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1 Bonjour, La classe virtuelle va commencer à 19 h. En attendant, voici quelques consignes pour assurer son bon déroulement : En cliquant sur, vous pouvez : Demander la parole : Parler : Ne pas oublier d éteindre son micro à la fin de l intervention!! Écrire un message : taper votre message et touche «Entrée» Répondre par oui ou par non : N oubliez pas de décocher!

2 Management des entreprises en BTS Méthodologie et préparation à l épreuve Révisions thème 1

3

4 Exercice 1 QCM Vrai / Faux

5 I. Les logiques managériale et entrepreneuriale peuvent être combinées : c est l entreprenariat

6 I. Les logiques managériale et entrepreneuriale peuvent être combinées : c est l entreprenariat FAUX C est intrapreneuriat

7 II. L économiste qui place l entrepreneur innovateur au cœur de l activité économique et des cycles longs est : 1. Jean-Baptiste Say 2. Schumpeter 3. M. Porter

8 II. L économiste qui place l entrepreneur innovateur au cœur de l activité économique et des cycles longs est : 1. Jean-Baptiste Say FAUX (bien que Say ait traité largement de l entrepreneur innovateur) 2. Schumpeter VRAI Schumpeter a mis en avant le rôle majeur des innovations dans la mise en mouvement de l économie 3. M. Porter FAUX Porter : chaîne de valeur, avantages concurrentiels, DAS, 5 forces concurrentielles

9 III. Un business angel : 1. aide au financement de projets de création d entreprise

10 III. Un business angel : 1. aide au financement de projets de création d entreprise VRAI

11 III. Un business angel : 1. aide au financement de projets de création d entreprise VRAI 2. permet aux jeunes entreprises de prendre des risques

12 III. Un business angel : 1. aide au financement de projets de création d entreprise VRAI 2. permet aux jeunes entreprises de prendre des risques VRAI

13 III. Un business angel : 1. aide au financement de projets de création d entreprise VRAI 2. permet aux jeunes entreprises de prendre des risques VRAI 3. est un particulier

14 III. Un business angel : 1. aide au financement de projets de création d entreprise VRAI 2. permet aux jeunes entreprises de prendre des risques VRAI 3. est un particulier VRAI

15 IV. L entrepreneur se caractérise par sa capacité : 1. à prendre des risques

16 IV. L entrepreneur se caractérise par sa capacité : 1. à prendre des risques VRAI

17 IV. L entrepreneur se caractérise par sa capacité : 1. à prendre des risques VRAI 2. à motiver les salariés et former les équipes

18 IV. L entrepreneur se caractérise par sa capacité : 1. à prendre des risques VRAI 2. à motiver les salariés et former les équipes FAUX

19 IV. L entrepreneur se caractérise par sa capacité : 1. à prendre des risques VRAI 2. à motiver les salariés et former les équipes FAUX 3. à maximiser le profit

20 IV. L entrepreneur se caractérise par sa capacité : 1. à prendre des risques VRAI 2. à motiver les salariés et former les équipes FAUX 3. à maximiser le profit FAUX

21 IV. L entrepreneur se caractérise par sa capacité : 1. à prendre des risques VRAI 2. à motiver les salariés et former les équipes FAUX 3. à maximiser le profit FAUX 4. à être créatif, inventif

22 IV. L entrepreneur se caractérise par sa capacité : 1. à prendre des risques VRAI 2. à motiver les salariés et former les équipes FAUX 3. à maximiser le profit FAUX 4. à être créatif, inventif VRAI

23 IV. L entrepreneur se caractérise par sa capacité : 1. à prendre des risques VRAI 2. à motiver les salariés et former les équipes FAUX 3. à maximiser le profit FAUX 4. à être créatif, inventif VRAI 5. à être à l écoute du marché et saisir les opportunités

24 IV. L entrepreneur se caractérise par sa capacité : 1. à prendre des risques VRAI 2. à motiver les salariés et former les équipes FAUX 3. à maximiser le profit FAUX 4. à être créatif, inventif VRAI 5. à être à l écoute du marché et saisir les opportunités VRAI

25 IV. L entrepreneur se caractérise par sa capacité : 1. à prendre des risques VRAI 2. à motiver les salariés et former les équipes FAUX 3. à maximiser le profit FAUX 4. à être créatif, inventif VRAI 5. à être à l écoute du marché et saisir les opportunités VRAI 6. à assurer une gestion optimale des ressources

26 IV. L entrepreneur se caractérise par sa capacité : 1. à prendre des risques VRAI 2. à motiver les salariés et former les équipes FAUX 3. à maximiser le profit FAUX 4. à être créatif, inventif VRAI 5. à être à l écoute du marché et saisir les opportunités VRAI 6. à assurer une gestion optimale des ressources FAUX

27 V. Le manager : 1. dispose de compétences techniques pointues

28 V. Le manager : 1. dispose de compétences techniques pointues VRAI

29 V. Le manager : 1. dispose de compétences techniques pointues VRAI 2. n a pas forcément d expérience dans la gestion de l entreprise

30 V. Le manager : 1. dispose de compétences techniques pointues VRAI 2. n a pas forcément d expérience dans la gestion de l entreprise FAUX

31 V. Le manager : 1. dispose de compétences techniques pointues VRAI 2. n a pas forcément d expérience dans la gestion de l entreprise FAUX 3. est quelqu un de prudent qui ne cherche pas à prendre des risques

32 V. Le manager : 1. dispose de compétences techniques pointues VRAI 2. n a pas forcément d expérience dans la gestion de l entreprise FAUX 3. est quelqu un de prudent qui ne cherche pas à prendre des risques VRAI

33 V. Le manager : 1. dispose de compétences techniques pointues VRAI 2. n a pas forcément d expérience dans la gestion de l entreprise FAUX 3. est quelqu un de prudent qui ne cherche pas à prendre des risques VRAI 4. doit organiser les activités

34 V. Le manager : 1. dispose de compétences techniques pointues VRAI 2. n a pas forcément d expérience dans la gestion de l entreprise FAUX 3. est quelqu un de prudent qui ne cherche pas à prendre des risques VRAI 4. doit organiser les activités VRAI

35 V. Le manager : 1. dispose de compétences techniques pointues VRAI 2. n a pas forcément d expérience dans la gestion de l entreprise FAUX 3. est quelqu un de prudent qui ne cherche pas à prendre des risques VRAI 4. doit organiser les activités VRAI 5. doit élaborer des normes de performance

36 V. Le manager : 1. dispose de compétences techniques pointues VRAI 2. n a pas forcément d expérience dans la gestion de l entreprise FAUX 3. est quelqu un de prudent qui ne cherche pas à prendre des risques VRAI 4. doit organiser les activités VRAI 5. doit élaborer des normes de performance VRAI

37 V. Le manager : 1. dispose de compétences techniques pointues VRAI 2. n a pas forcément d expérience dans la gestion de l entreprise FAUX 3. est quelqu un de prudent qui ne cherche pas à prendre des risques VRAI 4. doit organiser les activités VRAI 5. doit élaborer des normes de performance VRAI 6. doit contrôler les résultats et communiquer

38 V. Le manager : 1. dispose de compétences techniques pointues VRAI 2. n a pas forcément d expérience dans la gestion de l entreprise FAUX 3. est quelqu un de prudent qui ne cherche pas à prendre des risques VRAI 4. doit organiser les activités VRAI 5. doit élaborer des normes de performance VRAI 6. doit contrôler les résultats et communiquer VRAI

39 VI. Les outils du manager sont : 1. les études de marché 2. les choix d investissement 3. le plan de financement

40 VI. Les outils du manager sont : 1. les études de marché pas en priorité 2. les choix d investissement VRAI 3. le plan de financement VRAI

41 VII. Les déterminants de la finalité de l entreprise sont : 1. les variations du chiffre d affaires 2. les aspirations et les valeurs des dirigeants 3. les attentes du personnel 4. l évolution du coût de revient

42 VII. Les déterminants de la finalité de l entreprise sont : 1. les variations du chiffre d affaires FAUX 2. les aspirations et les valeurs des dirigeants VRAI 3. les attentes du personnel VRAI 4. l évolution du coût de revient FAUX

43 VIII. La finalité d une entreprise privée est de : 1. servir l intérêt général 2. faire des profits 3. assurer sa pérennité 4. servir l intérêt des adhérents ou bénévoles

44 VIII. La finalité d une entreprise privée est de : 1. servir l intérêt général FAUX 2. faire des profits VRAI 3. assurer sa pérennité VRAI 4. servir l intérêt des adhérents ou bénévoles FAUX

45 IX. Réduire le délai d encaissement des clients peut être : 1. une finalité économique de l entreprise 2. une finalité sociale de l entreprise 3. un objectif au service de la finalité économique de l entreprise 4. un objectif au service de la finalité sociale de l entreprise

46 IX. Réduire le délai d encaissement des clients peut être : 1. une finalité économique de l entreprise FAUX 2. une finalité sociale de l entreprise FAUX 3. un objectif au service de la finalité économique de l entreprise VRAI 4. un objectif au service de la finalité sociale de l entreprise FAUX

47 X. Les objectifs économiques, sociaux, et environnementaux de l entreprise : 1. convergent tous à court terme vers le même objectif 2. peuvent parfois être contradictoires à court terme, ce qui compromet les résultats et la survie de l entreprise 3. peuvent parfois être contradictoires à court terme mais sont compatibles à moyen ou long terme

48 X. Les objectifs économiques, sociaux, et environnementaux de l entreprise : 1. convergent tous à court terme vers le même objectif FAUX 2. peuvent parfois être contradictoires à court terme, ce qui compromet les résultats et la survie de l entreprise FAUX 3. peuvent parfois être contradictoires à court terme mais sont compatibles à moyen ou long terme VRAI

49 XI. Un investissement socialement responsable : 1. introduit une dimension éthique dans les choix d investissement 2. est incompatible avec la finalité de profit et de rentabilité 3. est l'application des principes du développement durable aux placements financiers 4. privilégie la performance à court terme 5. privilégie la performance à long terme

50 XI. Un investissement socialement responsable : 1. introduit une dimension éthique dans les choix d investissement VRAI 2. est incompatible avec la finalité de profit et de rentabilité FAUX 3. est l'application des principes du développement durable aux placements financiers VRAI 4. privilégie la performance à court terme FAUX 5. privilégie la performance à long terme VRAI

51 XII. L efficience : 1. est synonyme d efficacité 2. est la capacité à réaliser les objectifs fixés par l entreprise 3. est la capacité à atteindre les objectifs à partir des ressources disponibles

52 XII. L efficience : 1. est synonyme d efficacité FAUX 2. est la capacité à réaliser les objectifs fixés par l entreprise FAUX 3. est la capacité à atteindre les objectifs à partir des ressources disponibles VRAI

53 XIII. L efficience peut être mesurée par : 1. la productivité, qui est le rapport, en volume, entre une production et les ressources mises en œuvre pour l'obtenir

54 XIII. L efficience peut être mesurée par : 1. la productivité, qui est le rapport, en volume, entre une production et les ressources mises en œuvre pour l'obtenir VRAI

55 XIII. L efficience peut être mesurée par : 1. la productivité, qui est le rapport, en volume, entre une production et les ressources mises en œuvre pour l'obtenir VRAI 2. la productivité du travail, qui est le rapport de la valeur ajoutée au nombre d'heures travaillées

56 XIII. L efficience peut être mesurée par : 1. la productivité, qui est le rapport, en volume, entre une production et les ressources mises en œuvre pour l'obtenir VRAI 2. la productivité du travail, qui est le rapport de la valeur ajoutée au nombre d'heures travaillées VRAI

57 XIII. L efficience peut être mesurée par : 1. la productivité, qui est le rapport, en volume, entre une production et les ressources mises en œuvre pour l'obtenir VRAI 2. la productivité du travail, qui est le rapport de la valeur ajoutée au nombre d'heures travaillées VRAI 3. la productivité du capital, qui est le rapport de la valeur ajoutée au capital fixe productif en volume

58 XIII. L efficience peut être mesurée par : 1. la productivité, qui est le rapport, en volume, entre une production et les ressources mises en œuvre pour l'obtenir VRAI 2. la productivité du travail, qui est le rapport de la valeur ajoutée au nombre d'heures travaillées VRAI 3. la productivité du capital, qui est le rapport de la valeur ajoutée au capital fixe productif en volume VRAI

59 XIII. L efficience peut être mesurée par : 1. la productivité, qui est le rapport, en volume, entre une production et les ressources mises en œuvre pour l'obtenir VRAI 2. la productivité du travail, qui est le rapport de la valeur ajoutée au nombre d'heures travaillées VRAI 3. la productivité du capital, qui est le rapport de la valeur ajoutée au capital fixe productif en volume VRAI 4. la productivité globale des facteurs, qui est le rapport de la valeur ajoutée au volume des deux facteurs capital et travail

60 XIII. L efficience peut être mesurée par : 1. la productivité, qui est le rapport, en volume, entre une production et les ressources mises en œuvre pour l'obtenir VRAI 2. la productivité du travail, qui est le rapport de la valeur ajoutée au nombre d'heures travaillées VRAI 3. la productivité du capital, qui est le rapport de la valeur ajoutée au capital fixe productif en volume VRAI 4. la productivité globale des facteurs, qui est le rapport de la valeur ajoutée au volume des deux facteurs capital et travail VRAI

61 XIII. L efficience peut être mesurée par : 1. la productivité, qui est le rapport, en volume, entre une production et les ressources mises en œuvre pour l'obtenir VRAI 2. la productivité du travail, qui est le rapport de la valeur ajoutée au nombre d'heures travaillées VRAI 3. la productivité du capital, qui est le rapport de la valeur ajoutée au capital fixe productif en volume VRAI 4. la productivité globale des facteurs, qui est le rapport de la valeur ajoutée au volume des deux facteurs capital et travail VRAI 5. la rentabilité, qui est le rapport du bénéfice au nombre d heures travaillées

62 XIII. L efficience peut être mesurée par : 1. la productivité, qui est le rapport, en volume, entre une production et les ressources mises en œuvre pour l'obtenir VRAI 2. la productivité du travail, qui est le rapport de la valeur ajoutée au nombre d'heures travaillées VRAI 3. la productivité du capital, qui est le rapport de la valeur ajoutée au capital fixe productif en volume VRAI 4. la productivité globale des facteurs, qui est le rapport de la valeur ajoutée au volume des deux facteurs capital et travail VRAI 5. la rentabilité, qui est le rapport du bénéfice au nombre d heures travaillées FAUX

63 XIV. Le principal indicateur de performance intéressant les actionnaires est : 1. l efficacité 2. la productivité 3. la rentabilité

64 XIV. Le principal indicateur de performance intéressant les actionnaires est : 1. l efficacité FAUX 2. la productivité FAUX 3. la rentabilité VRAI

65 XV. Le tableau de bord est un outil : 1. de gestion 2. de communication 3. d action et de planification

66 XV. Le tableau de bord est un outil : 1. de gestion VRAI 2. de communication VRAI 3. d action et de planification FAUX

67 XVI. Pour H. Simon, les décisions : 1. sont toujours rationnelles car l information est parfaite 2. ont une rationalité limitée 3. sont toujours rationnelles car elles intègrent parfaitement les objectifs personnels des dirigeants

68 XVI. Pour H. Simon, les décisions : 1. sont toujours rationnelles car l information est parfaite FAUX 2. ont une rationalité limitée VRAI 3. sont toujours rationnelles car elles intègrent parfaitement les objectifs personnels des dirigeants FAUX

69 XVII. Igor Ansoff a proposé une classification des décisions selon leur : 1. terme 2. importance 3. objet

70 XVII. Igor Ansoff a proposé une classification des décisions selon leur : 1. terme FAUX 2. importance FAUX 3. objet VRAI

71 XVIII. Les trois grands types de décisions selon Ansoff sont les décisions : 1. planificatrices 2. stratégiques 3. tactiques 4. techniques 5. opérationnelles 6. régulatrices

72 XVIII. Les trois grands types de décisions selon Ansoff sont les décisions : 1. planificatrices FAUX 2. stratégiques VRAI 3. tactiques VRAI 4. techniques FAUX 5. opérationnelles VRAI 6. régulatrices FAUX

73 XIX. Les décisions stratégiques comprennent : 1. la gestion des ressources 2. les relations de l entreprise avec son environnement 3. les lancements de nouveaux produits 4. les établissements de planning 5. les choix de nouveaux marchés

74 XIX. Les décisions stratégiques comprennent : 1. la gestion des ressources FAUX 2. les relations de l entreprise avec son environnement VRAI 3. les lancements de nouveaux produits VRAI 4. les établissements de planning FAUX 5. les choix de nouveaux marchés VRAI

75 XX. Les décisions tactiques comprennent : 1. l accès à des marchés émergents 2. les décisions administratives 3. la gestion des ressources 4. l acquisition de brevets 5. l organisation de formations pour les salariés

76 XX. Les décisions tactiques comprennent : 1. l accès à des marchés émergents FAUX 2. les décisions administratives VRAI 3. la gestion des ressources VRAI 4. l acquisition de brevets VRAI 5. l organisation de formations pour les salariés VRAI

77 XXI. Le modèle IMC de H. Simon : 1. est le modèle Idée, Modélisation, Choix 2. est le modèle Intelligence, Modélisation, Choix 3. comprend une première étape de recueil des informations 4. comprend une deuxième étape de choix de la meilleure solution compte tenu des contraintes 5. comprend une deuxième étape de traitement des informations 6. comprend une troisième étape de choix de la meilleure solution compte tenu des contraintes 7. comprend une troisième étape de traitement des informations

78 XXI. Le modèle IMC de H. Simon : 1. est le modèle Idée, Modélisation, Choix FAUX 2. est le modèle Intelligence, Modélisation, Choix VRAI 3. comprend une première étape de recueil des informations VRAI 4. comprend une deuxième étape de choix de la meilleure solution compte tenu des contraintes FAUX 5. comprend une deuxième étape de traitement des informations VRAI 6. comprend une troisième étape de choix de la meilleure solution compte tenu des contraintes VRAI 7. comprend une troisième étape de traitement des informations FAUX

79 XXII. Sont des parties prenantes primaires d une organisation : 1. les ONG 2. les fournisseurs 3. les associations 4. les syndicats et groupements professionnels 5. les clients 6. les salariés 7. les actionnaires 8. les banques et autres créanciers 9. l État 10.les entreprises concurrentes 11.les institutions européennes

80 XXII. Sont des parties prenantes primaires d une organisation : 1. les ONG FAUX 2. les fournisseurs VRAI 3. les associations FAUX 4. les syndicats et groupements professionnels FAUX 5. les clients VRAI 6. les salariés VRAI 7. les actionnaires VRAI 8. les banques et autres créanciers FAUX 9. l État FAUX 10.les entreprises concurrentes FAUX 11.les institutions européennes FAUX

81 XXIII. Sont des parties prenantes externes d une entreprise : 1. les salariés 2. les dirigeants 3. les clients 4. les sections syndicales 5. le comité d entreprise 6. les actionnaires 7. les consommateurs 8. les fournisseurs

82 XXIII. Sont des parties prenantes externes d une entreprise : 1. les salariés FAUX 2. les dirigeants FAUX 3. les clients VRAI 4. les sections syndicales FAUX 5. le comité d entreprise FAUX 6. les actionnaires FAUX 7. les consommateurs VRAI 8. les fournisseurs VRAI

83 XXIV. Les consommateurs : 1. n ont pas la capacité d exercer de contre-pouvoir 2. peuvent constituer un contre-pouvoir important par le biais des organisations syndicales 3. ne constituent qu un faible contre-pouvoir par leurs comportements d achats 4. peuvent constituer un contre-pouvoir important par le biais des associations de consommateurs

84 XXIV. Les consommateurs : 1. n ont pas la capacité d exercer de contre-pouvoir FAUX 2. peuvent constituer un contre-pouvoir important par le biais des organisations syndicales FAUX 3. ne constituent qu un faible contre-pouvoir par leurs comportements d achats FAUX (fort contre-pouvoir) 1. peuvent constituer un contre-pouvoir important par le biais des associations de consommateurs VRAI

85 XXV. La technostructure : 1. est constituée des membres de la fonction production 2. est constituée des administrateurs et des cadres supérieurs 3. constitue une partie prenante externe 4. peut connaitre des conflits en raison de la répartition des pouvoirs 5. peut connaitre des conflits en raison des compétences et des informations détenues par les différents acteurs

86 XXV. La technostructure : 1. est constituée des membres de la fonction production FAUX 2. est constituée des administrateurs et des cadres supérieurs VRAI 3. constitue une partie prenante externe FAUX 4. peut connaitre des conflits en raison de la répartition des pouvoirs VRAI 5. peut connaitre des conflits en raison des compétences et des informations détenues par les différents acteurs VRAI

87 XXVI. Les intérêts des salariés et des actionnaires sont : 1. souvent divergents 2. toujours incompatibles 3. Inconciliables 4. conciliables grâce à l actionnariat salarié, même si le salarié détient très peu d actions

88 XXVI. Les intérêts des salariés et des actionnaires sont : 1. souvent divergents VRAI 2. toujours incompatibles FAUX 3. Inconciliables FAUX 4. conciliables grâce à l actionnariat salarié, même si le salarié détient très peu d actions FAUX (il faut que la salarié détienne beaucoup d actions pour que l actionnariat salarié soit motivant ; l effort de productivité fourni par le salarié n est sinon pas récompensé)

89 XXVII. Selon Cyert et March : 1. les objectifs des membres de l organisation sont multiples et toujours inconciliables 2. il n existe pas de conflits d intérêts au sein de l organisation puisque le but final est de faire du profit 3. il existe des conflits d intérêt et l objectif est de trouver des techniques de résolution de ces conflits

90 XXVII. Selon Cyert et March : 1. les objectifs des membres de l organisation sont multiples et toujours inconciliables FAUX 2. il n existe pas de conflits d intérêts au sein de l organisation puisque le but final est de faire du profit FAUX 3. il existe des conflits d intérêt et l objectif est de trouver des techniques de résolution de ces conflits VRAI

91 XXVIII. La notion de gouvernance de l entreprise : 1. trouve son origine dans la recherche d une gestion socialement responsable de l entreprise 2. trouve son origine dans la «corporate governance» apparue aux États-Unis en raison de l accroissement du pouvoir managérial des dirigeants dans les entreprises dont le capital appartient aux actionnaires

92 XXVIII. La notion de gouvernance de l entreprise : 1. trouve son origine dans la recherche d une gestion socialement responsable de l entreprise VRAI 2. trouve son origine dans la «corporate governance» apparue aux États-Unis en raison de l accroissement du pouvoir managérial des dirigeants dans les entreprises dont le capital appartient aux actionnaires VRAI

93 XIX. Crozier distingue quatre grandes sources de pouvoir dans l entreprise : 1. expertise technique : connaissances, compétences, savoir-faire et expérience 2. connaissance et utilisation des informations internes et externes 3. connaissance et utilisation des réseaux de communication interne et externe 4. connaissance et utilisation des règles organisationnelles

94 XIX. Crozier distingue quatre grandes sources de pouvoir dans l entreprise : 1. expertise technique : connaissances, compétences, savoir-faire et expérience VRAI 2. connaissance et utilisation des informations internes et externes VRAI 3. connaissance et utilisation des réseaux de communication interne et externe VRAI 4. connaissance et utilisation des règles organisationnelles VRAI

95 XXX. Dans le cas d une gouvernance partenariale : 1. le contrôle du dirigeant est exercé au profit de l intérêt des parties prenantes (stakeholders) 2. le contrôle du dirigeant est exercé au profit de l intérêt des actionnaires propriétaires (shareholders) 3. le contrôle du dirigeant est exercé au profit de tous les partenaires sociaux 4. le gouvernement d entreprise est basé sur la recherche d un compromis entre les différents partenaires

96 XXX. Dans le cas d une gouvernance partenariale : 1. le contrôle du dirigeant est exercé au profit de l intérêt des parties prenantes (stakeholders) VRAI 2. le contrôle du dirigeant est exercé au profit de l intérêt des actionnaires propriétaires (shareholders) FAUX 3. le contrôle du dirigeant est exercé au profit de tous les partenaires sociaux FAUX 4. le gouvernement d entreprise est basé sur la recherche d un compromis entre les différents partenaires VRAI

97 Exercice 2 1) Quels sont les divers aspects du diagnostic stratégique? Quels en sont les objectifs? 2) Quel est le rôle de l innovation en termes de compétitivité? 3) Quels sont les avantages des stratégies de spécialisation?

98 Exercice 2 1) Quels sont les divers aspects du diagnostic stratégique? Quels en sont les objectifs?

99 2) Quel est le rôle de l innovation en termes de compétitivité?

100 3) Quels sont les avantages des stratégies de spécialisation?

101 Exercice 3 Le cas ebay 1) Quel est l écart stratégique d ebay en 2006? Quel est l impact sur le financement de l activité de l entreprise? 2) Quel est le métier d ebay? 3) Quels sont les domaines d activité stratégiques d ebay? 4) Quel est le problème de management que connait ebay? Quelles solutions peuvent être envisagées pour résoudre ce problème?

102 Document

103

104

105

106

107 Challenges, n 89, 30 août 2007

108 1) Quel est l écart stratégique d ebay en 2006? Quel est l impact sur le financement de l activité de l entreprise?

109 2) Quel est le métier d ebay?

110 3. Quels sont les domaines d activité stratégiques d ebay?

111 4) Quel est le problème de management que connait ebay? Quelles solutions peuvent être envisagées pour résoudre ce problème?

112 Merci pour votre attention et bon courage pour la fin de votre formation.

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