDICATEURS DE QUALITÉ DE LA SOCIÉTÉ CANADIENNE DE CARDIOLOGIE INDICATEURS DE QUALITÉ POUR L INSUFFISANCE CARDIAQUE UN DOCUMENT DE CONSENSUS DE LA SCC Historique des versions :
Plus en détailLe patrimoine des ménages retraités : résultats actualisés. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 08 juillet 2015 à 9 h 30 «Le patrimoine des retraités et l épargne retraite» Document N 2 bis Document de travail, n engage pas le Conseil Le patrimoine
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailApproche centrée e sur le patient
Approche centrée e sur le patient Objectifs Prendre conscience des différences de type d approche Connaître le concept de l approche centrée sur le patient Savoir utiliser un outil d approche centrée sur
Plus en détailCardiOuest Mail : info@cardiouest.fr - Téléphone : 02.30.96.19.53.
CardiOuest Chaque jour en France, environ 200 personnes succombent d'un Arrêt Cardiaque Soudain (ACS). C'est 10 fois plus que le nombre de victime d'accident de la route. Faute d'intervention rapide, le
Plus en détailLa fibrillation auriculaire : au cœur du problème
La fibrillation auriculaire : au cœur du problème Cette brochure a été spécialement conçue pour les personnes souffrant de fibrillation auriculaire (FA), un trouble souvent décrit comme un rythme cardiaque
Plus en détailCas clinique: Mr A.M. 1940 A.M. 1940. A.M. 1940;Resynchro avant-après. Resynchronisation avant et après 12 mois: RX thorax.
Cas clinique: Mr A.M. 1940 A.M,1940, 2 ans près son infarctus malaise lors d une marche, syncope et choc électrique Infarctus antérieur : FEVG 30% Coro:Recanalisation / l IVA ECG: sinusal QRS 0.10, inf.
Plus en détailItem : Souffle cardiaque chez l'enfant
Item : Souffle cardiaque chez l'enfant Collège des Enseignants de Cardiologie et Maladies Vasculaires Date de création du document 2011-2012 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Généralités...
Plus en détailREEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE
REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE Eric HALLARD, Kinésithérapeute La rupture du LCAE est de plus en plus fréquente
Plus en détailPrise en charge cardiologique
Yves Roland / Fotolia.com AFM / L. Audinet Prise en charge cardiologique et maladies neuromusculaires SEPTEMBRE 2012 Le cœur est un muscle vital pour l organisme. Telle une pompe, il propulse le sang jusqu
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailFormation des enseignants. Le tensiomètre. Objet technique modélisable issu de l environnement des élèves
Le tensiomètre Objet technique modélisable issu de l environnement des élèves Un peu d'histoire C'est en 1628 que W. Harvey découvrit la circulation du sang. C'est pourtant seulement en 1730 que la pression
Plus en détailPLACE DE L ACADIE MISE À JOUR DES ÉTUDES ACOUSTIQUES À PARTIR DES PLANS DE SITE RÉVISÉS SOUMIS EN DATE DU 3 DÉCEMBRE 2008
MJM CONSEILLERS EN ACOUSTIQUE INC MJM ACOUSTICAL CONSULTANTS INC 55, Côte des Neiges, Bureau 0 Montréal (Québec) Tél.: (5) 77-98 HS A6 Fax: (5) 77-986 Site internet: www.mjm.qc.ca Courrier électronique:
Plus en détailVous trouverez ci-dessous des informations importantes concernant le logiciel de programmation des stimulateurs cardiaques simple chambre Reply SR.
Information de sécurité et actions correctives importantes concernant la version logicielle du programmateur pour les stimulateurs cardiaques simple chambre Reply SR 11 septembre 2007 Cher Docteur, Vous
Plus en détailSoulever et porter correctement une charge
Soulever et porter correctement une charge Sommaire Cette brochure explique comment éviter de se surmener ou d avoir un accident en soulevant et en portant une charge. Le port et le levage d une charge
Plus en détailIRM cardiaque dans les cardiopathies congénitales opérées
IRM cardiaque dans les cardiopathies congénitales opérées { LAZGUET Y, MOUREAU D, MIDULLA M, ALGERI E, DEHAENE A, CASSAGNES L, GODART F, REMY-JARDIN M Service de Radiologie et d Imagerie Cardiaque et Vasculaire
Plus en détailComparaison de Relevés 3D issus de plusieurs Systèmes de Numérisation
Laboratoire Vision & Robotique Comparaison de Relevés 3D issus de plusieurs Systèmes de Numérisation Emilie KOENIG, Benjamin ALBOUY, Sylvie TREUILLET, Yves Lucas Contact : Sylvie Treuillet Polytech'Orléans
Plus en détailANNEXE 1 LA BASE DE DONNEES 1
ANNEXE 1 LA BASE DE DONNEES 1 La publication du CECEI-Banque de France 2 à partir du FIB, recense pour les deux régions 7 265 guichets permanents contre 6 657 agences pour la base du laboratoire C.R.E.T.E.I.L
Plus en détailIntroduction au Data-Mining
Introduction au Data-Mining Alain Rakotomamonjy - Gilles Gasso. INSA Rouen -Département ASI Laboratoire PSI Introduction au Data-Mining p. 1/25 Data-Mining : Kèkecé? Traduction : Fouille de données. Terme
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP
INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP I Définition L'insuffisance cardiaque droite (IVD) se traduit par une augmentation des pressions de remplissage télédiastolique du ventricule droit (VD). Le
Plus en détail8 Certifications Minergie
8 Chapitre 8 Être Minergie, est-ce aussi être «autrement»? Pour de nombreux acteurs du marché immobilier, un label de durabilité devrait s accompagner d une appréciation de la valeur de leur immeuble,
Plus en détailschémas du by-pass gastrique pour obésité morbide
Femme de 58 ans, opérée d un by-pass gastrique 2 ans auparavant. Depuis 10jours, nausées et vomissements. Quels sont les éléments sémiologiques significatifs à retenir sur ls images scanographiques après
Plus en détailINTRODUCTION À L ANALYSE FACTORIELLE DES CORRESPONDANCES
INTRODUCTION À L ANALYSE FACTORIELLE DES CORRESPONDANCES Dominique LAFFLY Maître de Conférences, Université de Pau Laboratoire Société Environnement Territoire UMR 5603 du CNRS et Université de Pau Domaine
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailLes atouts et faiblesses des caméras TEP dédiées, TEP corps entier, TEP-CT, TEMP pour la quantification
Les atouts et faiblesses des caméras TEP dédiées, TEP corps entier, TEP-CT, TEMP pour la quantification Irène Buvat U494 INSERM CHU Pitié-Salpêtrière, Paris buvat@imed.jussieu.fr http://www.guillemet.org/irene
Plus en détailBIOPSIE PAR ASPIRATION Sous stéréotaxie
Vous avez appris qu une anomalie a été détectée lors de votre mammographie. Afin d investiguer cette anomalie, le radiologue a pris la décision d effectuer une biopsie par aspiration sous stéréotaxie.
Plus en détailService évaluation des actes professionnels
TRAITEMENT DES AGÉNÉSIES DENTAIRES MULTIPLES LIÉES AUX DYSPLASIES ECTODERMIQUES OU À D'AUTRES MALADIES RARES, CHEZ L ENFANT ATTEINT D OLIGODONTIE, AVEC POSE DE 2 IMPLANTS (VOIRE 4 MAXIMUM) UNIQUEMENT DANS
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailSéquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?
Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment
Plus en détailMESURE ET PRECISION. Il est clair que si le voltmètre mesure bien la tension U aux bornes de R, l ampèremètre, lui, mesure. R mes. mes. .
MESURE ET PRECISIO La détermination de la valeur d une grandeur G à partir des mesures expérimentales de grandeurs a et b dont elle dépend n a vraiment de sens que si elle est accompagnée de la précision
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailEndocardites. Le candida albicans est parfois mis en cause, retrouvé sur culture en milieu de Sabouraud.
~ Échocardiographie - Doppler ~ 1 Échocardiographie - Doppler S. Lafitte, M. Lafitte, P. Réant, R. Roudaut C.H.U. de Bordeaux ~ Hôpital Cardiologique du Haut Lévêque Pessac ~ France Endocardites Sommaire
Plus en détailLa survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation
La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation PAR Alireza MOGHADDAM TUTEUR : Guy HÉDELIN Laboratoire d Épidémiologie et de Santé publique, EA 80 Faculté de Médecine de Strasbourg
Plus en détailLES FACTEURS DE RISQUE
LES FACTEURS DE RISQUE C EST QUOI UN FACTEUR DE RISQUE? C est une caractéristique lié à une personne, à son environnement à sa culture, à son mode de vie qui entraine pour elle une probabilité plus importante
Plus en détailChapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide
Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide I Rappels : Référentiel : Le mouvement d un corps est décris par rapport à un corps de référence et dépend du choix de ce corps. Ce corps de référence
Plus en détailSEMEIOLOGIE CARDIO-VASCULAIRE Mesure de la Pression Artérielle
SEMEIOLOGIE CARDIO-VASCULAIRE Mesure de la Pression Artérielle Plan de cours I-Principes généraux... 2 I-1.La mesure exacte : la pression artérielle «intravasculaire»... 2 I.1- La mesure indirecte : notion
Plus en détailMesure du débit et volume sanguins. Cause des décès au Canada
Mesure du débit et volume sanguins Damien Garcia Damien.Garcia@ircm.qc.ca Laboratoire de génie biomédical IRCM, Montréal Cause des décès au Canada Autres ( 16% ) Respiratoire ( 9% ) Diabète ( 3% ) Cancer
Plus en détailLecture critique et pratique de la médecine
1-00.qxp 24/04/2006 11:23 Page 13 Lecture critique appliquée à la médecine vasculaireecture critique et pratique de la médecine Lecture critique et pratique de la médecine Introduction Si la médecine ne
Plus en détailÉtude comparative sur les salaires et les échelles salariales des professeurs d université. Version finale. Présentée au
Étude comparative sur les salaires et les échelles salariales des professeurs d université Version finale Présentée au Syndicat général des professeurs et professeures de l Université de Montréal (SGPUM)
Plus en détailDr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre
Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites
Plus en détail1985, 169, n 7, 1071-1075,séancedu 22 octobre1985. ALBARÈDE et Jean-Claude DARRAS
Bull. Acad.NatleMéd., 1985, 169, n 7, 1071-1075,séancedu 22 octobre1985 Etude des méridiens d'acupuncture Par les traceurs radioactifs Pierre de VERNEJOUL *, Pierre ALBARÈDE et Jean-Claude DARRAS On sait
Plus en détailSéries Statistiques Simples
1. Collecte et Représentation de l Information 1.1 Définitions 1.2 Tableaux statistiques 1.3 Graphiques 2. Séries statistiques simples 2.1 Moyenne arithmétique 2.2 Mode & Classe modale 2.3 Effectifs &
Plus en détailRéparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients
Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients Schéma du cœur avec CIA Aorte Artère pulmonaire Oreillette gauche CIA Appendice auriculaire gauche Oreillette droite
Plus en détailDOSSIER DE DIAGNOSTIC TECHNIQUE
Coordonnées Destinataire Agence de PARIS ZI DU PONT - "LA LEVA" 42300 VILLEREST Tel : 0800400100 Fax :0825800954 A communiquer pour toute correspondance Réalisé le : 27/01/2015 DIRECTION GENERALE DES FINANCES
Plus en détailLes principales méthodes d évaluation
Attention : Cette fiche n a pas pour objet de fixer administrativement la valeur des biens. Elle ne doit pas être assimilée à une instruction administrative. Elle propose les principales méthodes d évaluation
Plus en détailMESURER SA PRESSION ARTÉRIELLE À DOMICILE. La société québécoise D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
MESURER SA PRESSION ARTÉRIELLE À DOMICILE QU EST-CE QUE LA PRESSION ARTÉRIELLE? La pression artérielle est la force du sang circulant dans les artères lors de chaque contraction du cœur. La mesure de
Plus en détailDISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert
DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions
Plus en détailColette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE
Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE La mise au point préopératoire par un anesthésiste permet de mieux planifier l organisation de la salle d opération, d éviter
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailTout sur les nouvelles cotations des perfusions
Tout sur les nouvelles cotations des perfusions L arrêté de modification du livre III de la liste des actes et prestations relatif aux perfusions est paru au Journal officiel du 30 septembre 2014. Dans
Plus en détailSimulation d application des règles CNAV AGIRC ARRCO sur des carrières type de fonctionnaires d Etat
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 10 avril 2014 à 9 h 30 «Carrières salariales et retraites dans les secteurs et public» Document N 9 Document de travail, n engage pas le Conseil Simulation
Plus en détailQuelles sont les principales formules utiles pour l étude de cas de vente?
Quelles sont les principales formules utiles pour l étude de cas de vente? Approvisionnement et gestion des stocks : des quantités vendues dans un Du stock initial, final et des livraisons, des commandes
Plus en détailAméliorer les performances du site par l'utilisation de techniques de Web Mining
Améliorer les performances du site par l'utilisation de techniques de Web Mining CLUB SAS 2001 17/18 octobre 2001 Stéfan Galissie LINCOLN stefan.galissie@lincoln.fr contact@web-datamining.net 2001 Sommaire
Plus en détailDOSSIER DE DIAGNOSTIC TECHNIQUE
Coordonnées Destinataire Agence de PARIS ZI DU PONT - "LA LEVA" 42300 VILLEREST Tel : 0800400100 Fax :0825800954 A communiquer pour toute correspondance Réalisé le : 28/01/2015 DIRECTION GENERALE DES FINANCES
Plus en détailLIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés
LIDAR LAUSANNE 2012 Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR 2012, nouveaux modèles altimétriques 1 Affaire 94022 /
Plus en détailCOMPRESSEURS DENTAIRES
FRANCE COMPRESSEURS DENTAIRES TECHNOLOGIE SILENCIEUSE MGF NOS SERVICES, NOS ENGAGEMENTS - Les pièces détachées sont disponibles sur stock dans notre site localisé en Saône-et-Loire. Envoi express en h
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailEsri Location Analytics pour. la Banque. Etude de cas
Esri Location Analytics pour la Banque Etude de cas Améliorer la performance de la banque grâce à Esri Location Analytics Ce cas pratique détaille l intérêt de l usage de la location analytics (l analyse
Plus en détailDOSSIER DE DIAGNOSTIC TECHNIQUE
Coordonnées Destinataire Agence de PARIS ZI DU PONT - "LA LEVA" 42300 VILLEREST Tel : 0800400100 Fax :0825800954 A communiquer pour toute correspondance Réalisé le : 27/01/2015 DIRECTION GENERALE DES FINANCES
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailIMAGERIE TOMODENSITOMETRIQUE ET IRM DU PERICARDE
IMAGERIE TOMODENSITOMETRIQUE ET IRM DU PERICARDE E Bruguière, O Vignaux, C Burckel, H Gouya, S Silvera, P Legmann Groupe hospitalier Cochin Saint-Vincent de Paul Service de radiologie A Paris - France
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détailSTENTS ET FLOW-DIVERTERS : la porosité finale peut différer de la porosité théorique
STENTS ET FLOW-DIVERTERS : la porosité finale peut différer de la porosité théorique Bing Fabrice, Darsaut Tim, Tieu Tai, Salazkin Igor, Guylaine Gevry, Guilbert François, Roy Daniel, Weill Alain, Raymond
Plus en détailOptez pour une meilleure préparation canalaire avec la technologie Adaptive.
Optez pour une meilleure préparation canalaire avec la technologie Adaptive. La préparation d un canal est souvent une opération complexe pour le dentiste. Le mouvement technologique Adaptive relève cependant
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailCollecter des informations statistiques
Collecter des informations statistiques FICHE MÉTHODE A I Les caractéristiques essentielles d un tableau statistique La statistique a un vocabulaire spécifique. L objet du tableau (la variable) s appelle
Plus en détailLe traitement de l'insuffisance cardiaque chez le chien
Folia veterinaria Le traitement de l'insuffisance cardiaque chez le chien Les principaux traitements à instaurer chez le chien insuffisant cardiaque sont passés en revue en insistant sur les critères de
Plus en détailDegré de confiance pour les indicateurs de performance : degré de fiabilité du processus de production et écart significatif 1
Degré de confiance pour les indicateurs de performance : degré de fiabilité du processus de production et écart significatif 1 L utilisation des indicateurs de performance ne peut se faire de manière pertinente
Plus en détailTest de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance?
Test de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance? Ajaccio 12 mai 2012 F. Carré Université Rennes 1 Hopital Pontchaillou Inserm UMR 1099 Les «tests» chez le sportif Exploration performance
Plus en détailChapitre 7: Dynamique des fluides
Chapitre 7: Dynamique des fluides But du chapitre: comprendre les principes qui permettent de décrire la circulation sanguine. Ceci revient à étudier la manière dont les fluides circulent dans les tuyaux.
Plus en détailStatistiques Descriptives à une dimension
I. Introduction et Définitions 1. Introduction La statistique est une science qui a pour objectif de recueillir et de traiter les informations, souvent en très grand nombre. Elle regroupe l ensemble des
Plus en détailModélisation et étude d un système de trading directionnel diversifié sur 28 marchés à terme
Modélisation et étude d un système de trading directionnel diversifié sur 28 marchés à terme Trading system : Trend following Breakout Janvier 1996 - Janvier 2009 Etude de la performance du système Le
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détail