BILAN DE GESTION EXERCICE 2012

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1 BILAN DE GESTION EXERCICE 2012 Le bilan Au 31 décembre 2012 : L actif est de ,23 réparti pour ,49 en immobilisations dont en participations financières dans la SCI propriétaire des locaux ESPACE EMPLOI, Le reste en biens (matériels, logiciels), est en baisse de 35 % par rapport à 2011 : l ensemble du matériel informatique est amortis, ces matériels arrivent pour certains en fin de vie ,74 en actif circulant dont ,84 de créances soit une baisse de 10% par rapport à % auprès des clients, en baisse de 10% par rapport à 2011 du fait de la baisse d activité les 2 derniers mois de l année. Aucune menace de dette irrécouvrable. 45 % sont des subventions à recevoir en baisse de 14% par rapport à Les soldes de subventions de 2009 et 2010 du PLIE ont été soldés, reste 2011 à solder. En 2011 la subvention du CG pour le chantier apparaissait en créance, elle a été réglée en tout début janvier 2012 Baisse de la subvention DIRECCTE AI. Ces aides sont non soldées au 31/ ,42 de trésorerie ce qui est en hausse de 43 % par rapport à Apurement des soldes 2009 et 2010 des subventions PLIE Résultat de l exercice excédentaire en 2012 Les charges constatées d avances, progressent de 77% ( ) du fait de la saisie sur 2012 de l échéance assurance Ce poste n a pas une valeur significative (1,3 % De l actif) et ne présente ici pas d intérêt sur la lecture et compréhension du résultat.

2 Le passif est réparti pour ,56 en fonds propres, dont ,58 en fond associatif et ,38 en résultat de l exercice analysé ci-après. Les réserves progressent de 20 % du fait du bon résultat comptable en provision retraite en baisse de 28 % par rapport à 2011 du fait d un changement de logiciel, d une modification de la formule et du prolongement de la durée d activité avant le droit à la retraite ,67 de dettes en hausse de 9,8 % par rapport à 2011 Progression des dettes sociales + 4 % sur le poste retraite du fait des salaires du 1 er mois du 4 trimestre 2012 résultant d une bonne activité avant la chute en novembre et décembre. Même analyse mais sur l année entière pour la provision formation. Les produits constatés d avance (moins de 1% du budget), progressent du fait du passage d une écriture de correspondant à des produits chantier facturés mais qui ont pris du retard du fait d intempéries et des plannings chargés.

3 Le résultat consolidé de l année 2012 est de ,38 Nous avions prévu un budget équilibré ,38 pour l association intermédiaire Ce résultat explique le résultat consolidé. L activité a été bien au-dessus de 2011 durant les 10 premiers mois de l année. Ce niveau d activité a été accentué par la mise sous plis, qui génère beaucoup d activité mais très peu de bénéfices financiers. Il n y en avait pas eu en 2011 et il n y en aura pas en L activité Services à la Personne a progressé de 6%. Mais c est la catégorie collectivité qui en valeur absolue enregistre la plus forte progression + 18%, cette progression repose sur l activité avec 3 communes. Enfin en pourcentage c est la catégorie entreprises % (mais représente 5% des produits) qui enregistre la plus forte progression. Grace au démarchage, une entreprise a fait appel à nos services de manière conséquente. Les subventions sont restées au même niveau, mais cela masque des disparités. Revalorisation de l enveloppe PLIE de euros suite à notre demande pour revaloriser le travail d accompagnement Baisse des financements DIRECCTE de euros, sans explication malgré nos sollicitations. Produits financiers en hausse (cf analyse de bilan) Les transferts de charge correspondent aux remboursements de la CPAM et prévoyance dans le cadre de la maladie pour les salariés subrogés. Les charges fixes sont restées stables dans leur globalité, elles représentent 5 % du budget et on enregistre 3 variations marquantes: Baisse des postes fournitures administratives, location de matériel du fait de la clé de répartition (nombre de copie par activité sur l année n-1) la mise à disposition génère beaucoup d administratif, la dématérialisation a permis de réduire les coûts. Hausse du poste déplacement, du fait de rencontres partenariales éloignées. Hausse de la cotisation COORACE indexée sur la masse salariale. Les charges de personnel pour les mises à disposition sont en hausse du fait de l activité. Pour les permanents, elles sont en baisse du fait du remplacement partiel d une salarié absente depuis septembre 2011 et d une année 2011 exceptionnelle (départ en retraite, fin de contrat..) et ce malgré le départ en 2012 d une salarié et donc du règlement d une ICP. Autres charges, provision retraite du fait du logiciel et de la durée de carrière. Charges exceptionnelles de provision pour perte (moins de 1 % du budget) Apparition impôt sur les sociétés (fiscalisation du livret B)

4 Pour 2013, nous enregistrons depuis la fin de l année 2012 une baisse très importante allant jusqu à 30 % au mois de janvier. Dans ces conditions le prévisionnel est pessimiste. Selon le choix de la période de référence (activité des trois derniers mois ou les 6 derniers mois) le prévisionnel est différent. Les restrictions budgétaires dans les communes et collectivités nous rendent pessimiste. Nous comptons sur le soutien des communes qui sont nos partenaires de toujours. L activité auprès des entreprises reste marginale mais nous continuons nos contacts avec elles par la stratégie de prospection que nous menons. Cette année pas de mise sous plis, une activité qui ne génère pas les bénéfices escomptés mais une activité riche en échange et expérience. Les charges de personnels permanent retrouveront leur niveau d il y a 2 ans avec les revalorisations induites, le départ définitif d une permanente, d une autre toujours en arrêt maladie remplacée sur une nouvelle venue (embauchée en CDD sans terme précis). Enfin la nouvelle règlementation sur l obligation de la médecine du travail est rentrée en vigueur au 1 er juillet 2012, malgré des négociations pour une application adaptée à nos contraintes budgétaire et au constat de carence de médecins du travail sur le territoire nous nous devions de l inscrire au budget La mise en place à pris du temps et cela n a donc pas impacté le budget 2012 mais impactera celui de Le bénéfice de la baisse du taux d accident du travail pour les mises à dispositions en 2013 a été très vite repris par la hausse de celui sur les personnels permanents. L impact budgétaire dépendra de la capacité du centre de médecine à honorer nos demandes il peut dans l hypothèse la plus haute atteindre euros. Nous solliciterons de nouveau la DIRECCTE pour revoir sa participation à l accompagnement au moins à la même hauteur qu il y a 2 ans et le cas échéant tenterons d avoir plus d explications. En fonction de toute ces incertitudes le prévisionnel peut aller de l équilibre à ,13 pour le PAE Le résultat est moins déficitaire que prévu, nous avions prévu un déficit de Les produits de subventions ont progressés de 6 % Revalorisation de la participation du PLIE (augmentation des objectifs de personnes accompagnées). Mais cette participation reste inférieure à ce que l on a demandé et en dessous du cout réel de cette prestation. Revalorisation de la participation du SYRENOR (+4,8%), cette participation est la principale source de financement de cette action (65%), mais n en permet pas l équilibre. Les transferts de charges correspondent à l effet de subrogation pour les arrêts de travail maladie (important cette année du fait d une salarié en longue maladie)) Les charges ont été contenues et répondent exactement au prévisionnel.

5 Pour 2013, S agissant des produits, nos prévisions 2013 dépendent de la participation du SYRENOR. Nous requerrons auprès du SYRENOR une revalorisation significative, pour ajuster une prestation à la hauteur du nombre d habitants et dans l idéal se rapprocher d un taux d encadrement proche de ce qui se pratique dans les autres PAE. En ce qui concerne les charges nous avons prévu un budget à l identique ,31 pour le chantier (nous avions prévu l équilibre) Les produits ont progressé de 46 %, sans beaucoup plus de personnel, il y a donc eu une optimisation du personnel grâce à plus de travaux et une équipe d encadrement dynamique. Convention BREIZ BOCAGE pour Travaux avec la commune de CESSON pour Développement de nouveaux chantiers sur 2 communes Reconduction de l appel d offre sur PACE (2011) qui représente (40 % à 47 % des ventes). Nous avons pris du retard sur un chantier (du fait des effectifs et des intempéries), un produit constaté d avance sur un chantier facturé mais non réalisé a donc été passé. Le taux de Ventes/charges est de 37,3 % contre 30 autorisé aux chantiers d insertions Les subventions : Revalorisation de l enveloppe PLIE de euros suite à notre demande pour revaloriser le travail d accompagnement Les transferts de charges correspondent aux prises en charge des contrats aidés. Les charges fixes ont progressé de 18 %. Cette hausse repose essentiellement sur 3 postes Carburant + 10% Petit équipement +64 % Entretien matériel +118 % Ces postes sont en lien direct avec les besoins de l activité. L activité étant en hausse l utilisation et l usure du matériel est plus importante. Les Charges de personnel augmentent du fait de plus de présence des personnels en insertion, les charges de permanents répondent au prévisionnel, sans mouvement particulier. Pour 2013, nous pouvons espérer une activité identique voir supérieure. Pour y répondre le chantier doit changer de dynamique. Recruter plus de personnel et donc augmenter le temps d encadrement. L équilibre sera précaire mais atteignable ,82 pour la MEIF Cette activité correspond au détachement d un salarié une journée par semaine à la MEIF. L excédent correspond aux frais de gestion et provision congé payé.

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