Broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) Nathalie Rozensztajn CCA service de pneumologie Hôpital Tenon
|
|
- Sylvaine François
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) Nathalie Rozensztajn CCA service de pneumologie Hôpital Tenon
2 Définitions
3 Définitions Bronchite chronique Toux + expectoration 3 mois/an 2 ans Emphysème Elargissement anormal et permanent des espaces aériens distaux au-delà d une bronchiole terminale BPCO Obstruction permanente et progressive des voies aériennes dont la cause la plus fréquente est le tabagisme
4 Définitions Bronchite chronique Toux + expectoration 3 mois/an 2 ans Emphysème Elargissement anormal et permanent des espaces aériens distaux au-delà d une bronchiole terminale BPCO Obstruction permanente et progressive des voies aériennes dont la cause la plus fréquente est le tabagisme
5 Bronchiole Alvéoles 1 Alvéoles normales 2 Poumon emphysémateux : «élargissement des espaces aériens distaux au-delà d une bronchiole terminale» SCHEMA SIMPLIFIE EMPHYSEME
6 SCANNER EMPHYSEME De gauche à droite, scanner thoracique chez un sujet normal, chez un patient souffrant d un emphysème diffus, chez un patient souffrant d un emphysème bulleux.
7 Définitions Bronchite chronique Toux + expectoration 3 mois/an 2 ans Emphysème Elargissement anormal et permanent des espaces aériens distaux au-delà d une bronchiole terminale BPCO Obstruction permanente et progressive des voies aériennes dont la cause la plus fréquente est le tabagisme
8 Définitions BPCO : les mots «clés» de la définition : Obstruction : Cf premier cours Les EFR montrent un trouble ventilatoire obstructif (TVO) défini par un rapport VEMS/CV < 70% Permanente : Par opposition à l asthme (cf 1 er cours) Le TVO est «fixé» : pas ou incomplètement réversible Progressive : Le TVO, dont l importance est mesurée aux EFR par le VEMS, s aggrave avec l âge. Cette aggravation peut être accélérée en cas de poursuite du tabagisme. Tabagisme
9 BPCO : une obstruction progressive des voies aériennes
10 Rapports entre bronchite chronique, emphysème et BPCO L «étape» bronchite chronique n est pas obligatoire ; l absence de bronchite chronique n élimine pas le diagnostic de BPCO Un patient qui a une BPCO (maladie) peut avoir plus ou moins d emphysème (lésion anatomique). On peut parfois observer de l emphysème sur le scanner d un patient dont les EFR ne montrent pas (encore) de TVO
11 Définitions Insuffisance respiratoire chronique : Etape «ultime» de l évolution de la BPCO Mais aussi d autres maladies respiratoires Diagnostiquée sur les gaz du sang hypoxémie chronique < 70 mmhg + perturbations de la fonction respiratoire C est une définition théorique qui n a pas d implications pratiques, contrairement à
12 Définitions insuffisance respiratoire chronique grave En air ambiant Au repos Mesures répétées (intervalle 3 semaines) A distance d un épisode aigu PaO2 < 55 mmhg ou 60 mmhg si retentissement cardiaque (insuffisance cardiaque droite) ou hématologique (polyglobulie) -> c est le seuil pour la prescription d une oxygénothérapie de longue durée
13 Définitions Comment retenir? PaO2 <55 mmhg = simple Mais PaO2 <60 mmhg avec IVD ou polyglobulie? IVD: l hypoxémie entraîne une vasoconstriction des vaisseaux pulmonaires, donc augmente le travail du cœur droit puisque c est lui qui «envoie» le sang dans ces vaisseaux Lorsqu il y a une hypoxémie, l organisme «compense» en produisant plus d hématies pour optimiser le transport de l oxygène présent
14 Quizz 1 Quelle est la bonne définition de la bronchite chronique : A. Toux et expectoration chroniques 10 ans B. Toux et dyspnée pendant au moins 2 ans C. Toux et expectoration 3 mois/an 2 ans D. Toux et expectoration 2 mois/an 3 ans
15 Quizz 2 Vrai ou faux? A. Emphysème et BPCO sont des synonymes B. L emphysème est la phase ultime de la BPCO C. L emphysème fait toujours suite à la bronchite chronique D. L emphysème est une lésion anatomique souvent observée dans la BPCO
16 Quizz 3 Quels qualificatifs sont vrais lorsque l on parle de l obstruction des voies aériennes dans la BPCO : A. c est une obstruction intermittente B. c est une obstruction réversible C. c est une obstruction permanente D. c est une obstruction stable E. c est une obstruction progressive
17 Quizz 4 Comment faire le diagnostic d une insuffisance respiratoire chronique grave? A.Par l interrogatoire et l examen clinique B.Par un gaz du sang C.Par au moins 2 gaz du sang à l état stable D.Par au moins 2 gaz du sang dont un doit être prélevé lors d une exacerbation de la BPCO
18 Quizz 5 Quel est le seuil de la PaO2 pour l insuffisance respiratoire chronique grave? A.55 mmhg? B.58 mmhg? C.70 mmhg si des conditions supplémentaires sont remplies? D.60 mmhg si des conditions supplémentaires sont remplies?
19 Epidémiologie
20 BPCO 90% des cas d insuffisance respiratoire chronique Mais insuffisance respiratoire chronique et BPCO ne sont pas synonymes Il existe des BPCO peu sévères sans insuffisance respiratoire chronique Il existe des insuffisance respiratoires chroniques d autre cause que la BPCO
21 Epidémiologie 5-10% des adultes pays industrialisés 3,5 millions de personnes en France sont au stade d insuffisance respiratoire chronique grave Au moins morts/an -> fréquent ++++
22 Facteurs de risque Le tabac domine tous les autres facteurs 20% des fumeurs auront un TVO 50% des fumeurs 65 ans ont une BPCO Autres facteurs : pollution intérieure et extérieure Facteurs génétiques : déficit en alpha-1 antitrypsine -> emphysème précoce et grave
23 Rôle du tabac (bis)
24 Quizz 6 Si vous ne devez retenir qu un seul facteur de risque pour la BPCO, ce sera : A.la pollution B.l âge C.le tabac D.la génétique E.le déficit en alpha-1 antitrypsine
25 Diagnostic
26 Diagnostic Clinique : Âge (plutôt à partir de 50 ans), tabac Symptôme le plus important : la dyspnée chronique ++ +/- : toux, expectoration Confirmation par les EFR
27 Dyspnée chronique Dyspnée : Gêne respiratoire subjective Perception anormale et désagréable de la respiration Dyspnée aigue Phénomène d apparition récente D apparition brutale ou d aggravation rapide Dyspnée chronique : l inverse!
28 Dyspnée chronique Le plus souvent à l effort Pas toujours bien corrélée à la gazométrie Plusieurs modes d évaluation : Auto-évaluation : EVA Scores : NYHA, Sadoul Buts : «mesurer la dyspnée» et en suivre l évolution
29 Score de Sadoul Classes NYHA (New York Heart association) I : patients sans limitation d activité II : patients avec une limitation d activité légère à modérée, confortables au repos et lors d efforts modérés III : patients avec une limitation d activité marquée, confortables uniquement au repos IV : patients qui doivent être au repos complet, confinés au lit ou au fauteuil, la moindre activité est source de dyspnée, des symptômes surviennent au repos
30 Diagnostic : examen physique Peut-être normal en période stable, surtout dans les formes peu sévères On peut trouver plusieurs «morphotypes» de patients : obèses ou dénutris Patient emphysémateux sévère «typique» : Distension du thorax Frein expiratoire Expiration à lèvres pincées
31 Exemple : BPCO sévère avec insuffisance respiratoire chronique La dénutrition dans la BPCO est un facteur de mauvais pronostic.
32 Diagnostic : EFR Trouble ventilatoire obstructif VEMS/CV < 70% VEMS plus ou moins diminué selon le stade de la BPCO Pas de réversibilité ou réversibilité incomplète Parfois distension thoracique : Volumes «non mobilisables» augmentés
33 Evolution
34 Evolution Déclin du VEMS émaillé d exacerbations (dites «décompensations» si sévères) -> hospitalisations Décès par insuffisance respiratoire, cause cardio-vasculaire ou cancer
35 Stade de la BPCO
36 Score pronostic de BODE
37 Phénomène de déconditionnement
38 Quizz 7 Quel est le symptôme prédominant dans la BPCO? La BPCO est-elle fréquente chez les patients de ans? Quelles sont les principales causes de mortalité des patients BPCO? Vaut-il mieux être en surpoids ou dénutri lorsque l on a une BPCO?
39 Traitement
40 Traitement Sevrage tabagique : C est le seul traitement qui ralentit le déclin du VEMS Bronchodilatateurs en fonction de la sévérité de la BPCO: traitement de fond/de crise Prévention des surinfections par la vaccination (grippe, pneumocoque) Oxygénothérapie de longue durée si insuffisance respiratoire chronique grave Réhabilitation
41 Bronchodilatateurs Traitement «de fond» : Traitement qui se prend tous les jours sans tenir compte des symptômes, qui n a pas d effet direct sur les symptômes Bronchodilatateurs longue durée d action +/- corticoïdes inhalés Donc c est l inverse de l asthme (Csi +/- bronchodilatateurs de longue durée d action)
42 spiriva
43 Problèmes liés au traitement de fond Risque d inobservance (pas d effet immédiat) Risque de mauvaise technique de prise Risque de mauvaise compréhension (confusion traitement de fond/de crise) -> rôle des soignants +++ dans l éducation
44 Techniques de prise Systèmes existants: Poudre Gélules contenant de la poudre Spray Donc différentes techniques à connaître
45 Techniques de prise Poudre ou gélules: Préparer la dose Vider les poumons Inspirer dans le dispositif Rester en apnée en inspiration 5 secondes Ne pas souffler dans le dispositif Se rincer la bouche si le traitement contient des corticoïdes
46 Techniques de prise Spray Secouer le spray Vider les poumons Mettre le spray en bouche, presser pour administrer la dose Immédiatement, inspirer Rester en apnée, en inspiration, 5 secondes
47 Bronchodilatateurs Traitement «de crise» : Bronchodilatateurs de courte durée d action A domicile : bricanyl turbuhaler, ventoline A l hôpital : nébulisations
48 SPRAY
49 Nébulisation : masque (patient incapable de tenir l embout ; troubles de la conscience PATIENT 1 ampoule de broncho-dilatateur Gaz propulseur : oxygène 6-8L/min
50 Nébulisation : embout buccal. A privilégier dès que possible
51 Quizz 7 bis Quand un patient hospitalisé a un traitement inhalé pour sa BPCO Il suffit de lui poser sur la table de nuit et de lui dire de le prendre matin et soir? Il faut signaler au médecin si la technique de prise reste mauvaise après explications? Il faut lui dire de se rincer la bouche si le traitement contient des corticoïdes? Il doit souffler dans le dispositif?
52 Réhabilitation Prise en charge globale, pluridisciplinaire, de la BPCO : optimisation du traitement pharmacologique aide à l arrêt du tabac réentraînement à l exercice (cf diapo sur le déconditionnement) kinésithérapie respiratoire de drainage bronchique prise en charge psychosociale (les BPCO sont souvent dépressifs) éducation prise en charge nutritionnelle (la dénutrition est de mauvais pronostic)
53 Réhabilitation En pratique : Sorte de «stage» Qui peut avoir lieu en externe Ou lors d une hospitalisation dans un centre spécialisé Durée de quelques semaines
54 Quizz 8 Vrai ou faux : A.L oxygénothérapie de longue durée ralentit le déclin du VEMS B.Les vaccins sont contre-indiqués chez les BPCO C.Seuls certains BPCO doivent avoir une oxygénothérapie de longue durée D.Les stages visant à lutter contre le déconditionnement s appellent la rééducation
55 Exacerbation de BPCO Définitions : Exacerbation : aggravation des symptômes respiratoires (dyspnée +/- toux, expectoration) d un patient atteint de BPCO par rapport à son état habituel Décompensation : exacerbation sévère=mettant en jeu le pronostic vital Attention : l aggravation des symptômes doit être suffisamment prolongée pour parler d exacerbation ( augmentation de la dyspnée juste après un effort)
56 Signes de gravité Ils ne sont pas spécifiques de la BPCO Ce sont les signes d insuffisance respiratoire aigue (cf) A noter le risque d hypercapnie particulièrement important chez ces patients Exacerbation grave Mesures thérapeutiques urgentes Alerter le médecin
57 Causes d exacerbation de BPCO Bronchite/pneumonie : le plus fréquent +++, pas forcément d origine bactérienne Embolie pulmonaire Œdème pulmonaire Traumatisme thoracique Médicaments dépresseurs respiratoires : certains anxiolytiques (benzodiazépines), certains antalgiques (morphine) Pneumothorax
58 Diagnostic étiologique d une exacerbation Interrogatoire et examen clinique : arguments en faveur de ces différentes causes? Notamment : expectoration abondante et/ou purulente? Radiographie de thorax Bilan biologique : inflammation? Marqueurs cardiaques ECG
59 Traitement des exacerbations de BPCO Dès les urgences Corriger l hypoxémie : oxygénothérapie nasale Diminuer l obstruction bronchique : bronchodilatateurs Béta-2 mimétiques : bricanyl ou ventoline Atropiniques : atrovent Exemple de prescription : Bricanyl + atrovent : 3 nébulisations en 1h avec un débit d air de 6-8L Attention : dans l asthme, le gaz utilisé est l oxygène
60 Problème de l oxygénothérapie Risque d aggravation de l hypercapnie chez un patient BPCO lors de la mise sous oxygène Mais rique d arrêt cardiaque hypoxique si hypoxie trop profonde Donc monitorage de la saturation ++ et demander au médecin quelle est la saturation «cible» ( 90% pour BPCO sévère)
61 Traitement des exacerbations de BPCO Pour la suite du traitement (en salle) Traitement de la cause : souvent antibiothérapie Améliorer le drainage bronchique : kinésithérapie respiratoire Parfois corticoïdes per os (plutôt si pas de facteur déclenchant retrouvé) Nutrition Parfois : Nécessité d une ventilation non invasive (VNI) ou invasive (intubation) -> réanimation
62 Quizz 9 Vrai ou faux : A.Pour poser le diagnostic d exacerbation il faut forcément que le patient tousse B.Décompensation et exacerbation sont synonymes C.L embolie pulmonaire est la cause la plus fréquente d exacerbation D.Les BPCO doivent éviter le paracétamol, qui peut entraîner des exacerbations
63 Quizz 10 Vrai ou faux : dans l exacerbation de BPCO A.Les nébulisations de broncho-dilatateurs font partie du traitement B.La saturation «cible» doit être > 95% C.Les antibiotiques sont systématiques D.Les corticoïdes sont systématiques E.La kinésithérapie respiratoire doit être mise en œuvre dès les urgences
64 Conclusion Pathologie très fréquente première cause d insuffisance respiratoire chronique Motif fréquent de consultation, d hospitalisation Connaître les signes de gravité de l exacerbation et le traitement d urgence
65 Quizz 1 Quelle est la bonne définition de la bronchite chronique : A. Toux et expectoration chroniques 10 ans B. Toux et dyspnée pendant au moins 2 ans C. Toux et expectoration 3 mois/an 2 ans D. Toux et expectoration 2 mois/an 3 ans
66 Quizz 2 Vrai ou faux? A. Emphysème et BPCO sont des synonymes B. L emphysème est la phase ultime de la BPCO C. L emphysème fait toujours suite à la bronchite chronique D. L emphysème est une lésion anatomique souvent observée dans la BPCO
67 Quizz 3 Quels qualificatifs sont vrais lorsque l on parle de l obstruction des voies aériennes dans la BPCO : A. c est une obstruction intermittente B. c est une obstruction réversible C. c est une obstruction permanente D. c est une obstruction stable E. c est une obstruction progressive
68 Quizz 4 Comment faire le diagnostic d une insuffisance respiratoire chronique grave? A.Par l interrogatoire et l examen clinique B.Par un gaz du sang C.Par au moins 2 gaz du sang à l état stable D.Par au moins 2 gaz du sang dont un doit être prélevé lors d une exacerbation de la BPCO
69 Quizz 5 Quel est le seuil de la PaO2 pour l insuffisance respiratoire chronique grave? A.55 mmhg? B.58 mmhg? C.70 mmhg si des conditions supplémentaires sont remplies? D.60 mmhg si des conditions supplémentaires sont remplies?
70 Quizz 6 Si vous ne devez retenir qu un seul facteur de risque pour la BPCO, ce sera : A.la pollution B.l âge C.le tabac D.la génétique E.le déficit en alpha-1 antitrypsine
71 Quizz 7 Quel est le symptôme prédominant dans la BPCO? La BPCO est-elle fréquente chez les patients de ans? Quelles sont les principales causes de mortalité des patients BPCO? Vaut-il mieux être en surpoids ou dénutri lorsque l on a une BPCO?
72 Quizz 7 bis Quand un patient hospitalisé a un traitement inhalé pour sa BPCO Il suffit de lui poser sur la table de nuit et de lui dire de le prendre matin et soir? Il faut signaler au médecin si la technique de prise reste mauvaise après explications? Il faut lui dire de se rincer la bouche si le traitement contient des corticoïdes? Il doit souffler dans le dispositif?
73 Quizz 8 Vrai ou faux : A.L oxygénothérapie de longue durée ralentit le déclin du VEMS B.Les vaccins sont contre-indiqués chez les BPCO C.Seuls certains BPCO doivent avoir une oxygénothérapie de longue durée D.Les stages visant à lutter contre le déconditionnement s appellent la rééducation
74 Quizz 9 Vrai ou faux : dans l exacerbation de BPCO A.Les nébulisations de broncho-dilatateurs font partie du traitement B.La saturation «cible» doit être > 95% C.Les antibiotiques sont systématiques D.Les corticoïdes sont systématiques E.La kinésithérapie respiratoire doit être mise en œuvre dès les urgences
75 Quizz 10 Vrai ou faux : A.Pour poser le diagnostic d exacerbation il faut forcément que le patient tousse B.Décompensation et exacerbation sont synonymes C.L embolie pulmonaire est la cause la plus fréquente d exacerbation D.Les BPCO doivent éviter le paracétamol, qui peut entraîner des exacerbations
La Broncho-Pneumopathie chronique obstructive (BPCO)
La Broncho-Pneumopathie chronique obstructive (BPCO) Définition La définition scientifique de la BPCO est la suivante : «maladie chronique et lentement progressive caractérisée par une diminution non complètement
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre GUIDE DU PARCOURS DE SOINS. Bronchopneumopathie chronique obstructive
Guide du parcours de soins Titre GUIDE DU PARCOURS DE SOINS Bronchopneumopathie chronique obstructive Juin 2014 Guide téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé 2 avenue du Stade de France
Plus en détailTRAITEMENT DE LA MPOC. Présenté par : Gilles Côté, M.D.
TRAITEMENT DE LA MPOC Présenté par : Gilles Côté, M.D. Département clinique de médecine générale Avril 2001 TRAITEMENT DE LA MPOC I- INTERPRÉTATION DES TESTS DE FONCTION RESPIRATOIRE II- PRISE EN CHARGE
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailrecommandations pour les médecins de famille
BPCO: recommandations pour les médecins de famille BPCO: recommandations pour les médecins de famille Dr. med. Werner Karrer, Prof. Dr. med. Jörg D. Leuppi Les médecins de famille jouent un rôle central
Plus en détailBPCO * La maladie respiratoire qui tue à petit feu. En France, 3,5 millions de personnes touchées dont 2/3 l ignorent. 17 000 morts chaque année...
BPCO * La maladie respiratoire qui tue à petit feu. *Bronchopneumopathie chronique obstructive. En France, 3,5 millions de personnes touchées dont 2/3 l ignorent. 17 000 morts chaque année... Fondation
Plus en détailProgramme d actions en faveur de la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) «Connaître, prévenir et mieux prendre en charge la BPCO»
Programme d actions en faveur de la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) 2005 2010 «Connaître, prévenir et mieux prendre en charge la BPCO» Ministère de la Santé et des Solidarités 1 Le programme
Plus en détailPROGRAMME D ACTIONS SUR LES PARCOURS DE
PROGRAMME D ACTIONS SUR LES PARCOURS DE SANTE DES PERSONNES ATTEINTES DE MALADIES CHRONIQUES - LA BRONCHOPNEUMOPATHIE CHRONIQUE OBSTRUCTIVE (BPCO) 2012-2016 Projet Régional de Santé du Nord-Pas-de-Calais
Plus en détaildmt Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et travail Introduction État des connaissances Paris, 21 décembre 2007 notes de congrès
dmt TD notes de congrès 160 Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et travail Paris, 21 décembre 2007 Une journée «BPCO et travail» a eu lieu le 21 décembre 2007. Elle était organisée par la
Plus en détailLa ventilation non invasive aux soins intensifs
La ventilation non invasive aux soins intensifs Martin Lessard MD Service de soins intensifs, CHA Division de soins intensifs adultes Université Laval 3 mars 2011 BiPAP (Bi-level Positive Airway Pressure)
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP
INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP I Définition L'insuffisance cardiaque droite (IVD) se traduit par une augmentation des pressions de remplissage télédiastolique du ventricule droit (VD). Le
Plus en détailVentilation mécanique à domicile
RÉVISION DE CATÉGORIES HOMOGÈNES DE DISPOSITIFS MÉDICAUX Ventilation mécanique à domicile Dispositifs médicaux et prestations associées pour traitement de l insuffisance respiratoire Date de validation
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailo Non o Non o Oui o Non
Enquête générale (à remplir une fois) [ ] = plusieurs réponses possibles o = une seule réponse possible Date de votre réponse à ce questionnaire Nombre de lits dans l'unité Connaissez-vous l incidence
Plus en détailGroupe 1 somnovni 12/12/14
Recommandations HAS 2014! Pas encore parues indications VNI! Indication VNI en cas d une hypoventilation alveolaire = Hypercapnie : " PtCO2 nocturne > 50 mmhg " Et/ou d une PaCO2 diurne > 45 mmhg! Cas
Plus en détailTrajectoire de la clientèle MPOC Trois-Rivières métro. Dr François Corbeil Pneumologue CSSSTR-CHAUR-CHR
Trajectoire de la clientèle MPOC Trois-Rivières métro Dr François Corbeil Pneumologue CSSSTR-CHAUR-CHR Trajectoire de la clientèle MPOC Trois-Rivières métro Dr François Corbeil Pneumologue CSSSTR-CHAUR-CHR
Plus en détailUNE PRISE DE DÉCISION INFORMÉE PAR DES RÉSULTATS
COllection Les rapports du 7 Les facteurs prédictifs à la désaturation nocturne chez les patients ayant une maladie pulmonaire obstructive chronique rapport UNE PRISE DE DÉCISION INFORMÉE PAR DES RÉSULTATS
Plus en détailDOSSIER - AEROSOLTHERAPIE PAR NEBULISATION
Novembre 2008 ; N 19 ARTICLE COMMENTE NSCLC Meta-Analyses Collaborative Group. Chemotherapy in addition to supportive care improves survival in advanced non small-cell lung cancer: a systematic review
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailLA VIE APRES VOTRE INFARCTUS
Hôpital Privé d Antony LA VIE APRES VOTRE INFARCTUS Livret d information Hôpital Privé d Antony - OPC/KINE/268 Page 1 sur 5 Intervenants Rédigé par : C.DUPUY M.CERISIER Masseur Kinésithérapeute Masseur
Plus en détailOxygénothérapie à domicile
RÉVISION DE CATÉGORIES HOMOGÈNES DE DISPOSITIFS MÉDICAUX Dispositifs médicaux et prestations associées pour traitement de l insuffisance respiratoire et de l apnée du sommeil Oxygénothérapie à domicile
Plus en détailLa fibrose pulmonaire idiopathique
La fibrose pulmonaire idiopathique La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailLes fiches repères d INTEGRANS sont réalisées par ARIS Franche-Comté dans le cadre du programme INTEGRANS. Plus d infos sur www.integrans.org.
Les fiches repères d INTEGRANS sont réalisées par ARIS Franche-Comté dans le cadre du programme INTEGRANS. Plus d infos sur www.integrans.org. Les maladies invalidantes Repères sur l asthme généralités
Plus en détailProgramme de réhabilitation respiratoire
Programme de réhabilitation respiratoire Dr Jean-Marc Perruchini Service de Réhabilitation R respiratoire, Clinique de Médecine Physique Les Rosiers 45, Bd Henri Bazin, 21002 DIJON Cedex Mle Carine Lopez
Plus en détailTraitement pharmacologique de la BPCO
Revue des Maladies Respiratoires (2010) 27, S19-S35 Traitement pharmacologique de la BPCO Les interventions pharmacologiques abordées dans ce chapitre sont : aides au sevrage tabagique ; bronchodilatateurs
Plus en détailENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l asthme de votre enfant
ENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l astme de votre enfant Membre de la Fédération Française de Pneumologie Avec le soutien de la Direction Générale de la Santé et le parrainage
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailLes gencives et la santé générale. Qu est-ce qu une maladie des gencives? d autres types de problèmes de santé ou en causer de nouveaux.
Les gencives et la santé générale Nous savons tous que la prévention est l une des clés du maintien de la santé générale. Nous faisons de l exercice et nous surveillons notre alimentation pour nous aider
Plus en détailLa fonction respiratoire
La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur
Plus en détailSADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)
SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation
Plus en détailRéférentiel de compétences et d aptitudes du masseur kinésithérapeute de réanimation (MKREA) en secteur adulte
Réanimation DOI 10.1007/s13546-011-0243-1 RÉFÉRENTIEL / GUIDELINES Référentiel de compétences et d aptitudes du masseur kinésithérapeute de réanimation (MKREA) en secteur adulte Guide to skills and abilities
Plus en détailPROJET DE MEDECINE A. HISTOIRE ET PROJET DE L ETABLISSEMENT ET DU SERVICE
1 PROJET DE MEDECINE A. HISTOIRE ET PROJET DE L ETABLISSEMENT ET DU SERVICE Le Centre Hospitalier de SOMAIN a achevé sa restructuration en 1999 avec la fermeture de plusieurs services actifs (maternité,
Plus en détailA. ANDRO 1, C. MESTON 2, N. MORVAN 3
Chapitre 121 La ventilation non invasive (VNI) de l enfant A. ANDRO 1, C. MESTON 2, N. MORVAN 3 1. Définition La VNI se définit comme une technique destinée à augmenter la ventilation alvéolaire sans utiliser
Plus en détailLISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
LISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE Code Désignation OXYGENOTHERAPIE A LONG TERME EN POSTE FIXE Date JO Entente préalable Surveillance
Plus en détailActualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque
Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque 24 ème Congrès de la Coordination des Infirmiers Anesthésistes et de Réanimation de Caen et sa Région Dr Buléon Clément Pôle Réanimation-Anesthésie-SAMU,
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailInsuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III
Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailLes solutions en Kiné Respiratoire par Portex. Améliorer la qualité de vie THÉRAPIE RESPIRATOIRE
Les solutions en Kiné Respiratoire par Portex TM Améliorer la qualité de vie THÉRAPIE RESPIRATOIRE Améliorer la qualité de vie La nécessité d une réhabilitation efficace des patients à la suite de complications
Plus en détailLa toux chronique de l adulte, démarche diagnostique
La toux chronique de l adulte, démarche diagnostique LES RECOMMANDATIONS Des recommandations ont été formulées à l instigation de la Société Française Oto-Rhino- Laryngologie et de la Chirurgie de la Face
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailQUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?
QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation
Plus en détailTout sur la toux! La toux est une des principales causes de. La classification de la toux. Les caractéristiques de la toux selon son étiologie
Tout sur la toux! Mise àj our Louis-Philippe Boulet, MD, FRCPC, FCCP La classification de la toux La toux est une des principales causes de morbidité et un des plus fréquents motifs de consultation médicale.
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailVous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à
Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailRECOMMANDATIONS AU SUJET DES SOINS PRIMAIRES DE LA MPOC MISE À JOUR DE 2008
RECOMMANDATIONS AU SUJET DES SOINS PRIMAIRES DE LA MPOC MISE À JOUR DE 2008 Recommandations de la Société canadienne de thoracologie au sujet de la prise en charge de la maladie pulmonaire obstructive
Plus en détailSession Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr
Session Diagnostic organisme gestionnaire du développement professionnel continu www.cardiosleep.fr UN CONSTAT 1 patient sur 3 est atteint de Troubles Respiratoires du Sommeil (TRS) en cardiologie. Les
Plus en détailSéminaire du Pôle Santé
1 Séminaire du Pôle Santé Les télésoins à domicile au Québec représentent-ils une solution économiquement viable? Guy Paré, Ph.D., MSRC Titulaire de la Chaire de recherche du Canada en technologies de
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailAPRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX
Hôpital Privé d Antony APRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX Livret d information Hôpital Privé d Antony OPC/KINE/297 Page 1 sur 6 Intervenants Rédigé par : Nom Profession Le Visa C.DUPUY
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailRECOMMANDATIONS SUR LA MPOC MISE À JOUR DE 2007
RECOMMANDATIONS SUR LA MPOC MISE À JOUR DE 2007 Recommandations de la Société canadienne de thoracologie au sujet de la prise en charge de la maladie pulmonaire obstructive chronique Mise à jour de 2007
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailMETHODOLOGIE POUR ACCROITRE LE POOL DE DONNEURS PULMONAIRES
METHODOLOGIE POUR ACCROITRE LE POOL DE DONNEURS PULMONAIRES Marc STERN Groupe de Transplantation Pulmonaire Hôpital Foch Aucun conflit d intérêt à déclarer Le greffon pulmonaire Bien rare et insuffisant:
Plus en détailCancer et dyspnée: comment peut-on soulager? Dr Lise Tremblay 10 mai 2010
Cancer et dyspnée: comment peut-on soulager? Dr Lise Tremblay 10 mai 2010 Objectifs Comprendre la physiopathologie de la dyspnée Connaître les traitements disponibles pour soulager la dyspnée Définir la
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailChapitre 2 : Respiration, santé et environnement.
Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Rappels : L air qui nous entoure contient 3 gaz principaux: 71% d azote, 21% d oxygène, 0,03 % de CO2 et quelques gaz rares. L eau de chaux se trouble
Plus en détailEvaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux
Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Je déclare n avoir aucun conflit d intérêt en lien avec cette présentation
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailFormation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA)
Formation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA) Que devons nous savoir? Utiliser en toute sécurité un défibrillateur semi-automatique au cours de la réanimation cardio-pulmonaire Durée
Plus en détailNouveautés dans Asthme & MPOC
Nouveautés dans Asthme & MPOC Dr Gilles Côté Pneumologue CSSSGatineau Pavillon de Hull 31 Janvier 2014 Conflit d intérêt Aucun 2 1 Objectifs A la fin de cette capsule, le participant pourra identifier
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailGUIDE INFO-ASTHME. www.pq.poumon.ca
GUIDE INFO-ASTHME Siège social 855, rue Sainte-Catherine Est, bureau 222, Montréal QC H2L 4N4 Tél.: (514) 287-7400 ou 1 800 295-8111 Téléc.: (514) 287-1978 Courriel: info@pq.poumon.ca Internet: www.pq.poumon.ca
Plus en détailConsignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2
Généralisation 2014 d un recueil d indicateurs pour l amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé de soins de courte durée Consignes de remplissage - Grille
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailNAVA pourquoi pas. Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc.
NAVA pourquoi pas Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc. 7e Symposium en thérapie respiratoire HSCM 1 décembre 2012 Le mode NAVA o Neurally Adjusted Ventilatory Assist Neuro-Asservissement
Plus en détailLe donneur en vue d une transplantation pulmonaire
Le donneur en vue d une transplantation pulmonaire Nicola Santelmo Chirurgie Thoracique Groupe de Transplantation Pulmonaire de Strasbourg Hôpitaux Universitaires de Strasbourg Coordinateur: Pr Gilbert
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailMaladies neuromusculaires
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailMigraine et mal de tête : des "casse-tête"
Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,
Plus en détail3 ème rencontre autour de la DCP
3 ème rencontre autour de la DCP Cette troisième rencontre a pu se dérouler à Reims grâce à Christine Pietrement et Gilles Denis, qui ont souhaité l organiser dans leur ville et que nous remercions pour
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailAccès aux soins. avec couverture maladie. ACCèS AUX SOINS AVEC COUVERTURE MALADIE. d examens de santé. (CES) pour adultes Saint-Vincent
Accès aux soins avec couverture maladie Les centres d examens de santé Ce sont des structures qui proposent un «examen périodique de santé» qui représente un droit pour tout assuré social. L examen périodique
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailBulletin de veille sanitaire octobre 2012
CELLULE DE L INVS EN RÉGION BRETAGNE Bulletin de veille sanitaire octobre 01 Les intoxications au monoxyde de carbone survenues en Bretagne en 011 Page 1 Introduction Page Matériel et méthode Le système
Plus en détail