Education et croissance économique : test du modèle de Lucas [1988]
|
|
- Jean-Michel Simon
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Education et croissance économique : test du modèle de Lucas [1988] Marielle MONTEILS * Le débat relatif au rôle de l éducation sur le processus de la croissance économique a connu une ampleur considérable. Ainsi, l argumentation selon laquelle les modèles de croissance endogène expliquent la croissance de long terme est souvent avancée. La production de capital humain par le système éducatif induirait notamment une croissance auto-entretenue car les rendements marginaux de ce nouveau facteur sont au moins constants. L objet de cet article est de tester empiriquement l hypothèse clé du modèle de Lucas [1988] : les rendements de la production de capital humain sont ils réellement non décroissants? En s appuyant sur une étude empirique concernant la France aux 19 ème et 20 ème siècles, les résultats semblent infirmer la probable nature endogène de la croissance induite par le capital humain car le stock de capital humain présente, au même titre que le capital physique, des rendements décroissants. Education and Economic Growth : Lucas Model [1988] Test The debate concerning the various determinants of economic growth has attracted considerable attention. Thus, the argument that endogenous growth account for long-term economic growth is often put forward. The models affirm that the introduction of human capital, as new accumulation factor, induces selfmaintained economic growth because its returns are at least constant. The aim of this article is to test the hypothesis of endogenous growth in Lucas [1988] model : human capital production returns are really nondecreasing? With an empirical study concerning France for the 19 th and 20 th centuries, the results seem to be in contradiction with the hypothesis of the new growth theories because of decreasing returns of human capital. * LAMETA. Université Montpellier I, Faculté des Sciences Economiques, Espace Richter, Bureau 522, Avenue de la Mer B.P. 9606, Montpellier Cedex 1. TEL : , FAX : , monteils@lameta.univ-montp1.fr 1
2 INTRODUCTION Les nouvelles théories de la croissance confèrent à l éducation et au savoir en général une place et un rôle central en tant que moteur essentiel de la croissance économique. Dans la lignée du modèle de Lucas [1988], l éducation est au cœur du processus de croissance car le savoir est envisagé selon une logique individuelle, il est incorporé aux individus en tant que capital humain. L argumentation selon laquelle les modèles de croissance endogène expliquent la croissance économique de long terme est souvent avancée ; la production de capital humain par le système éducatif induirait notamment une croissance économique autoentretenue. Cependant, malgré les nombreux développements théoriques, les tentatives de vérifications empiriques semblent moins convaincantes et souvent contradictoires 1, elles se heurtent notamment à de sérieuses difficultés méthodologiques quant à l évaluation du capital humain. De plus, une large majorité des tests empiriques réalisés à ce jour porte sur la place des facteurs dans la croissance ou sur des études en coupes transversales telles celles de Barro [1991, 2000] effectuant des comparaisons internationales sans pour autant s interroger et apporter des éléments de réponse sur le fait que l éducation puisse induire ou non une croissance économique de long terme. L objet de cet article est de tester empiriquement le modèle de Lucas [1988], afin d apporter une justification ou une infirmation sur la probable nature endogène du processus de croissance économique induit par la production de capital humain. En effet, à l aube du 21 ème siècle, force est de constater que l on ne sait toujours pas comment le développement du savoir est relié à la croissance économique, ni si le savoir, produit du système éducatif, est réellement le moteur de cette croissance. Les hypothèses théoriques sont nombreuses, mais les estimations numériques demeurent lacunaires. Après un rappel des hypothèses théoriques et 2
3 un état des lieux en matière de vérification empirique (I), une lecture renouvelée sur la fonction spécifique du capital humain dans le processus de la croissance économique est présentée en utilisant comme champ d application l économie française aux 19 ème et 20 ème siècles (II). I, LES NOUVELLES THEORIES DE LA CROISSANCE : CONNAISSANCES THEORIQUES ET EMPIRIQUES 1, Les hypothèses théoriques induisant la possibilité d une croissance endogène : Lucas [1988] Le modèle de croissance endogène développé par Lucas [1988] utilise une conception du savoir comme bien rival et à exclusivité d usage, il est le produit de l'éducation et est incorporé aux individus en tant que capital humain. Le capital humain se définit comme le niveau général d aptitudes, l ensemble des capacités physiques, intellectuelles et techniques de l individu représentatif. Ce concept est largement antérieur aux nouvelles théories de la croissance, il est en effet emprunté à Walsh [1935] ou aux théories du capital humain développées dans les années 1960 par Schultz [1961], Mincer [1962] ou encore Becker [1962]. Dans le modèle de Lucas, coexistent un secteur de la production et un secteur de la formation. Dans le premier sont produits les biens à partir du capital physique et une partie du capital humain qui, par hypothèse, est accumulable avec une productivité marginale non décroissante, au moins constante. Dans la seconde sphère, le capital humain se forme et s accumule à partir de lui-même avec la part du capital humain non employée dans le secteur productif. L individu s éduque seul utilisant pour cela son temps et une partie des compétences qu il a déjà acquises. La fonction de production d éducation, ϕ, est supposée 3
4 non décroissante et linéaire, le capital humain, h, croît de façon linéaire sans limite, son accumulation s écrivant : h& / h = ϕ(1 u) (1-u) représente le temps de non loisir consacré à l accumulation de capital humain. Le moteur de la croissance économique réside dans l efficacité de l accumulation de capital humain ϕ, le taux de croissance s écrivant : g = ϕ( 1 β + γ )(1 u) /(1 β ) Dès lors, la croissance auto-entretenue repose uniquement sur l hypothèse de nondécroissance de la fonction de production d éducation, ϕ, l auteur spécifiant que l ampleur qu exerce l externalité positive, γ, sur la production de biens finals, ne sert qu à accélérer le processus de croissance mais n en est pas la cause principale. L introduction de cet effet externe est utilisée pour justifier les différences de développement entre nations et les constats de non convergence. L apport essentiel de ce modèle est donc d introduire, dans la formalisation de la croissance économique, les activités éducatives comme explications centrales de la croissance de long terme et ainsi des différences de développement entre nations. Dans le cadre de son argumentation, Lucas s est fortement inspiré du modèle d Uzawa [1965]. Les deux modèles paraissent pratiquement identiques, celui d Uzawa spécifiait cependant la décroissance de cette même fonction de production d éducation et s inscrivait dès lors dans la tradition solowienne en conservant un processus de croissance exogène. D un point de vue théorique, les deux hypothèses sont recevables, cependant la croissance 4
5 endogène, dans le cadre mis en place par Lucas, repose uniquement sur la non-décroissance de la fonction de production d éducation que l on peut aisément remettre en cause. Cette faiblesse du modèle, Lucas [1988, p. 28] la met lui-même en exergue en affirmant que si l hypothèse de rendements constants du capital humain est supprimée, le stock de capital humain ne peut plus être le moteur de la croissance remettant ainsi en cause l intérêt de son article. Seule une évaluation empirique, un test sur les rendements de cette fonction, peut éventuellement apporter un éclaircissement quant à la nature endogène ou exogène du processus de croissance économique. De plus, il semble que l hypothèse de linéarité des rendements de l éducation soit peu réaliste comme le note P. Aghion and P. Howitt [1998, p. 330] : «The Lucas model is elegant and simple, but as always this comes at the expense of some realism. For example, equation (10.2) (human capital accumulation) means that an individual s return to education remains constant over his or her whole lifetime, an assumption that is at odds both the empirical evidence on education and with Becker s theory of human capital. Becker [1964] indeed suggest that returns to education tend to decrease over the lifetime of an individual». Fort de ces critiques, certains auteurs tels Azariadis and Drazen [1990] ont construit des modèles à générations imbriquées où les individus héritent d une partie du capital humain de leurs parents, d autres ont tenté de mettre en place des tests empiriques permettant de appréhender la place de l éducation au sein du processus de croissance. 2, L état des lieux des connaissances empiriques Grâce aux premières évaluations empiriques de Solow [1957], Denison [1962] ou Carré, Dubois et Malinvaud [1972] notamment, il est maintenant reconnu que la croissance économique ne peut pas seulement être expliquée par une augmentation des facteurs de 5
6 production traditionnels tels que le travail et le capital ; beaucoup d auteurs ont alors utilisé le concept de capital humain pour signifier que les capacités et le savoir des individus pouvaient contribuer pour une large part à la croissance. Les modèles de croissance auto-entretenue ont intégré ces idées pour l heure novatrices afin d expliquer la croissance au travers de nouveaux facteurs accumulables tels que le capital humain, les infrastructures publiques, la recherche et développement Dans ce cadre, les travaux d évaluation empirique se sont efforcés de vérifier l importance de ces nouveaux facteurs et également l idée de convergence au moins conditionnelle des économies internationales. L article de Barro [1991] a démontré, pour un échantillon de 98 pays sur la période , que le taux de croissance dépend positivement du niveau initial de capital humain mesuré par les taux de scolarisation et négativement du niveau initial de PIB par tête. La convergence peut se vérifier, les pays pauvres tendront à croître plus rapidement que les pays riches uniquement pour une quantité donnée de capital humain. Mankiw, Romer et Weil [1991], en utilisant une base de données identique à celle employée par Barro [1991] (et construite par Summers et Heston [1988]), confirment les conclusions du modèle de Solow [1956] à condition de reconnaître l importance du capital humain. Ils élargissent donc le modèle de Solow en introduisant l accumulation de capital humain mesuré par un taux de scolarisation et concluent que les différences d épargne, d éducation et de croissance de la population expliquent les différences de revenu par tête entre pays. Leur modèle solowien (avec progrès technique exogène et rendements décroissants du capital) explique mieux, à leur sens, les variations internationales de l output par personne que les modèles de croissance endogène. Barro et Lee [1993] étudient pour 129 pays entre 1960 et 1985 les taux de réussite scolaire de la population adulte à différents niveaux (population sans instruction, population ayant reçu une éducation primaire, une éducation secondaire et un enseignement supérieur) et concluent au pouvoir explicatif considérable des niveaux d éducation : l éducation produit des effets positifs directs 6
7 sur les taux de croissance du PIB. Benhabib et Spiegel [1994] poussent l analyse plus avant ; en effet pour ces derniers, le taux de croissance du capital humain mesuré par le nombre moyen d années d étude de la population active, n explique pas significativement le taux de croissance de l output par tête. Cependant, les niveaux de capital humain jouent un rôle conséquent comme déterminants de la croissance du revenu par tête. Il n est plus alors possible de considérer le capital humain comme un facteur de croissance car cette supposition impliquerait que son taux de croissance et non son niveau explique le taux de croissance de l output par tête. Cette conclusion induit une remise en cause des théories de la croissance endogène. En revanche, Lee and Lee [1995] concluent au pouvoir hautement explicatif du stock de capital humain sur la croissance économique et confortent le succès des nouvelles théories de la croissance ; selon eux, le taux de réussite des étudiants, et non le taux de scolarisation ou les années de formation, représente le facteur clé de la croissance économique. De même, les conclusions de Charlot [1997] précisent que les rendements de l éducation sont croissants et influencent positivement le taux de croissance. Et enfin, il serait difficile de clore cette énumération de travaux empiriques relatifs à la place du capital humain dans la croissance, qui ne prétend d ailleurs et en aucun cas être exhaustive, sans citer l analyse de Barro [2000]. En appliquant la méthode des comparaisons transversales découlant d un panel d une centaine de pays, il conclut en outre que le taux de croissance est stimulé par l enseignement secondaire et supérieur des hommes et note que la scolarisation féminine ne semble pas contribuer à la croissance de manière significative mais possède une influence indirecte car elle abaisse la fécondité et permet ainsi un taux d épargne plus élevé. Une large majorité des tests empiriques réalisés à ce jour apportent des conclusions divergentes sans qu aucun d entre eux ne testent directement l hypothèse de croissance endogène ; hypothèse, qui pour rappel, est également le principal résultat du modèle comme 7
8 le souligne Solow [1998, p. 198] en évoquant que, dans tous les modèles de croissance endogène portés à sa connaissance, le résultat désiré est toujours supposé. Le savoir produit de l éducation est est-il réellement le moteur principal de la croissance? La question demeure toujours sans réponse évidente. II, LA VERIFICATION EMPIRIQUE En prolongement de divers travaux plus généraux et notamment de Monteils [2000, 2001] ou Diebolt et Monteils [2000a et b, 2001a et b] qui proposent des tests empiriques de modèles de croissance endogène où le savoir est le produit de l éducation, de la recherche, ou encore de l apprentissage par la pratique ; un test sur les rendements de la fonction de production d éducation est proposé. 1, Les statistiques utilisées Tester les rendements de la fonction de production d éducation, ϕ, implique la connaissance de deux grandeurs : le temps moyen de formation, (1-u), et le stock de capital humain h. La méthode appliquée est celle de la régression linéaire simple, ce choix qui impose la linéarité se justifie par l hypothèse de Lucas qui suppose et donc impose également (par souci de simplification) une relation linéaire entre durée moyenne de formation et taux de croissance du stock de capital humain. Il serait dès lors intéressant de tester la linéarité contre la non linéarité, cette suggestion à retenir dépasse toutefois le cadre de ce travail qui se donne comme principal objectif de tester la non décroissance des rendements du stock de capital humain. 8
9 La première étape consiste à calculer la durée moyenne de formation de la population active, (1-u). Cette dernière est empruntée aux travaux de Villa [1997] ou calculée en prenant comme point de départ les effectifs scolarisés par niveau. L intérêt essentiel de ce travail demeure l évaluation du stock de capital humain. Plusieurs approximations sont proposées : il est en premier lieu appréhendé comme l inverse de l illettrisme. Les séries publiées par l INSEE [1988] et établissant le nombre d époux illettrés entre 1854 et 1931, le nombre de conscrits illettrés entre 1832 et 1936, ainsi que des tests directs de l armée française entre 1991 et 1996 permettent de construire un stock de capital humain. Cette construction suppose que les individus lettrés entrent dans le stock de capital humain à la date de leur mariage ou en fin d incorporation et en sortent à la date de leur retraite. Le capital humain est ensuite mesuré par la validation de la formation. Pour Spence [1973] l éducation améliore la productivité de l individu, cette dernière restant une inconnue pour les employeurs, ils sont forcés de se référer à divers signaux et indices, tels que le niveau du diplôme, pour l évaluer. La méthode employée ici utilise donc un point de départ identique : le diplôme représente un signal du niveau de capital humain des individus et ainsi le niveau de capital humain des individus est supposé dépendre de la formation qu ils ont suivie et par voie de conséquence des diplômes qu ils ont obtenus. Les statistiques utilisées concernent les flux de sorties nettes du système éducatif selon le niveau de scolarisation, ou selon le diplôme dans les années 1970 à 1990 (INSEE [1986, 1987, 1988, 1993, 1996] et DEP [1998]). Une pondération est affectée à chaque niveau de diplôme afin de rendre compte des différences qualitatives entre les années de formation et entre les diplômes, cette pondération trouve sa source dans l analyse des dépenses d éducation par niveau. Le stock de capital humain est constitué en supposant que les individus entrent dans le stock dès leurs sorties du système éducatif et en sortent à l âge de leur retraite. Les salaires nets annuels moyens entre 1954 et sont enfin utilisés comme évaluation directe du capital humain. Les rendements de la production de connaissances sont 9
10 ensuite déterminés en établissant une régression linéaire entre taux de croissance du stock de capital humain et durée de formation. Sans omettre le fait indéniable selon lequel une infirmation empirique n est pas synonyme de réfutation d une théorie, les résultats obtenus sont convergents. En effet, quelque soit la façon de construire le stock de capital humain, la liaison unissant le taux de croissance du stock à la durée de scolarisation est négative, le taux de croissance du stock de capital humain est décroissant, il ne peut expliquer ni engendrer une croissance économique auto entretenue. 2, Les résultats obtenus Quelque soit la façon de construire le stock de capital humain, la liaison unissant le taux de croissance du stock à la durée de scolarisation est négative. Le test du T de student fournissant une valeur supérieure à 2,96, en valeur absolue, suggère qu il ne faille pas pour autant exclure la variable explicative du modèle : la durée moyenne de formation. Les résultats sont présentés ci-dessous. 10
11 Tableau 1 : Taux de croissance du stock de capital en fonction de la durée moyenne de formation VARIABLE EXPLIQUEE, y : Stock de capital humain, h, (illettrisme des époux) ; 77 observations VARIABLE COEFFICIENT ERREUR T-STATISTIQUE Durée de Formation -0, , , Coefficient de corrélation : 0, DW : 0, VARIABLE EXPLIQUEE, y : Stock de capital humain, h, (illettrisme des conscrits) ; 103 observations VARIABLE COEFFICIENT ERREUR T-STATISTIQUE Durée de Formation -0, , ,65474 Coefficient de corrélation : 0, DW : 0, VARIABLE EXPLIQUEE, y : Stock de capital humain, (diplôme) h ; 20 observations VARIABLE COEFFICIENT ERREUR T-STATISTIQUE Durée de Formation -0, , , Coefficient de corrélation : 0, DW : 0, VARIABLE EXPLIQUEE, y : Stock de capital humain (niveau de scolarisation), h ; 13 observations VARIABLE COEFFICIENT ERREUR T-STATISTIQUE Durée de Formation -0, , ,66510 Coefficient de corrélation : 0, DW : 0, VARIABLE EXPLIQUEE, y : Capital humain h, (salaires) ; 43 observations VARIABLE COEFFICIENT ERREUR T-STATISTIQUE Durée de Formation -0, , , Coefficient de corrélation : 0, DW : 0,
12 La relation entre durée moyenne de formation et taux de croissance du stock de capital humain est toujours négative quelque soit l approximation du capital humain retenue. Le graphique ci-après illustre cette affirmation, seule l évaluation du capital humain à partir des niveaux de scolarisation est présentée les autres approximations étant quasiment semblables. Figure 1 : Taux de croissance du stock de capital humain (niveau de scolarisation) en fonction de la durée moyenne de formation y = -4,3425x + 56,428 R 2 = 0, ,4 11,5 11,6 11,7 11,8 11, ,1 12,2 Durées moyennes de formation Le stock de capital humain croît mais à un taux décroissant, l endogénéité de la croissance telle que Lucas la suppose n est pas vérifiée. Le fait que le taux de croissance du stock de capital humain soit décroissant semble placer le modèle de Lucas dans le domaine du normatif et non du positif comme il est souvent supposé. La robustesse des résultats est vérifiée : il apparaît de façon générale que les variables explicatives sont bien la durée moyenne de scolarisation, et non son taux de croissance notamment, ainsi que le stock de 12
13 capital humain des années antérieures. Un test identifiant la durée moyenne de formation et le stock de capital humain hérité des individus (défini par Azariadis et Drazen [1990] comme le capital humain moyen) fournit les résultats suivants : Tableau 2 : Taux de croissance du stock de capital humain en fonction de la durée de formation et du stock de capital humain hérité. VARIABLE EXPLIQUEE, y : Capital humain (illettrisme des conscrits) h ; 103 observations VARIABLE COEFFICIENT ERREUR T-STATISTIQUE Durée de Formation -0, , ,87741 Capital humain Hérité -3,83 E -10 2,49 E ,41775 Coefficient de corrélation : 0, DW : 0, Les résultats ne changent fondamentalement pas, les relations entre variable dépendante et variables explicatives sont négatives. Le coefficient de corrélation est toutefois plus élevé, l introduction d une nouvelle variable explicative améliore nécessairement le modèle. La liaison entre durée de formation et niveau du capital humain est, quant à elle, positive mais le niveau de capital humain n est en aucun cas un facteur de croissance seul son taux de croissance peut être considéré comme tel. Certaines séries étant intégrées d ordre 1, suite aux tests de Dickey-Fuller, des tests en différences premières sont réalisés et confirment à nouveau les résultats acquis. Les résultats remettent en cause l hypothèse de Lucas selon laquelle le capital humain croît de façon linaire sans limite compensant ainsi les rendements décroissants du capital physique. Le capital humain serait donc un facteur comme les autres dans le sens où il ne dérogerait pas à la loi des rendements décroissants. 13
14 De plus, l introduction du stock de capital humain dans la fonction de production d output final présentée ci-après ne semble pas améliorer l efficacité du facteur travail. Y = K α ( Lh ) λ 1 α logy = α log K + (1 α) log L + γ (1 α) log h = α log K + (1 α) log L + a log h L évaluation est proposée pour les années 1970 à 1990 grâce aux Comptes de la Nation publiés par l INSEE [1990, 1996, 1997]. L output final, Y, est représenté par la valeur ajoutée brute en millions de francs 1980, le travail, L, par la population active occupée en millions multipliée par la durée annuelle du travail et le capital physique, K, par le capital fixe brut en millions de francs 1980 multiplié par son taux d utilisation. L approximation du stock de capital humain retenue est celle utilisant les flux de sorties nettes du système éducatif selon le diplôme. Tableau 3 : Fonction de production de biens finals VARIABLE EXPLIQUEE, y : Output final ; 27 observations VARIABLE COEFFICIENT ERREUR T-STATISTIQUE Capital Physique 0, , , Travail 0, , , Capital Humain 0, , , Coefficient de corrélation : 0, DW : 1, L élasticité de la production par rapport au facteur capital humain γ (γ = a / (1 - α)) est égale à 0,49 et donc est inférieure à l unité ; l introduction d un nouveau facteur n améliore 14
15 pas l efficacité des flux de services du travail. Par conséquent, tout porte donc a croire que le stock de capital humain défini par Lucas soit un facteur comme les autres qui ne déroge pas à la loi des rendements décroissants et ne permet pas une croissance économique endogène. La forme agrégée de la fonction de production est contestable. Il s agit néanmoins de celle retenue par Lucas (en omettant l externalité). De plus, les valeurs du Durbin-Watson (à aucun moment proches de 2) permettent de détecter une autocorrélation des erreurs d ordre 1, ce qui laisse supposer une mauvaise spécification du modèle ou l absence d une variable explicative importante. Une ultime critique est également à envisager, elle concerne la forme linéaire de la fonction retenue généralement par les théoriciens des nouvelles théories de la croissance ; pour ne citer qu un seul exemple, Romer [1990] suppose également une relation linéaire entre taux de croissance de la connaissance technologique et effectifs employés dans le secteur de la recherche. Il est effectivement peu probable que le stock de capital humain augmente de façon linéaire, on peut notamment supposer que sa croissance connaisse des effets de seuil et des successions de périodes où les rendements sont constants, croissants ou décroissants. Une analyse plus qualitative peut, en ce sens, être envisagée notamment en appliquant une régression logistique. Ainsi, la variable dépendante prend la valeur 1 lorsque le taux de croissance du stock de capital humain est croissant, et 0 s il est décroissant : Tableau 4 : Application d une régression logistique VARIABLE EXPLIQUEE, y : Variable dépendante ; 103 observations VARIABLE COEFFICIENT ERREUR T-STATISTIQUE Durée de Formation 2, , , Capital humain Hérité -9,94 E -08 5,33 E -08-1,
16 Il semblerait qu un accroissement de la durée de formation augmente la probabilité d obtenir un taux de croissance croissant du stock de capital humain alors qu une augmentation du capital humain moyen n accroisse pas cette même probabilité, test qui réfute cette fois l hypothèse centrale du modèle construit par Azariadis et Drazen [1990]. CONCLUSION Les résultats obtenus ne semblent donc pas corroborer l idée selon laquelle le savoir produit de l éducation formelle est un facteur de production particulier qui échappe à la loi des rendements décroissants. En effet, le test empirique présenté dans cet article infirme l hypothèse clé - et également le résultat du modèle de Lucas [1988] selon lequel le stock de capital humain croît sans limite induisant ainsi une croissance économique auto entretenue. D autres tests élargissant les sources de production de savoir aux activités de recherche et développement et aux conséquences du learning by doing notamment confirment ces résultats : le savoir qu il soit le produit de l éducation, celui de la recherche ou celui d une diffusion des connaissances croît à taux décroissant (Monteils [2000]). Ces divers résultats ouvrent sur des pistes de recherche futures intéressantes et bousculent quelques idées forts répandues quant au rôle crucial de la production de savoir au cœur du processus de croissance. Il est notamment possible d envisager un lien de causalité qui soit éventuellement l inverse de celui qui est habituellement supposé : la croissance induirait un développement du savoir mais la production de savoir n expliquerait pas la croissance économique. En ce sens, les modèles de croissance endogène expliquent peu la croissance économique de long terme, ils appartiennent donc plus au domaine du normatif qu à celui du descriptif contrairement à ce qui est souvent affirmé dans la littérature économique. Il s agirait plus de modèles expliquant les différences de développement. La croissance endogène pourrait 16
17 éventuellement être le fruit d externalités produites lors de la diffusion du savoir contrairement à ce que suppose Lucas. Cependant cette suggestion ne prouve en aucun cas que l endogénéité soit la règle, les externalités pouvant être introduites dans un modèle de croissance exogène lors de la convergence vers l état stationnaire. Ces conclusions induiraient un retour à la théorie de la croissance exogène et modifieraient en conséquence les recommandations de politique économique. Si le choix d un retour aux conclusions de Solow n est pas accepté, il est possible de perfectionner les modèles de croissance endogène en essayant d appréhender toute la complexité du concept de savoir, ce qui est possible en ajoutant, par exemple, au modèle à générations imbriqués de Azariadis et Drazen [1990] le savoir produit de la recherche, le savoir produit de l apprentissage par la pratique, ainsi que des considérations d ordre qualitatives. Une autre piste de recherche est inspirée de Solow [1998, p ] : la théorie de la croissance est basée sur une idée erronée qui définit comme facteurs de croissance tout élément influant sur le taux de croissance ; selon cet auteur, repenser la théorie de la croissance est possible en envisageant le fait que les facteurs de croissance soient des éléments qui influencent également le niveau de celle-ci. Il est enfin possible d envisager le fait que le stock de connaissances sociales connaisse des phases de rendements croissants et décroissants qui se succèdent : la croissance économique deviendrait semi endogène. Les rendements du stock de savoir seraient alors de façon générale décroissants mais certains effets (dus, par exemple, à l apparition de grappes d innovations ou à une meilleur adéquation temporelle entre système éducatif et marché du travail) pourraient ponctuellement mettre en échec ces rendements décroissants. 17
18 BIBLIOGRAPHIE Aghion P. and Howitt P. [1992], «A Model of Growth through Creative Destruction» Econometrica, 60, 2, (March) : Aghion P. and Howitt P. [1998], Endogenous Growth Theory, The MIT Press. Azariadis C., and Drazen A. [1990], «Thresholds in Economic Development», Quarterly Journal of Economics, CVI, (February) : Barro R. [1991], «Economic Growth in a Cross Section of Countries», Quarterly Journal of Economics, 106, 2, (May) : Barro R. and Lee J-W. [1993], «International Comparisons of Educational Attainment», Journal of Monetary Economics, 32, 3, (December) : Barro R. [2000], Les Facteurs de la Croissance Economique. Une analyse transversale par pays, Economica, (janvier). Becker G. [1962], «Investment in Human Capital: a Theoretical Analysis», Journal of Political Economy, LXX, 2, supplement, (October) : Benhabib J. and Spiegel M. [1994], «The Role of Human Capital in Economic Development. Evidence from Aggregate Cross-Countries Data», Journal of Monetary Economics, 34 : Carré JJ., Dubois P. et Malinvaud E. [1972], La croissance française. Un essai d analyse économique causale de l Après-Guerre. Le Seuil, Paris. Charlot S. [1997], «La relation éducation croissance : apports théoriques récents et tests empiriques», Document de travail LATEC, n 9703, (janvier) : Conseil Supérieur de l Emploi, des Revenus et des Coûts, [1998], Durées du travail et emplois. Les 35 heures, le temps partiel, l aménagement du temps de travail, La documentation française, 2 ème trimestre. 18
19 Denison E. [1962], The Sources of Economic Growth in the United States and the Alternatives before Us, Supplementary paper 13, Committee for Economic Development, New- York. DEP [1998], L état de l école, 8. Diebolt C. [1995], «Les indicateurs physiques du volume de l éducation en France» in : Carry A., Diebolt C., Fontvielle L., Nunez C.E., and Tortella G. (Eds) Education et croissance économique : évolution de longue période et prospective. Une analyse comparée des système éducatifs allemand, espagnol et français (Stimulation Plan for Economic Science, European Union), volume 1 : Diebolt C. et Monteils M. [2000a], : «The New Growth Theories. A Survey of Theoretical and Empirical Contributions», Historical Social Research. An International Journal for the Application of Formal Methods to History, vol. 25, n 2, (septembre) : Diebolt C. and Monteils M. [2000b], «Knowledge and Economic Growth in Germany An Empirical Evaluation of the New Growth Theory Models», Sweden Conference «Technical Change. Economic Growth et Convergence in Europe. New Approaches to Comparisons and Measurement» Lund, 22 et 23 septembre. Diebolt C. and Monteils M. [2001a], Are Knowledge Expenditures the Cause for Economic Growth? «The Ukfiet «Oxford» International Conference on Education and Development, Oxford (September 18-21). Diebolt C. et Monteils M. [2001b], «La croissance endogène. Une approche Cliométrique». Economie et Sociétés. Série «Histoire Economique Quantitative» AF 28, 7/8 (novembre) : INSEE [1988], Annuaire Rétrospectif de la France,
20 INSEE [1986, 1987, 1988, 1993, 1996], Bilan formation- emploi. Lee D. and Lee T. [1995], «Human capital and economic growth. Test based on the international evaluation of educational achievement», Economic letters, 47 : Lucas R. [1988], «On the Mechanisms of Economics Development», Journal of Monetary Economics, 22, 3, (July) : Mankiw G., Romer D. and Weil D. [1991], «A Contribution to the Empirics of Economic Growth», Quarterly Journal of Economics, (May) : Mincer J. [1962], «On-The-Job-Training : Costs, Returns and some Implications», Journal of Political Economy, LXX, 2, supplement, (October) : Monteils M. [2000], Savoir et croissance : apports et perspectives des nouvelles théories de la croissance. Thèse de doctorat en Sciences Economiques sous la direction de Bismut C., Université Montpellier I. Monteils M. [2001], «Le savoir, moteur de la croissance économique : test empiriques des principaux modèles de croissance endogène», Forum de la Régulation, Paris, octobre. Romer P. [1990], «Endogenous Technological Change», Journal of Political Economy, 98, 5 : S71-S102. Schultz T. [1961], «Investment in Human Capital», American Economic Review, LI, 1, (March) : Solow R. [1956], «A Contribution to the Theory of Economic Growth», Quarterly Journal of Economics, 70 : Solow R. [1957], «Technical Change and the Aggregate Production Function», Review of Economics and Statistics, 39, (August) :
21 Solow R. [1998], «Histoire, institutions et production sur le long terme», L année de la régulation, 2 : Spence M. [1973], «Job-Market Signalling», Quarterly Journal of Economics, (August) : Uzawa H. [1965], «Optimum Technical Change in an Aggregate Model of Economic Growth», International Economic Review, 6, 1, (January) : Villa, Pierre, [1997]. Séries longues macro-économiques, Walsh J. [1935], «Capital Concept applied to man», Quarterly Journal of Economics, XLIX, (February) : Mots clés : Croissance endogène, éducation, évaluations empiriques, externalités, savoir. Keywords : Education, empirical estimates, endogenous growth, externalities, knowledge. Classification JEL : O41, I2, O47. 1 P. Aghion and P. Howitt [1998, p. 435] 2 A. Friez et M. Julhès [1993]. «Série longue sur les salaires», INSEE Résultats, Série Emploi Revenu :
Une étude de différentes analyses réalisées par le BIT
Association internationale de la sécurité sociale Quinzième Conférence internationale des actuaires et statisticiens de la sécurité sociale Helsinki, Finlande, 23-25 mai 2007 Comparaison des hypothèses
Plus en détailUnited Nations, World Population Prospects, CD ROM; The 2008 Revision.
SOURCES SOURCE Data Sources Population : Labour Force: Production: Social Indicators: United Nations, World Population Prospects, CD ROM; The 2008 Revision. International Labour Organisation (ILO). LaborStat
Plus en détailBASE DE DONNÉES DES ASPECTS SOCIOÉCONOMIQUES EN MÉDITERRANÉE OCCIDENTALE
BASE DE DONNÉES DES ASPECTS SOCIOÉCONOMIQUES EN MÉDITERRANÉE OCCIDENTALE CETMO-ASE Version 08.01 Année de référence 2008 Février 2013 BASE DE DONNÉES DES ASPECTS SOCIOÉCONOMIQUES EN MÉDITERRANÉE OCCIDENTALE
Plus en détailPIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée.
PIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée. Il y a trois approches possibles du produit intérieur brut : Optique de la production Optique
Plus en détailLa finance, facteur d inégalités
La finance, facteur d inégalités Olivier GODECHOT Cette étude montre que, contrairement aux idées reçues, les PDG et des superstars du sport ou du divertissement ne sont pas les premiers responsables de
Plus en détailCOMPTABILITÉ. PCG : provisions pour grosses réparations vs amortissements par composants. Cette étude a pour objet. reflexion. Résumé de l article
PCG : provisions pour grosses réparations vs amortissements par composants Eric DELESALLE Expert-comptable, Commissaire aux comptes Professeur agrégé CNAM-INTEC Président de la Commission de droit comptable
Plus en détailBACHELOR'S DEGREE IN ECONOMICS AND MANAGEMENT
BACHELOR'S DEGREE IN ECONOMICS AND MANAGEMENT ECTS CM TD Volume horaire Semester 1 30 161 109 288 UE1 Economics 9 48 32 80 Microeconomics 1: Central/Essential/Major Principles 24 16 40 Macroeconomics 1:
Plus en détailBurkina Faso Profil pays EPT 2014
Burkina Faso Profil pays EPT 14 Contexte général Situé au cœur de l Afrique occidentale, dans la boucle du Niger, le Burkina Faso est l un pays des pays les plus peuplés de la sous-région Ouest-africaine
Plus en détailINCIDENCE DU COMMERCE EXTÉRIEUR SUR LE COMMERCE INTÉRIEUR : NOUVELLE ANALYSE DE LA COURBE EN «L» NOUVELLE ANALYSE DE LA COURBE EN «L»
INCIDENCE DU COMMERCE EXTÉRIEUR SUR LE COMMERCE INTÉRIEUR : NOUVELLE ANALYSE DE LA COURBE EN «L» INCIDENCE DU COMMERCE EXTÉRIEUR SUR LE COMMERCE INTÉRIEUR : NOUVELLE ANALYSE DE LA COURBE EN «L» ARTICLE
Plus en détailPublic and European Business Law - Droit public et européen des affaires. Master I Law Level
Public and European Business Law - Droit public et européen des affaires Stéphane de La Rosa Master I Law Level Delivered Lectures Jean Monnet Chair «Droit de l Union Européenne et Mutations de l intégration
Plus en détailMaster en Histoire Européenne Contemporaine. Master académique
Master en Histoire Européenne Contemporaine Master académique an interdisciplinary faculty accompanying the development of society in its social, economic, cultural, political and educational aspects «une
Plus en détailMarie Curie Individual Fellowships. Jean Provost Marie Curie Postdoctoral Fellow, Institut Langevin, ESCPI, INSERM, France
Marie Curie Individual Fellowships Jean Provost Marie Curie Postdoctoral Fellow, Institut Langevin, ESCPI, INSERM, France Deux Soumissions de Projet Marie Curie International Incoming Fellowship Finance
Plus en détailCheque Holding Policy Disclosure (Banks) Regulations. Règlement sur la communication de la politique de retenue de chèques (banques) CONSOLIDATION
CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION Cheque Holding Policy Disclosure (Banks) Regulations Règlement sur la communication de la politique de retenue de chèques (banques) SOR/2002-39 DORS/2002-39 Current to
Plus en détailExemple PLS avec SAS
Exemple PLS avec SAS This example, from Umetrics (1995), demonstrates different ways to examine a PLS model. The data come from the field of drug discovery. New drugs are developed from chemicals that
Plus en détailDiscours de Eric Lemieux Sommet Aéro Financement Palais des congrès, 4 décembre 2013
Discours de Eric Lemieux Sommet Aéro Financement Palais des congrès, 4 décembre 2013 Bonjour Mesdames et Messieurs, Je suis très heureux d être avec vous aujourd hui pour ce Sommet AéroFinancement organisé
Plus en détailArticle de recherche théorique et article de recherche empirique : particularités 1
La présentation d un article de recherche de type théorique 1 Article de recherche théorique et article de recherche empirique : particularités 1 Gilles Raîche, professeur Université du Québec à Montréal
Plus en détailFrank LASCK. Courriel : f.lasch@montpellier-bs.com Fonction : Professeur. Biographie
Frank LASCK Courriel : f.lasch@montpellier-bs.com Fonction : Professeur Biographie Frank Lasch, professeur en entrepreneuriat, a rejoint le Groupe Sup de Co Montpellier Business School en septembre 2003
Plus en détailStéphane Lefebvre. CAE s Chief Financial Officer. CAE announces Government of Canada participation in Project Innovate.
Stéphane Lefebvre CAE s Chief Financial Officer CAE announces Government of Canada participation in Project Innovate Montreal, Canada, February 27, 2014 Monsieur le ministre Lebel, Mesdames et messieurs,
Plus en détailInfos, Intox et Alternative pour le financement des retraites et de la protection sociale et la compétitivité
Infos, Intox et Alternative pour le financement des retraites et de la protection sociale et la compétitivité Contribution au débat Daniel SANCHIS Paris mai 2010 La part de la richesse nationale produite
Plus en détailEVALUATION DE LA QUALITE DES SONDAGES EN LIGNE : CAS D UN SONDAGE D OPINION AU BURKINA FASO
EVALUATION DE LA QUALITE DES SONDAGES EN LIGNE : CAS D UN SONDAGE D OPINION AU BURKINA FASO Auteur Baguinébié Bazongo 1 Ingénieur Statisticien Economiste Chef de l Unité de recherche à l Institut national
Plus en détailCURRICULUM VITAE. CHAMP DE SPÉCIALISATION Économie financière. Économétrie financière. Économétrie.
CURRICULUM VITAE Nom: Bruno Feunou Citoyenneté: Canadien Langues: Bangam, Bandjoun, Français, Anglais Adresse: Duke University Department of Economics 213 Social Sciences Building Durham, NC 27708, US
Plus en détailComprehensive study on Internet related issues / Étude détaillée sur les questions relatives à l Internet. November/Novembre 2014
Comprehensive study on Internet related issues / November/Novembre 2014 Étude détaillée sur les questions relatives à l Internet 1 Study scope / Domaines de l'étude 1. Access to Information and Knowledge
Plus en détailDes solutions pour les seniors à revenus insuffisants
Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants IStock - FredFroese Source de croissance de d opportunités, le vieillissement de la population française constitue cependant un défi pour notre pays.
Plus en détailChristian BONTEMPS né le 08 juillet 1969
Curriculum Vitae Christian BONTEMPS né le 08 juillet 1969 Situation actuelle : Ingénieur en Chef des Ponts et Chaussées, Chercheur IDEI Professeur Sciences Économiques, GREMAQ - Université Toulouse I.
Plus en détailCOPYRIGHT Danish Standards. NOT FOR COMMERCIAL USE OR REPRODUCTION. DS/EN 61303:1997
COPYRIGHT Danish Standards. NOT FOR COMMERCIAL USE OR REPRODUCTION. DS/EN 61303:1997 COPYRIGHT Danish Standards. NOT FOR COMMERCIAL USE OR REPRODUCTION. DS/EN 61303:1997 COPYRIGHT Danish Standards. NOT
Plus en détailDirection des Études et Synthèses Économiques G 2005 / 08
Direction des Études et Synthèses Économiques G 2005 / 08 Éducation et croissance en France et dans un panel de 21 pays de l OCDE Clotilde L ANGEVIN et Nadine LAÏB Document de travail Institut National
Plus en détailDES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET
Cette fiche élaborée par la commission économie du Parti de Gauche révèle les 4 "erreurs" fondamentales issues de l'argumentaire que Monsieur Lenglet a opposé à Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission des
Plus en détailThèmes de recherche. Projets en cours
Formation Michel Baroni Professeur, Département Finance Responsable Pédagogique des Mastères Spécialisés en Techniques Financières et Finance & Asset Management Habilitation à Diriger des Recherches, Université
Plus en détailProgramming Server-Side Web Applications with Object-Oriented PHP. 420-060-NC Group 1638. Syllabus. Duration: 75 hours 1-2-2
Programming Server-Side Web Applications with Object-Oriented PHP 420-060-NC Group 1638 Syllabus Duration: 75 hours 1-2-2 Lecturer: Mathieu Viau mathieu.viau@gmail.com COLLÈGE DE MAISONNEUVE 3800, rue
Plus en détailLA FINANCE EST-ELLE DEVENUE TROP CHERE? ESTIMATION DU COUT UNITAIRE D INTERMEDIATION FINANCIERE EN EUROPE 1951-2007
LA FINANCE EST-ELLE DEVENUE TROP CHERE? ESTIMATION DU COUT UNITAIRE D INTERMEDIATION FINANCIERE EN EUROPE 1951-2007 Les notes de l IPP n 10 Juin 2014 Guillaume Bazot www.ipp.eu Résumé La finance a pris
Plus en détailRÉSUMÉ DE THÈSE. L implantation des systèmes d'information (SI) organisationnels demeure une tâche difficile
RÉSUMÉ DE THÈSE L implantation des systèmes d'information (SI) organisationnels demeure une tâche difficile avec des estimations de deux projets sur trois peinent à donner un résultat satisfaisant (Nelson,
Plus en détailFace Recognition Performance: Man vs. Machine
1 Face Recognition Performance: Man vs. Machine Andy Adler Systems and Computer Engineering Carleton University, Ottawa, Canada Are these the same person? 2 3 Same person? Yes I have just demonstrated
Plus en détailÉvaluation de la mise en oeuvre des recommandations issues des audits effectués à l Université Nationale du Bénin par la Banque mondiale et l UNESCO
Évaluation de la mise en oeuvre des recommandations issues des audits effectués à l Université Nationale du Bénin par la Banque mondiale et l UNESCO Plan de la présentation I- Contexte et problématique
Plus en détailELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE
ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE Cours de M. Di Roberto Université Victor Segalen Bordeaux 2 Bibliographie Ce cours s inspire largement des ouvrages essentiels suivants. Merci à leurs auteurs. BOSSERELLE
Plus en détailRevenu national avant impôts: 2 800 (100%) Revenu disponible: 2 100 (74%) Revenu après impôts: 1 500 (51%)
Séance n 8. TD Tableau n 1. La décomposition du revenu national en 2009 Montant (milliards d euros) Part (%) Revenus d activité salariaux 1014,3 73% Revenus de la propriété 281,1 20% Revenu d activité
Plus en détailSmall Businesses support Senator Ringuette s bill to limit credit card acceptance fees
For Immediate Release October 10, 2014 Small Businesses support Senator Ringuette s bill to limit credit card acceptance fees The Senate Standing Committee on Banking, Trade, and Commerce resumed hearings
Plus en détailComment la recherche en sciences humaines est-elle utilisée? Observations tirées du sondage du groupe d experts chargé de l examen des pratiques d
Comment la recherche en sciences humaines est-elle utilisée? Observations tirées du sondage du groupe d experts chargé de l examen des pratiques d évaluation par les pairs du CRSH Où la recherche est-elle
Plus en détail- Introduction : la globalisation commerciale d hier et d aujourd hui
Plan du cours : - Introduction : la globalisation commerciale d hier et d aujourd hui - I. Les théories du commerce international - les avantages comparatifs (Ricardo) - les dotations de facteurs (HOS)
Plus en détailLa question sociale globale et les migrations. Présentation de Jean Michel Severino aux semaines sociales, 28 Novembre 2010
La question sociale globale et les migrations Présentation de Jean Michel Severino aux semaines sociales, 28 Novembre 2010 1. Nous connaissons un moment sans précédent de victoire contre la pauvreté 2.
Plus en détailCompte-rendu de Hamma B., La préposition en français
Compte-rendu de Hamma B., La préposition en français Badreddine Hamma To cite this version: Badreddine Hamma. Compte-rendu de Hamma B., La préposition en français. Revue française de linguistique appliquée,
Plus en détailL évaluation de la qualité d un dispositif d apprentissage en ligne. Quelles traces mobiliser? Comment les interpréter?
L évaluation de la qualité d un dispositif d apprentissage en ligne. Quelles traces mobiliser? Comment les interpréter? François GEORGES (LabSET ULg) Séminaire Be-ODL 18 novembre 2013 1 Plan La qualité
Plus en détailNotes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence
Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Gwenole Fortin To cite this version: Gwenole Fortin. Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence. 2006.
Plus en détailRéduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?
Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants
Plus en détailSAIT-ON MESURER LE ROLE ECONOMIQUE DE L EDUCATION? Une confrontation des résultats empiriques micro et macroéconomiques.
SAIT-ON MESURER LE ROLE ECONOMIQUE DE L EDUCATION? Une confrontation des résultats empiriques micro et macroéconomiques Marc Gurgand Centre d études de l emploi et Crest gurgand@cee.enpc.fr Décembre 1999
Plus en détailICA Congress, Brisbane 2012 Thème général : Les temps qui changent. La confiance et les archives*
ICA Congress, Brisbane 2012 Thème général : Les temps qui changent. La confiance et les archives* Titre : Un résumé de la pratique archivistique internationale adaptée au niveau local : manuel pratique
Plus en détailDocument 1.2: Définition de l indicateur d ouverture (OPENNESS) de Sachs et Warner,1995
PROGRAMME DE FORMATION CONTINUE SESSION 6 : RENNES, 1314 MARS 2008 Atelier : Ouverture et croissance Animé par Akiko SuwaEisenmann (EEP) L objectif de cet atelier est d examiner les données de plusieurs
Plus en détailBIG Data et R: opportunités et perspectives
BIG Data et R: opportunités et perspectives Guati Rizlane 1 & Hicham Hajji 2 1 Ecole Nationale de Commerce et de Gestion de Casablanca, Maroc, rguati@gmail.com 2 Ecole des Sciences Géomatiques, IAV Rabat,
Plus en détailCet article est une analyse de la question de la
Perspective de la future croissance de la productivité au Canada Thomas A. Wilson* Université de Toronto Cet article est une analyse de la question de la future croissance de la productivité du Canada
Plus en détailexigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.
R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,
Plus en détailPOULAKIDAS, Angela Département : Commerce et négociation. Matières enseignées. Intervient dans les programmes. Principaux diplômes
POULAKIDAS, Angela Département : Commerce et négociation Matières enseignées Stratégie internationale Commerce international Entrepreneuriat international International marketing Ventes et négociation
Plus en détailLoi sur la remise de certaines dettes liées à l aide publique au développement. Forgiveness of Certain Official Development Assistance Debts Act
CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION Forgiveness of Certain Official Development Assistance Debts Act Loi sur la remise de certaines dettes liées à l aide publique au développement S.C. 1987, c. 27 L.C. 1987,
Plus en détailSolvabilité II et rentabilité ajustée au risque des produits en assurance-vie
Solvabilité II et rentabilité ajustée au risque des produits en assurance-vie Vladislav GRIGOROV, CRO SwissLife France Journées d études de l IA, Deauville, 21 septembre 2012 Introduction Solvency II représente
Plus en détailLes doutes et les questions des économistes face au système des brevets
Les doutes et les questions des économistes face au système des brevets Dominique Foray Réunion du Groupe français de l AIPPI Octobre 2003 1 Nous nous intéressons. non pas à la PI en soi mais à l innovation
Plus en détailLes Entretiens Jacques Cartier. Session 1 : De la naissance du connectivisme à la satisfaction des besoins éducatifs
Les Entretiens Jacques Cartier Colloque 1 : Cours massifs et ouverts en ligne adaptés aux besoins du 21ème siècle. Un défi pour l enseignement supérieur des pays du nord et du sud. Session 1 : De la naissance
Plus en détailVERS L EXCELLENCE DANS LA FORMATION PROGRAMME D APPUI A LA QUALITE AMELIORATION SUPERIEUR DE LA QUALITE DE L ENSEIGNEMENT TITRE DU PROJET
PROGRAMME D APPUI A LA QUALITE AMELIORATION DE LA QUALITE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR TITRE DU PROJET VERS L EXCELLENCE DANS LA FORMATION ETABLISSEMENT GESTIONNAIRE DU PROJET ISET DE NABEUL JUILLET 2009
Plus en détailAUDIT COMMITTEE: TERMS OF REFERENCE
AUDIT COMMITTEE: TERMS OF REFERENCE PURPOSE The Audit Committee (the Committee), assists the Board of Trustees to fulfill its oversight responsibilities to the Crown, as shareholder, for the following
Plus en détailAspects de droit anglais
UNIVERSITE PANTHEON-SORBONNE MASTER ETUDES JURIDIQUES COMPARATIVES EXAMEN TERMINAL ANNEE UNIVERSITAIRE 2009-2010 Tous documents autorisés Veuillez rédiger une réflexion comparative personnelle et critique
Plus en détailDEA ès Sciences de Gestion. DES en Sciences Economiques. Ingénieur diplômé de l'ecole Polytechnique de Paris.
Education René Demeestere Emeritus Professor, Department Accounting and Management Control DEA ès Sciences de Gestion. DES en Sciences Economiques. Ingénieur diplômé de l'ecole Polytechnique de Paris.
Plus en détailUniversité de XY University of XY. Faculté XY Faculty of XY
Université de XY University of XY Faculté XY Faculty of XY Le présent supplément au diplôme suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil d'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise
Plus en détailPrésentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech
Présentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech Le dispositif L Institut suisse de brainworking (ISB) est une association
Plus en détailLes effets d une contrainte de crédit sur la convergence économique : Le cas des pays de l UEMOA
Les effets d une contrainte de crédit sur la convergence économique : Le cas des pays de l UEMOA Auteurs : Abdoulaye DIAGNE et Abdou-Aziz NIANG Introduction Ceci devrait contribuer à réduire l écart entre
Plus en détailthat the child(ren) was/were in need of protection under Part III of the Child and Family Services Act, and the court made an order on
ONTARIO Court File Number at (Name of court) Court office address Applicant(s) (In most cases, the applicant will be a children s aid society.) Full legal name & address for service street & number, municipality,
Plus en détailRISK-BASED TRANSPORTATION PLANNING PRACTICE: OVERALL METIIODOLOGY AND A CASE EXAMPLE"' RESUME
RISK-BASED TRANSPORTATION PLANNING PRACTICE: OVERALL METIIODOLOGY AND A CASE EXAMPLE"' ERTUGRULALP BOVAR-CONCORD Etwiromnental, 2 Tippet Rd. Downsviel+) ON M3H 2V2 ABSTRACT We are faced with various types
Plus en détailREMOTE DATA ACQUISITION OF EMBEDDED SYSTEMS USING INTERNET TECHNOLOGIES: A ROLE-BASED GENERIC SYSTEM SPECIFICATION
REMOTE DATA ACQUISITION OF EMBEDDED SYSTEMS USING INTERNET TECHNOLOGIES: A ROLE-BASED GENERIC SYSTEM SPECIFICATION THÈSE N O 2388 (2001) PRÉSENTÉE AU DÉPARTEMENT D'INFORMATIQUE ÉCOLE POLYTECHNIQUE FÉDÉRALE
Plus en détailChapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)
Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,
Plus en détailRevision of hen1317-5: Technical improvements
Revision of hen1317-5: Technical improvements Luca Felappi Franz M. Müller Project Leader Road Safety Consultant AC&CS-CRM Group GDTech S.A., Liège Science Park, rue des Chasseurs-Ardennais, 7, B-4031
Plus en détailTHÈSE. présentée à TÉLÉCOM PARISTECH. pour obtenir le grade de. DOCTEUR de TÉLÉCOM PARISTECH. Mention Informatique et Réseaux. par.
École Doctorale d Informatique, Télécommunications et Électronique de Paris THÈSE présentée à TÉLÉCOM PARISTECH pour obtenir le grade de DOCTEUR de TÉLÉCOM PARISTECH Mention Informatique et Réseaux par
Plus en détailRAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415
RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 CCE 2014-2415 Rapport technique 2014 22 décembre 2014 2 CCE 2014-2415 3 CCE 2014-2415 Le tableau 1 présente les principaux indicateurs du contexte macro-économique belge
Plus en détailIntroduction à la méthodologie de la recherche
MASTER DE RECHERCHE Relations Économiques Internationales 2006-2007 Introduction à la méthodologie de la recherche geraldine.kutas@sciences-po.org Les Etapes de la Recherche Les étapes de la démarche Etape
Plus en détailRETHINKING JACQUES ELLUL AND THE TECHNOLOGICAL SOCIETY IN THE 21ST CENTURY REPENSER JACQUES ELLUL ET LA SOCIETE TECHNICIENNE AU 21EME SIECLE
CALL FOR PAPERS / APPEL A COMMUNICATIONS RETHINKING JACQUES ELLUL AND THE TECHNOLOGICAL SOCIETY IN THE 21ST CENTURY REPENSER JACQUES ELLUL ET LA SOCIETE TECHNICIENNE AU 21EME SIECLE The Conference Rethinking
Plus en détailEric BARGET, MCF à la Faculté des sports de Poitiers CEREGE (Centre de Recherche en Gestion), IAE de Poitiers
Journée d étude sur «la métalogistique des événements sportifs» CRO3S / UFR STAPS d Orléans / 2 mai 2006 Eric BARGET, MCF à la Faculté des sports de Poitiers CEREGE (Centre de Recherche en Gestion), IAE
Plus en détailFormat de l avis d efficience
AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation
Plus en détailETABLISSEMENT D ENSEIGNEMENT OU ORGANISME DE FORMATION / UNIVERSITY OR COLLEGE:
8. Tripartite internship agreement La présente convention a pour objet de définir les conditions dans lesquelles le stagiaire ci-après nommé sera accueilli dans l entreprise. This contract defines the
Plus en détailLes contraintes de financement des PME en Afrique : le rôle des registres de crédit
Les contraintes de financement des PME en Afrique : le rôle des registres de crédit Ondel ansek Kay Sommaire Il ressort du débat sur le développement économique de l Afrique subsaharienne (ASS) que les
Plus en détailA / BIOGRAPHY. 2005-2009 : Doctorat en Sciences Economiques et de Gestion (Ph.D.), Louvain School of Management Université catholique de Louvain
Albert B.R. LWANGO, PhD. Finance, Innovation and Entrepreneurship Groupe ESC Troyes Contact address : 217 avenue Pierre Brossolette BP 710 10002 Troyes cedex - France Phone : +33(0)3 25 71 22 79 Mail :
Plus en détailL importance des investissements publics pour l économie. Analyse thématique Finances locales
L importance des investissements publics pour l économie Analyse thématique Finances locales Belfius Research Mars 2015 Introduction En septembre 2014, les normes SEC 2010 1 ont été appliquées intégralement
Plus en détailLes Ontariens rejettent catégoriquement le projet de création d une école afrocentriste
ÉCOLE AFROCENTRISTE EN ONTARIO Pour diffusion immédiate PAGE 1 DE 5 Les Ontariens rejettent catégoriquement le projet de création d une école afrocentriste La vaste majorité des répondants sont d accord
Plus en détail1.The pronouns me, te, nous, and vous are object pronouns.
1.The pronouns me, te, nous, and vous are object pronouns.! Marie t invite au théâtre?!! Oui, elle m invite au théâtre.! Elle te parle au téléphone?!! Oui, elle me parle au téléphone.! Le prof vous regarde?!!!
Plus en détailIndustrial Phd Progam
Industrial Phd Progam Catalan Government: Legislation: DOGC ECO/2114/2012 Modification: DOGC ECO/2443/2012 Next: Summary and proposal examples. Main dates March 2013: Call for industrial Phd projects grants.
Plus en détailExiste-t-il un taux d endettement optimal des États?
Existe-t-il un taux d endettement optimal des États? Nicolas Marceau, CIRPÉE et UQÀM mai 2003 Existe-t-il un taux d endettement optimal des États? 1 Plan de la présentation 1. Équivalence ricardienne 2.
Plus en détailEvaluation practices to support learning in the classroom: How to assess competencies in arithmetic?
Evaluation practices to support learning in the classroom: How to assess competencies in arithmetic? Gery.Marcoux@unige.ch Framework Educational psychology Teacher assessment Specificity: resolution of
Plus en détailHomosexualité et milieu de travail
Sondage d opinion auprès des Canadiens GAI ÉCOUTE ÉTUDE OMNIBUS PAN CANADIENNE Homosexualité et milieu de travail Mai 2006 Dossier : 12717-008 507, place d Armes, bureau 700, Montréal, Québec H2Y 2W8 Téléphone
Plus en détailBILL 13 PROJET DE LOI 13. certains droits relatifs à l approvisionnement en bois et à l aménagement forestier
1st Session, 56th 58th Legislature New Brunswick 63-6456 Elizabeth II, II, 2014-2015 2007 1 re session, 56 58 e législature Nouveau-Brunswick 63-64 56 Elizabeth II, II, 2014-2015 2007 BILL 13 PROJET DE
Plus en détailSMALL CITY COMMERCE (EL PEQUEÑO COMERCIO DE LAS PEQUEÑAS CIUDADES)
CIUDADES) ES/08/LLP-LdV/TOI/149019 1 Project Information Title: Project Number: SMALL CITY COMMERCE (EL PEQUEÑO COMERCIO DE LAS PEQUEÑAS CIUDADES) ES/08/LLP-LdV/TOI/149019 Year: 2008 Project Type: Status:
Plus en détailUniversité Abou-Bekr Belkaid Tlemcen Faculté des Sciences Economiques et de Gestion. BENBOUZIANE Mohamed
Université Abou-Bekr Belkaid Tlemcen Faculté des Sciences Economiques et de Gestion CV BENBOUZIANE Mohamed Nom : BENBOUZIANE Prénom : Mohamed Date et Lieu de Naissance : 04/ 12/ 1963 à Honaine Tlemcen-
Plus en détailLE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE.
LE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE. Synthèse des travaux réalisés 1. Problématique La question D7 du plan d exécution du Programme National de Recherches
Plus en détailCes annexes un peu techniques et parfois exploratoires présentent le détail d analyses synthétisées dans d autres contributions.
Annexes sur l économie grecque Ces annexes un peu techniques et parfois exploratoires présentent le détail d analyses synthétisées dans d autres contributions. 1. L endettement des ménages 2. Le poids
Plus en détailTests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections
Plus en détailE-monitoring : intégrer l émotionnel dans votre «balanced scorecard»
E-monitoring : intégrer l émotionnel dans votre «balanced scorecard» Par Daniel Held, Dr. Es Sc. écon. et Benoit Moransais, lic. ès Sc. écon., associés du cabinet Qualintra SA, Genève Le «balanced scorecard»
Plus en détailI. Une nouvelle loi anti-discrimination
Extrait du Bulletin de Liaison Le Défi n 17, LHFB, Juillet 2004 Discriminations et assurances ; les apports de la Loi du 25 février 2003 et le rôle du Centre pour l'égalité des chances et la lutte contre
Plus en détailLa gestion de l offre dans le secteur laitier, un mode de régulation toujours pertinent SOMMAIRE. Daniel-Mercier GOUIN
Groupe de recherche en économie et politique agricoles, Département d économie agroalimentaire et des sciences de la consommation, Université Laval SOMMAIRE PRÉAMBULE Daniel-Mercier Gouin est directeur
Plus en détailAVOB sélectionné par Ovum
AVOB sélectionné par Ovum Sources : Ovum ovum.com «Selecting a PC Power Management Solution Vendor» L essentiel sur l étude Ovum AVOB sélectionné par Ovum 1 L entreprise britannique OVUM est un cabinet
Plus en détailQuelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation
1 Septembre 2014 Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation Grand-Charmont est une commune de 5200 habitants qui compte 57 % de logements sociaux. Les revenus
Plus en détailQuatre axes au service de la performance et des mutations Four lines serve the performance and changes
Le Centre d Innovation des Technologies sans Contact-EuraRFID (CITC EuraRFID) est un acteur clé en matière de l Internet des Objets et de l Intelligence Ambiante. C est un centre de ressources, d expérimentations
Plus en détailFlood risk assessment in the Hydrographic Ebro Basin. Spain
Flood risk assessment in the Hydrographic Ebro Basin. Spain Évaluation du Risque d Inondation dans la Démarcation Hydrographique de Congrès SHF, Evénements extrêmes fluviaux et maritimes, Paris, 1-2 février
Plus en détailL approche de régression par discontinuité. Thomas Lemieux, UBC Atelier de formation du Congrès de l ASDEQ Le 18 mai 2011
L approche de régression par discontinuité Thomas Lemieux, UBC Atelier de formation du Congrès de l ASDEQ Le 18 mai 2011 Plan de la présentation L approche de régression par discontinuité (RD) Historique
Plus en détailIntroduction : pour une refonte générale de notre système de retraite
Introduction : pour une refonte générale de notre système de retraite Conséquence de l empilement des régimes et de modes de calculs complexes, nul ne sait exactement quels seront ses droits à la retraite.
Plus en détailDans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours.
Dans un siècle, il y a 100 ans. Dans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours. Dans un trimestre, il y a 3 mois.
Plus en détailVers des règles budgétaires plus efficaces : Un rôle pour les conseils budgétaires?
Vers des règles budgétaires plus efficaces : Un rôle pour les conseils budgétaires? Clause de non-responsabilité Les opinions exprimées dans cette présentation sont les miennes et ne reflètent pas nécessairement
Plus en détail