Lipides Glucides + O 2 Energie + CO 2 + H 2 O Protéines
|
|
- Zoé Beausoleil
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1
2 Il résulte des expériences auxquelles M. Séguin s est soumis, qu un homme à jeun, dans un état de repos Consomme par heure 1210 pouces cubes d air vital... Le mouvement et l exercice augmentent considérablement toutes ces proportions. M. Séguin étant à jeun et ayant élevé, pendant un quart d heure, un poids de 15 livres à une hauteur de 615 pieds, sa consommation d air, pendant ce temps, a été de 800 pouces, c est-à-dire de 3200 pouces par heures. Lavoisier, traité élémentaire de chimie
3 Le métabolisme aérobie correspond à une combustion (c est à dire une oxydation) des glucides, des lipides et accessoirement des protéines. Les combustions peuvent être résumées de la façon suivante : Lipides Glucides + O 2 Energie + CO 2 + H 2 O Protéines
4 Lipides Glucides + O 2 Protéines CO 2 + H 2 O + Energie oxydation + phosphorylation Energie + ADP + HP ATP
5 Ces phénomènes de combustion (d oxydation) sont connus depuis longtemps puisque Lavoisier les avait déjà observés avant la révolution française et écrivait : «la vie est une combustion lente»
6 Lavoisier Traité élémentaire de chimie tome second
7
8 La particularité de ces «combustions lentes» est qu elles sont couplées avec un processus de phosphorylation de l ADP en ATP : l énergie des combustions est transformée en ATP. Le métabolisme aérobie correspond donc à un processus très complexe appelé phosphorylations oxydatives.
9 Lipides Glucides + O 2 Protéines CO 2 + H 2 O + Energie oxydation + phosphorylation Energie + ADP + HP ATP
10 Ce processus très complexe se déroule au sein d organites intracellulaires appelés mitochondries. L acide pyruvique provenant de la glycolyse pénètre dans les mitochondries pour y être oxydé après transformation en acétylcoenzyme A.
11 Mitochondries musculaires
12 Les cellules eucaryotes (cellules possédant un noyau et un cytoplasme distincts) présentent de nombreuses structures délimitées par une ou plusieurs membranes. Parmi ces structures, il en est une essentielle pour le métabolisme énergétique : la mitochondrie.
13
14 En fonction de leur localisation dans la cellule musculaire,les mitochondries sont classées en deux goupes : - M. sous-sarcolemmales (SS) ; - M. inter-myofibrillaires ( IMF).
15 Sarcolemme Les mitochondries sous sarcolemmales (SS) sont comprises entre la membrane sarcoplasmique (sarcolemme) et les myofibrilles.
16 les mitochondries SS sont particulièrement abondantes à proximité des capillaires, ce qui diminue la distance de diffusion de l oxygène.. capîllaire contenant un erythrocyte
17 Structure des mitochondries
18 Les mitochondrie sont délimitées une enveloppe membranaire à double paroi : - membrane interne ; - membrane externe. Entre la membrane interne et la membrane externe, se trouve un mince espace dont la composition est essentiel au fonctionnement mitochondrial.
19 La membrane interne présente de nombreux replis constituant les crêtes mitochondriales. L abondance et l importance de ces crêtes dépend du type cellulaire et de l organe d où proviennent les mitochondries.
20 membrane externe membrane interne
21 membrane externe espace inter-membranaire membrane interne
22 La présence de replis de la membrane interne ( crêtes) augmente sa surface et le volume de l espace intermembranaires.
23 membrane externe espace intermembranaire membrane interne crêtes mitochondriales matrice Cytoplasme cellulaire Schéma d une mitochondrie
24 La cavité délimitée par la membrane interne correspond à la matrice mitochondriale. La matrice mitochondriale contient en particulier : - les enzymes du cycle de Krebs et celles de la bétahydroxylation des lipides ; - de l ADN ; - des ARN messagers et de transfert.
25 Trois chaînes de réactions se déroulent au niveau des mitochondries 1) formation d acetyl-coenzyme A ; 2) production d hydrogène utilisable par les chaînes respiratoires (NADH et FADH) ; 3) et enfin, phosphorylations oxydatives au niveau des chaînes. respiratoires.
26 Formation d acetyl-coenzyme A L acétyl-coenzyme A provient : soit des acides gras (béta-hydroxylation parfois appelée «hélice de Lynen») soit de l acide pyruvique après décarboxylation (combustion des glucides).
27 Production d hydrogène Le NADH et le FADH sont les seuls composés d hydrogénés utilisables par les chaînes respiratoires mitochondriales. Le NADH et le FADH sont produits à partir des atomes d hydrogène contenus dans la molécule d acétyl-coenzyme A.
28 Phosphorylations oxydatives Les phosphorylations oxydatives se déroulent au niveau des chaînes respiratoires (membrane mitochondriale interne). NADH + O 2 + ADP + P i H 2 O + ATP
29 Les différentes étapes des phosphorylations oxydatives ont lieu au niveau des membranes mitochondriales internes et de l espace inter-membranaire. La présence des crêtes permet d augmenter la surface de la membrane interne et les possibilités des phosphorylations oxydatives mitochondriales.
30 Cette production de NADH et FADH à partir de l acétyl-coa est réalisée par une chaîne de réactions enzymatiques appelée cycle de Krebs. Le cycle de Krebs est souvent dénommé cycle tricarboxylique ou cycle de l acide citrique.
31 Le fonctionnement de l une des étapes de la glycolyse (transformation du Phopho- Glycéraldéhyde en Biphospho-Glycérate) exige la présence du NAD en tant qu accepteur d'hydrogène. Une régénération du NAD est donc nécessaire à la poursuite de la glycolyse car les réserves de NAD sont très faibles.
32 Destinée du NADH dans la glycolyse anaérobie Glycogène P i Phosphorylase Glucose-6-Phosphate Glucose 2 ADP ADP ATP + 2 NAD Cytoplasme 3 ATP + 2 NADH + H 2 acides pyruviques 2 acides lactiques Lactico-DésHydrogénase (LDH) CH3 -CO-COOH CH3-CHOH-COOH
33 En aérobiose, l'hydrogène du NADH + H + ne sert pas à la formation d acide lactique mais passe à l'intérieur de la mitochondrie où il sera ensuite oxydé au niveau des chaînes respiratoires avec production de 3 ATP. Le NAD est ainsi régénéré et permet la poursuite de la glycolyse.
34 Destinée du NADH dans la glycolyse aérobie Glycogène P i Phosphorylase Glucose-6-Phosphate Glucose 2 ADP + 2 NAD Cytoplasme 3 ATP 2 acides pyruviques PDH + 2 NADH + H Navettes O 2 2 CO 2 2 Acétyl-CoA Cycle de Krebs Mitochondrie + NAD + NADH + H O 2 Oxydation H2O FADH 2 ADP + P ATP Phosphorylation
35 En effet, la production d acide lactique au cours d exercices dont la puissance est inférieure à la puissance maximale du métabolisme aérobie sera d autant plus faible que les concentrations de NADH et d acide pyruvique seront faibles dans le cytoplasme musculaire.
36 La possibilité de régénération du NAD par oxydation de l hydrogène produit par la glycolyse est en fait couplée à la pénétration de l acide pyruvique dans les mitochondries. Cette pénétration du NADH et de l acide pyruvique et leur dégradation dans la mitochondrie est essentielle.
37 Il ne peut y avoir de conversion d acide pyruvique en acide lactique en l absence de NADH et d acide pyruvique en quantité suffisante. NADH + H + + acide pyruvique NAD + acide lactique
38 La membrane mitochondriale interne est imperméable au NADH. Le passage de l hydrogène du NADH au niveau de la mitochondrie est réalisé par un système de navettes.
39 membrane interne TGO A G T A-G G A TGO NADH OA OA NADH MD CG M T M-CG CG M MD espace inter-membranaire matrice mitochondriale
40 Fibre lente aérobie Fibre rapide anaérobie Coloration histochimique des enzymes mitochondriales : activité succinate déhydrogénase (SDH)
41 Fibres lentes (type I) Fibres rapides (types II) Coloration histochimique des enzymes mitochondriales : activité Cytochrome Oxydase
42 Facteurs limitatifs des performances du métabolisme aérobie
43 Caractéristiques des différents métabolismes énergétiques Chacun de ces trois métabolismes est défini par : son inertie c'est-à-dire sa "lenteur" d'entrée en activité ; sa puissance ou nombre de molécules d'atp par seconde qu'il peut resynthétiser, c'est-à-dire son débit d'énergie (quantité d'énergie par unité de temps) ; sa capacité ou quantité totale de molécules d'atp resynthétisées, c'est à dire la quantité maximale de travail qui peut être effectué grâce à ce métabolisme.
44 L'origine de l inertie du métabolisme aérobie est encore controversée. Est-elle d origine musculaire et métabolique, (processus utilisant l oxygène et mobilisant les réserves de glucides)? Est elle au contraire d origine cardiovasculaires (transport de l oxygène des poumons jusqu au muscle)?
45 L inertie du métabolisme aérobie est moindre chez les enfants et les sujets entraînés. L augmentation des activités enzymatiques mitochondriales peut expliquer en partie cette moindre inertie après entraînement : - les mitochondries seraient capables de fournir le même débit d ATP avec des concentrations plus basses en ADP, phosphate et oxygène.
46 Caractéristiques des différents métabolismes énergétiques Chacun de ces trois métabolismes est défini par : son inertie c'est-à-dire sa "lenteur" d'entrée en activité ; sa puissance ou nombre de molécules d'atp par seconde qu'il peut resynthétiser, c'est-à-dire son débit d'énergie (quantité d'énergie par unité de temps) ; sa capacité ou quantité totale de molécules d'atp resynthétisées, c'est à dire la quantité maximale de travail qui peut être effectué grâce à ce métabolisme.
47 La puissance maximale du métabolisme aérobie dépend de la quantité maximale d oxygène qui peut être utilisée par les mitochondries. La puissance maximale du métabolisme aérobie est donc évaluée en mesurant la consommation maximale d oxygène.
48 Equation de Fick et V O2 max V = Q (Ca - Cv ) O2 x O2 O2 V Q Ca Cv O2 O2 O2 = consommation d oxygène = débit sanguin = contenu artériel en oxygène = contenu veineux en oxygène En première approximation, on peut écrire : V = Q (Ca - Cv ) O2 max max x O2 O2 max
49 La puissance maximale du métabolisme aérobie est inférieure à celle des métabolismes anaérobies lactique ou alactique. La puissance des exercices de longue durée est relativement peu élevée.
50 La puissance maximale aérobie sur bicyclette correspond ainsi à environ 220 W de puissance mécanique chez un adulte moyen non entraîné spécifiquement. Ceci correspond à une consommation maximale d oxygène d environ 3 litres par minute, c est à dire environ 45 ml.kg -1.min -1.
51 Chez les athlètes de haut niveau dans les sports d endurance, la puissance maximale aérobie peut dépasser 400 ou même 500 W dans certaines disciplines. Ceci correspond à des consommation maximales d oxygène comprise entre 5 à 6,5 litres par minute en fonction selon la discipline sportive pratiquée ou le poids corporel du sujet, et dépasser 80 ml.kg -1.min -1.
52 débit cardiaque maximal V = O2 max Q max x [(Ca - CV ) ] O2 O2 max différence artério-veineuse
53 A priori, le ou les facteurs limitatifs de la consommation maximale d oxygène peuvent être localisés à chacune des étapes : - du transport de l oxygène (du poumon à la mitochondrie) - de l utilisation de l oxygène par les mitochondrie
54 Facteurs limitatifs centraux transport d oxygène V = O2 max Q max x [(Ca - CV ) ] O2 O2 max Utilisation de l oxygène Facteurs limitatifs périphériques
55 Q = VES x FC max max max V = O2 max Q max x [(Ca - Cv ) ] O2 O2 max Ca O2 = Hb x % saturation Capillaires Mitochondries Fibres musculaires % Saturation = f(p, ph) O2
56 A priori, le ou les facteurs limitatifs de la consommation maximale d oxygène peuvent être localisés à chacune des étapes : - du transport de l oxygène (du poumon à la mitochondrie) - de l utilisation de l oxygène par les mitochondrie
57 Le transport de l oxygène est probablement le facteur limitatif essentiel de la consommation maximale d oxygène pour des exercices généraux, c est-à-dire mettant en jeu une masse musculaire importante. Le transport d oxygène serait, ainsi, le facteur limitatif essentiel de la consommation maximale d oxygène en ski de fond, aviron, course à pied, cyclisme sur route...
58 -1 Débit cardiaque (l.min ) Athlète d'endurance Sédentaire ,0 3,0 4,0 5,0 Consommation d'oxygène
59 Volume d'éjection systolique (ml) Fréquence cardiaque Evolution du volume d'éjection systolique à l'exercice dynamique
60 Volume ventriculaire (ml) V T D VES V E S 30 VTS 0 0,5 seconde 0 0,5 Repos allongé Exercice Volume ventriculaire au cours de la révolution cardiaque : effets de l'exercice
61 Volume ventriculaire (ml) V E S V E S seconde 0 0,5 Sédentaire 0 0,5 Athlète d'endurance Volume ventriculaire au cours de l'exercice : effets du niveau de performance aérobie
62 -1 Fréquence cardiaque (battements.min ) Sédentaire Athlète d'endurance 0 1,0 2,0 3,0 4,0 5,0 Consommation d'oxygène
63 -1 Fréquence cardiaque (battements.min ) enfants adultes jeunes adultes 60 ans % V max O2
64 Il n est pas démontré que les propriétés métaboliques musculaires (proportion de fibres lentes oxydatives, de type I, richesse en mitochondries, etc.) soient un facteur limitant la puissance maximale du métabolisme aérobie pour des exercices généraux
65 VO2max tapis roulant (L / min) Cyclistes VO2max ergocycle ( L/min)
66 Par contre, Il est probable que le transport de l oxygène ne soit pas un facteur limitatifs essentiel pour des exercices locaux mettant en jeu un masse musculaire très faible. Les propriétés musculaires (capillarisation, proportion de fibres lentes oxydatives, de type I, richesse en mitochondries, etc.) pourraient limiter la puissance maximale aérobie pour des exercices locaux
67 Caractéristiques des différents métabolismes énergétiques Chacun de ces trois métabolismes est défini par : son inertie c'est-à-dire sa "lenteur" d'entrée en activité ; sa puissance ou nombre de molécules d'atp par seconde qu'il peut resynthétiser, c'est-à-dire son débit d'énergie (quantité d'énergie par unité de temps) ; sa capacité ou quantité totale de molécules d'atp resynthétisées, c'est à dire la quantité maximale de travail qui peut être effectué grâce à ce métabolisme.
68 La capacité maximale de travail du métabolisme aérobie dépend non seulement des réserves de glycogène mais aussi des possibilités cardio-vasculaires et musculaires. Le développement des mitochondries et des capillaires musculaires détermineraient la possibilité de maintenir longtemps un pourcentage élevé de la puissance maximale aérobie.
69 Adaptations aux exercices aérobies
70 Effets de l entraînement sur le débit cardiaque maximal V = O2 max Q max x [(Ca - CV ) ] O2 O2 max Effets de l entraînement sur la différence artério-veineuse
71 Effets de l entraînement Q = VES x FC max m xa max Pas d'augmentation de FCmax avec l'entraînement Ca V = O2 max O2 = Hb x % saturation Q max x [(Ca - Cv ) ] O2 O2 max Effets de l entraînement Capillaires Mitochondries Fibres musculaires Effets de l entraînement % Saturation = f(p, ph) O2
72 Les adaptations observées à la suite d un pogramme d entraînement aérobie peuvent être divisées en : - des adaptations centrales ou générales, se manifestant par une amélioration de l apport maximal en oxygène en particulier une cardiomégalie sportive. - des adaptations périphériques, locales, musculaires permettant une meilleure extraction de l oxygène, une meilleure utilisation des substrats énergétiques, une moindre production d acide lactique, un meilleur coût énergétique.
73 Sédentaire Athlète d endurance OG OG OD VD VG OD VD VG La cardiomégalie (augmentation du volume cardiaque) des sportifs est harmonieuse, c est-à-dire concernant les 4 cavités cardiaques et conservant un rapport paroi/cavité normal.
74 Les adaptations observées à la suite d un pogramme d entraînement aérobie peuvent être divisées en : - des adaptations centrales ou générales, se manifestant par une amélioration de l apport maximal en oxygène en particulier une cardiomégalie sportive. - des adaptations périphériques, locales, musculaires permettant une meilleure extraction de l oxygène, une meilleure utilisation des substrats énergétiques, une moindre production d acide lactique, un meilleur coût énergétique.
75 Glyco lyse Cytoplasme NADH + Ac. Pyruviqu Mitochondries Acetyl- CoA Hélice de Lynen Ac. Gras Avant entraînement aérobie Acyl-carnitine transférase Lipolyse Décarboxylation Cycle de Krebs O2 Mitochon. O2 Cytoplas. ADP + P Ac. Pyruvi. NADH NADH O2 LDH-M Navette ADP + P O2 Ac. Lactique H2O + ATP + CO2 Transporteur Lactates sanguins Sang CO2 O2
76 Glyco lyse Mitochondries Après entraînement aérobie Lipolyse Cytoplasme NADH + Ac. Pyr. Acetyl- CoA Hélice de Lynen Ac. Gras Acyl-carnitine transférase Cytoplasme Décarboxylation Cycle de Krebs O2 Mitochon. O2 Cytoplas. ADP + P Ac. Pyruvi. NADH NADH O2 LDH-H Navette ADP + P O2 Ac. Lactique H2O + ATP + CO2 Transporteurs Lactates sanguins Sang CO2 O2
77 Les adaptations périphériques, locales, musculaires à un programme d entraînement aérobie comportent aussi : - l apparition de certains isoenzymes (LDH...) - une augmentation de certains transporteurs et pompes membranaires ; - une augmentation des substances antiradicaux libres ; - des modifications du tissu conjonctif...
78 La lactate déhydrogénase est un tétramère constitué de deux types de monomères : monomères H et M. LDH 1 LDH 2 LDH 3 LDH 4 LDH 5 H H M H M H M M M M H H H H H M M H M M Coeur G. Rouges Coeur G. Rouges Cerveau Rein Foie Muscles (fibres II) Il existe donc cinq combinaisons possibles de ces monomères (LDH1 à LDH5) qui sont diversement réparties dans les différents organes
79 La forme musculaire de la LDH favorise le passage du pyruvate au lactate. La forme cardiaque de la LDH favorise le passage du lactate au pyruvate.
80 Le pourcentage de la LDH musculaire augmenterait après un entraînement anaérobie. Le pourcentage de la LDH cardiaque augmenterait dans le muscle après un entraînement aérobie.
81 Coeur Entraînement Boîte Capillaires Performance aérobie noire Fibres IetII V O2max longues distances
BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE
BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE І) INTRODUCTION II) BASES PHYSIOLOGIQUES III) PRINCIPES GENERAUX DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE IV) ENTRAINEMENT DANS LES DIFFERENTES FILIERES V) LA PLANIFICATION
Plus en détailLe Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.
Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailLES BASES PHYSIOLOGIQUES DE L EXERCICE MUSCULAIRE
LES BASES PHYSIOLOGIQUES DE L EXERCICE MUSCULAIRE Introduction Le joueur de tennis ou le lutteur réalise une multitude d actions individuelles ou combinées que l on peut résumer comme suit : il court,
Plus en détail1. Principes de biochimie générale. A. Bioénergétique et dynamique. a) Intro: Les mitochondries passent leur temps à fabriquer de l énergie.
RESPIRATION MITOCHONDRIALE 1. Principes de biochimie générale. A. Bioénergétique et dynamique. a) Intro: Les mitochondries passent leur temps à fabriquer de l énergie. b) Rappels: L énergie chimique sert
Plus en détailRespiration Mitochondriale
Université Pierre et Marie Curie Respiration Mitochondriale Objectifs au cours de Révisions Biochimie PCEM2 Révisions Biochimie Métabolique 2004-2005 Pr. A. Raisonnier (alain.raisonnier@upmc.fr) Mise à
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détailÉcole secondaire Mont-Bleu Biologie générale 035-534
École secondaire Mont-Bleu Biologie générale 035-534 I. Rappel sur anatomie du système digestif Unité 3 La vie une question d adaptation 2 Unité 3 La vie une question d adaptation 3 Unité 3 La vie une
Plus en détailLES ÉLÉMENTS CONSTITUTIFS DE L ENTRAÎNEMENT POUR UN DÉVELOPPEMENT À LONG TERME DE L ATHLÈTE
LES ÉLÉMENTS CONSTITUTIFS DE L ENTRAÎNEMENT POUR UN DÉVELOPPEMENT À LONG TERME DE L ATHLÈTE Février 2010 Avertissement de l auteur En couchant ces quelques lignes, je tente simplement de confronter ces
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne
ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une
Plus en détailTESTS D'EVALUATION DE LA PUISSANCE MAXIMALE AEROBIE ET ANAEROBIE. {LICENCE 98-99. H. VANDEWALLE et F. FRIEMEL. Sport et Vie, 1989} INTRODUCTION...
TESTS D'EVALUATION DE LA PUISSANCE MAXIMALE AEROBIE ET ANAEROBIE Le 08 Février 1999 {LICENCE 98-99. H. VANDEWALLE et F. FRIEMEL. Sport et Vie, 1989} RESUME...3 INTRODUCTION...3 1. MESURE DE LA PUISSANCE
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailQuoi manger et boire avant, pendant et après l activité physique
Quoi manger et boire avant, pendant et après l activité physique (comparaison entre athlètes et non-athlètes; nouvelles tendances comme le jus de betteraves) Comme vous le savez, l'alimentation de l'athlète
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détailActivité physique et diabète non insulinodépendant
8 Activité physique et diabète non insulinodépendant L activité physique est aussi importante pour le traitement du diabète de type 2 que l équilibre alimentaire. L activité physique, ce n est pas seulement
Plus en détail1 ère partie : Enzymologie et Métabolisme
SVI612 Biochimie-Immunologie Licence BGSTU Année 2007-2008 SVI612 Biochimie TD,TP 1 ère partie : Enzymologie et Métabolisme Enseignantes ichri Imène 05 57 12 25 72 ihichri@bordeaux.inra.fr Knoll-Gellida
Plus en détailProgramme de réhabilitation respiratoire
Programme de réhabilitation respiratoire Dr Jean-Marc Perruchini Service de Réhabilitation R respiratoire, Clinique de Médecine Physique Les Rosiers 45, Bd Henri Bazin, 21002 DIJON Cedex Mle Carine Lopez
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailTest de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance?
Test de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance? Ajaccio 12 mai 2012 F. Carré Université Rennes 1 Hopital Pontchaillou Inserm UMR 1099 Les «tests» chez le sportif Exploration performance
Plus en détailUtilisation des tests de terrain dans l orientation du contenu d entraînement dans les sports individuels et collectifs.
Utilisation des tests de terrain dans l orientation du contenu d entraînement dans les sports individuels et collectifs. (*) Université Victor Segalen Bordeaux 2 (**) Université de Montréal Georges CAZORLA
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailChapitre 7: Dynamique des fluides
Chapitre 7: Dynamique des fluides But du chapitre: comprendre les principes qui permettent de décrire la circulation sanguine. Ceci revient à étudier la manière dont les fluides circulent dans les tuyaux.
Plus en détailLe stress oxydant provoqué par l'exercice : une fatalité?
Le stress oxydant provoqué par l'exercice : une fatalité? L e métabolisme aérobie est un moyen très efficace de produire de l'énergie en oxydant la matière organique, mais l'utilisation d'oxygène entraîne
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailLa pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle
UEMPSfO - Physiologie Chapitre 4 : La pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle Professeur Christophe RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailAc#vité Physique et Diabète
Ac#vité Physique et Diabète DIAPASON 36 MSA Châteauroux 2012 Dr Thierry KELLER 27 & 28 septembre 2012 Quels Constats? L inac#vité TUE!! "30% Mortalité totale 9% Risque Cardio-Vasculaire (coronaropathie)
Plus en détailEvaluation de la Puissance maximale
Evaluation de la Puissance maximale Il est actuellement abusif de dénommer «tests d évaluation de la puissance maximale anaérobie alactique» des tests fondés sur la mesure d'une puissance mécanique. Ceci
Plus en détailSport et Me decine - Enseignement 2014-2015 3 e me anne e.
Sport et Me decine - Enseignement 2014-2015 3 e me anne e. ATHLETISME Activité obligatoire. Nombre de places : 36. Date du 1 er cours : 18 septembre 2014. Horaire : Jeudi de 15h00 à 16h30 (temps effectif!)
Plus en détailCHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détail2 C est quoi la chimie?
PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc
Plus en détailL univers vivant De la cellule à l être humain
L univers vivant De la cellule à l être humain La cellule humaine Voir : http://www.biologieenflash.net/sommaire.html Voir : http://fr.wikipedia.org/ La cellule humaine Unité de base de tous les êtres
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailLa gestion des hypoglycémies au cours du sport : insuline ou diététique?
La gestion des hypoglycémies au cours du sport : insuline ou diététique? Confrontations d Endocrinologie-Diabétologie Les Vaux de Cernay L Fouquet, S. Franc 25 Mars 2010 1 Observation n 2, Mme. S 42 ans,
Plus en détailI. Le test d Astrand-Ryhming (1954) avec nomogramme
TP U 42 ntraînement valuation de la consommation maximale d oxygène (VO 2 max) par une épreuve sous-maximale indirecte en laboratoire : le test d strand-yhming (1954) sur ergocycle. Le test d strand-yhming
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailINTÉRÊT DE LA MESURE DE LA LACTATEMIE APRÈS LES COMPÉTITIONS APPLICATION AU SUIVI DU RECORDMAN OLYMPIQUE DU 400 m. NAGE LIBRE 1984 T.
J.C. CHATARD, J.R. LACOUR, Laboratoire de Physiologie, G.I.P. Exercice Université de St Etienne, UER de Médecine, 30 rue F. Gambon, 42022 St Etienne Cedex M. PAULIN, 7, av. Division Leclerc, 69120 VENNISSIEUX
Plus en détailBanque Agro-Veto Session 2014 Rapport sur les concours A filière BCPST
1 Épreuve de biologie Épreuve non prise en compte au concours PC BIO Concours Nb cand. Moyenne Ecart type Note la plus basse Note la plus haute A BIO 2158 11,94 4,10 1 20 A ENV 883 13,54 3,69 1,5 20 Ce
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailExemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014
Exemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014 Commentaires pour l'évaluation Contenu du cahier de laboratoire Problématique : Le glucose est un nutriment particulièrement important pour le sportif.
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailDr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08
Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,
Plus en détailPROGRAMME RADAR DE RCA ROWING ATHLETE DEVELOPMENT AND RANKING (Développement et classement des athlètes d aviron) pour les athlètes de développement
PROGRAMME RADAR DE RCA ROWING ATHLETE DEVELOPMENT AND RANKING (Développement et classement des athlètes d aviron) pour les athlètes de développement olympiques et paralympiques Développé par Rowing Canada
Plus en détailATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION
ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus
Plus en détailQu'est-ce que la biométhanisation?
Qu'est-ce que la biométhanisation? La biométhanisation consiste en une série d'opérations de dégradations biologiques de matières organiques qui se produisent en l'absence d'oxygène. Les produits résultants
Plus en détailLa musculation CP5. Orienter et développer les effets de l activité physique en vue de l entretien de soi
La musculation CP5 Orienter et développer les effets de l activité physique en vue de l entretien de soi jmarchug@noos.fr marcel.lemire@ac-strasbourg.fr DEROULEMENT DU STAGE Présentation du stage - Début
Plus en détailInsulinothérapie et diabète de type 1
Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas
Plus en détailUniversité de Pau et des Pays de l Adour. Département STAPS de Tarbes. Maîtrise mention «Entraînement Sportif» Mémoire présenté par :
Université de Pau et des Pays de l Adour Département STAPS de Tarbes Maîtrise mention «Entraînement Sportif» Suivi longitudinal des paramètres physiologiques d une population de haut niveau en canoë-kayak
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailprésentée à l Institut National des Sciences Appliquées de Toulouse par Marlène COT
N ordre : 850 THESE présentée à l Institut National des Sciences Appliquées de Toulouse par Marlène COT en vue de l obtention du DOCTORAT De Sciences Ecologiques, Vétérinaires, Agronomiques et Bioingénieries
Plus en détailDOSSIER SCIENTIFIQUE DE L'IFN "LES GLUCIDES" SOMMAIRE
DOSSIER SCIENTIFIQUE DE L'IFN "LES GLUCIDES" SOMMAIRE AVANT-PROPOS (P. LOUISOT) TOME 1 PARTIE I : PARTIE I I : PARTIE III : PARTIE IV : STRUCTURE ET PROPRIETES PHYSICO-CHIMIQUES (J.P. SICARD, R. CACAN,
Plus en détailTitre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID. Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues.
Titre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues. Date de présentation : 2014 Lieu : Roubaix. Mis à disponibilité sur le site
Plus en détailLES OMEGA 3 OU LES ACIDES GRAS ESSENTIELS D ORIGINE MARINE
LES OMEGA 3 OU LES ACIDES GRAS ESSENTIELS D ORIGINE MARINE Pourquoi les Oméga 3 : Les huiles de poisson riches en EPA et DHA constituent les principaux apports en acides gras poly-insaturés de la famille
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailINTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE
INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE Les enzymes sont des macromolécules spécialisées qui - catalysent les réactions biologiques - transforment différentes formes d'énergie. Les enzymes diffèrent des catalyseurs
Plus en détailConcours du second degré Rapport de jury. Session 2013 CERTIFICAT D'APTITUDE AU PROFESSORAT DE L'ENSEIGNEMENT TECHNIQUE (CAPET)
Secrétariat Général Direction générale des ressources humaines Sous-direction du recrutement Concours du second degré Rapport de jury Session 2013 CERTIFICAT D'APTITUDE AU PROFESSORAT DE L'ENSEIGNEMENT
Plus en détailA ctivité. physique et santé. Arguments scientifiques, pistes pratiques
A ctivité physique et santé Arguments scientifiques, pistes pratiques Auteurs Pr Jean-Michel OPPERT, coordinateur, (Société française de Nutrition) Service de Nutrition, Hôtel-Dieu (AP-HP), Université
Plus en détailAPS résumé partie III
1 APS résumé partie III Les outils d évaluation de l activité physique Le but est de quantifier/ évaluer les activités physiques habituelles (non-structurées).on a plusieurs méthodes : - Indirectes (subjectives)
Plus en détailSTRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES
Plan de cours STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES 101-FYA-PT Pondération 3-1-2 Gilles Bourbonnais (C360) gilles.bourbonnais@dgpc.ulaval.ca Sciences de la Nature / PASC@L http://ici.cegep-ste-foy.qc.ca/profs/gbourbonnais/
Plus en détail5.5.5 Exemple d un essai immunologique
5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.
Plus en détailConditions de culture Consommation d O 2 (nmoles O 2 /min)
5.2.4. Effets de l anoxie/ré-oxygénation sur les chondrocytes équins 5.2.4.1. Respiration cellulaire (fonction mitochondriale) des chondrocytes équins Pour les essais en oxymétrie, 10 7 chondrocytes articulaires
Plus en détailUNIVERSITE DE LIMOGES FACULTE DE MEDECINE ************ ACTIVITE PHYSIQUE ADAPTEE CHEZ LE DIABETIQUE DE TYPE 2 PRATIQUE DES MEDECINS GENERALISTES
UNIVERSITE DE LIMOGES FACULTE DE MEDECINE ************ ANNEE 2011 THESE N ACTIVITE PHYSIQUE ADAPTEE CHEZ LE DIABETIQUE DE TYPE 2 PRATIQUE DES MEDECINS GENERALISTES EEMPLE D UN PROGRAMME D ACTIVITE PHYSIQUE
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailL équilibre alimentaire.
L équilibre alimentaire. Une bonne nutrition est un incontestable facteur de bonne santé. Dans la médecine traditionnelle chinoise, certains aliments bien utilisés servent de remèdes pour prévenir et traiter
Plus en détailAvancées dans la maladie de Pompe
AVANCÉES DE LA RECHERCHE Avancées dans la maladie de Pompe > Glycogénose musculaire de type II > Déficit en alpha-glucosidase acide > Déficit en maltase acide > Maladie de Pompe à début tardif > Pompe
Plus en détailChapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire
UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailLa fibrillation auriculaire : au cœur du problème
La fibrillation auriculaire : au cœur du problème Cette brochure a été spécialement conçue pour les personnes souffrant de fibrillation auriculaire (FA), un trouble souvent décrit comme un rythme cardiaque
Plus en détailPourquoi je ne vois pas mes abdos?
Un e dossier élaboré par Peter Blanken Introduction : La réponse courte est la suivante: parce que les muscles sont cachés par une couche de graisse La réponse détaillée à cette question se trouve dans
Plus en détailCompléments - Chapitre 5 Spectroscopie
ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une
Plus en détailMéthodes de mesure des activités enzymatiques
4280_ Page 923 Jeudi, 18. juillet 2013 3:07 15 Méthodes de mesure des activités enzymatiques B. BAUDIN Service de biochimie A, hôpital Saint-Antoine, AP-HP, Paris et UFR de pharmacie, Châtenay-Malabry,
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détail------- SESSION 2013 ÉPREUVE À OPTION. (durée : 4 heures coefficient : 6 note éliminatoire 4 sur 20) CHIMIE
CNCURS SUR ÉPREUVES UVERT AUX CANDIDATS TITULAIRES D UN DIPLÔME U TITRE CNFÉRANT LE GRADE DE MASTER U D'UN DIPLÔME U TITRE HMLGUÉ U ENREGISTRÉ AU RÉPERTIRE NATINAL DES CERTIFICATINS PRFESSINNELLES AU NIVEAU
Plus en détailPLAN ENTRAINEMENT TRAIL LONG (>60 KM) FORTE DÉNIVÉLATION (>2 KM D+)
PLAN ENTRAINEMENT TRAIL LONG (>60 KM) FORTE DÉNIVÉLATION (>2 KM D+) 6 semaines de préparation générale + 5 semaines de préparation spécifique 4 séances par semaine Préambule: Toutes les données que vous
Plus en détailMesure du débit et volume sanguins. Cause des décès au Canada
Mesure du débit et volume sanguins Damien Garcia Damien.Garcia@ircm.qc.ca Laboratoire de génie biomédical IRCM, Montréal Cause des décès au Canada Autres ( 16% ) Respiratoire ( 9% ) Diabète ( 3% ) Cancer
Plus en détailL ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN
L ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN TABLE DES MATIÈRES Présentation 1 L alcool, différent des autres aliments 2 Différent au moment de l absorption 3 Différent au moment de l élimination 4 Différent dans les conséquences
Plus en détailTEST D'APTITUDES PHYSIQUES POUR LES TECHNIQUES AMBULANCIÈRES ( TAPTA )
TEST D'APTITUDES PHYSIQUES POUR LES TECHNIQUES AMBULANCIÈRES ( TAPTA ) PRÉAMBULE Toute personne désireuse de faire carrière en techniques ambulancières au Québec doit réussir le test d'aptitudes physiques,
Plus en détailDIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS
DIABETE ET SPORT Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE TYPE 1#TYPE 2 Jeunes sportifs Risque hypoglycémie Adaptation schémas Autosurveillance +++ Sports souvent sources de difficultés Contre
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailSANTÉ. E-BOOK équilibre. stop. cholesterol diabete hypertension. Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT!
SANTÉ stop cholesterol diabete hypertension E-BOOK équilibre Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT! un peu d histoire... Il y a 200 ans, un Français faisait en moyenne entre
Plus en détailSport et alpha ANNEXES
Sport et alpha ANNEXES Edition 2013 TABLE DES MATIERES Table des matières 1 Alimentation 2 Boire, Boire, Boire... 2 Et à l approche des «20 km de Bruxelles»? 3 Et pendant l épreuve? 3 Stretching 4 Avant
Plus en détailBiochimie I. Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1. Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst
Biochimie I Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1 Daniel Abegg Sarah Bayat Alexandra Belfanti Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst Laboratoire
Plus en détailEpreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9
Epreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9 Travaux pratiques de biologie... 17 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 26 Travaux d initiative personnelle encadrés
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détailChapitre 2 : Respiration, santé et environnement.
Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Rappels : L air qui nous entoure contient 3 gaz principaux: 71% d azote, 21% d oxygène, 0,03 % de CO2 et quelques gaz rares. L eau de chaux se trouble
Plus en détailDéfibrillation et Grand Public. Méd-Cl JAN Didier Médecin chef Méd-Cne PIVERT Pascaline
Défibrillation et Grand Public Méd-Cl JAN Didier Médecin chef Méd-Cne PIVERT Pascaline Quelques chiffres (1) 50 à 60 000 décès en France par mort subite dont la moitié font suite à l apparition d une tachycardie
Plus en détailN 1. Vol. 6 Janvier 2012. Diabète Lipides Obésité Risques cardio-métaboliques Nutrition. Dossier thématique ISSN : 1957-2557.
Diabète Lipides Obésité Risques cardio-métaboliques Nutrition Éditorial 293 Deux clés de réussite de la thérapeutique : d abord le bon usage des médicaments et l autonomie du patient S. Halimi Dossier
Plus en détailTRAIT FALCIFORME. Clinique spécialisée d hématologie pédiatrique
TRAIT FALCIFORME Clinique spécialisée d hématologie pédiatrique Une analyse sanguine a été effectuée chez votre enfant, soit à la naissance, soit à la demande de votre médecin. Cette analyse a démontré
Plus en détailCompétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur
Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)
Plus en détailC. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) > NOTE D APPLICATION N 2
C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) - JANVIER 2008 INTRODUCTION La fabrication de semi-conducteurs nécessite un environnement de production extrêmement stable en température et hygrométrie.
Plus en détailFONC N T C IONN N E N L E S
BONBONS FONCTIONNELS SOLPIDIS est une entreprise espagnole située en Valence. Elle née avec l objectif d offrir a ses clients des produits innovants et fonctionnels. On est constamment en mouvement pour
Plus en détailAnnales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année)
Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Equipe pédagogique Université Bordeaux-1 Didier Morin, Michel Moenner, Sophie North, Gérard Tramu et IJsbrand Kramer Contact : i.kramer@iecb.u-bordeaux.fr
Plus en détail«Boire un verre de vin par jour augmente la longévité.»
«Boire un verre de vin par jour augmente la longévité.» Boire peu pour boire longtemps. Marcel Aymé Le vin est dans notre pays synonyme de plaisir (gastronomique) ou de déchéance (alcoolique). Le débat
Plus en détailEnergie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015
Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la
Plus en détailINFLUENCE DU TERRAIN LORS D UN EFFORT RÉALISÉ À PUISSANCE MAXIMALE AÉROBIE EN CYCLISME
Séminaire des entraineurs et cadres techniques du cyclisme, Bourges, 09 Novembre 2013 INFLUENCE DU TERRAIN LORS D UN EFFORT RÉALISÉ À PUISSANCE MAXIMALE AÉROBIE EN CYCLISME Anthony BOUILLOD1,2, Julien
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailLD-P PRINCIPE ECHANTILLON. Coffret référence 442660. REVISION ANNUELLE Date. Date APPLICATION
Systèmes SYNCHRON CX Mode d emploi Copyright 2007 Beckman Coulter, Inc. Lactate déshydrogénase Coffret référence 442660 Pour utilisation diagnostique in vitro REVISION ANNUELLE Revu par : Date Revu par
Plus en détail