Quel lien entre statut dans l emploi et statut dans le logement?

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Quel lien entre statut dans l emploi et statut dans le logement?"

Transcription

1 Septembre 2016 Quel lien entre statut dans l et statut dans le logement? Clément PAVARD ANIL / 2, boulevard Saint Martin Paris Tél. : anil@anil.org internet : anil.org

2 Cette étude propose un panorama de la situation des ménages par rapport à l et au logement. Si l salarié stable concerne la grande majorité des personnes et des ménages en activité, l salarié concerne 7 % de l ensemble des ménages, tout comme l non-salarié. Les ménages en changent de logement plus fréquemment que ceux concernés par d autres formes d, et un ménage sur deux a été mobile dans les quatre dernières années. Dans l, un ménage sur trois a été mobile sur la même période. Chez les ménages en la part de locataires est en moyenne plus élevée que celle de propriétaires. Toutefois, au regard de leur situation dans l souvent jugée précaire et de leurs caractéristiques socio-économiques, la part de propriétaires n est pas si négligeable. * * * 2

3 Une typologie de l au sein de la population Parmi les 51 millions de personnes de plus de 15 ans 1 en France métropolitaine, 2,7 millions, soit 5 %, occupent un (cf. tableau 1) et 19,3 millions (soit 38 %) occupent un. Enfin, 2,9 millions de personnes, soit 6 %, de cette population sont en non-salarié, tandis que la majorité (26,1 millions de personnes) est dans une autre situation, à savoir étudiant, retraité ou sans- (cf. encadré 1). Il est aussi possible d étudier les conditions d à l échelle des ménages (cf. définitions de l encadré 1). Pour les ménages actifs, la situation la plus fréquente est l. Ainsi 8,7 millions de ménages sont concernés uniquement par l (un pour une personne de référence seule ou deux pour les couples biactifs). L salarié concerne 7 % des 27 millions de ménages de France, soit 1,9 million de ménages (cf. tableau 2). Chez les emménagés récents 2, cette part s accroît et atteint 13 %, soit 1 million de ménages sur 7,4 millions (cf. tableau 2). Autrement dit, les ménages en salarié sont plus mobiles que la moyenne : 51 % ont emménagé dans les quatre dernières années contre 27 % pour l ensemble des ménages. Les s salariés stables sont également plus fréquents dans cette population d emménagés récents puisque 38 % des ménages qui ont emménagé au cours des quatre dernières années occupent un, soit 6 points de plus que dans la population globale. Ces derniers ont donc aussi été plus mobiles que la moyenne : 33 % des ménages en salarié stable ont emménagé dans les quatre dernières années. Il est aussi possible de constater que la mobilité résidentielle des ménages concernés par l non-salarié est dans la moyenne. Enfin, seuls 21 % des ménages qui sont dans d autres ont été mobiles. Pour cause, les retraités, largement majoritaires dans cette population, sont moins souvent amenés à changer de logement en comparaison aux actifs. Encadré 1 : définitions des catégories d s - À partir des questions posées dans l enquête logement de l Insee 3, il est choisi de décrire la situation dans l des personnes de plus de 15 ans suivant les catégories suivantes : : salarié en CDI - Titulaire de la fonction publique : salarié en CDD - En aidé - Intérimaire Emplois non-salariés : chef de son entreprise, PDG, gérant minoritaire, associé - Aide un membre de sa famille dans son travail sans être rémunéré - Indépendant ou à son compte : apprenti Stagiaire Étudiant En recherche d - Retraité Autre inactif - Afin de mieux rendre compte de la situation à l échelle du ménage, et non de la personne, il est utile de distinguer différents cas de figure pour les couples. Face à la complexité et à la diversité des des ménages vis-à-vis de l, quatre catégories principales ont été distinguées : : les deux conjoints sont en s salariés stables : au moins un conjoint est en salarié Emplois non-salariés : les deux conjoints sont actifs non-salariés ou un conjoint est en salarié stable et l autre est non-salarié : les deux conjoints sont dans une autre situation ou un conjoint est en et l autre dans autre situation ou un conjoint est non-salarié et l autre dans une autre situation. Les statistiques suivantes excluent de l analyse la situation des personnes à charge, ainsi que les ménages complexes, réunissant plusieurs personnes sans lien familial. 1 Personnes de référence (actif le plus âgé ou principal apporteur de ressources) ou conjoint(e)s des ménages. 2 Ménage ayant emménagé dans sa résidence principale au cours des quatre dernières années. 3 L enquête logement de l Insee, qui existe depuis 1955, est la source statistique majeure pour décrire les conditions d occupation des logements par les ménages. L enquête de 2013 s est déroulée entre juin 2013 et juin 2014, en France métropolitaine et dans les DOM sur un échantillon de logements. 3

4 Tableau 1 : situation en des plus de 15 ans Personne de référence ou conjoint Personne de référence de ménages complexes (plusieurs personnes sans lien familial) Personne à charge d un ménage (âgée de plus de 15 ans) (42 %) (5 %) (7 %) (46 %) (100 %) (38 %) (7 %) (5 %) (50 %) (100 %) (12 %) (8 %) (2 %) (78 %) (100 %) (38 %) (5 %) (6 %) (51 %) (100 %) Tableau 2 : type d et mobilité résidentielle Ensemble des ménages Dont ménages mobiles (emménagement dans les quatre dernières années) (32 %) (7 %) (7 %) (54 %) (100 %) (38 %) (13 %) (7 %) (42 %) (100 %) Part des ménages mobiles 33 % 51 % 27 % 21 % 27 % Les ménages en sont plus souvent locataires, une part d entre eux accède à la propriété 32 % des couples qui occupent un sont locataires du parc privé contre 15 % de l ensemble des couples (cf. tableau 3). Cette part s élève à 50 % chez les couples salariés en qui ont été mobiles durant les quatre dernières années contre 37 % en moyenne (cf. tableau 4). Pour les personnes seules, 43 % des salariés en sont locataires du secteur privé contre 27 % dans l ensemble (53 % contre 48 % chez les emménagés récents). Les ménages en salarié sont également surreprésentés dans le parc social. Ce secteur loge 12 % des couples mais 21 % des couples en. Parmi les ménages mobiles ayant emménagé dans les quatre ans passés, le parc social a accueilli 16 % des couples, et 22 % des couples en. Enfin, 31 % des personnes seules en sont locataires en secteur social contre 23 % pour l ensemble. Les différences sont moins accentuées chez les emménagés récents (27 % contre 23 %). La part de locataires chez les ménages concernés par l est plus élevée que la moyenne. Toutefois, les parts de propriétaires s élèvent à 42 % chez les couples et à 15 % pour les personnes seules, ce qui peut paraitre assez élevé au regard de la situation d. Chez les emménagés récents, bien que les parts de propriétaires soient plus faibles (23 % pour les couples et 6 % pour les personnes seules), elles restent relativement élevées en comparaison des taux de propriétaires dans l ensemble de la population des ménages mobiles (respectivement 43 % et 16 %). Dans l, les changements de sont plus courants que dans l, aussi bien sur des aspects professionnels que géographiques. Aussi, les ménages en ont une forte propension à déménager (51 % des ménages en ont changé de logement dans les quatre dernières années) et choisissent par conséquent la location, plus souple sur l aspect de la mobilité résidentielle. À l inverse les ménages en, sachant leur situation plus pérenne, peuvent choisir un statut résidentiel plus sédentaire, à savoir propriétaire occupant. Leur mobilité résidentielle est donc moindre que celle des ménages en et 33 % ont changé de logement au cours des quatre dernières années. 4

5 Tableau 3 : type d selon le statut d occupation (à l échelle des ménages) 1- Couples (avec ou sans personne à Propriétaire Locataire privé Locataire social Autre locataire (meublé ou sous-locataire) Logé gratuitement Ensemble Propriétaire Locataire privé Locataire social Autre locataire (meublé ou sous-locataire) Logé gratuitement Ensemble ** Peu-significatif % 42 % 78 % 71 % 70 % % 32 % 15 % 14 % 15 % % 21 % 4 % 13 % 12 % ** ** ** %** 2 %** 1 %** 1 % 1 % ** % 3 % 3 %** 2 % 2 % % 100 % 100 % 100 % 100 % % 15 % 52 % 47 % 42 % % 43 % 32 % 23 % 27 % % 31 % 8 % 23 % 23 % ** % 7 % 3 %** 5 % 4 % ** ** % 3 %** 5 %** 3 % 3 % % 100 % 100 % 100 % 100 % Tableau 4 : type d selon le statut d occupation (à l échelle des ménages) ménages mobiles 1- Couples (avec ou sans personne à Propriétaire Locataire privé Locataire social Autre locataire (meublé ou sous-locataire) Logé gratuitement Ensemble Propriétaire Locataire privé Locataire social Autre locataire (meublé ou sous-locataire) Logé gratuitement Ensemble ** Peu-significatif % 23 % 54 % 31 % 43 % % 50 % 34 % 39 % 37 % ** % 22 % 6 %** 24 % 16 % ** ** ** ** %** 3 %** 2 %** 3 %** 2 % ** ** % 3 %** 3 %** 2 % 2 % % 100 % 100 % 100 % 100 % ** % 6 %** 30 % 10 % 16 % % 53 % 54 % 46 % 48 % ** % 27 % 7 %** 26 % 23 % ** ** % 10 %** 6 %** 15 % 10 % ** ** % 3 %** 3 %** 3 % 3 % % 100 % 100 % 100 % 100 % 5

6 Parmi les ménages en non-salariés, plus de propriétaires et moins de locataires du parc social Les locataires du secteur social sont peu représentés au sein des ménages en non-salarié. Seuls 4 % des couples non-salarié sont locataires du secteur social (6 % chez les ménages mobiles). C est plus faible que la part de locataires du secteur social en couple dans la population globale qui s élève à 12 % (16 % pour les ménages mobiles). Enfin, parmi les personnes seules non-salariées, 8 % sont locataires du parc social et 7 % pour les emménagés récents. Dans l ensemble de la population comme dans la population de ménages mobiles, la part de personnes seules locataires du secteur social est plus forte et s élève à 23 % (cf. tableaux 3 et 4). Au contraire, la part des propriétaires est plus forte chez les non-salariés qu en moyenne. En effet,78 % des couples et 52 % des personnes seules non-salariés sont propriétaires, tandis que les parts de propriétaires sont de 70 % pour l ensemble des couples et de 42 % pour les personnes seules. Chez les ménages mobiles, 54 % des couples et 30 % des personnes seules non-salariés sont propriétaires contre respectivement 43 % et 16 % de propriétaires au global. Parmi les ménages mobiles, une majorité de propriétaires en Les ménages en et propriétaires occupent une place plus importante parmi les emménagés récents que dans l ensemble de la population. Pour les mobiles, 60 % des couples en sont propriétaires contre 43 % de propriétaires en moyenne pour l ensemble des couples. Cet écart est plus élevé que pour l ensemble des ménages. De même, chez les personnes seules, quand 16 % sont propriétaires emménagés récents, cette part s élève à 24 % pour ceux qui occupent un. Ceci s explique par le fait que les ménages mobiles qui ne sont pas en sont moins souvent propriétaires. Les ménages mobiles en sont moins aisés et plus jeunes que la moyenne, quel que soit leur statut résidentiel Cette partie se focalise davantage sur les ménages emménagés récents qui occupent un. Si les ménages en s peuvent préférer un statut d occupation plus souple en cas de mobilité résidentielle, la tendance de ces ménages à devenir propriétaires n est pas si négligeable au regard de leur situation souvent jugée précaire (revenus, âge), notamment pour ceux ayant des enfants à charge. Ce focus a pour but de décrire qualitativement les spécificités de ces ménages. D abord, leurs revenus et niveaux de vie médians sont inférieurs à ceux de l ensemble des ménages, sauf pour les couples locataires du secteur social. Ensuite, lorsqu ils sont en couple, ces ménages ont moins souvent des enfants à charge que les autres. Enfin, la part des ménages jeunes est surreprésentée chez les ménages en, tandis que la part de ménages âgés est quasi-nulle. Ces derniers constats sont observés pour chacun des statuts résidentiels. Les ménages en, qu ils accèdent à la propriété ou non, sont généralement plus modestes que les autres ménages dans l Les ménages en emménagés récents ont des revenus médians de par mois pour les couples et de pour les personnes seules. Ils sont généralement plus modestes que les autres emménagés récents : les revenus médians de l ensemble des couples et des personnes seules au sein des emménagés récents qui s établissent respectivement à et par mois (cf. tableau 5). Chez les ménages en stable ces revenus sont supérieurs et atteignent par mois pour les couples et pour les personnes seules. Parmi les ménages en comme pour les autres statuts dans l, les revenus des propriétaires accédants sont généralement supérieurs à ceux des ménages locataires. Toutefois, les couples en accédant à la propriété sont modestes et leurs revenus médians (3 340 ) sont inférieurs à ceux des couples dans d autres statuts dans l qui accèdent à la propriété ou choisissent un logement locatif privé. Si les inégalités de revenus s observent pour les différents statuts d occupation des logements, les locataires du secteur social font exception. Le revenu médian de ces derniers atteint par mois pour les couples et pour les personnes seules, soit environ 100 de plus que ceux de l ensemble des couples locataires du secteur social (respectivement et ). 6

7 Tableau 5 : médiane des revenus mensuels (en ) emménagés récents 1- Couples (avec ou sans personne à Propriétaire Locataire privé Locataire social ** Ensemble Propriétaire ** Locataire privé Locataire social ** Ensemble ** Peu-significatif Les ménages en sont plus jeunes même parmi les propriétaires Au sein de la population d emménagés récents, la part de ménages jeunes 4 est de 58 % chez les couples et de 46 % chez les personnes seules (cf. tableau 6). Chez les ménages en, la part des jeunes est plus importante et atteint 79 % pour les couples et 65 % pour les personnes seules. Ce constat vaut pour l ensemble des statuts résidentiels (propriétaires et locataires), aussi bien pour les couples que pour les personnes seules. La part des ménages jeunes en est proche de la moyenne (58 % contre 61 % chez les couples et 46 % contre 42 % pour les personnes seules). Toutefois, quand ils sont propriétaires, les ménages jeunes en sont surreprésentés. Ainsi quand la part de ménages jeunes est de 47 % en moyenne chez les couples propriétaires et de 23 % chez les personnes seules, elle atteint respectivement 57 % et 31 % pour les ménages en. Les ménages âgés 5 sont peu représentés dans les catégories d s choisies. En effet, ils sont très fortement présents au sein des «autres» étant bien souvent retraités (cf. tableaux en annexes). Tableau 6 : part des ménages jeunes emménagés récents 1- Couples (avec ou sans personne à Propriétaire 57 % 72 % 38 % 26 % 47 % Locataire privé 70 % 84 % 58 % 62 % 69 % Locataire social 59 % 77 % 48 %** 55 % 60 % Ensemble 61 % 79 % 47 % 49 % 58 % Propriétaire 31 % 37 %** 26 % 2 % 23 % Locataire privé 48 % 70 % 37 % 53 % 52 % Locataire social 36 % 53 % 45 %** 29 % 35 % Ensemble 42 % 65 % 39 % 46 % 46 % ** Peu-significatif 4 Pour les couples, si un des conjoints a moins de 35 ans, on considère que le ménage est jeune. 5 Pour les couples, si un des conjoints a plus de 65 ans, on considère que le ménage est âgé. 7

8 Un accès à la propriété plus fréquent pour les couples ayant des enfants à charge, quel que soit le statut dans l Parmi les ménages mobiles, les couples en ont moins souvent des enfants à charge que les autres couples. Chez les couples en, 53 % ont un enfant à charge 6 (cf. tableau 7). C est légèrement moins que la moyenne des couples emménagés récents qui sont, quant à eux, parents d enfants à charge 6 fois sur 10. Cependant, les couples ayant une charge de famille sont surreprésentés parmi les propriétaires récents, et ce quel que soit le statut dans l : - Pour les salariés en qui ont déménagé, la part de ménages avec enfant à charge s élève à 65 % pour les propriétaires et à 44 % pour les locataires du privé. - Pour les salariés en qui ont déménagé, la part de ménages avec enfant à charge s élève à 79 % pour les propriétaires et à 54 % pour les locataires du privé. - Pour les non-salariés qui ont déménagé, la part de ménages avec enfant à charge s élève à 81 % pour les propriétaires et à 54 % pour les locataires du privé. Tableau 7 : part des ménages ayant des enfants à charge emménagés récents 1- Couples (avec ou sans personne à Propriétaire 79 % 65 % 81 % 42 % 68 % Locataire privé 54 % 44 % 64 % 47 % 50 % Locataire social 74 % 66 % 82 %** 70 % 70 % Ensemble 71 % 53 % 72 % 50 % 60 % Propriétaire 29 % 28 %** 23 % 8 % 23 % Locataire privé 20 % 20 % 20 % 17 % 20 % Locataire social 46 % 47 % 18 %** 26 % 36 % Ensemble 28 % 26 % 20 % 16 % 22 % ** Peu-significatif * * * Dans la partie qui suit, des annexes présentent sous forme de tableaux une plus large palette de résultats concernant l des ménages, qu ils soient des emménagés récents ou non. N.B : Les tableaux 5 à 7, ainsi que ceux présentés en annexes ne détaillent pas les résultats pour les autres locataires (en meublé ou sous locataires) et les logés gratuitement. 6 Définition fiscale : enfants de la personne de référence ou de son conjoint qui sont âgés de moins de 21 ans ou âgés de moins de 25 ans et étudiants ou élèves. 8

9 Tableaux annexes : emménagés récents Médiane des niveaux de vie (en ) 1- Couples (avec ou sans personne à Propriétaire Locataire privé Locataire social ** Ensemble Propriétaire ** Locataire privé Locataire social ** Ensemble ** Peu-significatif Part des ménages dont le niveau de vie se situe sous le médian national (1780 ) 1- Couples (avec ou sans personne à Propriétaire 27 % 42 % 41 % 42 % 34 % Locataire privé 32 % 72 % 52 % 72 % 58 % Locataire social 57 % 85 % 71 %** 94 % 85 % Ensemble 30 % 66 % 47 % 68 % 52 % Propriétaire 39 % 73 %** 49 % 56 % 46 % Locataire privé 57 % 86 % 73 % 91 % 76 % Locataire social 76 % 96 % 100 %** 92 % 87 % Ensemble 56 % 85 % 66 % 88 % 74 % - ** Peu-significatif Part des ménages âgés (personne de référence du ménage ou conjoint âgé de plus de 65 ans) 1- Couples (avec ou sans personne à Propriétaire 0 % 1 % 0 % 25 % 7 % Locataire privé 0 % 0 % 0 % 9 % 4 % Locataire social 0 % 0 % 0 %** 9 % 5 % Ensemble 0 % 0 % 0 % 14 % 5 % Propriétaire 0 % 0 %** 0 % 53 % 15 % Locataire privé 0 % 1 % 0 % 12 % 5 % Locataire social 0 % 0 % 0 %** 22 % 11 % Ensemble 0 % 0 % 0 % 17 % 8 % - ** Peu-significatif 9

10 Part des ménages vivant dans une grande agglomération (unité urbaine de plus de habitants) 1- Couples (avec ou sans personne à Propriétaire 33 % 32 % 37 % 31 % 33 % Locataire privé 52 % 43 % 40 % 42 % 45 % Locataire social 69 % 52 % 56 %** 43 % 50 % Ensemble 42 % 43 % 40 % 40 % 41 % Propriétaire 43 % 39 %** 45 % 45 % 43 % Locataire privé 47 % 41 % 46 % 49 % 47 % Locataire social 56 % 41 % 16 %** 40 % 46 % Ensemble 48 % 46 % 46 % 49 % 48 % - ** Peu-significatif Tableaux annexes : ensemble des ménages Médiane des revenus mensuels (en ) 1- Couples (avec ou sans personne à Propriétaire Locataire privé Locataire social Ensemble Propriétaire Locataire privé Locataire social Ensemble Médiane des niveaux de vie (en ) 1- Couples (avec ou sans personne à Propriétaire Locataire privé Locataire social Ensemble Propriétaire Locataire privé Locataire social Ensemble

11 Part des ménages dont le niveau de vie se situe sous le médian national (1780 ) 1- Couples (avec ou sans personne à Propriétaire 22 % 45 % 37 % 40 % 34 % Locataire privé 34 % 69 % 51 % 70 % 58 % Locataire social 54 % 83 % 72 % 85 % 77 % Ensemble 26 % 60 % 41 % 50 % 43 % Propriétaire 34 % 62 % 56 % 51 % 46 % Locataire privé 51 % 84 % 70 % 84 % 71 % Locataire social 68 % 92 % 76 % 86 % 80 % Ensemble 48 % 82 % 63 % 69 % 63 % Part des ménages ayant des enfants à charge 1- Couples (avec ou sans personne à Propriétaire 72 % 63 % 70 % 16 % 42 % Locataire privé 55 % 48 % 66 % 39 % 48 % Locataire social 75 % 69 % 83 % 52 % 61 % Ensemble 70 % 58 % 69 % 24 % 45 % Propriétaire 26 % 23 % 29 % 2 % 12 % Locataire privé 22 % 21 % 22 % 12 % 17 % Locataire social 40 % 44 % 29 % 16 % 27 % Ensemble 27 % 27 % 27 % 8 % 16 % Part des ménages jeunes (personne de référence du ménage ou conjoint âgé de moins de 35 ans) 1- Couples (avec ou sans personne à Propriétaire 24 % 30 % 14 % 4 % 13 % Locataire privé 55 % 73 % 46 % 40 % 50 % Locataire social 26 % 52 % 24 % 28 % 31 % Ensemble 29 % 50 % 20 % 13 % 21 % Propriétaire 12 % 14 % 7 % 0 % 5 % Locataire privé 35 % 54 % 28 % 29 % 34 % Locataire social 16 % 31 % 20 % 10 % 14 % Ensemble 22 % 42 % 18 % 13 % 18 % 11

12 Part des ménages âgés (personne de référence du ménage ou conjoint âgé de plus de 65 ans) 1- Couples (avec ou sans personne à Propriétaire 0 % 7 % 2 % 57 % 30 % Locataire privé 1 % 0 % 6 % 24 % 11 % Locataire social 1 % 2 % 0 % 25 % 15 % Ensemble 0 % 4 % 2 % 47 % 25 % Propriétaire 0 % 0 % 0 % 75 % 47 % Locataire privé 0 % 0 % 0 % 33 % 16 % Locataire social 0 % 1 % 11 % 46 % 26 % Ensemble 1 % 2 % 5 % 55 % 31 % Part des ménages vivant dans une grande agglomération (unité urbaine de plus de habitants) 1- Couples (avec ou sans personne à Propriétaire 33 % 31 % 32 % 30 % 31 % Locataire privé 50 % 43 % 51 % 45 % 47 % Locataire social 70 % 54 % 60 % 54 % 58 % Ensemble 39 % 41 % 36 % 36 % 37 % Propriétaire 45 % 37 % 37 % 37 % 40 % Locataire privé 52 % 45 % 55 % 46 % 49 % Locataire social 60 % 47 % 59 % 50 % 53 % Ensemble 52 % 47 % 46 % 44 % 47 % 12

Les parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005

Les parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005 Les parcs de logements et leur occupation dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence Situation 2005 et évolution 1999-2005 Décembre 2008 Le territoire d étude 2 Agence de développement et d urbanisme

Plus en détail

Consignes déclaratives DSN

Consignes déclaratives DSN Consignes déclaratives DSN Pôle emploi 1/8 Contenu PREAMBULE... 3 1. GERER UNE FIN DE CDD / GERER UNE PROLONGATION DE CDD... 4 2. GERER UNE ABSENCE NON REMUNEREE OU PARTIELLEMENT REMUNEREE... 5 3. GERER

Plus en détail

Le patrimoine des ménages retraités : résultats actualisés. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites

Le patrimoine des ménages retraités : résultats actualisés. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 08 juillet 2015 à 9 h 30 «Le patrimoine des retraités et l épargne retraite» Document N 2 bis Document de travail, n engage pas le Conseil Le patrimoine

Plus en détail

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS ATELIER PARISIEN D URBANISME - 17, BD MORLAND 75004 PARIS TÉL : 01 42 71 28 14 FAX : 01 42 76 24 05 http://www.apur.org Observatoire de l'habitat de Paris L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN

Plus en détail

1/5 ENFANTS ETAUTRES PERSONNES VIVANT AU FOYER SI ENFANTS ACCUEILLIS EN DROIT DE VISITE ET D HEBERGEMENT, PRECISER :

1/5 ENFANTS ETAUTRES PERSONNES VIVANT AU FOYER SI ENFANTS ACCUEILLIS EN DROIT DE VISITE ET D HEBERGEMENT, PRECISER : 1/5 Service Logement 21, route de la Côte d Amour 44600 SAINT-NAZAIRE - 02.49.14.80.83 - - 02.40.53.03.33 DEMANDE D ACCES A UN LOGEMENT EN SOUS-LOCATION 1 LE(S) DEMANDEUR(S) 1 DEMANDEUR CONJOINT Nom(s)

Plus en détail

Bellevue - Chantenay - Sainte-Anne

Bellevue - Chantenay - Sainte-Anne Mendès France Croix Bonneau - Bourderies auriers Mairie de Chantenay Plessis Cellier - Roche Maurice Boucardière - MallèveJean Macé Salorges - Cheviré - zone portuaire E QUARTIER Sainte- Anne, contrasté,

Plus en détail

Pourquoi et comment investir dans les unités de compte?

Pourquoi et comment investir dans les unités de compte? Pourquoi et comment investir dans les unités de compte? Direction de l Epargne Patrimoniale - Offre Financière Avril 2013 Préambule Quelques règles simples à retenir pour investir dans les unités de compte

Plus en détail

MODULE SOCIO-DEMOGRAPHIQUE

MODULE SOCIO-DEMOGRAPHIQUE 10 MODULE SOCIO-DEMOGRAPHIQUE (questions posées seulement en vague 1 (lire le nom et le prénom de l enquêté sur la liste mise à disposition) S0 Je vais maintenant vous poser quelques questions concernant

Plus en détail

ACCESSION. Prêts ACCESSION dans le neuf (construction d une maison individuelle ou achat d un logement neuf) Prêt ACCESSION dans l ancien sans travaux

ACCESSION. Prêts ACCESSION dans le neuf (construction d une maison individuelle ou achat d un logement neuf) Prêt ACCESSION dans l ancien sans travaux FORMATION DROM 2014 ACCESSION Prêts ACCESSION dans le neuf (construction d une maison individuelle ou achat d un logement neuf) Prêt ACCESSION dans l ancien sans travaux Un projet immobilier? Oui, mais

Plus en détail

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse

Plus en détail

L état de la pauvreté en France

L état de la pauvreté en France Notes de l Observatoire N 1, octobre 2013 L état de la pauvreté en France Combien compte-t-on de pauvres en France? Comment évolue leur nombre? Qui est le plus concerné par la crise? A l heure où une partie

Plus en détail

DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012)

DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Février 2014 DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES MOUVEMENTS D EMPLOI D DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Délégation au DéveloppementD Économique, à l Emploi, à la Formation

Plus en détail

Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation

Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation 1 Septembre 2014 Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation Grand-Charmont est une commune de 5200 habitants qui compte 57 % de logements sociaux. Les revenus

Plus en détail

1. Les comptes de dépôt et d épargne

1. Les comptes de dépôt et d épargne 1. Les comptes de dépôt et d épargne 1.1 Les comptes de dépôt 1.1.1 Le taux de possession d un compte de dépôt Le premier constat est celui d un accès important aux comptes de dépôt, quelle que soit la

Plus en détail

Les aides à l'installation

Les aides à l'installation Syndicat des Greffiers de France 12 rue Chabanais-75002 Paris Tel 01.40.15.09.61 Fax : 01.40.15.09.32 www.lesgreffiers.com Les aides à l'installation A savoir : 5 % du parc immobilier de logements sociaux

Plus en détail

Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants

Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants IStock - FredFroese Source de croissance de d opportunités, le vieillissement de la population française constitue cependant un défi pour notre pays.

Plus en détail

Sociologie des joueurs en ligne

Sociologie des joueurs en ligne Mars 2013 Sociologie des joueurs en ligne Enquête ARJEL 2012 Autorité de régulation des jeux en ligne 2 Propos introductifs à l enquête sur la sociologie des joueurs Au-delà de la publication trimestrielle

Plus en détail

Protection individuelle

Protection individuelle Protection individuelle Franchise annuelle Ce plan n'est plus offert 200 $ 900 $ depuis le 1er mars 2015 1 006 $ / / 18-24 87,88 $ 71,71 $ - 39,35 $ 37,08 $ 63,91 $ 25-29 91,38 $ 74,47 $ - 41,04 $ 38,86

Plus en détail

Définitions. Définitions sur le logement

Définitions. Définitions sur le logement Définitions sur le logement Logement Un logement est défini par son utilisation : c est un local séparé et indépendant utilisé pour l habitation. Il doit être séparé d autres locaux par des murs ou cloisons

Plus en détail

Les Français et la banque en ligne

Les Français et la banque en ligne Les Français et la banque en ligne Rapport d étude réalisé pour monabanq. Décembre 2010 CREDOC / 17 mai 2011 1 Synthèse 1 Internet a modifié la relation des Français avec leurs banques en s imposant comme

Plus en détail

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections

Plus en détail

Description des variables de la base de données. a. Attractivité démographique pour les différents types de population

Description des variables de la base de données. a. Attractivité démographique pour les différents types de population Description des variables de la base de données a. Attractivité démographique pour les différents types de population Sources : Recensements de 1962 à 2006 et Clap 2007 - a01_popmoy62, a01_popmoy68, a01_popmoy75,

Plus en détail

Saint-Vallier-de-Thiey Bar-sur-Loup. Grasse. Grasse-sud

Saint-Vallier-de-Thiey Bar-sur-Loup. Grasse. Grasse-sud PROVENCE-ALPES-COTE D'AZUR 17 rue Menpenti 13387 MARSEILLE CEDEX 1 Tél. : 4 91 17 57 57 Fax : 4 91 17 59 59 http://www.insee.fr TERRITOIRE CA POLE AZUR PROVENCE 5 communes, 2 chefs lieux de cantons, unité

Plus en détail

LE PASS-TRAVAUX. Edition 2008. Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007.

LE PASS-TRAVAUX. Edition 2008. Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007. Edition 2008 LE PASS-TRAVAUX Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007. A la demande de l ANPEEC, MV2 Conseil a réalisé, en 2007,

Plus en détail

Garder et faire garder son enfant

Garder et faire garder son enfant Garder et faire garder son enfant Nathalie Blanpain* L arrivée d un enfant au sein d un foyer est pour ses parents un événement majeur générateur de changements en termes de rythme de vie et d organisation,

Plus en détail

La Colocation mode d emploi

La Colocation mode d emploi 04-236 MCE 8 pages colocation V 26/04/06 10:42 Page 2 Dessins : Gérard Gautier - Création et réalisation : Esprit Graphique F. Fullenwarth - Impression : www.hautsdevilaine.com g La Colocation mode d emploi

Plus en détail

PRÉSENTATION DES QUESTIONS DE LA FEUILLE DE LOGEMENT

PRÉSENTATION DES QUESTIONS DE LA FEUILLE DE LOGEMENT PRÉSENTATION DES QUESTIONS DE LA FEUILLE DE LOGEMENT Chacune des questions de la feuille de logement fait l'objet d'une fiche recto-verso. Ces fiches ont vocation à être mises en ligne sur le site web

Plus en détail

En 2010, le ménage guadeloupéen recourt moins au. Endettement des ménages guadeloupéens : Faible recours aux crédits à l habitat

En 2010, le ménage guadeloupéen recourt moins au. Endettement des ménages guadeloupéens : Faible recours aux crédits à l habitat Pages économiques et sociales des Antilles-Guyane N 36 - mai 2013 Endettement des ménages guadeloupéens : Faible recours aux crédits à l habitat En Guadeloupe, en 2010, un ménage sur trois est endetté

Plus en détail

Emploi et Formation Secteur Publicité

Emploi et Formation Secteur Publicité Rapport statistique Emploi et Formation Secteur Publicité 2009-2010 AFDAS / R&D - Septembre 2012 Sommaire 1. DONNEES SUR L EMPLOI 3 1.1. POINT METHODOLOGIQUE ET PRECAUTIONS D USAGE 4 1.2. LES ENTREPRISES

Plus en détail

Hommes et femmes au travail Ni tout à fait les mêmes, ni tout à fait des autres. Etude Ipsos pour ELLE

Hommes et femmes au travail Ni tout à fait les mêmes, ni tout à fait des autres. Etude Ipsos pour ELLE Hommes et femmes au travail Ni tout à fait les mêmes, ni tout à fait des autres Etude Ipsos pour ELLE Pourquoi cette étude? Croiser le regard des hommes et des femmes sur le travail aujourd hui Le travail

Plus en détail

GARANTIE DES LOYERS IMPAYES DETERIORATIONS IMMOBILIERES ET PROTECTION JURIDIQUE QUESTIONNAIRE D ADHESION - BAILLEUR INDIVIDUEL -

GARANTIE DES LOYERS IMPAYES DETERIORATIONS IMMOBILIERES ET PROTECTION JURIDIQUE QUESTIONNAIRE D ADHESION - BAILLEUR INDIVIDUEL - GARANTIE DES LOYERS IMPAYES DETERIORATIONS IMMOBILIERES ET PROTECTION JURIDIQUE QUESTIONNAIRE D ADHESION - BAILLEUR INDIVIDUEL - ASSUREURS **-** MGARD - Société anonyme au capital de 11 000 000. Entreprise

Plus en détail

Etude statistique des données fournies par la CCIJP

Etude statistique des données fournies par la CCIJP Etude statistique des données fournies par la CCIJP Sommaire Introduction : Stagnation du nombre de cartes accordées en 2012... 4 1. Dans quels secteurs d activité les journalistes encartés travaillent-ils?

Plus en détail

développe les solidarités

développe les solidarités développe les solidarités www.gard.fr Propriétaires bailleurs, comment louer sereinement votre logement? SOMMAIRE les Aides à l amélioration de l habitat... 5 les Aides au Logement... 7 l Assurance Loyers

Plus en détail

main-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement

main-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement Profil économique VILLE DE MONTRÉAL Arrondissement de Rivière-des-Prairies Pointe-aux-Trembles chômage mploi logement établissements d affaires localisation de l emploi revenus d emploi professions main-d

Plus en détail

LES TYPOLOGIES DE LOCATAIRES ELIGIBLES AUX OFFRES LOGIS-ZEN GRL & LOGIS ZEN GRL PLUS

LES TYPOLOGIES DE LOCATAIRES ELIGIBLES AUX OFFRES LOGIS-ZEN GRL & LOGIS ZEN GRL PLUS 1 LES TYPOLOGIES DE LOCATAIRES ELIGIBLES AUX OFFRES LOGIS-ZEN GRL & LOGIS ZEN GRL PLUS Seuls les locataires définis comme «nouveaux locataires» sont éligibles à ces offres. Notion de «nouveau locataire»

Plus en détail

GUIDE MOBILITÉ DÉPARTEMENTAL. FIGEAC et GOURDON. Territoires des Maisons Communes Emploi Formation. www.mcef.midipyrenees.fr

GUIDE MOBILITÉ DÉPARTEMENTAL. FIGEAC et GOURDON. Territoires des Maisons Communes Emploi Formation. www.mcef.midipyrenees.fr GUIDE MOBILITÉ DÉPARTEMENTAL Territoires des Maisons Communes Emploi Formation FIGEAC et GOURDON www.mcef.midipyrenees.fr Pourquoi ce guide? Ce guide (non exhaustif) a été conçu pour faciliter et améliorer

Plus en détail

ETUDE DE L'EVOLUTION, ECONOMIQUE et ORGANISATIONNELLE, des METIERS des ENQUÊTEURS et des PERSONNELS liés à L ENQUÊTE

ETUDE DE L'EVOLUTION, ECONOMIQUE et ORGANISATIONNELLE, des METIERS des ENQUÊTEURS et des PERSONNELS liés à L ENQUÊTE ETUDE DE L'EVOLUTION, ECONOMIQUE et ORGANISATIONNELLE, des METIERS des ENQUÊTEURS et des PERSONNELS liés à L ENQUÊTE Réalisée par Bruno Teyton, Thomas Parrot 2007 Agenda Objectifs Méthodes Chiffres clés

Plus en détail

Compte bancaire ou assurance vie? 5. Amortissement direct ou indirect?

Compte bancaire ou assurance vie? 5. Amortissement direct ou indirect? 92 LE GUIDE FINANCIER DU PROPRIÉTAIRE Compte bancaire ou assurance vie? La décision de prendre un compte bancaire dépendra du profil du client et de ses besoins. Par exemple, si l emprunteur est célibataire

Plus en détail

Intervenants. Philippe SORIA. Gilles GOURMAND. Direction Technique GAN ASSURANCE VIE. Expert-Comptable

Intervenants. Philippe SORIA. Gilles GOURMAND. Direction Technique GAN ASSURANCE VIE. Expert-Comptable Intervenants Philippe SORIA Direction Technique GAN ASSURANCE VIE Gilles GOURMAND Expert-Comptable SOMMAIRE 1- Intérêt d une opération de changement de statut 2- Faisabilité 3- Régime social du dirigeant

Plus en détail

ENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010

ENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010 Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques

Plus en détail

Population active et pauvreté en région Centre

Population active et pauvreté en région Centre Population active et pauvreté en région Centre Conseil Economique et Social Régional du Centre Janvier 2010 Partie I. Périmètre de l étude quatre ménages touchant le SMIC ou le RSA Nombre potentiel de

Plus en détail

Diplômes et insertion professionnelle

Diplômes et insertion professionnelle Diplômes et insertion professionnelle Béatrice Le Rhun, Pascale Pollet* Les conditions d accès à l emploi des jeunes qui entrent sur le marché du travail varient beaucoup selon le niveau de diplôme. Les

Plus en détail

Étude auprès de la génération X. Le paiement virtuel et la gestion des finances personnelles

Étude auprès de la génération X. Le paiement virtuel et la gestion des finances personnelles Étude auprès de la génération X Le paiement virtuel et la gestion des finances Rapport Présenté à Madame Martine Robergeau Agente de Développement et des Communications 11 octobre 2011 Réf. : 1855_201109/EL/cp

Plus en détail

LA QUESTION FINANCIÈRE : UNE PRÉOCCUPATION IMPORTANTE DES ACTIFS SANS ÊTRE PERÇUE COMME LE PRINCIPAL FREIN AU RETOUR À L EMPLOI

LA QUESTION FINANCIÈRE : UNE PRÉOCCUPATION IMPORTANTE DES ACTIFS SANS ÊTRE PERÇUE COMME LE PRINCIPAL FREIN AU RETOUR À L EMPLOI Juin 2008 - N 24.1 LA QUESTION FINANCIÈRE : UNE PRÉOCCUPATION IMPORTANTE DES ACTIFS SANS ÊTRE PERÇUE COMME LE PRINCIPAL FREIN AU RETOUR À L EMPLOI En 2007, la Dares et la Drees ont conduit une enquête

Plus en détail

LES FACTEURS DE FRAGILITE DES MENAGES

LES FACTEURS DE FRAGILITE DES MENAGES Enquête complémentaire mentaire de mars 2009 LES FACTEURS DE FRAGILITE DES MENAGES présentée par Michel MOUILLART Professeur d Economie à l Université de Paris X - Nanterre - Mercredi 22 juillet 2009 -

Plus en détail

Cegid Business Paie. Mise à jour plan de paie 01/03/2014. Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025

Cegid Business Paie. Mise à jour plan de paie 01/03/2014. Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025 Cegid Business Paie Mise à jour plan de paie 01/03/2014 Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025 Mise à jour plan de paie Mars 2014 Sommaire 1. MISE A JOUR DE MARS 2014... 4 Eléments nationaux...

Plus en détail

Circulaire du 28 mai 2015 relative au chèque-vacances au bénéfice des agents de l État NOR : RDFF1427527C

Circulaire du 28 mai 2015 relative au chèque-vacances au bénéfice des agents de l État NOR : RDFF1427527C RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de la décentralisation et de la fonction publique Ministère des finances et des comptes publics Circulaire du 28 mai 2015 relative au chèque-vacances au bénéfice des agents

Plus en détail

Licence professionnelle Systèmes informatiques et logiciels spécialité développement d'applications Internet/Intranet

Licence professionnelle Systèmes informatiques et logiciels spécialité développement d'applications Internet/Intranet IUT - Institut Universitaire de Technologie Licence professionnelle Systèmes informatiques et logiciels spécialité développement d'applications Internet/Intranet / Objectifs de cette licence professionnelle

Plus en détail

Le Baromètre MLS du marché résidentiel. Faits saillants. Province de Québec. 2 e trimestre 2010

Le Baromètre MLS du marché résidentiel. Faits saillants. Province de Québec. 2 e trimestre 2010 Province de Québec Le Baromètre MLS du marché résidentiel Faits saillants Premier ralentissement des ventes en cinq trimestres Seuls quelques centres urbains sont parvenus à être dynamiques Remontée dans

Plus en détail

L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire

L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire Contexte régional Créé en 2010 par l Atelier Centre de ressources régional de l économie sociale et solidaire et la Chambre régionale

Plus en détail

Compas études. compas. Les enjeux du vieillissement. n 7 - juin 2013

Compas études. compas. Les enjeux du vieillissement. n 7 - juin 2013 n 7 - juin 2013 Compas études compas Au service du sens Les enjeux du vieillissement La population française vieillit. Ce phénomène n est pas nouveau mais le processus va s accélérer dans les années à

Plus en détail

OTT Observatoire du Travail Temporaire. L intérim dans le secteur du BTP

OTT Observatoire du Travail Temporaire. L intérim dans le secteur du BTP L intérim dans le secteur du BTP Septembre 2005 Sommaire Introduction page 3 I Données de cadrage du secteur du BTP page 4 A) Evolution du nombre de intérimaires et du taux de recours à l intérim pages

Plus en détail

LE BAROMÈTRE DES FEMMES MANAGERS

LE BAROMÈTRE DES FEMMES MANAGERS LE BAROMÈTRE DES FEMMES MANAGERS Introduction Objectifs de l étude Les Essenti Elles, le réseau des femmes managers de BPCE S.A., a souhaité lancer un nouveau Baromètre concernant les Femmes Managers en

Plus en détail

L allocataire dans un couple : l homme ou la femme?

L allocataire dans un couple : l homme ou la femme? L allocataire dans un couple : l homme ou la femme? par Alain Jacquot CNAF-Bureau des Prévisions Les CAF versent une trentaine de prestations (prestations familiales stricto sensu, aides au logement, et

Plus en détail

DOSSIER DE LOCATION. Nom(s) + Prénom(s): Pour le logement situé au :. ... Loyer + Charges : Dépôt de garantie :.. Honoraires :

DOSSIER DE LOCATION. Nom(s) + Prénom(s): Pour le logement situé au :. ... Loyer + Charges : Dépôt de garantie :.. Honoraires : 8 rue Anatole France 57300 HAGONDANGE DOSSIER DE LOCATION Vous souhaitez louer, merci de nous fournir ces renseignements. Les dossiers incomplets ne pourront être traités correctement. Nous vous remercions

Plus en détail

Cegid Business Paie. Mise à jour plan de paie 01/11/2014. Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025

Cegid Business Paie. Mise à jour plan de paie 01/11/2014. Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025 Cegid Business Paie Mise à jour plan de paie 01/11/2014 Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025 Mise à jour plan de paie Novembre 2014 Sommaire 1. MISE A JOUR NOVEMBRE 2014... 4 Eléments nationaux...

Plus en détail

DOSSIER PRE-INSTRUCTION

DOSSIER PRE-INSTRUCTION DOSSIER PRE-INSTRUCTION ACCES HEBERGEMENT EN RESIDENCE SOCIALE NOTICE Le dossier de pré-instruction doit obligatoirement être rempli par un travailleur social. Il est indispensable que le demandeur entreprenne

Plus en détail

Dares Analyses. Les bas salaires en France entre 1995 et 2011

Dares Analyses. Les bas salaires en France entre 1995 et 2011 Dares Analyses OCTObre 2012 N 068 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques Les bas salaires en France entre 1995 et 2011 En 2011, sur 22,3 millions de

Plus en détail

Contexte - 2 - Colloque Santé et Société Mai 2015

Contexte - 2 - Colloque Santé et Société Mai 2015 www.irdes.fr Quel impact attendre de la généralisation de la complémentaire santé d entreprise sur le taux de non couverture en France? Une simulation à partir de l Enquête Santé et Protection Sociale

Plus en détail

Logement et vieillissement

Logement et vieillissement Enquête réalisée à l occasion de l Assemblée générale de l ANIL du 21 mai 2014 Logement et vieillissement Aperçu sur l implication des ADIL ANIL / 2, boulevard Saint Martin 75010 Paris Tél. : 01 42 02

Plus en détail

Les salariés de l économie sociale et solidaire

Les salariés de l économie sociale et solidaire L'Économie sociale et solidaire Les salariés de l économie sociale et solidaire L'EMPLOI SALARIÉ L ESS, un employeur déterminant de l économie régionale 20 Relative précarité de l emploi dans l ESS 22

Plus en détail

éclairages QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? Près de 3 demandeurs d emploi sur 5 sont couverts par l Assurance chômage

éclairages QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? Près de 3 demandeurs d emploi sur 5 sont couverts par l Assurance chômage éclairages ÉTUDES ET ANALYSES N 5 AVRIL 213 QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? L Unédic a réalisé une étude pour approfondir la compréhension de la population des allocataires

Plus en détail

CHAPITRE 2. Population, ménages et familles

CHAPITRE 2. Population, ménages et familles CHAPITRE 2 Population, ménages et familles Les faits saillants Enquête sur les conditions de vie en Haïti Distribution spatiale, structure par âge et par sexe de la population Le taux d urbanisation de

Plus en détail

à rebondir le mini-prêt qui vous aide Paris Ile-de-France LE MICROCRÉDIT PERSONNEL, Nom et prénom du demandeur : Cachet de la structure instructrice :

à rebondir le mini-prêt qui vous aide Paris Ile-de-France LE MICROCRÉDIT PERSONNEL, Nom et prénom du demandeur : Cachet de la structure instructrice : Nom et prénom du demandeur : Paris Ile-de-France LE MICROCRÉDIT PERSONNEL, le mini-prêt qui vous aide à rebondir Cachet de la structure instructrice : Nom et prénom de l instructeur : Coordonnées de l

Plus en détail

Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique. Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015

Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique. Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015 Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015 Logements neufs / logements d occasion 7 700 logements d occasion vendus en 2013 dans l aire urbaine

Plus en détail

Comité national d évaluation du rsa Annexes

Comité national d évaluation du rsa Annexes Comité national d évaluation du rsa Annexes Annexe 11 La mise en place du Rsa dans les caisses d allocations familiales (*) Pauline Domingo, Stéphane Donné (Cnaf) Décembre 2011 Les documents d études sont

Plus en détail

Instructeur du dossier : Adresse : Téléphone : E-mail :

Instructeur du dossier : Adresse : Téléphone : E-mail : Commission Permanente d Action Sociale. DEMANDE d AIDE FINANCIERE 2015 Vacances Familiales ou Individuelles, Cures, Voyages pour Insuffisants Respiratoires, Maladies rares, Neurologiques, Asthme Séjours

Plus en détail

Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014

Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014 n 26 mai 2014 Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 Sommaire 1.INTRODUCTION 4 2.LE MARCHÉ DE L ASSURANCE VIE INDIVIDUELLE 6 2.1.La bancassurance

Plus en détail

Cegid Business Paie. Mise à jour plan de paie 01/01/2014. Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025

Cegid Business Paie. Mise à jour plan de paie 01/01/2014. Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025 Cegid Business Paie Mise à jour plan de paie 01/01/2014 Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025 Mise à jour plan de paie Janvier 2014 Sommaire 1. NOUVELLES VALEURS... 4 Eléments nationaux... 4

Plus en détail

Cet article s attache tout d abord

Cet article s attache tout d abord Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de

Plus en détail

Nom de l agent : Fonctions : FORMULAIRE DE DEMANDE D AIDE SOCIALE

Nom de l agent : Fonctions : FORMULAIRE DE DEMANDE D AIDE SOCIALE DE FRANCE A Nom de l agent : Fonctions : FORMULAIRE DE DEMANDE D AIDE SOCIALE 1- Objet de la demande : O Allocation de solidarité O Allocation à durée déterminée O Allocation adulte ou enfant handicapé

Plus en détail

Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures?

Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Benoît Pagès 1, Valérie Leveau 1 1 ARVALIS Institut du

Plus en détail

SYNTHÈSE. En 2012, la province Sud compte 16 700 personnes. Le maintien à domicile : solution privilégiée des personnes âgées

SYNTHÈSE. En 2012, la province Sud compte 16 700 personnes. Le maintien à domicile : solution privilégiée des personnes âgées SYNTHÈSE BP 823-98845 Nouméa Nouvelle-Calédonie (687) 27 54 81 isee@isee.nc www.isee.nc Directeur de la publication Alexandre Gautier Conception et réalisation Département publications Synthèse N 3 Édition

Plus en détail

Formulaire de demande(s) auprès de la MDPH

Formulaire de demande(s) auprès de la MDPH Tampon dateur de la MDPH Formulaire de demande(s) auprès de la MDPH N 13788*01 A - Identification de l enfant ou de l adulte concerné par la demande Nom de naissance : Nom d épouse ou nom d usage : Prénom(s)

Plus en détail

L évolution des formes

L évolution des formes L évolution des formes d emploi 5 décembre 2014 Conseil d orientation pour l emploi Plan de la présenta-on I. Les formes d emploi: un paysage en évolution et de plus en plus complexe II. Les causes de

Plus en détail

Document N 09 Document de travail, n engage pas le Conseil Les allocataires du minimum vieillesse : parcours et conditions de vie

Document N 09 Document de travail, n engage pas le Conseil Les allocataires du minimum vieillesse : parcours et conditions de vie CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 22 janvier 2014 à 14h30 «Niveau des pensions et niveau de vie des retraités» Document N 09 Document de travail, n engage pas le Conseil Les allocataires

Plus en détail

NOUVELLE CONVENTION D ASSURANCE CHÔMAGE

NOUVELLE CONVENTION D ASSURANCE CHÔMAGE IMPACT de la NOUVELLE CONVENTION D ASSURANCE CHÔMAGE MAI 2014 Page 1 sur 26 1. Impact global Issues de l accord signé en mars 2014 et valables pour 2 ans, les nouvelles règles d Assurance chômage ont été

Plus en détail

Licence professionnelle Systèmes Informatiques (SIL) spécialité multimédia

Licence professionnelle Systèmes Informatiques (SIL) spécialité multimédia IUT - Institut Universitaire de Technologie Licence professionnelle Systèmes Informatiques (SIL) spécialité multimédia / Lieu de formation : Le Puy en Velay Lieu de formation : Le Puy en Velay Objectifs

Plus en détail

UNE ACCESSION SOCIALE À LA PROPRIÉTÉ SÉCURISÉE

UNE ACCESSION SOCIALE À LA PROPRIÉTÉ SÉCURISÉE CHIFFRES CLÉS DU LOGEMENT SOCIAL ÉDITION NATIONALE SEPTEMBRE 2011 UNE ACCESSION SOCIALE À LA PROPRIÉTÉ SÉCURISÉE En 2010, les opérateurs Hlm ont également vendu 16 000 logements destinés à des accédants,

Plus en détail

2.8. État des lieux de la protection sociale complémentaire d entreprise

2.8. État des lieux de la protection sociale complémentaire d entreprise 2.8. État des lieux de la protection sociale complémentaire d entreprise La généralisation de la complémentaire santé d entreprise prévue par l accord national interprofessionnel (ANI) à compter du 1 er

Plus en détail

12ème. *Source : Centre d Analyse Stratégique «Les secteurs de la nouvelle croissance : une projection à l horizon 2030», Rapport n 48, janvier 2012

12ème. *Source : Centre d Analyse Stratégique «Les secteurs de la nouvelle croissance : une projection à l horizon 2030», Rapport n 48, janvier 2012 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2013-T1 2013-T2 2013-T3 2013-T4 2014-T1 2014-T2 2014-T3 2014-T4 Fiche Synthèse Sectorielle juillet 2015 Activités juridiques, comptables,

Plus en détail

Crédit à la consommation, un bon outil pour la rentrée?

Crédit à la consommation, un bon outil pour la rentrée? Crédit à la consommation, un bon outil pour la rentrée? Contexte Empruntis intervient sur le crédit depuis 15 ans 370 000 ménages nous sollicitent chaque année pour leur besoin en crédit à la consommation

Plus en détail

Licence professionnelle Assistant juridique

Licence professionnelle Assistant juridique Promotion / Site : Clermont-Ferrand Objectif de cette licence professionnelle : Licence professionnelle Assistant juridique La licence professionnelle assistant juridique offre aux étudiants qui ont acquis

Plus en détail

Famille multirésidence : recensement et sources alternatives

Famille multirésidence : recensement et sources alternatives Famille multirésidence : recensement et sources alternatives Groupe de travail sur la rénovation du questionnaire de recensement Pascale BREUIL Chef de l Unité des Etudes Démographiques et sociales 28/09/2011

Plus en détail

Programme ESSEC Gestion de patrimoine

Programme ESSEC Gestion de patrimoine Programme ESSEC Gestion de patrimoine Séminaire «L investissement immobilier» Fiscalité de l immobilier François Longin 1 www.longin.fr Fiscalité de l immobilier Plusieurs niveaux de fiscalité (investissement

Plus en détail

GUIDE DU LOGEMENT ETUDIANT

GUIDE DU LOGEMENT ETUDIANT GUIDE DU LOGEMENT ETUDIANT Juin 2015 Guide du logement étudiant Acteurs majeurs et incontournables pour trouver et louer votre logement en France Sommaire Préambule 1 Les résidences étudiantes 2 Choisir

Plus en détail

Avoir un emploi rend la pauvreté plus difficile à vivre

Avoir un emploi rend la pauvreté plus difficile à vivre ISSN 029-997 N 2 avril 07 Avoir un emploi rend la pauvreté plus difficile à vivre Marie-Odile Simon, Christine Olm, Élodie Alberola L emploi ne protège plus de la pauvreté, même la plus extrême: 28% des

Plus en détail

publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques

publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques Dares Analyses FÉVRIER 2014 N 016 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques L EMPLOI DANS LES TRÈS PETITES ENTREPRISES EN DÉCEMBRE 2012 Les entreprises

Plus en détail

MÉMO. Des solutions en cas de coup dur ou de coup de cœur SOMMAIRE

MÉMO. Des solutions en cas de coup dur ou de coup de cœur SOMMAIRE Édition : décembre 13 MÉMO Des solutions en cas de coup dur ou de coup de cœur 1. Optimiser l utilisation des livrets défiscalisés 2. Épargner sans plafond 3. Placer une somme importante sur quelques mois

Plus en détail

Débat participatif. La vie chère. «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse»

Débat participatif. La vie chère. «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse» Débat participatif La vie chère «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse» Ségolène ROYAL Les enjeux de notre débat : Réconcilier les Français

Plus en détail

Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement

Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Agence d urbanisme de la région nantaise AURAN - 88.07 n Le nombre de seniors dans l Agglomération nantaise progresse et plus particulièrement

Plus en détail

La Lettre de l IMSEPP

La Lettre de l IMSEPP La Lettre de l IMSEPP N 46 27 janvier 2015 Marché du travail 2014 en Martinique : Bilan d une année de demandes d emploi Page 1 16 Synthèse : Au mois de décembre 2014, la baisse tendancielle du nombre

Plus en détail

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ Rapport réalisé par le CRÉDOC pour le Comité consultatif du secteur financier Département Évaluation des politiques

Plus en détail

panorama des mobilités professionnelles des cadres édition 2012

panorama des mobilités professionnelles des cadres édition 2012 panorama des mobilités professionnelles des cadres édition 2012 DOCUMENT SOUS EMBARGO PUBLIABLE LE 28 JUIN 2012 A 0H01 Les études de l emploi cadre juin 2012 Bilan de la mobilité des cadres en 2011 Perspectives

Plus en détail

Dares Analyses. Emploi, chômage, population active : bilan de l année 2012

Dares Analyses. Emploi, chômage, population active : bilan de l année 2012 Dares Analyses juin 2013 N 037 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques Emploi, chômage, population active : bilan de l année Avec la contraction de l

Plus en détail

Typologie des contrats les plus souscrits auprès des complémentaires santé en 2006

Typologie des contrats les plus souscrits auprès des complémentaires santé en 2006 études résultats et N 663 octobre 2008 Typologie des contrats les plus souscrits auprès des complémentaires santé en 2006 L enquête annuelle de la DREES auprès des mutuelles, des institutions de prévoyance

Plus en détail

«Extrait du cahier de l OPEQ n 148»

«Extrait du cahier de l OPEQ n 148» «Extrait du cahier de l OPEQ n 148» LE CONTEXTE ECONOMIQUE DU PRF 2006-2007 PREQUALIFICATION, QUALIFICATION, ACCES A L EMPLOI En 2007, l emploi salarié privé en région tend à la hausse sur l ensemble des

Plus en détail

Directeur de la publication : André-Michel ventre, Directeur de l INHESJ Rédacteur en chef : Christophe Soullez, chef du département de l ONDRP

Directeur de la publication : André-Michel ventre, Directeur de l INHESJ Rédacteur en chef : Christophe Soullez, chef du département de l ONDRP repères Premier ministre 20 institut national des hautes études de la sécurité et de la justice Janvier 2013 n Directeur de la publication : André-Michel ventre, Directeur de l INHESJ Rédacteur en chef

Plus en détail

ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires

ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com Octobre 2013 1/52 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES

Plus en détail

L INSEE EN BREF. L Insee en bref. La mesure du chômage par l Insee. N 4 Septembre 2012. Combien y a t il de chômeurs en France?

L INSEE EN BREF. L Insee en bref. La mesure du chômage par l Insee. N 4 Septembre 2012. Combien y a t il de chômeurs en France? L INSEE EN BREF L Insee en bref N 4 Septembre 2012 La mesure du chômage par l Insee Combien y a t il de chômeurs en France? Quelle définition des chômeurs retient l Insee? Comment l Insee mesure t il le

Plus en détail