MI1 Métabolisme et Nutrition Histologie de l'appareil digestif - Bureau Année Universitaire LES VOIES BILIAIRES
|
|
- Claire Alizée Aubin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LES VOIES BILIAIRES 1. Intra-hépatiques Essentiellement formés de canalicules situés entre 2 hépatocytes réalisant un réseau intra lobulaire drainant la bile vers l espace porte. Le passage de Hering à la périphérie du lobule classique, reçoit la bile des canalicules intra-lobulaires et l achemine vers les canaux biliaires de l espace porte. Leur lumière est limité par un épithélium cubique simple renfermant des cellules ovales souches. Les canaux biliaires inter-lobulaire (espace porte) sont limités par un épithélium cubique simple qui devient prismatique simple. La taille de ces canaux augmente par la confluence de plusieurs canaux. 2. Extra-hépatiques Subdivisées en voies : - Principales : canal hépatique et canal cholédoque - Accessoires : canal cystique et vésicule biliaire Structure histologique de la vésicule biliaire Paroi constituée de 3 tuniques : Muqueuse Epithélium simple, prismatique dont les cellules présentent des microvillosités apicales, des inter digitations et des complexes de jonctions ainsi que de nombreuses vésicules apicales. L espace intercellulaire est élargi à la base. Chorion correspondant à un tissus conjonctif lâche renfermant dans les replis de l épithélium des fausses glandes (glandes de Luschka) et des glandes muqueuses au niveau du col de la vésicule biliaire. Musculeuse Composée de fibres musculaires striées à disposition plexiforme (dans tous les sens) Séreuse Située sur la face non adhérente du foie. Les canaux hépatique, cystique et cholédoque possèdent une muqueuse constituée d un épithélium prismatique simple dont les cellules rappellent les entérocytes et d un chorion avec des glandes à sécrétion muqueuse (nombreuses au niveau du cholédoque) Il y a tunique conjonctive autour. A l extrémité du cholédoque un muscle lisse circulaire forme le sphincter d ODDI. 1
2 Rôle des voies biliaires Elles permettent la collection des sécrétions biliaires des hépatocytes qui s accumule dans la vésicule biliaire où la bile est concentrée par réabsorption d eau et d électrolytes. La vidange de la vésicule biliaire (VB) met en jeu la contraction de la musculeuse et l ouverture du sphincter d ODDI. Cette vidange est sous le contrôle de 2 systèmes : le parasympathique et l action humorale des cellules du système endocrine diffus synthétisant la cholécystokinine (partie haute du duodénum et antre le l estomac. Chasse Saponification Situations pathologiques La Lithiase biliaire vésiculaire est définie par la formation de calculs (amas de cholestérol, Ca2+, phospholipides) dans la VB provoquant une cholécystite (inflammation douloureuse de la VB). Les calculs se formeraient à la suite d une modification de la bile avec abaissement du rapport Cholestérol/Sels biliaires. Ces calculs peuvent obturer le canal cystique et provoquent les coliques? hépatiques avec douleur aiguë sévère. L ablation de la VB ou cholecystectomie est couvent nécessaire. La cholestase est la rétention de la bile dans le foie soit par obturation des voies biliaires intra ou extra hépatiques, soit par perturbation de la sécrétion biliaire secondaire à une altération des hépatocytes. Le passage dans le sang de la bilirubine conjuguée et des sels biliaires provoque un ictère. 2
3 PANCREAS C est une glande amphicrine hétérotypique. 1. Histologie Il est entouré d une fine capsule conjonctive d où partent des cloisons renfermant des vaisseaux, des nerfs, des canaux excréteurs et délimitant des lobules. Le pancréas possède ainsi à la fois une sécrétion séreuse (acini) et des voies excrétrices (fonction exocrine) et une sécrétion endocrine assurée par les îlots de Langerhans. 1. Le pancréas exocrine L acinus pancréatique est constitué de : - Cellules acineuses séreuses qui sont des cellules pyramidales tronquées apparaissant triangulaires à sommet effilé sur les coupes histologiques. Le noyau est central et surmonté par des appareils de Golgi, RER et mitochondries abondants au pole basal de sorte a ce que le pole baso latéral apparaisse basophile et strié. Des grains de zymogène (grains de sécrétion) sont observés au pôle apical qui présente des microvillosités. - Cellules centro-acineuses, de petite taille, saillant de la lumière de l acinus et rendant cette lumière peu visible. Elles possèdent peu d, pas de RER et renferment des capsules éosinophiles. Elles constituent le début des voies excrétrices. NB : Absence de cellules myoépithéliales. Les voies excrétrices sont constituées de : - Tubes intercalaires avec une lumière limitée par un épithélium simple, cubique, de diamètre supérieur à celui de l acinus. - Canaux intra lobulaires, plus larges, formés d un épithélium simple plus haut mais non strié. - Canaux inter lobulaires encore plus larges avec un épithelium prismatique simple. Ils sont situés dans les cloisons. - Canal collecteur (Wirsung) parfois de 2 canaux collecteurs (Santorini & Wirsung). Ces canaux sont constitués par la fusion des canaux interlobulaires. Ces canaux possèdent un épithelium prismatique simple et un chorion élastique avec quelques glandes muqueuses à l approche du duodénum. Un sphincter formé de muscles lisses est présent à l approche de l abouchement. Le suc pancréatique renferme en solution aqueuse : - des électrolytes - des bicarbonates - des protéines dont 80% sont enzymatiques. Les cellules centro acineuses sécrètent les ions bicarbonates. Les protéines en présence sont synthétisées et sécrétées par les cellules acineuses. Il s agit de peptidases, lipases, α-amylase et nucléases. Les enzymes protéolytiques et lipolytiques sont sécrétées sous la forme de pro-enzymes inactives et transformées en ezymes actives dans la lumière intestinale. Ainsi, l entéro-kinase située sur le plateau strié des entérocytes transforme le trypsinogène en trypsine. Cette dernière transforme par la suite les autres pro-enzymes en enzymes actives. 3
4 Régulation de la sécrétion *Nerveuse Les fibres cholinergiques du X stimule la production d un suc riche en enzymes. *Humorale La sécrétine (cellules S duodénales) stimulent la production d un suc riche en bicarbonates et pauvre en enzymes. La cholécystokinine ou pancréozymène (cellules I duodénales) stimule la production d un suc riche en enzymes. 1. Pancréas endocrine Cette fonction est assurée par les à 1,8 million d îlots de Langerhans, plus abondants dans la queue du pancréas. Ce sont des formations ovoïdes de 100 à 200µ de diamètre constituées de cordons de cellules endocrines entre lesquelles on observe des capillaires sanguins fenêtrés. Entre les lames basales de l épithélium glandulaire et de l endothélium capillaire s interpose un réseau grillagé de fibres d réticuline jouant un role de soutien. Ce réseau de réticuline appartienà la périphérie de l ilôt le séparant ainsi du pancréas exocrine. Les cellules endocrines sont identifiables par les méthodes immunoenzymatiques en microscopie optique ou en microscopie électronique a transmission (MET) et prennent l aspect de granulations ou vésicules à cœur dense en MET. Les vésicules à cœur dense sont constituées d une structure interne plus ou moins dense aux électrons entourée d un halo clair plus ou moins large et de taille variable et limitées par une structure membranaire. - Eléments sécrétés -Insuline : effet hypoglycémiant -Glucagon: effet hyperglycémiant -Amyline: modulerait l action de l insuline -Somatostatine : inhibe la sécrétion du glucagon et de l insuline -Polypeptides pancréatiques : stimulent la sécrétion exocrine du pancréas et diminuent la sécrétion biliaire ainsi que la motricité intestinale. NB : Dans l épithélium des canaux, on décrit des cellules sécrétant le VIP et des cellules entérochromaffines à sécrétion mixte (neuropeptides et amines biogènes tel que la sérotonine) Des fibres orthoε et paraε vont au contact de 10% des cellules endocrines qui sont en communication par des gap junctions. Le paraε augmente la sécrétion d insuline et de glucagon. L orthoε diminue la libération d insuline. 4
5 Pathologie *Pancréatite aiguë : Le trypsinogène est normalement activé en trypsine dans l intestin. Elle arrive parfois à la suite de la prise de certains médicaments, d infections virales, de traumatismes ou d intoxications éthyliques. Que cette activation (en trypsine) ait lieu dans le pancréas lui-même entraînerait une auto digestion des tissus pancréatique avec nécrose hémorragique plus ou moins étendue. La gravité est fonction de l étendue de la lésion. L issue peut être FATALEEEEE! * Cancer du Pancréas : Sa cause est plutôt inconnue. Il entraîne des lésions malignes et le blocage du cholédoque (un ictère n a donc pas forcément une cause hépatique). *Calculs biliaires : Provoquent un ictère chronique. 5
Chapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailLe trajet des aliments dans l appareil digestif.
La digestion. La digestion, c est la transformation des aliments en nutriments assimilables par l organisme. Dans le tube digestif, les aliments subissent une série de dégradations mécaniques et chimiques
Plus en détailOs Hyoïde. Cartilage thyroïde. Cartilage Cricoïde. Cartilage Trachéal. S ouvre à la déglutition et à l expiration
MUSCULEUSE OESOPHAGIENNE : 1/3 supérieur : Musculeuse striée longitudinale (Paroi) + S.S.O 1/3 moyen : Musculeuse striée externe longitudinale + circulaire lisse interne 1/3 inférieur : Musculeuse circulaire
Plus en détailA Mona, Cécile, et Django. «Ne gaspille pas le temps c est l étoffe dont la vie est faite» A mes parents, mes beaux parents, où qu ils soient
A Mona, Cécile, et Django «Ne gaspille pas le temps c est l étoffe dont la vie est faite» A mes parents, mes beaux parents, où qu ils soient A Alain Lignon, Alain Gassier mes tuteur et co-tuteur, A Ronald
Plus en détailTroubles d ingestion, de digestion, d absorption et d élimination
Chapter.indd 250 4/10/11 5:46 PM PARTIE 10 Troubles d ingestion, de digestion, d absorption et d élimination CHAPITRE Évaluation clinique Système gastro-intestinal......... 252 CHAPITRE 54 Interventions
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailTUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013
TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline
Plus en détailImagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque
Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque O Bruot, V Laurent, P.A Ganne, C Barbary, S Corby, E Kermarrec, S Béot, D Régent Service de Radiologie Brabois Adultes JFR Octobre 2006 CHU NANCY Préface
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détailSéquence 1. Glycémie et diabète. Sommaire
Séquence 1 Glycémie et diabète Sommaire 1. Prérequis 2. La régulation de la glycémie 3. Le diabète 4. Synthè se 5. Glossaire 6. Exercices Exercices d apprentissage du chapitre 2 Exercices d apprentissage
Plus en détailUpdate. Diagnostic. Un cas de pancréatite aiguë chez un chat Notre cas clinique. Examen clinique. Hypothèses diagnostiques
Diagnostic Update janvier 09 Un cas de pancréatite aiguë chez un chat Notre cas clinique Dr vét. Patrick Lecoindre 69800 St Priest Signalement et motif de consultation Rasta est un chat de race Charteux
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détailATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION
ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus
Plus en détailLA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE
LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE Une technique chirurgicale Pour vous, pour la vie Qu est-ce que la cholécystectomie? C est l intervention chirurgicale pratiquée pour enlever la vésicule biliaire.
Plus en détailULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne
ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une
Plus en détailSoins infirmiers et diabètes
Soins infirmiers et diabètes 1 Objectifs Au terme de cet enseignement l étudiant doit être capable : D expliquer la physiologie du pancréas endocrine De citer les facteurs de risque du diabète De définir
Plus en détailImagerie des tumeurs endocrines Le point de vue de l imagerie moléculaire
4ème Journée inter-régionale RENATEN Centre / Poitou-Charente Imagerie des tumeurs endocrines Le point de vue de l imagerie moléculaire Maria João Santiago-Ribeiro CHRU Tours Université François Rabelais
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailLes marqueurs biologiques des tumeurs endocrines digestives
Les marqueurs biologiques des tumeurs endocrines digestives Michèle d Herbomez DIU de Chirurgie Endocrinienne Lille 2009 Bilan biologique participe au Diagnostic Pronostic Suivi Trois types de marqueurs:
Plus en détailHistoire d une masse pancréatique
Histoire d une masse pancréatique Marie Luce Auriault Michael Levy Frédéric Pigneur Claude Tayar, et Iradj Sobhani CHU Henri Mondor Pour GHIF Samedi 13 Juin 2009, Histoire de la maladie Femme 66 ans consulte
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailDOSSIER SCIENTIFIQUE DE L IFN N 9 LES PROTEINES
DOSSIER SCIENTIFIQUE DE L IFN N 9 LES PROTEINES Tome 1 : Le métabolisme et les besoins protéiques chez l homme Février 1997 AVANT PROPOS LOUISOT P. L Institut Français pour la Nutrition a pris depuis cinq
Plus en détailHépatite B. Risques, prévention et traitement. Prof. Dr méd. Stefan Zeuzem. European Liver Patients Association
Prof. Dr méd. Stefan Zeuzem Hépatite B Risques, prévention et traitement European Liver Patients Association F. De Renesselaan, 57 B - 3800 Sint-Truiden, Belgium email: contact@elpa-info.org Chère patiente,
Plus en détailQu est-ce que le cancer du pancréas?
Cancer du pancréas Qu est-ce que le cancer du pancréas? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique
Plus en détailCavité buccale et système dentaire
Cavité buccale et système dentaire I. Introduction La cavité buccale forme la 1 ère cavité du tube digestif. Les dents ont un rôle : Fonctionnel : mastication, déglutition, phonation Esthétique : expression
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailDIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS
DIABETE ET SPORT Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE TYPE 1#TYPE 2 Jeunes sportifs Risque hypoglycémie Adaptation schémas Autosurveillance +++ Sports souvent sources de difficultés Contre
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailTraitement chirurgical du reflux gastro-œsophagien et de la hernie hiatale
Relecture scientifique Société française Relecture juridique Médecins experts Relecture déontologique Médecins Conseil national de l ordre des médecins (CNOM) Relecture des patients Confédération interassociative
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailINSULINOTHERAPIE FONCTIONNELLE
Synthèse personnelle INSULINOTHERAPIE FONCTIONNELLE De nos jours, le diabète inuslinodépendant ne connaît aucun traitement pouvant éviter l injection d insuline. L insulinothérapie fonctionnelle est une
Plus en détail«J ai mal au ventre» :
«J ai mal au ventre» : La douleur abdominale chronique Georges Ghattas, MD Présenté à la Journée d éducation médicale continue de l Université de Montréal, le 10 octobre 2003. Il n existe pas d algorithme
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailFonction digestive. et maladies neuromusculaires REPÈRES AVRIL 2010 SAVOIR ET COMPRENDRE
AFM / L. Audinet Shutterstock AFM / L. Audinet Fonction digestive et maladies neuromusculaires AVRIL 2010 Dans les maladies neuromusculaires, la fonction digestive peut être perturbée par l atteinte des
Plus en détailLES ASPECTS MEDICAUX DE L ALIMENTATION CHEZ LA PERSONNE POLYHANDICAPEE
31 août au 2 septembre 2009 6ème Congrès suisse de pédagogie spécialisée à l'uni Tobler, Berne Ouvrir l horizon Standardisation et différenciation en pédagogie spécialisée LES ASPECTS MEDICAUX DE L ALIMENTATION
Plus en détailGènes de prédisposition au diabète, une belle avancée!
imprimer la page Gènes de prédisposition au diabète, une belle avancée! Philippe Froguel, directeur de l'umr 8090, Institut Pasteur de Lille La question du diabète est actuellement très préoccupante, partout
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés. Bisacodyl
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes pour
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailLes Animaux habitent presque toutes les parties de la biosphère. La structure et la fonction chez les Animaux : principes fondamentaux.
40 La structure et la fonction chez les Animaux : principes fondamentaux Concepts clés- 40.1 Les lois de la physique et le milieu régissent la taille et la forme des Animaux 40.2 Il y a une corrélation
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailLes cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli
Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire
Plus en détailFonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI
Fonction de conduction de la moelle épinière Dr F. TOUMI I. GENERALITES : Communication Moelle avec les centres supra spinaux Communication Intra segmentaire (ipsilatérale / controlatérale) Communication
Plus en détailLa langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale,
LES «ANNEXES» DE LA CAVITE ORALE La Langue La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, occupe l espace dans cette cavité orale, dans la concavité de l arche mandibulaire,
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détail1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :
La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la
Plus en détailCirrhoses et étiologie des cirrhoses (228) Professeur Jean-Pierre ZARSKI Avril 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Pré-Requis : Cirrhoses et étiologie des cirrhoses (228) Professeur Jean-Pierre ZARSKI Avril 2003 (Mise à jour Mars 2005) Clinique : o Diagnostic d'une ascite PCEM2 o Insuffisance hépatocellulaire PCEM2
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailINSUFFISANCE HÉPATIQUE
INSUFFISANCE HÉPATIQUE EXISTE-T-IL DES TRAITEMENTS À BASE DE CELLULES SOUCHES POUR L INSUFFISANCE HÉPATIQUE? Bien qu aucun traitement à base de cellules souches pour l insuffisance hépatique ne soit approuvé
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailLE LARYNX VUE ANTERIEURE DU LARYNX : Décembre 2007 Sources Étudiantes. Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes
LE LARYNX Le larynx est un conduit aérien qui joue un rôle essentiel dans la phonation mais aussi dans la respiration. Suite au larynx, se trouve la glotte, une zone rétrécie qui délimite les voies aériennes
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailCompte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique
Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours
Plus en détailIRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir
CHU Henri Mondor IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir P.Zerbib, A.Luciani, F.Pigneur, R.Raymond, A.Rahmouni CHU Henri Mondor Créteil Service Imagerie Médicale Pr.A.RAHMOUNI Objectifs Comprendre
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailLes Applications industrielles et commerciales des cellules souches. Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises
Les Applications industrielles et commerciales s cellules souches Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises Matthieu COUTET, Responsable du Pôle Jean-François RAX, Business Analyst 1 Plan Cellules souches
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailPourquoi manger? Que deviennent les aliments?
Chapitre 1. L homme se nourrit pour vivre Activité 1 Pourquoi mangestu pour vivre? Pourquoi manger? Que deviennent les aliments? C Lis et observe ces quatorze documents : 1 Après une grève de la faim,
Plus en détailAnti-Inflammatoires Non stéroïdiens
Pharmacologie Clinique des Anti-Inflammatoires Non stéroïdiens Effets indésirables Aude FERRAN Plan Toxicité digestive Ulcères» Physiopathologie : effets locaux et systémiques» Cas du cheval Augmentation
Plus en détailL opéré de PROSTATECTOMIE RADICALE TOTALE
1 L opéré de PROSTATECTOMIE RADICALE TOTALE Informations concernant la chirurgie et la rééducation fonctionnelle destinées aux patients Yves CASTILLE Docteur en Réadaptation et Kinésithérapie Service de
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl)
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl) Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détailLa fonction respiratoire
La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur
Plus en détailDe nouvelles armes contre les diabètes
18 DOSSIER De nouvelles armes contre les diabètes La France compte plus de 3 millions de diabétiques, particulièrement exposés aux pathologies cardiovasculaires. Prévention, nouveaux médicaments, thérapie
Plus en détailRÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé.
RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. Dé nomination du mé dicame nt Bisolax 5 mg comprimés enrobés. 2. Composition qualitative e t quantitative Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl
Plus en détailLe diabète de type 1 UNSPF. Ségolène Gurnot
Le diabète de type 1 UNSPF Ségolène Gurnot Juin 2013 Légende Entrée du glossaire Abréviation Référence Bibliographique Référence générale Table des matières Introduction 5 I - Introduction 7 A. Quelle
Plus en détailL ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS
L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l
Plus en détailL hépatite C. 50 questions et réponses. Dr. med. Daniel Lavanchy, PD Dr. med. Andrea De Gottardi, Prof. Dr. med. Andreas Cerny
L hépatite C 50 questions et réponses Dr. med. Daniel Lavanchy, PD Dr. med. Andrea De Gottardi, Prof. Dr. med. Andreas Cerny A qui s adresse cette brochure? Cette brochure est destinée aux personnes souffrant
Plus en détailLA SECRETINE ET L AXE CERVEAU-INTESTIN DANS L AUTISME
LA SECRETINE ET L AXE CERVEAU-INTESTIN DANS L AUTISME Dr Karoly HORVATH, M.D., Ph.D. Diapo 1 : Mesdames et messieurs : c est un plaisir d être ici et de présenter notre expérience dans le traitement des
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailHEL-01298-de-0513-0001-21494. Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs
HEL-01298-de-0513-0001-21494 Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs Sommaire 1. Pourquoi des examens préventifs? 3 2. Examens préventifs pour le dépistage des facteurs de risque/maladies du
Plus en détailDossier thématique. de la Fondation de l'avenir THERAPIE CELLULAIRE SOMMAIRE. B - Cellules fonctionnelles, précurseurs et cellules souches
Dossier thématique de la Fondation de l'avenir THERAPIE CELLULAIRE SOMMAIRE I Qu est ce que la thérapie cellulaire A - Approche de définition B - Cellules fonctionnelles, précurseurs et cellules souches
Plus en détailF.C.O.P. Formation Continue des Ostéopathes Professionnels BILAN BIOLOGIQUE ET BIOCHIMIQUE. (examens de laboratoire) Dr Rodrigue PIGNEL Alain BEDOUET
Formation Continue des Ostéopathes Professionnels BILAN BIOLOGIQUE ET BIOCHIMIQUE (examens de laboratoire) Dr Rodrigue PIGNEL Alain BEDOUET Février 2008 Les examens de laboratoires sont multiples et souvent
Plus en détailEn cause, un rythme biologique qui ne reçoit plus l'indicateur indispensable à sa bonne synchronisation : la lumière du jour.
ORIGINES Saviez-vous que les astronautes séjournant à bord de la Station Spatiale Internationale voient le soleil se lever et se coucher toutes les 90 minutes? Oui. 16 fois par jour de quoi avoir du mal
Plus en détailHémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010
Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailManuel de référence du langage VCM
Manuel de référence du langage VCM 18 février 2009 1 Introduction VCM est un langage de Visualisation des Connaissances Médicales destiné aux professionnels de santé. VCM permet de représenter sous forme
Plus en détailMI1:Métabolisme et Nutrition Séméiologie des troubles du transit Année universitaire 2007-2008
Introduction Séméiologie des troubles du transit Dans sociétés occidentales, où la quantité de fibres alimentaires est faible, le transit digestif normal se manifeste par : émission de selle de consistance
Plus en détailVivez votre féminité sans souffrir.
Vivez votre féminité sans souffrir. PERDOFEMINA (lysinate d ibuprofène) est un médicament pour les adultes et les enfants à partir de 12 ans. Pas d utilisation prolongée sans avis médical. Ne pas administrer
Plus en détailAltération des tests hépatiques: attitude diagnostique et prise en charge
Altération des tests hépatiques: attitude diagnostique et prise en charge Prof Christophe Moreno Service de Gastroentérologie et Hépatopancréatologie Hôpital Erasme Contacts: Christophe.moreno@erasme.ulb.ac.be
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailLe cancer du foie. Carcinome hépatocellulaire. Une information de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches
Le cancer du foie Carcinome hépatocellulaire Une information de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches Impressum _Editrice Ligue suisse contre le cancer Effingerstrasse
Plus en détailConcours du second degré Rapport de jury. Session 2013 CERTIFICAT D'APTITUDE AU PROFESSORAT DE L'ENSEIGNEMENT TECHNIQUE (CAPET)
Secrétariat Général Direction générale des ressources humaines Sous-direction du recrutement Concours du second degré Rapport de jury Session 2013 CERTIFICAT D'APTITUDE AU PROFESSORAT DE L'ENSEIGNEMENT
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailLE SYNDROME DE BUDD CHIARI
CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)
Plus en détailItem 196 : Douleur abdominale aiguë chez la femme enceinte
Item 196 : Douleur abdominale aiguë chez la femme enceinte Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF) Date de création du document 2010-2011 Table des matières Pré-Requis... 3
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailMALADIES INFLAMMATOIRES DE L INTESTIN :
DOSSIER 13 MALADIES INFLAMMATOIRES DE L INTESTIN : ENTRE SOUFFRANCE ET TABOU Souvent dissimulées par les malades, parfois encore ignorées par la médecine de ville, les maladies inflammatoires chroniques
Plus en détailConcours d Internat et de Résidanat
Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament. Elle contient des informations importante s pour
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détail