BULLETIN CLIMATIQUE GLOBAL n 211 Janvier 2017

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1 BULLETIN CLIMATIQUE GLOBAL n 211 Janvier 2017 I. DESCRIPTION DU SYSTEME CLIMATIQUE I.1. Analyse océanique I.2. Analyse de la circulation atmosphérique I.2.a Circulation Générale I.2.b Précipitation I.2.c Températures I.2.d Glace de mer II. PREVISIONS SAISONNIERES ISSUES DES MODELES CLIMATIQUES II.1. PREVISION OCEANIQUE II.1.a Température de surface de la mer (SST) II.1.b Prévisions Enso : II.2. PREVISION DE LA CIRCULATION GENERALE II.2.a Analyse globale II.2.b Les prévisions saisonnières sur l'hémisphère Nord II.3. IMPACT: PREVISIONS DE TEMPERATURE II.4. IMPACT : PREVISIONS DE PRECIPITATIONS II.5. DISCUSSION ET RECAPITULATIF II.5.a Les prévisions sur l'europe II.5.c Les prévisions pour l Outre-Mer II.5.c Prévision d activité cyclonique III. ANNEXE III.1. LES CENTRES DE PREVISIONS SAISONNIERES III.2. LES ZONES «NINO» ET LE SOI NB : pour un bulletin plus détaillé, vous avez accès sur le site à une version en anglais, en cliquant sur «english» (en haut à droite de la page d accueil), puis sur l onglet «Climate bulletin». DCSC BULLETIN CLIMATIQUE GLOBAL n 211 janvier /23

2 I. DESCRIPTION DU SYSTEME CLIMATIQUE (bilan du mois de novembre) I.1. ANALYSE OCEANIQUE Analyse des conditions en novembre : figures I.1.a, I.1.b, I.1.c, I.1.d Dans le Pacifique et autour du Continent Maritime: Le long de l'équateur et en surface : Structure Niña visible (léger renforcement à l'est de 180 ). Anomalie moyenne mensuelle de -0.6 C dans la zone Niño 3.4 : en-dessous du seuil la Niña. En subsurface, le réchauffement amorcé en octobre sur l'ouest du bassin (de la Nvelle- Guinée jusque vers 150/130 W) se poursuit en novembre : contribuera probablement à la mort de La Niña dans les prochains mois. Arrivée du refroidissement sur les côtes Sud-Américaines et d'amérique Centrale (entre 15 S et 15 N grosso modo). Ce qui est conforme à la chronologie normale du phénomène. Globalement, le contenu de chaleur est négatif de 180 jusqu'aux côtes équatoriennes. Sur le Pacifique Nord : PDO positive ( +0,53 selon NOAA ) qui se renforce suite au refroidissement du Pacifique nord-est en novembre. Dans l'océan Indien: poursuite de la diminution du contraste Est - Ouest, mais l'iod reste en phase négative (DMI = -0,2 en novembre selon MERCATOR-Océan). Maintien d'anomalies négatives de SST du sud de l'australie jusque vers l'archipel des Chagos. Le contenu de chaleur est toujours important le long de Sumatra et Java. Sur l'atlantique : Réchauffement du centre de l'atlantique nord entre 30 N et 55 N. L'anomalie négative de SST de l'atlantique nord est toujours présente, bien que rabotée en novembre dans sa partie sud. Légères anomalies positives de SST persistantes sur l'atlantique tropical et équatorial, ainsi que la région Caraïbe. Sur la Méditerranée : Anomalies de SST globalement positives ; léger refroidissement sur l'ouest du bassin. DCSC BULLETIN CLIMATIQUE GLOBAL n 211 janvier /23

3 fig.i.1.a: Anomalies de températures de surface (SST) de l océan ( C). (référence GLORYS ). fig.i.1.b: Anomalies de température océanique sur les 500 premiers mètres du bassin Pacifique équatorial, moyennes mensuelles DCSC BULLETIN CLIMATIQUE GLOBAL n 211 janvier /23

4 fig.i.1.c: Evolution des anomalies de profondeur de la thermocline (m) (matérialisée par l isotherme 20 C) fig.i.1.d : Evolution des températures de surface de l océan Pacifique dans la boîte Niño I.2. ANALYSE DE LA CIRCULATION ATMOSPHERIQUE I.2.a Circulation Générale - Potentiel de vitesse (fig. I.2.a) : Anomalies de subsidence sur l'est du bassin Pacifique (compatible Niña), et d'ascendance plus à l'ouest (du continent maritime jusqu'en Nvelle-Zélande ; également compatible Niña). Les anomalies côté océan Indien sont compatibles avec la phase (encore) négative de l'iod. Les anomalies sur l'atlantique et l'afrique DCSC BULLETIN CLIMATIQUE GLOBAL n 211 janvier /23

5 sont sans doute à relier à la forte activité de la MJO en novembre dans ces régions (voir plus loin). - SOI Valeur encore négative en novembre (-0,1 en standardisé, cf. ), ce qui est le reflet une Niña de faible intensité (on devrait avoir un SOI positif pour une forte Niña). Les alizés sont renforcés sur l'ouest du Pacifique (cf. ). Globalement, cette Niña a des impacts faibles sur la circulation atmosphérique Pacifique. - MJO (fig. I.2.b) : Activité forte de la MJO (quasiment un tour de globe au mois de novembre), en particulier cadrants 7 et 8 (du Pacifique ouest à l'afrique). - Fonction de courant (fig. I.2.c) : Anomalies essentiellement liées à la dynamique extratropicale. Pas de téléconnections visibles des tropiques vers les latitudes extratropicales. - géopotentiel à 500hPa (fig. I.2.d) : Anomalies positives sur le Canada, l'atlantique nord (dorsale Atlantique. 210% de régime de dorsale Atl. en novembre) et la moitié est de l'arctique : PNA = +1,4 (on devrait avoir PNA négative en Niña...), NA0 = -0,3 pas très active, EA = -0,4 nouveauté car était positif depuis des mois. I.2.b Précipitations (fig 1.2.e.1 et 1.2.e.2) Hormis sur le Pacifique et les côtes sud-américaines, les impacts Niña sont absents. DCSC BULLETIN CLIMATIQUE GLOBAL n 211 janvier /23

6 I.2.c Températures (fig I.2.f.1 et I.2.f.2) Très chaud au Canada, froid en Sibérie. A noter les anomalies positives exceptionnelles sur l'arctique (liées à un englacement tardif -voir plus bas). I.2.d Glace de mer (fig I.2.g et I.2.h) Ce mois de novembre 2016 risque fort de rester dans les mémoires des climatologues. Simultanémént l'arctique et l'antarctique ont connu leur mois de novembre de plus faible extension des glaces depuis le début des mesures satellites ( ). Et de très loin. La situation est tout-à-fait inédite et mérite donc d'être surveillée de très près. En global, la planète Terre a connu en novembre un record bas d'extension des glaces de mer depuis le début des mesures satellites (fin des années 1970). En Arctique : déficit d'extension en record pour un mois de novembre (3,2 déviation standard!). En particulier, Mer de Barents, mer de Kara et mer des Tchouktches. Voir En Antarctique : le déficit d'extension est dramatiquement record pour un mois de novembre (5,7 déviation standard!). Voir fig.i.2.a: Anomalies de potentiel de vitesse à 200 hpa et de vent divergent associé DCSC BULLETIN CLIMATIQUE GLOBAL n 211 janvier /23

7 . fig.i.2.b: indices MJO fig.i.2.c: Anomalie de fonction de courant à 200 hpa DCSC BULLETIN CLIMATIQUE GLOBAL n 211 janvier /23

8 fig.i.2.d: Altitudes et anomalies de géopotentiel à 500hPa (Météo-France) fig.i.2.e.1: Anomalies de précipitations (mm) calculées par rapport aux normales fig.i.2.e.2 : absolute anomaly of precipitation in the RA VI Region (Europe), data from GPCC (Global Precipitation Climatology Centre), DCSC BULLETIN CLIMATIQUE GLOBAL n 211 janvier /23

9 janvier-février-mars 2017 fig.i.2.f.1: fig.i.2.f.1 Anomalies de température ( C) calculées par rapport aux normales fig.i.2.f.2: Gauche: anomalies de température sur la région RA VI (Europe). Droite : anomalies normalisées de température par rapport aux normales DCSC BULLETIN CLIMATIQUE GLOBAL n 211 janvier /23

10 fig.i.2.g: Etendue des glaces de mer en Arctique, et en Antarctique. Le trait rose indique l étendue moyenne (sur la période ). fig. I.2.h : Evolution de l étendue des glaces de mer selon le NSIDC II. PREVISIONS SAISONNIERES POUR OCTOBRE-NOVEMBRE-DECEMBRE 2016 ISSUES DES MODELES CLIMATIQUES II.1.a Température de surface de la mer (SST) (fig II.1.a) - Dans le Pacifique : les modèles sont globalement en bon accord avec le retour progressif à un état neutre dans le rail équatorial, avec une chronologie plus ou moins rapide (CEPMMT un peu plus rapide que les autres). Au cours du printemps DCSC BULLETIN CLIMATIQUE GLOBAL n 211 janvier /23

11 boréal, ou en début d'été, on ne devrait plus parler de la Niña. Les anomalies de SST faiblissent dans le rail. - Océan Indien : l'indice DMI (différences entre les SST de l'ouest et de l'est de l'océan indien tropical) devrait retourner vers des valeurs positives ou nulles, traduisant la fin de la phase négative de l'iod. - Océan Atlantique : Pour l'atlantique nord, persistance de l'anomalie négative du bassin central plus ou moins prévue par les modèles. L'Atlantique équatorial devrait être plus chaud que la normale (ARPEGE, CEPMMT), ce qui sugère le probable développement d'un Niño Atlantique (en général il intervient 18 mois après son grand frère du Pacifique). L'Atlantique tropical nord devrait quant à lui retourner vers des valeurs normales (ARPEGE et NCEP ; CEPMMT encore un peu chaud). II.1.b Prévisions Enso : (fig II.1.b) Phase prévue : La Niña faible en évanescence. La tendance sur JFM 2017 est au retour progressif vers des conditions neutres (indice Nino3.4 > -0.5 C). fig.ii.1.a: Prévision d anomalies EUROSIP de SST (en C) sur 3 mois. DCSC BULLETIN CLIMATIQUE GLOBAL n 211 janvier /23

12 fig.ii.1.b: Prévisions d'anomalies de SST dans la boîte Niño 3.4 par le multi-modèle EUROSIP II.2. PREVISION DE LA CIRCULATION GENERALE Analyse globale des champs d anomalies de potentiel de vitesse et d anomalies de fonction de courant à 200 hpa (fig.ii.2.a.1 et II.2.a.2) : - Potentiel de vitesse : ARPEGE S5 et CEPMMT très cohérent sur Atlantique et Pacifique (ARPEGE S5 ne propose quand même pas la petite anomalie d'ascendance présente dans CEPMMT au nord de la Nvelle-Guinée), mais pas sur l'indien (CEPMMT semble réagir fortement aux anomalies de SST négatives présentes dans sa prévision sur le centre de cet océan). Réponse plutôt type la Nina, sinon. Le modèle de la JMA propose exactement le même schéma que CEPMMT. La réponse sur l'atlantique pourrait être la conséquence des anomalies positives de SST sur l'océan équatorial (Nino Atlantique en cours de développement?). - Fonction de courant : la réponse est peu marquée. ARPEGE S5 et CEPMMT divergent souvent : ARPEGE propose une vague réponse style PNA-, ce que ne propose pas CEPMMT. Sur le continent nord-américain, l'atlantique nord et la Méditerranée, ces 2 modèles divergent notablement. Le modèle de la JMA part sur les mêmes structures que CEPMMT. Sur l'atlantique tropical, il y a plutôt consensus DCSC BULLETIN CLIMATIQUE GLOBAL n 211 janvier /23

13 entre les 3 modèles (impacts du Nino Atlantique?). Mais les téléconnections vers les plus hautes latitudes sont très faibles et non positionnées aux mêmes endroits... Les prévisions saisonnières sur l'hémisphère Nord de géopotentiel à 500 hpa (fig II.2.b et II.2.c) Les modèles ARPEGE, CEP et JMA sont en accord pour prévoir une anomalie positive de Z500 sur le bassin arctique, avec donc un vortex polaire affaibli. En revanche pour l'atlantique nord et l'europe occidentale, les modèles divergent. La téléconnexion depuis l'atlantique tropical ne se traduit pas clairement sur l'europe en Z500. Sur l'atlantique nord, CEP semble favoriser une circulation type EA- et surtout régimes de dorsale Atlantique (avec une phase AO- et très faible avantage à NAO-), ARPEGE (S4 et S5 d'ailleurs...) propose EA+ mâtiné de Blocage Scandinave (et aussi tend un peu vers le NAO+), la JMA privilégie une circulation moyenne méridienne de type dorsale Atlantique avec un beau minimum sur la France (et aussi AO-). L'examen des prévisions de Z500 des 8 GPC disponibles à ce jour ne dégage pas de consensus massif mais il existe quand même une majorité des modèles (6/8) qui propose plutôt une circulation type EA+/NAO+. Par ailleurs, sur cet ensemble de modèles, la plupart développent aussi une structure de PNA- (qui est compatible avec un ENSO-) relayée par le mode EA+ sur l'atlantique (probablement forçage dû à l'atlantique équatorial chaud). Cette configuration semble crédible. DCSC BULLETIN CLIMATIQUE GLOBAL n 211 janvier /23

14 fig.ii.2.a.1.: Prévisions d'anomalies du potentiel de vitesse χ (plages de couleurs) et de la fonction de courant ψ (isolignes - rouges positives, bleues négatives) à 200 hpa DCSC BULLETIN CLIMATIQUE GLOBAL n 211 janvier /23

15 fig.ii.2.a.2 : Prévisions de la JMA. A gauche, anomalies du potentiel de vitesse χ (plages de couleurs) et à droite anomalies de la fonction de courant ψ (plages de couleurs) à 200 hpa fig.ii.2.b : Anomalies de géopotentiel à 500 hpa prévues pour la période : en haut ARP5 en bas CEP DCSC BULLETIN CLIMATIQUE GLOBAL n 211 janvier /23

16 fig.ii.2.c : Prévision de l'anomalie des occurrences des régimes pour la période par les modèles de Météo-France et du CEPMMT: les barres pour chacun des 4 régimes représentent l'anomalie (en pourcentage) de la fréquence d'excitation. II.3. IMPACT: PREVISIONS DE TEMPERATURE (fig II.3.a) Pour l'europe, les prévisions de T2M sont assez consensuelles. Signal chaud sur l'est de la Méditerranée. Conditions un peu moins chaudes sur l'ouest du continent. Pour la France, on peut miser sur un scénario plutôt chaud (20/30/50) fig.ii.3.a: Prévision multi-modèles probabiliste d'anomalies de température à 2m DCSC BULLETIN CLIMATIQUE GLOBAL n 211 janvier /23

17 fig.ii.3.a.1 et fig.ii.3.a.2: Prévision probabiliste d'anomalies de température à 2m : en haut ARP5, en bas CEP DCSC BULLETIN CLIMATIQUE GLOBAL n 211 janvier /23

18 II.4. IMPACT : PREVISIONS DE PRECIPITATIONS (fig II.3.b) Pour l'europe, pas de consensus. fig.ii.3.b: Prévisions probabilistes de précipitations d'eurosip pour la période (2 catégories, au-dessus et au-dessous de la normale les zones blanches correspondent à un signal neutre ou pas significatif). DCSC BULLETIN CLIMATIQUE GLOBAL n 211 janvier /23

19 II.5. DISCUSSION ET RECAPITULATIF II.5.a Les prévisions sur l'europe Températures : dégradé de faiblement chaud sur l'europe de l'ouest, vers plus chaud sur le bassin méditerranéen. Précipitations : Pas de scénario privilégié. DCSC BULLETIN CLIMATIQUE GLOBAL n 211 janvier /23

20 II.5.b Les prévisions pour l'outre-mer Elèments de grande échelle : - Antilles et Guyane: Des températures plus chaudes que la normale sont probables. Par contre, aucun scénario ne se dégage pour les précipitations - Saint-Pierre et Miquelon : Plus doux et plus humide que la normale probable. - Réunion et Mayotte : Les températures et les précipitations devraient être supérieures à la normale. - Nouvelle Calédonie : Des conditions plus chaudes que la normale sont probables. Par contre, aucun scénario ne se dégage pour les précipitations. - Wallis et Futuna : Plus chaud et plus humide que la normale - Polynésie : sur Les Marquises sans doute plus sec que la normale, et températures proches des normales. Pour la partie centrale de la Polynésie (archipels des Tuamotu et de la Société) pas de scénario privilégié pour les précipitations, et conditions plus chaudes que la normale probables. Pour les australes plutôt chaud et humide. DCSC BULLETIN CLIMATIQUE GLOBAL n 211 janvier /23

21 II.5.c Prévision d activité cyclonique Activité inférieure à la normale prévue sur l'océan Indien sud-ouest (Réunion, Mayotte), en accord avec l'anomalie de subsidence. fig.i.5.a: Prévision saisonnière de la fréquence des cyclones tropicaux réalisée par EUROSIP DCSC BULLETIN CLIMATIQUE GLOBAL n 211 janvier /23

22 I. ANNEXE I.1. LES CENTRES DE PREVISIONS SAISONNIERES A l heure actuelle, seuls quelques organismes réalisent ce type de prévisions à l aide de modèles climatiques. Ces prévisions utilisent la technique de prévisions d ensembles. Elles sont en général présentées sous forme probabiliste. Les modèles utilisés ont des résolutions de l ordre de 100 km, ce qui veut dire que des anomalies prévues d extension géographique limitée auront tendance à être du bruit. Les prévisions sont en général de meilleure qualité pour la température que pour les précipitations, et meilleures en hiver (de l hémisphère considéré) qu en été. Afin d interpréter au mieux les différentes productions, il est fortement recommandé de consulter les cartes ou graphiques indiquant les performances passées du modèle considéré, par exemple sur la période d un exercice d inter-comparaison de modèles, ou d une ré-analyse. Pour ARPEGE, voir : En particulier, les performances des modèles sont très faibles en été sur l Europe de l ouest en raison de la faible prévisibilité sur cette zone à cette période de l année. Les produits de Météo-France sont mis à jour le 1 er du mois. Les prévisions saisonnières du modèle couplé résultent d un ensemble de 41 prévisions du modèle ARPEGE-CLIMAT couplé avec le modèle d océan OPA, issues d analyses atmosphériques (CEP) et océaniques (MERCATOR) décalées. La production graphique inclut des produits pour différents paramètres : anomalies normalisées, test de Student sur la significativité de la moyenne et ensemble de prévisions de nature probabiliste et déterministe. Les anomalies sont calculées à partir de la climatologie du modèle sur la période la plus récente de l expérience de référence : Des explications complémentaires sont disponibles en interne sur le site permettant d'accéder aux prévisions saisonnières ( ). Pour le CEPMMT, voir : Les prévisions sont disponibles le 7 du mois. La climatologie du modèle est calculée sur la période Pour le Met Office, voir : Pour le NCEP, voir : Pour EUROSIP, voir : Les produits sont disponibles le 15 du mois. Pour l IRI, voir : pour une approche régionale DCSC BULLETIN CLIMATIQUE GLOBAL n 211 janvier /23

23 pour une approche globale par trimestre Pour le JMA, voir : Ce bulletin rassemble tous les produits disponibles le 20 du mois précédent le trimestre prévu. Notons également le site qui abrite les données des «WMO Lead Center» (dont Météo-France fait partie avec son modèle Arpège). Ce site est alimenté par plusieurs centres de prévisions saisonnières qui vérifient certaines conditions (mis à disposition de prévisions saisonnières régulières, faites par un modèle dont on fournit les scores, etc.). I.2. LES ZONES «NINO» ET LE SOI Les phénomènes El Niño et La Niña affectent les régions tropicales du Pacifique et leurs effets se remarquent sur la température de la mer de certaines zones bien particulières. Un bon moyen de mettre en évidence ces phénomènes est de moyenner la température de surface de la mer sur ces zones, définies comme suit : - Niño 1+2 : 0 /10 S 80W-90W ; c est la région qui, en général, se réchauffe la première lors du développement d un événement El Niño. - Niño 3 : 5 S/5 N 90W-150W ; c est la région du Pacifique qui affiche la plus grande variabilité de la SST aux échelles de temps interannuelles. - Niño 4 : 5 S/5 N 160E- 150W ; c est la région où les changements dans la SST semblent les plus fortement reliés aux modifications de la convection dans le Pacifique équatorial. - Niño 3.4 : 5 S/5 N 120W-170W ; c est un (bon) compromis entre la variabilité importante et le changement sur les précipitations. Associé aux phénomènes océaniques «El Niño / La Niña» et compte-tenu du fort couplage océan atmosphère dans ces régions, il existe également un comportement atmosphérique caractéristique qui est suivi au moyen d un indice dit SOI (Southern Oscillation Index). Cet indice est calculé comme la différence des pressions normalisées entre Tahiti et Darwin (cf. figure précédente). Il est directement représentatif de la circulation zonale de Walker et présente un signe inversé avec la SST : lorsque l anomalie du SOI est positive (respectivement négative), la circulation zonale de Walker est renforcée (respectivement affaiblie) et l anomalie de SST dans les boîtes Niño est négative (respectivement positive). DCSC BULLETIN CLIMATIQUE GLOBAL n 211 janvier /23

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