Réunions d information décembre 2013 Les évolutions de la réglementation liée aux nitrates
|
|
- Didier Labranche
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Réunions d information décembre 2013 Les évolutions de la réglementation liée aux nitrates r
2 Les évolutions de la réglementation liée aux nitrates 1 Contexte actuel Directive de 1991, contentieux européen 2 Définition des zones vulnérables 3 Le programme d actions national Définitions, périodes d interdiction d épandage, conditions d épandage, équilibre de la fertilisation, plan de fumure et cahier d enregistrement, limitation des quantités d azote organique épandues, stockage des effluents, couverture des sols, bandes enherbées 4 Le programme d actions régional 5 Conclusion 2
3 1 Contexte actuel Directive CEE 91/676 du 12 décembre 1991 Dénommée «directive Nitrates», elle vise à protéger la qualité de l'eau en Europe en empêchant les nitrates d'origine agricole de polluer les eaux souterraines et de surface, et en encourageant les bonnes pratiques agricoles. Les États membres doivent : - identifier les eaux de surface et souterraines touchées par la pollution ou susceptibles de l'être, - désigner les Zones Vulnérables (ZV), - établir des codes de bonnes pratiques agricoles, - élaborer des programmes d'actions, à mettre en œuvre obligatoirement par tous les agriculteurs en ZV. 3
4 1 Contexte actuel Le contentieux Nitrates Le 20 novembre 2009 : mise en demeure de la France par la Commission Européenne pour : - insuffisance de délimitation des Zones Vulnérables (ZV) - insuffisance et hétérogénéité des programmes d action En réponse, la France a révisé la délimitation des ZV et a modifié l architecture des programmes d actions (un plan d actions national et des plans d actions régionaux). Toutefois, la France risque une condamnation financière pour «manquement sur manquement» pour le début de l année
5 2 Définition des Zones Vulnérables (ZV) Délimitation des Zones Vulnérables - La circulaire ministérielle du 22 décembre 2011 a précisé les modalités de réexamen de la liste des zones vulnérables (prise en compte des teneurs en nitrates dans les eaux superficielles, les eaux souterraines et de l eutrophisation) - Après concertation, le préfet coordonnateur du bassin Loire-Bretagne a délimité les ZV par arrêté du 21/12/12. Le classement est établi au niveau des communes (et non au bassin versant ou masses d eau). - Pour le Maine-et-Loire, la ZV a été étendue sur la partie Est du département, suite aux dépassements de pollution constatés sur les principales masses d eau suivantes : nappe du Séno-Turonien, sables et calcaires lacustres tertiaires de Touraine, Craie du Séno-Turonien de la Vienne, le Loir, l Aubance et la Dive (cf. carte) 5
6 2 Définition des Zones Vulnérables (ZV) 6
7 Arrêté du 19 décembre 2011 modifié par arrêté du 23 octobre 2013 Objet : - mesures destinées à protéger les eaux contre la pollution par les nitrates d origine agricole Qui est concerné? - exploitants agricoles et toute personne physique ou morale épandant des fertilisants azotés sur des terres agricoles situées en ZV A partir de quand? - à partir du 1 er novembre 2013 sauf pour la couverture végétale au cours des périodes pluvieuses et les bandes enherbées qui entreront en vigueur à la publication de l arrêté régional. - au plus tard le 1 er octobre 2016 pour les capacités de stockage. 7
8 Principales définitions Fertilisants de type I : - les fertilisants azotés à C/N élevé (supérieur à 8) comme par ex les fumiers de ruminants, porcins et équins, à l exception des fumiers de volaille. Fertilisants de type II : - les fertilisants azotés à C/N faible (inférieur ou égal à 8) comme par ex les lisiers de bovins ou de porcins, les lisiers de volailles, les fientes de volaille, boues,... Fertilisants de type III : - les fertilisants azotés minéraux et uréiques de synthèse y compris en fertiirrigation CIPAN : Culture Intermédiaire Pièges à Nitrates 8
9 Périodes d interdiction d épandage Fertilisants de type I : - sols non cultivés : toute l année - cultures implantées à l automne (dont colza) : du 15 novembre au 15 janvier - cultures implantées au printemps non précédées par Cipan ou culture dérobée : du 1 er juillet au 31 août et du 15 novembre au 15 janvier - cultures implantées au printemps précédées par Cipan ou culture dérobée : de 20 jours avant la destruction de la Cipan et jusqu au 15 janvier - prairies implantées depuis plus de 6 mois : du 15 décembre au 15 janvier - autres cultures (vignes, vergers,..) : du 15 décembre au 15 janvier 9
10 Périodes d interdiction d épandage Fertilisants de type II : - sols non cultivés : toute l année - cultures implantées à l automne (sauf colza) : du 1 er octobre au 31 janvier - colza implanté à l automne : du 15 octobre au 31 janvier - cultures implantées au printemps non précédées par Cipan ou culture dérobée : du 1 er juillet au 31 janvier - cultures implantées au printemps précédées par Cipan ou culture dérobée : du 1 er juillet avant Cipan et jusqu au 31 janvier - prairies implantées depuis plus de 6 mois : du 15 novembre au 15 janvier - autres cultures (vignes, vergers,..) : du 15 décembre au 15 janvier 10
11 Périodes d interdiction d épandage Fertilisants de type III : - sols non cultivés : toute l année - cultures implantées à l automne (dont colza) : du 1 er sept au 31 janvier - cultures implantées au printemps non précédées par Cipan ou culture dérobée : du 1 er juillet au 15 février - cultures implantées au printemps précédées par Cipan ou culture dérobée : du 1 er juillet au 15 février - prairies implantées depuis plus de 6 mois : du 1 er octobre au 31 janvier - autres cultures (vignes, vergers,..) : du 15 décembre au 15 janvier 11
12 Périodes d interdiction d épandage Remarque : ces périodes ne s appliquent pas à l irrigation, aux déjections des animaux, aux cultures sous abris, aux compléments nutritionnels foliaires et aux engrais phosphatés NP-NPK localisés en ligne au semis des cultures d automne si inférieur à 10 kg N/ha. IMPORTANT : - pour les exploitants en ZV avant le 21/12/12, tenir compte également du calendrier prévu par l arrêté de reconquête de la qualité des eaux du 30 juin 2009 (4ème programme) - le calendrier du PAN pourra être modifié par le futur arrêté régional 12
13 Conditions d épandage par rapport aux cours d eau : - interdiction à moins de 35 mètres pour les fertilisants de type I et II (réduit à 10 mètres si bande enherbée de 10 mètres) - interdiction à moins de 2 mètres pour les fertilisants de type III et sur bandes enherbées par rapport aux sols en forte pente : - interdiction si pente > 10 % pour les fertilisants de type II (15 % si bande enherbée ou boisée de 5 mètres) - interdiction si pente > 15 % pour les fertilisants de type I et III (20 % si bande enherbée ou boisée de 5 mètres) Remarque : dispositions particulières pour cultures pérennes et prairies implantées depuis plus de 6 mois 13
14 Conditions d épandage par rapport aux sols détrempés et inondés : L épandage de tous les fertilisants azotés est interdit sur sols inondés et détrempés (inondé : eau largement présente en surface / détrempé : inaccessible du fait de l humidité) par rapport aux sols enneigés et gelés : - l épandage de tous les fertilisants azotés est interdit sur sols enneigés - l épandage de tous les fertilisants azotés (sauf fumiers compacts pailleux, composts d effluents d élevage et autres produits organiques solides) est interdit sur les sols pris en masse par le gel. 14
15 Équilibre de la fertilisation Principe : la dose des fertilisants épandus sur chaque îlot cultural en ZV est limitée en se fondant sur l équilibre entre les besoins prévisibles en azote des cultures et les apports et sources d azote de toute nature. Méthode : le PAN définit les grands principes que doit comprendre le référentiel régional. Pour les Pays de la Loire, l arrêté régional préfectoral du 28 août 2012 a établi le référentiel régional de mise en œuvre de la fertilisation azotée. La méthode du bilan prévisionnel s applique pour les grandes cultures et les prairies.une dose totale d azote plafonnée a été fixée pour les cultures spécialisées (maraîchage, arboriculture, horticulture, vigne, PPAM, portegraines, tabac, soja). 15
16 Équilibre de la fertilisation Cas particulier des légumineuses : fertilisation interdite sauf dans les cas suivants : - apport de type II dans le semaine précédant le semis ou de type III toléré sur haricots, pois légumes, soja et fève - autorisé sur luzerne et prairies d association dans la limite de l équilibre de la fertilisation IMPORTANT : toute personne exploitant plus de 3 ha en ZV est tenue de réaliser, chaque année, une analyse de sol sur un îlot cultural au moins pour une des trois principales cultures exploitées en ZV. L analyse de sol porte soit sur le reliquat azoté en sortie d hiver, sur l azote total présent dans les horizons de sols cultivés ou le taux de matière organique. 16
17 Plan de fumure et cahier d enregistrement Le plan de fumure et le cahier d enregistrement des pratiques permettent d aider à l agriculteur à mieux gérer sa fertilisation azotée. Ces documents sont OBLIGATOIRES pour chaque îlot cultural exploité en ZV, qu il reçoive ou non des effluents. Le plan de fumure doit au moins comprendre : - l identification et la surface de l îlot cultural, - la culture pratiquée et la période d implantation envisagée, - le type de sol, - la date d ouverture du bilan, - l objectif de production envisagé, - les apports par irrigation envisagés et la teneur en azote de l eau d irrigation, - la quantité d azote efficace et total à apporter après l ouverture du bilan pour chaque apport de fertilisant envisagé. 17
18 Plan de fumure et cahier d enregistrement Le cahier d enregistrement des pratiques doit être tenu à jour et actualisé après chaque épandage de fertilisant. En cas d export d effluents, le cahier d enregistrement doit comprendre un bordereau cosigné par le producteur des effluents et le destinataire. Remarque : Tout apport d azote (réalisé) supérieur à la dose prévisionnelle calculée doit être dûment justifié (outil de raisonnement, accident cultural,...) IMPORTANT : ces documents doivent être conservés pendant 5 campagnes. 18
19 Quantité maximale d azote organique Principe : la quantité maximale d azote contenue dans les effluents d élevage pouvant être épandue annuellement par hectare de Surface Agricole Utile (SAU) est inférieure ou égale à 170 kg. Méthode de calcul : il s agit de la production d azote des animaux, obtenue en multipliant les effectifs par les valeurs de production d azote épandable par animal (corrigée le cas échéant par les imports/exports) dites références CORPEN. Exemples : vache nourrice sans son veau = 68 kg N ; vache de réforme = 40,5 kg N ; brebis = 10 kg N ; poulet standard = 30 g N ; truie - Biphase = 14,5 kg N 19
20 Quantité maximale d azote organique Cas particulier des vaches laitières : en fonction de la production laitière moyenne annuelle et du temps de présence à l extérieur des bâtiments. < 6000 kg de 6000 à 8000 kg > 8000 kg < 4 mois de 4 à 7 mois * 111* > 7 mois 104* 115* 126* * pour la période du 1 er septembre 2013 au 31 août 2014, une valeur de 95 kg d azote/vache/an s applique aux élevages ayant plus de 75 % de surface en herbe dans la surface fourragère principale. 20
21 Stockage des effluents Principe : les ouvrages de stockage doivent être étanches. La capacité de stockage des effluents d élevage doit couvrir au moins les périodes minimales d interdiction d épandage. Méthode : la capacité de stockage minimale est exprimée en nombre de mois pour chaque espèce animale. Pour les bovins, les ovins et les caprins, la capacité de stockage varie selon le temps passé à l extérieur et selon la localisation géographique de l élevage. Exemples : - 4 mois pour le fumier de bovins lait dans le Choletais si tps ext. supérieur à 3 mois ; - 6,5 mois pour le lisier de bovins à l engraissement dans le Baugeois si tps ext. Inférieur ou égal à 3 mois). 21
22 Stockage des effluents - 7 mois pour les fumiers de porcins et 7,5 mois pour les lisiers de porcins. - 7 mois pour les lisiers de volailles. Remarque : tout exploitant ayant des capacités de stockage inférieures aux valeurs prévues devra les justifier par la méthode et l exactitude du calcul effectué et de son adéquation avec le fonctionnement de l exploitation. Rappel : mise en œuvre au plus tard le 1 er octobre 2016 IMPORTANT : les capacités de stockage ne s appliquent pas : - aux fumiers compacts pailleux non susceptibles d écoulement stockés au champ - aux effluents d élevage faisant l objet d un traitement, y compris les effluents bovins peu chargés - aux effluents d élevage faisant l objet d un transfert 22
23 Couverture des sols Principe : la couverture des sols à la fin de l été et à l automne peut contribuer à limiter les fuites de nitrates au cours des périodes pluvieuses à l automne en immobilisant temporairement l azote minéral sous forme organique. Intercultures longues : couverture des sols obligatoire Les repousses de céréales denses et homogène sont autorisées dans la limite de 20 % des surfaces de l exploitation. Le broyage fin des cannes de maïs grain, sorgho ou tournesol suivi d un enfouissement dans les 15 jours est également admis. Intercultures courtes : couverture des sols obligatoire entre une culture de colza et une culture semée à l automne. Les repousses de colza denses et homogènes sont autorisées avec un maintien d au moins 1 mois. 23
24 Couverture des sols Destruction des couverts : la destruction chimique est interdite. La destruction chimique est autorisée pour les îlots culturaux en techniques culturales simplifiée (TCS) et sur les îlots destinés aux légumes, à des cultures maraîchères ou à des cultures porte-graines. Également autorisée pour les îlots infestés sur l ensemble de l îlot par des adventices vivaces sous réserve d une déclaration à l administration. Adaptations régionales : le plan d actions régional pourra proposer, entre autre, des adaptions sur : - date limite où il n est plus possible d implanter des CIPAN - des règles sur les îlots où le travail du sol est nécessaire 24
25 Bandes enherbées Pour tout îlot cultural situé en ZV, une bande enherbée ou boisée non fertilisée d une largeur minimale de 5 mètres est obligatoire le long des cours d eau et des plans d eau de plus de 10 hectares. 25
26 4 Le Programme d actions régional (PAR) Le PAR est actuellement en cours d élaboration et devrait être arrêté au cours du printemps Il pourra compléter et adapter les mesures suivantes : - le calendrier d épandage - l équilibre de la fertilisation - la couverture végétale (CIPAN) - les bandes enherbées - autres mesures (ex : interdiction de l abreuvement direct des animaux dans les cours d eau sauf aménagement spécifique, ). Le PAR pourra également définir les Zones d Actions Renforcées (ZAR). Pour le Maine-et-Loire, cela pourra concerner la Zone d Actions Complémentaires (ZAC) et certaines aires d alimentation de captage d eau potable dont la teneur en nitrates dépassent les 50 mg/l. 26
27 4 Le Programme d actions régional (PAR) Le PAR en ZAR les ZAR captages : choix d une ou plusieurs mesures suivantes parmi : - renforcement de l une des 4 mesures (calendrier épandage, équilibre fertilisation, couverture végétale et bandes enherbées) - gestion adaptée des terres notamment retournement des prairies - déclaration annuelle des flux d azote - limitation du solde du bilan azoté - obligation de traiter ou d exporter l azote au delà d un seuil les ZAR ex-zac : choix d une mesure parmi : - déclaration annuelle des flux d azote et limitation du solde du bilan azoté - fixation d un plafond d apports azotés de toute nature à l exploitation 27
28 5 Conclusion CE QU IL FAUT RETENIR sur l application des mesures du programme : ZV définies en 1994 Nouvelles ZV (2012) du 1er novembre 2013 à l'adoption du PAR à partir de l'adoption du PAR (printemps 2014) 4ème programme d actions départemental et PAN PAR et mesures du PAN Mesures du PAN PAR et mesures du PAN sur la mise aux normes des capacités de stockage : adaptation ou mises aux normes avant le 1 er octobre
29 Merci de votre attention. 29
DIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions
DIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions Novembre 2010 CHAMBRE D AGRICULTURE 47 4ème Programme d Actions ZONE VULNERABLE Quelle zone? 93 communes 2466 exploitations 94425 ha 4ème Programme
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailLA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES
LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES Version A Aide sollicitée auprès du Conseil Régional de Picardie au titre de (cocher l aide sollicitée) : o L investissement en agriculture biologique o
Plus en détailFertiliser le maïs autrement
Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein
Plus en détailDAIRYMAN aux Pays-Bas
DAIRYMAN aux Pays-Bas Frans Aarts, Wageningen-UR 15 October 2013 Le secteur laitiers Néerlandais: Une place importante Une production intensive 65% des surfaces agricoles dédiées à la production laitière
Plus en détailOUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :
OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques
Plus en détailContexte : Objectif : Expérimentation :
Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote
Plus en détailUNE MEILLEURE CONNAISSANCE
CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions
Plus en détailRéforme de la PAC 2015. Réunion d information Septembre 2014
Réforme de la PAC 2015 Réunion d information Septembre 2014 DE NOMBREUX DEFIS POUR LA PAC : LES PROPOS DE D. CIOLOS Juillet 2010 Le contexte : -> fin de la programmation 2007-2013 -> contexte de crise
Plus en détailLa vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures»
Donner à la nature les moyens d exprimer son potentiel! La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures» BIO3G : 3 rue Basse Madeleine - BP 22-22230 MERDRIGNAC Tél : 02 96 67 41 41 - Fax :
Plus en détail4. Verdissement, une PAC plus verte
4. Verdissement, une PAC plus verte Aides Couplées JA Verdissement Paiement redistributif DPB Trois obligations à respecter : 1. Diversification des assolements 2. Maintien des prairies permanentes 3.
Plus en détailTCS, strip-till et semis direct
Témoignage dethierry Lesvigne Polyculture Elevage Bovin Lait La Bernaudie 24 480 ALLES- SUR-DORDOGNE Depuis 2008, Thierry Lesvigne a choisi repenser l ensemble de son système agronomique et a arrêté définitivement
Plus en détailAutodiagnostic d'exploitation préalable aux demandes d'aides aux investissements
PREFET DE LA REGION LIMOUSIN Autodiagnostic d'exploitation préalable aux demandes d'aides aux investissements A remplir par tous les demandeurs sauf les JA et les CUMA/ASA DEMANDEUR Numéro OSIRIS :...
Plus en détailRECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS
PREFET DE L YONNE RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS spécial n 10/2013 du 10 juin 2013 Adresse de la préfecture : 1, Place de la Préfecture - CS 80119-89016 Auxerre cedex tél. standard 03.86.72.79.89 Adresse
Plus en détailConventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique
Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des
Plus en détailProduire avec de l'herbe Du sol à l'animal
GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8
Plus en détailRÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010
Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,
Plus en détailCHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT
CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT 1 Relations alimentaires entre les êtres vivants 1 1 Les chaines alimentaires. Une chaine alimentaire est constituée par une succession d êtres vivants
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailMerci de retourner ce document complété par courrier, fax ou mail (Joindre un plan de situation des bâtiments)
15, rue Gustave Eiffel, ZI Jarny-Giraumont 54800 JARNY Votre référence / Intervenant: N : Diagnostic MENAO N : Notre référence / Intervenant: M. / Mme : M. / Mme : Téléphone : Téléphone : 03 82 20 39 70
Plus en détailAnnexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020
Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe
Plus en détailSAGE nécessaires ( Disposition 13A-1 SDAGE Loire Bretagne)
SAGE nécessaires ( Disposition 13A-1 SDAGE Loire Bretagne) L élaboration Mise en œuvre du Plan : le lancement Installation de la CLE Travaux de la commission «Marée vertes et littoral» - Flux d azote,
Plus en détailREGLEMENT SANITAIRE DEPARTEMENTAL DE MAINE ET LOIRE TITRE VIII PRESCRIPTIONS APPLICABLES AUX ACTIVITES D'ELEVAGE ET AUTRES ACTIVITES AGRICOLES
REGLEMENT SANITAIRE DEPARTEMENTAL DE MAINE ET LOIRE TITRE VIII PRESCRIPTIONS APPLICABLES AUX ACTIVITES D'ELEVAGE ET AUTRES ACTIVITES AGRICOLES Arrêté préfectoral du 20 novembre 1985 153.1. Champ d application
Plus en détailles cinq étapes pour calculer les jours d avance
À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule
Plus en détailPAC. ce qui change. vraiment
PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne
Plus en détailLa lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012
La lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012 Cette lettre du service d'économie agricole (SEA) de la DDT de l'essonne est gratuite. Elle peut librement être recopiée
Plus en détailMINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural)
MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L3611à 21 et D3611 à R36137 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES PERTES DE RECOLTE
Plus en détailSystèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes
R E F E R E N C E S Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes Avril 2008 Les cas-types... mode d emploi R E F E R E N C E S Vous avez dit cas-type? Un cas-type est une exploitation représentative d'un
Plus en détailCAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS
CLBV AQMP02 CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS 2 UMO sur 39 ha avec 200 chèvres produisant 160 000 litres de lait et engraissement de 40 génisses Ce système se rencontre principalement dans
Plus en détailLa campagne 2004/05 a vu des livraisons globalement stables:
Conférence de presse UNIFA - 23 septembre 2005 Sommaire Le marché des engrais : campagne 2004-2005 La hausse des prix de l énergie pèse sur la nouvelle campagne Le contexte réglementaire : la nouvelle
Plus en détailEnjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes
Annexe 3 Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes Cette annexe présente les enjeux environnementaux ayant été définis comme prioritaires en Poitou-Charentes. Une série de cartes
Plus en détailDIRECTIVE NITRATES : LES CONTRAINTES SUR LA GESTION DE L INTERCULTURE
CHOISIR ET REUSSIR SON COUVERT VEGETAL PENDANT L INTERCULTURE EN AB Cameline (S.Minette, CRA PC) Moutarde, phacélie, avoine, trèfles mais aussi, sarrasin, navette, lentille, moha Tous ces couverts végétaux
Plus en détailGrandes cultures Engrais liquides ou granulaires?
Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Louis Robert, agronome, M. Sc. Conseiller régional en grandes cultures Même s ils ne sont pas nouveaux sur le marché, les engrais de démarrage liquides
Plus en détailTechniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage
Techniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage Romain LEGERE- Arvalis(station de la Jaillière Collaboration Bruno Couilleau-CA44 (Ferme de Derval) Techniques agronomiques innovantes
Plus en détailPRÉFECTURE DE LA VENDÉE DIRECTION DÉPARTEMENTALE DES AFFAIRES SANITAIRES ET SOCIALES RÈGLEMENT SANITAIRE DÉPARTEMENTAL EXTRAIT TITRE VIII
PRÉFECTURE DE LA VENDÉE DIRECTION DÉPARTEMENTALE DES AFFAIRES SANITAIRES ET SOCIALES RÈGLEMENT SANITAIRE DÉPARTEMENTAL EXTRAIT TITRE VIII "PRESCRIPTIONS APPLICABLES AUX ACTIVITES D ELEVAGE ET AUTRES ACTIVITES
Plus en détailMémoire de présentation du programme 2015
CONTRAT TERRITORIAL DU BLAVET MORBIHANNAIS 2014-2018 Mémoire de présentation du programme 2015 Après une première année consacrée à la mise en place de la cellule d'animation et à l'installation du nouvel
Plus en détailACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie
ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture
Plus en détailFICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE
FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE 2 I- JUSTIFICATION La consommation de la pastèque est en nette expansion en réponse à une forte demande nationale et régionale ; Cependant la production
Plus en détailLa filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque.
La filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque. Cette action de diffusion est cofinancée par l Union européenne avec les Fonds Européen Agricole pour le Développement
Plus en détailMINISTERE DE LA REGION WALLONNE
MINISTERE DE LA REGION WALLONNE Direction générale des Ressources naturelles et de l Environnement Direction générale de l Aménagement du Territoire, du Logement et du Patrimoine Décret du 11 mars 1999
Plus en détailLES CONSTRUCTIONS EN ZONE AGRICOLE
Direction départementale des territoires PRÉFET DES HAUTES-ALPES Service d'appui territorial Application du droit des sols LES CONSTRUCTIONS EN ZONE AGRICOLE D'une manière générale, les zones naturelles
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détailAVIS. Complément d étude. Objet : Réf. : CWEDD/06/AV.1565. Liège, le 23 octobre 2006
AVIS Réf. : CWEDD/06/AV.1565 Liège, le 23 octobre 2006 Objet : Demande de permis unique relative à la régularisation d une porcherie d engraissement de 3.500 porcs et d une étable de 30 bovins à Kettenis
Plus en détailGESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS
GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS Stockage et Epandage Etude réalisée pour le compte de l ADEME par : SOLAGRO : M. Christian COUTURIER AQUASOL : M. Thierry BRASSET Coordination technique
Plus en détailSELLE Masse d'eau AR51
SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution
Plus en détailJournées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013
Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013 Principe: Favoriser la biodiversité fonctionnelle sur l exploitation -Impact très souvent sous estimé de la faune auxiliaire naturellement présente -Importance
Plus en détailÉvaluation du coût de la gestion des effluents dans différents types d exploitations porcines
2006. Journées Recherche Porcine, 38, 263-270. Évaluation du coût de la gestion des effluents dans différents types d exploitations porcines Claudie GOURMELEN (1), Michel RIEU (2) (1) Institut Technique
Plus en détailDemande de subvention PLAN POUR LA COMPETITIVITE ET L ADAPTATION DES EXPLOITATIONS
411-CVDL-2015-07-01 Demande de subvention PLAN POUR LA COMPETITIVITE ET L ADAPTATION DES EXPLOITATIONS INVESTISSEMENTS PRODUCTIFS Type d Opération 4.1.1 du Programme de Développement Rural CENTRE - VAL
Plus en détailPJ 28/12. 7 février 2012 Original : anglais. Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni
PJ 28/12 7 février 2012 Original : anglais F Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni Encourager l intensification de la production caféière et vivrière au moyen
Plus en détailL intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui
L intérêt technico-économique Titre de du l'engraissement diaporama des mâles avec simulations à l'appui Christèle PINEAU Institut de l'elevage Christele.Pineau@idele.fr Matthieu COUFFIGNAL ARVALIS, Institut
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailSTOCKAGE DES BOUES DE STATIONS D EPURATION URBAINES Bassin Artois Picardie
PREFECTURE REGION NORD PAS DE CALAIS Direction Régionale de l Environnement Nord - Pas de Calais Service Eau, Milieux Aquatiques et Risques Naturels Cellule Réglementation et Gestion Territoriale de l'eau
Plus en détailFiche Technique. sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre. (Solanum tuberosum L.) au Cameroon
Fiche Technique sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre (Solanum tuberosum L.) au Cameroon I. JUSTIFICATION La pomme de terre est une culture importante qui participe à la sécurité alimentaire
Plus en détailFiche de renseignements accompagnant la demande de permis de construire en zone agricole dans le Haut-Rhin
Nom - Prénom (ou Nom de la société) : Adresse permanente : Téléphone : Email : Date de naissance: Statut juridique : s exploitation individuelle s GAEC s EARL s Autre (à préciser) Nom et Prénom du Chef
Plus en détailPROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES ANNEE 2012
MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE, DE L'AGRO-ALIMENTAIRE ET DE LA FORET (articles L361 1 à 21 et D361 1 à R361 37 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES DE RECOLTE SUR LES POMMES A COUTEAU ET LES POMMES
Plus en détailCONFÉRENCE. Grande culture biologique et semis direct. Les essais Rodale. Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013
Club CDA CONFÉRENCE Grande culture biologique et semis direct Les essais Rodale Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013 Projet 12-INNO2-04 Jeff Moyer1, Denis La France 2, Fin
Plus en détailCaisse Nationale de Mutualité Agricole
Séminaire national sur la vulgarisation, l appui-conseil et les bonnes pratiques agricoles Le rôle des Assurances Agricole dans le développement de la politique du renouveau Agricole et Rural Présentation
Plus en détailElaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008
AFRITAC de l Ouest (AFW) Abidjan Côte d Ivoire SÉMINAIRE Elaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008 Institut national de la
Plus en détailL assurance récoltes en France
P A C I F I C A - A S S U R A N C E S D O M M A G E S L assurance récoltes en France Colloque FARM - Pluriagri du 18 décembre 2012 Thierry LANGRENEY Directeur général de Pacifica L assurance, un outil
Plus en détailSamedi 23 Mai 2015 Marché des animaux de la ferme & ferme pédagogique
Samedi 23 Mai 2015 Marché des animaux de la ferme & ferme pédagogique REGLEMENT GENERAL Le Clos du Verger organise cette année les Champêtreries a Jasseron le 23 Mai 2015. Au programme : Marché des animaux
Plus en détailLa présence de conditions intégrales (CI) et/ou de conditions sectorielles (CS) est mentionnée en regard des rubriques concernées.
Dans une exploitation agricole, peuvent se rencontrer : Chapitre 1 : des activités d élevage Chapitre 2 : des activités agricoles autres que l élevage Chapitre 3 : des activités autres qu agricoles Chaque
Plus en détailPREFET DU BAS-RHIN. Le Préfet de la Région Alsace, Préfet du Bas-Rhin,
1 Direction départementale des Territoires du Bas-Rhin PREFET DU BAS-RHIN Service Environnement et Gestion des Espaces 14, rue du Maréchal Juin BP 61003 67070 STRASBOURG CEDEX ARRETE PREFECTORAL portant
Plus en détailREGLEMENT SANITAIRE DEPARTEMENTAL TITRE VIII. Prescriptions applicables aux activités d élevage et autres activités agricoles
REGLEMENT SANITAIRE DEPARTEMENTAL TITRE VIII Prescriptions applicables aux activités d élevage et autres activités agricoles (Les dispositions ci-dessous ne s appliquent qu aux installations non soumises
Plus en détail«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»
Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.
Plus en détailSPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE
SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE L installation, la mise aux normes, le renouvellement d un matériel, ou tout autre investissement sont autant de situations ou d évènements qui nécessitent des besoins
Plus en détailEn zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe
Cas type HL 1 En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe Rouen Évreux Amiens Beauvais Arras Lille Laon Culture à faible densité d'élevage Herbagère à forte densité d'élevage Mixte à moyenne
Plus en détailLes 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française
Les 5 à 7 du SYRPA Photographie et évolution de la population Quels enseignements en tirer pour vos actions de communication? Christophe SEMONT 1. Hyltel en quelques mots 2. Les concepts du recensement
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ET LES ELEVAGES
L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ET LES ELEVAGES L élevage, comme l agriculture dans son ensemble, a connu d importantes mutations depuis le début du XXème siècle. De structures familiales, ce secteur est passé
Plus en détailAVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO
AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation
Plus en détailLettre de rappel sur HODUFLU
Département fédéral de l économie, de la formation et de la recherche DEFR Office fédéral de l agriculture Secteur Paiements directs - Programmes Département fédéral de l environnement, des transports,
Plus en détailDIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable
DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable Guide de l utilisateur 2010 Si vous êtes amenés à utiliser cet outil, merci d indiquer votre source. Réseau agriculture durable - Inpact Bretagne
Plus en détailAgri-stabilité GUIDE DE DÉCLARATION DES UNITÉS PRODUCTIVES 2012
Ce guide contient toutes les informations nécessaires pour déclarer vos unités productives pour l année de participation 2012. Guide de déclaration des unités productives...p. 3 Liste des unités productives...p.
Plus en détailLes objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de :
GUIDE EXPLICATIF POUR LES CITOYENS RÈGLEMENT SUR L UTILISATION DES ENGRAIS ET DES PESTICIDES Les objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de : Réduire l apport par ruissellement
Plus en détailune belle entreprise pour la Somme
Janvier 2013 L Agriculture, une belle entreprise pour la Somme La Ferme Somme en quelques chiffres L agriculture, une belle entreprise pour la Somme 1 2 L agriculture, une belle entreprise pour la Somme
Plus en détailREGLEMENT RELATIF AUX AIDES AUX INVESTISSEMENTS DU PROJET GLOBAL «PROJET GLOBAL INVESTISSEMENT»
REGLEMENT RELATIF AUX AIDES AUX INVESTISSEMENTS DU PROJET GLOBAL «PROJET GLOBAL INVESTISSEMENT» Version : 31 mars 2014 VU : - Règlement (CE) n 1698/2005 du Conseil du 20 sept embre 2005 concernant le soutien
Plus en détailLe Taillis de saule à Très Courte Rotation Guide des bonnes pratiques agricoles
P r o g r a m m e L i f e E n v i r o n n e m e n t 2 0 0 4-2 0 0 7 Le Taillis de saule à Très Courte Rotation Guide des bonnes pratiques agricoles 02 l e s a g r i c o q u e s L e T a i l l i s d e s
Plus en détailFormulaire d'adhésion PEFC
Formulaire d'adhésion PEFC Acte d'engagement du propriétaire dans la démarche de certification par portage proposée par la Coopérative Provence Forêt I Présentation La certification PEFC doit permettre
Plus en détailLe compost. Un petit écosystème au jardin
Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème
Plus en détailRevenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières
Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le
Plus en détailUn expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale
Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de
Plus en détailLe développement durable peut-il se passer d engrais minéraux?
Avec la participation i de l Le développement durable peut-il se passer d engrais minéraux? Philippe EVEILLARD UNIFA Union des Industries de la Fertilisation Le développement durable et l agriculture :
Plus en détailFORMULAIRE DE DEMANDE DE SUBVENTION 2014
N FORMULAIRE DE DEMANDE DE SUBVENTION 2014 PLAN DE PERFORMANCE ÉNERGÉTIQUE DIAGNOSTIC SEUL DISPOSITIF N 121 C1 DU PROGRAMME DE DÉVELOPPEMENT RURAL HEXAGONAL DE LA RÉGION NORD PAS DE CALAIS Cette demande
Plus en détailDéfinition des variables présentées dans le RICA
Les termes en gras italique sont définis par ailleurs dans le lexique. Les termes en italique désignent des variables explicitement recueillies dans le Rica. A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détailNOTICE D INFORMATION À L ATTENTION DES BÉNÉFICIAIRES POTENTIELS DE LA PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES
NOTICE D INFORMATION À L ATTENTION DES BÉNÉFICIAIRES POTENTIELS DE LA PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES Cette notice présente les principaux points de la réglementation. Lisez-la avant de remplir la demande.
Plus en détailTélédéclaration de la demande de prime aux petits ruminants (campagne 2015)
Notice de présentation Télédéclaration de la demande de prime aux petits ruminants (campagne 05) Janvier 05 A savoir avant de commencer Votre demande de prime aux petits ruminants doit être déposée au
Plus en détailRotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul
Colloque sur la pomme de terre Une production à protéger 13 novembre 2009, Québec Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Marc F. CLÉMENT., agronome, conseiller
Plus en détailANAIS LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE. Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél.
LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél. 05 57 35 07 95 PHILOSOPHIE DU LOGICIEL - CONCEPTS DE BASE ET MECANISMES 1.
Plus en détailLe contrôle et la certification en agriculture biologique
Version Tunisie 1 ère édition 2006 AGRICULTURE BIOLOGIQUE REPUBLIQUE TUNISIENNE Ministère de l agriculture et des ressources hydrauliques Direction Générale de la Production Agricole TCP/TUN/2903 Le contrôle
Plus en détailL agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013
L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 (données disponibles au 1 ier avril 2013) MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE LA VITICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL SERVICE D ECONOMIE RURALE L agriculture
Plus en détailL agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques. Ordre du jour
L agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques Ordre du jour 1. Le cadre réglementaire 2. Les exigences organisationnelles et leurs applications
Plus en détailExemple du SATESE MAGE 42
LE LAGUNAGE Exemple du SATESE MAGE 42 Rapide état des lieux Perspectives d association avec le procédé Filtre Planté de roseaux LAGUNAGES DU DEPARTEMENT DE LA LOIRE Conception et dimensionnement Principaux
Plus en détailLa couverture des risques agricoles
PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture
Plus en détailPartie V Convention d assurance des cultures légumières
Partie V Convention d assurance des cultures légumières Légumes de transformation Moyenne du rendement agricole A. Dispositions générales La présente partie s applique à la betterave à sucre, à la betterave
Plus en détailSECHERESSE PRINTEMPS 2014 N 13681*03
SECHERESSE PRINTEMPS 2014 N 13681*03 PROCÉDURE DES CALAMITÉS AGRICOLES DEMANDE D'INDEMNISATION DES PERTES Le régime des calamités agricoles a pour but d indemniser des pertes de récolte et/ou des pertes
Plus en détailNe laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail!
Ne laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail! Nous vous soutenons dans votre gestion de risques à l aide d une couverture d assurance globale contre les aléas climatiques. AU SERVICE
Plus en détailLes échanges parcellaires On a tous à y gagner. Guide pratique à l usage des agriculteurs, des propriétaires et des collectivités - Mai 2012
Les échanges parcellaires On a tous à y gagner Guide pratique à l usage des agriculteurs, des propriétaires et des collectivités - Mai 2012 Sommaire 1 - REGROUPER LE PARCELLAIRE, QUEL INTERÊT? 1.1 Le pâturage...
Plus en détailLa Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives
La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives Juin 2012 Lionel FRANCOIS Sommaire La Bio, pourquoi? La Bio c est quoi? La situation de la Bio Les acteurs du Bio Le paysan
Plus en détailLe printemps et l été du compost
Le printemps et l été du compost Le printemps du compost 1 A la sortie de l hiver, le compost est souvent trop tassé et/ou trop humide. Il faut, avant les nouveaux apports, penser à bien l aérer en faisant
Plus en détailCOMPTE RENDU. Journée semis direct dans le Béarn
COMPTE RENDU Journée semis direct dans le Béarn 26/07/12 1. L exploitation de Christophe Cassoulong Lieux: Lalonquette Elevage: 60 mères blondes d Aquitaine Cultures: 67ha : 2/3 Prairie 1/3 Cultures Maïs
Plus en détail