UE 4.4. S2 - Thérapeutiques et contribution au diagnostic médical Compétence 4 L OXYGENOTHERAPIE

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1 UE 4.4. S2 - Thérapeutiques et contribution au diagnostic médical Compétence 4 L OXYGENOTHERAPIE

2 I) Définition L oxygénothérapie consiste à faire pénétrer de l oxygène dans l arbre trachéobronchique d un patient de façon à rétablir ou à maintenir un taux normal d oxygène dans le sang.

3 II) Rappel L oxygène est transporté sous 2 formes : dissous dans le plasma combiné à l hémoglobine pour former l oxyhémoglobine la 1ère forme va se mesurer par les Gaz du Sang (GDS) la 2ème forme se mesure par la saturation en 0 2 (% de la saturation de l hémoglobine en 0 2 )

4 Le CO 2 est transporté sous 3 formes: dissous dans le plasma (5%) sous forme de carbonates (85%) combiné à l hémoglobine (10%) A SAVOIR : La PAO 2 varie selon l âge. La fixation de l O2 sur l hémoglobine se modifie selon la température corporelle (d ou l intérêt de la noter sur feuille des GDS).

5 III) Indications à l oxygénothérapie Tout état pathologique caractérisé par une diminution de la PAO 2 dans le sang d ou un manque au niveau cellulaire. La mise en place de l O2 se fait en général après la mesure des GDS.

6 A) Oxygénothérapie en situation d urgence: Il s agit d administrer de l O 2 chez un malade en insuffisance respiratoire aiguë, laquelle se définit sur des critères gazométriques :

7 Hypoxie quantité d O 2 délivrée aux tissus insuffisante par rapport aux besoins cellulaires Hypoxémie quantité d O 2 transporté dans le sang est diminuée PA0 2 < 55 mmhg +/- hypercapnie augmentation de la concentration de CO 2 dans le sang PACO 2 50 mmhg

8 Les causes peuvent être multiples: dyspnée aiguë BPCO (Broncho-pneumopathie chronique obstructive) asthme pneumothorax OAP (œdème aigu pulmonaire), embolie pulmonaire But du traitement par O 2 : Combattre l hypoxémie afin de ramener la PAO 2 à des valeurs sup. ou = à 60 mmhg.

9 Si la PAO 2 reste basse et la PACO 2 n augmente pas augmentation progressive de l O2 si le patient n est pas hypercapnique on pourra alors lui administrer des débits plus importants L oxygénothérapie sera poursuivie tant que les paramètres des GDS restent perturbés.

10 B) l oxygénothérapie à long terme : Elle s adresse avant tout aux insuffisants respiratoires chroniques. D autres indications: maladies neuromusculaires mucoviscidose cyphoscoliose La prescription d O 2 est soumise alors à certaines règles : la PAO 2 doit être 55 mmhg et ceci sur 2 mesures successives réalisées à 3 semaines d intervalle

11 Les patients sortiront avec de l O 2 à domicile sur prescription médicale. Compte tenu de la désaturation nocturne plus prononcée, l O 2 sera pris majoritairement la nuit puis réparti dans la journée selon les efforts produits. L oxygénothérapie de longue durée bien conduite augmente l espérance de vie, une meilleure tolérance à l effort, améliore les fonctions psycho-intellectuelles.

12 Les différentes sources d O2 oxygène gazeux sous forme d obus les extracteurs gros containers permettant de concentrer l O 2 l O 2 liquide O 2 refroidi à C, c est une réserve fixe munie d un appareil portable qui facilite la déambulation

13 Les sources d O2

14 IV) Matériel nécessaire Source d O2 prise murale au lit du patient débitmètre ou détendeur barboteur + eau distillée stérile raccord qui va du barboteur au dispositif à O 2 + autre raccord si patient autonome dispositif d oxygénation: sonde à O 2 (meilleur efficacité) + sparadrap lunettes à O 2 (mieux supporté) masque à haute concentration Sparadrap hypoallergénique pour fixer la sonde

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17 Les systèmes humidificateurs L'air que nous respirons dans nos maisons a une pression partielle en vapeur d'eau de l'ordre de 10 mmhg. Lors de la ventilation normale, le nez réchauffe cet air et le sature en vapeur d'air. Pour une personne insuffisante respiratoire appareillée, il peut y avoir besoin d'un système humidificateur en particulier quand existe une ventilation artificielle associée.

18 Trois types de systèmes humidificateurs peuvent être proposés : Les humidificateurs chauffants Ils reproduisent la fonction du nez : réchauffement de l'air à une température voisine de celle du corps et saturation en vapeur d'eau. Les systèmes humidificateurs non chauffants Ils sont peu efficaces car ils ne réchauffent pas l'air. Ils ne peuvent dépasser une pression de vapeur d'eau de 17 mmhg à 20 C. Ils peuvent cependant être recommandés à certains patients sous oxygénothérapie. Les "nez artificiels" Ils reproduisent la fonction normale du nez. Ce sont des filtres qui jouent le rôle de barrière thermique et aqueuse. Lors de l'expiration, la vapeur d'eau se concentre sous forme de fines gouttelettes sur la face du filtre située vers le malade. Lors de l'inspiration suivante, ces gouttelettes sont réchauffées et retransformées en vapeur d'eau. Ils ne sont utilisés qu'en ventilation artificielle.

19 Ce qu'il faut savoir : Dans la plupart des cas, aucun système d'humidification n'est indispensable pour l'oxygénothérapie. Les systèmes chauffants sont réservés à certains cas d'oxygénothérapie par voie transtrachéale. Les systèmes non chauffants ne sont que rarement prescrits puisqu'ils n'exercent qu'une fonction incomplète d'humidification. Ils peuvent être par ailleurs source de fuites et d'infections bactériennes. Leur principal avantage est d'éviter la sensation d'inconfort pour la muqueuse nasale.

20 V) Technique du soin Selon le décret du 29 juillet 2004 relatif aux actes professionnels et à l exercice de la profession d infirmier : Article 7 : l infirmier ou l infirmière est habilité à pratiquer les actes suivants soit en application d une prescription qui, sauf urgence, est écrite, qualitative et quantitative, datée et signée, soit en application d un protocole écrit, qualitatif et quantitatif, préalablement établi, daté et signé par un médecin : pose d une sonde à oxygène installation et surveillance des personnes placées sous oxygénothérapie.

21 Vérification de la prescription médicale Préparation du matériel nécessaire avec choix du calibre de la sonde (selon le débit prescrit) Installation du matériel dans la chambre avec vérification du bon fonctionnement : brancher le manomètre installer le barboteur avec eau stérile et raccord Avertir le patient, le mettre en position 1/2 assise et le faire moucher (ou aspirer si besoin).

22 Lavage simple des mains Mettre des gants non stériles Si prescription d une sonde nasale : calcul de la taille à introduire = distance nez / oreille. Introduire progressivement la sonde dans la narine de façon horizontale jusqu à la distance déterminée par la compresse Fixer la sonde avec du sparadrap hypoallergénique. Raccorder au tuyau, lui même raccordé au débitmètre Mettre en route l O 2 à la dose prescrite

23 Pose et retrait d une sonde à oxygène

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25 REPERE Malade installé, mesurer la distance «nez-oreille» ( Elle correspond à la longueur de la sonde à introduire )

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29 FIXATION DE LA SONDE La sonde ne doit pas tirer sur la narine, ni passer devant les yeux du patient bien fixer la sonde de manière à ce qu elle ne gène pas le patient

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35 ABLATION DE LA SONDE

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39 VI) Surveillance du patient sous oxygène A ) Surveillance clinique: Plusieurs critères sont à prendre en compte: Fréquence respiratoire : nombre de mouvements respiratoire/ min. Rythme : régularité ou irrégularité des inspirations et expirations Amplitude : importance du mouvement de la cage thoracique (respiration profonde ou superficielle) Coloration des téguments État de la personne Pulsations

40 Comment reconnaître une hyper oxygénation? Toux d irritation nausées trouble de la vue mouvements involontaires des lèvres, paupières, mains vertiges convulsions signes d OAP voir perte de connaissance

41 Comment reconnaître une hypo oxygénation? Cyanose ou inversement pâleur augmentation de la dyspnée accélération du pouls agitation, anxiété, état confusionnel En parallèle, on surveillera régulièrement la saturation en O 2 et les GDS sur prescription. Appel rapide du médecin devant tout changement de l état du patient ou de son comportement.

42 B) Surveillance du matériel à oxygène : Vérifier l étanchéité du système vérification de la sonde à oxygène (sonde non bouchée, bien en place et bien fixée) Surveiller que les lunettes à O2 soit correctement placées Vérification du prolongateur (non débranché, non coudé) barboteur toujours rempli débit d oxygène = à la prescription.

43 Calcul de la réserve d un obus calcul du volume d O2 pression à l intérieur de la bouteille ( en bars) x par le volume physique (exprimé en litre) calcul de l autonomie volume d O 2 débit prescrit = temps en minutes

44 EXEMPLE : vous avez une bouteille d obus de 3 litres le nombre de bars indiqués sur l obus est de 150 et le débit prescrit est de 2 l/min. Volume = 150 x 3 = 450 L dans l obus Autonomie = = 225 min.

45 VII) Entretien du matériel Barboteur : désinfection pendant 15 minutes dans un bac prévu à cet effet. Manomètre : désinfection sans immersion. Ne pas l essuyer sinon annule l efficacité du produit.

46 Précautions particulières Interdiction de fumer car l O 2 est très combustible, la moindre étincelle risque de causer un incendie aucun corps gras sur l équipement à O 2 et sur le nez du patient car risque d inflammation toujours vérifier le bon fonctionnement du matériel et le débit prescrit prévoir en temps le remplacement de l obus à O 2 prendre des précautions avec l obus : éviter les chutes et coups de chaleur (danger d explosion) éviter les infections nosocomiales par un entretien rigoureux du matériel

47 Accidents - incidents Blessure de la muqueuse nasale à l introduction de la sonde = qui entraîne des saignements de nez lésion nécrotique due au sparadrap ou à la traction de la sonde sur le nez : risque d escarre au niveau du nez = changer fréquemment le point d appui de la sonde contre la narine gêne si sonde trop profonde assèchement des voies respiratoires avec formation de mucosités gênant la ventilation = humidifier correctement coupure d 0 2 dans les services.

48 Conclusion L oxygénothérapie n est pas un soin anodin, il représente des dangers et des risques. Il ne suffit pas que l IDE sache administrer l O 2, elle doit également surveiller attentivement le patient et savoir détecter tous signes d alerte Le matériel doit être accessible en permanence et connu de tous. La gestion du matériel est à réaliser par l unité : fiabilité, propreté, en nombre suffisant, rangement approprié et accessible, réparation du matériel rapide.

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