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1 Les musées des armées, armes de la culture TRIBUNE n 812 Coralie Felblinger Chef d escadron, a servi au 516 e Régiment du Train (RT) et à la Brigade franco-allemande (BFA). Brevetée de la 23 e promotion («Verdun») de l École de Guerre (EdG). Les musées des armées, et tout particulièrement ceux de l Armée de terre, ont un vrai rôle à jouer dans l éducation et la transmission de valeurs aux jeunes générations françaises en manque de repères. Encore faudrait-il le reconnaître dans le cadre d une approche globale de résolution de crise. Le 24 novembre 2015, le Gouvernement italien décidait d accorder un «pass culture» de 500 euros à tous les jeunes Italiens de 18 ans, dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Le chef du gouvernement, Matteo Renzi, déclarait lors d un discours solennel : «Ils détruisent les statues, nous voulons les Casques bleus de la culture. Ils brûlent les livres, nous avons des bibliothèques. Ils imaginent la terreur, nous répondons avec la culture». Pourquoi ne pas appliquer ce modèle en France? Et surtout, pourquoi ne pas impliquer tout particulièrement les musées de notre Armée de terre qui, plus que les autres armées, dispose d un patrimoine, dans un véritable effort de guerre culturel? La culture, éducation à la citoyenneté Cette implication apparaît comme un investissement rentable, voire nécessaire. La force militaire classique est sans doute capable de remporter la guerre sur le terrain. Le combat contre Daech en est un exemple. Mais elle ne sera pas capable d imposer la paix, c est là le rôle du niveau politique et des organisations internationales. Elle ne pourra non plus, par des moyens conventionnels, tarir les flux de jeunes recrues françaises et européennes attirées par l illusion d une vie meilleure ou d un sacrifice ultime donnant un sens à leur existence. Les jeunes revenant de Syrie expliquent qu ils ont rejoint les rangs de Daech parce qu ils ne trouvaient plus ce sens dans leur environnement quotidien, parce qu ils étaient en manque de repères et d identité, et attirés par le goût de l aventure et des valeurs qu ils peinent à trouver dans notre pays. Répondre à cette demande de sens et de communauté autrement qu en laissant le champ libre à Daech est une nécessité fondamentale. Et ce que la force militaire conventionnelle ne peut accomplir dans ce domaine, la septembre

2 culture et l histoire militaire sont bien placées pour y contribuer par l intermédiaire de l éducation à la citoyenneté. Charles de Gaulle écrivait «La véritable école du commandement est celle de la culture générale. Par elle, la pensée est mise à même de s exercer avec ordre, de discerner dans les choses l essentiel de l accessoire, [ ] de s élever à ce degré où les ensembles apparaissent sans préjudice des nuances. Pas un illustre capitaine qui n eût le goût et le sentiment du patrimoine et de l esprit humain. Au fond des victoires d Alexandre, on retrouve toujours Aristote» (Le fil de l épée). Au-delà du commandement, il s agit bien d une éducation au discernement qui est souhaitable pour chaque membre de la nation. Détourner les jeunes Français des illusions répandues par Daech, et par d autres, ne peut se faire qu à travers un effort conséquent dans les domaines de l éducation et de la culture, outils de l apprentissage du beau et du bien, c est-à-dire du sens moral et du discernement, et ce, dès le plus jeune âge. Cet effort doit être conduit collectivement par l ensemble des acteurs de ces domaines mais également par des institutions telles que nos armées. L éducation à la citoyenneté, qui permet l intégration à la communauté nationale, doit s effectuer avec la sensibilisation à la culture et à l histoire de notre pays, histoire qui a fondé son identité notre identité commune et ses valeurs. Or, les musées des armées ne constituent-ils pas un excellent outil dans ce cadre? Un potentiel insuffisamment exploité Cet outil existe déjà, mais est encore insuffisamment exploité. 15 musées de l Armée de terre (16 avec le musée de l Infanterie actuellement en caisses) sont ainsi répartis sur le territoire national. Ceux-ci regroupent des collections d équipements, véhicules et uniformes exceptionnels par leur diversité comme par leur histoire. Ils ne sont pas suffisamment connus. Le Musée de l Armée à l Hôtel national des Invalides, qui a reçu visiteurs en 2015, ne peut être compté parmi eux, car il s agit d un Établissement public (EP) sous tutelle du ministère de la Défense (et plus particulièrement de la Direction de la mémoire, du patrimoine et des archives, DMPA) qui gère ses fonds en propre *. Ce musée est certes exceptionnel : situé en plein cœur de Paris dans un lieu prestigieux, il accueille aussi de nombreuses expositions et événements y compris extra-militaires (comme l exposition Concept car en janvier dernier). Mais nombreux sont les jeunes Français qui * Les musées «militaires» Les grands musées nationaux celui de l Armée (Invalides), celui de l Air et de l Espace (au Bourget) et celui de la Marine (à Chaillot) procèdent d une structure juridico-administrative spécifique, avec une ambition différente, concourant néanmoins au même but que les musées dit «de tradition». On compte 15 musées dits de tradition pour l Armée de terre (16 avec le musée de l Infanterie ), qui n ont pas de personnalité juridique, étant adossés aux écoles et aux états-majors de l Armée de terre. Ce type de musées de tradition est beaucoup moins répandu dans la Marine et l Armée de l air. 2

3 TRIBUNE Les musées du ministère de la Défense (6) Guer Cesson-Sévigné (5) Paris ( ) (7) Angers Saumur (8 9) Saint-Maixent-l École (10) Bourges (18 19) Autun (17) Grenoble (16) (11) Dax Pau (12) Aubagne (13) Draguignan (15) Fréjus (14) 1) Musée de l Armée (Invalides) 2) Musée national de la Marine (Palais de Chaillot) 3) Musée de l air et de l Espace (Le Bourget) 4) Musée du Service de santé des Armées 5) Musée des Transmissions 6) Musée du souvenir 7) Musée du Génie 8) Musée de l arme blindée cavalerie 9) Musée des Blindés 10) Musée du sous-officier 11) Musée de l Aviation légère de l Armée de terre et de l hélicoptère 12) Musée des parachutistes 13) Musée de la Légion étrangère 14) Musée des Troupes de Marine 15) Musée de l Artillerie 16) Musée des Troupes de montagne 17) Musée des anciens enfants de troupe 18) Musée du train et des équipages 19) Musée du matériel 20) Musée de l Infanterie (non implanté) ne sont jamais allés à Paris et n ont pas eu l occasion de le visiter. Ils n ont accès qu aux musées les plus proches d eux, en province. Toutefois, les chiffres de fréquentation des 15 musées de l Armée de terre sont bien moins impressionnants. 3

4 Si ces chiffres moyens sont regrettables au regard de la richesse des collections de ces musées, ils ne sont cependant pas étonnants. Les musées de l Armée de terre sont en effet conçus au sein de l institution militaire avant tout comme des outils devant fédérer les troupes et contribuer à l esprit de corps. La volonté de leur ouverture au monde civil existe bel et bien mais n est pas aussi importante qu on pourrait le souhaiter, ni surtout très encouragée par les structures étatiques et territoriales. Emblématique des limites de ce soutien, l échec de l implantation du musée de l Infanterie au sein de la forteresse de Vauban à Neuf-Brisach en Alsace, implantation pourtant envisagée pendant plusieurs années, doit être imputé à l absence d un financement suffisant de la région annoncé début De cet échec résulte l intention de finalement réinstaller ce musée, actuellement «en caisses» depuis la fermeture de l école d Infanterie de Montpellier en 2009, au sein de la nouvelle école d Infanterie de Draguignan. S il est possible d imaginer que la probable co-localisation à venir du musée de l Infanterie et du musée de l Artillerie puisse attirer un nombre plus important de visiteurs, rien ne le prouve. De plus, il s agit là de l acceptation d une réduction du maillage territorial des musées de l Armée de terre, maillage qui pourtant devrait être prioritaire pour permettre l accès du plus grand nombre à la culture historique et militaire de notre pays. Enfin, cette localisation au sein même d une école militaire facilite l accès au musée des militaires au cours de leur scolarité sur place et dans le cadre de leur formation. Mais, quelque peu éloignée du centre urbain de Draguignan et des infrastructures de transport, elle n est pas de nature à attirer un public plus large. Pour une valorisation dynamique du patrimoine des armées Une véritable politique de valorisation de ces musées pourrait et devrait être mise en place. Des efforts importants ont déjà été conduits dans ce sens avec un travail sur les collections susceptibles de recevoir l appellation «musée de France» (1 218 musées ont déjà bénéficié de ce régime instauré par une loi de 2002). Cette appellation rend les musées qui en bénéficient éligibles aux soutiens de l État, scientifiques, techniques et financiers, et surtout leur donne une visibilité accrue aux yeux du grand public. La gratuité de l accès de certains musées de tradition pour les enseignants et leurs élèves est également un des aspects de cette politique sans doute trop méconnu, car il serait possible d inscrire de manière bien plus systématique aux programmes d histoire des collèges et des lycées une visite découverte du musée militaire le plus proche. Enfin, des travaux ont été entrepris depuis une dizaine d années dans plusieurs musées pour permettre aux visiteurs extérieurs d y accéder sans franchir les enceintes des bases militaires. Cependant, pour véritablement exploiter le potentiel éducatif de ces musées, il faudrait faire davantage et agir à un niveau supérieur. C est au niveau de l État, et aussi des collectivités territoriales, qu une réelle impulsion devrait être donnée pour établir un dispositif de valorisation des musées militaires, avant tout en leur permettant de disposer d infrastructures modernes et adaptées à la fois à 4

5 TRIBUNE l exposition et à la mise en valeur optimale de leurs collections avec l accueil d un public nombreux. Il serait par ailleurs souhaitable que les militaires parviennent à «dépoussiérer» ces musées en les rendant bien plus vivants et interactifs, afin de susciter davantage d intérêt de la part des visiteurs, et notamment des plus jeunes. Il est certes impressionnant d apprendre que 70 % des engins exposés par le musée des Blindés de Saumur (Pays de la Loire) sont en état de fonctionner ; il serait encore plus impressionnant de pouvoir les voir évoluer devant soi sur un terrain ouvert, voire d en être le passager, plutôt que de simplement regarder une vidéo ou d aller d un engin à l autre sous un hangar décoré de dioramas destinés à égayer la tristesse des lieux mais manquant quelque peu de vie. Sentir le carburant, entendre le bruit du moteur, ressentir les vibrations d un véhicule intensifierait l expérience d une visite d un tel musée et la rendrait bien plus marquante. Pouvoir à l occasion d une telle visite échanger avec les anciens combattants qui ont servi sur certains des matériels exposés et capables de raconter des anecdotes les concernant, voire rencontrer des militaires d active utilisant les plus modernes de ces équipements, serait bien plus enrichissant qu un simple défilé devant une rangée de matériels et de pancartes. Cela permettrait de créer un lien Armée Nation plus fort. Or, ce côté interactif qui manque actuellement aux musées de l Armée de terre est bien ce qui peut susciter l envie auprès des plus jeunes d adhérer aux valeurs de notre pays, mises en avant au travers de l histoire de nos armées. Une telle valorisation suppose des moyens dont ne disposent pas les armées actuellement et aujourd hui encore moins qu hier, devant faire face à la multiplication des menaces intérieures comme extérieures. Mettre en place un tel projet nécessiterait un véritable investissement à part entière. Cet investissement serait non seulement financier l argent est le nerf de la guerre, et pour les musées militaires cela est également vrai mais nécessiterait aussi l engagement d effectifs militaires pour la mise en place de réels échanges et témoignages, l enrôlement des anciens combattants dans ce programme (et nombreux sont ceux qui seraient ravis de venir de temps en temps partager leurs souvenirs), l implication de l Éducation nationale et des professeurs d histoire, en particulier. Un projet tel que celui-ci ne pourrait être lancé que sous l impulsion d une volonté gouvernementale forte de s appuyer sur cet atout exceptionnel que constituent les musées militaires, et notamment ceux de l Armée de terre, comme outil de cohésion et de transmission de valeurs dans le cadre non seulement de la communauté militaire, mais aussi dans celui de la communauté nationale. Ce projet citoyen nécessiterait l investissement des collectivités territoriales comme de l État. Il serait bien dommage de continuer à négliger cet atout, d autant plus que cette année 2016 de commémoration de la Grande Guerre voit se multiplier des initiatives (réhabilitations de matériels en vue du défilé du 14 juillet, etc.) qui pourraient aisément servir de point de départ à une telle initiative de rassemblement autour des valeurs de la communauté nationale. 5

6 Éléments de bibliographie Gaulle (de) Charles : Le Fil de l Épée ; Éditions Berger-Levrault, 1944 ; 184 pages. Halioua Noémie : «Italie : un pass culture à 500 contre le terrorisme» in Le Figaro, le 27 novembre 2015 ( Loi n du 4 janvier 2002 relative aux musées de France ( Site officiel du musée des blindés de Saumur ( 6

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