Projets Emergents CNO
|
|
- Geoffroy Denis
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Projets Emergents CNO Incidence et facteurs de risque des complications de chambre implantable en cancérologie : bilan d une surveillance prospective Dr. Thomas Vermeulin (AS2R), CHU Rouen
2 Contexte Evénements indésirables (EI) associés aux chambres à cathéter implantables (CIP) Potentiellement graves Facteurs de risque suggérés dans la littérature Plan national sur la sécurité des patients Limites et hétérogénéité des études antérieures Rétrospectif versus prospectif Modalités d inclusion Définitions de cas 2
3 Objectifs de l étude Estimer la densité d incidence (DI) des EI sur CIP et les FdR associés à leur survenue. EI surveillance prospective (cf. ci-après) Nombre de journées-cathéter Nombre de patients? Durée d exposition? 3
4 Numérateur de la DI (1) Utilisation des données du projet SCHIC mené en dans deux centres : CHU de Rouen CLCC H. Becquerel Projet d amélioration de la qualité des soins (Preqhos 2009) Identifier les EI et proposer des mesures correctives (RMM) Surveillance prospective des EI sur CIP sur 12 mois dans 5 filières de prise en charge CHU Rouen : pneumologique, uro-digestive, dermatologique CLCC H. Becquerel : hématologique et oncologique Recherche active des cas Validation commune : clinicien + médecin de santé publique 4
5 Définitions de cas Numérateur de la DI (2) Critères validés par des organismes de référence ou utilisés dans la littérature Infections systémiques (CTINILS, 2007) Infections locales (Kurul et al., Barbut et al.) Extravasations (Anaes, 2000) Obstructions (CNHIM, 2001) Autres : Déplacements de l extrémité du cathéter, rotation de CIP, thrombophlébites 5
6 Reconstitution du dénominateur de la DI (1) rétrospectivement à partir du SIH : PMSI, dossier patient informatisé logiciel de prescription des chimiothérapies Critères d inclusion : définissent le nombre de patients 1) au moins une cure de chimiothérapie (CT) anticancéreuse administrée via une CIP 2) ou une pose de CIP pour CT anticancéreuse pendant la période du projet SCHIC dans une des cinq filières de prise en charge 6
7 Reconstitution du dénominateur de la DI (2) - Date de début de la surveillance - Ou date de la pose de la CIP Période d exposition nombre de journéescathéter par patient - 1 er EI - Ablation de la CIP - Décès - Date de fin de la surveillance
8 Reconstitution du dénominateur de la DI (3) Repérage des diagnostics de cancer PMSI (CIM10) «Tumeurs malignes» (C00 C97) «Tumeurs in situ» (D00-D09) «Tumeurs à évolution imprévisible ou inconnue» (D37-D48). Repérage des poses/ablations de CIP PMSI (Actes CCAM) EBLA003 (Poses), EBGA001 (Ablations) Repérage des cures de CT anticancéreuse via une CIP CHU Rouen Logiciel de prescription CLCC H. Becquerel PMSI (CIM10 : Z51.1) + dossier informatisé (via une CIP) Repérage des décès PMSI (mode de sortie «9»)
9 Densités d incidence d EI Analyses statistiques Recherche des facteurs de risque Régression logistique multivariée Facteurs explicatifs : âge, sexe, statut carcinologique Statut carcinologique : Analyse dans l échantillon global «type de cancer» hémopathie, solide métastatique et non métastatique Analyse dans le sous-groupe des cancers solides «Localisation du primitif» «Statut métastatique» 9
10 Résultats : Description (1) Femmes Hommes 2286 patients CHU CLCC patients Moyenne d âge = 60 ans (sd = 13) journées-cathéter Moyenne par patient = 255 (sd = 130) 10
11 Sein Digestif Intra-thoracique Génito-urinaire ORL Leucémies Autres hémopathies malignes Résultats : Description (2) Cancers solides non métastatiques : n= 498 Cancers solides métastatiques : n = 1289 Hémopathies malignes : n = 448 Autres Doubles localisations Nombre de patients
12 Type de d EI Résultats : DI n Fréquence (par rapport au nombre de patients) DI pour 1000 JC [IC95%] EI «tous types confondus» 133 5,8% 0,23 [0,19-0,27] EI «infectieux» 50 2,2% 0,09 [0,06-0,11] Infections systémiques 43 1,9% 0,07 [0,05-0,10] Infections locales 7 0,3% 0,01 [0,00-0,02] EI «non infectieux» 83 3,6% 0,14 [0,11-0,17] Thrombophlébites 16 0,7% 0,03 [0,01-0,04] Extravasations (sans diagnostic) 12 0,5% 0,02 [0,01-0,03] Obstructions 10 0,4% 0,02 [0,01-0,03] Autres complications mécaniques 31 1,4% 0,05 [0,03-0,07] Complications per et postopératoires 8 0,3% 0,01 [0,00-0,02] Autres 6 0,3% 0,01 [0,00-0,02]
13 Variable Echantillon total b EI «tous types confondus» EI «infectieux» a EI «non infectieux» ORa [IC95%] p ORa [IC95%] p ORa [IC95%] p Age 1,0 [1,0-1,0] 0,38 1,0 [1,0-1,0] 0,99 1,0 [1,0-1,0] 0,24 Sexe Féminin Masculin 1,4 [1,0-2,0] 0,08 2,2 [1,2-3,9] 0,01 1,0 [0,7-1,6] 0,88 Type de cancer Résultats : Analyse multivariée (1) Solide non-métastatique Solide métastatique 1,5 [0,9-2,4] 0,12 2,3 [0,9-6,0] 0,09 1,2 [0,7-2,1] 0,53 Hémopathie maligne 1,4 [0,8-2,5] 0,28 3,2 [1,1-8,8] 0,03 0,8 [0,4-1,7] 0,55 a Après exclusion des patients atteints d'une complication peropératoire ou postopératoire traumatique. b Régression logistique ajustée sur le sexe, le type de cancer et l'âge.
14 Résultats : Analyse multivariée (2) Variable EI «tous types confondus» EI «infectieux» a EI «non infectieux» ORa [IC95%] p ORa [IC95%] p ORa [IC95%] p Sous-groupe des cancers solides c Localisation du cancer primitif 0,007 0,10 0,03 Organes digestifs Appareil génito-urinaire 0,5 [0,2-1,1] 1,2 [0,4-3,5] 0,3 [0,1-0,9] ORL 0,2 [0,1-0,7] 0,2 [0,0-1,4] 0,2 [0,1-1,0] Sein 0,4 [0,2-0,7] 0,3 [0,1-1,0] 0,4 [0,2-0,8] Organes intra-thoraciques 0,7 [0,4-1,2] 0,6 [0,2-1,7] 0,7 [0,4-1,4] Statut Métastatique 0,14 0,09 0,55 Cancer non-métastatique Cancer métastatique 1,5 [0,9-2,4] 2,5 [0,9-7,4] 1,2 [0,7-2,1] a Après exclusion des patients atteints d'une complication peropératoire ou postopératoire traumatique. c Régression logistique ajustée sur le sexe, la localisation du cancer primitif, l'âge et le statut métastatique ; Analyse réalisée chez les patients atteints d'un cancer digestif, génito-urinaire, ORL, du sein ou intra-thoracique.
15 Discussion Principaux résultats - comparaison à la littérature Proposition d une méthode de calcul de DI Recueil prospectif des EI + utilisation du SIH DI concordantes avec la littérature Facteurs de risque retrouvés Hémopathies malignes Localisation digestive? Hommes? 15
16 Limites de l étude Biais potentiels inhérents au SIH classement (EI en externe), date de censure, confusion Hétérogénéité des variables : regroupement de modalités nécessaires étant donné la rareté des EI (puissance statistique) EI «tous types confondus» et «non infectieux» statut métastatique 16
17 Forces de l étude Méthodologie originale, réalisable en routine Permettant un calcul de densité d incidence Comparaison au fil du temps et entre filières Recueil prospectif et exhaustif des EI Inclusion des patients en cours de protocole CT Définition de cas élargie Amélioration de la sensibilité de la surveillance journées-cathéter 17
18 Conclusion Méthodologie utilisable en routine pour la surveillance des EI sur CIP dans les établissements de santé Apport d informations sur les facteurs de risque Perspectives : réutilisation de la méthode de reconstitution du dénominateur Impact de l éloignement des patients? Etude Cas/témoins : lien entre cancer digestif et thrombose? 18
19 MERCI 19
20 Projets Emergents CNO Incidence et facteurs de risque des complications de chambre implantable en cancérologie : bilan d une surveillance prospective Dr. Thomas Vermeulin (AS2R), CHU Rouen
Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco
Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailINAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE
INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février
Plus en détailEtat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire
12 juin 2014 Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire CONTEXTE ET OBJECTIFS DE l ETUDE : L action 6.2 du plan cancer 3 «conforter l accès aux tests moléculaires» stipule en particulier
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailEntretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC
Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC 2éme Journée des Infirmiers de Basse-Normandie Jeudi 9 Octobre 2014 Florence BANNIE, Pharmacien CHPC, CHERBOURG Déclarations
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailPrésentation générale du Programme
Contexte Le Propias fait suite à Plan stratégique national 2009-2013 de prévention des infections associées aux soins Programme national de prévention des infections nosocomiales 2009-2013 (Propin) Programme
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailCréation de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy
Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan
Plus en détailContexte de la chimiothérapie à domicile
Marie LAFFETAS / Stéphanie COUDERT Toulouse Le 05 octobre 2012 Contexte de la chimiothérapie à domicile Problématique et objectifs Méthode et résultats de l étude Discussion et conclusion 2 1 Développement
Plus en détailÉtude sur les délais de prise en charge des cancers du sein et du poumon
Delais-Cancer Sein Poumon:32 pages 6/06/12 12:39 Page 1 Mesure 19 SOINS ET VIE DES MALADES Étude sur les délais de prise en charge des cancers du sein et du poumon DANS PLUSIEURS RÉGIONS DE FRANCE EN 2011
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailConsignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2
Généralisation 2014 d un recueil d indicateurs pour l amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé de soins de courte durée Consignes de remplissage - Grille
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailExposé n 5: Bases IMS, Thalès Quel apport pour la sécurité d emploi des médicaments?
5 avril 2011 «Pharmaco-épidémiologie» Exposé n 5: Bases IMS, Thalès Quel apport pour la sécurité d emploi des médicaments? Dr Philippe Tcheng Vice-Président Affaires Publiques et Gouvernementales France
Plus en détailLa formation comme levier de changement des pratiques
Place des pharmaciens d officine au sein du réseau Onco 94 Ouest La formation comme levier de changement des pratiques 2 ème congrès des Réseaux de cancérologie Rouen Atelier : place de la formation 3
Plus en détailCaisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale
Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Circulaire CNAMTS MMES et MM les Directeurs Date : - des Caisses Régionales d'assurance Maladie 27/03/96 - des Caisses
Plus en détailSituation de la chimiothérapie des cancers en 2009
TRAITEMENTS, SOINS ET INNOVATION Situation de la chimiothérapie des cancers en 2009 C O L L E C T I O N Rapports & synthèses ANALYSE DE L ÉVOLUTION DE L USAGE DES MOLÉCULES INSCRITES SUR LA LISTE «EN SUS
Plus en détailDIPLOME DE CHIRURGIE ORALE
DIPLOME DE CHIRURGIE ORALE ORGANIGRAMME DES SEMINAIRES Promotion 2013 FORMATION COMPLEMENTAIRE EN MEDECINE POUR LES MEDECINS Pour les enseignants, ces enseignements seront à faire tous les 2 ans 1 - Module
Plus en détailPROFIL DE POSTE PRATICIEN ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES
ETABLISSEMENT CENTRE HOSPITALIER PUBLIC DU COTENTIN (CHPC) CHERBOURG (50) Deuxième établissement hospitalier de Basse-Normandie. SPECIALITE RECHERCHEE Anatomie et cytologie pathologiques (ACP). COMPETENCES
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailLes plateformes de génétique
Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailLe Centre Léon Bérard Equité, globalité, qualité, innovation. Juin 2011
Le Centre Léon Bérard Equité, globalité, qualité, innovation Juin 2011 1 Sommaire Présentation institutionnelle... 3 Un projet stratégique : le projet d établissement... 5 Un hôpital certifié par la Haute
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailMONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013
MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE Dary Croft 9 mai 2013 Plan Épidémiologie en chir. non-cardiaque Aspects techniques de l ECG Rappel critères ECG de l'ischémie Principe de monitoring per-op
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailDocument d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité
Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité Février 2013 1 Liste de contrôle des essais de non-infériorité N o Liste de contrôle (les clients peuvent se servir de cette
Plus en détailProgramme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détailDirection générale de l offre de soin
Apport de la télémédecine en matière de coopération territoriale 1. Une nouvelle organisation de l offre sanitaire pour mieux répondre aux besoins des populations 2. Comment organiser des activités de
Plus en détailFormations et DPC en cancérologie
Aides-soignants Assistants sociaux Formations et DPC en cancérologie Biologistes Cadres de santé Chercheurs Diététiciens Infirmiers Kinésithérapeutes Manipulateurs Médecins Pharmaciens Préparateurs en
Plus en détailOuverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique
Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Congrès de la SF2H - 9 Juin 2011 S. Coudrais Biohygiéniste Unité d Hygiène et Epidémiologie - Groupement
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailInfection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailJournées de formation DMP
Journées de formation DMP Le DMP dans l écosystème Chantal Coru, Bureau Etudes, ASIP Santé Mardi 26 juin 2012 Processus de coordination au centre des prises en charge Quelques exemples Maisons de santé
Plus en détailLe parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique
Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Introduction Cette brochure vise à vous familiariser avec la greffe de cellules hématopoïétiques (GCH). Elle présente en quelques
Plus en détailFédération des collèges de médecine d urgence Marseille Novembre 2008. 24/10/2008 ROR-IF Dr F. Dolveck
Fédération des collèges de médecine d urgence Marseille Novembre 2008 Dr F. Dolveck 1 Premiers éléments de réflexion Des expériences localisés non concertés (92-91) : Mauvaise connaissance de l offre de
Plus en détailGestion technique de l immobilier d entreprise
Gestion technique de l immobilier d entreprise Pascal Hendrickx Jean Perret Groupe Eyrolles 2003 ISBN 2-212-11251-3 Table des matières Introduction 1 Chapitre 1 PARTIE 1 ÉMERGENCE D UNE VÉRITABLE DISCIPLINE
Plus en détailLes coûts des prises en charge à l hôpital en médecine, chirurgie et obstétrique
Les coûts des prises en charge à l hôpital en médecine, chirurgie et obstétrique 2012 Sommaire Introduction 3 Notes de lecture 4 1. L ENC : objectifs et modalités de l étude 6 1.1. Qu est-ce que l Etude
Plus en détailpendant et après le cancer
Dossier technique Parcours personnalisés pendant et après le cancer Pratiques de coopération entre structures sanitaires et MDPH Décembre 2011 La Caisse nationale de solidarité pour l autonomie est à la
Plus en détailPrésenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie
Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie Quiz de la radio-oncologie Rôle de l infirmière en radio-oncologie Mise en contexte (création des outils) Premier outils:
Plus en détailSoutien pour la formation à la recherche translationnelle en cancérologie
APPEL A CANDIDATURES 2011 Soutien pour la formation à la recherche translationnelle en cancérologie Action 1.2 Date limite de soumission en ligne du dossier : 06 décembre 2010 http://www.e-cancer.fr/aap/for2011
Plus en détailLa matrice emploi- exposition spéci2ique du milieu de soin : application au risque chimique
La matrice emploi- exposition spéci2ique du milieu de soin : application au risque chimique C. Verdun- Esquer Service Médecine du Travail et Pathologie Professionnelle - CHU de Bordeaux SFMT 23/01/2015
Plus en détaill'institut Paoli-Calmettes (IPC) réunit à la Villa Méditerranée les 29 et 30 mai 2015
ANNONCE PRESSE Un donneur pour chaque patient en attente d'une greffe de moelle osseuse, de la chimère à la réalité grâce à la révolution de la greffe haplo mismatch Marseille, le 26 mai 2015. L'Institut
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailPrécarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne
O B S E R V A T O I R E R E G I O N A L D E L A S A N T E D E M I D I - P Y R E N E E S Précarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne Novembre 2007 SYSTEME
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailEvaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés
Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluations de la survie sans progression et du contrôle locoregional comme critère de substitution
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailCOMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES
COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES Approximativement, un tiers de tous les décès dus au cancer sont en relation avec
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailAccompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE
Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE I- PREAMBULE 2 II- CAHIER DES CHARGES 2 II-1-Objectifs /Finalité 2 II-2-Public visé 3 II-3-Durée des parcours 3 II-4-Missions
Plus en détailProgramme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012
Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012 Pr Coordonnateur Groupe de Pilotage du Programme National de Lutte contre les Infections Nosocomiales Séminaire National
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 4 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 4 novembre 2009 IRESSA 250 mg, comprimé pelliculé Boîte de 30 (CIP 395 950-7) ASTRAZENECA géfitinib Liste I Médicament soumis à prescription hospitalière. Prescription
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailDr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon)
Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Intervention personnalisée à tous les stades de la Maladie Rénale Chronique Prévention de la progression de la maladie rénale Consultation
Plus en détailLa formation dans tous ses états. Programme et méthode de formation continue sur la
La formation dans tous ses états Programme et méthode de formation continue sur la «Préparation des médicaments anticancéreux» Répond à (Art R 950-4 al 1 du Code du Travail) Par qui, Comment et Pourquoi.
Plus en détailProcédure d audition Profils de compétence Soins infirmiers Questions sur le profil de compétence Conseil en diabétologie
Procédure d audition Profils de compétence Soins infirmiers Questions sur le profil de compétence Conseil en diabétologie A Questions sur le contexte situationnel des personnes interrogées par rapport
Plus en détailSecteur Protégé d Hématologie
INFORMATIONS PATIENTS Secteur Protégé d Hématologie Centre accrédité de greffe de moelle osseuse et de cellules souches d hématopoïétiques Le Secteur d Hématologie est destiné à des patients atteints de
Plus en détailThérapies ciblées en Onco-Hématologie
Thérapies ciblées en Onco-Hématologie 1 er au 4 avril 2014 salle de séminaire Institut Universitaire d Hématologie Hôpital Saint-Louis, Paris Coordination: Dr Guilhem Bousquet Comité scientifique: Philippe
Plus en détailLes Data Sciences pour la santé: Qui, Quoi, Comment?
Les Data Sciences pour la santé: Qui, Quoi, Comment? Pascal Staccini IRIS Department - School of Medicine of Nice Nice-Sophia Antipolis University UMR 912 - SESSTIM - INSERM et pour quoi faire? Les données
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailPREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES
PREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES Patrick-Georges Yavordios Clinique Convert 01000 Bourg en Bresse Introduction L es traumatismes dentaires représentent
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailPlan de la présentation
Quand la maladie vient compliquer la transition de l adolescence vers le merveilleux monde des adultes Développement d une clinique pour adolescents greffés Marie-France Vachon, M.Sc.Inf., CPON, CSIO,
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailBERTHIER E, CHRISTIANO M, PHILIPPE M O, IEHL J, TATARU N, DECAVEL P, VUILLIER F, ELISEEF A, MOULIN T. Introduction (1). Contexte de l étude
REPRODUCTIBILITE INTEROBSERVATEUR DU TEST «NIHSS» (National Institutes of Heath Stroke Scale) RÉALISÉ PAR VIDÉOCONFÉRENCE : EXPÉRIENCE DU RÉSEAU DES URGENCES NEUROLOGIQUES (RUN) BERTHIER E, CHRISTIANO
Plus en détailGESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ
GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ PLAN Préambule Historique de la démarche Cartographie Organigramme Situation actuelle Constat Préambule OVE comprend : Un secteur social Un secteur médico-social
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailMINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ _ Direction de la recherche, des études, de l évaluation et des statistiques _ Sous-direction observation de la santé et de l assurance maladie _ Bureau établissements
Plus en détailProfessionnels de santé. Facturation au fil de l eau
Cancérologie Soins palliatifs Facturation au fil de l eau Professionnels de santé 3 avenue du Général Harris- BP 5026 14076 CAEN CEDEX 5 tel : 02 31 45 50 94 - www.baclesse.fr 1 Sommaire Bonnes pratiques
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailThrombose et cancer en oncogériatrie. Dr BENGRINE LEFEVRE Centre Georges François Leclerc lbengrine@cgfl.fr
Thrombose et cancer en oncogériatrie Dr BENGRINE LEFEVRE Centre Georges François Leclerc lbengrine@cgfl.fr Contexte Facteurs de risque de MTEV chez patients cancéreux: 1- liés au cancer localisation tumorale
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailOrganisation d une action de prévention collective en entreprise
Organisation d une action de prévention collective en entreprise Intérêt de la pluridisciplinarité Anne LE MAULT 15 mai 2014 L'éducation pour la santé une demande Quelqu un demande explicitement quelque
Plus en détailCOMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE
COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE
Plus en détailLa formation au Leadership Clinique a-t-elle transformé l infirmière en chef de mon unité de soins? Ressenti d un infirmier de terrain.
La formation au Leadership Clinique a-t-elle transformé l infirmière en chef de mon unité de soins? Ressenti d un infirmier de terrain. Olivier Guissard,, infirmier en unité de pneumologie, en charge de
Plus en détail*Dans tout le document lire : infirmier/infirmière
*Dans tout le document lire : infirmier/infirmière F L O R E N C E A M B R O S I N O, C É C I L E B A R R I È R E, G A L A D R I E L B O N N E L, C H R I S T O P H E D E B O U T, P A S C A L L A M B E
Plus en détailFirst Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us?
Dr Jean-Charles Soria : Bonjour et bienvenue dans ce programme. Je suis Jean Charles Soria, Professeur de Médecine et Directeur du programme de développement précoce des médicaments à l université Paris
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Voyage au cœur des réseaux d imagerie médicale
DOSSIER DE PRESSE Voyage au cœur des réseaux d imagerie médicale Service de presse et de communication : MHC Communication Marie-Hélène Coste / Véronique Simon 38 avenue Jean Jaurès - 94110 Arcueil Tél.
Plus en détailAnalyse prospective des risques: application de la méthode AMDEC
Analyse prospective des risques: application de la méthode AMDEC Prof. Pascal BONNABRY Certificat qualité des soins Genève, 14 avril 2011 Agenda Introduction: analyse de risques Exemple d application de
Plus en détailMessagerie Securisee de Sante. Jeudi 23 Avril 2015
Messagerie Securisee de Sante Jeudi 23 Avril 2015 Déploiement de la Messagerie sécurisée de santé en Haute-Normandie Actions régionales Actions ville-hôpital Actions d animation 1 Actions Régionales Déploiement
Plus en détailet ATIH Diapositive n 1 Direction générale de l offre de soins - DGOS
et ATIH Diapositive n 1 Quel financement pour les SSR? Un modèle innovant Hélène de Faverges mission SSR - DGOS Dr Joëlle Dubois - ATIH FHF Rhône-Alpes Conférence SSR : vers une organisation coordonnée
Plus en détailDASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006
DASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006 Place des Nouveaux Tests de Dosage de L INTERFERON GAMMA dans le diagnostic de la Tuberculose Fadi ANTOUN, Cellule Tuberculose DASES Le Quotidien du Médecin 2005
Plus en détailcurité du patient 19 mai 2009 Aurore MAYEUX Guy CLYNCKEMAILLIE
Déclarer un événement indésirable un élément majeur pour la sécurits curité du patient 19 mai 2009 Aurore MAYEUX Guy CLYNCKEMAILLIE Les hôpitaux plus meurtriers que la route Courrier de l escaut, janvier
Plus en détailLe dispositif d annonce. Information destinée aux patients atteints de cancer. édition actualisée Octobre 2009
Le dispositif d annonce Information destinée aux patients atteints de cancer G R A N D P U B L I C 2 édition actualisée Octobre 2009 Sommaire Introduction 1 Le dispositif d annonce 2 Le temps médical L
Plus en détailSTACCINI Pascal UFR Médecine Nice Université Nice-Sophia Antipolis
3.2 : S initier à l organisation, la mise en œuvre et l utilisation d un système d information Chapitre 3 : Systèmes d information Systèmes d information hospitaliers (S.I.H.) STACCINI Pascal UFR Médecine
Plus en détailLa mise en place du PACS 1 Midi-Pyrénées s inscrit
Pr Louis Lareng ADMINISTRATEUR Dr Monique Savoldelli DIRECTEUR SIH Karine Seymour CHEF DE PROJET 35 GROUPEMENT DE COOPÉRATION SANITAIRE TÉLÉSANTÉ MIDI-PYRÉNÉES, TOULOUSE Mise en place d un PACS mutualisé
Plus en détailDÉCISIONS À PRENDRE AVANT DE COMMENCER
CHAPITRE 2 DÉCISIONS À PRENDRE AVANT DE COMMENCER Ce chapitre s adresse aux directeurs de programme, à leurs partenaires nationaux, aux coordinateurs d enquête et au personnel technique. Il vous aidera
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailCERTIFICATIONS EN SANTE
CERTIFICATIONS EN SANTE INSTITUT CLAUDIUS REGAUD Délégation Qualité David VERGER 20-24, rue du Pont Saint-Pierre 31052 TOULOUSE cedex 05-61-42-46-22 Verger.david@claudiusregaud.fr CLAUDIUS REGAUD, PÈRE
Plus en détailo Non o Non o Oui o Non
Enquête générale (à remplir une fois) [ ] = plusieurs réponses possibles o = une seule réponse possible Date de votre réponse à ce questionnaire Nombre de lits dans l'unité Connaissez-vous l incidence
Plus en détailLa recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux
La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une
Plus en détail