Cycle 2010 / 2011 d Etudiant de Paris Le Conseil. Le bien être des étudiants

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Cycle 2010 / 2011 d Etudiant de Paris Le Conseil. Le bien être des étudiants"

Transcription

1 Cycle 2010 / 2011 d Etudiant de Paris Le Conseil Le bien être des étudiants 1 ère séance du 25 novembre 2010 Compte-rendu INTRODUCTION Didier GUILLOT, adjoint au Maire de Paris, chargé de la vie étudiante, remercie les membres pour leur présence et souhaite la bienvenue aux nouveaux membres du Conseil pour ce deuxième cycle d Etudiant de Paris Le Conseil sur le thème du bien être étudiant à Paris, qui durera 6 mois et comprend quelques nouveautés : Le Conseil s est renouvelé et accueille de nouveaux membres Le Conseil sera ouvert à tous les étudiants de Paris, à travers deux séances publiques dont le lieu reste à déterminer avec le Conseil. Le cabinet Res publica accompagne la Ville de Paris dans le bon déroulement du Conseil et l organisation de la concertation. Didier Guillot revient sur l implication des membres du Conseil comme facteur de réussite du premier cycle 2009/2010, qu il espère voir se renouveler cette année. En effet, l implication des membres a permis un suivi et un travail approfondi dont le diagnostic et les solutions ont été partagées : les délibérations votées ont été mises en œuvre par la Ville, des universités ou encore des associations à Paris. Enfin, le Conseil a désormais un rôle de suivi sur l application des mesures issues des réflexions menées lors des séances. La notion de bien être étudiant Le bien être étudiant recouvre ici les conditions de vie étudiantes à Paris et plus précisément les questions de restauration et d équilibre alimentaire, la santé et le logement. Le logement et l accès à l autonomie des étudiants parisiens est actuellement prioritaire pour la Ville de Paris (200 millions d euros pour le mandat), qui met en œuvre une production de logements sociaux étudiants définie et encadrée. Dans ce cycle, il s agira donc de discuter des pistes d amélioration en termes d accès au logement (connaissance des offres, cohabitations, etc.) sur lesquelles la Ville de Paris peut continuer à travailler. Calendrier du cycle Arnaud Magnin, directeur de cabinet de Didier Guillot, explique le choix cette année de renforcer la parole des étudiants hors Conseil via, le site Internet déjà présent pour le cycle 2009/2010, mais surtout dans le cadre des séances publiques à organiser dans les sites universitaires parisiens. Le Conseil est invité à participer à chaque étape du calendrier : Le 11 janvier en séance plénière avec le Conseil, des experts, des associations, des élus et des étudiants, à l Hôtel de Ville de Paris. Le 1 er et 8 février, aux deux séances publiques en site universitaire. De Mars à Mai, (1 er mars, 5 avril et 3 mai), aux 3 réunions du Conseil à huit clos, dont la réflexion s appuiera sur le travail des membres mais aussi sur les pistes de réflexion formulées par les étudiants en séances publiques.. Le 7 juin, à une séance ouverte au public, aux associations et aux experts qui présentera le contenu des propositions issues du cycle qui seront transmises par Didier Guillot au Maire et au Conseil de Paris.

2 Organisation et processus du cycle Sophie Guillain, de Res publica, ajoute quelques éléments sur l organisation du processus et le rôle de chacun des participants : Le Conseil sera ouvert aux associations spécialisées sur les problématiques abordées dans le cycle. La participation des étudiants hors conseil aux séances publiques nécessite une campagne de communication, mise en place par la Ville de Paris, mais aussi un fort relais de la part des membres du Conseil afin de toucher des étudiants qui, eux, n ont pas l habitude de venir s exprimer. La plateforme Internet fonctionnera en parallèle des séances et a pour but d alimenter les travaux du Conseil. Un questionnaire propose aux étudiants d indiquer les problèmes qu ils rencontrent sur les sujets d enjeu (restauration et équilibre alimentaire, santé et logement) : il a ainsi pour objectif de nourrir le diagnostic. Puis, à partir de mars, lors des séances du conseil, sera ouvert sur la plateforme un lieu d échanges et de commentaires sur les propositions émises par les membres du Conseil. Entre toutes les séances, des comptes rendus seront diffusés aux membres afin de nourrir la réflexion. Les séances publiques prendront la forme de tables ronde qui permettront aux étudiants hors conseil de travailler sur les sujets. Des questions leurs seront soumises pour lancer le débat ; elles devront être travaillées par les membres du Conseil, en fonction des sujets délimités aujourd hui. L objectif final de cette démarche est d émettre des propositions et de les confiner dans un rapport final à remettre au Conseil de Paris. DELIMITATION DES SUJETS A METTRE EN DEBAT Arnaud Magnin présente le tableau de synthèse des thématiques du cycle transmis aux membres du Conseil. Celui-ci est indicatif, c est une base pour la discussion, qui doit mener, durant cette réunion, au cadrage des sujets à mettre en débat dans les prochaines séances publiques et du Conseil. Les membres sont invités à discuter sur les sujets qui leur paraissent importants, à les compléter ou à en ajouter de nouveaux qui ne figurent pas dans le tableau. Ce tableau, complété par les membres du Conseil, constituera l outil de travail pour la suite du processus. Il sera amené à être complété. Julie Mondelbaum syndiquée à l UNEF, suppléante au CROUS de Paris et élue étudiante Le logement reste, en effet, la priorité numéro 1 : Bien qu il y ait des projets de construction en cours à Paris, il reste un grand déficit en logement : le pourcentage étudiant logé en cité universitaire est très faible et l accès au privé est difficile. Cela remet en cause l accès à l autonomie, mais surtout l accès même à l université pour les étudiants venant de province. La mairie, bien qu elle mène déjà un gros travail, devrait poursuivre sa politique de construction. Des choses sont à faire concernant l encadrement du logement privé et l aide à l accès au logement privé, tel que le loca-pass remis en cause au niveau de l Etat, qu il s agirait de reprendre au niveau de la mairie. Il est également possible d agir sur les actions d aide à l accès au logement au moment de la rentrée. La vie étudiante dans les résidences universitaires est un vrai manque à Paris. Entre des étudiants qui viennent d endroits différents et sont dans des universités/écoles différentes, il n y a pas de vie étudiante pour les rassembler et il manque des lieux de vie. C est un sujet qui est à travailler avec l aide des élus étudiants au sein des résidences universitaires, notamment pour l animation de la vie étudiante. Il s agit ainsi d éviter le repli et le mal-être étudiant en voie de développement et lié aux conditions sociales.

3 Au sujet de la santé, il existe un problème d accès aux soins à Paris. De nombreux étudiants ne se soignent pas pour des raisons financières, notamment pour consulter les spécialistes. Il s agit de réfléchir à des structures de santé au sein même de l université, comme à Paris 8 où l accès aux médecins présents sur le site est gratuit. Au sujet de la restauration, il existe à Paris des cités universitaires vierges de toute restauration, d où les chiffres important de restauration étudiante dans le privé. Or, le coût est important et la qualité de nourriture mauvaise. Le restaurant universitaire, lui, permet d accéder à des repas équilibrés pour un coût réduit, contrairement à la cafétéria du Crous, plus rependue. Ces restaurants sont donc à développer sur les sites universitaires en demande. Saina, élue au CROUS de Paris et représentante de l Université Paris 7 L Université Paris 7 est particulièrement touchée par les problématiques de la restauration universitaire : la taille du restaurant ne permet pas d accueillir tous les étudiants. En revanche, deux cafétérias, ouvertes en permanence et toute la journée, sont un réel lieu de vie, où sont présentées des expositions faites par les étudiants, où les étudiants travaillent en groupe grâce au wifi, etc Ainsi, ces espaces sont importants à développer. Lorsqu un restaurant universitaire est ouvert le soir, les étudiants y vont entre amis ; c est un véritable lieu de lien social à l université : on s y retrouve hors des cours pour partager. Il est nécessaire de développer les restaurants universitaires sur chaque site, mais aussi de les imaginer comme lieu de vie au-delà de la restauration. Concernant la Médecine Préventive, attention aux consultations gratuites qui ne permettent pas de prescription de médicaments. Les étudiants doivent être informés sur ce statut spécifique de prévention. Aussi, pour être efficaces, les Médecines Préventives doivent être intégrées sur le site même de l université. A Paris 7, le site principal est dans le 15 ème arrondissement tandis que la Médecine Préventive qui y est rattachée est à Gare du Nord. Il est question de l utilité et de la fréquentation de ces lieux. Gabriel Juge, animateur du réseau Animafac L équilibre personnel est clairement relié à la sociabilisation des étudiants, qui peut passer par l engagement associatif. Des études sociologiques ont été réalisées, notamment par Stephane Beaud, qui montrent que la réussite académique passe par la sociabilisation au sens large des étudiants sur les campus. Cela rejoint la question de la vie étudiante dans les restaurants et les résidences universitaires : beaucoup d associations ne choisissent pas ces lieux pour leurs actions parce que l accès y est très difficile, alors même que beaucoup de choses peuvent s y faire. De nombreux projets d AMAP Campus peuvent être intégrés à la réflexion sur la restauration étudiante. Il s agit de les mettre en valeur et de les accompagner. Concernant la prévention des risques, il existe un vrai manque chez les associations étudiantes, pour informer et communiquer sur la prévention. Dans ce cadre, Animafac développe actuellement un kit d actions destiné aux associations pour faciliter la mise en place de la prévention chez les étudiants.

4 Cyndi Petrieux, trésorière adjointe à la confédération étudiante et responsable du logement Au sujet du logement : La Confédération Etudiante mène une campagne contre les vendeurs de listes qui tentent, dans le contexte d un parc social difficile, d arnaquer les étudiants. Aujourd hui, le secrétaire d Etat chargé du logement, Benoît Apparu, a été saisi, une enquête de la répression des fraudes est en cours et la Confédération Etudiante a lancé une enquête avec des associations de consommateurs, dont les premiers chiffres arriveront courant décembre La confédération Etudiante souhaite que Etudiant de Paris Le Conseil puisse s investir dans la conférence nationale du logement étudiant, lancée par les trois ministères Jeunesse, Enseignement Supérieur et Logement. Au sujet du Loca-pass, il serait intéressant d inviter les représentants du 1% logement qui s occupent aussi de la GRL (Garantie des Risques Locatifs), aujourd hui plus avantageuse pour les étudiants. Au sujet de la santé, au-delà de l accès financier et de la question de la sociabilisation dans les lieux de vie universitaire, essentiels, il y a la question des étudiants salariés. En effet, le passage d étudiant à salarié, oblige à payer la sécurité sociale du travail en plus de la sécurité étudiante déjà payée en début d année et qui ne peut être arrêtée avant décembre. Au sujet de la restauration universitaire, l attractivité des restaurants universitaires est à travailler. Les lieux ne donnent pas pour l instant envie d aller y manger en groupe. Adrien Vandevelde, vice président de la FAGE, élu au CNOUS Concernant la santé et l équilibre personnel des étudiants, la thématique du sport est absente du tableau, alors que c est une thématique importante du bien être étudiant, à travailler, notamment au vue de l offre des universités via les SIUAPS, du manque de place et d équipements à Paris ainsi que des difficultés d accès à ces lieux de sport. La question du sport est transversale à toutes les thématiques, ce serait dommage de l exclure. Concernant l accès aux soins, PRES Université réfléchit à un guichet unique de Maison de la Santé, avec de la médecine préventive et curative qui permettrait de gagner en visibilité et en accessibilité auprès des étudiants. Concernant les questions d équilibre personnel, il semble que ce soit surtout une question de prévention. L éducation par les pairs étudiants fonctionne bien mais cela nécessite un travail avec les associations, de manière à avoir une réflexion de fond sur la manière de diffuser le message. Concernant la restauration universitaire, il y a clairement un manque de RU sur les sites universitaires, mais aussi et surtout dans les établissements d enseignement supérieur hors université plus durement touchés. Les cafétérias, proposant souvent de la restauration rapide, ne sont pas la bonne solution au vu de l équilibre alimentaire attendu. Il s agit également de réfléchir à l échelonnement des sorties des cours pour éviter un encombrement à l entrée des RU. Le CROUS travaille sur des enquêtes «Panel de RU» sur lesquelles il serait intéressant de s y pencher, afin de mieux appréhender la qualité de la restauration universitaire. Concernant le logement, au-delà de la disponibilité de foncier à Paris, il s agit de penser les formes innovantes de logement. La cohabitation intergénationnelle, citée dans le tableau ne concerne et ne s adapte qu à une minorité d étudiants : il faut se méfier des services et de l accompagnement attendus par les personnes âgées. Une enquête de la DGCCRF sur les clauses abusives peut être utilisée comme base de travail.

5 Au sujet de la colocation, si celle-ci peut-être une solution, il faut aussi se pencher sur les problématiques qui y sont liées, comme la baisse d APL qu elle induit sur le parc privé. Dans le parc social, la piste de la colocation est à encourager, mais attention à la forme de la colocation. Par exemple, 6 ou 8 chambres avec seulement le partage de la cuisine et des sanitaires n est pas forcément la forme de colocation attendue par les étudiants, ni en termes de lien social, ni en termes de coût. Clément Boudin, secrétaire général de la Mutuelle des Etudiants (LMDE) Dans un contexte particulièrement difficile, la LMDE s intéresse à la Santé des étudiants : l assurance maladie recule de plus en plus, les temps de remboursement augmentent, les tarifs des médecins généralistes les plus fréquentés par les étudiants augmenteront encore au 1 er janvier 2011 et la politique de santé est davantage répressive que préventive. Concernant la question de la prévention, le thème de la sexualité est un enjeu important : le 1 er décembre aura lieu la journée mondiale de lutte contre le Sida. La LMDE en partenariat avec le CNOUS et le réseau des œuvres, distribuera des préservatifs masculins et féminins aux étudiants et de l information sur les risques des MST. Il s agit d innover pour aller au-delà de la prévention classique qui ne touche pas les étudiants. Dans le cadre du Conseil, il est nécessaire de s appuyer sur l expertise développée par les différents acteurs de la santé étudiante : la LMDE va par exemple réaliser en 2011 l enquête nationale sur la santé des étudiants N 3 comprenant les conditions de vie (logement, restauration). Il existe aussi des enquêtes sur la notion de temps, qui est particulièrement marquée à Paris avec des sites universitaires éclatés (Paris 1 est sur 18 sites différents) et qui influe sur les conditions de santé et le mal être étudiant. Concernant la sécurité sociale étudiante, un étudiant est affilié au régime de sécurité sociale sauf si il dépasse 60 heures de travail dans le mois, auquel cas, il passe directement au régime général. C est au niveau de l inscription à l université que les problèmes du doublon de sécurité sociale se posent. Dans la démarche du Conseil, il s agit de penser la santé de manière large : tous les sujets, logement et restauration, influent sur la santé et le bien être étudiant. Cerise Vincent, secrétaire générale de la Promotion et Défense des Etudiants (PDE) Concernant la santé, une meilleure accessibilité aux soins est primordiale. Le sport doit être pensé comme une manière de créer du lien social. Concernant la restauration, il s agit de garder des coûts corrects. Concernant le logement, la priorité est sur la garantie des risques locatifs pour ne pas perturber les étudiants dans leur cursus universitaire. Aurélien Loleux, élu au CA du CROUS de Paris, représentant de Panthéon Assas L université Assas n a pas de restaurant universitaire, mais seulement une cafétéria du CROUS «fast food» avec des prix relativement plus chers que le RU. Au sujet du logement et de la Santé, il y a le centre d hébergement Sarah à proximité d Assas tandis que sur le site du 15 ème arrondissement, de nombreux centres paramédicaux sont présents mais il y a peu de logements. Paris Nord Est manque également de logements, mais cela est en travaux.

6 Les PRES sont à intégrer dans la liste des acteurs car ils se développent et entraînent une réduction du nombre de sites en repensant l implantation de l offre immobilière. Les PRES réfléchissent aussi à l aménagement des horaires de cours afin de réduire les temps d attente au Restaurant Universitaire. Claire Thoury, VP des étudiants de l Université Sorbonne Nouvelle Concernant le logement, il s agit de concentrer les efforts sur le Loca-pass, droit indispensable qui est en train de se perdre. Concernant la restauration, à Paris il n y a pas de temps pour manger, ce qui entraîne de la fatigue et certainement du mal être. Concernant la Santé, le projet de l Hôtel-Dieu du PRES Sorbonne Paris Cité devrait marquer une amélioration. La place de l étudiant au sein de son université, le fait qu il s y sente bien et puisse s y investir est lié à son équilibre personnel. Adrian Brun, VP étudiant de l Université Paris Descartes Le bien être étudiant, associé de fait au mal-être, est une problématique importante qui n est pas assez traitée. L accès aux soins, à travers la Médecine Préventive et la promotion de la santé est à discuter. Les SIUMPPS sont peu connus par les étudiants à cause d un manque de communication et d un manque de plus-value par rapport à un médecin généraliste ou spécialiste. En revanche, des consultations spécialisées de type psychologiques sont très utiles et doivent être prises en compte dans les SIUMPPS ou les BAPU. La Maison de la Santé de Sorbonne Paris Cité, dans ce cadre, est très intéressante. La prévention est difficile : on ne sait pas intéresser les étudiants. C est important de réfléchir à comment les interpeller et faire en sorte que les étudiants se sentent concernés. Concernant la restauration universitaire, des problématiques quantitatives et qualitatives se posent et amènent à ce que les étudiants se dirigent volontairement vers les secteurs privés. Certaines cafétérias CROUS ont même déserté des universités pour laisser la place à des services de restauration privée : les étudiants préfèrent parfois payer un peu plus cher pour avoir une meilleure qualité. Cela est vrai pour la cafétéria, mais le restaurant universitaire reste le meilleur rapport qualité-prix, c est pourquoi il doit être développé. La problématique des universités éclatées empêche d installer des RU sur tous les sites universitaires : par exemple, à Montrouge, le RU a des difficultés à rester ouvert par manque de public. Autrement, Port Royal serait un lieu intéressant pour organiser les séances publiques. Pierre Febvre, président de la SMEREP Concernant le logement, la lutte contre l isolement au sein des résidences est un point à travailler, qui rejoint la question de la santé et du mal être des étudiants.

7 En termes de prévention, il faut prendre en compte le fait que les étudiants ont un rapport spécifique à la santé : ils se sentent souvent invincibles et pas forcément touchés par les questions d équilibre alimentaire ou de sport. Il faut travailler la prévention en intégrant cette particularité. Concernant l accès à la santé : Les Médecines Préventives sont sous estimées ; il faut les rendre visibles et connues par les étudiants. Des alternatives existent comme le centre de la SMEREP dans le 15 ème arrondissement qui reprend la même forme qu un centre de santé d arrondissement. Il faudrait mettre en relais les différents acteurs pour augmenter l offre. Au sujet de l équilibre alimentaire, il y a une réelle demande en termes d AMAP et de bio, ont l intérêt de responsabiliser les étudiants au sein de leur quartier et de leur université. Le CROUS a réalisé un gros travail en termes de valorisation des Restaurants Universitaires : il s agit de poursuivre afin de dynamiser l offre en la faisant connaître. Concernant la santé, la sexualité est un enjeu majeur : on pense que c est une thématique acquise, or les enquêtes menées par la SMEREP montrent que les comportements restent assez contradictoires avec l éducation reçue et la connaissance supposée sur les risques liés à la sexualité. Tiffany Koechlin, représentante de l AFEV Concernant le logement, l AFEV développe «la colocation à projet solidaire» qui permet aux étudiants d accéder à la colocation, en résidence ou non, en échange d une implication dans des projets de solidarité locale. Cet axe a permis de travailler avec des observatoires et d étudier le champ de la colocation. Concernant les modes innovants de logement public, différents sujets peuvent être approfondis comme par exemple le fait que de nombreux bailleurs ont des logements vacants. Au niveau du CROUS, la colocation peut poser des problèmes au vu du bail de colocataire défavorable (moins d APL, pas d avantages financiers, etc.). Concernant la question du bien être par le lien social dans les résidences, il existe de nombreuses initiatives étudiantes, mais celles-ci sont noyées parce que les étudiants ne se connaissent pas et sont isolés. Les espaces du CROUS ne sont pas investis : un travail de mutualisation des actions existantes est à réaliser. Il s agit enfin de développer le lien entre l université et le territoire, afin que les résidences étudiantes rentrent dans les programmes de développement et que les étudiants aient connaissance des ressources qui existent sur le territoire. Jean-Baptiste Prévot, responsable de Radio Campus Paris Le lien entre bien être et vie étudiante est importante : il faut favoriser les lieux de vie à l université. Par exemple, Radio Campus Paris a souhaité dans ce cadre, avec l aide du CROUS et la ville de Paris, sonoriser les universités, comme le RU dans le but de créer un espace d expression. DEBAT AUTOUR DE LA QUESTION DU HANDICAP Arnaud Magnin demande pourquoi la question du handicap n a pas été plus abordée? Doit-elle rester dans les sujets à travailler? Pour la ville de Paris, c est une question fondamentale.

8 Adrien Vandevelde, FAGE, remarque que la ville de Paris souhaite adaptée 5 à 10% des chambres en résidence universitaire pour les personnes handicapées : la législation étant à 5%, il est bien d aller volontairement au-delà. Il faut aussi préciser que le handicap ce n est pas seulement être en fauteuil roulant, il s agit de prendre en compte les non-voyants, les malentandants, etc. Or, il n existe pas de politique sur l accessibilité des universités à ces catégories de handicap. Clément Boudin, LMDE, ajoute que les personnes en situation de handicap sont nombreuses à ne pas poursuivre leur parcours scolaire au niveau supérieur, par manque d accompagnement. Arnaud Magnin demande si ces difficultés qui s imposent aux étudiants handicapés ne sont pas particulières à Paris. Le constat montre que de nombreux étudiants handicapés souhaiteraient faire leurs études à paris, mais s y refusent par les difficultés d accessibilité au sein même de Paris. Clément Boudin, LMDE indique que l inconscient collectif peut jouer : il y a l idée qu à Paris, les gens sont fondus dans la masse ; ce qui peut faire fuir. Didier Guillot explique que les associations spécialisées dans le handicap seront invitées aux prochaines réunions, puisque toutes les associations spécialisées sur les thématiques choisies sont conviées à participer. Clément Boudin, LMDE, indique en effet que l association «Droit au savoir» travaille sur la question de l accès des jeunes en situation de handicap à l enseignement supérieur, les inviter permettrait d avoir une expertise sur la question, notamment au niveau de Paris. Claire Thoury, Université Sorbonne Nouvelle, indique que nombreux étudiants en situation de handicap ne se déclarent pas à la rentrée universitaire, par honte de leur handicap, ce qui crée une vision erronée des choses: il faut travailler sur la sensibilisation. Adrian Brun, Université Paris Descartes, ajoute : Il existe une différence entre les personnes en situation de handicap déclarées à la Médecine Préventive et celles déclarées à la Mission Handicap. Il s agit de travailler sur l accueil de ces étudiants sans pointer leur handicap mais leur proposer un accompagnement. Au niveau de l aménagement, la problématique des sites historiques rend difficile la réalisation de travaux. Il s agit également de sensibiliser les étudiants qui ne sont pas handicapés pour favoriser l entraide vers les étudiants handicapés : preneurs de note, accompagnement, etc. Il serait bien d inviter une Mission Handicap d une Université qui a une vision concrète des problématiques de l intégration des étudiants handicapés à l Université. Adrien Vandevelde, FAGE, revient sur les problématiques de site en termes d accès : la FAGE avait réalisé un recensement des lieux accessibles aux handicapés. Un recensement plus poussé des universités, par type de handicap, pourrait être réalisé par la Ville de Paris. Adrian Brun, Université Paris Descartes, indique que des étudiants de Master ont réalisé un projet de mise en conformité du bâtiment en se mettant en situation de handicap au quotidien ; démarche qui n a pas été proposée par les entreprises spécialisées. Ainsi, si des mises en conformité doivent être faites, il faut bien prendre le temps de connaitre les différents handicaps et leurs différents besoins en termes d aménagement.

9 CONCLUSION DES DEBATS Arnaud Magnin conclue les débats en rappelant les sujets formulés par les membres qui ne figuraient pas dans le tableau initial des sujets identifiés par la Ville. Ces sujets seront ajoutés et constitueront un cadre de travail pour toute la démarche du cycle 2010/2011 : La solitude, l isolement et la manière dont on peut lutter contre, grâce à l engagement, à la vie universitaire, dans les restaurants universitaires, etc. La gestion du temps L AMAP et le bio dans la restauration universitaire La communication, l information et la valorisation des actions existantes Le Loca-Pass et la garantie des risques locatifs Les liens entre l université et le territoire La question du sport a été évoquée. Aucun sujet n est à exclure à ce stade, mais au fur et à mesure certains sujets vont ressortir de façon plus importante, qu il s agira de travailler en profondeur. ASSOCIATIONS ET INTERVENANTS A SOLLICITER Arnaud Magnin indique que les membres sont invités à proposer des noms, que ce soit des personnalités expertes ou des associations spécialisées sur les différents thèmes. I Les membres du Conseil sont également invités à envoyer des ressources documentaires (études, enquêtes ou analyses). Cela peut se faire via des échanges de mail. Didier Guillot conclue les échanges en précisant que les maires adjoints de la Ville de Paris, dont le maire adjoint au logement et à la Santé seront présents dans les débats, en tant que personnes ressources. Des élus d arrondissement peuvent également être sollicités pour amener un regard local sur les problématiques évoquées et participer à la coproduction menée dans ce Conseil. Le partage d expérience est très important : ainsi, des expériences au niveau national, voir européen peuvent être mises en valeur dans ce Conseil.

Bilan de la concertation sur le PEDT

Bilan de la concertation sur le PEDT les périscolaires Bilan de la concertation sur le PEDT J www.ville-cergy.fr Sommaire 1. Préambule 4 2. Le cadre de la démarche 5 2.1. Les objectifs 6 2.2. Les sujets du débat 6 2.3. Le déroulé de la démarche

Plus en détail

La Mutuelle Des Etudiants, 10 ans de lutte contre le VIH

La Mutuelle Des Etudiants, 10 ans de lutte contre le VIH La Mutuelle Des Etudiants, 10 ans de lutte contre le VIH www.lmde.com La Mutuelle des Étudiants - LMDE : mutuelle soumise aux dispositions du livre II du code de la Mutualité. SIREN 431 791 672. Siège

Plus en détail

Introduction NOTE D ETONNEMENT CONSEIL DES TEMOINS FABRIQUE CITOYENNE JANVIER 2015

Introduction NOTE D ETONNEMENT CONSEIL DES TEMOINS FABRIQUE CITOYENNE JANVIER 2015 NOTE D ETONNEMENT CONSEIL DES TEMOINS FABRIQUE CITOYENNE JANVIER 2015 Introduction La fabrique citoyenne initiée par la Ville de Rennes va conduire à la rédaction d une charte de la démocratie locale.

Plus en détail

Santé des étudiants et précarité : éléments de contexte

Santé des étudiants et précarité : éléments de contexte Santé des étudiants et précarité : éléments de contexte Dossier de synthèse documentaire et bibliographique Réactualisation - novembre 2011 Marseille : 18, rue Stanislas Torrents 13006 Marseille Tél. :

Plus en détail

CHARTE BUDGET PARTICIPATIF

CHARTE BUDGET PARTICIPATIF CHARTE BUDGET PARTICIPATIF PREAMBULE Depuis 2001, la Ville de Paris a associé les Parisiens de façon accrue à la politique municipale, en s appuyant notamment sur les conseils de quartier, les comptes

Plus en détail

L organisation du programme «Jeunes pousses» Rapport

L organisation du programme «Jeunes pousses» Rapport L organisation du programme «Jeunes pousses» Rapport Présenté par M. Pascal Terrasse Député de la République française Secrétaire général parlementaire Berne (Suisse) ( 6 juillet 2015 I/ Le programme,

Plus en détail

9 Référentiel de missions de l agence du service civique

9 Référentiel de missions de l agence du service civique BINOME 21 PROJET ASSOCIATIF 2011-2013 Pour une solidarité intergénérationnelle Erard Marie-Françoise Sommaire 1 Objectifs 2 Chartes 3 Fonctionnement de l association 4 Etude préalable 5 Projet actuel 6

Plus en détail

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte

Plus en détail

Animer une association

Animer une association FICHE PRATIQUE N 7 www.animafac.net gestion de projet Animer une association Une association vit mieux si elle est composée de plusieurs membres partageant un projet collectif. Si la loi 1901 est une loi

Plus en détail

Représenter son Unité à l'assemblée Générale du Mouvement

Représenter son Unité à l'assemblée Générale du Mouvement Publications SGP SGP - P904006 - P904074 Mensuel - Mensuel - Numero - Numéro Spécial Spécial - N 157 - N - Août 157 2009 - Août (Ne 2009 paraît (Ne pas paraît en juillet) pas en - Ed. juillet) resp. -

Plus en détail

TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS

TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS Synthèse des débats rédigée par : 26 janvier 2012 Dans le cadre de son Tour de France du Dialogue, la CFE-CGC a organisé à Poitiers, le 26 janvier 2012,

Plus en détail

Charte de l Evaluation des Formations par les étudiants

Charte de l Evaluation des Formations par les étudiants Charte de l Evaluation des Formations par les étudiants 1 Charte de l Evaluation des Formations par les étudiants I. Le contexte institutionnel La démarche de l UdS en matière de qualité des formations

Plus en détail

COMITE DE LIGNE TER NORD - PAS DE CALAIS 12 «Dunkerque-Calais-Boulogne-Rang du Fliers» Samedi 30 mai 2015 A Calais

COMITE DE LIGNE TER NORD - PAS DE CALAIS 12 «Dunkerque-Calais-Boulogne-Rang du Fliers» Samedi 30 mai 2015 A Calais COMITE DE LIGNE TER NORD - PAS DE CALAIS 12 «Dunkerque-Calais-Boulogne-Rang du Fliers» Samedi 30 mai 2015 A Calais Cette 20ème réunion du Comité de Ligne n 12 s'est tenue le 30 mai 2015 de 10h à 12h sous

Plus en détail

Pourquoi et comment les collectivités locales associent d autres acteurs à la définition et à la mise en œuvre d actions publiques?

Pourquoi et comment les collectivités locales associent d autres acteurs à la définition et à la mise en œuvre d actions publiques? Pourquoi et comment les collectivités locales associent d autres acteurs à la définition et à la mise en œuvre d actions publiques? Rencontre professionnelle 4 Ont participé à cet atelier : David ALCAUD,

Plus en détail

Séminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014

Séminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014 Séminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014 OUVERTURE DU SEMINAIRE : Bernard Amsalem, Vice-président du CNOSF Etat de l avancée des travaux depuis le dernier séminaire Rappel

Plus en détail

Indicateur du coût de la rentrée étudiante à Poitiers

Indicateur du coût de la rentrée étudiante à Poitiers Indicateur du coût de la rentrée étudiante à Édition 2015 Par l Association Fédérative des Étudiants de. E n ce début de mois de septembre et comme au début de chaque année universitaire, l (AFEP), première

Plus en détail

Titre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité.

Titre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité. Titre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité. Sous titre: Projet d appui aux mutuelles de santé et incidence

Plus en détail

ANNEXE 4. Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information. (Module 3, partie I, section 2.5)

ANNEXE 4. Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information. (Module 3, partie I, section 2.5) ANNEXE 4 Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information (Module 3, partie I, section 2.5) Dans les pages qui suivent, nous présentons neuf méthodes de collecte d information.

Plus en détail

Introduction Frédéric PETITBON Un contexte difficile Nicolas PERNOT

Introduction Frédéric PETITBON Un contexte difficile Nicolas PERNOT Introduction Frédéric PETITBON Directeur général délégué, IDRH Les collectivités doivent à la fois respecter des engagements vis-à-vis des citoyens, poursuivre des démarches managériales et tenir compte

Plus en détail

GUIDE DES LOGEMENTS ÉTUDIANTS VALENCE

GUIDE DES LOGEMENTS ÉTUDIANTS VALENCE GUIDE DES LOGEMENTS ÉTUDIANTS VALENCE Pourquoi faire compliqué quand on Peut faire crous??? Edito 3 V ous avez choisi de venir étudier dans l académie de Grenoble, le Centre Régional des Oeuvres Universitaires

Plus en détail

«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience

«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience «Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience UNIVERSITE PARIS 8 ENTREPRISE FNAIM Monter les salariés

Plus en détail

Coût de la rentrée universitaire à Poitiers

Coût de la rentrée universitaire à Poitiers Coût de la rentrée universitaire à Poitiers Édition 2013 À l heure où les étudiants préparent leur rentrée, l AFEP (Association Fédérative des étudiants de Poitiers) s est penchée sur le coût de la rentrée

Plus en détail

POINT N 1 : LE LOGEMENT. Point n 1 : Le logement

POINT N 1 : LE LOGEMENT. Point n 1 : Le logement Vous avez été admis dans une université ou dans une école française pour l année 2014-2015? Félicitations! POINT N 1 : tout votre temps dans les transports en commun. 30 minutes, c est la distance raisonnable

Plus en détail

Campus et hygiène de vie

Campus et hygiène de vie SEMINAIRE DE SENSIBILISATION Compte-rendu d atelier Campus et hygiène de vie Publié le 15/06/2015 Page 2 6 Introduction Qu est-ce que l hygiène de vie? Comment faire un retour d expérience utile? Comment

Plus en détail

"La santé des étudiants en 2015"

La santé des étudiants en 2015 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2015" 9 ème Enquête Nationale 1999 2015 Enquête Santé d emevia Depuis plus de 16 ans, à l écoute des étudiants 1 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes

Plus en détail

ENQUÊTE SUR LE COÛT DE LA VIE ETUDIANTE

ENQUÊTE SUR LE COÛT DE LA VIE ETUDIANTE DOSSIER DE PRESSE 18 AOÛT 2014 ENQUÊTE SUR LE COÛT DE LA VIE ETUDIANTE CONTACT PRESSE LISA RIBEAUD 06 15 86 43 41 lribeaud@unef.fr presse@unef.fr 2 Rentrée 2014 SOMMAIRE Les principaux chiffres 5 Edito

Plus en détail

Avril 2013 DIAGNOSTIC NUMERIQUE. Réalisé par l Office de Tourisme Andernos-les-Bains

Avril 2013 DIAGNOSTIC NUMERIQUE. Réalisé par l Office de Tourisme Andernos-les-Bains Avril 2013 DIAGNOSTIC NUMERIQUE Réalisé par l Office de Tourisme Andernos-les-Bains Sommaire Présentation...3 Matériel numérique...4 Mise à disposition de matériel numérique...4 Mise à disposition d une

Plus en détail

Brou-sur-Chantereine Elaboration du PLU Compte-rendu de la réunion publique de présentation du diagnostic 20 janvier 2011 1

Brou-sur-Chantereine Elaboration du PLU Compte-rendu de la réunion publique de présentation du diagnostic 20 janvier 2011 1 1. Avant-propos de Monsieur Bréhaux (adjoint au maire en charge de l urbanisme) : L importance du P.L.U. en tant qu outil législatif permettant une maîtrise de l urbanisme de la commune est rappelée aux

Plus en détail

Statuts de l Association des Anciens du Master Conseil Editorial, Paris-Sorbonne (Paris IV)

Statuts de l Association des Anciens du Master Conseil Editorial, Paris-Sorbonne (Paris IV) Statuts de l Association des Anciens du Master Conseil Editorial, Paris-Sorbonne (Paris IV) I. But et composition de l Association Article 1 : Nom Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts

Plus en détail

Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU

Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU NB : les notes font référence au diaporama de synthèse de l enquête en ligne sur le site de l'adbu Comment les SCD tentent-ils

Plus en détail

Bordeaux, le 22 mars 2010. Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992. Monsieur le Président,

Bordeaux, le 22 mars 2010. Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992. Monsieur le Président, Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992 Bordeaux, le 22 mars 2010 Monsieur le Président, Par lettre du 9 septembre 2008, vous avez été informé que la Chambre régionale des comptes

Plus en détail

Conférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone

Conférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone Conférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone Hôtel Teranga, Saly, Sénégal, du 18-19 Octobre 2011 Note de cadrage Contexte et justification L importance que revêt

Plus en détail

EVALUATION DES SERVICES GUIDE A L INTENTION DE LA CHEFFE OU DU CHEF DE SERVICE ET DE SES COLLABORATRICES ET COLLABORATEURS

EVALUATION DES SERVICES GUIDE A L INTENTION DE LA CHEFFE OU DU CHEF DE SERVICE ET DE SES COLLABORATRICES ET COLLABORATEURS EVALUATION DES SERVICES GUIDE A L INTENTION DE LA CHEFFE OU DU CHEF DE SERVICE ET DE SES COLLABORATRICES ET COLLABORATEURS Ce document présente la procédure d évaluation des services centraux de l UNIL

Plus en détail

Campus Paris Saclay. Enquête sur les usages, transports, logements et services. L enquête en ligne. Les bonnes pratiques identifiées par le benchmark

Campus Paris Saclay. Enquête sur les usages, transports, logements et services. L enquête en ligne. Les bonnes pratiques identifiées par le benchmark Campus Paris Saclay L enquête en ligne Les déplacements : des spécificités par statut L équipement : un intérêt marqué pour les transports doux et les services pratiques Le logement : des attentes et des

Plus en détail

APPEL A PROJETS SERVICE REGIONALE DE L APPRENTISSAGE

APPEL A PROJETS SERVICE REGIONALE DE L APPRENTISSAGE APPEL A PROJETS SERVICE REGIONALE DE L APPRENTISSAGE L apprentissage dans l enseignement supérieur a pour mission de faciliter l accès à des formations de haut niveau et de permettre à des étudiants de

Plus en détail

Le «Grand Dialogue» de La Poste

Le «Grand Dialogue» de La Poste Le «Grand Dialogue» de La Poste Dominique Bailly Directeur du développement RH et de l innovation social du groupe La Poste Frédéric Petitbon Directeur général délégué du cabinet de conseil en management

Plus en détail

Règlement du restaurant scolaire

Règlement du restaurant scolaire DEPARTEMENT DE LOIR-ET-CHER REPUBLIQUE FRANCAISE ARRONDISSEMENT DE BLOIS COMMUNE DE SAINT GERVAIS LA FORET Règlement du restaurant scolaire Le présent règlement concerne l organisation du restaurant scolaire.

Plus en détail

Un Pass santé contraception. pour les jeunes francilien-ne-s

Un Pass santé contraception. pour les jeunes francilien-ne-s Un Pass santé contraception pour les jeunes francilien-ne-s Mardi 26 avril 2011 Lycée Elisa Lemonnier Contacts Presse Emmanuel Georges-Picot 01.53.85.57.33 emmanuel.georges-picot@iledefrance.fr Véronique

Plus en détail

"La santé des étudiants en 2013"

La santé des étudiants en 2013 1 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2013" 8 ème Enquête Nationale 1999 2013 Enquête Santé MGEL Depuis plus de 60 ans, à l écoute des étudiants 2 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes de

Plus en détail

Aspects pratiques de la pédagogie Pikler

Aspects pratiques de la pédagogie Pikler Paola Biancardi Aspects pratiques de la pédagogie Pikler Le CVE de Grattapaille dans lequel je travaille comme directrice, se trouve dans les hauts de Lausanne et regroupe deux sites : la Nurserie Sous-Bois

Plus en détail

Deux jours pour le leadership jeunesse 9 et 10 octobre 2014, Université Laval, Québec

Deux jours pour le leadership jeunesse 9 et 10 octobre 2014, Université Laval, Québec Deux jours pour le leadership jeunesse 9 et 10 octobre 2014, Université Laval, Québec L événement Deux jours pour le leadership jeunesse offre à quelque 200 jeunes leaders des écoles secondaires EVB-CSQ

Plus en détail

L'Obésité : une épidémie?

L'Obésité : une épidémie? Communiqué de presse 5 mars 2014 L'Obésité : une épidémie? Résultats de l'étude MGEN «Habitudes de vie et surpoids» 3 Français sur 4 se jugent en bonne santé, 1 sur 2 est en surpoids, 16% sont obèses 2/3

Plus en détail

CHARTE DES ASSOCIATIONS ETUDIANTES DE L UNIVERSITE DE MONTPELLIER

CHARTE DES ASSOCIATIONS ETUDIANTES DE L UNIVERSITE DE MONTPELLIER CHARTE DES ASSOCIATIONS ETUDIANTES DE L UNIVERSITE DE MONTPELLIER Vu le Code de l'éducation Vu les statuts de l'université de Montpellier Vu le Règlement Intérieur de l'université de Montpellier PREAMBULE

Plus en détail

Coût des études en Kinésithérapie

Coût des études en Kinésithérapie Solidarité Questions sociales Publication Formation Dossier Coût des études en Kinésithérapie Edition 2012-2013 + d infos sur: www.fnek.fr Contacts Mathieu NOIROT Président de la FNEK 06 67 28 26 40 president@fnek.fr

Plus en détail

Règlement intérieur de la Cité

Règlement intérieur de la Cité Règlement intérieur de la Cité 19 mai 2015 p.1 PREAMBULE Objectifs La Cité est un équipement municipal de soutien à la vie associative. C est un lieu d accueil, de promotion, d information, de formation

Plus en détail

Compte rendu de la réunion du conseil d administration de l ANCESU du 26 mars 2013

Compte rendu de la réunion du conseil d administration de l ANCESU du 26 mars 2013 Compte rendu de la réunion du conseil d administration de l ANCESU du 26 mars 2013 NB, afin de refléter le travail du CA, nous avons choisi d évoquer tous les thèmes débattus par le CA lors de cette réunion,

Plus en détail

Section des Formations et des diplômes

Section des Formations et des diplômes Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Chargé de gestion patrimoniale immobilière de l Université de Lorraine Vague C 2013-2017 Campagne d évaluation

Plus en détail

GUIDE D ACCUEIL DESTINE AUX ETUDIANTS ETRANGERS ACCUEILLIS EN PROGRAMME D ECHANGE ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013

GUIDE D ACCUEIL DESTINE AUX ETUDIANTS ETRANGERS ACCUEILLIS EN PROGRAMME D ECHANGE ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013 GUIDE D ACCUEIL DESTINE AUX ETUDIANTS ETRANGERS ACCUEILLIS EN PROGRAMME D ECHANGE ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013 LOGEMENT Une fois accepté en échange par notre université pour venir étudier dans le cadre

Plus en détail

CONSEIL MUNICIPAL DU MARDI 13 SEPTEMBRE 2005 A 18h30 NOTE DE SYNTHESE

CONSEIL MUNICIPAL DU MARDI 13 SEPTEMBRE 2005 A 18h30 NOTE DE SYNTHESE CONSEIL MUNICIPAL DU MARDI 13 SEPTEMBRE 2005 A 18h30 NOTE DE SYNTHESE En préalable, Mr Mély donne lecture des actes et contrats signés lors des derniers mois A remarquer un nombre de transactions toujours

Plus en détail

Comment susciter la participation des étudiant e s et en tirer parti?

Comment susciter la participation des étudiant e s et en tirer parti? Fiche ABC Comment susciter la participation des étudiant e s et en tirer parti? Introduction Il n est pas rare que les enseignant e s souhaitent faire participer davantage les étudiant e s, soit durant

Plus en détail

Analyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015

Analyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015 Réforme des rythmes scolaires Projet Educatif de territoire d Evecquemont Analyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015 A Du PEDT au comité de suivi et d évaluation de la réforme

Plus en détail

Conseil Municipal des Enfants à Thionville. Livret de l électeur et du candidat

Conseil Municipal des Enfants à Thionville. Livret de l électeur et du candidat Conseil Municipal des Enfants à Thionville Livret de l électeur et du candidat Elections du vendredi 18 novembre 2011 Mot du Maire Le Conseil Municipal des Enfants fait sa rentrée. Il joue un rôle essentiel

Plus en détail

Prévention des conduites addictives : des sciences sociales aux pratiques locales

Prévention des conduites addictives : des sciences sociales aux pratiques locales Colloque régional de prévention des addictions Mardi 31 mars 2015 Clermont-Ferrand Prévention des conduites addictives : des sciences sociales aux pratiques locales Appels à communication Le Pôle de référence

Plus en détail

«PLACE DES PARENTS DANS l ESPACE NUMERIQUE DE TRAVAIL» BROUIL

«PLACE DES PARENTS DANS l ESPACE NUMERIQUE DE TRAVAIL» BROUIL «PLACE DES PARENTS DANS l ESPACE NUMERIQUE DE TRAVAIL» Juin 2013 Introduction : Les parents sont parmi les principaux bénéficiaires de Paris classe numérique. Grâce à ce nouvel outil, la communication

Plus en détail

Coût de la rentrée 2014

Coût de la rentrée 2014 Dossier de presse Coût de la rentrée 2014 1 SOMMAIRE PREAMBULE... 3 COMMENT EST CALCULE L INDICATEUR... 4 LE COUT DE LA RENTREE 2014 : METHODOLOGIE POSTE PAR POSTE... 5 LES FRAIS SPECIFIQUES... 5 Droits

Plus en détail

École Le Petit Prince

École Le Petit Prince École Le Petit Prince 44, rue de Juan-les-Pins, Gatineau (Québec) J8T 6H2 CONSEIL D ÉTABLISSEMENT Procès verbal Mercredi 9 octobre 2013, à 19 h Sont présents : André Côté Parent Katya Coulombe Parent Martine

Plus en détail

Les obstacles : Solutions envisageables :

Les obstacles : Solutions envisageables : 1. Quels sont les obstacles auxquels les citoyens européens doivent faire face dans l exercice de leurs droits? Que pourrait-on faire pour alléger ces obstacles? Les obstacles : Tout d abord, il y a un

Plus en détail

Avant de commencer, merci de renseigner les données suivantes :

Avant de commencer, merci de renseigner les données suivantes : Le questionnaire ci dessous a pour objectif de faire le point sur le RESSOL, sur notre dernière action à savoir le mois de l Economie Sociale et Solidaire et sur nos pistes d évolution. Ce questionnaire

Plus en détail

Le fonctionnement du CHSCT

Le fonctionnement du CHSCT Le fonctionnement du CHSCT La personnalité civile du CHSCT La qualité à agir du CHSCT La capacité d ester en justice La prise en charge des frais de justice La capacité d acquérir et de contracter La responsabilité

Plus en détail

UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2. Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré

UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2. Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2 Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré ESPE Lille Nord de France Année 2014-2015 Cette note de cadrage a pour but d aider les collègues

Plus en détail

Livre Blanc des mutuelles étudiantes de proximité

Livre Blanc des mutuelles étudiantes de proximité Livre Blanc des mutuelles étudiantes de proximité PROPOSITIONS POUR AMÉLIORER LA SANTÉ ÉTUDIANTE LA SECURITÉ SOCIALE DES ÉTUDIANTS Le réseau national des mutuelles étudiantes de proximité MEP ı MGEL ı

Plus en détail

Misereor a-t-elle besoin «d études de base»? Document d information à l intention des partenaires

Misereor a-t-elle besoin «d études de base»? Document d information à l intention des partenaires Misereor a-t-elle besoin «d études de base»? Document d information à l intention des partenaires Texte allemand : EQM/Misereor, janvier 2012 Traduction : Service des langues de MISEROR, mars 2012 Ce document

Plus en détail

Protocole. [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit.

Protocole. [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit. Protocole [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit. 1. 2. Descriptif du dispositif Le contexte... p. 4 Les objectifs... p. 5 Les bénéficiaires... p. 5 Le chéquier et les coupons... p.

Plus en détail

Conseil régional. Plan d action régional Outaouais 2014-2017

Conseil régional. Plan d action régional Outaouais 2014-2017 Conseil régional Plan d action régional Outaouais 2014-2017 Dans ce tableau, la numérotation est utilisée afin de faciliter le suivi de la présentation. Légende Palier N signifie national R signifie régional

Plus en détail

Procès-Verbal Réunion du Bureau de l Association LEX SPORTIVA le 21 Octobre 2014 :

Procès-Verbal Réunion du Bureau de l Association LEX SPORTIVA le 21 Octobre 2014 : Procès-Verbal Réunion du Bureau de l Association LEX SPORTIVA le 21 Octobre 2014 : Membres Présents : Messieurs BARDAUD Thierry, GEORGES Olivier et PILLON Régis. Membre Absent et Excusé : Madame BARDAUD

Plus en détail

La fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales.

La fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales. Chapitre 11 LA FONCTION CONTRÔLE DE GESTION REPORTING AUDIT INTERNE Un système de reporting homogène dans toutes les filiales permet un contrôle de gestion efficace et la production d un tableau de bord

Plus en détail

un logement à louer Vous cherchez Vous êtes jeunes

un logement à louer Vous cherchez Vous êtes jeunes Vous êtes jeunes Vous cherchez un logement à louer auprès d un particulier ou d un organisme social et vous devez faire face aux premières dépenses pour entrer dans les lieux? > Des aides peuvent vous

Plus en détail

LA JEUNESSE. l es sen LA VILLE QUI NOUS RESSEMBLE, LA VILLE QUI NOUS RASSEMBLE

LA JEUNESSE. l es sen LA VILLE QUI NOUS RESSEMBLE, LA VILLE QUI NOUS RASSEMBLE LA JEUNESSE l es sen tiel LA VILLE QUI NOUS RESSEMBLE, LA VILLE QUI NOUS RASSEMBLE sommaire LA JEUNESSE PAGES 4 À6 PAGES 7 À9 PAGE 10 PAGE 11 Le BIJ, lieu ressources Pour s informer et se documenter -

Plus en détail

performance environnementale Synthèse Décembre 2013 Analyse de la demande de bureaux «verts» EN ile-de-france

performance environnementale Synthèse Décembre 2013 Analyse de la demande de bureaux «verts» EN ile-de-france Étude réalisée en partenariat avec Immobilier tertiaire et performance environnementale Analyse de la demande de bureaux «verts» EN ile-de-france Synthèse Décembre 2013 Ce document synthétise les principaux

Plus en détail

Compte-rendu REUNION DU CONSEIL DES ELUS. Mardi 8 juillet 2014

Compte-rendu REUNION DU CONSEIL DES ELUS. Mardi 8 juillet 2014 A Paris, le 17 juillet 2014 Compte-rendu REUNION DU CONSEIL DES ELUS Mardi 8 juillet 2014 I / INTRODUCTION Monsieur DAUBIGNY, Préfet de la région d Ile-de-France, Préfet de Paris, Président de la mission

Plus en détail

Guide du mémoire de fin d études

Guide du mémoire de fin d études Guide du mémoire de fin d études à destination des enseignants et des étudiants Septembre 2011 AVERTISSEMENT Ce document rassemble les dispositions réglementaires d une part, le cadre des dispositions

Plus en détail

Charte de protection des mineurs

Charte de protection des mineurs «Mes enfants, soyez joyeux!» Charte de protection des mineurs Au sein de l Académie Musicale de Liesse Mise à jour août 2014 L ensemble des adultes intervenant au sein de l Académie Musicale de Liesse

Plus en détail

Présentation du réseau documentaire régional en éducation pour la santé. Jeudi 4 juin 2009 BLOIS

Présentation du réseau documentaire régional en éducation pour la santé. Jeudi 4 juin 2009 BLOIS Présentation du réseau documentaire régional en éducation pour la santé Jeudi 4 juin 2009 BLOIS Programme de la journée 10h30 10h50 11h30 12h00 12h30 Etat des lieux 2008 des centres de ressources en éducation

Plus en détail

Ecole nationale supérieure d architecture de Grenoble BIENVENUE

Ecole nationale supérieure d architecture de Grenoble BIENVENUE Ecole nationale supérieure d architecture de Grenoble BIENVENUE Guide pratique pour les étudiants étrangers souhaitant s'inscrire à l'école nationale supérieure d'architecture de Grenoble, dans le cadre

Plus en détail

DIAGNOSTIC PARTAGÉ DES INTERNATS EN LYCÉES, LYCÉES PROFESSIONNELS ET EREA. rapport d étape CAVL du 7 mars 2012

DIAGNOSTIC PARTAGÉ DES INTERNATS EN LYCÉES, LYCÉES PROFESSIONNELS ET EREA. rapport d étape CAVL du 7 mars 2012 DIAGNOSTIC PARTAGÉ DES INTERNATS EN LYCÉES, LYCÉES PROFESSIONNELS ET EREA rapport d étape CAVL du 7 mars 2012 RAPPEL DE LA DEMARCHE Choix du CAVL de travailler sur l internat tout au long de l année scolaire

Plus en détail

LE DIETETICIEN AU SEIN DES COLLECTIVITES TERRITORIALES

LE DIETETICIEN AU SEIN DES COLLECTIVITES TERRITORIALES LE DIETETICIEN AU SEIN DES COLLECTIVITES TERRITORIALES Sommaire : Les missions page 2 Les secteurs d interventions page 2 Les contacts privilégiés page 3 Les cibles : A La restauration collective 1. Objectifs

Plus en détail

Compte rendu : Bourse Explora Sup

Compte rendu : Bourse Explora Sup Compte rendu : Bourse Explora Sup J ai effectué un stage d un mois et demi passionnant au sein de l école de langue anglaise LTC à Brighton. J ai eu par la suite la chance d être embauchée durant un mois

Plus en détail

2.1 - Améliorer l offre de soins sur le Pays

2.1 - Améliorer l offre de soins sur le Pays Module 2 : Services à la population 2.1 - Améliorer l offre de soins sur le Pays réservée : 400 000 OBJECTIFS STRATÉGIQUES - Développer les solidarités locales et l'accessibilité de tous aux services (Axe

Plus en détail

PROCES VERBAL BUREAU LIFBB

PROCES VERBAL BUREAU LIFBB L I F B B 2015-06-22 LR Ile de France-Bureau PV n 1 PROCES VERBAL BUREAU LIFBB REUNION DU 6 JUILLET 2015 Présents : Mme DEVILLARD MM AUGER ANDRE CABALLO CAULIER COLLET DURAND GAYET LE DUR - SAINTRAPT -

Plus en détail

Les grandes fonctions du tuteur

Les grandes fonctions du tuteur Agence Erasmus+ Jeunesse & Sport Les grandes fonctions du tuteur Ce document rend compte de travaux effectués en ateliers par les participants lors des sessions de formation de tuteurs SVE organisées depuis

Plus en détail

Politique des stages. Direction des études

Politique des stages. Direction des études Direction des études Service des programmes et de la réussite scolaire Politique des stages Recommandée par la Commission des études du 6 décembre 2011 Adoptée par le conseil d administration du 15 mai

Plus en détail

Activité collaborative en ligne. Isabelle GRAND, IAE/IUP Santé

Activité collaborative en ligne. Isabelle GRAND, IAE/IUP Santé Activité collaborative en ligne Isabelle GRAND, IAE/IUP Santé Objectifs et contexte Construire un cours de management d'équipe et communication MASTER 1 Management du Social et de la Santé Dispositif à

Plus en détail

Association METROPOLIS Association française Loi 1901 RÈGLEMENT INTÉRIEUR

Association METROPOLIS Association française Loi 1901 RÈGLEMENT INTÉRIEUR Association METROPOLIS Association française Loi 1901 RÈGLEMENT INTÉRIEUR 20 mai 2015 Ce règlement intérieur complète et précise certains articles des statuts de l association modifiés et approuvés le

Plus en détail

Bienvenue - Welcome. Parc de Nature et de Loisirs en Berry

Bienvenue - Welcome. Parc de Nature et de Loisirs en Berry Bienvenue - Welcome Parc de Nature et de Loisirs en Berry BROCHURE SÉMINAIRE - Saison 2012 - Madame, Monsieur, Tout d abord, je tiens à vous remercier de l intérêt que vous portez à notre site. Vous avez

Plus en détail

ENQUÊTE SUR LE COÛT DE LA VIE ETUDIANTE

ENQUÊTE SUR LE COÛT DE LA VIE ETUDIANTE ENQUÊTE SUR LE COÛT DE LA VIE ETUDIANTE Dossier de presse 2013 Contact Presse Mathieu Landau 06.31.44.56.28 mlandau@unef.fr SOMMAIRE PAGE 3 PAGE 4 PAGE 5 PAGE 7 Introduction Les principaux chiffres + 1,6%

Plus en détail

Interview de Hugo, coordinateur de l espace de coworking de La Cordée Perrache (Lyon)

Interview de Hugo, coordinateur de l espace de coworking de La Cordée Perrache (Lyon) 12/06/2013 Interview de Hugo, coordinateur de l espace de coworking de La Cordée Perrache (Lyon) Coop alternatives 47, rue de la Garde 69005 Lyon - 06 48 03 74 14 - contact@coop-alternatives.fr This document

Plus en détail

Mobilisation de l École et de ses partenaires pour les valeurs de la République. Les assises

Mobilisation de l École et de ses partenaires pour les valeurs de la République. Les assises Assises de la KIT D ORGANISATION DES ASSISES SOMMAIRE La démarche des assises 1. Présentation générale de la démarche 2. Les thématiques à aborder lors des Assises locales et départementales 3. Assises

Plus en détail

Responsable mécénat/ partenariats entreprises

Responsable mécénat/ partenariats entreprises N 4 - RESPONSABLE MÉCÉNAT/ PARTENARIATS ENTREPRISES RESPONSABLE MÉCÉNAT (DÉNOMINATION DAVANTAGE UTILISÉE DANS LA CULTURE), RESPONSABLE PARTENARIATS ENTREPRISES Le responsable Mécénat/partenariats entreprises

Plus en détail

Forum sur le développement social de Roussillon. Assurer l équilibre. 4 juin 2009. Manoir d Youville Île Saint-Bernard, Châteauguay

Forum sur le développement social de Roussillon. Assurer l équilibre. 4 juin 2009. Manoir d Youville Île Saint-Bernard, Châteauguay Forum sur le développement social de Roussillon Assurer l équilibre 4 juin 2009 Manoir d Youville Île Saint-Bernard, Châteauguay Assurer l équilibre Le CLD de Roussillon compte parmi ses instances la commission

Plus en détail

santé des étudiants Contr ibution de la FAGE sur la Adoptée par le Conseil d Administration de la FAGE - Janvier 2014 d infos sur www.fage.

santé des étudiants Contr ibution de la FAGE sur la Adoptée par le Conseil d Administration de la FAGE - Janvier 2014 d infos sur www.fage. international innovation sociale représentation jeunesse fédéralisme formation Contr ibution de la FAGE sur la Adoptée par le Conseil d Administration de la FAGE - Janvier 2014 santé des étudiants d infos

Plus en détail

DOUBLES DIPLÔMES APPEL A CANDIDATURES 2012 : AIDE À LA CRÉATION DE DOUBLES DIPLÔMES EURORÉGIONAUX

DOUBLES DIPLÔMES APPEL A CANDIDATURES 2012 : AIDE À LA CRÉATION DE DOUBLES DIPLÔMES EURORÉGIONAUX DOUBLES DIPLÔMES I - CONTEXTE APPEL A CANDIDATURES 2012 : AIDE À LA CRÉATION DE DOUBLES DIPLÔMES EURORÉGIONAUX La coopération Eurorégionale entre les régions Midi-Pyrénées, Languedoc-Roussillon, les CC.AA.

Plus en détail

Règlement intérieur Ville inventive Association loi 1901

Règlement intérieur Ville inventive Association loi 1901 Règlement intérieur Ville inventive Association loi 1901 Modifié et voté en CA le 21/11/2013 Article 1er : Entrée en vigueur et modification du règlement intérieur Le présent règlement intérieur entrera

Plus en détail

Campagne de Communication Prévisionnelle. Web Intelligence & Réputation Internet

Campagne de Communication Prévisionnelle. Web Intelligence & Réputation Internet Campagne de Communication Prévisionnelle Web Intelligence & Réputation Internet 1 Sommaire 1. Introduction... 3 2. Détail de la prestation de gestion de réputation online... 5 2.1 Sélection des mots, thématiques

Plus en détail

LUTTER CONTRE LE HARCÈLEMENT

LUTTER CONTRE LE HARCÈLEMENT LUTTER CONTRE LE HARCÈLEMENT Prix À «Mobilisons-nous L ÉCOLE : L AFFAIRE contre DE le TOUS! harcèlement» 2ème édition 2014/2015 Préambule Dans le cadre de la politique conduite pour diminuer le harcèlement

Plus en détail

«Viens partager ton énergie»

«Viens partager ton énergie» «Viens partager ton énergie» EUROPEAN MOVE WEEK 2013 UNIVERSITÉ PARIS SUD Melissa DUCHEMANN Romain FERMON Master 1 Management des Evénements Loisirs et Sportif Université Paris Sud - Orsay 1 Sommaire I)

Plus en détail

L art de trouver le logement de ses rêves

L art de trouver le logement de ses rêves L art de trouver le logement de ses rêves Introduction Etudes obligent, il n est pas toujours aisé de trouver un logement décent à prix réduit d autant plus que les villes étudiantes sont des villes où

Plus en détail

COMPTE - RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 8 MARS 2012

COMPTE - RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 8 MARS 2012 COMPTE - RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 8 MARS 2012 Etaient présents : Mrs BLEVIN Pierre ; BONNET Claude ; GODERE Yannick ; MOUE Philippe ; MORICEAU Bertrand ; QUELVEN Jacques ; SEITZ Alfred ; SUISSE Michel

Plus en détail

guide du copropriétaire

guide du copropriétaire guide du copropriétaire 2 sommaire 6 Comment fonctionne la copropriété? 3 Edito 11 Vous êtes copropriétaires, vous devez... 14 Lexique 4 Qu est-ce que la copropriété? 12 Foire aux questions 10 La vie de

Plus en détail