Reproductibilité de la lecture des IRM mammaires de dépistage chez les femmes à haut risque de cancer du sein
|
|
- Adèle Anne-Sophie Richard
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Reproductibilité de la lecture des IRM mammaires de dépistage chez les femmes à haut risque de cancer du sein C. HUGO, MH. MOREAU-DURIEUX, G. HURTEVENT-LABROT, M. BOISSERIE-LACROIX, S. FERRON, V. PIERRE, V. BROUSTE, M. ASAD-SYED Institut Bergonié, Bordeaux JFR 2010
2 Introduction Cancer du sein 1 femme sur 8 dans la population générale 10% sont des formes héréditaires Les femmes à risque génétique ont un risque de cancer du sein cumulé sur la vie 20-25% Prévention : Primaire : chirurgie prophylactique (sein, ovaires) Secondaire : surveillance imagerie (dépistage précoce) * *[Saslow, Cancer J Clin. 2007; Mann, Eur Radiol. 2008; Sardanelli, Eur J Cancer 2010]
3 Introduction Difficultés d interprétation de l imagerie chez ces patientes : Femmes jeunes : seins denses en mammographie rehaussement glandulaire en IRM Cancers d aspect «bénin» : masses rondes. Rareté des microcalcifications * *[Schrading, Radiology2008]
4 Performance de l imagerie chez les femmes à risque Sensibilité : Mammographie : 40% IRM : 81% Échographie : 43% Association des 3 : >90% Spécificité IRM : 81-95% Mammographie : 93-99% IRM : VPP 35-64%, VPN 95% [Kuhl, Radiology 2000; Warner, JAMA 2004; Kriege, N Engl J Med. 2004; Kuhl, J Clin Oncol. 2005; Lehman, Cancer 2005; Leach, Lancet 2005; Sardanelli, Radiology 2007; Hagen, Breast 2007; Lehman, Radiology 2007; Daguet, J. radiol 2008;]
5 Reproductibilité Résultats de la littérature Concordance : kappa Type lésionnel Morphologie Dynamique BI-RADS (ACR) Remarques Mussurakis, 1996 N Intra: 0,68-0,83 Inter: 0,15-0,52 Kinkel, 2000 N Intra: 0,47-0,59 Inter: 0,22-0,61 Wedegärtner, 2001 Intra: 0,71 Inter: 0,20-0,89 Intra: 0,50-0,87 Inter: 0,35-0,80 Intra: 0,94 Inter: 0,22-0,56 N Inter: 0,35-0,38 N N Kim, 2001 N Intra: 0,50-0,70 N Intra: 0,47 Inter: 0,41-0,56 Inter: 0,45 Ikeda, 2001 Inter: 0,57 Inter: 0,25-0,55 N Inter: 0,23 Warren, 2005 N N N Inter: 0,52 Warren, 2006 N Inter: 0,49-0,51 Inter: 0,12-0,65 Inter: 0,56 N Étude ancienne utilisant des critères obsolètes Études antérieures à la publication du lexique BIRADS IRM en études chez les femmes à risque Warren, 2006 N Inter: 0,20-0,24 Inter: 0,03-0,66 Intra: 13/47* Inter: 0,29 Stoutjesdijk, 2005 Inter: 0,45 Inter: 0,25-0,42 Inter: 0,27 Inter: 0,28 Beresford, 2006 N N Variabilité significative N Variabilité Seulement significative 1 étude prend persistante en compte de l interprétation la phase de détection des lésions => pénalise la validité externe de l IRM mammaire comme test de dépistage N: non évalué, *: taux de concordance
6 Thèse du Dr Moreau-Durieux Institut Bergonié, 2008 Reproductibilité intra-observateur en situation de pratique courante sans sélection de cas lésionnels évaluant : la reconnaissance de la normalité la détection et la caractérisation de masses, de rehaussements sans masse (RSM) et de foci. Résultats : reproductibilité médiocre à moyenne Conclusion : proposition d une double lecture des IRM
7 Objectifs de l étude Comparer la reproductibilité intra-observateur du lecteur seul par rapport à la double lecture consensuelle dans : l interprétation globale par sein = objectif principal l interprétation par lésion l utilisation d une nouvelle classification de rehaussement glandulaire de fond Analyser les discordances en termes de détection, de caractérisation des lésions
8 Matériel et méthodes Étude rétrospective Entre 2007 et 2009 à l Institut Bergonié 65 IRM de dépistage 65 femmes asymptomatiques 124 seins
9 Matériel et méthodes les lectures Les différentes lectures 1 lecture individuelle du radiologue sénior (S1) 2 lectures individuelles du radiologue sénior (S2,S3) et du junior (J1,J2) 2 lectures consensuelles appelées «double lecture» (DL1,DL2) après les lectures individuelles 1 lecture commune pour l analyse des discordances (C1) Recueil des données lors de 4 lectures ; 2 lectures individuelles et 2 doubles lectures (S1, S2, DL1 et DL2) Caractéristiques des lectures en aveugle les 4 lectures avec recueil de données ont été réalisées à 1 mois d intervalle
10 Matériel et méthodes caractéristiques de la population 52 mutations BRCA, 13 mutations non prouvées Âge moyen : 43,4 ans 1 ère IRM de dépistage pour 30 femmes 41 femmes non ménauposées, 19 ménopausées, 5 non précisées 21 antécédents (ATCD) de cancer du sein (2 bilatéraux) 26 ATCD de chirurgie mammaire (6 mastectomies unilatérales) 17 ATCD de radiothérapie
11 Matériel et méthodes IRM 1,5 Tesla Philips, antenne SENSE Breast : séquence T2 TSE : coupes jointives de 3 mm séquence T1 3D dynamique EG : coupes jointives de 1,2 mm résolution spatiale : pixel 0,68 x 0,68 mm résolution temporelle : entre 60 et 90 secondes soustractions Console de lecture : Viewforum (Philips)
12 Matériel et méthodes Analyse pour chaque sein et pour chaque lecture : Rehaussement glandulaire de fond (RG) : 4 catégories établies pour l étude Type lésionnel Caractéristiques morphologiques et dynamiques (BI-RADS) Catégorie BI-RADS pour chaque rehaussement et chaque sein Concordance intra-observateur : coefficient kappa
13 Résultats 110 rehaussements détectés Taille lésionnelle moyenne : 11mm 65,7% de lésions 10 mm Qualité sous-optimale pour 6 examens : artefacts de mouvements Difficultés pour 12 IRM : artefacts de mouvements rehaussement glandulaire de fond gênant retard à l injection du PDC
14 Résultats 4 cancers, 2 carcinomes canalaires infiltrants (CCI), 2 carcinomes canalaires in situ (CCIS) : tous correctement identifiés et catégorisés ACR4/5 sur les 4 lectures 50% détectables uniquement par IRM 2 CCI de même morphologie : 2 CCIS : - RSM canalaire homogène - Masse irrégulière du mamelon - masse de forme ovale, contour lisse - rehaussement interne annulaire -wash out
15 Résultats 1 cas de lésion atypique (métaplasie cylindrique atypique et hyperplasie canalaire atypique) classée : ACR4 sur une lecture : RSM linéaire micronodulaire ACR3 sur les 3 autres : RSM linéaire homogène
16 Résultats Concordance intra-observateur Kappa en lecture seule en double lecture ACR (sein) 0,63 [0,49-0,77] 0,77 [0,63-0,91] ACR (rehaussement) 0,27 [0,10-0,44] 0,58 [0,43-0,72] Type de rehaussement 0,34 [0,21-0,44] 0,44 [0,43-0,72] Critère principal = ACR par sein concordance bonne Amélioration grâce à la double lecture de l ACR global de l ACR lésionnel du type lésionnel
17 Résultats : ACR global par sein en lecture seule en double lecture Taux de concordance sur l ACR global 84% 89% kappa 0,63 [0,49-0,77] 0,77 [0,63-0,91] % de seins classés ACR1/ % 66-67% % de seins classés ACR % 22-24% %d de seins classés ACR4/5 10% 11% Taux de concordance sur l ACR global sur la sous- population des : - ACR1/2 - ACR ,5% 52% 82,5% 70% Bonne reproductibilité dans les examens dits normaux ACR1/2 : majorité des examens en situation de dépistage intérêt +++ : le 1 er rôle de l IRM en dépistage est de différencier les examens normaux de ceux qui ne le sont pas.
18 Résultats : ACR global par sein en lecture seule en double lecture Taux de concordance sur l ACR global 84% 89% kappa 0,63 [0,49-0,77] 0,77 [0,63-0,91] % de seins classés ACR1/ % 66-67% % de seins classés ACR % 22-24% % de seins classés ACR4/5 10% 11% Taux de concordance sur l ACR global sur la sous- population des : - ACR1/2 - ACR ,5% 52% 82,5% 70% Nombre élevé de seins classés ACR3 par rapport à la littérature (6,6-25%) IRM antérieures et mammographie/échographie non disponibles difficulté de différenciation entre rehaussement glandulaire hétérogène et zones focales multiples [ Eby, Imaging Clin N Am. 2010]
19 Rehaussement hétérogène versus lésions multiples?
20 Résultats : ACR global par sein en lecture seule en double lecture Taux de concordance sur l ACR global 84% 89% kappa 0,63 [0,49-0,77] 0,77 [0,63-0,91] % de seins classés ACR1/ % 66-67% % de seins classés ACR % 22-24% % de seins classés ACR4/5 10% 11% Taux de concordance sur l ACR global sur la sous- population des : - ACR1/2 - ACR ,5% 52% 82,5% 70% Double lecture : - pas d amélioration de la reproductibilité des ACR1/2 - augmentation du nombre d ACR3, mais pas des ACR4/5 - franche amélioration de la reproductibilité sur les ACR3-4-5
21 Résultats : ACR lésionnel Aucune lésion décrite sur 54% à 62% des IRM (ACR1/2) L ACR lésionnel n a été effectué que sur les IRM restantes (38-46%) en lecture seule en double lecture Taux de concordance sur l ACR lésionnel 46,9% 63,9% kappa 0,27 [0,10-0,44] 0,58 [0,43-0,72] Concordance médiocre à moyenne : Franche amélioration lors de la double lecture Chiffres comparables aux études publiées qui incluent essentiellement des masses de grandes tailles potentiellement moins sujettes à variabilité : Kim, 2001 concordance intra-observateur : kappa à 0,47 Warren, 2006 taux de concordance : 27%
22 Résultats : type lésionnel Concordance intra-observateur sur le type de rehaussement : kappa en lecture seule en double lecture 0,34 [0,21-0,44] 0,44 [0,43-0,72] Dans la littérature La concordance est meilleure : kappa entre 0,45 et 0,57 Les méthodologies sont différentes études de la concordance inter-observateur uniquement non distinction focus/ RSM masses de taille élevée
23 Analyse des discordances sur l ACR par lésion lecture du radiologue sénior double lecture Variation de taille : focus versus zone focale 4 6 Rehaussement glandulaire hétérogène versus zones focales multiples 14 4 Focus retenu ACR3 car - intense ou précoce 2 2 -isolé Pas de comparaison controlatérale (mastectomie ou glande ectopique) : zone focale isolée versus rehaussement glandulaire Zone focale intense ( lié en partie à une différence de fenêtrage) versus RG 1 Analyse du signal difficile en T1/T2 sur de petites lésions : - Focus versus masse - Rehaussement annulaire : évoquant soit un kyste soit un cancer Ganglion typique versus non typique 3 2 Erreur d inattention 3 3 Erreur de détection : lésion non vue car non visible ou peu intense sur la 1 ère série dynamique post injection 1 3 Erreur de caractérisation : - Rehaussement pris pour un vaisseau - Contours convexes : masse versus RSM - RSM régional versus segmentaire Artefact - Artefact de soustraction : - versus focus - versus rehaussement linéaire - Artefact de mouvement : courbe non fiable (progressive versus plateau)
24 T1 T1 gado T1 T2 T2 T1 gado Principales difficultés pour le choix du type de lésion : entre zones focales multiples et rehaussement glandulaire en cas de RSM ou de focus, difficile à différencier d une masse si : impression de volume sous jacent en cas de bords convexes surtout si la lésion se situe dans la graisse++ absence d isosignal T1 ou T2 lésions de petite taille (focus/petite masse/petite zone focale homogène)
25 Résultats : masse Masse : taux de variabilité en lecture seule en double lecture Forme Contours Rehaussement interne Rapidité Précocité Intensité Courbe cinétique ACR 40% (4/10) 0% (0/10) 20% (2/10) 10% (1/10) 40% (4/10 10% (1/10) 40% (4/10) 20% (2/10) 0% (0/12) 18% (2/11) 0% (0/12) 25% (2/8) 12,5% (1/8) 9% (1/11) 40% (4/10) 8% (1/12) Diminution du taux de variabilité grâce à la double lecture, cependant : faible échantillon => calcul de kappa impossible, interprétation prudente Pas de différence entre critères objectifs mesurables (dynamiques) et critères subjectifs (morphologiques)
26 Résultats : RSM et focus Taux de variabilité en lecture seule en double lecture Rehaussement non à type de masse Distribution Symétrie Rehaussement interne ACR 22,2% (4/18) 16,6% (3/18) 16,7% (3/18) 21% (4/19) 12,5% (4/32) 0% (0/32) 6,2% (2/32) 3,1% (1/32) Focus (ACR) 12,5% (1/8) 8,3% (1/12) Diminution du taux de variabilité grâce à la double lecture, cependant : faible échantillon => calcul de kappa impossible, interprétation prudente Difficulté : reconnaissance de la systématisation galactophorique élément le plus subtil du lexique BI-RADS IRM canalaire versus linéaire (notamment en bordure de glande) régional versus segmentaire
27 RSM canalaire versus linéaire?
28 RSM régional versus segmentaire?
29 Résultats : rehaussement glandulaire lecture seule double lecture % de rehaussements classés 1 ou 2 87%-88% 75-80% % de rehaussements classés 3 ou % 20-21% % de rehaussement dans la sous-population - des femmes ménopausées - des seins ayant subi une radiothérapie 8,8-29% (dont 3-18% gênants) 5,9-17,6% (dont 6-18% gênants) Concordance sur Kappa : 0,53 [0,40-0,65] Kappa : 0,44 [0,33-0,56] le rehaussement glandulaire de fond Intérêt de décrire le RG : évaluation de la fiabilité de l IRM difficulté de détection en cas de rehaussement masquant Concordance moyenne Parmi les discordances 30-60% entre la catégorie 1 et 2 : pas d impact car RG non gênants difficulté majeure : RG hétérogène versus lésions multiples, mais concerne moins de 25% des IRM
30 Limites Étude rétrospective Monocentrique Pas de corrélation au bilan écho-mammographique Faible nombre de cas, faible nombre de types lésionnels concordants
31 Conclusion Amélioration de la reproductibilité grâce à la double lecture des IRM mammaires en dépistage chez les femmes à haut risque génétique de cancer du sein Discrète augmentation du nombre d ACR3 sans augmentation du nombre de biopsies Bonne reproductibilité pour les examens normaux intéressant en dépistage Concordance moyenne pour la classification proposée du rehaussement glandulaire
32 Perspectives concernant le rehaussement glandulaire Recherche de critères plus objectifs pour reconnaître le rehaussement glandulaire hétérogène Analyse de la performance de l IRM en fonction de la catégorie de rehaussement (faux négatifs)
33 Perspectives concernant la double lecture Évaluation de la performance de l IRM en double lecture À quelles femmes le proposer p Quel type de double lecture Quel coût pour sa mise en place Quel apprentissage pour l activité de double lecture
Cancer du sein in situ
traitements, soins et innovation OCTOBRE 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein in situ COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailL IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique. http://www.e-mri.
L IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique http://www.e-mri.org D HOA, A MICHEAU, G GAHIDE, E LE BARS, C CYTEVAL, M ZANCA, P DUJOLS,
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailPour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir.
Dépistage Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Par contre, nous pouvons tenter de le dépister plus tôt afin d'avoir plus de chances de
Plus en détailIRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir
CHU Henri Mondor IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir P.Zerbib, A.Luciani, F.Pigneur, R.Raymond, A.Rahmouni CHU Henri Mondor Créteil Service Imagerie Médicale Pr.A.RAHMOUNI Objectifs Comprendre
Plus en détailSecond cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein
Second cancers après cancer du sein M. Espié Centre des maladies du sein Second cancer après cancer du sein 376 825 pa=entes diagnos=quées entre 1943 et 2002 ayant au moins survécu un an en Scandinavie
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailDépistage et prévention du cancer du sein
Actualisation du référentiel de pratiques de l examen périodique de santé Dépistage et prévention du cancer du sein Février 2015 État des connaissances sur le cancer du sein Structure anatomique et aspect
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailDocteur, j ai une masse au sein. Est-ce un cancer? UN DIAGNOSTIC DE CANCER est posé chez 11 % des
Le sein Docteur, j ai une masse au sein. Est-ce un cancer? Réjean Duplain, Marie-Michèle Livernoche et Judy Deschesnes 4 M me Massé,45 ans,entre en pleurs dans votre cabinet.elle a trouvé une bosse sur
Plus en détailÉtude de la faisabilité de l auto-compression en A MOISEI, S KINZELIN, P TROUFLEAU, B BOYER, L LEMOINE, P HENROT
Étude de la faisabilité de l auto-compression en mammographie A MOISEI, S KINZELIN, P TROUFLEAU, B BOYER, L LEMOINE, P HENROT INTRODUCTION La compression mammographique est parfois mal vécue par certaines
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailGUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer du sein
GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique Cancer du sein Janvier 2010 Ce document s inscrit dans un double dispositif : La mise en œuvre de
Plus en détailSein inflammatoire. Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc
Sein inflammatoire Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc Sein inflammatoire 3 types Mastites infectieuses Mastites non infectieuses Cancer inflammatoire 2 situations cliniques Allaitement Hors
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailComprendre. le Cancer du sein. Mise à jour. Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches
Comprendre le Cancer du sein Mise à jour Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches Ce guide s inscrit dans le cadre d un programme réalisé en partenariat avec
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailDépistage par mammographie : feuille d information
feuille d information Dépistage par mammographie : feuille d information Le dépistage par mammographie consiste à faire passer à intervalles réguliers, dès l âge de 50 ans, des radiographies des seins
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailLe dépistage du cancer du sein. Une information de la Ligue contre le cancer
Le dépistage du cancer du sein Une information de la Ligue contre le cancer Impressum _Editrice Ligue suisse contre le cancer Effingerstrasse 40 case postale 8219 3001 Berne tél. 031 389 91 00 fax 031
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailApport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum
Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel
Plus en détailQu est-ce que le cancer du sein?
Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Voyage au cœur des réseaux d imagerie médicale
DOSSIER DE PRESSE Voyage au cœur des réseaux d imagerie médicale Service de presse et de communication : MHC Communication Marie-Hélène Coste / Véronique Simon 38 avenue Jean Jaurès - 94110 Arcueil Tél.
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailImages en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique
Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE
Plus en détailRecherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches. Les cancers du sein
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers du sein G R A N D P U B L I C Les cancers du sein Aujourd'hui, en France, comme dans de nombreux pays
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailAméliorer l enseignement de la relation médecin- patient aux internes en imagerie médicale : étude nationale. Nathalie Faye, Rokhaya Thiam
Améliorer l enseignement de la relation médecin- patient aux internes en imagerie médicale : étude nationale Nathalie Faye, Rokhaya Thiam TABLE DES MATIERES RESUME... 3 1. INTRODUCTION... 4 1.1 Objectifs
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailCANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie
CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie Rencontres Nucléaire et Santé 08/02/2013 Pierre BEY Professeur émérite de Cancérologie;Radiothérapie Université de Lorraine
Plus en détailIRM APRES TRAITEMENT RADICAL OU FOCAL du cancer de prostate. Raphaële Renard Penna Emmanuel Banayan Hôpital Pitié Salpétrière
IRM APRES TRAITEMENT RADICAL OU FOCAL du cancer de prostate Raphaële Renard Penna Emmanuel Banayan Hôpital Pitié Salpétrière Prise en charge du cancer de prostate 120000 patients 7% active surveillance
Plus en détailELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE
Référence HCL : Titre de l étude : ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Investigateur Coordonnateur : Méthode. Définition du niveau de risque
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailIntérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire
Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des
Plus en détailA l Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille, Octobre Rose est l occasion de mettre en valeur la filière de soins dédiée au cancer du sein.
OCTOBRE ROSE 2013 La campagne Octobre Rose a pour but d inciter les femmes de 50 à 74 ans à participer au dépistage organisé du cancer du sein. Une femme sur trois ne se fait pas dépister ou pas de manière
Plus en détailHistoire d une masse pancréatique
Histoire d une masse pancréatique Marie Luce Auriault Michael Levy Frédéric Pigneur Claude Tayar, et Iradj Sobhani CHU Henri Mondor Pour GHIF Samedi 13 Juin 2009, Histoire de la maladie Femme 66 ans consulte
Plus en détailDéveloppement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel
Développement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel E. de Kerviler, C. de Bazelaire, P. Coulon*, S. Gotman**, J Yanof***, C. Bauer***J. Sapir**. Service de Radiologie,
Plus en détailDASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006
DASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006 Place des Nouveaux Tests de Dosage de L INTERFERON GAMMA dans le diagnostic de la Tuberculose Fadi ANTOUN, Cellule Tuberculose DASES Le Quotidien du Médecin 2005
Plus en détailBiométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) -
Biométrie foetale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/071011 Table des matières I Techniques de biométrie...3 I.1 Mesure de la longueur cranio-caudale...3 I.2 Mesure
Plus en détailChirurgie prophylactique des cancers avec prédisposition génétique
traitements, soins et innovation août 2009 recommandations professionnelles Chirurgie prophylactique des cancers avec prédisposition génétique Cancer DE L OVAIRE COLLECTION recommandations & référentiels
Plus en détailNouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201?
Symposium Covidien, Nice, 10 mai 2010 Nouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201? Bernard Songy Centre Cardiologique du Nord St-Denis Thallium 201: Le thallium 201 présente
Plus en détailTous droits de traduction, d'adaptation et de reproduction par tous procédés, réservés pour tous pays.
LE CANCER DU SEIN Conduite à tenir diagnostique devant une image mammographique infraclinique anormale Conduite thérapeutique devant un cancer du sein infraclinique Suivi des patientes traitées pour un
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailExtraction de caractéristiques visuelles d'images médicales pour la recherche par similitude et l'aide au diagnostic
Extraction de caractéristiques visuelles d'images médicales pour la recherche par similitude et l'aide au diagnostic Jérôme Palayret 1,2, Auréline Quatrehomme 1,2, Denis Hoa 1, William Puech 2 IMAIOS,
Plus en détail19 thèmes dans 10 villes
SATISFAIRE À VOS OBLIGATION DE DPC FACILEMENT GRÂCE AU CNGOF DPC réalisés par le CNGOF et financée par l Agrément CNGOF : 11 75 32 07 175 - FMC 100 098 Indemnité de 345 par jour et prise en charge hôtellerie
Plus en détailHEL-01298-de-0513-0001-21494. Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs
HEL-01298-de-0513-0001-21494 Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs Sommaire 1. Pourquoi des examens préventifs? 3 2. Examens préventifs pour le dépistage des facteurs de risque/maladies du
Plus en détailDr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes.
La photographie intra buccale : méthode de réalisation. Dr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes. La photographie numérique est un formidable outil de communication pour nos patients
Plus en détailQuestionnaire / Demande d adhésion
RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNELLE & EXPLOITATION Questionnaire / Demande d adhésion Contrat d Assurance AXA n 4803593504 ASSURE : Nom Prénom Adresse Professionnelle Téléphone Fax Date de Naissance
Plus en détailLe compte rendu de scanner et d IRM du cœur. DIU Imagerie CV 2007
Le compte rendu de scanner et d IRM du cœur DIU Imagerie CV 2007 Importance de la communication Interface entre secrétariats de radiologie et de cardiologie Adaptation du schéma proposé par l ESC (07/06)
Plus en détailDépistage du cancer colorectal :
Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailL ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS
L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailLes formes cliniques. Maxime Breban
Reconnaître la Spondylarthrite en 2011 Les formes cliniques Maxime Breban maxime.breban@apr.aphp.fr Qu'est-ce que les rhumatismes inflammatoires? Inflammation chronique des articulations Maladies complexes
Plus en détailOrganisation d une action de prévention collective en entreprise
Organisation d une action de prévention collective en entreprise Intérêt de la pluridisciplinarité Anne LE MAULT 15 mai 2014 L'éducation pour la santé une demande Quelqu un demande explicitement quelque
Plus en détailLes groupes de données de projection d intensité générés par TumorLOC peuvent être inversés de gauche à droite
-1/7- Systèmes concernés Description du problème Les produits concernés sont les suivants : l application TumorLOC sur les systèmesbrilliance CT Big Bore EBW, GEMINI LXL, GEMINI TF 16, GEMINI TF 64, GEMINI
Plus en détailDr L Verzaux Pr Elisabeth Schouman-Claeys
Dr L Verzaux Pr Elisabeth Schouman-Claeys Dépasser une approche normative Se mettre à la place du patient Bonne pratique, bientraitance Démarches qualité structurées Thématiques clés (dont exigences réglementaires)
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailRadiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailCésarienne pour toutes
Césarienne pour toutes Méthodologie Revue de la littérature : - PUBMED de 2003 à nos jours - Mots clefs: urinary incontinence AND cesarean section (210 publications) fecal incontinence AND cesarean section
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailLe risque familial de cancer du sein et/ou de l ovaire
Couv ImpoLIVRET GENETIQ 10/09/02 18:13 Page 2 Le risque familial de cancer du sein et/ou de l ovaire Livret d'information et de dialogue HAPPY DOC - 382 932 470 RCS Nanterre - Imprimé en France à l usage
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,
Plus en détailA-QU EST-CE QUE L ORIE? Intervention ADI
A-QU EST-CE QUE L ORIE? 1 A-QU EST-CE QUE L ORIE? Observatoire Régional de l Immobilier d Entreprise en Ile-de-France créé en 1986 dans un contexte de tertiarisation de l économie ; Pour accompagner les
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailLes sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du
Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du cancer : enjeux et opportunités Début de cartographie des enjeux cliniques et technologiques gq Jean-François MENUDET, Cluster I-Care Cartographie
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailChapitre 1 Evaluation des caractéristiques d un test diagnostique. José LABARERE
UE4 : Biostatistiques Chapitre 1 Evaluation des caractéristiques d un test diagnostique José LABARERE Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. lan I.
Plus en détailPROJET DE RECHERCHE. FSF 91 boulevard de Sébastopol 75002 Paris
2015 PROJET DE RECHERCHE Apport de la fluorescence pour la détection des ganglions sentinelles dans les cancers du sein FLUO-BREAST Praticien Hospitalo-universitaire Chirurgie cancérologique gynécologique
Plus en détailQUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?
QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailPrincipe d un test statistique
Biostatistiques Principe d un test statistique Professeur Jean-Luc BOSSON PCEM2 - Année universitaire 2012/2013 Faculté de Médecine de Grenoble (UJF) - Tous droits réservés. Objectifs pédagogiques Comprendre
Plus en détailCONFÉRENCIERS : En Hommage à J.L. LAMARQUE ET Y. GRUMBACH
CONFÉRENCIERS : C. BALU-MAESTRO A. BINET M. BOISSERIE- LACROIX P. BOULET B. BOYER J. BRIAND- CHAMPLONG J. BRINGER J.M. CHABOT P. CHEREL J.N. DACHER J.P. DAURÈS C. DE MAULMONT G. FRIJA F. FUERXER N. GEAHCHAN
Plus en détailDocument d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité
Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité Février 2013 1 Liste de contrôle des essais de non-infériorité N o Liste de contrôle (les clients peuvent se servir de cette
Plus en détail