Crise financière : que peuvent faire les entreprises maintenant?
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- Antonin Boutin
- il y a 8 ans
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1 Crise financière : que peuvent faire les entreprises maintenant? Bernard Lietaer BLietaer@earthlink.net La crise bancaire a été à la Une des journaux pendant des mois, et le plus grand sauvetage de banques de tous les temps a été réalisé, à la dernière minute, mais pour le plus grand soulagement de tous. Cependant, la vraie économie, celle où les entreprises fabriquent, puis vendent des biens ou des services, sera sans aucun doute la prochaine victime de cette crise financière, dans ce que nous appelons la «seconde vague». Le problème de la «seconde vague» Quoi que les gouvernements fassent pour les banques, le crédit sera plus difficile à obtenir pour les entreprises dans les années à venir. Car, bien entendu, les gouvernements ne voudront ou ne pourront pas forcer les banques à prêter à l économie réelle. Le point le plus délicat de la situation actuelle est la nature simultanée de la crise bancaire. Quand une banque, voire l ensemble des banques d un pays, sont en crise, les entreprises en bonne santé économique peuvent trouver des crédits dans d autres banques ou pays. Mais quand le chaos est pratiquement généralisé dans le système financier, une autre dynamique se met en marche. L économie mondiale va entrer dans une récession simultanée, ce qui en retour va de nouveau affaiblir les bilans des banques, les conduisant à réduire une nouvelle vois les crédits, et ainsi de suite, en une longue et dangereuse spirale vers une récession, ou même vers une possible dépression qui pourrait durer une décennie. Réduire le portefeuille de prêts est une réaction logique pour chaque banque prise individuellement, mais quand elles le font toutes en même temps, cela approfondit le trou qui est collectivement creusé pour l économie mondiale et à la fin pour le système financier luimême. Ce que tout cela signifie, en pratique, c est que nous entrons dans une période de convergence sans précédent des quatre grandes tendances planétaires instabilité financière, changement de climat, chômage et société vieillissante qui ont été décrites dans mon précédent livre «The Future of Money» 1. Il est plus que probable que la crise actuelle va créer un schéma du type : deux ou trois pas en arrière pour chaque pas en avant. Chaque petit pas vers le haut (c'est-à-dire chaque amélioration temporaire) sera salué comme «la fin de la crise». Il est d ailleurs tout à fait compréhensible que les gouvernements, les banques et les régulateurs soient amenés à faire de telles déclarations optimistes, simplement parce qu affirmer le contraire ne ferait qu aggraver la situatio immédiate. Une fois que «l effet dominos» aura démarré dans l économie «réelle», quand une série de faillites aura eu lieu avec toutes les conséquences en termes de chômage et de problèmes sociaux, il va devenir encore plus difficile de l arrêter que celui du système bancaire. Les choix possibles pour le monde des affaires Il y a deux stratégies concevables pour les entreprises dans de telles circonstances : essayer d obtenir individuellement de l aide du gouvernement quand leur problème devient ingérable,
2 ou prendre l initiative de se sauver en coopérant entre elles pour mettre en place une solution systémique durable. La première option n est pas nouvelle. Cependant, il deviendra vite évident pour quiconque que cette approche ira rapidement «dans le mur». Les gouvernements, dans le monde entier, se sont saignés à blanc à une échelle inédite, juste pour sauver le système bancaire à tel point que le Financial Time se demande même si la panique d octobre 2008 «n est pas une crise de confiance non pas vis-à-vis des banques, mais en la capacité des gouvernements à les sauver» 4. Bref, attendre que les gouvernements soient en position de sauver des industries, même importantes, après avoir supporté le coût de sauvetage des banques, va ressembler de plus en plus à «attendre Godot». La seconde option, voir les entreprises prendre l initiative de se sauver elles-mêmes en coopérant, est donc clairement la meilleure voie à suivre. D autant plus qu il y a un précédent couronné de succès même s il est, de manière surprenante, peu connu, comme le montre l histoire suivante. Une histoire Il était une fois, pendant une crise telle que celle dans laquelle nous sommes engagés, seize hommes d affaires qui s étaient réunis pour décider ce qu ils pourraient faire entre eux. Ils avaient tous reçu, ou leurs clients avaient reçu, un avis de leurs banques respectives selon lequel leur ligne de crédit allait être réduite ou annulée. La faillite n était qu une question de temps. Ils se sont aperçus que l entreprise A avait besoin d un prêt de la banque pour acheter quelque chose de l entreprise B, qui à son tour avait besoin d argent pour payer ses propres fournisseurs. Ils ont donc décidé de monter un système de crédit entre eux, invitant leurs clients et fournisseurs à les rejoindre. Quand l entreprise A achète quelque chose de B, A reçoit un débit et B le crédit correspondant. Ils créent ainsi leur propre monnaie, dont la valeur est identique à la monnaie nationale, mais avec la caractéristique intéressante de ne pas avoir d intérêts associés. Une dette dans cette monnaie doit être remboursée par des ventes à un participant du système dans cette même monnaie. Les banques du pays montèrent une campagne de presse massive pour tenter d écraser cette idée révolutionnaire. Par miracle, cette campagne échoua et ce petit système sauva les entreprises qui y participaient. Une coopérative fut mise en place pour tenir les comptes liés à cette monnaie. Bientôt, les participants ont pu également emprunter à la coopérative dans cette monnaie, à un taux remarquablement bas de 1 à 1,5 %. Ces emprunts étaient garantis par des stocks, des biens immobiliers ou par d autres actifs, exactement comme dans les banques conventionnelles. Au fil du temps, le système grossit et finit par inclure un quart de toutes les entreprises du pays. Soixante cinq ans plus tard, un professeur américain publia une étude économétrique démontrant que le secret de la stabilité légendaire du pays était cette étrange monnaie non officielle, qui circulait dans les entreprises en parallèle de la monnaie nationale. Cette résilience économique était habituellement attribuée à une caractéristique nationale mystérieuse et inconnue. En fait, chaque fois qu il y avait récession, le volume d affaire dans cette monnaie non officielle augmentait significativement, diminuant de ce fait l impact négatif sur les ventes et l emploi. En période de boom, le volume d affaires en monnaie nationale augmentait, alors l activité dans la monnaie non officielle chutait. La conclusion surprenante de cette étude était que le comportement spontanément contra-cyclique de ce petit système aidait réellement la banque centrale du pays dans ses efforts pour stabiliser l économie.
3 Ce n est pas un conte de fées, mais l histoire vraie du système WIR. Le pays est la Suisse et les seize fondateurs se réunirent à Zurich en En trois mois il y eut 1700 participants, et au bout d un an de l ordre de 3000, liés par un catalogue de biens et services disponibles, classés en 850 catégories. Le volume annuel d affaires dans le système WIR est aujourd hui de 2 milliards de dollars par an, et le professeur américain est James Stodder de la Rensselaer University. Sa remarquable étude quantitative 5 utilise plus de 60 années de données chiffrées de haute qualité, pour prouver les affirmations de son histoire. Le professeur Tobias Studer de l Université de Bâle, (Suisse), a aussi écrit une petite monographie sur l histoire et les effets du WIR sur l économie nationale 6. La coopérative WIR a fait aussi quelques erreurs de démarrage, telle que prêter de la monnaie WIR sans garanties suffisantes, une erreur qui fut corrigée à temps. Le système WIR accepte maintenant des dépôts et fait des prêts en francs suisses et en WIR, et a doucement évolué vers une banque plus traditionnelle. Plus d informations sur le système WIR sont disponibles sur le web 7. Notre proposition Nous proposons que des entreprises prennent l initiative de créer de tels systèmes B2B à l échelle qui leur semble appropriée. Le grand avantage, en comparaison de ce qui s est produit en Suisse à l époque, est la disponibilité actuelle de technologies informatiques très peu coûteuses. Bâtir un tel système et lui donner une dimension telle qu il produise ses effets peut être réalisé maintenant beaucoup plus vite que dans les années 30. Et la rapidité d exécution va être un point critique, si on veut éviter les ravages économiques et sociaux qui pourraient survenir. Aux USA, un système à l échelle nationale serait justifié. En Europe, idéalement, un tel système devrait être capable d opérer dans toute la zone Euro. Sinon, nous risquerions de voir une grande partie des gains économiques acquis par l intégration de l Europe réduits à néant dans la prochaine décennie. Des considérations pratiques La vitesse à laquelle cette stratégie peut être appliquée en pratique est de nos jours grandement accrue par de nombreux logiciels de gestion de ces monnaies complémentaires et par Internet comme outil de communication. Par exemple, la coopérative WIR, dont nous avons parlé, a un système opérationnel de grande ampleur en Suisse en 4 langues, qui gère simultanément la monnaie nationale et le WIR. Plusieurs autres logiciels opérationnels spécifiques pour des monnaies complémentaires sont aujourd hui disponibles. Ce serait une bonne idée de mettre en avant les logiciels «open source», car ils offrent la possibilité d ajouter de nouvelles fonctions ou de nouvelles monnaies sur la même carte à puce, sans avoir à attendre que les développeurs de logiciels propriétaires rattrapent leur retard. Par exemple, la fondation STROHALM aux Pays Bas, a un logiciel «open source» Cyclos pour des systèmes de crédits mutuels utilisés à des fins sociales, déjà opérationnel dans plusieurs pays. De même, l Union Européenne a financé avec les conseils régionaux françaises, le développement du système SOL 8 qui utilise trois types de monnaies complémentaires différentes sur une même carte à puce, et ce système est à présent également disponible en «open source». Cette application étant en phase de test dans cinq régions en France, elle pourrait facilement être étendue à d autres langues et à une quatrième monnaie de B2B, telle qu évoquée précédemment. Évidemment, mettre en œuvre une stratégie de cette nature doit se faire par étapes, en commençant par une phase d essais à échelle limitée. Un large projet européen devrait débuter par une coopération à petite échelle.
4 Réponse à certaines objections Il y a aura sans aucun doute une objection économique théorique à notre proposition : une solution de monnaies multiples est moins efficace en terme de formation des prix et d échanges. Cette objection est valable. Cependant, nous avons montré dans d autres écrits 9 10 qu insister de façon exagérée sur l efficacité est en fait la cause systémique de la fragilité de tout système complexe, y compris le système financier. Une telle fragilité a été démontrée pendant l actuelle crise bancaire globale, mais la Banque Mondiale avait déjà identifié, avant elle, dans les 25 dernières années, 96 autres crises bancaires et 176 crises monétaires affectant 130 pays. Notre proposition fournit une solution systémique à l instabilité du système monétaire, qui n est aujourd hui pas du tout traitée par les approches conventionnelles. Les solutions systémiques sont les seules qui nous éviteront d avoir à faire face régulièrement à ces situations de crise. En résumé, notre proposition est que les banques abandonnent temporairement leur monopole de création de monnaie, c est pour elles un compromis beaucoup moins drastique que par exemple leur nationalisation ou la suppression complète du droit d émettre des crédits. De plus, comme l exemple du WIR le montre, une monnaie complémentaire est un facteur clef de stabilité de l économie, et cet effet diminuera le risque bancaire. Avantages de l approche proposée Cette stratégie a plusieurs avantages pour les différentes parties impliquées, en particulier pendant la période de transition dans laquelle nous entrons.. - Les monnaies complémentaires ont montré qu elles étaient un outil utile dans de nombreux domaines, qu il y ait ou non une crise en cours. La preuve de ceci peut être trouvée dans de nombreuses publications Peut-être encore plus important : cette stratégie va éviter de répéter la pire partie du scénario des années 30, avec l étranglement de l économie par la «seconde vague», et la contraction inévitable des crédits bancaires, qui a entrainé des faillites massives dans l économie de production, un chômage intolérable et une grande souffrance, débouchant sur une dangereuse spirale politique. Hjamar Scharcht, le responsable de la banque centrale sous Hitler, a montré avec justesse que la popularité électorale du nazisme était directement liée au désespoir et au chômage massif Conclusion La rapidité est essentielle si nous voulons récolter les bénéfices de la stratégie proposée. Quand la situation de catastrophe se transmettra du système bancaire au reste de l économie, beaucoup de dommages se produiront très rapidement. Idéalement le système de crédit B2B devrait remplacer les prêts bancaires dès qu un prêt bancaire a été refusé ou réduit. Même si votre propre activité n est pas affectée encore par les restrictions de crédit, n attendez pas pour agir que vos clients ou fournisseurs aillent mal. Dans ce domaine, il vaut mieux agir sans attendre. Une solution est disponible pour adoucir l impact de la «seconde vague» qui ne manquera pas d arriver. Pourquoi attendre qu il soit trop tard? Pourquoi les hommes d affaires seraientils de nos jours moins entreprenants que les Suisses de 1934?
5 Brève biographie de l auteur Bernard Lietaer a été actif dans le domaine des systèmes monétaires depuis presque 30 ans, exerçant diverses fonctions. Il est actuellement chercheur au centre de «Sustainable Resources» de l université de Californie à Berkeley. Pendant qu il était à la Banque Centrale de Belgique, il était responsable de la mise au point du mécanisme de convergence (ECU) vers une monnaie européenne unique. Pendant cette période, il a aussi été Président du système de paiement électronique de Belgique. Son expérience de consultant sur les questions monétaires sur quatre continents va des entreprises multinationales aux pays en voie de développement. Il était directeur général, co-fondateur et Chief Currency Trader pour le Hedge Funds Gaia, l un des fonds les plus importants, et Business Week l a identifié à cette époque comme l un des trader les plus reconnus en Il est également l auteur de 14 livres, écrits en 5 langues, dont «the future of Money» traduit en 18 langues. Plus d informations sur l auteur et ses écrits sont disponibles sur Notes 1 Lietaer, Bernard: The Future of Money: Creating new Wealth, Work and a Wiser World (London: Century, 2001). 2 La chambre des représentants a approuvé la mesure par 370 votes à 58. Bernard Simon: «La chambre a débloqué 25 milliards de $ aux géants de l automobile Financial Times. 25 septembre ACEA (the European Automobile Manufacturers Association), 6 octobre L industrie automobile européenne a aussi demander de l aide à l union européenne pour soutenir l évolution vers les voitures à émission faible. ngeover_to_low_emissions. 4 Gillian Tett Leaders at wits end as markets thrown one tantrum after another Financial Times le 11/12 octobre pg 1 and 2. Par exemple, l engagement des pays européens pour le sauvetage du système bancaire est sans précédent, représentant potentiellement un multiple de leur PIB annuel. Pour se donner une idée de cela, les biens des trois banques les plus importantes ont été garanties par leurs gouvernements respectifs à hauteur de 130% du PIB de l Allemagne, 142% du PIB pour l Italie, 147% du PIB pour le Portugal, 218% pour l Espagne, 257% pour la France; 253% pour l Ireland; 317% pour le Royaume Uni, 409% pour les Pays Bas (les 2 banques les plus importantes), 528% pour la Belgique-Luxemburg; 773% pour la Suisse (les 2 banques les plus importantes), et 1079% du PIB pour l Islande. Dans un tel contexte, on peut s attendre ) ce que le budget du secteur public soit réduit de façon assez générale pour de nombreuses années à venir, contribuant également au problème de la «seconde vague», et rendant plus improbable les sauvetages par les gouvernements pour les entreprises non-financières en difficultés. Tous les pourcentages ont été calculés à partir de données du Financial Times du 30 septembre 2008 page 3. 5 James Stodder, Reciprocal Exchange Networks: Implications for Macroeconomic Stability. Albuquerque, New Mexico: article presenté à International Electronic and Electrical Engineering (IEEE) Engineering Management Society (EMS) August Article original à télécharger sur 6 Professor Tobias Studer, de l Université de Basle, a publié un monographe en 1998: WIR in unsere Volkswirtschaft. Traduction anglaise par Philip H. Beard, PhD, WIR and the Swiss (59 pages) disponible sur et 9 Bernard Lietaer, with Robert Ulanowicz and Sally Goerner: «Options for Managing Systemic Banking Crises Working Paper October Voir Robert Ulanowicz, Sally Goerner, Bernard Lietaer et Rocio Gomez Quantifying Sustainability: Efficiency, Resilience and the Return of Information Theory Journal of Ecological Complexity in press. L article original est aussi téléchargeable sur 11 Voir par exemple: Edgar Cahn No more Throwaway People (Washington: Time Ban ks USA, 2004); Deirdre Kent healthy Money, Healthy Planet: Developing Sustainability through new money systems (New Zealand: Craig Potton Publishing, 2005); Ellen Hodgson Bro wn The Web of Debt (Baton Rouge, Louisiana, 2007); Lietaer, Bernard The Future of Money (London, Random House, 2001); and Lietaer, Bernard & Belgin, Stephen Of Human Wealth: New Currencies for a New World (Citerra Press, forthcoming 2008); Greco, T. Money: Understanding & Creating Alternatives to Legal Tender Vermont: 2003; Cahn, E. No More Throwaway People; Cahn. E. & Rowe J. Time Dollars
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