Lyon, mai 2011 Auditorium

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1 Conseil de Direction GC/53/11 Cinquante-troisième Session 28/04/2011 Lyon, mai 2011 Auditorium Préambule PLAN DES FUTURS PROJETS D INFRASTRUCTURE, Y COMPRIS LES OPTIONS DE FINANCEMENT 1. Depuis 1972, le CIRC occupe la tour mise à sa disposition par la Ville de Lyon, sur la base d un accord entre la Ville, la France en tant que pays hôte et le Centre. Cet accord est régi par la Convention signée par la France et l Organisation mondiale de la Santé le 14 mars 1967 et entérinée par le gouvernement français par le décret numéro du 9 juin Un accord entre la Ville de Lyon et la France a été signé le 1 er octobre 1972 et révisé le 10 mai Cet accord court jusqu au 30 septembre Le Centre a depuis construit des bâtiments supplémentaires : la salle Princesse Takamatsu et la salle Sasakawa, le Centre de Ressources Biologiques (BRC) et le bâtiment Latarjet, qui ne relèvent pas de la responsabilité de la Ville de Lyon. 2. Depuis la 52 ème Session du Conseil de Direction, le Secrétariat du CIRC a évalué en détail l ampleur et les implications financières d une rénovation de la Tour du CIRC. Cette analyse a révélé un état de détérioration bien pire que ce que le Secrétariat avait estimé il y a un an. Cette nouvelle information a transformé une discussion relativement technique sur la rénovation et l adaptation du bâtiment aux futures activités du CIRC, en une discussion de principe : la construction d un nouveau bâtiment s impose-t-elle pour mieux répondre aux besoins du Centre pour les vingt ou trente prochaines années. 3. Le but du présent document est d exposer les progrès accomplis à ce jour afin de tenter de mettre en place un environnement de travail adapté au Centre et de définir clairement les étapes nécessaires pour parvenir à un accord sur la marche à suivre. Ce processus dure depuis déjà plusieurs années et l absence de solution est l un des principaux risques pour l avenir du CIRC. Activités réalisées jusqu à présent 4. Le Conseil de Direction a établi un Groupe de Travail sur l Infrastructure (WGI) en 2007 qui devait présenter un rapport au 50 ème Conseil de Direction en mai Le WGI ne s est pas réuni entre mai 2007 et 2008 et le Conseil de Direction a donc demandé que le WGI se réunisse au cours de l année 2008 et présente son rapport à la 51 ème Session, en mai 2009.

2 GC/53/11 Page 2 Conseil de Direction Plan des futurs projets d infrastructure 5. Le WGI s est réuni en septembre 2008 et a décidé de demander à un expert extérieur SOCOTEC de réaliser un examen technique de l ensemble des bâtiments du CIRC et d établir une liste complète des projets d entretien et de restauration des bâtiments, en incluant leur coût. Tout ceci devait être suivi de discussions avec la Ville de Lyon et le pays hôte afin d établir une liste définitive des travaux et les moyens de financement. 6. Le nouveau Directeur du CIRC est entré en fonction en janvier 2009 et le Secrétariat du CIRC a rencontré la Ville de Lyon et le pays hôte le 23 février 2009 afin d établir une relation de travail et de finaliser les futurs projets d infrastructure. Le WGI s est réuni le 27 février 2009, afin de pouvoir présenter un rapport à la 51 ème session du Conseil de Direction. La discussion a été suivie d une réunion le 27 avril 2009, où étaient présents le Secrétariat ainsi que la Ville de Lyon et le pays hôte. 7. Un document (GC/51/10) a été présenté à la 51 ème Session du Conseil de Direction, qui a abouti à la Résolution GC/51/R8 qui demande au CIRC de poursuive ses négociations avec la Ville de Lyon et le pays hôte afin que ces derniers incluent les ressources nécessaires dans leurs budgets respectifs à partir de 2010 et jusqu à la fin des travaux préalablement définis. La Résolution priait aussi le Directeur d élaborer un plan-cadre d infrastructure à long terme, en s appuyant sur sa vision des activités futures du Centre. 8. Le Secrétariat, la Ville de Lyon et le pays hôte se sont réunis deux fois avant la 52 ème Session du Conseil de Direction, au cours de laquelle un nouveau document (GC/52/11) a été présenté et une Résolution (GC/52/R8) a été adoptée afin d exiger qu une analyse détaillée des besoins en bureaux et en laboratoires et un plan des futurs projets d infrastructure, y compris dans leurs aspects financiers, soient présentés et discutés à la prochaine session ordinaire du Conseil de Direction. 9. Depuis la dernière réunion du Conseil de Direction, le Secrétariat a pris rendez-vous avec la Ville de Lyon et le pays hôte pour novembre 2010, rendez-vous repoussé à janvier 2011 à la demande de la Ville de Lyon. Une autre réunion s est tenue le 25 février Du fait de l annulation de la participation de la Ville de Lyon, une réunion prévue le 8 avril 2011 a dû être reportée. 10. L option discutée lors des réunions précédentes avec la Ville de Lyon et le pays hôte, et présentée dans les documents fournis au préalable au Conseil de Direction, prévoyait une rénovation progressive des différents bâtiments du CIRC, avec un récapitulatif des coûts à répartir entre la Ville de Lyon, le pays hôte et le Centre, par l intermédiaire de ses Etats participants. Ces documents étaient en grande partie basés sur le rapport de la SOCOTEC de 2008 (Annexe 1). 11. Cependant, en réponse à la Résolution passée lors de la 52 ème Session du Conseil de Direction, une analyse plus poussée, effectuée par le Secrétariat sur l état de détérioration de la tour, en consultation avec des experts extérieurs ayant auparavant donné leur avis sur des projets réalisés sur des bâtiments similaires à ceux du CIRC, nous amène maintenant à la conclusion que cette approche n est pas la meilleure, tant en termes d économies qu en termes techniques. Il devient évident que le rapport de la SOCOTEC n a pas entièrement rendu compte

3 Conseil de Direction GC/53/11 Plan des futurs projets d infrastructure Page 3 de l état de détérioration de la tour et a sous-estimé le coût total de la rénovation. De plus, l interruption des activités scientifiques du Centre au cours des travaux de rénovation n a pas été entièrement prise en compte dans cette analyse. 12. De surcroît, les négociations avec la Ville de Lyon ont révélé une divergence d opinions concernant les obligations de la Ville en tant que propriétaire et celles du Centre en tant que locataire. Ainsi, lorsque la première partie du plan de rénovation de la SOCOTEC a été délivrée en avril 2011, une partie de la chaufferie centrale a été remplacée mais la Ville de Lyon a considéré que toute la tuyauterie rouillée sous le système de chauffage lui-même était de la responsabilité du Centre. Si cette division des responsabilités est validée, alors le Centre va devoir faire face à des coûts de rénovation importants afin de garder le bâtiment en état de fonctionner. Au vu du vieillissement et de la détérioration générale de la tour, la position du CIRC est que la Ville de Lyon, en sa qualité de propriétaire, est responsable de cette rénovation majeure. 13. Depuis son arrivée en janvier 2009, le Directeur a demandé à plusieurs reprises à rencontrer le Maire de la Ville de Lyon pour discuter de l état de la Tour et des difficultés qui en résultent pour le Centre. Le Maire a accepté de rencontrer brièvement le Directeur le 30 mars 2010 en marge d une conférence tenue à Lyon ; au cours de cette réunion le Maire s est engagé verbalement à remplacer le système de climatisation. Dans le droit fil de ces discussions, plusieurs lettres ont été adressées au Maire par le Directeur le 22 avril 2010, le 15 juin 2010, le 29 septembre 2010, le 24 janvier 2011 et le 9 mars Aucune réponse écrite n a été reçue à ce jour, bien qu une réunion ait été fixée au 9 mai Etat actuel de la tour 14. Suite à la remise du rapport de la SOCOTEC le 8 décembre 2008, la Ville de Lyon a accepté de remplacer deux chaudières, en 2010 et 2011, respectivement. La première de ces chaudières est en cours de remplacement en avril 2011 et devrait entrer en service mijuin La Ville de Lyon s est engagée en janvier 2010 à recourir à ses propres services spécialisés afin de commencer à estimer le coût des travaux liés au système de climatisation, en parallèle avec ceux de la chaufferie centrale. Cette étude n a pas encore été réalisée. 15. Les principaux obstacles rencontrés dans le bâtiment actuel sont les suivants : a) un système central de traitement de l air en détérioration. L unité de traitement de l air, et particulièrement les conduites d eau réfrigérées situées au second sous-sol, sont dans un état de corrosion avancé. De plus, les tours aéroréfrigérantes engendrent un risque de légionellose, confirmé au cours de contrôles de routine, et nécessitent une désinfection coûteuse. Afin d être conformes aux normes actuelles et à venir, les conduites d air et d eau des unités de traitement de l air des laboratoires, qui proviennent du sous-sol, devraient être remplacées par des conduites permettant un flux plus important. Comme la structure actuelle de la tour ne le permet pas, la seule solution pratique serait de sacrifier un étage de laboratoires pour

4 GC/53/11 Page 4 Conseil de Direction Plan des futurs projets d infrastructure y abriter une unité de traitement de l air indépendante entre deux autres étages de laboratoires. b) un système de climatisation rouillé et inefficace. Le système de climatisation est basé sur un procédé obsolète et coûteux qui fonctionne sans recyclage, valorisation énergétique ou optimisation du système de régulation. La corrosion atteint des niveaux dangereux, selon tous les experts contactés et elle est visible sur les photos du rapport de la SOCOTEC (Annexe 1). Cela peut à terme conduire au percement de l une des conduites, ce qui aboutirait à une défaillance des systèmes de ventilation et de refroidissement et à l évacuation forcée du bâtiment. c) des façades mal isolées. Les façades ne sont plus imperméables et laissent entrer la poussière et les microbes, ce qui entraîne un gaspillage énergétique et des problèmes d hygiène. Cela se ressent particulièrement sur la qualité du travail en laboratoire, du fait des contaminations fréquentes, coûteuses en temps perdu, en argent et en perte d échantillons biologiques. d) des coûts annuels de réparation et de fonctionnement élevés. Les coûts de fonctionnement, d entretien et de réparation du bâtiment sont extrêmement élevés. Par exemple, en plus du contrat d entretien annuel, signé avec SEITHA ( ), la société responsable de la chaufferie et du traitement de l air, le Centre a dépensé l année dernière dans des réparations rendues nécessaires par le mauvais état de l infrastructure. Ce coût annuel élevé d entretien de routine et de réparation ira en s accélérant et continuera de mobiliser des fonds qui devraient aller à la recherche scientifique. En outre, la tour exige des frais de fonctionnement en énergie, eau et sécurité excessivement élevés et en constante augmentation, à cause des systèmes de chauffage et de refroidissement complètement dépassés, de l absence d isolation et du fort coût des mesures de sécurité associées aux bâtiments de grande hauteur. Ainsi, le coût du chauffage central au gaz est estimé à en 2011, contre en 2010, tandis que le coût de l électricité va continuer d augmenter d environ 5% par an. Il est aussi à noter qu à cause de la grande hauteur de la tour, le Centre dépense chaque année pour les services de sécurité. e) l empreinte carbone. Une étude récente de l empreinte carbone du Centre par VERITAS (Annexe 2) a révélé un bâtiment hautement inefficace, du fait que toutes les infrastructures d isolation, de chauffage et de refroidissement datent d avant la première crise pétrolière de Ces mauvais résultats ont par ailleurs également été constatés par une autre étude VERITAS sur la consommation énergétique (Annexe 3). f) un bâtiment inadapté aux activités scientifiques. L agencement des locaux du Centre est peu adapté à ses activités scientifiques actuelles et à venir, et ceci par de nombreux aspects. Premièrement, l un des éléments fondamentaux de la Stratégie à Moyen terme du Centre ( ) est la recherche interdisciplinaire, ce qui implique des interactions entre les épidémiologistes et les chercheurs en laboratoire. La répartition des Groupes et Sections dans plusieurs bâtiments et la configuration tout en hauteur de la tour n encouragent pas ces interactions. En second lieu, la recherche en laboratoire offre des opportunités énormes pour le futur de

5 Conseil de Direction GC/53/11 Plan des futurs projets d infrastructure Page 5 l épidémiologie et de la prévention du cancer. Or, les laboratoires du CIRC situés dans la tour sont dépassés et ne remplissent pas les critères des installations de pointe modernes. Leur disposition entraîne aussi la multiplication des fonctions et une efficacité moindre. De plus, la perte d un ou de deux étages de laboratoires afin de résoudre le problème du traitement de l air décrit ci-dessus est inenvisageable. Des solutions temporaires ont déjà dû être trouvées au BRC pour le nouveau Groupe Biomarqueurs. Cela met en péril le recrutement futur de chercheurs en laboratoire de haut niveau. Troisièmement, le Centre est surpeuplé. La configuration de la tour entraîne la perte de 40% de l espace disponible (couloirs, ascenseurs, services, etc.). Une solution partielle serait de convertir le 13 ème étage (ex-animalerie) en bureaux et salles de réunions mais cette transformation serait onéreuse ; une estimation faite il y a quelques années l a évaluée à 1,5 million d euros, en supposant que l on n y trouve pas d amiante. Enfin, d autres besoins fondamentaux liés aux activités du Centre ne sont pas satisfaits, notamment à cause du manque d espace pour la Biobanque du CIRC en pleine expansion et du manque de salles de réunions. g) infrastructure de laboratoire du CIRC. L infrastructure actuelle de laboratoire du CIRC est dispersée sur plusieurs sites et occupe cinq des treize étages de la tour. De même, les archives de matériel biologique et la Biobanque, qui sont une ressource centrale du CIRC, sont situées à plusieurs endroits de la tour et au rez-de-chaussée du BRC. Bien que des techniques similaires soient utilisées par les divers groupes de recherche, les laboratoires sont organisés selon les besoins spécifiques de chaque groupe de recherche. Cette situation entraîne des doublons et complique la création d installations communes centralisées, permettant l accès facile à des équipements sophistiqués et à haut débit. En plus de cela, le besoin croissant d espace de laboratoire pour héberger de l équipement neuf et plus actuel, rend de nombreux laboratoires, adaptés à l époque de la construction de la tour, totalement obsolètes aujourd hui. Des altérations ont donc été faites au fil des années afin de s adapter à la croissance et aux changements. Ainsi, le 6 ème étage, qui était initialement un étage de bureaux, héberge maintenant des laboratoires. Ces modifications ont soulevé un certain nombre de problèmes qui ont été résolus de façon ad-hoc, tels que les revêtements muraux et de sol, inadaptés dans les bureaux convertis en laboratoires, un manque d installations d hygiène, de zones propres et de vestiaires, et un flux d air incontrôlé. Ce dernier est la conséquence du grand nombre de hottes de sécurité qui compromettent maintenant l approvisionnement en air frais, avec la possibilité d une contamination de l environnement de laboratoire. L actuelle installation L2 du CIRC, obsolète, représente un autre problème majeur de sécurité ; le système n est pas en règle avec les règlementations de sécurité françaises et doit être modernisé de toute urgence. 16. Un certain nombre de problèmes techniques ont été identifiés par la SOCOTEC dans son rapport de 2008 (Annexe 1). Cependant, les travaux de rénovation nécessaires sont plus étendus que prévu, l interruption des activités durant la rénovation n a pas été prise en compte et le lien entre la Stratégie à moyen terme du Centre et son fonctionnement au quotidien n a pas été intégré dans ce rapport technique.

6 GC/53/11 Page 6 Conseil de Direction Plan des futurs projets d infrastructure Options futures 17. Sur la base de ces observations et en prenant en compte l avenir des locaux du Centre, le Secrétariat envisage : a) l option d un nouveau bâtiment sur un nouveau site ; b) la rénovation de la tour et c) la construction de nouveaux laboratoires sur le site actuel, associée à la rénovation de la tour. 18. Un certain nombre de principes doivent être pris en considération dans ces options : Les locaux doivent être adaptés aux futures activités scientifiques du Centre ; La mise en place de nouveaux locaux adaptés ne doit pas interrompre outre mesure le fonctionnement des programmes de recherche du Centre ni affecter sa capacité à recueillir des fonds extrabudgétaires ; Une perspective à long terme doit être adoptée afin de garantir la pérennité de l excellente réputation du Centre et son attractivité auprès des meilleurs scientifiques ; Les interactions scientifiques locales doivent être prises en compte, particulièrement en ce qui concerne la recherche en laboratoire ; Le Centre, de par sa mission, recevant un grand nombre de visiteurs chaque année, venus de l étranger pour la plupart, un accès pratique par les transports publics est essentiel ; Les locaux doivent être adaptés à la protection de l environnement et minimiser les dépenses sur les bâtiments au détriment de la recherche. 19. La priorité du Centre est de maintenir ses liens historiques avec la Ville de Lyon et sa communauté scientifique. 20. Les avantages et inconvénients des trois différentes options sont analysés dans les tableaux ci-dessous. Après cette évaluation, la seconde option d un nouveau bâtiment sur le site actuel a été abandonnée, pour les raisons mentionnées dans les tableaux. OPTION AVANTAGES INCONVENIENTS 1. Construction d un nouveau Centre à Lyon 1. Un bâtiment horizontal de quatre à cinq étages optimisera l interaction scientifique, conformément à la Stratégie à moyen terme du Centre 2. Le calendrier (cinq ans au maximum entre la planification et l occupation) 3. Les estimations initiales suggèrent que le coût est plus avantageux que celui de la rénovation 1. Les procédures administratives peuvent être lourdes pour la Ville de Lyon et le pays hôte. Elles pourraient être allégées par le transfert des responsabilités de la construction au CIRC, ou en envisageant un partage de la propriété du projet, avec une gestion par le CIRC 2. La nécessité pour la Ville de Lyon de trouver et de faire don d un terrain facile d accès par les transports publics

7 Conseil de Direction GC/53/11 Plan des futurs projets d infrastructure Page 7 OPTION AVANTAGES INCONVENIENTS 4. La réduction substantielle des coûts de fonctionnement et de l empreinte carbone 3. Les bâtiments BRC et Latarjet seraient vendus comme actifs. 5. L interruption limitée des programmes de recherche du Centre a) 6. Le financement possible par la revente du terrain et des bâtiments actuels a) Les bâtiments actuels du CIRC sont situés en zone urbaine, classée «URM», ce qui permet une implantation mixte de bureaux, d appartements et de boutiques en rez-de-chaussée, lui conférant ainsi une valeur de revente plus élevée. La valeur actuelle est estimée à 16,8 millions d euros sur la base d une valeur de revente des bâtiments d une moyenne de 1500 le m² ; la valeur de revente estimée du Latarjet seul est de 4 millions d euros, à 2000 le m². OPTION AVANTAGES INCONVENIENTS 2. Construction 1. Pas de déménagement de nouveaux laboratoires à la place du parking du CIRC 2. Conservation des bâtiments existants 3. Possibilité d accroître l espace disponible pour la recherche 4. Certains des avantages énumérés pour l option 1 ci-dessus (construction d un nouveau bâtiment) s appliquent en grande partie à cette option 1. Davantage de fragmentation par rapport à la situation actuelle à cause de la séparation des disciplines 2. Pas de fonds provenant de la vente du complexe actuel (à moins que la vente du Latarjet puisse être envisagée) 3. Il faudra tout de même rénover la tour 4. Longue période d interruption des activités à cause de la construction progressive des laboratoires et de la rénovation de la tour

8 GC/53/11 Page 8 Conseil de Direction Plan des futurs projets d infrastructure OPTION AVANTAGES INCONVENIENTS 3. Rénovation complète des locaux actuels Comme pour l option précédente, les avantages sont : 1. Pas de déménagement 1. Longue période de travaux, jusqu à 10 ans, entraînant une longue interruption des activités scientifiques, les mettant en péril 2. Conservation des bâtiments actuels 2. Requiert la location coûteuse d espaces de bureaux et de laboratoires pendant la rénovation 3. Coût élevé qui se traduit par une rénovation superficielle mais une structure vieillissante ; les fissures existantes au sous-sol et sur les terrasses confirment ce point 4. Nécessité d une rénovation du 13 ème étage afin d assurer un espace approprié aux activités scientifiques et perte d au moins un étage de laboratoires 5. Les coûts de fonctionnement élevés et les bâtiments de grande hauteur peu adaptés aux activités scientifiques demeureront 6. Le Diagnostic Amiante a confirmé la présence d amiante dans certains composants du bâtiment. Etant donné l âge du bâtiment, il est probable que l on trouve de l amiante dans les tuyauteries et les murs, entraînant des coûts supplémentaires dus à la nécessité de mesures spéciales de décontamination.

9 Conseil de Direction GC/53/11 Plan des futurs projets d infrastructure Page 9 Option d un nouveau bâtiment 21. La superficie totale du terrain actuel est de 8710 m², dont 7200 m² sont occupés par la tour, ses annexes et le parking. Les bâtiments BRC et Latarjet occupent un espace total de 1510 m². La superficie hors œuvre nette est de m². 22. La superficie totale nécessaire à la construction d un nouveau bâtiment a été estimée sur la base de bureaux de 16 m² pour les membres du personnel professionnel et de 12 m² pour les membres du personnel des Services généraux et des autres catégories. 23. Le total calculé ci-dessus pour les bureaux a été augmenté de 20% afin de prendre en compte la surcharge actuelle des locaux et permettre d agrandir à moyen et long terme. De même, en prenant en compte la surcharge des laboratoires, la surface actuelle a été augmentée de 20% et une surface supplémentaire de 600 m² a été ajoutée pour la Biobanque du CIRC, qui aura un rôle central. 24. La capacité des autres surfaces, telles que les salles de réunions et de stockage, qui n est pas adaptée actuellement aux activités du Centre, a été augmentée de 50%. 25. Il est important de noter que si les estimations ci-dessus prennent en compte une augmentation de la surface utilisable, la superficie totale du nouveau bâtiment proposé n est supérieure que de 6,3% à la surface actuelle car un bâtiment moins élevé, ne comportant que quatre ou cinq étages, a beaucoup moins de surface «perdue» qu un bâtiment élevé (environ 20% contre 40%). SUPERFICIE PROPOSEE EN M 2 EQUIVALENTE A LA SURFACE ACTUELLE DE REFERENCE SUPERFICIE ACTUELLE DE L ENSEMBLE DES BATIMENTS DU CIRC EN M AUGMENTATION 6,3% Note : les sous-sols n ont pas été pris en compte dans le calcul des deux superficies car ils sont inclus dans les frais de construction 26. Après avoir établi une superficie prévisionnelle pour le nouveau bâtiment, les coûts indicatifs ont été estimés à 2500 le m² pour les laboratoires et à 1500 le m² pour les autres espaces, y compris la Biobanque et 100 espaces de stationnement souterrains (à par espace de stationnement). 27. Le coût total est donc estimé à , dont il faut retrancher le prix de revente des bâtiments Latarjet, BRC, Takamatsu, Sasakawa et de la tour. L estimation actuelle pour cette dernière est de en se basant sur un prix de 1500 le m², selon les prix actuels des terrains dans le quartier. Cela comprend une estimation prudente du seul bâtiment Latarjet à , soit 2000 le m² et suppose une valeur de revente nulle pour le BRC. Cependant, le Secrétariat considère ces valeurs comme indicatives et demande une estimation préalable par le Service des Domaines de l Etat. 28. Enfin, un certain nombre de frais additionnels sont entraînés par la rénovation de la tour mais qui pourraient être évités par la construction du nouveau bâtiment. Il y aurait cependant un coût entraîné par les réparations urgentes nécessaires pour assurer le fonctionnement de la

10 GC/53/11 Page 10 Conseil de Direction Plan des futurs projets d infrastructure tour actuelle pendant les cinq ans de construction. Ces réparations sont estimées à environ , et devraient probablement être financées par des ressources procurées par le Conseil de Direction. 29. Le tableau ci-dessous décrit les coûts estimés en cas de construction d un nouveau centre, y compris les économies réalisées si l on évite la location de locaux temporaires pendant la rénovation : TOTAL en Ville de Lyon en CIRC en CONSTRUCTION D UN NOUVEAU CENTRE MOINS LA VENTE DU TERRAIN ET DES BÂTIMENTS MOINS LA LOCATION DE LABORATOIRES SUR 3 ANS MOINS LA LOCATION DE BUREAUX SUR 3 ANS PLUS LES REPARATIONS D URGENCE PENDANT LA PERIODE DE CONSTRUCTION FONDS ADDITIONNELS NECESSAIRES Le coût total du nouveau bâtiment pourrait encore être réduit si l on construit un parking au niveau du sol, ce qui nécessiterait tout de même une plus grande superficie de terrain, qui pourrait dans le futur être utilisée pour une extension des bâtiments. 31. Il faut noter que l analyse la plus récente suggère fortement que les coûts de rénovation présentés au Conseil de Direction lors de la 52 ème Session étaient largement sous-estimés. Par exemple, le remplacement des 119 éléments qui fournissent le chauffage et la climatisation du rez-de-chaussée, du 1 er et du 2 ème étage est actuellement estimé à Ces travaux représentent à eux seuls 10% des coûts totaux de rénovation estimés par la SOCOTEC (Annexe 1). Les travaux s étendraient sur six mois, soit une estimation de deux mois par étage, détériorant les conditions de travail et entraînant un ralentissement de la productivité. Même ainsi, les nouveaux éléments de chauffage et de climatisation resteront inefficaces en termes de consommation énergétique, à cause de la configuration générale du système. 32. Le nouveau bâtiment a certains avantages supplémentaires qui sont considérables, bien qu ils ne soient pas pris en compte dans les coûts. Premièrement, il participera à l économie locale grâce aux travaux de construction. Deuxièmement, le nouveau bâtiment réduira considérablement l empreinte carbone, la consommation énergétique et les coûts de fonctionnement du Centre.

11 Conseil de Direction GC/53/11 Plan des futurs projets d infrastructure Page 11 Option de rénovation du bâtiment actuel 33. Le coût estimé de la rénovation, basé sur le rapport de la SOCOTEC, mais avec des prix plus précis et actualisés, est de , ce qui comprend : la conversion du 13 ème étage en bureaux, la rénovation des façades extérieures et des composants techniques tels que le traitement de l air, la climatisation et le chauffage. Cette estimation ne prend pas en compte la rénovation des étages eux-mêmes, estimée à 700 le m² soit , c est-à-dire un total de 17 millions d euros. Le coût de la location de bureaux et d un minimum d espace de laboratoire pour au moins trois ans devra être ajouté à cette estimation. Le coût de la location de salles de réunions n a pas été ajouté pour le moment. 34. Le tableau ci-dessous résume les coûts dans l hypothèse d une rénovation de la tour actuelle : TOTAL en Ville de Lyon en CIRC en RENOVATION DE LA TOUR, PROPRIETE DE LA VILLE DE LYON LOCATION DE LABORATOIRES SUR 3 ANS LOCATION DE BUREAUX SUR 3 ANS FONDS ADDITIONNELS NECESSAIRES Avec la seconde option, un bâtiment supplémentaire sur le site actuel, option considérée comme la moins adaptée, la troisième option d une rénovation complète de la tour, selon les experts consultés, prendrait deux fois plus de temps et aurait un coût net bien supérieur à celui d une nouvelle construction. Cela s explique essentiellement par le coût du démontage des façades, des systèmes de traitement de l air, de chauffage, etc., de leur enlèvement et de leur recyclage. 36. Comme détaillé ci-dessus, l option de rénovation ne permettrait pas au CIRC d avoir l occasion d adapter son espace à son utilisation future. Les coûts de fonctionnement supplémentaires entraînés par la qualification d «immeuble de grande hauteur» de la tour, la faible performance environnementale, les limites à l expansion future et la probabilité de la présence d amiante dans la construction, notamment au 13 ème étage, rendent également cette option peu attractive. 37. Comme détaillé ci-dessus, les contraintes d un bâtiment de grande hauteur impliquent que les laboratoires ne peuvent pas être rénovés pour correspondre aux besoins actuels et futurs sans sacrifier un étage sur les trois afin d installer les unités de traitement de l air. 38. Il y a quelques coûts supplémentaires associés à la rénovation : a) La nécessité de reloger le personnel dans des bureaux loués par la Ville de Lyon. La location de tels espaces, en se basant sur les 3400 m² occupés actuellement par les bureaux, représenterait sur trois ans. Le coût de la location d espace de

12 GC/53/11 Page 12 Conseil de Direction Plan des futurs projets d infrastructure laboratoire, en se basant sur le prix payé par l INSERM en 2008 serait proche de 1 million d euros, et nécessiterait deux déménagements. La période de location a été calculée pour un minimum de trois ans, durant lesquels les différentes parties de la tour seraient rénovées. En cas d extension de cette durée, ces coûts seraient encore accrus. b) Il faut noter que les coûts indiqués par le rapport de la SOCOTEC ne prennent en compte qu une partie de la rénovation, et, comme indiqué ci-dessus, sont sousévalués. Ainsi, les travaux nécessaires pour une meilleure performance énergétique, tels que détaillés par la société de conseil VERITAS, représentent 1,9 million d euros, dont 1,4 million d euros pour la rénovation des éléments de la façade tels que les murs et les rideaux (remplacement des fenêtres : 1 million d euros) et l isolation intérieure ( ). 39. En conclusion, le Secrétariat considère que la seule option réaliste à long terme, qui assurerait des locaux adaptés pour le fonctionnement du Centre au cours des vingt ou trente prochaines années, est la construction d un nouveau centre, adapté à la science et à l avenir, basé sur les normes actuelles en termes de bureaux et de laboratoires, assurant des coûts de fonctionnement peu élevés et une faible empreinte carbone. Cette option est viable si l on utilise la vente du site et des bâtiments actuels. 40. Une solution intérimaire devra être identifiée pour le financement relais entre le versement des frais de construction et la vente du terrain et des locaux actuels. A cette fin, un emprunt à taux zéro serait nécessaire, financé par un ou plusieurs Etats participants et par la Ville de Lyon. 41. La contribution du CIRC au financement du nouveau Centre serait les bâtiments Latarjet, Takamatsu, Sasakawa et BRC, ainsi que les frais de déménagement. 42. Le Conseil de Direction est invité : a) à soutenir le principe d un nouveau bâtiment sur un nouveau site pour accueillir les activités futures du CIRC ; b) à autoriser le Centre à négocier cette option en détail avec le pays hôte et la Ville de Lyon, en la comparant à l option de la rénovation complète, pour examen par le WGI et par le Conseil de Direction lors de sa 54 ème Session ; et c) à prier la Ville de Lyon d accepter les responsabilités de la mise en place d une infrastructure adaptée dans les locaux actuels aux termes de la Convention existante, afin que les activités scientifiques du Centre ne soient pas mises en péril à court terme.

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