L industrie financière sait elle décrire les produits qu elle traite?
|
|
- Danièle Archambault
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L industrie financière sait elle décrire les produits qu elle traite? De la nécessité d une représentation formelle des contrats financiers pour améliorer la gestion et la régulation des opérations de gré à gré Club Finance Innovation, Paris, 2 avril 2009 Jean Marc Eber, Président et Fondateur, LexiFi jeanmarc.eber@lexifi.com LexiFi, 49 rue de Billancourt, Boulogne Billancourt Tél. : Site web :
2 Mouvement de fond pour améliorer la régulation, la supervision et la gestion des produits dérivés échangés de gré à gré Impulsion politique au plus haut niveau G20, Commission européenne, Banque centrale européenne, Trésor américain Un domaine de portée «systémique» qui requiert des améliorations en matière de transparence du marché infrastructure du marché gestion à l échelle de l entreprise
3 Question Le secteur financier s est il doté d une méthode pour décrire rigoureusement les contrats financiers dans un système d information? Réponse Non
4 Le défi Créer une définition, lisible par un humain et exploitable par un ordinateur, qui satisfasse trois objectifs : décrire de façon précise et exhaustive les droits et obligations des parties se prêter à des manipulations diverses ayant pour objet, par exemple, l estimation de la valeur du contrat et de son risque de crédit, ou la gestion automatisée de ses clauses refléter l évolution du contrat dans le temps
5 La solution LexiFi LexiFi a créé l unique langage formel de description des contrats financiers Fruit d un effort de recherche et développement engagé il y a près de dix ans en collaboration avec Microsoft Research mis en œuvre à l aide de technologies issues de l INRIA actuellement étendu aux contrats d entreprise (ex : Université de Copenhague)
6 Prix European Association for Programming Languages and Systems Meilleur article, septembre 2000 Risk Magazine (Royaume Uni) Logiciel de l année, janvier 2001
7 MLFi (Modelling Language for Finance) Définition précise et exhaustive des contrats financiers, de l initiation à l échéance Approche uniforme : un même formalisme pour tous les contrats financiers La même définition MLFi est utilisée dans tous les processus de gestion (front, middle et back office) MLFi est compositionnel Nombre limité de constructeurs élémentaires Analogie avec l algèbre : (1 + 2) x (Y + 4)
8 Exemple de contrat MLFi
9 Call européen sur indice type call_parameters = { maturity_date: date; strike: float; underlying: string; currency: currency; } let simple_call { maturity_date = t; strike = k; underlying = s; currency = cur; } = acquire {[t]} (either [ "Exercise", settlement_flow (add_business_days (day_kind_of_calendar(calendar_euta())) 2 t) cur (fixed t (market_underlying s -.~ obs_of_float k)); "No exercise", zero ] )
10 Masque de saisie généré type call_parameters = { maturity_date: date; strike: float; underlying: string; currency: currency; }
11 Echéancier acquire {[t]} (either [ "Exercise", settlement_flow (add_business_days (day_kind_of_calendar(calendar_euta())) 2 t) cur (fixed t (market_underlying s -.~ obs_of_float k)); "No exercise", zero ] )
12 Valorisation
13 Définition du contrat à l initiation acquire {[t]} (either [ "Exercise", settlement_flow (add_business_days (day_kind_of_calendar(calendar_euta())) 2 t) cur (fixed t (market_underlying s -.~ obs_of_float k)); "No exercise", zero ] )
14 Acte de gestion constatation Interface de gestion
15 Acte de gestion constatation (2) Echéancier Contrat résultant
16 Acte de gestion exercice de l option Interface de gestion
17 Acte de gestion exercice de l option (2) Echéancier Contrat résultant
18 Acte de gestion passage du temps, paiement et expiration du contrat Interface de gestion Contrat résultant
19 Exercice de transformation de programme Analogie avec l algèbre : Etat 0 : (1 + X) x (3 + Y) Fixing : X = 5 Etat 1 : 6 x (3 + Y) Fixing : Y = 2 Etat 2 : 30
20 Applications de MLFi pour les produits dérivés échangés de gré à gré 1. Transparence du marché 2. Infrastructure du marché 3. Gestion à l échelle de l entreprise
21 1. Transparence du marché Base de données centrale de contrats financiers et de positions qui permettrait aux superviseurs de mesurer à tout moment la concentration des risques A l image de la «cartographie internationale des risques» évoquée dans le Rapport Larosière (article 242 et recommandation 27)
22 2. Infrastructure du marché Innovations potentielles dans les services post marché Affirmation Affirmation «riche» (paramètres économiques, échéanciers d événements et de paiements, explorateurs de contrats, analyses de scénario, etc.) Appariement des confirmations Signature «faible» qui garantit l équivalence comportementale des contrats (utilisée en complément de la comparaison des paramètres économiques) Contrepartie centrale, base de données centrale Extension de la couverture produits La valeur d une contrepartie centrale est une fonction croissante du nombre d instruments financiers couverts Extension de l éventail des services post marché
23 2. Infrastructure du marché (2) Fonctionnalités clé apportées par LexiFi Définition précise et exhaustive des clauses contractuelles Gestion automatique des contrats de l initiation à l échéance Calcul des appels de marge Potentiellement, utilisation de sous groupes de compensation par modèle de valorisation Calcul des paiements issus des contrats Suivi permanent des conditions contractuelles Par exemple, suivi des barrières continues Gestion d une piste d audit complète pour chaque contrat Connectivité et interopérabilité grâce à des définitions de produit «portables»
24 3. Gestion à l échelle de l entreprise On ne peut pas gérer ce que l on ne sait pas décrire Domaines d application: Risques de marché et de crédit Risque opérationnel L affaire des bonus AIG Extrait d une lettre datée du 14 mars 2009 adressée par Edward Liddy, Président d AIG, à Timothy Geithner, Secrétaire d Etat au Trésor des Etats-Unis, à propos des rémunérations au sein d AIG Financial Products : «Les portefeuilles d AIGFP contiennent un grand nombre d opérations complexes dites sur mesure qui sont difficiles à comprendre et à gérer. C est l une des raisons pour lesquelles il n est pas possible de remplacer systématiquement les personnes clé du trading et de la gestion des risques. Leur connaissance personnelle des opérations et le système d information unique d AIGFP seront critiques pour assurer l extinction des activités et des portefeuilles d AIGFP».
25 Que faire? L épisode AIG démontre à quel point les agents détenteurs de savoirs ou d informations singuliers au sein d institutions financières ont peu d incitations pour mettre en œuvre un système d information qui clarifie les expositions ou implique un transfert rapide de connaissances Au cours de la dernière décennie, agents, actionnaires et régulateurs ont manqué de volonté pour améliorer radicalement la manière dont les contrats financiers sont décrits dans les institutions financières Une volonté politique claire existe aujourd hui pour améliorer la transparence et l infrastructure du marché des produits dérivés échangés de gré à gré et leur gestion à l échelle de l entreprise Le passage d une volonté politique à l action implique l adoption d un langage commun de description des contrats financiers
BAX MC Contrats à terme sur acceptations bancaires canadiennes de trois mois
BAX MC Contrats à terme sur acceptations bancaires canadiennes de trois mois Groupe TMX Actions Bourse de Toronto Bourse de croissance TSX Equicom Produits dérivés Bourse de Montréal CDCC Marché climatique
Plus en détailLA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier
LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE 2 Section 1. Problématique de la gestion du risque de change Section 2. La réduction de l exposition de l entreprise au risque de change Section 3. La gestion du risque de
Plus en détail1. Qu est-ce que MiFID (Markets in Financial Instruments Directive)?
1. Qu est-ce que MiFID (Markets in Financial Instruments Directive)? 2. Afin de fournir un service d investissement à ses clients, Delta Lloyd Bank est tenue de catégoriser ses clients 3. L un des fondements
Plus en détailprésentés au Comité des Autorités canadiennes en valeurs mobilières sur les dérivés
Commentaires du Mouvement des caisses Desjardins relatifs à la consultation 91-406 Dérivés : Compensation des dérivés de gré à gré par contrepartie centrale présentés au Comité des Autorités canadiennes
Plus en détailCARACTERISTIQUES ET EVALUATION DES CONTRATS D OPTION. Finance internationale, 9ème éd. Y. Simon & D. Lautier
CARACTERISTIQUES ET EVALUATION DES CONTRATS D OPTION 1 Section 1. La définition et les caractéristiques d une option Section 2. Les déterminants de la valeur d une option Section 3. Les quatre opérations
Plus en détailRapport financier du premier trimestre de 2013-2014
Rapport financier du premier trimestre de -2014 Pour la période terminée le Financement agricole Canada Financement agricole Canada (FAC), dont le siège social se trouve à Regina, en Saskatchewan, est
Plus en détailLES MARCHÉS DÉRIVÉS DE CHANGE. Finance internationale 9éme ed. Y. Simon & D. Lautier
LES MARCHÉS DÉRIVÉS DE CHANGE 1 Section 1. Les instruments dérivés de change négociés sur le marché interbancaire Section 2. Les instruments dérivés de change négociés sur les marchés boursiers organisés
Plus en détailMathématiques pour la finance Définition, Evaluation et Couverture des Options vanilles Version 2012
Mathématiques pour la finance Définition, Evaluation et Couverture des Options vanilles Version 2012 Pierre Andreoletti pierre.andreoletti@univ-orleans.fr Bureau E15 1 / 20 Objectifs du cours Définition
Plus en détail1/ Quelles sont les raisons qui peuvent conduire à la mise en place d un OMS?
Order Management System L Order Management System (OMS) d hier visait avant tout à automatiser les communications internes, en permettant au trader de collecter électroniquement les ordres et les instructions
Plus en détailAvertissement sur les risques liés aux instruments financiers Clients professionnels
Avertissement sur les risques liés aux instruments financiers Clients professionnels 07/10/2014 Le présent document énonce les risques associés aux opérations sur certains instruments financiers négociés
Plus en détailNorme internationale d information financière 9 Instruments financiers
Norme internationale d information financière 9 Instruments financiers IFRS 9 Chapitre 1 : Objectif 1.1 L objectif de la présente norme est d établir des principes d information financière en matière d
Plus en détailUNE SOLUTION CANADIENNE POUR LA COMPENSATION DE PRODUITS DÉRIVÉS
UNE SOLUTION CANADIENNE POUR LA COMPENSATION DE PRODUITS DÉRIVÉS Profil CORPORATION CANADIENNE DE COMPENSATION DE PRODUITS DÉRIVÉS La Corporation canadienne de compensation de produits dérivés (CDCC),
Plus en détailSECTION 5 : OPERATIONS SUR PRODUITS DERIVES
SECTION 5 : OPERATIONS SUR PRODUITS DERIVES 1 - DEFINITION DES PRODUITS DERIVES 2 - DEFINITIONS DES MARCHES 3 - USAGE DES CONTRATS 4 - COMPTABILISATION DES OPERATIONS SUR PRODUITS DERIVES 51 SECTION 5
Plus en détailCredit default swaps : Quels sont les risques et défis en matière de stabilité financière?
Credit default swaps : Quels sont les risques et défis en matière de stabilité financière? ORICE WILLIAMS BROWN Directeur Financial Markets and Community Investment US Government Accountability Office
Plus en détailPrésentation à l EIFR. 25 mars 2014
Présentation à l EIFR 25 mars 2014 1 Contexte BCBS 239 Les établissements font face depuis les cinq dernières années aux nombreux changements réglementaires visant à renforcer la résilience du secteur:
Plus en détailPrésentation Salle des marchés. Centrale Lille Octobre 2007. Contacts: Matthieu MONLUN Responsable de la salle des marchés
Présentation Salle des marchés Centrale Lille Octobre 2007 Contacts: Matthieu MONLUN Responsable de la salle des marchés Jérôme CHANE Sales Fixed Income Tel: 03.20.57.50.00 Email: prenom.nom@calyon.com
Plus en détailLe système bancaire parallèle : vers plus de transparence?
Le système bancaire parallèle : vers plus de transparence? CNIS, commission Système financier et financement de l'économie Jeudi 25 septembre 2014 Omar Birouk DGS-Banque de France Yamina Tadjeddine EconomiX,
Plus en détailRAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE
22.05.08 RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE Le Conseil d administration de la Société Générale a pris connaissance du rapport ci-joint du Comité spécial qu il a constitué le 30
Plus en détailétude de rémunérations
étude de rémunérations dans la finance de marché Les salaires des métiers de la Moe et de la Moa AVEC NOUS, VOTRE TALENT PREND DE LA VALEUR 1 Sommaire Le mot des dirigeants Présentation METIERS DE LA MOE
Plus en détailPoint de vue. sur les produits dérivés. Faire bon usage des produits dérivés en gestion obligataire. Complexes mais complémentaires.
sur les produits dérivés Mars 2015 Faire bon usage des produits dérivés en gestion obligataire Les produits dérivés obligataires existent depuis une quarantaine d années 1 et pourtant leur utilisation
Plus en détailRéforme du Marché Financier Algérien. Systèmes d Information
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DES FINANCES Au service des peuples et des nations Réforme du Marché Financier Algérien Systèmes d Information Alger 5 décembre 2012 Eric Pezet
Plus en détailTREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. - INFORMATIONS RÉGLEMENTAIRES LA SOCIÉTÉ TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. FORME JURIDIQUE
TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. - INFORMATIONS LA SOCIÉTÉ TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. RÉGLEMENTAIRES FORME JURIDIQUE TreeTop Asset Management S.A. (ci-après «TREETOP» ou la «Société») est une société anonyme
Plus en détailL essentiel des marchés financiers
Éric Chardoillet Marc Salvat Henri Tournyol du Clos L essentiel des marchés financiers Front office, post-marché et gestion des risques, 2010 ISBN : 978-2-212-54674-3 Table des matières Introduction...
Plus en détailRÉSUMÉ. Le siège social de Credit Suisse AG est situé à Paradeplatz 8, CH-8001, Zurich, Suisse.
RÉSUMÉ Le présent résumé doit être lu comme une introduction au présent Prospectus de Base et toute décision d investir dans les Titres doit être fondée sur la prise en considération de l intégralité du
Plus en détailAVERTISSEMENT ET INFORMATION SUR LES RISQUES LIES A LA NEGOCIATION DES CONTRATS A TERME ET DES ACTIONS
Le présent document énonce les risques associés aux opérations sur certains instruments financiers négociés par Newedge Group S.A. pour le compte d un client «le Client». Le Client est informé qu il existe
Plus en détailRÉSUMÉ (TRADUCTION) Credit Suisse International
RÉSUMÉ (TRADUCTION) Credit Suisse International Notes zéro coupon, liées à un indice, remboursables automatiquement, d un montant maximum total de EUR 100.000.000, échéance 2011, Série NCSI 2006 469 ISIN
Plus en détailCMC MARKETS UK PLC CMC MARKETS CANADA INC. Document d information sur la relation. Decembre 2014
CMC MARKETS UK PLC et CMC MARKETS CANADA INC. Document d information sur la relation Decembre 2014 Société immatriculée en Angleterre sous le numéro 02448409 Société autorisée et réglementée par la Financial
Plus en détailTURBOS WARRANTS CERTIFICATS. Les Turbos Produits à effet de levier avec barrière désactivante. Produits non garantis en capital.
TURBOS WARRANTS CERTIFICATS Les Turbos Produits à effet de levier avec barrière désactivante. Produits non garantis en capital. 2 LES TURBOS 1. Introduction Que sont les Turbos? Les Turbos sont des produits
Plus en détailNote d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2. Novembre 2013. This document is also available in English.
Note d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2 This document is also available in English. La présente Note d orientation s adresse à toutes les caisses populaires de catégorie
Plus en détailCette perte concerne exclusivement la gestion en compte propre de la CNCE, c est-à-dire une activité indépendante de sa trésorerie.
COMMUNIQUE DE PRESSE Paris, le 17 octobre 2008 --- Du fait de l extrême volatilité des marchés et du krach boursier de la semaine du 6 octobre, le Groupe Caisse d Epargne a connu un important incident
Plus en détailProduits complexes. Produits non complexes. Risques généraux liés aux opérations de trading
Nous proposons un large éventail de produits d investissement présentant chacun des risques et des avantages spécifiques. Les informations ci-dessous offrent une description d ensemble de la nature et
Plus en détailReporting AIFM : quelles obligations pour quels gestionnaires? Guide pratique pour répondre aux exigences de la directive AIFM
Reporting AIFM : quelles obligations pour quels gestionnaires? Guide pratique pour répondre aux exigences de la directive AIFM La directive AIFM vise à permettre aux régulateurs de surveiller le risque
Plus en détailentreprises. Ensuite, la plupart des options d achat d actions émises par Corporation
28RE_chap_EP4.qx:quark de base 7/16/09 7:37 PM Page 858 Troisième partie : Le financement des ressources Les principales caractéristiques des travaux suggérés Questions de révision (N os 1 à 25) Exercices
Plus en détailMieux comprendre les certificats SSL THAWTE EST L UN DES PRINCIPAUX FOURNISSEURS DE CERTIFICATS SSL DANS LE MONDE
Mieux comprendre les certificats SSL THAWTE EST L UN DES PRINCIPAUX FOURNISSEURS DE CERTIFICATS SSL DANS LE MONDE sommaire MIEUX COMPRENDRE LES CERTIFICATS SSL...1 SSL et certificats SSL : définition...1
Plus en détailCOPENHAGUE, AVANT ET APRÈS ENJEUX ET PERSPECTIVES POUR LES ENTREPRISES. Novembre 2009
COPENHAGUE, AVANT ET APRÈS ENJEUX ET PERSPECTIVES POUR LES ENTREPRISES Novembre 2009 Copenhague, avant et après enjeux et perspectives pour les entreprises 2 Copenhague, avant et après enjeux et perspectives
Plus en détailInstruments financiers et comptabilité de couverture : de nouveaux principes français en préparation
Instruments financiers et comptabilité de couverture : de nouveaux principes français en préparation Conférence IMA du 05 avril 2012 Isabelle SAPET, Associée Programme 1. Introduction 2. Classification
Plus en détailCampus. Les formations Finance active
Campus Les formations Finance active Gestion du risque de change 1. Négocier et traiter au mieux spots et termes S approprier les fondamentaux du risque de change - Déterminer sa position et son risque
Plus en détailMise à jour du Manuel de l ICCA
Normes et règlements Montréal, le 30 mars 2004 Mise à jour du Manuel de l ICCA La collection Normes et recommandations de l'icca sur Internet a été mise à jour pour refléter les modifications apportées
Plus en détailCalcul et gestion de taux
Calcul et gestion de taux Chapitre 1 : la gestion du risque obligataire... 2 1. Caractéristique d une obligation (Bond/ Bund / Gilt)... 2 2. Typologie... 4 3. Cotation d une obligation à taux fixe... 4
Plus en détailIdR Trading et Microstructure CA Cheuvreux. Charles-Albert Lehalle
IdR Trading et Microstructure CA Cheuvreux Charles-Albert Lehalle 2010-2014 Crédit Agricole Cheuvreux Kepler Cheuvreux L objectif de cette IdR «trading et microstructure des marchés» est de stimuler la
Plus en détailLe Système de gestion et d analyse de la dette
ConférenC e des n ations Unies su r le C ommerc e et le développement Le Système de gestion et d analyse de la dette Version 6 : la solution pour les bureaux de gestion de la dette TABLE DES MATIÈRES
Plus en détailLE GOUVERNEMENT D ENTREPRISE
LE GOUVERNEMENT D ENTREPRISE L organisation du groupe Une mission étendue, une organisation adaptée Le développement du groupe et la politique de croissance externe conduite depuis quelques années ont
Plus en détailDiFiQ. Diplôme Finance Quantitative. Une formation en partenariat. Ensae Dauphine Bärchen
DiFiQ Ensae Dauphine Bärchen Diplôme Finance Quantitative Une formation en partenariat bonnes raisons 5de s inscrire au DiFiQ 1. Gagnez une maîtrise incontournable des techniques quantitatives en finance
Plus en détailAllocution de Monsieur le Ministre à l occasion du 1 er meeting sur l information financière
Royaume du Maroc المملكة المغربية Direction du Trésor et des finances Extérieures مديرية الخزينة و المالية الخارجية Allocution de Monsieur le Ministre à l occasion du 1 er meeting sur l information financière
Plus en détailComptes et plans d épargne-logement
Page 1 of 6 Alerte Banques n 2 - avril 2006 ARCHIVES I IMPRIMER Comptes et plans d épargne-logement L avis du CNC relatif à la comptabilisation des CEL et PEL pose le principe suivant : les conséquences
Plus en détailÉnergie et Mondialisation
Énergie et Mondialisation Il est fréquent d affirmer que de nombreuses questions énergétiques ou environnementales ne peuvent être posées correctement qu au niveau mondial. Résolument ancré dans le réseau
Plus en détailPosition du CIGREF sur le Cloud computing
Position du CIGREF sur le Cloud computing Septembre 2010 Cette position est le fruit d un groupe de réflexion ayant rassemblé les Directeurs des Systèmes d Information de grandes entreprises, au premier
Plus en détailDOSSIER DE PRESENTATION
DOSSIER DE PRESENTATION Ce dossier est destiné à vous présenter à la fois l activité du cabinet de courtage A2C GROUPE, les services mis à la disposition de ses partenaires. Ce dossier se présente sous
Plus en détailGlobal Markets Product Risk Book
Communication Marketing Global Markets Product Risk Book Version française Cette communication n a pas été préparée conformément aux prescriptions légales visant à promouvoir l indépendance de la recherche
Plus en détailNote informative aux clients de la BANQUE RAIFFEISEN et des CAISSES RAIFFEISEN affiliées en relation avec les produits financiers offerts
Note informative aux clients de la BANQUE RAIFFEISEN et des CAISSES RAIFFEISEN affiliées en relation avec les produits financiers offerts Cher client, chère cliente, La BANQUE RAIFFEISEN tient à vous informer
Plus en détailSolution logicielle IDEA
6 & 7 juin 2007 Parc des Expositions Paris-Nord Villepinte Solution logicielle IDEA Intervenant: M. Michel PIRON 6 & 7 juin 2007 Parc des Expositions Paris-Nord Villepinte Une initiative de l Ordre des
Plus en détailMETTEZ DU GÉNIE DANS VOS FINANCES AVEC LES FONDS FÉRIQUE. Offerts aux ingénieurs et diplômés en génie, à leurs familles et à leurs entreprises
METTEZ DU GÉNIE DANS VOS FINANCES AVEC LES FONDS Offerts aux ingénieurs et diplômés en génie, à leurs familles et à leurs entreprises BIENVENUE CHEZ. BIENVENUE CHEZ VOUS. constitue une approche différente
Plus en détail5.5.4. Evaluation du Conseil d administration, de ses Comités et de ses administrateurs individuels. 5.5.5. Autres rémunérations
5.5.4. Evaluation du Conseil d administration, de ses Comités et de ses administrateurs individuels Sous la direction de son Président, le Conseil d administration évalue régulièrement sa taille, sa composition
Plus en détailPOLITIQUE D EXECUTION DES ORDRES SUR INSTRUMENTS FINANCIERS
POLITIQUE D EXECUTION DES ORDRES SUR INSTRUMENTS FINANCIERS La présente section vise à vous communiquer, conformément à la Directive, des informations sur la politique d exécution des ordres sur instruments
Plus en détailRapport de certification
Rapport de certification Évaluation EAL 3 + du produit Symantec Risk Automation Suite 4.0.5 Préparé par : Le Centre de la sécurité des télécommunications Canada à titre d organisme de certification dans
Plus en détailUn guide du trading des Options Binaires, étape par étape. www.cedarfinance.com
Un guide du trading des Options Binaires, étape par étape www.cedarfinance.com Index 3 Les meilleures raisons pour commencer le trading d Options Binaires 4 Les Options Binaires: Histoire 5 Comment réaliser
Plus en détailDélibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012
Direction Générale Finances et Gestion Direction du Contrôle Interne Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012 Sociétés publiques locales et sociétés publiques locales d aménagement - Dispositif
Plus en détailSon Organisation, son Fonctionnement et ses Risques
La Bourse Son Organisation, son Fonctionnement et ses Risques Le Marché Financier a un double rôle : apporter les capitaux nécessaires au financement des investissements des agents économiques et assurer
Plus en détailPOLITIQUE DE GESTION DES CONFLITS D INTERETS D EXANE
POLITIQUE DE GESTION DES CONFLITS D INTERETS D EXANE 1. OBJET La présente politique vise à garantir la conformité D EXANE SA, EXANE DERIVATIVES, EXANE OPTIONS, EXANE LIMITED et leurs succursales concernées
Plus en détailListe des notes techniques... xxi Liste des encadrés... xxiii Préface à l édition internationale... xxv Préface à l édition francophone...
Liste des notes techniques.................... xxi Liste des encadrés....................... xxiii Préface à l édition internationale.................. xxv Préface à l édition francophone..................
Plus en détailAFIM MELANION DIVIDENDES RAPPORT ANNUEL. Exercice clos le 31 décembre 2014
AFIM MELANION DIVIDENDES RAPPORT ANNUEL Exercice clos le 31 décembre 2014 Code ISIN : Part A : FR0011619345 Part B : FR0011619352 Part C : FR0011619402 Dénomination : AFIM MELANION DIVIDENDES Forme juridique
Plus en détailrelatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances
COMITE DE LA REGLEMENTATION COMPTABLE Règlement n 2003-03 du 2 octobre 2003 relatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances (Avis n 2003-09 du 24 juin 2003 du compte rendu CNC)
Plus en détailLA COMPTABILITE DE COUVERTURE EN IFRS DEMYSTIFIEE **** IMA France 5 février 2008 Xavier Paper et Patrick Grinspan. Paper Audit & Conseil 1
LA COMPTABILITE DE COUVERTURE EN IFRS DEMYSTIFIEE **** IMA France 5 février 2008 Xavier Paper et Patrick Grinspan Paper Audit & Conseil 1 Sommaire 1. Définition de la relation de couverture 2. Le swap
Plus en détail2- Microstructure des marchés financiers
2- Microstructure des marchés financiers Principes d'organisation des marchés modes de cotation modes de transmission et d'exécution des ordres rôle des intermédiaires informations disponibles aux agents
Plus en détailGaranties dans le secteur principal de la construction
Garanties dans le secteur principal de la construction Société Suisse des Entrepreneurs 1 Principes de la Société Suisse des Entrepreneurs Garanties dans le secteur principal de la construction Impressum
Plus en détailProcessus et stratégie d investissement
FCP Bryan Garnier Long Short Equity Recherche de performance par le «stock picking» Processus et stratégie d investissement FCP Bryan Garnier Long Short Equity TABLE DES MATIERES Introduction 2 I Méthodologie
Plus en détailCertificats TURBO. Bénéficiez d un effet de levier en investissant sur l indice CAC 40! Produits non garantis en capital.
Certificats TURBO Bénéficiez d un effet de levier en investissant sur l indice CAC 40! Produits non garantis en capital. www.produitsdebourse.bnpparibas.com Les Certificats Turbo Le Certificat Turbo est
Plus en détailNorme internationale d information financière 4 Contrats d assurance
Norme internationale d information financière 4 Contrats d assurance Objectif 1 L objectif de la présente norme est de spécifier l information financière pour les contrats d assurance devant être établie
Plus en détailLES OPTIONS DE CHANGE DE SECONDE GÉNÉRATION : UN APERÇU
LES OPTIONS DE CHANGE DE SECONDE GÉNÉRATION : UN APERÇU En forte croissance depuis le début des années quatre-vingt, le marché des options sur devises s est enrichi, au début des années quatre-vingt-dix,
Plus en détailCADRE DE TRAVAIL. Mai 2008. Autorité des marchés financiers - Mai 2008 Page 1
CADRE DE TRAVAIL Principes à suivre pour les coopératives de services financiers adoptant une approche de notation interne pour le risque de crédit et / ou une approche standard ou de mesure avancée pour
Plus en détailCommentaires. Michael Narayan. Les taux de change à terme
Commentaires Michael Narayan L étude de Levin, Mc Manus et Watt est un intéressant exercice théorique qui vise à extraire l information contenue dans les prix des options sur contrats à terme sur le dollar
Plus en détailObservatoire des métiers de la banque Réunion annuelle du 20 novembre 2012
Observatoire des métiers de la banque Réunion annuelle du 20 novembre 2012 Le référentiel des métiers cadres de la banque : des métiers en évolution, des compétences à valoriser Étude faite en partenariat
Plus en détailOffre Isf 2013. 2013 fonds d investissement de proximité
Offre Isf 2013 2013 fonds d investissement de proximité du fip 123ISF 2013 Fiscalité La souscription au FIP 123ISF 2013 offre : Une réduction d ISF immédiate de 50% des versements effectués (déduction
Plus en détailNORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS
NORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORMES IAS 32/39 : INSTRUMENTS FINANCIERS...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit
Plus en détailInfo-assurance Séance d information de l IASB du 19 mars 2015
www.pwc.com/ca/insurance Info-assurance Séance d information de l IASB du 19 mars 2015 Puisque divers points de vue sont analysés lors des réunions de l IASB, et qu il est souvent difficile de décrire
Plus en détailMéthodologie et Processus d Investissement
Méthodologie et Processus d Investissement Paris 15 janvier 2010 Table des matières AVERTISSEMENT...2 1. INTRODUCTION...3 2. LE FCP VARENNE VALEUR...3 3. LE FCP VARENNE SELECTION...3 4. LA METHODOLOGIE
Plus en détailLes Turbos. Guide Pédagogique. Produits à effet de levier avec barrière désactivante. Produits présentant un risque de perte en capital
Les Turbos Guide Pédagogique Produits à effet de levier avec barrière désactivante Produits présentant un risque de perte en capital Les Turbos 2 Sommaire Introduction : Que sont les Turbos? 1. Les caractéristiques
Plus en détailNégocier en direct vos Warrants, Turbos et Certificats
Négocier en direct vos Warrants, Turbos et Certificats PRODUITS PRÉSENTANT UN RISQUE DE PERTE DU CAPITAL émis par Société Générale ou Société Générale Effekten GmbH (société ad hoc de droit allemand dont
Plus en détailModernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires
Modernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires Principaux défis et facteurs de réussite Dans le cadre de leurs plans stratégiques à long terme, les banques cherchent à tirer profit
Plus en détailFÉDÉRATION FRANÇAISE DES SOCIÉTÉS D'ASSURANCES
FÉDÉRATION FRANÇAISE DES SOCIÉTÉS D'ASSURANCES 26, boulevard Haussmann 75311 Paris Cedex 09 Téléphone : 01 42 47 90 00 - Télécopie : 01 42 47 93 11 - Internet : http://www.ffsa.fr 12 juillet 2007 Observations
Plus en détailLES SERVICES DU DEPOSITAIRE CENTRAL
Département DEPOSITAIRE CENTRAL INSTRUCTION N 1 PROJET LES SERVICES DU DEPOSITAIRE CENTRAL Les prestations du Dépositaire Central sont définies par son Règlement Général. Elles s inscrivent dans le sens
Plus en détailRèglement n 90 15 du 18 décembre 1990 relatif à la comptabilisation des contrats d échange de taux d intérêt ou de devises
Règlement n 90 15 du 18 décembre 1990 relatif à la comptabilisation des contrats d échange de taux d intérêt ou de devises modifié par les règlements n 92 04 du 17 juillet 1992, n 95-04 du 21 juillet 1995,
Plus en détailINF 1250 INTRODUCTION AUX BASES DE DONNÉES. Guide d étude
INF 1250 INTRODUCTION AUX BASES DE DONNÉES Guide d étude Sous la direction de Olga Mariño Télé-université Montréal (Québec) 2011 INF 1250 Introduction aux bases de données 2 INTRODUCTION Le Guide d étude
Plus en détailAnalyse structurée de solutions pour BMC Remedy IT Service Management v 7
LIVRE BLANC SUR LES PRATIQUES ITIL Analyse structurée de solutions pour BMC Remedy IT Service Management v 7 Exploiter le potentiel des pratiques ITIL grâce aux ateliers d analyse de solutions organisés
Plus en détailCONFÉRENCE MIF II PROTECTION DES INVESTISSEURS. Mercredi 26 novembre 2014
CONFÉRENCE MIF II PROTECTION DES INVESTISSEURS Mercredi 26 novembre 2014 1 Sommaire 1. Conflits d intérêts pp. 3-16 Dispositions générales Gouvernance produits Placement et prise ferme Inducements (avantages)
Plus en détailBank Briefing n 2014-19 ARCHIVES
Bank Briefing n 2014-19 ARCHIVES Vendredi 14 novembre 2014 Arrêté du 3 novembre 2014 relatif au contrôle interne des entreprises du secteur de la banque, des services de paiement et des services d'investissement
Plus en détailCAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES
Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications
Plus en détailFonds de placement Le modèle adapté à chaque type d investisseur.
Fonds de placement Le modèle adapté à chaque type d investisseur. Bienvenue. Des arguments qui comptent Les points forts des fonds de placement du Credit Suisse. De nets avantages Les fonds de placement:
Plus en détailCompte rendu. Jeudi 12 mars 2009 Séance de 10 heures. Commission des Finances, de l économie générale et du Plan
Compte rendu Commission des Finances, de l économie générale et du Plan Examen de la proposition de résolution sur le renforcement de la régulation financière (n 1512)...2 Information relative à la Commission...7
Plus en détailQu est-ce qu une banque?
Qu est-ce qu une banque? Nathalie Janson 1 Financement de l Activité économique Développement des entreprises nécessite apport de fonds Les entreprises peuvent se financer de façon interne ou externe Les
Plus en détail5.3. Gestion des licences d utilisation des logiciels. (Service des technologies de l information)
Rapport du vérificateur général de la Ville de Montréal au conseil municipal et au conseil d agglomération 5.3 Pour l exercice terminé le 31 décembre 2013 Gestion des licences d utilisation des logiciels
Plus en détailTransactions de l agriculteur 1.5 /kilo 2.0 /kilo 2.5 /kilo Vente de la récolte 187 500 250 000 312 500. l agriculteur
Chapitre 11, assurance et diversification Réponses aux Questions et problèmes 1. Transactions de 1.5 /kilo 2.0 /kilo 2.5 /kilo Vente de la récolte 187 500 250 000 312 500 62 500 payés à 0 62 500 payés
Plus en détailDans le cas contraire, l ouverture de votre compte ne pourra être finalisée.
DOSSIER D OUVERTURE DE COMPTE > BANQUE > COMPTE BANCAIRE 1 / REMPLISSEZ INTÉGRALEMENT LE FORMULAIRE CI-APRÈS, DATEZ-LE SIGNEZ-LE. Si vous souhaitez garder une copie de votre dossier, pensez à photocopier
Plus en détailCHARTE DU COMITÉ DES RESSOURCES HUMAINES ET DE RÉMUNÉRATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION DE TIM HORTONS INC.
CHARTE DU COMITÉ DES RESSOURCES HUMAINES ET DE RÉMUNÉRATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION DE TIM HORTONS INC. Adoptée le 28 septembre 2009 (Modification la plus récente : novembre 2013) La présente charte
Plus en détailOPTION SCIENCES BELLE-ISLE-EN-TERRE
Serge Combet Professeur Mathématiques Collège de Belle-Isle-En-Terre OPTION SCIENCES BELLE-ISLE-EN-TERRE 2011-2012 Mathématiques & Informatique Sommaire I. Introduction... 5 II. Choix des logiciels...
Plus en détailWARRANTS TURBOS CERTIFICATS. Les Warrants. Découvrir et apprendre à maîtriser l effet de levier
WARRANTS TURBOS CERTIFICATS Les Warrants Découvrir et apprendre à maîtriser l effet de levier 2 WARRANTS Qu est-ce qu un Warrant? Un warrant est une option cotée en Bourse. Emis par des établissements
Plus en détailLes produits de Bourse UniCredit sur le CAC Ext (Étendu).
EXCLUSIVITÉ UNICREDIT! Les produits de Bourse UniCredit sur le CAC Ext (Étendu). De 8h00 à 18h30, le potentiel des prix et de la liquidité*. CES PRODUITS SONT DESTINÉS À DES INVESTISSEURS AVERTIS. PRODUITS
Plus en détail