PRESENTATION ET EVALUATION DIAGNOTIC DES DYSPRAXIES DANS LA DEMARCHE PSYCHOMOTRICE
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- Julien Roussy
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1 PRESENTATION ET EVALUATION DIAGNOTIC DES DYSPRAXIES DANS LA DEMARCHE PSYCHOMOTRICE Elodie Dourver-Mollard Psychomotricienne SESSAD Résodys (Marseille 1 er )
2 «LES TROUBLES DYS» GÉNÉRALITÉS _Représente un sous-secteur particulier, TROUBLES SPECIFIQUES DES APPRENTISSAGES (TSA), SEVERES ET DURABLES _Origine neurodéveloppementale : absence d une déficience avérée, qu elle soit sensorielle, motrice ou mentale, d un traumatisme ou d un trouble envahissant du comportement. _Certains facteurs peuvent jouer un rôle selon l INSERM (social, économique, culturel )
3 «LES TROUBLES DYS» DEFINITIONS _ Critères de DISCORDANCE, D EXCLUSION et de facteurs INTRINSEQUES Le TSA n est pas un simple retard, l intelligence des enfants atteints est préservée (ICV > IRP dans le cadre d une dyspraxie), les difficultés spécifiques sont de l ordre de la pathologie, le trouble est reconnu comme un handicap, l enfant peut présenter un tableau «multi-dys».
4 «LES TROUBLES DYS» EXIGENCES REQUISES _ DIAGNOSTIC PRÉCIS lors d une approche pluridisciplinaire (médecin, orthophoniste, psychomotricien, ergothérapeute, neuropsychologue), _ REEDUCATION(S) SPECIALISEE(S) CIBLEE(S), _ PEDAGOGIE ADAPTEE selon les besoins.
5 «LES TROUBLES DYS» APPROCHE THÉRAPEUTIQUE DANS LES TROUBLES DES APPRENTISSAGES Les troubles «dys» ont quasiment toujours des déficits psychomoteurs associés Trouble de la dominance latérale Trouble de la structuration spatiotemporelle Trouble du SC Dysgraphie Déficits visuospatiaux et attentionnels Maladresse motrice, TAC Trouble des habiletés praxiques Lenteur exécutive
6 UNE APPROCHE PRATIQUE Présentation d une mise en situation pratique d un jeune enfant en situation de classe. (Tom, GS, 5 ans _)
7 LES RAISONS DE CONSULTATION Il y a plusieurs raisons qui amènent une famille à consulter un médecin ou un professionnel de santé pour une suspicion de dyspraxie (il en est de même pour l âge auquel il est évalué) Chez le jeune enfant MALADRESSE MOTRICE GLOBALE HANDICAPANTE (chutes fréquentes, chutes des objets qu il manipule, manque de propreté, acquisition des bases de l habillage complexe ),
8 LES RAISONS DE CONSULTATION DIFFICULTES BUCCO-LINGUALES [en l absence d un trouble du langage associé] (lacunes de prononciation ressenties), QUESTIONNEMENT AUTOUR DES ACTIVITES DE JEU ( craintif au travers des jeux extérieurs, absence d intérêt pour les activités de manipulation ou de construction, délaisse rapidement les activités de dessins, de coloriage ).
9 LES RAISONS DE CONSULTATION Auprès de l enfant plus âgé (troubles spécifiques) : DYSGRAPHIE SEVERE ( trouble de l écriture qui intervient aussi bien au niveau de la vitesse graphomotrice et/ou la qualité des traits), LENTEUR INVALIDANTE, DYSORTHOGRAPHIE (difficulté à mémoriser l orthographe lexicale), DYSCALCULIE (difficulté à compter, à dénombrer),
10 INTRODUCTION «DYS» «PRAXIE» «Difficulté» «Capacité de planifier et d exécuter des séquences de mouvements pour atteindre un objectif»
11 INTRODUCTION
12 DEFINITION _Handicap «NON VISIBLE» physiquement qui touche les fonctions du cerveau se rapportant à l action du sujet. pénalise le geste dans sa précision, sa rapidité, son organisation. intervient sur tous les apprentissages de base _DSM IV : les dyspraxies n apparaissent pas sous ce terme où il est question de «TROUBLE D ACQUISITION DES COORDINATIONS» (terme qui ne peut être employé chez l enfant IMC, par exemple) A. Les performances dans les activités quotidiennes nécessitant une bonne coordination motrice sont nettement au-dessous du niveau escompté compte tenu de l âge chronologique du sujet et de son niveau intellectuel. Cela peut se traduire par des retards importants dans les étapes du développement psychomoteur, par le fait de laisser tomber des objets, par de la «maladresse», de mauvaises performances sportives ou une mauvaise écriture. B. La perturbation décrite dans le critère A interfère de façon significative avec la réussite scolaire ou les activités de la vie courante. C. La perturbation décrite n est pas due à une affection médicale générale et ne répond pas aux critères d un trouble envahissant du développement. D. S il existe un retard mental, les difficultés motrices dépassent celles habituellement associées de celui-ci.
13 DEFINITION _ Selon M. Mazeau «Les dyspraxies touchent les fonctions de planification et de pré-programmation des gestes volontaires. Il s agit d un trouble de la réalisation du geste, secondaire à l impossibilité (ou à l anomalie) de programmer automatiquement et d intégrer au niveau cérébral les divers constituants sensori-moteurs et spatio-temporels du geste volontaire. Il n y a ni insuffisance d apprentissage, ni déficit mental ; l enfant est motivé, non opposant, il connaît le résultat qu il s agit d obtenir et partage le projet de l examinateur.» _Les difficultés avec une praxie n apparaissent qu à partir de l âge ou celle-ci est censée être maîtrisée, et on ne peut poser un diagnostic de dyspraxie AVANT l âge de 3 ans. Le diagnostic peut se faire avec certitude entre 4 ans et 4 ans _ selon S.Franc
14 PREVALENCE Qui et combien?? Séquelles qui persistent à l adolescence et l âge adulte Le DSM IV estime une prévalence à 6 % chez les enfants de 5 à 11 ans. 2 à 4 garçons pour 114fille
15 ETIOLOGIE _ DIAGNOSTIC DE DYSPRAXIE PEU DÉVELOPPÉ : Demande des ressources professionnelles, Discordances observées dans les critères de définitions. _ ETIOLOGIE : Existence de problèmes périnataux, Cas d antécédents familiaux d autres troubles de développement (dysphasie, TSA ) Il n existe actuellement aucun test radiologique qui permet de faire le diagnostic de dyspraxie.
16 SES DIFFÉRENTES FORMES _ Les causes neurologiques impliquées dans la dyspraxie sont loin d être évidentes et de faire l unanimité dans la communauté scientifique, c est pourquoi il existe différents types de modèles selon les auteurs (Dewey- 1995, Gubbay-1975, Cermark- 1985) _ M. Mazeau distingue 3 grands types de dyspraxie : DYSPRAXIE CONSTRUCTIVE VISUO-SPATIALE, DYSPRAXIE CONSTRUCTIVE NON VISUO-SPATIALE, DYSPRAXIE NON CONSTRUCTIVE : Dyspraxie idéatoire Dyspraxie idéomotrice Dyspraxie de l habillage
17 SES DIFFÉRENTES FORMES DYPRAXIE CONSTRUCTIVE VISUO- SPATIALE (DVS) (ou symptomatologie scolaire) Syndrôme dyspraxique le plus fréquent chez l enfant. _Elle ne se révèle vraiment qu au contact des premières exigences scolaire _Elle regroupe 3 symptômes différents : Un trouble neuro-visuel du regard avec ou sans trouble de la vision, (difficultés dans l organisation de la motricité des globes oculaires), Un trouble dans l organisation du geste ou trouble praxique, Un trouble de la construction de certains éléments de la spatialisation (surtout l espace en 2 D). Le modèle aggrave sérieusement la situation (favoriser au maximum la verbalisation++)
18 SES DIFFÉRENTES FORMES _Cette dyspraxie va avoir des incidences prédominantes dans les apprentissages scolaires de base LA LECTURE Aspect «prise d information visuelle» compromis impossible, maladroit, approximatif, lent ou anormalement fatiguant- alors que l aspect plus conceptuel de l écrit ne posent pas de problème particulier. L ÉCRITURE Dysgraphie dyspraxique reconnue Si la dysgraphie est très lente et quasiment illisible : mise en place d un ordinateur comme palliatif (rééducation en ergothérapie). Si la dysgraphie est modérée et que l enfant est plus ou moins lisible alors il sera difficile de renoncer à l écriture manuelle (rééducation psychomotrice).
19 «LA DYSPRAXIE» SES DIFFÉRENTES FORMES Epreuve du BHK T. -8ans, CE1Dysgraphie raide/crispée
20 SES DIFFÉRENTES FORMES L ORTHOGRAPHE Grande difficulté pour mémoriser l orthographe d usage en partie liée à la dysgraphie. Lacunes qui résident dans le fait que les enfants éprouvent des difficultés à «routiniser» des traitements de bas niveau (sensori-moteurs, gestuels, spatiaux) = traitement qui font normalement l objet d une acquisition implicite puis d une automatisation spontanée chez les enfants tout-venant. MATHEMATIQUES Arithmétique : difficulté dans les activités de comptage et de dénombrement, la pose puis la procédure de résolution des 4 opérations = l enfant a du mal à positionner et à aligner les chiffres et les signes au bon endroit. Ainsi, une retrouve régulièrement une dyscalculie spatiale sévère associée. Géométrie : impossibilités majeures sur l ensemble des champs de cette discipline, sans exception pour les premiers niveaux et les premières notions (difficulté dans la réalisation de figures géométriques, utilisation délicate des outils géométriques, représentation mentale lacunaire dans la compréhension des données ).
21 «LA DYSPRAXIE» SES DIFFÉRENTES FORMES Reproduction avec modèle de la figure de Rey L. -10 ans-cm1 Dyspraxie constructive visuo-spatiale
22 SES DIFFÉRENTES FORMES [De M. Mazeau (2009)]
23 SES DIFFÉRENTES FORMES DYPRAXIE CONSTRUCTIVE NON VISUO- SPATIALE _Trouble d assemblage pur, nettement amélioré par un modèle, un schéma ou toute autre information de nature visuelle (le bricolage, la couture, la menuiserie, le graphisme mais également dans tous les jeux de construction. ). _Difficultés à assembler, à organiser son geste, ses constructions sont pauvres et désorganisées. incapacité à agencer spatialement les différents éléments entre eux. Dans les jeux libres : imaginaire très élaboré, les difficultés sont directement liées au trouble praxique. Dans les dessins : pauvreté, manque de structuration et d organisation davantage à mettre en lien avec la tâche graphique.
24 SES DIFFÉRENTES FORMES _CONTRAIREMENT À LA DVS : Absence de trouble du regard cliniquement décelable, Absence d anomalie au niveau de la structuration spatiale _On peut retrouver en association : une indistinction D/G, une agnosie digitale, une dyscalculie spatiale, SYNDROME DE GERSTMAN une dysgraphie modérée _Epreuves praxiques constructives de référence particulièrement échouées : les cubes de Kohs, de la NEPSY, des épreuves consistant en la réalisation d un puzzle, la reproduction de la Figure de Rey, Test des bâtonnets (7/11 ans).
25 SES DIFFÉRENTES FORMES DYPRAXIE NON CONSTRUCTIVE _Ces dyspraxies concernent «des gestes dans lesquels les éléments de succession chronologique des diverses étapes de la réalisation sont au premier plan : il s agit d un trouble de successivité et séquentalité des constituants du geste» (M.Mazeau) _J.M Albaret les appelle dyspraxies gestuelles ou encore «déficit perceptivomoteur» «trouble de l attention du contrôle moteur», «désordre de la coordination motrice».
26 SES DIFFÉRENTES FORMES _ DYSPRAXIE IDÉATOIRE correspond à un trouble de la manipulation des objets ou d outils avec agnosie d utilisation. _ DYSPRAXIE IDÉOMOTRICE : touche la manipulation ou les gestes dans «le faire semblant» sans l utilisation de l objet réel. Cela correspond aux gestes symboliques (dire au revoir de la main, faire le salut militaire). _ DYSPRAXIE DE L HABILLAGE : dont l incidence serait très fréquemment retrouvée à la suite des plaintes familiales et/ou des enseignants à ce sujet.
27 INCIDENCE DES DEFICITS _ Troubles déroutants, parce qu insuffisamment connus = leur répercussion dans la vie courante en font une pathologie redoutable. _ Déficits observés sur les apprentissages scolaires entraînent une perte ou une diminution de l estime de soi. concept de soi altéré : image de paresseux et d incompétent au regard des adultes en dépit des nombreux efforts développés pour essayer de réussir (hétérogénéité des performances déstabilisantes), Faible tolérance à la frustration, Forte dépendance à l adulte : manque de débrouillardise, passivité, Rejet, recherche la compagnie de plus jeune, Repli sur soi : recherche d un refuge dans les jeux symboliques, les récits.
28 CONCLUSION _Réel impact de la dyspraxie au cours du développement = DEFI A RELEVER pour la personne dyspraxique, sa famille et son entourage, _IMPORTANCE D UN DIAGNOSTIC PRÉCOCE : mise en place des aides les plus appropriées (rééducative/thérapeutique/pédagogique), _Considération de l éventail des DIAGNOSTICS DIFFÉRENTIELS pour décider de la meilleure orientation possible du patient, _Le succès réside dans une COLLABORATION étroite entre les différents partenaires, avec le corps enseignant pour informer, prévenir des répercussions scolaires, _DÉMARCHE CONSTRUITE ET CONDUITE qui doit être confirmée par un neuropédiatre ou neurologue, en équipe pluridisciplinaire, La rééducation est basée, sur un projet thérapeutique individuel qui va permettre de cibler les grands axes de la rééducation, une fois les difficultés et les potentialités évaluées.
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