PENICILLIOSE ET SIDA : A PROPOS DE 12 CAS DIAGNOSTIQUES AU CENTRE DES MALADIES TROPICALES, HO CHI MINH VILLE, VIETNAM.
|
|
- Lionel Sévigny
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 PENICILLIOSE ET SIDA : A PROPOS DE 12 CAS DIAGNOSTIQUES AU CENTRE DES MALADIES TROPICALES, HO CHI MINH VILLE, VIETNAM. Huynh Thi Xuan Tuyet (*), Do Minh Trung (**), Dinh Nguyen Huy Man (**), Nguyen Huu Chi, (**), Sophie Odermatt-Biays (*), Antoine Degrémont (*) (*) Institut de la Francophonie pour la Médecine Tropicale (IFMT), Vientiane RDP Lao. (**) Centre des Maladies Tropicales (CMT), Hô Chi Minh-ville, Vietnam. RESUME En 5 mois (mai - septembre 2001), ont été recueillies 12 observations de pénicilliose diagnostiquées parmi 273 patients atteints de VIH/SIDA hospitalisés au Centre des Maladies Tropicales à Hô Chi Minh-ville, Vietnam. L analyse de ces observations permet d'approcher les caractéristiques épidémiologiques, cliniques, biologiques et thérapeutiques de l infection à Penicillium marneffei au Sud du Vietnam. Les manifestations cliniques sont variées et notamment prédominantes dans le système réticulo-endothélial. L infection s annonce par une fièvre élevée et prolongée qui pousse les patients à consulter. Les lésions cutanées sont essentielles pour établir le diagnostic. Le diagnostic de laboratoire se base sur la présence de levures dans les macrophages et est confirmé par l hémoculture. Le traitement est relativement efficace par les antifongiques courants. Une amélioration est observée dans la plupart des cas mais le pronostic est très sombre en cas d hospitalisation tardive. INTRODUCTION La pénicilliose à Penicillium marneffei est une infection systémique, due à un champignon dimorphique endémique en Asie du Sud-Est [1, 2]. Ce champignon a été isolé pour la première fois chez le rat de bambou au Vietnam en 1956 par G. Ségrétain [3]. En 1959, G. Ségrétain est devenu le premier cas humain décrit de l infection à P. marneffei après s être accidentellement inoculé le champignon avec une aiguille [3]. Cette affection devient de plus en plus fréquente en Asie notamment en Thaïlande, au Sud de la Chine, à Hong Kong, au Cambodge et aussi au Vietnam [4] en raison de l augmentation drastique de l infection par le VIH. Dans les pays occidentaux, la pénicilliose a été importée par des immigrés atteints de VIH originaires d Asie du Sud-Est et par des Page 1 sur 9
2 personnes ayant voyagé dans cette région [5] [6]. En Thaïlande, cette maladie représente actuellement la 3 ème cause d infection opportuniste chez les patients infectés par le VIH après la tuberculose et la cryptococcose [7]. Elle est aussi considérée comme un des critères diagnostiques du SIDA. L isolement de P. marneffei se fait généralement au niveau de la peau en présence de lésions cutanées, dans les ganglions, la moelle osseuse, le sang et les selles. Sa morphologie diffère selon la température. L examen microscopique direct à 37 C montre la présence d éléments arrondis de 3-5 micromètres de diamètre, levuriformes dans les macrophages [8]. Après deux jours de culture à 25 C dans le milieu de Sabouraud-Chloramphénicol, on peut voir apparaître des colonies duveteuses, pigmentées en rouge vif avec diffusion du pigment dans la gélose [8]. Le P. marneffei est un mycète fortement pathogène [5, 9, 10]. L atteinte des poumons et du système réticulo-endothélial est fréquemment observée [11, 12]. Les manifestations cliniques générales sont non spécifiques : fièvre, amaigrissement et anémie sont les plus fréquentes (75 % des cas) [11, 12] ; toux et dyspnée sont présentes dans 50% des cas [11, 12]. L atteinte cutanée se présente sous forme d éruption papuleuse généralisée ; une nécrose centrale est observée dans 75% des cas [13, 14]. Ces lésions cutanées prédominent surtout au visage, mais peuvent aussi se retrouver aux membres. Cette maladie est presque toujours mortelle en l absence de traitement pour les patients VIH (+) [15]. Le traitement par antifongique n est efficace qu en cas de diagnostic précoce (guérison dans 80% des cas) [16, 17, 18]. L itraconazole est plus efficace que les autres antifongiques [19]. PATIENTS ET METHODES Sélection des patients : Tous les patients hospitalisés au CMT entre mai et septembre 2001 présentant : - une sérologie VIH (+) confirmée par un test rapide et deux tests ELISA et - une infection à P. marneffei, confirmée par l examen direct des prélèvements pathologiques et/ou par l hémoculture. Méthode d étude des cas : recueil de l anamnèse, des facteurs de risque, des antécédents, des descriptions de l examen clinique et des résultats des examens complémentaires selon une procédure standardisée. RESULTATS Page 2 sur 9
3 Pendant la période d observation de 5 mois, patients ont été hospitalisés au CMT. Parmi les 273 patients VIH (+) hospitalisés, 12 présentaient une infection à P. marneffei confirmée. Parmi ces 12 patients, la recherche de P. marneffei a été effectuée chez 10 d entre eux en raison de lésions cutanées. En effet, tous les patients VIH (+) présentant des lésions cutanées ont eu une recherche systématique de pénicilliose et de cryptococcose simultanément. Pour 2 patients, la mise en évidence de P. marneffei a été fortuite dans des hémocultures à l occasion d une recherche de cryptococcose pour l une et en raison d un échec de traitement pour l autre. A. PROFIL GENERAL DES PATIENTS L âge moyen des patients était de 28 ans (extrêmes : ans) avec une prédominance marquée d hommes (11 soit 92%). Moins de la moitié des patients étaient sans emploi (5 soit 42%). Parmi les autres on trouve 3 riziculteurs, 3 ouvriers et un serveur de bar. La plupart des patient habitent à Ho Chi Minh-ville (7 soit 58%). Les autres sont originaires des provinces du Sud du Vietnam (Vung Tau, Long An, Tay Ninh, Can Tho et An Giang). Parmi ces 12 patients, il y en avait 11 (soit 92%) qui avaient eu des rapports sexuels non protégés ; 5 (soit 42%) étaient des toxicomanes (parmi lesquels, 4 appartenaient aussi au 1 er groupe) ; 5 patients (soit 42%) ont eu un antécédent de tuberculose pulmonaire ; 4 cas (soit 33%) ont eu une très probable exposition aux rats de bambou (existence de rats de bambou et/ou de plantations de bambous dans leur environnement). B. CARACTERISTIQUES CLINIQUES Le délai moyen entre la première manifestation (habituellement la fièvre) et le diagnostic est de 26 jours (extrêmes : jours). Les symptômes avant l hospitalisation sont présentés dans le tableau 1. Tableau 1 : Symptômes avant l hospitalisation : Symptômes Fréquence % Fièvre 12/ Lésions cutanées 10/12 83 Amaigrissement 10/12 83 Toux 7/12 58 Diarrhée 7/12 58 Céphalées 1/12 8 Nausées/vomissements 1/12 8 Torpeur 1/12 8 Page 3 sur 9
4 Le cas présentant céphalées, nausées/vomissements était atteint d une méningite cryptococcique simultanée. Les signes cliniques observés lors de l examen physique réalisé à l hôpital sont présentés dans le tableau 2. Tableau 2 : Signes cliniques des patients VIH (+) infectés par P. marneffei : Signes cliniques Fréquence % Fièvre (moyenne de 39 C) associée souvent à des frissons 12/ Lésions cutanées (voir les photos) 10/12 83 Mycose buccale 10/12 83 Poly-adénopathies (principalement cervicales) 8/12 66 Hépatomégalie (flèche hépatique > 15 cm) 7/12 58 Splénomégalie (degré I, II, III, et IV selon classification de Hackett) 7/12 58 Ictère 7/12 58 Anomalies pulmonaires à l examen (surtout les râles humides) 6/12 50 Syndrome méningé (méningite cryptococcique associée) 1/12 8 Adénites 1/12 8 Torpeur 1/12 8 La candidose buccale a été diagnostiquée d'après son aspect clinique d'enduit blanchâtre sur la langue. L hépatomégalie et la splénomégalie ont été confirmées par l échographie. Les lésions cutanées étaient distribuées sur l ensemble du revêtement cutané mais prédominantes au visage soit sous forme de pustules, d'ulcères saignant à diamètre variable (0,5 1 cm) (voir annexe : photo N 1) soit sous formes d'ulcères non douloureux, non prurigineux (voir annexe : photo N 2) et soit sous formes acnéiques (voir annexe : photo N 3). C. EXAMENS DE LABORATOIRE: Examen de laboratoire Fréquence % Anémie (Hb <7.3 mg% en moyenne) 11/12 92 Leucopénie (4870/mm 3 en moyenne) 4/12 33 Thrombopénie (100000/mm 3 en moyenne) 6/12 50 Anomalies radio-pulmonaires 4/7 57 Mise en évidence de P. marneffei dans les échantillons pathologiques 10/ Page 4 sur 9
5 Mise en évidence de P. marneffei par hémoculture 12/ La radio-pulmonaire a été faite chez 7 patients qui présentaient une toux (y compris les 5 patients ayant un antécédent de tuberculose pulmonaire). Les anomalies pulmonaires étaient le plus souvent des infiltrats nodulaires et/ou réticulaires. Le nombre moyen des lymphocytes CD4 était de 4 éléments/mm 3. Cette numération n a été faite que chez 4 patients. D. TRAITEMENT ET EVOLUTION Ces 12 patients ont été traités par des antifongiques : 10 par l itraconazole (Sporal ), 1 par l amphotéricine B associée au fluconazole (le cas associé à la cryptococcose) et 1 par le kétoconazole (Nizoral ). 1. Itraconazole : (n = 10) Ces patients ont reçu un traitement de 7 jours à la dose de mg/jour. L ensemble des symptômes et signes cliniques se sont estompés en 6 jours en moyenne dans la plupart des cas (8/10 des cas). La fièvre a disparu au cours de la première semaine. Les lésions cutanées se sont cicatrisées en une semaine. La toux, l'enduit blanchâtre de la langue et la diarrhée ont diminué progressivement mais ont persisté plus longtemps. L ictère et les spléno-hépatomégalies persistaient jusqu à la sortie des patients. Il y a eu un cas de décès au 6 ème jour de traitement (celui du patient hospitalisé en état de torpeur 30 jours après le début des symptômes). 2. Amphotéricine B + Fluconazole (n = 1). Ce cas présentait aussi une méningite cryptococcique. Ce patient a reçu un traitement de 34 jours d amphotéricine B à la dose de 0,33 mg/jour (par voie intraveineuse) et de fluconazole à la dose de 450 mg/jour. La fièvre a diminué progressivement et a cessé après 2 semaines de traitement. Les céphalées se sont estompées au cours de la 4 ème semaine. 3. Kétoconazole : (n = 1) Le patient a reçu ce médicament pendant 14 jours à la dose de 400mg/jour. La fièvre et les lésions cutanées ont disparu lors de la 2 ème semaine. Page 5 sur 9
6 DISCUSSION ET CONCLUSION Le nombre de patients diagnostiqués et traités dans cette série est limité. Il n est donc pas possible d en tirer de grandes conclusions. Cependant, celle-ci permet de faire quelques remarques sur cette infection dans le contexte du CMT. 1. Epidémiologie : La fréquence de cette maladie augmente avec la prévalence de l infection par le VIH au Vietnam, comme en témoignent ces observations. La plupart des patients sont des jeunes hommes habitant à Ho Chi Minh-ville. Une exposition aux rats de bambou ou aux bambous n est pas démontrée chez tous les patients. Par conséquent, la source d infection de P. marneffei dans l environnement reste un problème non résolu. La moitié des cas possède un antécédent de tuberculose pulmonaire. La tuberculose pulmonaire pourrait être un facteur de risque pour le développement du P. marneffei si la voie aérienne était la voie de contamination privilégiée. Cependant l'importance de la tuberculose dans le SIDA peut aussi conduire à une association fortuite. 2. Clinique et para clinique : Le délai moyen entre la première manifestation et l hospitalisation est de 26 jours. Les patients ont toujours une fièvre élevée intermittente associée souvent à des frissons. La présence de lésions cutanées est très évocatrice du diagnostic. Ces lésions apparaissent sous forme de papules, de pustules, d ulcère ou d acné et sont prédominantes au visage. Elles ne sont ni douloureuses ni prurigineuses. Le tropisme pour le système réticulo-endothélial prévaut pour ces patients. L adéno-spléno-hépatomégalie et l anémie se rencontrent dans la plupart des cas. Ces critères pourraient être mieux exploités comme critères diagnostiques. Des anomalies à l examen des poumons et des infiltrats nodulaires ou réticulaires sur la radiographie pulmonaire sont souvent observées. Ces anomalies sont non spécifiques et évoquent d autres maladies opportunistes. En effet, il y avait 2 cas diagnostiqués de façon fortuite par hémoculture : l un pour fièvre prolongée et inefficacité des antibiotiques à large spectre et l autre était associé à une cryptococcose méningée. La recherche de pénicilliose n étant pas faite systématiquement sur les hémocultures, il est donc possible que d autres cas soient méconnus. La plupart de ces patients sont hospitalisés au stade terminal du SIDA avec altération grave de l état général. Le nombre de lymphocytes de type CD4 est très bas. Un patient est mort 5 jours après le début du traitement dans un état septicémique grave. Page 6 sur 9
7 La mise en évidence des levures dans les phagocytes à l examen direct et l identification morphologique de ce champignon par l hémoculture sont les principaux examens de diagnostic. 3. Traitement : Ces patients témoignent d une réponse relativement favorable aux antifongiques (Itraconazole, Sporal ). Cependant, en cas d hospitalisation tardive, le risque de mortalité est élevé (1 ou 8,5%). En conclusion, l infection à P. marneffei est une infection opportuniste présente dans le sud du Vietnam. Au CMT d Ho Chi Minh-ville, elle est évoquée devant les signes d appel cutanés ou parfois découverte fortuitement à l occasion de la recherche d une autre mycose. Elle est probablement sous-estimée mais ceci reste à démontrer. La prise en compte des signes d atteinte du système réticulo-endothélial (hépato-splénomégalie, adénopathie et anémie voire pancytopénie) devraient faire évoquer et rechercher plus souvent ce diagnostic. Dans notre série, l interrogatoire à la recherche de facteurs de risque (exposition aux rats de bambou, antécédent de tuberculose ) n est pas concluant et nécessiterait une étude cas-témoins. Un test sérologique sensible, spécifique et peu onéreux permettrait un diagnostic précoce de pénicilliose et donc augmenterait la chance de survie des patients. REMERCIEMENTS Nous remercions vivement la direction du Centre des Maladies Tropicales d Hô Chi Minh-ville, Vietnam pour son autorisation à la réalisation de ce travail. Nous remercions également le Professeur Tran Vinh Hien pour son aide en mycologie. REFERENCES 1. Deng Z, Connor D H. Progressive disseminated penicilliosis caused by Penicillium marneffei. Am. J. Clin. Pathol ; 84 : Divalso A F, Fickling AM, Ajello L. Infection caused by Penicillium marneffei: description of first natural infection in man. Am. J. Clin. Pathol ; 60 : Segretain G. Description d une nouvelle espèce de penicillium : Penicillium marneffei, n sp. Bull Soc. Fr. Mycol. Med., 1959 ; 75 : Thira Sirisanthana Infection par Penicillium marneffei chez les patients atteints de SIDA. Sommaire des panneaux des conférences infectieuses à Atlanta, la Géorgie, S, Université De Chiang Mai, Chiang Mai, Thaïlande. Page 7 sur 9
8 5. Ancelle T, Dupouy Camet J., Pujol F, Nassif X., Ferradi L., Choudat L et al. A case of disseminated Penicillium marneffei penicilliosis in a patient with acquired immunodeficiency syndrome. [letter]. Presse Med ; Ruxrungtham K, Phanuphak P. Update on HIV/AIDS in Thaïland. J Med Assoc Thai 2001, Jun. Vol. 84, Suppl 1: Fortune S, Penicillium marneffei. Harvard Infectious Disease, Conference, Wednesday, 2001, March Grise G, Aouar M, Brasseur P. Infection à Penicillium marneffei : une pathologie à connaître. Annales de Biologie Clinique. Pratique quotidienne. Thaïlande. 1997, Vol. 55, n 3 : Chang KC et al. Penicillium marneffei infection and solitary pulmonary nodule. HKMJ, 1998, Vol. 4, n 1: Liu M Wong K, Fung CP. Disseminated Penicillium marneffei infection with cutaneous lesions in an HIV-positive patient. Br. J. Dermatol. 1994, 131: Supparatpinyo K, Chiewchanvit S, Hinrunsri P, Uthammachai C., Nelson KE, Siri santhana T. Penicillium marneffei infection in patients infected with human immunodeficiency virus. Clin. Infect. Dis ; 14 : Drouhet E. Penicilliosis due to Penicillium marneffei: a new emerging mycosis in AIDS patients travelling or living in Southeast Asia. Review of 44 cases reported in HIV infected patients during the last 5 years compared to 44 cases HIV negative patients reported over 20 years. J. Mycol. Med ; 3 : Romania OA et al. Rapport des cas de pénicilliose. Pénicilliose pulmonaire à Penicillium marneffei chez un patient atteint d un syndrome immunodéficitaire acquis. Deuxième cas français. Bull. Soc. Fr.myc. méd. 1989, 19, n 2 : Tsui, W M S, K F Ma, and Tsnag, D NC. Disseminated penicillium marneffei infection in HIV infected subject. Histopathology. 1992, 20 : Kaufman L, Standard PG, Jalbert M, Kantipong P, Limpakarnjanarat K, Mastro TD. Diagnostic antigenemia tests for penicilliosis marneffei. J Clin Microbiol ; 34 : Dromer F., Dupont B. Hunter s Tropical Medicine and Emerging Infections Diseases. Eighth Edition, 2000, Bulmer G S. Fungus diseases in the orient. Rex Bookstore. 3 rd edition, 1995 : Germain Guy-St, B Sc. Mycologie. Répertoire de conférences Page 8 sur 9
9 19. Iserm SC10. Etude internationale randomisée ouverte de Phase III de l Interleukine-2 recombinante (Proleukin) administrée par voie sous-cutanée chez des patients infectés par le VIH-1 ayant une numération de CD cellules/mm3. Résumé du protocole. Version du 8/09/2000. Légendes des photos Photo n 1 : Lésion cutanée à P. Marneffei à type de pustule, d ulcère saignant Photo n 2 : Lésion cutanée à P. Marneffei à type d ulcère. Photo n 3 : Lésions cutanées à P. Marneffei de type acnéiforme. Page 9 sur 9
Leucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailLes Arbres décisionnels
Les Arbres décisionnels Les aides à la décision plainte-traitement (ou arbres décisionnels ) sont tirés de travaux effectués dans le cadre de l Organisation Mondiale de la Santé. Ils sont destinés à soutenir
Plus en détailTrucs du métier. L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis. clinicien@sta.ca. Avez-vous un truc? Son épidémiologie et son expression
L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis Trucs du métier Son épidémiologie et son expression Le psoriasis est une maladie cutanée inflammatoire chronique qui touche de 1 % à 3 % de la population
Plus en détailTUBERCULOSE Nouveautés 2009
TUBERCULOSE Nouveautés 2009 Dr Grégoire Gex Rencontres Genevoises de Pneumologie Avril 2010 Introduction 6044 articles dans PubMed avec Tuberculose dans titre en 2009 Stratégie de recherche : Sélections
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailA. Bourgeois SMIT. CHRU de Montpellier
A. Bourgeois SMIT. CHRU de Montpellier Homme, 41 ans, sans ATCD Séjour en Guyane (Cayenne et alentours) du 28/12/19 au 12/01/10 Hospitalisé du 09 au 11/02/10 pour érysipèle d évolution défavorable sous
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailTransport des victimes d accidents par les taxis de Ho Chi Minh ville
Transport des victimes d accidents par les taxis de Ho Chi Minh ville Dr David TRAN Afravietmur Association Franco-Vietnamienne de médecine d urgence Assises de la coopération franco-vietnamienne Brest
Plus en détailDracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL)
Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) 2014 1 Table des matières Introduction... 3 1. Historique et actualité... 3 2. Agent pathogène et cycle... 4 3.
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailNormes canadiennes pour la lutte antituberculeuse
Normes canadiennes pour la lutte antituberculeuse 7 ième édition Chapitre 10 : La tuberculose et le virus de l immunodéficience humaine Normes canadiennes pour la lutte antituberculeuse, 7 ième édition
Plus en détailActualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris
Actualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris Des journées scientifiques pour accompagner l arrivée des nouvelles molécules qui vont modifier
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailLe psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se
Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées
Plus en détailI Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :
ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailINFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE
Livret LAM page 1 INFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE Dans certains cas les symptômes et le traitement peuvent différer de ce que y est présenté dans ce livret. A tout moment
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailLA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat
JFR 2007 LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat Xavier Heymans Avocat à la Cour de Bordeaux www.heymans-avocat.com INTRODUCTION Rejet de la fatalité Socialisation du risque Responsabilisation
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailQu est-ce que la peste?
Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Santé publique Qu est-ce que la peste? État : 1 juin 2008 Réponses aux questions fréquemment posées concernant
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes
Plus en détailLe contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation
Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailHépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach
Hépatite = inflammation du foie Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach 1 Hépatites virales chroniques 2 Histoire naturelle Hépatite aiguë Guérison Hépatite chronique
Plus en détailDes déficiences présentes
Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins
Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailNouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette forme rare et sévère d arthrite
Communiqué de presse Bâle, 18 avril 2011 La FDA homologue Actemra dans le traitement de l arthrite juvénile idiopathique systémique (AJIS) Nouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette
Plus en détailALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES
ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES R. Belhadj, R.Ahmed Nacer, F.Mehdid, M.Benakli, N.Rahmoune, M.Baazizi, F. Kaci, F.Harieche, F.Zerhouni,
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE
MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE AVIS DU COMITE TECHNIQUE DES VACCINATIONS / DU CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE PUBLIQUE DE FRANCE relatif à la vaccination par le vaccin
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailChristian TREPO, MD, PhD
PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailRendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte
Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte Il est prévu que les recommandations contenues dans ce document resteront valables jusqu
Plus en détailNouveautés dans Asthme & MPOC
Nouveautés dans Asthme & MPOC Dr Gilles Côté Pneumologue CSSSGatineau Pavillon de Hull 31 Janvier 2014 Conflit d intérêt Aucun 2 1 Objectifs A la fin de cette capsule, le participant pourra identifier
Plus en détail1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme
Situation n 2 : EN QUOI L EPIDEMIE DE CHIKUNGUNYA APPORTE T- ELLE DES CHANGEMENTS DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE? Séance n 1 : Le chikungunya Objectif : Prévenir le risque infectieux Tout d un coup, Adeline
Plus en détailDIAGNOSTIC SEROLOGIQUE DE LA SYPHILIS
DIAGNOSTIC SEROLOGIQUE DE LA SYPHILIS A-L. Basse-Guérineau 1,2 et le comité de relecture 3 1 Institut de veille sanitaire ; 2 Laboratoire de virologie, Hôpital Saint-Vincent de Paul, Paris ; 3 N. Dupin
Plus en détailRecommandations de la Société de Pneumologie de Langue Française sur la prise en charge de la tuberculose en France
Recommandations de la Société de Pneumologie de Langue Française sur la prise en charge de la tuberculose en France Conférence d experts texte court Société de Pneumologie de Langue Française La Société
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailQue faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012
Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012 Conclusions provisoires rapport du HCSP juillet 2011 Valeur prédictive positive des
Plus en détailLettre à l éditeur. Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles. perspectives?
Lettre à l éditeur Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles perspectives? HIV Antiretroviral Drug Resistance: What s new in Mali? What is the future? Maiga AI 1,2, Sangare
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailVaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.
Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailMme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique
Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Une hépatite est une inflammation du foie causée soit par des substances toxiques (médicaments,
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailFigure 1a Wasmannia auropunctata (Ouvrière), morphologie. 1 millimètre
Figure 1a Wasmannia auropunctata (Ouvrière), morphologie. 1 millimètre Figure 1b Wasmannia auropunctata Taille relative et diversité morphologique (Reine et ouvrière) Figure 2 Wasmannia auropunctata (mâle
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailStratégies de dépistage des bactéries multirésistantes. Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA
Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes à l hôpital et en MRS: Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA Prof. Dr. Youri Glupczynski Unité d Hygiène hospitalière & Laboratoire de
Plus en détail