Le régime fiscal des associations loi 1901
|
|
- Emmanuel Roux
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Lot 2 : Fiscalité et comptabilité Le régime fiscal des associations loi 1901 Ville de Paris Carrefour des Associations Parisiennes PROJETS-19 projets19@projets19.org
2 Présentation et enjeux Organisation matérielle : 3 heures avec une pause de 10 minutes au milieu de l atelier Méthode pédagogique : Exposés Échanges et analyse des situations et pratiques des participants Questions/réponses sur les aspects pratiques et fiscaux Remise de documents d'informations et cas pratiques Objectifs de la formation : Comprendre les étapes de détermination du régime fiscal des associations Rappeler le cadre d exonération fiscale des associations Savoir quelles sont les démarches à entreprendre pour connaître le régime fiscal de sa structure Connaître les spécificités des différents secteurs d activités et le type d activités Tour de table des participants : rôle et fonction dans l association niveau de connaissance sur le sujet attentes par rapport à l atelier
3 Plan Introduction La loi 1901 au regard de la fiscalité associative Les principes de gestion désintéressée et de non-lucrativité I. Les impôts commerciaux II. La détermination du régime fiscal d une association III. Les démarches pour connaître son régime fiscal IV. Les conditions d exonérations fiscales V. L émission de reçus fiscaux au titre de dons Conclusion
4 Introduction La loi 1901 La loi 1901 : Une association loi 1901 est une association à but non lucratif qui relève de la loi du 1er juillet 1901 mise en place par Waldeck-Rousseau (ex-ministre de l intérieur et président du conseil). Décret d application du 16 août Article 1 : «l association est la convention par laquelle deux ou plusieurs personnes mettent en commun, d une façon permanente, leurs connaissances ou leurs activités dans un but autre que de partager des bénéfices»
5 Introduction Fiscalité associative Toute activité économique est fiscalement imposable sauf exonérations spécifiques Le régime fiscal des organismes à but non lucratif Initialement, pour prétendre à une exonération des Impôts Commerciaux, il suffisait qu une association justifie d une gestion désintéressée et de l absence de réalisation de bénéfices ou de leur réinvestissement dans l œuvre. Mais avec le développement des activités économiques, ces critères ont été jugés certes nécessaires, mais insuffisants. L instruction fiscale du 15 septembre 1998 a défini une méthodologie d analyse plus structurée de la situation fiscale des associations à travers la règle des «4 P», instruction complétée par les instructions fiscales du 16 février 1999 et du 18 décembre Dans tous les cas, ce sont les activités qui déterminent le régime fiscal d une structure et non son statut juridique.
6 Les impôts commerciaux Définition L impôt est une perception pécuniaire obligatoire perçue par l Etat et les collectivités publiques, destinée à couvrir les dépenses publiques et leurs interventions économiques et sociales. Les impôts qui ne dépendent pas de la nature des activités (lucratives ou non-lucratives) de l association : Les taxes relatives à l emploi salarié (taxe sur les salaires, d apprentissage, développement de la formation professionnelle, participation à l effort de construction) L imposition sur les revenus patrimoniaux (fonciers, mobiliers, agricoles et financiers) La taxe d habitation et la taxe foncière Il existe trois types d impôts commerciaux : TVA : Taxe sur la Valeur Ajoutée IS : Impôt sur les Sociétés CET : Contribution Economique Territoriale qui remplace la taxe professionnelle (entrée en vigueur le 1 er janvier 2010)
7 Les impôts commerciaux La TVA C est une taxe à la consommation que chacun doit payer lors de l achat d un bien ou d une prestation de service Le mécanisme : TVA due = TVA collectée (client) TVA déductible (fournisseur) L impôt sur les sociétés et l imposition forfaitaire annuelle Le taux de droit commun est de 33,1/3% des bénéfices imposables pour un chiffre d affaires égales ou supérieur à Sous ce seuil de CA, le taux de l IS est de 15% (taux réduit) sur les de bénéfices imposables puis de 33,1/3 % pour le reste. La Contribution Economique Territoriale, composée de : La cotisation Foncière des Entreprise (CFE) assise sur les valeurs locatives foncières dont le taux est déterminé par les communes ou les EPCI La cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises (CVAE) prélevée selon un barème progressif et due uniquement à partir de de chiffre d affaires.
8 La détermination du régime fiscal Etape 1 La gestion est-elle désintéressée? Article 261,7,1,d du CGI : «Le caractère désintéressé de la gestion résulte de la réunion des conditions ci-après: l organisme doit être géré et administré à titre bénévole [ ] l organisme ne doit procéder à aucune distribution directe ou indirecte de bénéfice [ ] les membres de l organisme [ ] ne doivent pas être déclarés attributaires d une part quelconque de l actif, sous réserve du droit de reprise des apports.» Les tolérances administratives: Avantages directs ou indirects : plafond des ¾ du SMIC brut annuel, Nombre de salariés participants au conseil d administration avec voix délibérative limité à un quart au plus, Rémunération de un à trois administrateurs sous certaines conditions, notamment les ressources de l association, et dans la limite de trois fois le plafond de la sécurité sociale.
9 La détermination du régime fiscal Etape 2 L appréciation de la concurrence sur le territoire Le public peut-il indifféremment s adresser à une structure lucrative ou non lucrative? L appréciation de la concurrence doit se faire activité par activité Si l activité ne concurrence pas un organisme du secteur lucratif, l association est non lucrative et, par conséquent, l association n est pas soumise aux impôts commerciaux.
10 La détermination du régime fiscal Etape 3 l association exerce-t-elle son activité dans des conditions similaires à celle d une entreprise? (la règle des 4 P) Le produit L association doit satisfaire un besoin qui n est pas pris en compte par le marché ou qui l est de manière peu satisfaisante. Le public L activité doit s adresser à des personnes justifiant l octroi d avantages particuliers au vu de leur situation économique, sociale ou humaine (chômeurs de longue durée, personnes handicapées ). Le prix Sont ici évalués les efforts en terme de prix, qui contribuent à différencier le service proposé par l association de celui proposé par une entreprise du secteur commercial (modulation des tarifs par exemple). Le prix pratiqué doit être nettement inférieur à celui des services similaires proposés par le secteur lucratif, en vue d une plus grande accessibilité du service au public. La publicité Distinction entre l information sur l existence d un service et la publicité commerciale en tant que telle.
11 La détermination du régime fiscal Etape 3 l association exerce-t-elle son activité dans des conditions similaires à celle d une entreprise? (la règle des 4 P) Remplir les 4 critères : Produit - Public - Prix - Publicité S étudient hiérarchiquement S apprécie chaque année Exemple de cas : Jurisprudence de 2007 : la traduction de passeports (même produit, tarif non différencié en fonction du public, même public) est fiscalisée Marché public : l association rentre dans le champ de la concurrence? en respectant un cahier des charges avec tarifs fixés incidence possible au niveau de la fiscalité
12 Connaître son régime fiscal La procédure de rescrit fiscal : Elle permet de recueillir l avis de l administration sur l assujettissement de l association aux impôts commerciaux (3 mois de délais de réponse depuis 2008) Rien ne vous oblige à prendre contact avec l administration si vous estimez que votre activité n a pas à être soumise aux impôts commerciaux Consiste à remplir un questionnaire sur la situation fiscale de l association disponible auprès de votre centre départemental des impôts (CDI) Sur la base de vos réponses, l administration formulera un avis sur votre situation, avis qui l engage en cas de contrôle si de nouveaux éléments ne sont pas venus modifier la situation de l association entre la réponse au rescrit et le contrôle Recours administratif possible depuis 2008 Si vous choisissez de recourir à une telle procédure, remplissez le questionnaire avec le plus grand soin en demandant conseil à des personnes ou des structures ayant une bonne connaissance de la fiscalité des associations (structure d aide à la vie associative, avocats ou experts- comptables)
13 Connaître son régime fiscal La procédure de rescrit fiscal =>
14 Connaître son régime fiscal La procédure de rescrit fiscal =>
15 Connaître son régime fiscal La procédure de rescrit fiscal =>
16 Connaître son régime fiscal La procédure de rescrit fiscal =>
17 Schéma récapitulatif 1 la gestion de l association est-elle désintéressée? OUI 2 l association concurrence-t-elle une entreprise? l association est exonérée des impôts commerciaux aucune obligation fiscale NON OUI 3 l association exerce-t-elle son activité dans des conditions similaires à celles d une entreprise (règle des 4P : produit, public, prix, publicité)? NON l association est imposable aux impôts commerciaux obligations de déclaration, paiement éventuel, récupération éventuelle possibilité d exonérations spécifiques NON OUI Exonération d impôts commerciaux si activité non lucrative prépondérante et si recettes commerciales accessoires < HT Sur les services à caractère social, culturel, éducatif et sportif rendus aux membres réels Sur les ventes accessoires aux membres réels dans la limite de 10% des recettes totales Sur l organisation de 6 manifestations de bienfaisance par an
18 Les conditions d exonérations fiscales Les conditions d application de la franchise des impôts commerciaux si : La gestion est désintéressée Les activités non lucratives demeurent significativement prépondérantes Limitation du montant de facturation des recettes commerciales accessoires à Limitation du volume de facturation au 1/3 du budget total Ventes accessoires consenties aux membres (limite de 10% des recettes totales) Les six manifestations annuelles Les recettes tirées de six manifestations de soutien et de bienfaisance organisées dans l année au profit exclusif d une association dont la gestion est désintéressée et dont l activité principale présente un caractère non lucratif sont exonérées des IC.
19 Exonération fiscale La sectorisation des activités Objectif : limiter l imposition aux seules activités lucratives 2 conditions à la sectorisation Les activités commerciales et non commerciales doivent être dissociables Les activités non commerciales doivent être prépondérantes Le ratio maximal d un tiers d activités commerciales / aux activités totales de l association apparaît communément comme le seuil de base Conséquences comptables La sectorisation nécessite la mise en place d une comptabilité cohérente, qui reflète un fonctionnement justifiant les exonérations. Il est préférable que cette comptabilité soit tenue de façon analytique En tout état de cause, tenir une comptabilité pour une association devient, en cas de sectorisation, une obligation.
20 Exonération fiscale La filialisation des activités En cas de risque de prépondérance des activités commerciales.. possibilité de créer une filiale Une structure commerciale autonome Qui gère exclusivement les activités lucratives «L association mère» Détient des titres de la filiale et gère en «bon père» de famille En tire une rémunération (gestion passive).
21 L émission de reçus fiscaux au titre de dons Le reçu fiscal de don permet de déduire une part des dons effectués à une association : Le particulier assujetti à l impôt sur le revenu des personnes physiques a la possibilité de déduire de son impôt sur le revenu 66% du montant de ses dons dans la limite de 20% de son revenu imposable Les entreprises assujetties à l impôt sur les sociétés peuvent déduire 60% du montant de ses dons dans la limite de 0,5% du chiffre d affaire Le particulier assujetti à l impôt sur la fortune a la possibilité de déduire de son impôt 75% du montant
22 L émission de reçus fiscaux au titre de dons Pour pouvoir émettre un reçu de dons, l association doit être «d intérêt général» L intérêt général est une notion fiscale définie par la direction générale des impôts dans une instruction du 26 février Pour être répondre au critère de l intérêt général, une association doit : Poursuivre une activité non-lucrative Avoir une gestion désintéressée Ne procurer aucun avantage à ses membres Ne pas fonctionner en cercle restreint et exercer une activité énumérée dans les articles 200 ou 238 bis du Code général des impôts Activité à caractère philanthropique, éducatif, scientifique, social, humanitaire, sportif, familial, culturel Ou concourant à la mise en valeur du patrimoine artistique, à la défense de l environnement naturel ou à la diffusion de la culture, de la langue et des connaissances scientifiques françaises.
23 L émission de reçus fiscaux au titre de dons Vérifier le droit d émettre un reçu fiscal auprès de l administration est vivement conseillé (risque d amende en cas d émission injustifiée) : procédure de rescrit fiscal spécifique (6 mois de délais de réponse, loi 2003) La procédure de rescrit fiscal spécifique engage l administration qui ne pourra procéder à aucune imposition rétroactive, sauf si votre situation ou la législation ont changé Recours administratif possible depuis 2008
24 L émission de reçus fiscaux au titre de dons Quels avantages pour les entreprises? - Mécénat financier - Mécénat de compétences Cas Pratiques
25 L émission de reçus fiscaux au titre de dons La demande de rescrit est à présenter selon un modèle fixé par voie réglementaire L auteur de la demande doit être clairement identifié et habilité par l organisme Il faut présenter précisément et complètement l activité exercée par l association Il faut indiquer toutes les informations justifiant que l association relève des catégories mentionnées dans les articles 200 et 238 bis du code général des impôts Ne pas fonctionner en cercle restreint Si l administration n a pas répondu six mois après la réception de la demande, l association peut se prévaloir d une réponse positive tacite
26 L émission de reçus fiscaux au titre de dons ETABLISSEMENT DU RECU FISCAL les dons reçus par l'association doivent figurer dans sa comptabilité pour les frais rétrocédés par les bénévoles au profit de l'association, on pourra actionner les comptes suivants : -un compte 86 en charges (ex: le s'il s'agit de frais de déplacement) -un compte 87 Bénévolat en produits l'administration peut procéder au contrôle de l'enregistrement effectif des opérations ouvrant droit à déduction fiscale dans la comptabilité de l'association depuis le 1er janvier 2009, l association doit établir le reçu fiscal sur le nouveau formulaire de type «Cerfa 11580*03
27
28
29 L émission de reçus fiscaux au titre de dons Numéroter le reçu (numéro unique par reçu émis) Remarques : Un reçu unique pour toute l'année pourra être établi à la place d'un reçu pour chaque don consenti par une même personne. Le bénéficiaire devra mentionner le type de réduction auquel le don ouvre droit (case à cocher entre les articles 200, 238 et V bis) ainsi que la forme et la nature du don (également des cases à cocher). Établir le document en 2 exemplaires originaux : le 1er pour le donateur, le 2è pour la comptabilité de l'association.
30 Rappel des démarches à entreprendre Quant est-ce que le régime fiscal de l association est déterminé? Au démarrage, lors de la création de l association et à chaque modification dans les activités (la règle des 4P s apprécie chaque année) A l envoi du questionnaire M.O. Les obligations des associations en matière d information Les dirigeants de l association doivent tenir informés les services fiscaux de l évolution des activités Comment : à travers un questionnaire de demande d interprétation du régime fiscal Les risques de non information : paiement des impôts dus des 3 dernières années La délivrance aux donateurs par les organismes bénéficiaires de reçus irréguliers est sanctionnée par une amende fixée à 25% du montant des sommes figurant sur ces reçus irréguliers (article 1740 A du Code général des Impôts)
31 CONCLUSION C est la nature des activités qui détermine le régime fiscal et non le statut juridique. Rappel : l exercice d une activité économique doit être prévu par les statuts de l association. Par exception, les organismes à but non lucratifs sont : exonérés des impôts commerciaux, Peuvent émettre des reçus ouvrant droit à une déduction fiscale (critère de l intérêt général) La détermination du régime fiscal : La gestion désintéressée de l organisme L appréciation de la concurrence sur le territoire La règle des 4 P (produit-public-prix-publicité Interpeller l administration fiscale : S informer auprès du correspondant association des services fiscaux Procédure du rescrit fiscal
L AUTO - ENTREPRENEUR
L AUTO - ENTREPRENEUR Présenté par le CGAHDF Y. GRANIER et M. VILLERS 15 Avril 2009 Y.GRANIER - M. VILLERS 1 Qui peut le devenir? Tous les Français à titre principal ou accessoire Les salariés, les chômeurs,
Plus en détailLa fiscalité des associations. Les critères de non-lucrativité. fiche pratique 7. 1. La gestion désintéressée
La fiscalité des associations Mise à jour : avril 2005 fiche pratique 7 Les critères de non-lucrativité 1. La gestion désintéressée, 2. Une activité non concurrentielle Les locaux de l association L association
Plus en détailLE REGIME FISCAL DES LOCATIONS MEUBLEES
LA FISCALITÉ DES LOCATIONS EN MEUBLES Article juridique publié le 21/03/2013, vu 10039 fois, Auteur : ASCENCIO Jacques LE REGIME FISCAL DES LOCATIONS MEUBLEES I - L IMPOT SUR LE REVENU A la différence
Plus en détailLe plafonnement des impôts directs : mise en place du «bouclier fiscal»
Le plafonnement des impôts directs : mise en place du «bouclier fiscal» Ce qu il faut retenir Article 74 de la loi de finances pour 2006 Dans la situation actuelle, il peut arriver que le montant total
Plus en détailGUIDE PRATIQUE DE LA SCI MISES A JOUR et COMPLEMENTS D'INFORMATIONS
GUIDE PRATIQUE DE LA SCI MISES A JOUR et COMPLEMENTS D'INFORMATIONS Les présentes mises à jour concernent le quatrième tirage 2000. PACS ( Pacte civil de solidarité ) - Page 6 Le régime applicable entre
Plus en détailRENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE
RENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE Conférence de presse 13 mars 2012 SOMMAIRE Introduction p. 3 CALCULS DE RENTABILITE IMMOBILIERE Cinq exemples avec des prélèvements sociaux portés à 15,5 %...p.
Plus en détailLa mission de «tiers de confiance» a été instaurée par l article 68 de la loi 2010-1658 du 29 décembre 2010 de finances rectificative pour 2010.
DROIT FISCAL 64/2012 LES NOUVELLES MISSIONS DES NOTAIRES Les notaires (comme les avocats et les experts comptables) peuvent être habilités par l administration à devenir «tiers de confiance» pour le compte
Plus en détail4. Déduction des intérêts d emprunt pour l acquisition de la résidence principale
Lettre d'information - Septembre - Octobre 2007 MESURES FISCALES ET PATRIMONIALES EN FAVEUR DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DU POUVOIR D ACHAT ENTREPRISES 1. Défiscalisation des heures supplémentaires 2. Parachutes
Plus en détailNOTE D INFORMATION : LA FISCALITE DES FRANÇAIS ETABLIS HORS DE FRANCE ETAT ACTUEL ET EVOLUTIONS EN COURS
Joëlle Garriaud- Maylam Sénateur représentant les Français établis hors de France NOTE D INFORMATION : LA FISCALITE DES FRANÇAIS ETABLIS HORS DE FRANCE ETAT ACTUEL ET EVOLUTIONS EN COURS Au 31 décembre
Plus en détailPlafonnement fiscal des investissements et bouclier fiscal. Du constat au conseil
Plafonnement fiscal des investissements et bouclier fiscal Du constat au conseil Intervenants Félix CICERON, Directeur de l ingénierie patrimoniale, Expert& Finance José SOTO, Directeur des partenariats
Plus en détailFISCALITE DES DONS, LEGS ET DATION
FISCALITE DES DONS, LEGS ET DATION AU PROFIT DU MUSEE DU QUAI BRANLY I. Définitions, avantages fiscaux et limites relatifs aux donations, legs et dations A. Don d argent ou d œuvres d art à un musée :
Plus en détailPlus-values immobilières des particuliers
> Fiscalité patrimoniale Fiscalité personnelle Plus-values immobilières des particuliers Abattement pour durée de détention Abattement identique pour tous les biens >> Abattement pour durée de détention
Plus en détailNewsletter - Mesures fiscales de la loi de Finances pour 2012
Newsletter - Mesures fiscales de la loi de Finances pour 2012 Octobre 2012 Sommaire 1. CONTRIBUTION EXCEPTIONNELLE SUR LA FORTUNE...2 2. DROITS DE SUCCESSION ET DE DONATION...2 2.1 Réduction de l abattement
Plus en détail1. Quelles sont les nécessités et obligations comptables. 2. Pourquoi établir un bilan, un compte de résultat, un budget?
Sommaire 1. Quelles sont les nécessités et obligations comptables 2. Pourquoi établir un bilan, un compte de résultat, un budget? 3. Quels outils? 4. Quelle fiscalité? 5. Quels documents conserver? Introduction
Plus en détailPACTE DE RESPONSABILITÉ
PACTE DE RESPONSABILITÉ ET DE SOLIDARITÉ Loi de finances rectificative pour 2014 Loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2014 10 septembre 2014 1 LES PRINCIPALES MESURES SOCIALES DU
Plus en détailRESUME ENTREPRISE FRANCHE D EXPORTATION ET DISPOSITIFS INCITATIFS DU CGI
RESUME ENTREPRISE FRANCHE D EXPORTATION ET DISPOSITIFS INCITATIFS DU CGI Révision : 26/02/13 Impression : 23/04/13 RESUME ENTREPRISE FRANCHE D EXPORTATON ET DISPOSITIFS INCITATIFS DU CGI Révision : 26/02/13
Plus en détailLe mécénat au profit des établissements d enseignement privés (au 1/1/2015)
Le mécénat au profit des établissements d enseignement privés (au 1/1/2015) Solliciter la générosité des parents d élèves, des anciens élèves, des entreprises, pour financer un projet de construction,
Plus en détailDAT FIDELITE. Ce mémo est mis à votre disposition pour reprendre de façon simple et transparente les principales caractéristiques de ce contrat.
DAT FIDELITE Ce mémo est mis à votre disposition pour reprendre de façon simple et transparente les principales caractéristiques de ce contrat. L'essentiel du DAT FIDELITE Le Dépôt à Terme (DAT) FIDELITE
Plus en détailCommission des Affaires économiques. «De gauche et fier de l être!» Lutter contre les idées reçues les plus répandues
Commission des Affaires économiques «De gauche et fier de l être!» Lutter contre les idées reçues les plus répandues La protection des épargnants «Le Gouvernement ne protège pas les petits épargnants comme
Plus en détailBordereau de renseignements OG B.I.C. Millésime 2015
LE MANS LAVAL ALENCON Siège social 1 rue de la Paix Parc d activités du Londreau 126-128 rue de la Mariette CS 60506 BP 230 - Cerisé 72000 LE MANS 53005 LAVAL CEDEX 61007 ALENCON CEDEX Tel : 02 43 86 36
Plus en détailAUTO-ENTREPRENEUR ET PORTAGE SALARIAL L AUTO-ENTREPRENEUR
AUTO-ENTREPRENEUR ET PORTAGE SALARIAL L AUTO-ENTREPRENEUR 1 LE REGIME C est un nouveau régime plus simplifié pour exercer une activité indépendante Ce n est pas un nouveau statut juridique car un auto-entrepreneur
Plus en détailQUE SAVEZ-VOUS SUR LES ASSOCIATIONS?
QUE SAVEZ-VOUS SUR LES ASSOCIATIONS? Ces questions concernent toutes les associations loi de 1901. Concernant les associations sportives, des exigences particulières peuvent être demandées par vos fédérations
Plus en détailPLUS-VALUES DE CESSION DE TITRES REALISEES EN 2013 :
PLUS-VALUES DE CESSION DE TITRES REALISEES EN 2013 : REGIME D IMPOSITION DE DROIT COMMUN Les plus-values réalisée en 2013 seront, en principe, imposables au barème progressif de l impôt sur le revenu dès
Plus en détailLES MATINALES DU CRA
LES MATINALES DU CRA 11 MARS 2014 COMMENT OPTIMISER VOTRE REVENU DANS LE CADRE D UN LBO? Intervenant : Christelle POULIQUEN Avocat associé Société d avocats AFFIS 1 Rue de Villersexel 75007 PARIS Comment
Plus en détailLA LETTRE DES ADHÉRENTS
LA LETTRE DES ADHÉRENTS NUMÉRO SPÉCIAL LOI DE FINANCES - 15 JANVIER 2014 N 2/2014 LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE POUR 2013 INTRODUCTION La loi de finances rectificative pour 2013, définitivement adoptée
Plus en détailStatut d Auto-entrepreneur. Service du Commerce Extérieur Avril 2009
Statut d Auto-entrepreneur Service du Commerce Extérieur Avril 2009 Sommaire I/ Définition II/ L enregistrement III/ Cotisations/ Charges sociales IV/ Obligations fiscales V/ Les petits plus I/ Définition
Plus en détailL IMPOT DE SOLIDARITE SUR LA FORTUNE
L IMPOT DE SOLIDARITE SUR LA FORTUNE Introduction L impôt de solidarité sur la fortune est un impôt annuel dû par les personnes physiques détenant un patrimoine net supérieur à 790 000 au 1 er janvier
Plus en détailREGIME APPLICABLE AVANT LE 1 ER JANVIER 2008 1
RÉGIME DES PERSONNES IMPATRIÉES REGIME APPLICABLE AVANT LE 1 ER JANVIER 2008... 1 REGIME NOUVEAU... 4 A - Personnes concernées... 5 1 Salariés et mandataires sociaux... 5 2 Personnes non salariées... 6
Plus en détailFORUM PROFESSIONNEL. Fédération Nationale des Enseignants de Yoga. Syndicat National des Professeurs de Yoga
FORUM PROFESSIONNEL Fédération Nationale des Enseignants de Yoga Syndicat National des Professeurs de Yoga Divers statuts : I - Salarié (Association, Comité d entreprise, Société de portage, Entreprise
Plus en détailLE MECENAT ET LE PARRAINAGE
LE MECENAT ET LE PARRAINAGE Des sources de financement complémentaires pour le tissu associatif sportif. SOMMAIRE I Le mot du Préfet 4 II - Définitions 5 III - Mécénat des entreprises du secteur marchand
Plus en détailLA REFORME FISCALE 2014 APPLICATION PRATIQUE AUX CHEFS D ENTREPRISES. 11 février 2014 CGPME AIN
LA REFORME FISCALE 2014 APPLICATION PRATIQUE AUX CHEFS D ENTREPRISES 11 février 2014 CGPME AIN 1 La réforme fiscale 2014 Application pratique 8 aux chefs d entreprises Jacques - Vincent PIROUX Expert -
Plus en détailRéunions patrimoniales Janvier Février 2013
Réunions patrimoniales Janvier Loi de Finances pour 2013 et 3 ème Loi de finances Rectificative pour 2012 Le présent document vous est transmis à titre personnel, il a été réalisé sur la base de l environnement
Plus en détailLE CROWDFUNDING CADRE JURIDIQUE & FISCAL
LE CROWDFUNDING CADRE JURIDIQUE & FISCAL PAR ME XAVIER SENNÈS Présentation au CROS Aquitaine Bordeaux, le 07.11.2014 SOMMAIRE I. CONTEXTE FINANCIER & POLITIQUE FAVORABLE AU CROWDFUNDING II. CADRE JURIDIQUE
Plus en détailCabinet d Avocat Patrick DUPIRE
Cabinet d Avocat Patrick DUPIRE Avocat au Barreau DIPLOME DE L INSTITUT DE DROIT DES AFFAIRES D.E.S.S. DE FISCALITE DES ENTREPRISES DIPLOME JURISTE CONSEIL D ENTREPRISE LE CHOIX D UN PACTE D ASSOCIES DANS
Plus en détailNote rédigée avec le Concours du cabinet NSK FIDUCIAIRE, Cédric Roubin, Associé, Expert-comptable & Commissaire aux comptes
LES PRINCIPES DE BASE D UNE SOCIETE D EXERCICE LIBERAL A RESPONSABILITE LIMITEE (SELARL) Note rédigée avec le Concours du cabinet NSK FIDUCIAIRE, Cédric Roubin, Associé, Expert-comptable & Commissaire
Plus en détailLa rémunération de l apprenti :
F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est
Plus en détailGestion & Actualité. La note d information du CGL SOMMAIRE. Plus-values immobilières 2012 Une déclaration unique Un timbre de 35 euros
EXTRAITS DU N 47 NOVEMBRE 2011 Gestion & Actualité La note d information du CGL SOMMAIRE Page 2 Page 3 Page 4 A apprécier Plus-values immobilières 2012 Une déclaration unique Un timbre de 35 euros Vers
Plus en détailCode du Travail, Art. L6222-23 à L6222-33
F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est
Plus en détailBourses Scolaires - 2nd Conseil - Campagne 2015/2016
Bourses Scolaires - 2nd Conseil - Campagne 2015/2016 Date limite de dépôt du dossier au consulat : 18 septembre 2015 Cette rubrique présente les modalités de constitution et dépôt du dossier de bourse,
Plus en détailVOTRE ACTIVITE. Le vendeur colporteur de presse a un statut spécifique, tant sur le plan social et administratif, que sur le plan fiscal.
VOTRE ACTIVITE Le vendeur colporteur de presse est un travailleur indépendant qui assure la vente et/ou la distribution de publications quotidiennes nationales, régionales et départementales, ainsi que
Plus en détailLA LOCATION DE LOCAUX EQUIPES
LA LOCATION DE LOCAUX EQUIPES Un schéma d optimisation d fiscale et patrimoniale 1 place du 18 juin 1940-74940 ANNECY LE VIEUX Tél. : 04.50.23.10.40 fax : 04.50.23.39.83 Mél. : contact@agika.fr Document
Plus en détailFISCALITÉ 2014 LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE 2013 LOI DE FINANCES 2014
1 FISCALITÉ 2014 LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE 2013 LOI DE FINANCES 2014 2 Fiscalité 2014 SOMMAIRE I. Imposition des revenus II. Optimisation de l impôt sur le revenu III. Imposition des plus-values IV.
Plus en détailCercle Patrimonial. Débat sur la Fiscalité
Cercle Patrimonial Débat sur la Fiscalité Oujda, le 10 octobre 2013 Cadre légal marocain d imposition des salariés Benchmark sur les différents modèles de la fiscalité des produits de retraite (1/4) Dans
Plus en détailLe cadre fiscal et social de l épargne salariale pour l épargnant
Janvier 2015 Le cadre fiscal et social de l épargne salariale pour l épargnant France métropolitaine et D.O.M. (hors Mayotte) BANQUE DE GRANDE CLIENTÈLE / ÉPARGNE ET ASSURANCE / SERVICES FINANCIERS SPÉCIALISÉS
Plus en détailAvertissement : ceci est un corrigé indicatif qui n engage que son auteur
DCG UE4 DROIT FISCAL - session 2014 Proposition de CORRIGÉ 2014 dcg-lyon.fr Avertissement : ceci est un corrigé indicatif qui n engage que son auteur DOSSIER 1 TAXE SUR LA VALEUR AJOUTÉE - 5 points 1.
Plus en détailPrésentation de la loi de finances pour 2013 et rappels des dispositifs des lois de finances rectificatives pour 2012
Présentation de la loi de finances pour 2013 et rappels des dispositifs des lois de finances rectificatives pour 2012 Présentation par l Ordre des avocats de Narbonne 1 Partie 1 : La fiscalité des particuliers
Plus en détailPrésentation de la loi de finances 2013
Expertise Comptable Audit Social Juridique Notre vocation est de mesurer la valeur Notre ambition, vous aider à la créer Conseils Présentation de la loi de finances 2013 Actualités sociales et fiscales
Plus en détailLe Statut Auto-Entrepreneur
Le Statut Auto-Entrepreneur Le Statut Auto-Entrepreneur en 10 points http://www.declaration-auto-entrepreneur.com L auto-entrepreneur est caractérisé par différents points clés. Lorsque l ont décide de
Plus en détailFOCUS : NOS ARTICLES SUR FACEBOOK https://www.facebook.com/pages/sodraco/618524861539098
JUIN 20 N 6 FOCUS : NOS ARTICLES SUR FACEBOOK https://www.facebook.com/pages/sodraco/6185248639098 Nous vous présentons actuellement des articles aussi variés que : Assurance habitation et professionnelle
Plus en détailLatham & Watkins Département Tax. des investisseurs
Numéro 360 14 Janvier 2004 Client Alert Latham & Watkins Département Tax La loi de finances pour 2004 ainsi que la loi pour l Initiative Economique votée l été dernier prévoient de nombreuses mesures en
Plus en détailISF et IMPÔT SUR LE REVENU Choisissez l impact que vous donnez à votre générosité.
FONDATION MEDECINS SANS FRONTIERES DISPOSITIONS FISCALES 2015 ISF et IMPÔT SUR LE REVENU Choisissez l impact que vous donnez à votre générosité. Conjuguer générosité et logique patrimoniale L a générosité
Plus en détailLe fonds de dotation, quelle utilité pour les associations et fondations faisant appel à la générosité du public? Paris, le 28 avril 2009
Le fonds de dotation, quelle utilité pour les associations et fondations faisant appel à la générosité du public? Paris, le 28 avril 2009 Introduction André HOCHBERG, Président de France générosités Restitution
Plus en détailDÉCLARATION D IMMATRICULATION D UNE SOCIÉTÉ CIVILE RÉSERVÉ AU CFE G U I D B E F K T
M0 SOCIÉTÉ CIVILE N 13958*01 DÉCLARATION D IMMATRICULATION D UNE SOCIÉTÉ CIVILE RÉSERVÉ AU CFE G U I D B E F K T Pour celle dont l activité est agricole, utiliser l imprimé spécifique M0 agricole Pour
Plus en détailTRANSFERT DU DOMICILE FISCAL DE FRANCE AU MAROC
TRANSFERT DU DOMICILE FISCAL DE FRANCE AU MAROC I DETERMINATION DE LA RESIDENCE Au plan fiscal, les conséquences résultant pour un résident et ressortissant français de son installation au Maroc dépendent
Plus en détailL IMPÔT SUR LA FORTUNE
L IMPÔT SUR LA FORTUNE Cet impôt a succédé à l'«impôt sur les grandes fortunes» (IGF) créé en 1982. Créé par la loi de finances pour 1989, il reprend les mécanismes et la philosophie de l'igf, supprimé
Plus en détailREFORME FISCALE 2014 EN PRATIQUE!
REFORME FISCALE 2014 EN PRATIQUE! L'ACTUALITE 12 février 2014 CGPME Ain Le 11 février dernier La CGPME de l'ain a organisé une réunion d'information pratique à la Chambre des Professions libérales, pour
Plus en détailProjet de Loi de Finances 2014. Les principales réformes
Projet de Loi de Finances 2014 Les principales réformes La fiscalité sur les plus-values immobilières C est inédit dans l histoire, la réforme sur les plus-values immobilières a été inscrite au BOFIP (donc
Plus en détail1) L impôt sur le revenu des personnes physiques
DIRECTION DE LA LEGISLATION FISCALE Sous-Direction E - Bureau E 2 139, RUE DE BERCY - TELEDOC 568 75572 PARIS CEDEX 12 DLF/E/DO/2006000762 Fiscalités étrangères FE n 11/06 Anne Galmace 01 53 18 92 24 Fax
Plus en détailRégime fiscal du mécénat et du parrainage
CAMINO AVOCAT Régime fiscal du mécénat et du parrainage Me Cécile Chassefeire MAI 2011 FICHES DE SYNTHESE FICHE 1 / LES NOTIONS FICHE 2 / LES ORGANISMES ELIGIBLES AU MECENAT FICHE 3 / L AVANTAGE FISCAL
Plus en détailGUIDE DU MICROPORTEUR SUIVI BUDGETAIRE ET D ACTIVITE Mesure «appui aux microprojets» FSE 4-2.3
GUIDE DU MICROPORTEUR SUIVI BUDGETAIRE ET D ACTIVITE Mesure «appui aux microprojets» FSE 4-2.3 I. Contexte : Pourquoi, quand et comment réaliser le suivi budgétaire? II. Les modalités générales de prise
Plus en détailLoi de finances rectificative pour 2010 et Loi de finances pour 2011. Loi de finances pour 2011
Loi de finances rectificative pour 2010 et Loi de finances pour 2011 Loi de finances pour 2011 La loi de finances pour 2011 ne bouleverse pas notre fiscalité. Les principales dispositions sont relatives
Plus en détailAccord N 36 Le Compte Epargne Temps au GIE AtlantiCA En date du 25 septembre 2008
Accord N 36 Le Compte Epargne Temps au GIE AtlantiCA En date du 25 septembre 2008 Les organisations syndicales signataires : CFDT, SNECA-CGC, SUD AtlantiCA TABLE DES MATIERES L ACCORD INDEX TABLE DES MATIERES
Plus en détailKIT DE L AUTO-ENTREPRENEUR
KIT DE L AUTO-ENTREPRENEUR ATTENTION! LE PROJET DE LOI DE MODERNISATION DE L¹ÉCONOMIE ÉTANT EN COURS DE DISCUSSION DEVANT L¹ASSEMBLÉE NATIONALE ET LE SÉNAT, LA COMPOSITION DU KIT DE L¹AUTO-ENTREPRENEUR
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS
BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS DIRECTION GÉNÉRALE DES IMPÔTS 5 F-16-01 N 136 du 27 JUILLET 2001 5 F.P. / 58 - F 114 INSTRUCTION DU 18 JUILLET 2001 TRAITEMENTS ET SALAIRES. ASSIETTE. REGIME D IMPOSITION DES
Plus en détailLA FISCALITE ISRAELIENNE L INTERET DES INVESTISSEURS OU DES IMMIGRANTS FRANÇAIS
LA FISCALITE ISRAELIENNE L INTERET DES INVESTISSEURS OU DES IMMIGRANTS FRANÇAIS Maître ALON LEIBA Avocat au barreau d ISRAEL et de PARIS 14, rue Clément Marot 75008 Paris 1 PLAN 1. Le régime d imposition
Plus en détailActualité et devenir de l'isf et des droits de mutation à titre gratuit. Aspects internes & internationaux. Faculté de Droit Le 13 décembre 2011
Actualité et devenir de l'isf et des droits de mutation à titre gratuit Aspects internes & internationaux Faculté de Droit Le 13 décembre 2011 Céline VIESSANT Frédéric MEGE 1 Introduction Comme souligné
Plus en détailCONVENTION DE MECENAT
CONVENTION DE MECENAT Entre L association X et l entreprise X ENTRE L association X, Représentée par.. Ci-après dénommée «l association» Déclaration au Journal Officiel. ET L entreprise X Située. immatriculée
Plus en détailAperçu de la fiscalité française
Aperçu de la fiscalité française AGENDA 1) Notion de domicile fiscal et de «résident» de France, 2) Principaux impôts français pour les «résidents» 3) Régime fiscal des retraités ONU et «institutions spécialisées»
Plus en détailCIRCULAIRE D INFORMATION
Siège social 33 Rue Gustave Eiffel- ZAC Ravine à Marquet - 97419 LA POSSESSION Tél. 02 62 43 10 43 Fax 02 62 43 16 04 / E-mail : acorex@acorexsa.com Bureau de Saint-Gilles Tél. 02 62 22 58 02 Fax 02 62
Plus en détailChapitre. Introduction générale au droit fiscal. 11 - Définition. 12 - Caractéristiques de l impôt. 21 - Impôts directs et impôts indirects
Chapitre 1 Introduction générale au droit fiscal La fiscalité est l un des fondements de la souveraineté. Car en l absence de ressources financières, nul gouvernement ne peut conduire de politiques publiques.
Plus en détailLFR2013. 1 er janvier. conclus à compter du 1 er janvier 2014
MESURES TEXTES ENTREE EN VIGUEUR FISCALITE DES ENTREPRISES TVA au taux réduit et TVA sur les travaux : Dans les logements, maintien du taux 7 % au-là du 1 er janvier Le taux TVA 7 % est maintenu au-là
Plus en détailQuelles sont les conditions de travail de l apprenti?
Quelles sont les conditions de travail de l apprenti? L apprenti est un salarié à part entière. À ce titre, les lois, les règlements et la convention collective de la branche professionnelle ou de l entreprise
Plus en détailFISCALITE DES PARTICULIERS ET DU PATRIMOINE
FISCALITE DES PARTICULIERS ET DU PATRIMOINE BAREME TRAITEMENTS ET SALAIRES PEA Fin du gel du barème : Revalorisation de 0,8% de l ensemble des tranches applicables aux revenus de 2013. Plafonnement du
Plus en détailPARTICULIERS FISCALITÉ
PARTICULIERS FISCALITÉ 2014 SOMMAIRE CE QUI CHANGE EN 2014 p.4 1 - IMPÔT SUR LE REVENU p.6 2 - IMPÔT DE SOLIDARITÉ SUR LA FORTUNE p.7 3 - REVENUS DE CAPITAUX MOBILIERS p.7 4 - PLUS-VALUES DE CESSION DE
Plus en détailLoi de finances pour 2014 et loi de finances rectificative pour 2013 : Quels sont les principaux changements?
Le 27 janvier 2014 Loi de finances pour 2014 et loi de finances rectificative pour 2013 : Quels sont les principaux changements? I. POUR LES ENTREPRISES 1.1 Nouvelle taxe exceptionnelle sur les hautes
Plus en détailReximmo Patrimoine 2
G E S T I O N D E P A T R I M O I N E Reximmo Patrimoine 2 SCPI DE TYPE «MALRAUX» Un investissement indirect dans de l immobilier ancien au cœur des villes historiques Souscription ouverte jusqu au 20
Plus en détailGUIDE PRATIQUE SUCCESSION
GUIDE PRATIQUE SUCCESSION Vous venez d'hériter. Il s'agit d'une situation difficile et douloureuse pour laquelle diverses démarches doivent être faites. Les questions que vous vous posez sont nombreuses
Plus en détailLa fiscalité des organismes sans but lucratif (OSBL)
La fiscalité des organismes sans but lucratif (OSBL) La fiscalité des organismes sans but lucratif Les associations sont régies par la loi du 1er juillet 1901 relative au contrat d'association et son décret
Plus en détailMesures patrimoniales de la loi de finances 2014, de la loi de finances rectificatives pour 2013
Sources : Mesures patrimoniales de la loi de finances 2014, de la loi de finances rectificatives pour 2013 Loi de finances 2014 : http://www.assembleenationale.fr/14/ta/ta0267.asp Loi de finances rectificatives
Plus en détailChoix du statut de l entrepreneur individuel
Choix du statut de l entrepreneur individuel Groupe Mornay 2010 Panorama des différentes formes juridiques Entreprise individuelle Entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL) Entrepreneur
Plus en détailActualité fiscale 25 juin 2015
INTERESSEMENT DES SALARIES Le projet de loi Macron Le projet de loi pour la croissance, l activité et l égalité des chances économiques, dite «loi Macron», a été présenté le 11 décembre 2014. Après de
Plus en détailinfo ACTUALITÉ JURIDIQUE DROIT FISCAL Déclaration des revenus 2014 au titre des revenus 2013 Opérations particulières concernant les coopérateurs
n 7 > 4 avril 2014 info Sommaire > Droit fiscal : déclaration des revenus 2014 au titre des revenus 2013 - opérations particulières concernant les coopérateurs ACTUALITÉ JURIDIQUE DROIT FISCAL Déclaration
Plus en détailQUEL IMPACT DU CHANGEMENT DE RESIDENCE FISCALE SUR LES IMPOTS SUR LE REVENU?
FISCALITÉ DES RETRAITÉS FRANÇAIS S INSTALLANT AU PORTUGAL Note de Maître Hugelin Laurent- Avocat au Barreau de Paris pour http://www.maison-au-portugal.com INTRODUCTION Le Portugal a engagé une politique
Plus en détailOPTIMISEZ VOTRE INVESTISSEMENT IMMOBILIER
PASCAL DÉNOS Diplômé d expertise-comptable DESS en Banques et Finances Commissaire aux Comptes et Professeur de droit fiscal OPTIMISEZ VOTRE INVESTISSEMENT IMMOBILIER www.editions-organisation.com/livres/denos
Plus en détailLE STATUT JURIDIQUE ET SOCIAL DU CONSULTANT
LE STATUT JURIDIQUE ET SOCIAL DU CONSULTANT 1. Préambule Préalablement à toute intervention pour l une des sociétés SIGMA Conseil, SIGMA Opérations ou CONCEPT RISK, le consultant doit disposer d un cadre
Plus en détailDECRETS D APPLICATION. LOI du 5 mars 2007
DECRETS D APPLICATION LOI du 5 mars 2007 1 Décret n 2008-1554 2 Article L. 475-1 du code de l action sociale et des familles «Le coût des mesures exercées par les mandataires judiciaires à la protection
Plus en détail(Bâtiment Basse Consommation)
PREMELY Habitat 3 BBC (Bâtiment Basse Consommation) SCPI DE TYPE «SCELLIER BBC» Prorogation de la commercialisation jusqu au 20 décembre 2012. La période de souscription de PREMELY Habitat 3 BBC, prévue
Plus en détailÉdition du 4 mars 2011 Annule et remplace l édition précédente
1 Édition du 4 mars 2011 Annule et remplace l édition précédente TOUT SAVOIR SUR LE CONTRAT D APPRENTISSAGE 2 TOUT SAVOIR SUR LE CONTRAT D APPRENTISSAGE SOMMAIRE Qui peut embaucher un apprenti et quelles
Plus en détail\ SOMMAIRE. AVOXA - Le présent support ne peut être reproduit sans autorisation - P1
\ SOMMAIRE AVOXA - Le présent support ne peut être reproduit sans autorisation - P1 \ SOMMAIRE Présentation Loi de Finances 2013 Carine AILLERIE Grégory CONTIN 4 février 2013 AVOXA - Le présent support
Plus en détailRESSOURCES ASSOCIATIVES
Ces formations gratuites sont dispensées par le Comité Départemental Olympique et Sportif du Rhône et le CENACLE, dans le cadre de leur mission de soutien au développement de la vie associative sportive
Plus en détailLa Fiscalité de l Épargne Salariale
FISCALITÉ La Fiscalité de l Épargne Salariale Le cadre fiscal et social pour l entreprise A - Les versements dans les dispositifs Pour l entreprise Nature du versement Charges sociales et taxes patronales
Plus en détailLE CHOIX DE STATUT DU DIRIGEANT. Optimisation et conséquences sociales
LE CHOIX DE STATUT DU DIRIGEANT Optimisation et conséquences sociales Le statut juridique conditionne le régime social du dirigeant I - Caractéristiques des différents statuts juridiques II - Optimisation
Plus en détailDISPOSITIONS FISCALES DE LA LOI DE FINANCES 2015
DISPOSITIONS FISCALES DE LA LOI DE FINANCES 2015 Abdellatif ZAGHNOUN Directeur Général des Impôts OEC, 22 janvier 2015 Contexte d élaboration de la LF 2015 Recommandations des Assises Nationales sur la
Plus en détailPREAMBULE. Les 3 statuts possibles de l entrepreneur :
1 PREAMBULE Les 3 statuts possibles de l entrepreneur : 1. Le «quasi salarié» : Le dirigeant de SA et de SAS ou le gérant minoritaire de SARL. Sa rémunération relève des traitements et salaires. Il peut
Plus en détailCréer en solo : EI, AE, EURL, SASU Quel statut juridique choisir pour réaliser votre projet? Maître Muriel LEON Ordre des Avocats
Créer en solo : EI, AE, EURL, SASU Quel statut juridique choisir pour réaliser votre projet? Maître Muriel LEON Ordre des Avocats Plan de l intervention 1. Contexte du projet 2. Statut du projet Partie
Plus en détailCadre réservé à l administration : Demande reçue le. Collège communal du :
Commune d Esneux Cadre réservé à l administration : Demande reçue le. Collège communal du : Aides déjà octroyées sur l exercice : oui / non FORMULAIRE A REMPLIR POUR LA DEMANDE DE MISE A DISPOSITION GRATUITE
Plus en détailArtisans, commerçants et professionnels libéraux. L'auto-entrepreneur. Édition 2011
Artisans, commerçants et professionnels libéraux L'auto-entrepreneur Édition 2011 2 L auto-entrepreneur 3 Qui peut devenir auto-entrepreneur? Ce dispositif permet à toute personne de créer, avec des formalités
Plus en détailLES VALEURS MOBILIERES LA FISCALITE DES PLACEMENTS A LONG TERME
LES VALEURS MOBILIERES LA FISCALITE DES PLACEMENTS A LONG TERME Une note de Riviera Family Office Mise à jour : juillet 2004 Les principaux avantages fiscaux des valeurs mobilières Aucune imposition sous
Plus en détail