Présentation du projet «Avortements officiels» en Wallonie

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Présentation du projet «Avortements officiels» en Wallonie"

Transcription

1 Présentation du projet «Avortements officiels» en Wallonie Dr. Vét. Laurent DELOOZ - Service Epidémiologie et Administration de la Santé ARSIA asbl Objectifs Plan Organisation de l accompagnement sanitaire des avortements Volet «Operationnel» Volet «Accompagnement» Résultats Déclaration des avortements Prévalence des agents recherchés Tendances et interprétations Détermination des causes d avortements Conclusions 1

2 Objectifs Objectifs Contexte Réduction de la surveillance ACTIVE de la Brucellose- Leucose (achats et bilans) Nécessité de renforcer la surveillance PASSIVE par l analyse des produits d avortement Agir au plus vite, détection précoce Objectifs En Wallonie 4000 déclarations d avortements sont nécessaires pour réaliser une surveillance passive efficace de la Brucellose. 2

3 Objectifs Quel est l intérêt d analyser les produits d avortements? En 2010, : au moins un germe est mis en évidence dans 55% des cas. la cause de l avortement a pu être déterminée de manière certaine dans 21% des cas. Mise en évidence d agents pathogènes responsables de maladies au sein du troupeau. Surveillance de l état sanitaire du troupeau. Organisation de l accompagnement sanitaire des avortements 3

4 Organisation de l accompagnement sanitaire des avortements Volet «Operationnel» Panel de base des analyses Ramassage de cadavres Kit avortement Document standardisé d anamnèse Organisation de l accompagnement sanitaire des avortements Panel de base des analyses En fonction des prélèvements reçus, un panel d analyses reprenant les principales causes d avortements connues est réalisé. Dossier comprenant l avorton 16 analyses 170 de prise en charge Dossier sans avorton 8 analyses 99 de prise en charge Sur l avorton PATHOLOGIE Méthode laboratoire Bactério/Aérobie Culture (gélose sur sang) ARSIA Listeria monocytogenes Culture (gélose sur sang) ARSIA Salmonella Culture (gélose MacConkey) ARSIA Brucella abortus Culture et col. stamp ARSIA Mycose Culture (Sabouraud) ARSIA BVD-V Elisa Ag (sur organes) ARSIA Coxiella burnetii PCR CERVA BTV-8 PCR CERVA Neospora caninum PCR (uniquement si sérologie +) ARSIA Sur le sérum du bovin avorté Sur AF (si avorton absent) Sur AF (si avorton présent) 4

5 Organisation de l accompagnement sanitaire des avortements Carte du ramassage Prise en charge de l acheminement des avortons aux laboratoires Organisation de l accompagnement sanitaire des avortements Document standardisé d anamnèse 5

6 Organisation de l accompagnement sanitaire des avortements Nouveautés par rapport au GPS avortement Les frais d analyses et le ramassage de cadavre en ferme sont entièrement pris en charge ainsi qu une une partie des frais de prélèvement. 2. Le nombre de cas pris en charge n est plus limité. 3. Le nouveau formulaire comprend : la demande d analyses l autorisation de transport de cadavre le document d anamnèse 4. Sans avorton le dossier est pris en charge si l AF accompagne le sérum. De plus, AUCUNE MESURE de restriction pour les bovins du troupeau (excepté bruc.) opportunité de bénéficier GRATUITEMENT de la réalisation d un panel très complet d analyses. Volet «Accompagnement» Assurer l interprétation des résultats d analyses Orientation éventuelle vers d autres causes nonabordées dans le panel de base Proposition de tests de confirmation (PCR, Sérologie couplée, ) Accompagnement individuel des cas d avortements, conseils et proposition de plan de lutte adapté 6

7 Volet «Accompagnement» Accompagnement individuel des cas d avortements, conseils et proposition de plan de lutte adapté Agents pathogènes responsables d avortement en série Salmonellose Brucellose Agents pathogènes responsables d avortement sporadique. Néosporose Fièvre Q BVD Infections fongiques Listériose FCO BHV4 Leptospirose Autres bactéries (Arcanobacterium, E.Coli, Bacillus, ) Volet «Accompagnement» La prévention des avortements passe par la lutte contre les causes infectieuses spécifiques Plan de lutte libre disponible concernant : Néosporose BVD Fièvre Q Salmonellose IBR Leptospirose Pas de plan de lutte spécifique mais certaines mesures de protection sont envisageables Infections fongiques (Aspergillus, Candida) Listériose Autres bactéries (Arcanobacterium, E.Coli, Bacillus, ) Plan de lutte obligatoire FCO Brucellose 7

8 Volet «Accompagnement» Les 4 grands groupes de causes d avortements connues 1. Avortements d origine traumatique Assez rare (Risque de masquer un problème infectieux + grave) 2. Avortements provoqués par des traitements Substances abortives (PGF2alpha, ) 3. Avortements liés à l alimentation Déséquilibres, carences, aliments contaminés. 4. Avortements provoqués par des agents infectieux Vraisemblablement la cause la plus fréquente Volet «Accompagnement» Tendance périodique des avortements 8

9 Résultats Déclaration des avortements Prévalence des agents recherchés Détermination des causes d avortements Résultats Déclaration des avortements En 2010, augmentation de 29% de cas d avortements par rapport à 2009 (janv. à nov.). Augmentation significative du nombre de déclaration à partir du lancement du projet (01 Novembre 2009). Envoi d un courrier de sensibilisation aux exploitations n ayant déclaré aucun avortement depuis 3 années. Comparatif du taux de déclaration des avortements/année 0,180% 0,160% 0,140% 0,120% 0,100% 0,080% 0,060% 0,040% 0,020% 0,000% janvier mars avril mai juin juillet septembre octobre nov embre

10 Résultats Déclaration des avortements Evolution et tendance 65% des exploitations n ont jamais déclaré d avortements. Evolution du taux de troupeaux ayant déclarés au minimum 1 cas d'avortement depuis le 01/11/ ,00% 35,00% 30,00% 25,00% 20,00% 15,00% 10,00% 5,00% 0,00% nov-07 janv-08 mars-08 mai-08 juil-08 sept-08 nov-08 janv-09 mars-09 mai-09 juil-09 sept-09 nov-09 janv-10 mars-10 mai-10 juil-10 sept-10 nov-10 Résultats En l absence de bilan brucellose ET/OU de déclaration d avortements Aucune surveillance de la Brucellose au sein de ces exploitations. (Pour rappel 65%) Si réapparition d une maladie émergente, retard de détection de la maladie. Conséquences négatives pour le marché et pertes économiques pour l ensemble des exploitations belges. 10

11 Résultats Tendances et interprétations des résultats d analyses La séroprévalence de la Fièvre Q au sein de la population des animaux ayant avorté augmente de manière significative (IC95%), l origine de cette augmentation est inconnue. Séroprévalence de la fièvre Q en progression 14,00% 12,00% 10,00% 8,00% 6,00% 4,00% 2,00% 0,00% Résultats Résultat d analyses : Interprétations des résultats d analyses 1. Neospora Ag PCR + sur avorton 2. BVD Ag Elisa + sur avorton 3. Fièvre Q PCR + sur avorton ou AF 4. Mise en évidence par culture sur liquide de caillette de l avorton de : Salmonella Listeria Aspergillus/Candida L INTERPRÉTATION des résultats d analyses est à prendre «au cas par cas». 11

12 Résultats Détermination des causes d avortements Quel est l intérêt de fournir l avorton comme prélèvement? Dossiers où le fœtus est absent et l AF présent Seulement 3 diagnostics peuvent être posés : 1. La fièvre Q Résultat d'analyses (n=422) Coxie lla burnetii 18% Infections fongiques (Aspergillus fumigatus.,cand ida sp.) 1% 2. Les infections fongiques Autres bactéries 1% 3. Autres bactéries dont Brucella Pa s de germe s mis en é vide nce 80% Résultats Détermination des causes d avortements Dossiers où le fœtus est présent Résultats d'analyses (n=1194) Neospora caninum 6% BVD 3% Coxiella burnetii 2% FCO 0% 10 diagnostics de certitude peuvent être posés : Mycose 3% 1. Néosporose Pas de germ es mis en évidence 45% Salmonella 4% Listeria 2. BVD 2% Campylobacter 0% 3. Fièvre Q Arcanobacterium 4. Infections fongiques 10% Baci llus 2% 5. Salmonellose E.Coli 12% 6. Listeriose Anomalie congénitale 0% Autres bactéries 11% 7. Brucellose 8. FCO 9. Anomalies congénitales 10. (Autres infections bactériennes) 12

13 Résultats Avortements chez les ovins-caprins 33 cas d avortements déclarés Nombre non significatif par rapport à la population wallonne Problème dans le suivi de la population ovine et caprine Calcul du taux de déclaration des avortements impossible Détermination de la cause des avortements ovins Résultats d' analyses Pas de germes mis en évidence 46% Toxoplasma gondii 27% Coxiella burnetii 3% FCO 0% Campylobacter 3% Autres bactéries 9% E.Coli 9% Arcanobacterium 3% Un cas d avortement, que faire? Comment procéder? Contacter votre vétérinaire d exploitation. Demander à votre vétérinaire de prélever 2 tubes de sérum ET l avorton et/ou l arrière-faix Compléter avec le vétérinaire une «demande d analyse spécifique» par bovin avorté Contacter l ARSIA au 04/ ou faxer la première page de la demande d analyse au 04/ pour commander le passage gratuit de la camionnette si le transport de l avorton est nécessaire. 13

14 Conclusions Le projet «Avortement Officiel» est globalement bien accueilli sur le terrain par les vétérinaires praticiens et les éleveurs. Le service offert par ce projet est fort attractif et simple d utilisation. Merci pour votre attention! 14

Laboratoire de Touraine Page 1

Laboratoire de Touraine Page 1 FDK LVD/BIO/SER/943 Recherche d'anticorps contre le Syndrome Buvard(s) Elisa Indirecte Kit Monocupule Idexx FAC LVD/BIO/SER/951 Recherche d'anticorps totaux contre la Maladie Buvard(s) Elisa Indirecte

Plus en détail

BREVES DU GDS 85. ont plutôt tendance

BREVES DU GDS 85. ont plutôt tendance Editorial BREVES DU GDS 85 N 29 - NOVEMBRE 2010 Ne pas confondre le PSE et le SPE (Support Personnalisé d Epidémiosurveillance), ce dernier mis en place avec le GTV (Groupement Technique Vétérinaire) et

Plus en détail

Tuberculose bovine. Situation actuelle

Tuberculose bovine. Situation actuelle Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier

Plus en détail

Portail Cerise. Simplifiez-vous la vie! Plusieurs services, un seul portail! http://cerise.arsia.be

Portail Cerise. Simplifiez-vous la vie! Plusieurs services, un seul portail! http://cerise.arsia.be Portail Cerise Centre d Enregistrement et de Régulation de l Information des Services à l Elevage Plusieurs services, un seul portail! Simplifiez-vous la vie! Introduction Pour respecter la réglementation,

Plus en détail

UN VEAU PAR VACHE ET PAR AN

UN VEAU PAR VACHE ET PAR AN RÉSEAUX D ÉLEVAGE POUR LE CONSEIL ET LA PROSPECTIVE COLLECTION THÉMA UN VEAU PAR VACHE ET PAR AN Pour les éleveurs allaitants dont la principale activité est de faire naître des veaux, il est primordial

Plus en détail

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium

Plus en détail

Services généraux. Nos services généraux :

Services généraux. Nos services généraux : Services généraux Le fonctionnement de notre organisation repose sur un soutien logistique et administratif compétent. Nous entendons par services généraux, l ensemble des services qui viennent en appui

Plus en détail

Le point sur l IBR. la lutte les statuts. Manuel pratique à l attention des éleveurs. élever, produire, transformer... l Arsia vous accompagne!

Le point sur l IBR. la lutte les statuts. Manuel pratique à l attention des éleveurs. élever, produire, transformer... l Arsia vous accompagne! Le point sur l IBR Manuel pratique à l attention des éleveurs la maladie la lutte les statuts élever, produire, transformer... l Arsia vous accompagne! Manuel pratique à l attention des éleveurs - décembre

Plus en détail

COMPLEMENT D AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail

COMPLEMENT D AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail Saisine n 2010-SA-0215 Le directeur général Maisons-Alfort, le 11 août 2011 COMPLEMENT D AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la

Plus en détail

A C T I V Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007

A C T I V Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007 Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007 Edouard BINGEN, Robert COHEN, Corinne LEVY, France de La ROCQUE, Emmanuelle VARON, Yannick AUJARD, pour le GPIP-ACTIV Objectifs de l Observatoire des Méningites

Plus en détail

Surveillance des toxi infections alimentaires collectives

Surveillance des toxi infections alimentaires collectives Nombre de foyers Surveillance des toxi infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2011 En 2011, 1 153 foyers de toxi infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés

Plus en détail

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014 Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014 Monitoring actif dans l avifaune sauvage En 2014, dans le cadre du monitoring actif, 3.036 oiseaux sauvages ont été échantillonnés.

Plus en détail

Objet : Critères microbiologiques applicables aux auto-contrôles sur les carcasses d'animaux de boucherie. Destinataires d'exécution

Objet : Critères microbiologiques applicables aux auto-contrôles sur les carcasses d'animaux de boucherie. Destinataires d'exécution Ordre de méthode Direction générale de l'alimentation Sous-direction de la sécurité sanitaire des aliments Bureau des établissements d'abattage et de découpe 251 rue de Vaugirard 75 732 PARIS CEDEX 15

Plus en détail

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013 Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013 Monitoring actif dans l avifaune sauvage En 2013, dans le cadre du monitoring actif, 3.181 oiseaux sauvages ont été échantillonnés.

Plus en détail

ENTENTE INTERDEPARTEMENTALE

ENTENTE INTERDEPARTEMENTALE ENTENTE INTERDEPARTEMENTALE DE LUTTE CONTRE LA RAGE ET AUTRES ZOONOSES ETAT D AVANCEMENT DES TRAVAUX 2011 SUR L ECHINOCOCCOSE ALVEOLAIRE et autres zoonoses Toutous, vous saurez tout sur l échino! Note

Plus en détail

Appliquer la réglementation dans la filière

Appliquer la réglementation dans la filière Appliquer la réglementation dans la filière laitière fermière re Appliquer la réglementation dans la filière laitière fermière Analyse des risques, enregistrements et GBPH Application à la filière laitière

Plus en détail

22/12/11. Plan de la présentation

22/12/11. Plan de la présentation http://www.dda.ulg.ac.be L appréciation quantitative du risque microbiologique et la microbiologie prévisionnelle pour les entreprises. La microbiologie prévisionnelle Deux exemples simples L appréciation

Plus en détail

SITUATION EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE

SITUATION EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE SITUATION EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE (Semaine n 38 du 17 au 23/09/2012) BURKINA FASO MINISTERE DE LA SANTE SECRETARIAT GENERAL DIRECTION GENERALE DE LA PROTECTION SANITAIRE DIRECTION DE LA LUTTE CONTRE

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

Brest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012

Brest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012 Conclusions Projet Aquamanche Aquatic management of catchments for health and environment Gestion des eaux des bassin versants pour la santé et l environnement Brest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012 Les

Plus en détail

L ANGINE. A Epidémiologie :

L ANGINE. A Epidémiologie : L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable

Plus en détail

HACCP et sécurité sanitaire des aliments

HACCP et sécurité sanitaire des aliments HACCP et sécurité sanitaire des aliments 1. A votre avis, comment cet accident aurait-il pu être évité? En identifiant les risques alimentaires potentiels liés à l activité de conserverie artisanale et

Plus en détail

Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique

Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Congrès de la SF2H - 9 Juin 2011 S. Coudrais Biohygiéniste Unité d Hygiène et Epidémiologie - Groupement

Plus en détail

MÉDICAMENTS VÉTÉRINAIRES COMPTE RENDU PUBLIC DE LA COMMISSION NATIONALE DES MÉDICAMENTS VÉTÉRINAIRES. Réunion n 8 du 14 Février 2012.

MÉDICAMENTS VÉTÉRINAIRES COMPTE RENDU PUBLIC DE LA COMMISSION NATIONALE DES MÉDICAMENTS VÉTÉRINAIRES. Réunion n 8 du 14 Février 2012. Agence nationale du médicament vétérinaire BP 90203-35302 Fougères cedex Téléphone : 02 99 94 78 78 - Télécopie : 02 99 94 78 64 MÉDICAMENTS VÉTÉRINAIRES COMPTE RENDU PUBLIC DE LA COMMISSION NATIONALE

Plus en détail

WHA63.12 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5

WHA63.12 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5 WHA63/200/REC/ WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins... 9 WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5 La Soixante-Troisième Assemblée mondiale de la

Plus en détail

Tableau pour la conservation et le transport des spécimens à l externe

Tableau pour la conservation et le transport des spécimens à l externe 1. OBJECTIF : Ce document comprend un tableau indiquant les informations nécessaires la conservation des spécimens, à l externe. Il comprend aussi un tableau indiquant les informations nécessaires pour

Plus en détail

1 er MASTER CONCEPT «UN MONDE UNE SANTE»

1 er MASTER CONCEPT «UN MONDE UNE SANTE» 1 er MASTER CONCEPT «UN MONDE UNE SANTE» In Partnership with Le Master 2 MAN-IMAL c est : Formation innovante et interdisciplinaire (Médecins, Véto, Ingénieurs agro/iaa, Biologistes ) Double compétence

Plus en détail

CROPSAV POITOU-CHARENTES. Section spécialisée domaine vétérinaire Tuberculose bovine

CROPSAV POITOU-CHARENTES. Section spécialisée domaine vétérinaire Tuberculose bovine CROPSAV POITOU-CHARENTES Section spécialisée domaine vétérinaire Tuberculose bovine Plan de la présentation La situation sanitaire Les mesures de surveillance de la tuberculose mises en place en Poitou-Charentes

Plus en détail

Infestation par Dipylidium caninum,

Infestation par Dipylidium caninum, Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le

Plus en détail

Science et technique. La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants. Viande bovine et micro-organisme pathogène

Science et technique. La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants. Viande bovine et micro-organisme pathogène Science et technique Viande bovine et micro-organisme pathogène La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants La contamination des carcasses lors des opérations d abattage et la

Plus en détail

Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.

Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction

Plus en détail

Conseil général de l agriculture, de l alimentation et des espaces ruraux RAPPORT

Conseil général de l agriculture, de l alimentation et des espaces ruraux RAPPORT Conseil général de l agriculture, de l alimentation et des espaces ruraux RAPPORT Sur l'évolution du dispositif d'échange de données informatisé EDI SACHA établi par Josy Mazodier Ingénieur général du

Plus en détail

Annexe 7. Fiche standardisée pour l enquête auprès des responsables des différents systèmes.

Annexe 7. Fiche standardisée pour l enquête auprès des responsables des différents systèmes. Annexe 7. Fiche standardisée pour l enquête auprès des responsables des différents systèmes. Cher expert, Le Comité scientifique de l AFSCA a pris l initiative d évaluer le caractère organisationnel de

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

de l air pour nos enfants!

de l air pour nos enfants! B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil

Plus en détail

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose

Plus en détail

CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS

CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS (1/30pages) CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS ANNEE : 2015 Date de mise à jour : 09/03/2015 1 - Microbiologie des eaux - Microbiologie des aliments Formation technique de Microbiologie HYGIÈNE

Plus en détail

CATALOGUE D'ESSAIS INTERLABORATOIRES AGLAE 2015 BIOLOGIE MEDICALE

CATALOGUE D'ESSAIS INTERLABORATOIRES AGLAE 2015 BIOLOGIE MEDICALE Ensemble pour s'améliorer CATALOGUE D'ESSAIS INTERLABORATOIRES AGLAE 2015 BIOLOGIE MEDICALE Association AGLAE Parc des Pyramides 427 rue des Bourreliers 59320 Hallennes lez Haubourdin +33 (0)3 20 16 91

Plus en détail

Savez-vous ce qu'est exactement un vaccin à part un produit qu'on injecte et qui protège contre une maladie?

Savez-vous ce qu'est exactement un vaccin à part un produit qu'on injecte et qui protège contre une maladie? Savez-vous ce qu'est exactement un vaccin à part un produit qu'on injecte et qui protège contre une maladie? C'est en fait, une petite quantité du germe (virus ou bactérie) responsables de la maladie que

Plus en détail

Objectifs stratégiques et opérationnels 2009-2011: état des lieux

Objectifs stratégiques et opérationnels 2009-2011: état des lieux Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire Objectifs stratégiques et opérationnels 2009-2011: état des lieux Comité de consultation du 30/11/2011 Objectifs stratégiques 2 16% 9% 29% 46%

Plus en détail

Réseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006

Réseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006 Réseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006 La prévention des AES au Centre Hospitalier Lyon Sud HCL, au travers de 2 expériences de terrain réalisées en 2005 1 Origine de la démarche : Prévention des

Plus en détail

Fiscalité des médicaments, consommables et équipements médicaux dans les pays membres de l UEMOA

Fiscalité des médicaments, consommables et équipements médicaux dans les pays membres de l UEMOA Fiscalité des médicaments, consommables et équipements médicaux dans les pays membres de l UEMOA Dr Amadou Moctar MBAYE & Gérard FOULON Direction santé - Département du Développement Social 2ème Colloque

Plus en détail

MONITORING 100% CONNECTÉ : MEDRIA LANCE LE FEEDPHONE

MONITORING 100% CONNECTÉ : MEDRIA LANCE LE FEEDPHONE MEDRIA 2014 DOSSIER DE PRESSE Alimentation-Reproduction-Santé MONITORING 100% CONNECTÉ : MEDRIA LANCE LE FEEDPHONE 1/18 COMMUNIQUÉ DE PRESSE MEDRIA lance au SPACE 2014 sa dernière innovation, le FeedPhone

Plus en détail

Les vaccinations en milieu professionnel

Les vaccinations en milieu professionnel Les vaccinations en milieu professionnel Mise à jour Août 2008 Dans le cadre de la prévention du risque biologique, le code du travail précise, aux articles R.4421-1 et suivants, la démarche d'analyse

Plus en détail

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055

Plus en détail

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la

Plus en détail

LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE

LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE Marie-Hélène BONNET 8, Avenue de l Amiral Narbonne 111120 Bize Minervois Tél. 04.68.40.61.50 Email : manoirperceval@wanadoo.fr LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE A lire très attentivement, et à faire lire

Plus en détail

AUTOUR DE LA MISE BAS

AUTOUR DE LA MISE BAS AUTOUR DE LA MISE BAS Un vêlage ou un agnelage est une des périodes les plus importantes dans la conduite d un élevage. De sa réussite dépendra l entrée d argent quelques mois plus tard. Il est donc impératif

Plus en détail

In t r o d u c t i o n

In t r o d u c t i o n In t r o d u c t i o n Qu allez-vous trouver dans ce livre? Ce livre présente une méthode en six étapes pour élaborer votre plan de formation. Son objectif est de vous permettre de concevoir un plan qui

Plus en détail

MISE EN ŒUVRE DU PROGRAMME SPÉCIAL RÉGIONAL POUR LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE DANS LES ÉTATS MEMBRES DE L UEMOA

MISE EN ŒUVRE DU PROGRAMME SPÉCIAL RÉGIONAL POUR LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE DANS LES ÉTATS MEMBRES DE L UEMOA UTF/UEM/001 MISE EN ŒUVRE DU PROGRAMME SPÉCIAL RÉGIONAL POUR LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE DANS LES ÉTATS MEMBRES DE L UEMOA Proposition de projets de textes constituant le cadre normatif de la sécurité sanitaire

Plus en détail

Un veau atteint de troubles respiratoires

Un veau atteint de troubles respiratoires LES MALADIES RESPIRATOIRES DES VEAUX SOUS LA : PLUTOT QUE D AVOIR A LES GUÉRIR, IL VAUT BEAUCOUP MIEUX LES PRÉVENIR EN APPLIQUANT QUELQUES RÈGLES D ELEVAGE SIMPLES ET DE BON SENS Les maladies respiratoires

Plus en détail

Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA

Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA Claude SAEGERMAN Département des maladies infectieuses et parasitaires, Service d épidémiologie et analyse de risques appliquées aux

Plus en détail

Conférence-débat Place des aides techniques et de l adaptation du logement dans le cadre de l assurance dépendance

Conférence-débat Place des aides techniques et de l adaptation du logement dans le cadre de l assurance dépendance Journée nationale de l assurance dépendance Conférence-débat Place des aides techniques et de l adaptation du logement dans le cadre de l assurance dépendance Modérateur: Barbara Strauch Rapporteur: Nico

Plus en détail

Les puces RFID en élevage

Les puces RFID en élevage Les puces RFID en élevage Veille technologique Théo Harsant Yoann Valloo 1 Introduction Développement des systèmes NFC depuis les années 40 (système IFF) Puis transfert de technologie vers le secteur civil

Plus en détail

Génétique et génomique Pierre Martin

Génétique et génomique Pierre Martin Génétique et génomique Pierre Martin Principe de la sélections Repérage des animaux intéressants X Accouplements Programmés Sélection des meilleurs mâles pour la diffusion Index diffusés Indexation simultanée

Plus en détail

Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire

Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire Circulaire relative à la mise en œuvre du protocole régissant les échanges transfrontaliers d animaux de boucherie et volailles d abattage entre

Plus en détail

Septembre 2006 N 6 SOMMAIRE - Les nouvelles en bref - Le parasitisme externe Les sentinelles : Attention. Les mises bas difficiles :

Septembre 2006 N 6 SOMMAIRE - Les nouvelles en bref - Le parasitisme externe Les sentinelles : Attention. Les mises bas difficiles : Septembre 2006 N 6 SOMMAIRE - Les nouvelles en bref Page 1 - Le parasitisme externe Page 2 - Les différents parasites Page 2 - Conséquences des infestations par les ectoparasites, Page 5 moyens de lutte

Plus en détail

Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37

Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Les CAP français en 2009 Réponse téléphonique Toxicovigilance Flesch Françoise QU EST CE QU UN CENTRE ANTIPOISON Art D.711-9-1 1 (Décret

Plus en détail

Développement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire

Développement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire Développement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire JL Marchand E Imbernon M Goldberg (Département Santé Travail) Présentation / rappels Département Santé Travail de

Plus en détail

MÉMOIRE DE L ORDRE DES MÉDECINS VÉTÉRINAIRES DU QUÉBEC PRÉSENTÉ À LA COMMISSION DE L AGRICULTURE, DES PÊCHERIES ET DE L ALIMENTATION

MÉMOIRE DE L ORDRE DES MÉDECINS VÉTÉRINAIRES DU QUÉBEC PRÉSENTÉ À LA COMMISSION DE L AGRICULTURE, DES PÊCHERIES ET DE L ALIMENTATION MÉMOIRE DE L ORDRE DES MÉDECINS VÉTÉRINAIRES DU QUÉBEC PRÉSENTÉ À LA COMMISSION DE L AGRICULTURE, DES PÊCHERIES ET DE L ALIMENTATION DANS LE CADRE DE SA CONSULTATION SUR LES NOUVEAUX ENJEUX DE LA SÉCURITÉ

Plus en détail

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de

Plus en détail

Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : Résultats préliminaires

Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : Résultats préliminaires Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : culture versus PCR Résultats préliminaires J. Assoukpa, L. Dupraz, D. Lecointe UFHHLIN, Centre Hospitalier Sud Francilien,

Plus en détail

AGIRFINANCES. Votre partenaire Budget. Son objectif est de vous permettre d établir votre budget.

AGIRFINANCES. Votre partenaire Budget. Son objectif est de vous permettre d établir votre budget. Votre partenaire Budget Ce guide vous est offert Son objectif est de vous permettre d établir votre budget. Pourquoi? Parce que sans cette étape, il n est pas possible de bien gérer son compte bancaire

Plus en détail

Cintech 360. Présenté par Guillaume Boisvert Dans le cadre de la Semaine horticole 2015

Cintech 360. Présenté par Guillaume Boisvert Dans le cadre de la Semaine horticole 2015 Cintech 360 Présenté par Guillaume Boisvert Dans le cadre de la Semaine horticole 2015 Centre collégial de transfert technologique Cégep de Saint-Hyacinthe Mission: Accroître l innovation et à la compétitivité

Plus en détail

Vaccinations et milieu professionnel

Vaccinations et milieu professionnel La place de la vaccination dans la prévention des risques infectieux La prévention des risques infectieux au travail ne se réduit pas à la protection vaccinale. La vaccination s inscrit comme une des mesures

Plus en détail

Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME

Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé

Plus en détail

Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives

Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2012 En 2012, 1 288 foyers de toxi-infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés en France,

Plus en détail

La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand

La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand 1 Quelles questions se poser? 1. La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle efficace? 2. Combien coûtent les colonisations/infections

Plus en détail

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins

Plus en détail

REPOBLIKAN I MADAGASIKARA Tanindrazana Fahafahana Fandrosoana ----------------------- PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE

REPOBLIKAN I MADAGASIKARA Tanindrazana Fahafahana Fandrosoana ----------------------- PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE REPOBLIKAN I MADAGASIKARA Tanindrazana Fahafahana Fandrosoana ----------------------- PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE LOI n 2006-030 du 24 novembre 2006 relative à l élevage à Madagascar L Assemblée nationale

Plus en détail

évaluation des risques professionnels

évaluation des risques professionnels évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire

Plus en détail

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant

Plus en détail

Séance 3 : Modèles de gestion dans les pays de l UE. Expérience nationale dans les assurances et la gestion de risques - Allemagne

Séance 3 : Modèles de gestion dans les pays de l UE. Expérience nationale dans les assurances et la gestion de risques - Allemagne Conférence Internationale : «La gestion de risques et de crises dans l assurance agraire» Séance 3 : Modèles de gestion dans les pays de l UE Expérience nationale dans les assurances et la gestion de risques

Plus en détail

LA VACCINATION PROFESSIONNELLE

LA VACCINATION PROFESSIONNELLE F I C H E P R E V E N T I O N N 1 1 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LA VACCINATION PROFESSIONNELLE INTRODUCTION La vaccination en milieu professionnel a un intérêt individuel dans le sens où elle protège

Plus en détail

Contexte réglementaire en hygiène alimentaire

Contexte réglementaire en hygiène alimentaire Contexte réglementaire en hygiène alimentaire 1 Réforme de la législation communautaire pour la restauration collective Approche traditionnelle = obligation de moyens Réglementation Arrêté Ministériel

Plus en détail

Incertitude et variabilité : la nécessité de les intégrer dans les modèles

Incertitude et variabilité : la nécessité de les intégrer dans les modèles Incertitude et variabilité : la nécessité de les intégrer dans les modèles M. L. Delignette-Muller Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive VetAgro Sup - Université de Lyon - CNRS UMR 5558 24 novembre

Plus en détail

OIE 12, rue de Prony 75017 Paris France Tel.: 33 (0)1 44 15 18 88 Fax: 33 (0)1 42 67 09 87 www.oie.int oie@oie.int

OIE 12, rue de Prony 75017 Paris France Tel.: 33 (0)1 44 15 18 88 Fax: 33 (0)1 42 67 09 87 www.oie.int oie@oie.int Original : anglais Juillet 2006 RAPPORT DE LA RÉUNION DU BUREAU DE LA COMMISSION SCIENTIFIQUE POUR LES MALADIES ANIMALES Paris, 3-4 juillet 2006 Une réunion du Bureau de la Commission scientifique de l

Plus en détail

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON 20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)

Plus en détail

formations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle

formations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle audit, conseil et formation professionnelle Stage 1 Bonnes pratiques d hygiène en restauration collective 19 et 26 novembre Stage 2 Règles d hygiène lors du service 3 décembre Stage 3 Le nettoyage et la

Plus en détail

Traitement Mazout de Chauffage

Traitement Mazout de Chauffage Traitement Mazout de Chauffage Identification du document: MTP/ENG/WKP/06-028 Révision: A.00 Date de Révision: 14-06-2006 Classe: Professionnel 068-2453258-58 - www.mt-performances.com Suivi du Document

Plus en détail

Fédération de Recherche en Imagerie multimodalité (FRIM) Inserm Universités Paris Diderot & Paris Nord CNRS AP-HP

Fédération de Recherche en Imagerie multimodalité (FRIM) Inserm Universités Paris Diderot & Paris Nord CNRS AP-HP Fédération de Recherche en Imagerie multimodalité (FRIM) Inserm Universités Paris Diderot & Paris Nord CNRS AP-HP Directeur Dominique Le Guludec Tomographie d'emission MonoPhotonique (TEMP) Convention

Plus en détail

F us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou

F us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant

Plus en détail

Termes de référence du groupe de travail «Risques professionnels et sanitaires»

Termes de référence du groupe de travail «Risques professionnels et sanitaires» Termes de référence du groupe de travail «Risques professionnels et sanitaires» 1 Contexte et justification du groupe de travail 1.1 Présentation de la Plateforme Re-Sources est une Plateforme pour la

Plus en détail

RECUEIL DE LEGISLATION

RECUEIL DE LEGISLATION MEMORIAL Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg 1565 MEMORIAL Amtsblatt des Großherzogtums Luxemburg RECUEIL DE LEGISLATION A N o 85 25 octobre 1993 Sommaire Règlement ministériel du 20 septembre

Plus en détail

LES BIOTECHNOLOGIES DANS LE DIAGNOSTIC DES MALADIES INFECTIEUSES ET LE DÉVELOPPEMENT DES VACCINS

LES BIOTECHNOLOGIES DANS LE DIAGNOSTIC DES MALADIES INFECTIEUSES ET LE DÉVELOPPEMENT DES VACCINS CHAPITRE 1.1.7. LES BIOTECHNOLOGIES DANS LE DIAGNOSTIC DES MALADIES INFECTIEUSES ET LE DÉVELOPPEMENT DES VACCINS INTRODUCTION Les méthodes de biologie moléculaire ont de plus en plus d applications dans

Plus en détail

Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se

Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées

Plus en détail

CODE DE PROCEDURE POUR L IMPORTATION DE POUSSINS D UN JOUR ET DES OEUFS A COUVER DE L ESPECE DINDE

CODE DE PROCEDURE POUR L IMPORTATION DE POUSSINS D UN JOUR ET DES OEUFS A COUVER DE L ESPECE DINDE ROYAUME DU MAROC *************** MINISTERE DE L'AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL **************** DIRECTION DE l'elevage N 10/DE/DSA Rabat le 10 Février 2004 CODE DE PROCEDURE POUR L IMPORTATION DE

Plus en détail

CATALOGUE DE FORMATION. Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire. Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national

CATALOGUE DE FORMATION. Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire. Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire 2015 Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national CATALOGUE DE FORMATION Enregistré sous le numéro 53350863735 auprès du Préfet

Plus en détail

LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention

LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC

Plus en détail

Etat des lieux du crédit à la consommation en France

Etat des lieux du crédit à la consommation en France Etat des lieux du crédit à la consommation en France Un marché en cours de mutation? Référence du document : Athling_Crédit à la consommation en France_121018_App.ppt 21 octobre 2012 Page 1 Qui a dit?

Plus en détail

Qualité Sécurité Environnement

Qualité Sécurité Environnement Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...

Plus en détail

Aides à Domicile. Projet de prévention pour les. 10 juin 2010. Journée de la Santé au Travail Agen

Aides à Domicile. Projet de prévention pour les. 10 juin 2010. Journée de la Santé au Travail Agen Comité Interentreprises pour la Santé au Travail de Lot-et-Garonne Projet de prévention pour les Aides à Domicile 10 juin 2010 Journée de la Santé au Travail Agen 1 Plan de l'exposé Avant-propos sur cette

Plus en détail

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses INTRODUCTION H.A.C.C.P. ou A.R.M.P.C. L Analyse des risques et maîtrise des points critique La nouvelle réglementation en matière d hygiène (ar. 09 mai 1995 et ar. 29 septembre 1997) oblige les responsables

Plus en détail

MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques

MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques E. MARENGUE ( LDA22 ) et S. HULOT ( IDAC ) PLAN 1) La problématique 2) Les évolutions règlementaires 3) L échantillonnage : étape clé 4) Les techniques

Plus en détail

Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème

Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes Mais, que dois-je savoir? Pour rattraper un cours manquant, retrouve-le sur le site du collège dans la rubrique «enseignements» : http://colleges.acrouen.fr/courbet/spipuser/

Plus en détail

DOCUMENTS : LES RAPPORTS LOCATIFS

DOCUMENTS : LES RAPPORTS LOCATIFS DOCUMENTS : LES RAPPORTS LOCATIFS la fin du bail : renouveler le bail, quitter le logement le loyer : fixation, augmentation, paiement du loyer un bail écrit pour quoi faire? Un contrat écrit clarifie

Plus en détail

Marquage CE et dispositifs médicaux

Marquage CE et dispositifs médicaux Marquage CE et dispositifs médicaux Références officielles Trois principales directives européennes réglementent la mise sur le marché et la mise en service des dispositifs médicaux : la directive 90/385/CEE

Plus en détail