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1 12 2 Les régions administratives 2.1 Territoire Superficie et densité de population La superficie du se répartit inégalement entre les régions administratives (tableau 1) : Le (54,6 %) s étend sur plus de la moitié du territoire québécois; la Côte- Nord (17,4 %) et le (7,8 %) sont les seules autres régions à couvrir plus de 5 % de ce territoire. Les 5 régions administratives les moins populeuses (,,,, ), qui regroupent 8,5 % de la population québécoise, couvrent près de 80 % de la superficie du. La densité de population également varie fortement d une région administrative à l autre. Quelques groupes se distinguent selon leur densité de population (figure 2) : Deux régions administratives comptent plus de habitants au km 2 ; il s agit de (3 598,0 habitants au km 2 ) et de (1 346,3 habitants au km 2 ). La région de la suit de loin, au 3 e rang, avec 113,4 habitants au km 2. Les régions de, du, de, de l, de Chaudière- Appalaches et des affichent des densités de population variant de 20 à 35 habitants au km 2. Les autres régions administratives comptent moins de 10 habitants au km 2. Celle du Norddu- est la moins densément peuplée et ne dénombre que 0,05 habitant au km 2. est la région administrative où le nombre d habitants au km 2 a le plus augmenté, de 1986 à Sa densité de population est passée de 1 158,0 habitants au km 2 à 1 346,3, soit un gain de 188,3 habitants au km 2. Figure 2 Densité de population par région administrative, Taux de densité (habitants/km 2 ) Population et logements

2 13 Les autres régions à avoir connu les plus fortes augmentations de densité, au cours de ces 10 années, sont la région administrative de et ses régions périphériques :, et. La région administrative de Îles-de-la- Madeleine est celle où la densité de population a le plus diminué depuis 1986, glissant de 5,5 à 5,1 habitants au km 2 en Dans l ensemble, les rangs des régions administratives en termes de densité de population sont demeurés stables, de 1986 à Seule la région de est passée du 8 e rang au 6 e rang durant cette période, alors que celles de l et de ont respectivement glissé des 6 e et 7 e rangs aux 7 e et 8 e rangs. Municipalités locales composantes 2 Au total, le totalise municipalités locales. De ce nombre, 44,8 % dénombrent moins de habitants, 46,6 % comptent de à habitants, 5,2 % de à habitants et 3,3 %, habitants et plus (tableau 2). Le nombre de municipalités locales que renferme chaque région administrative est très varié (figure 3). La est celle qui en regroupe le plus (216) 3, alors que les régions de (1), du (28) 4 et de (29) sont celles qui en comptent le moins. Au total, 2 régions administratives totalisent plus de 150 municipalités locales, 3 en dénombrent de 100 à 150 et 12, moins de 100. Exception faite des régions du et de, toutes les régions administratives ont au moins une municipalité locale de habitants et plus. Celles de et de la en comptent à elles seules 21, soit 43,8 % des municipalités de cette taille au. Le est la seule région administrative à ne compter que des municipalités locales de moins de habitants. Figure 3 Répartition des municipalités locales selon leur taille par région administrative, 1996 Nombre de municipalités 2. Cette sous-section traite des municipalités locales et ne tient pas compte des territoires non organisés et des territoires amérindiens. 3. La comprend également 2 territoires amérindiens. 4. Le compte aussi 19 territoires amérindiens et 2 territoires non organisés. Le

3 14 Les régions du, de Chaudière- Appalaches, de l et du totalisent 295 municipalités locales de moins de habitants, soit 46,0 % des municipalités de cette taille au. Au, 52,8 % de la population vit dans des municipalités locales de habitants et plus. Les régions administratives de (100 %), de (90,5 %), de l (64,4 %), de (60,5 %) et du Lac-Saint- Jean (50,8 %) présentent les plus fortes proportions de population vivant dans des municipalités locales de cette taille. Au, 22,8 % de la population vit dans des municipalités locales de moins de habitants. Quelques régions administratives se démarquent, leur population étant concentrée dans des municipalités locales de petite taille. Au moins 50 % de la population des régions de Îles-dela-Madeleine (77,1 %), du (65,1 %), de (54,1 %) et du (50,5 %) vivent dans des municipalités locales de moins de habitants. Dans l ensemble, c est le nombre de municipalités locales de moins de habitants qui a le plus diminué de 1986 à 1996, chutant de 720 en 1986, à 642 en Ce sont les régions administratives de la (- 16), de l (- 14), de (- 12), du Centre-du- (- 10) et des (- 10) qui ont vu leur nombre de municipalités de cette taille le plus baisser, durant cette période. Par ailleurs, c est le nombre de municipalités locales de à habitants qui a le plus augmenté de 1986 à 1996, passant de 58 en 1986, à 75 en La région administrative de la est celle dont le nombre de municipalités locales de cette taille s est le plus accru, soit de 14 en 1986, à 21 en Les régions de (23,7 %) et du (41,5 %) présentent des taux de population urbaine de moins de 50 %. 2.2 Population La population des régions administratives du varie de habitants pour la région de, à pour celle du. Au total, 3 régions administratives comptent plus de habitants, 8 entre et et 6 moins de ; le est la seule région totalisant moins de habitants (figure 4). Les régions administratives qui occupent les 7 premiers rangs en termes de population au sont celles de et de, ainsi que leurs régions voisines (,,, et Chaudière- Appalaches) (figure 5). Les 4 régions administratives qui se classent aux derniers rangs en termes de population se situent soit au nord du (,, ), soit à l extrémité est du (). La région administrative de regroupe près du quart de la population du (24,9 %), alors que la en compte 17,6 % (tableau 3). Parmi les autres régions administratives, seules celles de (8,9 %), des (6,0 %), de (5,3 %) et de (5,3 %) représentent chacune plus de 5 % de la population du. La région de et ses régions avoisinantes (,, et ) comptent pour 58,4 % de la population totale du. Population urbaine Le taux de population urbaine au se situe à 78,4 % (tableau 3). Quatre régions administratives affichent des taux supérieurs à celuici; il s agit de (100 %), (100 %), (86,9 %) et la (78,7 %). Population et logements

4 15 Variation de 1991 à 1996 La est la région qui a connu la plus forte hausse de population ( habitants), suivie des ( habitants), de ( habitants) et de l ( habitants). Ces 4 régions administratives regroupent 70,5 % des augmentations de population au, de 1991 à Durant cette période, 8 régions administratives ont connu un taux de croissance de population supérieur à celui observé pour l ensemble du (+ 3,5 %) (figure 6). Les régions des et de se démarquent, avec des taux de croissance respectifs de 13,3 % et 11,8 % (figure 7). L (+ 8,3 %), le Nord-du- (+ 5,7 %), (+ 5,1 %), la (+ 4,8 %), l (+ 3,7 %) et le Centre-du- (+ 3,6 %) sont les autres régions affichant un taux de croissance supérieur à 3,5 %. Les 4 régions administratives adjacentes à la région de (,,, ) présentent une croissance supérieure à celle enregistrée par l ensemble du, alors que la population de la région de est restée pratiquement stable (-0,001 %). Le Lac-Saint- Jean, qui se classait au 8 e rang en termes de population en 1991, a glissé au 9 e rang en 1996, derrière l. Période de 1986 à 1991 comparativement à celle de 1991 à 1996 Au total, 10 régions administratives ont vu leur taux de croissance de population baisser de 1991 à 1996, par rapport à la période précédente. Les régions dont le taux de croissance a le plus diminué sont celles de (de + 20,0 % à + 11,8 %), Figure 4 Population par région administrative, 1996 Nombre d habitants Le

5 Répartition de la population du, 1996 Source : Bureau de la statistique du, Direction de la géostatistique et de l'information, Population totale : Figure 5 Régions administratives du, 1997 Tranches de population moins de à à à et plus % part de la population totale

6 Régions administratives du, 1997 Source : Bureau de la statistique du, Direction de la géostatistique et de l'information, Figure 6 Taux de variation de la population 7,0% et plus 3,5 à 6,9% 0,0 à 3,4% moins de 0,0% Variation de la population de 1991 à 1996

7 18 des (de + 19,3 % à + 13,3 %), de (de + 10,6 % à + 5,1 %) et de la (de + 10,0 % à + 4,8 %). Dans l ensemble, ce sont les régions ayant connu les plus forts taux de croissance de 1986 à 1991, qui ont subi les plus importants ralentissements au cours de la dernière période. La région administrative de a, pour sa part, vu sa population se stabiliser (- 0,001 %), de 1991 à 1996, après avoir enregistré une faible augmentation de 1986 à 1991 (+ 1,3 %). Sept régions n ont pas connu de diminution de leur taux de croissance : La région de (- 0,7 %) est celle qui présente la plus forte chute de population de 1991 à Cependant, cette baisse est moins accentuée que celle de la période précédente, où la région avait subi une diminution de 5,8 % de sa population. Les régions du et de la Côte- Nord, qui affichaient des baisses de population de 1986 à 1991, ont connu de légères hausses de 0,5 % et 0,1 % respectivement, durant la période de 1991 à Figure 7 Variation de la population par région administrative, Le taux de croissance de la population du durant la période de 1991 à 1996 est resté stable (+ 0,2 %), par rapport au taux observé pour 1986 à La région du (de + 0,5 % à + 5,7 %) a enregistré la plus forte accélération de croissance de population de 1991 à 1996, par rapport à la période précédente. Les régions de (de + 3,1 % à + 3,4 %) et du (+ 2,6 % à + 3,6 %) ont également connu de légères augmentations de leur taux de croissance. Variation de 1986 à 1996 Les régions administratives des (+ 35,1 %) et de (+ 34,2 %) se démarquent avec des taux de croissance de population supérieurs à 30 %, de 1986 à L (+ 19,9 %), (+ 16,3 %) et la (+ 15,3 %) sont les seules autres régions administratives à avoir connu des taux de croissance supérieurs à 10 %, au cours de cette période. Variation (%) Population et logements

8 19 Les régions de (- 6,5 %), du (- 2,3 %) et de la (- 1,2 %) sont les seules à avoir enregistré des baisses de population, de 1986 à Le Lac-Saint- Jean affiche une très faible croissance au cours de ces 10 années (+ 0,4 %). Cette région, qui se classait au 6 e rang en termes de population en 1986, a glissé au 9 e rang en Pour leur part, les régions de et de l se sont hissées des 8 e et 10 e rangs aux 6 e et 8 e rangs. Les et le ont chacune gagné un rang, alors que l, et le en ont perdu un. Le poids démographique des régions administratives s est modifié, bien que légèrement, de 1986 à La région de est celle dont le poids a le plus diminué, passant de 26,8 % de la population totale du en 1986, à 24,9 % en 1996; les (de 4,9 % à 6,0 %), (de 4,3 % à 5,3 %) et la (de 16,7 % à 17,6 %) ont enregistré, quant à elles, les plus fortes augmentations. 2.3 Logements privés occupés Le nombre de logements privés occupés des régions administratives du varie de logements dans la région de, à dans le Nord-du- (figure 8). Dans l ensemble, la part des logements privés occupés au de chacune des régions administratives est relativement similaire au poids démographique de ces dernières (tableaux 3 et 4). Seule la région de obtient une part des logements privés occupés (27,4 %) sensiblement supérieure à la part de population qu elle représente, soit 24,9 %; en 1986, elle comptait 30,6 % des logements privés occupés du. Figure 8 Logements privés occupés par région administrative, 1996 Nombre de logements Le

9 20 Variation de 1991 à 1996 De 1991 à 1996, les régions de la ( logements), des ( logements), de ( logements), de ( logements) et de ( logements) regroupent plus de 60 % des hausses du nombre de logements privés occupés enregistrées dans les régions administratives du (tableau 4). La cumule à elle seule un peu moins de 20 % de ces augmentations et les, près de 13 %. Les (+ 17,7 %), (+ 15,7 %) et l (+ 12,7 %) se démarquent en affichant des taux de croissance du nombre de logements privés occupés supérieurs à 10 %, de 1991 à 1996 (figure 9). enregistre pour sa part le plus faible taux de croissance (+ 2,3 %), au cours de la même période. Le taux de croissance du nombre de logements privés occupés de chacune des régions administratives est supérieur à celui observé pour la population (figure 10). Ce phénomène est davantage marqué dans certaines régions : Quatre régions administratives, parmi celles ayant enregistré les plus faibles taux de croissance de population de 1991 à 1996 (,,, ), se retrouvent parmi celles qui présentent les plus grands écarts de taux. Par exemple, alors que la région de a connu une baisse de sa population de 0,7 % durant la période de 1991 à 1996, le nombre de ses logements privés occupés s est accru de 5,2 %. est la région où l écart entre le taux de croissance de la population (- 0,001 %) et celui du nombre de logements privés occupés ( + 2,3 %) est le plus bas. Figure 9 Variation du nombre de logements privés occupés par région administrative, Variation (%) Population et logements

10 21 Période de 1986 à 1991 comparativement à celle de 1991 à 1996 Dans l ensemble du, le taux d augmentation du nombre de logements privés occupés de 1991 à 1996 (+ 7,5 %) a chuté, par rapport au taux observé pour la période de 1986 à 1991 (+ 12,4 %). Ce phénomène est observable dans toutes les régions administratives du, sauf dans celle du où ce taux a très légèrement augmenté, passant de 6,8 % de 1986 à 1991, à 6,9 % de 1991 à 1996 (figure 9). Les régions de (de + 27,3 % à + 15,7 %), des (de + 27,5 % à + 17,7 %), de (de + 17,1 % à + 9,0 %), de la (de + 16,4 % à + 8,7 %) et de (de + 15,4 % à + 8,6 %) sont celles où ce taux a le plus diminué. Variation de 1986 à 1996 Au cours de cette période, le nombre de logements privés occupés s est accru de 20,9 % à l échelle du. Les régions des (+ 50,0 %), de (+ 47,2 %) et de l (+ 33,3 %) se démarquent avec des taux d augmentation de plus de 30 %. (+ 8,2 %) est la seule région administrative à avoir enregistré un taux de croissance inférieur à 10 %. Dans la plupart des cas, le rang des régions administratives en termes de nombre de logements privés occupés est relativement similaire au rang occupé pour la population. Le Lac-Saint- Jean est la région où l on constate, de 1986 à 1996, le plus grand écart entre ces 2 rangs. Figure 10 Comparaison de la variation de la population et de celle du nombre de logements privés occupés par région administrative, Variation (%) Le

11 22 En 1986, elle se classait au 6 e rang en termes de population et seulement au 11 e rang en termes de nombre de logements privés occupés; en 1996, cet écart s est rétréci puisque, tout en ayant conservé le 11 e rang pour les logements, cette région occupe maintenant le 9 e rang pour la population. Le nombre moyen de personnes par logement a diminué dans toutes les régions administratives, de 1986 à La baisse la plus faible se retrouve dans la région de où le ratio passe de 2,43 personnes par logement en 1986, à 2,27 en 1996 (le plus bas au ); la diminution la plus marquée se situe dans la région de où le ratio chute de 3,27 en 1986, à 2,74 personnes par logement en Ce dernier ratio n est dépassé, au, que par celui du qui atteint 3,37 personnes par logement, en Les municipalités régionales de comté ou territoires équivalents au 5 Le totalise 96 municipalités régionales de comté (MRC) et 6 territoires équivalents répartis entre les 17 régions administratives du. Les régions de (1), de (1) et du (2) sont celles qui comptent le plus petit nombre de MRC ou territoires équivalents, alors que la et Chaudière- Appalaches sont celles qui en comportent le plus (tableau 5). La population et le nombre de logements privés occupés des MRC ou territoires équivalents varient de habitants et logements dans la Communauté-Urbaine-de- (), à habitants et logements dans la MRC de Caniapiscau (). Dix régions administratives comptent au moins une MRC ou un territoire équivalent de habitants ou plus. La région de est la seule région administrative qui ne comprend que des MRC de moins de habitants. 5. Les deux prochaines sections ne présentent que quelques données sommaires sur les MRC, les municipalités et les territoires équivalents. Les cahiers spécifiques à chacune des régions administratives présente une analyse plus complète des caractéristiques des MRC et des municipalités qui les composent. Population et logements

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