Le produit intérieur brut par habitant par région
|
|
- Maxime Mélançon
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Thème : Société de la connaissance et développement économique et social Orientation : Encourager des formes de compétitivité pour une croissance durable Le produit intérieur brut par habitant par région Au cours de la période précédant la crise, entre 1996 et 2006, le PIB par habitant a augmenté en moyenne de 1,7 % par an en volume au niveau national. Cette évolution résulte de l effet conjugué de l évolution démographique et de la croissance économique. Son analyse, ainsi que l observation des disparités entre régions, met en lumière les fragilités structurelles et le décrochage des régions de l Est ou du Bassin parisien hors Île-de-France- d une part, le dynamisme des régions du Sud et de l Ouest d autre part. Elle alerte également sur l ambivalence de la forte attractivité démographique pour certaines d entre elles, comme le Languedoc-Roussillon, la Corse, ou Provence-Alpes-Côte d Azur. Croissance annuelle moyenne du produit intérieur brut par habitant entre 1996 et 2006 Définition Taux d évolution annuel moyen du produit intérieur brut régional par habitant, en valeur réelle. Il est calculé sur une période longue de 10 ans (années définitives) pour identifier le plus possible les tendances structurelles. Pertinence Une croissance du PIB signifie que l économie crée des ressources supplémentaires lui permettant d investir pour maintenir et renforcer son potentiel de développement. Elle peut permettre aussi d améliorer le niveau de vie des habitants ou de mieux prendre en charge les problèmes sociaux ou environnementaux. En comparant les évolutions des PIB régionaux par habitant mesurés en valeur réelle, l indicateur tient compte des différences de taille des régions et des évolutions générales des prix, Service de l observation et des statistiques
2 pour situer celles qui ont bénéficié des meilleures opportunités de croissance économique, en développant par exemple des activités à haute valeur ajoutée ou leur capacité à valoriser les ressources humaines. L échelon territorial retenu est la région. Le niveau régional est le niveau privilégié d élaboration des politiques territorialisées de développement économique, tant celles impulsées par l Union européenne que celles de l Etat. Limites et précautions L indicateur permet d apprécier si le développement économique se poursuit dans la durée, mais présente des limites maintes fois soulignées par rapport aux diverses dimensions du développement durable. Ainsi, le PIB ne concerne que les biens et services valorisés. L accroissement de leur production peut tenir davantage à leur amélioration qualitative qu aux volumes produits. De plus, en traduisant leur valeur d'échange et non leur valeur d'usage, le PIB ne tient pas compte du travail domestique ni bénévole, ou des services environnementaux non valorisés (production d aménités). Une croissance de la production de biens matériels peut être source de pollution ou d atteinte à la santé, entraînant une hausse de différents types de dépenses qui bien qu ayant une incidence favorable sur le PIB, ne contribuent pas à l amélioration de la qualité de la vie. Enfin, l indicateur ne mesure pas directement la prospérité matérielle de la population : celle-ci est plutôt mesurée en termes de revenu par tête, qui tient compte des transferts de richesses en provenance ou à destination d autres régions ou de l étranger. A cet égard, le rapport de la Commission sur la mesure des performances économiques et du progrès social, dit rapport Stiglitz (2009), est particulièrement éclairant sur les limites du produit intérieur brut comme indicateur d évaluation du bien-être présent et de sa capacité à se maintenir dans le temps. Analyse Résultat au regard de l enjeu de développement durable Sur la période , le PIB par habitant a augmenté en moyenne de 1,7 % par an en volume au niveau national. La progression est d ampleur variable suivant les régions. Elle est relativement faible en Alsace, Picardie, Basse-Normandie et Lorraine. Parmi les nombreuses régions dont la croissance est proche de la moyenne nationale, entre 1,6 % et 1,9 %, figurent d une part des régions dont le faible dynamisme démographique tire mécaniquement le ratio à la hausse et qui bénéficient donc d une forme de découplage (Nord-Pas-de-Calais, Bourgogne, Champagne-Ardenne, Haute-Normandie, Auvergne, Limousin) ; d autre part des régions dont la forte croissance de la population influe à la baisse sur le niveau du PIB par habitant, effet paradoxal de leur attractivité (Aquitaine, Provence-Alpes-Côte d Azur, Rhône-Alpes, Pays de la Loire et Languedoc Roussillon). Enfin, quelques régions se situent nettement au dessus de la moyenne, conjuguant forte croissance du PIB par habitant (plus de 2 %) et forte croissance démographique : la Bretagne, Midi-Pyrénées, la Corse et les DOM. Pour ces deux dernières, il s agit d un phénomène de rattrapage, et en 2007, elles se situent encore nettement au dessous de la moyenne nationale pour le niveau du PIB par habitant. L Ile-de-France se situe un peu au dessus de la moyenne en termes de progression du PIB par habitant, alors que sa population croît au même rythme que la moyenne. Disparités territoriales Des disparités de niveau de PIB par habitant entre les régions Les écarts de PIB moyen par habitant entre régions sont importants, de par habitant en Ile-de- France en 2007 à dans les Dom, en Corse. Les mieux positionnées sont, après l Ilede-France dont le PIB par habitant est de moitié supérieur à la moyenne nationale, Rhône-Alpes, Provence-Alpes-Côte d Azur et l Alsace. Outre l Ile-de-France, une seule région, Rhône-Alpes, se situe au dessus de la moyenne nationale. En 1997, L Alsace était également dans ce cas. En 2007, son PIB par habitant se situe 6 points au dessous de la moyenne, tandis que la forte croissance du nombre des travailleurs transfrontaliers qui y résident bénéficie au PIB des régions frontalières, allemandes ou suisses. Parmi les facteurs qui expliquent les disparités de PIB par habitant, la «fuite» des actifs qui vont travailler hors de leur région de résidence n est pas négligeable. Elle concerne non seulement les régions transfrontalières, mais aussi les régions du bassin parisien, de plus en plus dépendantes de l Ile-de-France qui concentre les emplois et davantage encore les emplois à forte valeur ajoutée. 2/5
3 Disparités de niveau de PIB par habitant et par emploi en 2007 La différence de productivité globale de la main d œuvre entre les régions est le principal facteur de disparités de PIB par habitant. Le PIB par emploi est beaucoup plus élevé en 2007 en Ile de France que dans les autres régions françaises, en particulier les DOM. Parmi les régions de province, les régions où la productivité est la plus forte sont Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d Azur, les moins bien placées étant la Basse-Normandie, le Limousin, l Auvergne. Ces différences tiennent en grande partie à la structure sectorielle de l activité. Le PIB par habitant d une région est d autant plus élevé que la région concentre des emplois dans des secteurs générant une forte valeur ajoutée, comme les services aux entreprises, les activités financières ou les industries de haute technologie. Mais il existe néanmoins des spécificités régionales pour certains secteurs, comme l agriculture où la nature de la production régionale est déterminante dans la valeur ajoutée : viticulture en Champagne-Ardenne, Alsace ou Bourgogne. Autre facteur de disparité, le degré de mobilisation de la main d œuvre varie fortement selon les régions. Plus la mobilisation est forte, c'est-à-dire moins il y a d inactifs et de chômeurs parmi la population en âge de travailler, plus elle contribue à la création de richesse et plus le PIB par habitant est élevé. En 2006, les taux d emploi des personnes considérées en âge d activité, de 15 à 64 ans, sont nettement plus élevés en Ile de France, en Bourgogne, dans les Pays de la Loire ou en Bretagne qu en Nord-Pasde-Calais, en Languedoc-Roussillon, en Corse et dans les DOM. Les disparités de PIB par habitant tiennent aussi enfin à la structure de la population, les inactifs et en particulier les enfants et personnes âgées ne contribuant à la création de richesse qu indirectement, par leur consommation. Les effets positifs de ces facteurs se conjuguent dans la région Ile-de-France, de même que leurs effets négatifs en Corse et dans les DOM. Mais dans d autres régions, ils ne jouent pas tous dans le même sens. Ainsi, comparés aux régions de province, les Pays de la Loire sont favorisés par leur taux d emploi, mais défavorisés par une assez faible productivité globale de la main d œuvre. La Picardie et la Lorraine sont plus défavorisées du fait des taux d emploi qu en termes de productivité. Le Languedoc-Roussillon pâtit d une faible mobilisation de la main d œuvre, alors que la productivité y est comparable à la moyenne des régions de province. Des modèles de développement différenciés La tendance est à une légère accentuation de la concentration de la production nationale en Ile-de- France sur dix ans. Si on exclut l Ile-de-France, qui se détache encore un peu plus de la moyenne qu en 1997, la dispersion des niveaux de PIB par habitant entre régions tend globalement à se réduire, mais cette réduction s accompagne d une recomposition géographique. La seule région autre que l Ile-de- France au-dessus de la moyenne nationale, Rhône-Alpes, s en rapproche. Pour les régions de l Est et du Bassin Parisien, hors Ile-de-France, l écart à la moyenne se creuse. Il s atténue pour deux régions de l Ouest, Bretagne et Pays de la Loire, mais reste constant pour Poitou-Charentes. Il est aussi stable pour les régions du centre de la France, Auvergne et Limousin. Parmi les régions du Sud, particulièrement dynamiques du point de vue démographique, trois régions se rapprochent de la moyenne nationale du PIB par habitant, la Corse, Provence-Alpes-Côte d Azur et Midi-Pyrénées ; les deux autres, Aquitaine et 3/5
4 Languedoc-Roussillon peinent à augmenter leur production à un rythme suffisant pour répondre à la croissance de la population. En dix ans, les disparités de taux d emploi ont eu tendance à s atténuer, les disparités de PIB par emploi à s accentuer. L Ile-de France continue de concentrer les activités à forte valeur ajoutée, avec une progression en volume du PIB par emploi de 1,4 % en moyenne annuelle, contre 1,2 % au plan national. Mais en dynamique, elle est devancée par la Bretagne, Midi-Pyrénées et les Dom. Ces trois régions doivent leur croissance à une forte progression du PIB par emploi conjuguée à une forte croissance de l emploi : respectivement plus de 1,5 % et plus de 1,6 %. Trois autres régions suivent le même modèle, à un rythme plus modéré, Aquitaine et Rhône-Alpes (+1,3 % de croissance du PIB par emploi et de l emploi), ainsi que Poitou-Charentes (+1,1 % pour le PIB par emploi et 1,2 % pour l emploi). Evolution annuelle moyenne du PIB par emploi et de l emploi entre 1996 et 2006, en % A contrario, le rattrapage de la Corse est davantage imputable à la croissance de l emploi (+2,5 %) qu à l augmentation de la productivité (+ 1 %). Le développement du Languedoc-Roussillon et de PACA est également imputable à la forte croissance des activités à moindre valeur ajoutée, avec moins de 1 % de progression du PIB par emploi, et près de 2 % de croissance de l emploi. Les pays de la Loire se situent entre les deux modèles, avec respectivement + 1,1 % et + 1,6 %. Les régions du Nord, de l Est et du bassin parisien accusent à la fois une faible croissance de la productivité et de l emploi sur cette décennie, sauf la Franche-Comté et Champagne-Ardenne, dont la productivité augmente à un rythme comparable à la moyenne nationale. L Auvergne et le Limousin se positionnent également sur des activités à plus forte valeur ajoutée, avec également une progression du PIB par emploi légèrement supérieure à la moyenne. Ces évolutions rendent compte des changements structurels à l œuvre sur une période longue et permettent d alerter sur des trajectoires porteuses de risques. Elles peuvent néanmoins s infléchir sous l effet de la conjoncture, particulièrement en période de crise où le tissu productif peut être amené à subir d importantes mutations. Données complémentaires Les indicateurs économiques reflétant l investissement pour l avenir (effort de recherche, évolution de la qualification des jeunes), ainsi que ceux relatifs aux modes de production (consommation d énergie rapportée au PIB), permettent de détecter les trajectoires peu porteuses en termes de croissance. Mais c est l ensemble des indicateurs économiques, sociaux et environnementaux, du référentiel qui concourent à apprécier la durabilité du développement dans toutes ses dimensions. 4/5
5 Pour en savoir plus Source Organisme producteur de l indicateur : INSEE Principales sources de données mobilisées pour établir l indicateur : Comptes économiques régionaux. Date de diffusion ou mise à jour des données mobilisées : novembre 2009 (données 2000 à 2006 définitives, données 2007 semi-définitives). Les données provisoires 2008, susceptibles d évoluer, parfois fortement, n ont pas été prises en compte dans l analyse. Couverture, échelon territorial France métropolitaine. Les DOM ne disposent pas du PIB en volume et le PIB 2007 en valeur n y est pas encore disponible. Echelle temporelle L évolution est calculée sur une période de 10 ans, pour appréhender les évolutions structurelles plutôt que conjoncturelles. L indicateur peut être mis à jour tous les ans à partir des nouvelles séries. Méthodologie de l indicateur A partir des données publiées par l Insee, les évolutions sont calculées sur dix ans, pour appréhender les évolutions structurelles et s affranchir des aléas conjoncturels. La croissance est mesurée en volume, et non en valeur. En revanche, les écarts à la moyenne nationale sont calculés à partir des données en valeur (France=100). Autres indicateurs liés Sur le site de l Observatoire : indicateurs de développement durable Indicateur national de développement durable (indicateur de contexte économique et social) : - Revenu national net et PIB par habitant > Observation et statistiques de l environnement > Accueil > Indicateurs> Indicateurs de développement durable > Accueil > Publications et services > Dossiers > Développement durable Liens Comptes régionaux établis par l Insee, méthodologie et résultats : Bibliographie «Dynamiques et développement durable des territoires» : rapport de l Observatoire des territoires, Datar, Janvier 2009, La documentation française. Béoutis A., Casset-Hervio H., Leprevost E. (2005) «Les produits intérieurs bruts régionaux en 2003 : forte concentration spatiale et dynamismes contrastés» INSEE Première n 1055, décembre Date de rédaction : Avril 2010 Auteur : Vincent Briquel, Cemagref Marie Hélène Kérouanton, Observatoire des territoires Cartographie : Commissariat général au développement durable Service de l observation et des statistiques Observatoire des territoires
1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE
1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 2 1985 / 2009 : 25 ans de concours du crédit-bail au financement de l d entreprise* 1.Introduction : le crédit-bail,
Plus en détailLes prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards
Plus en détailConstruction de logements
COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n 640 Mai 2015 Construction de logements Résultats à fin avril 2015 (France entière) OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Rappel À compter des
Plus en détailDe nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements
COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n spécial Février 2015 De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Le SOeS diffuse
Plus en détailcafé, restaurant & salon de thé DOSSIER DE CANDIDATURE franchise
DOSSIER DE CANDIDATURE franchise 1. DEMANDEUR PHOTO ÉTAT CIVIL Nom Prénom Date de naissance Lieu de naissance / / Adresse Code postal Téléphone fixe Fax Ville tél portable: E-mail Situation familiale :
Plus en détailRecettes de fonctionnement et capacité d'épargne
1 - Recettes réelles de fonctionnement/population Recettes réelles de fonctionnement : total des recettes de la colonne mouvements réels de la balance générale en section de fonctionnement. Evaluation
Plus en détailPanorama. de l économie sociale et solidaire
Panorama de l économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Réalisée par l Observatoire National de l Economie Sociale et Solidaire, cette nouvelle édition du «Panorama de l économie sociale en France
Plus en détailBaromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010
Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010 Opportunités de croissance ou créations d entreprise, plus de 44 000 commerces ou industries
Plus en détailUn dispositif d appui aux très petites entreprises
Spectacle vivant Un dispositif d appui aux très petites entreprises DA TPE-SV Votre entreprise a besoin de se développer? Elle emploie moins de cinq salariés? Vous pouvez bénéficier d un accompagnement
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détailEvolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR
Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales
Plus en détail9,8 % de l emploi 2,1 millions de salariés 203 000 établissements employeurs
DONNÉES AU 31/12/2006 SOURCE INSEE-CLAP 1 - DÉCEMBRE 2008 Panorama de l'économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Ce document est la première publication réalisée par l Observatoire national de l
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détailPrésentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS
Présentation du Programme PHARE Les achats hospitaliers, levier majeur de performance pour les établissements Achats hospitaliers : 18 Milliards d euros en 2009 Non médicaux 42% Achats Hospitaliers Médicaux
Plus en détailEtude de Besoin de Main-d Oeuvre dans la Plasturgie
Etude de Besoin de Main-d Oeuvre dans la Plasturgie Année 2013 SOMMAIRE Représentation géographique des projets de recrutement par métier en 2012 Pilotes d'installations lourdes des industries de transformation...
Plus en détailObservatoire de l équipement audiovisuel des foyers
Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers 1 er semestre 2013 Réalisé par 1 Édito L Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers succède à l Observatoire de l équipement des foyers pour
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détail3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT
3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT 3 - L offre d hébergement Définitions Dans ce chapitre sont présentés les parcs d hébergement marchand et non marchand qui constituent l offre touristique française. Le
Plus en détailREGION HAUTE-NORMANDIE
Évaluation des effets d une fusion de la Région Haute-Normandie et de la Région Basse-Normandie REGION HAUTE-NORMANDIE Évaluation des effets d une fusion de la région Haute-Normandie et de la région Basse-Normandie
Plus en détailBILANS REGIONAUX DE L EMPLOI
BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI DANS L ECONOMIE SOCIALE EN 2013 Cécile BAZIN Marie DUROS Amadou BA Jacques MALET Octobre 2014 INTRODUCTION Pour la septième année consécutive, l Association des Régions de
Plus en détailla création d entreprise en nord-pas de calais
Nord-Pas de Calais N 184 SEPTEMBRE 2014 la création d entreprise en nord-pas de calais Près de 24 000 créations d entreprise en 2013 en Nord-Pas de Calais En 2013, les créations ont légèrement baissé en
Plus en détailLa Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences dans votre entreprise
50 salariés et plus / groupes de distribution (GDSA) dans la Branche des Services de l Automobile GPEC La Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences dans votre entreprise Anticiper les enjeux
Plus en détailLa Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013
CEBATRAMA La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local Bruges, le 3 juillet 2013 HÉRITIÈRE DES SERVICES FINANCIERS DE LA POSTE 100% Filiale à 100% du groupe La Poste La Banque Postale
Plus en détailLA RÉPARTITION DES PROFESSIONNELS DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/
LA RÉPARTITION DES DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de rachat de crédits
Plus en détailLa régie de la radio en ligne. Offre commerciale 2013
La régie de la radio en ligne Offre commerciale 2013 Audience des radios EN LIGNE en France Chaque jour, en moyenne 1.9OO.OOO d internautes ont visité au moins l un des sites de Radio 2.0 la semaine, contre
Plus en détailLA RÉPARTITION DES SERRURIERS EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/
LA RÉPARTITION S EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de serrurerie en France métropolitaine et en
Plus en détailObservatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014. Département Télécom et Equipement Novembre 2014
Observatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014 Département Télécom et Equipement Novembre 2014 Rappel Méthodologique Modes de réception TV À partir de 2014 : Niveau national et régional Enquête
Plus en détailENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires
ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com Octobre 2013 1/52 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES
Plus en détailORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur. La santé au travail. les régions de France
Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé ORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur La santé au travail dans les régions de France Collection
Plus en détailLe commerce de proximité Repérage statistique et implantation sur le territoire
Le commerce de proximité Repérage statistique et implantation sur le territoire Gwennaël Solard Insee - Division Commerce Chargé d études 18 boulevard Adolphe Pinard 75675 Paris Cedex 14 tél : 01 41 17
Plus en détailRèglement du concours de dessin «Mon éolienne est la plus originale»
Règlement du concours de dessin «Mon éolienne est la plus originale» Article 1 : Organisateur du concours L association France Energie Eolienne, située au 12 rue Vivienne, 75002 Paris, SIRET n 432 446
Plus en détailDépendance et rayonnement. des établissements franciliens
ILE -DE- FRANCE études études Mai 2006 Dépendance et rayonnement des établissements franciliens Document réalisé dans le cadre du Schéma Directeur Régional de l'ile-de-france Julie Roy Insee Ile-de-France
Plus en détailDossier de Presse Contact : Raphael Alibert 06 82 93 35 09 ralibert@forces.fr FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville
Dossier de Presse Contact : Raphael Alibert Tél. : 06 82 93 35 09 E-mail : ralibert@forces.fr FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville Historique Jean-Paul Debeuret, diplômé d'expertise
Plus en détailENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité
Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2013 Version définitive Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47
Plus en détailPolitique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens
au 1er Juin 2015 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale
Plus en détailAQUITAINE. Suivi de la Demande touristique 2010 1 ~
SUIVI DE LA DEMANDE TOURISTIQUE AQUITAINE ANNEE 2010 Note dee conjoncture TNS SOFRES-CRTA Suivi de la Demande touristique 2010 CRTAA DIRECCTE Aquitaine TNS T SOFRES 1 ~ SOMMAIRE AVERTISSEMENT METHODOLOGIQUE...
Plus en détailLa Population des Exploitants agricoles en 2011
Direction des Etudes des Répertoires et des Statistiques Etude juin 2012 La Population des Exploitants agricoles en 2011 www.msa.fr JUIN 2012 LA POPULATION DES EXPLOITANTS AGRICOLES EN 2011 DIRECTION DES
Plus en détailau 1er novembre 2013
au 1er novembre 2013 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale
Plus en détailLa mobilité. Au service des Outre-mer
La mobilité Au service des Outre-mer L Agence de l Outre-mer pour la Mobilité (LADOM) est une agence d Etat au service des originaires et résidents des collectivités d outre-mer. LADOM a pour mission première
Plus en détailN 13 S É N A T. 30 octobre 2014 PROJET DE LOI
N 13 S É N A T SESSION ORDINAIRE DE 2014-2015 30 octobre 2014 PROJET DE LOI relatif à la délimitation des régions, aux élections régionales et départementales et modifiant le calendrier électoral. (procédure
Plus en détailObservatoire de l Eolien
Observatoire de l Eolien Analyse du marché et des emplois éoliens en France Colloque France Energie Eolienne 2 octobre 2014 Editorial France Energie Eolienne, porte-parole de l éolien, regroupe les professionnels
Plus en détailQuelles sont les motivations des Français qui font le choix de l investissement locatif en 2015?
www.creditfoncier.com U N E É T U D E D U C R É D I T F O N C I E R Quelles sont les motivations des Français qui font le choix de l investissement locatif en 2015? SEPTEMBRE 2015 sommaire PAGE 02 PAGE
Plus en détailEXPÉRIENCE CLIENT. Baromètre des secteurs assurances et mutuelles
EXPÉRIENCE CLIENT Saison 2 # Baromètre des secteurs assurances et mutuelles Etude réalisée par INIT Marketing pour Akio Software en mai 2014 sur un échantillon représentatif de la population française
Plus en détailTER 2020 : VERS UN NOUVEL ÉQUILIBRE
TER 2020 : VERS UN NOUVEL ÉQUILIBRE DOSSIER DE PRESSE SNCF CONTACTS PRESSE Clément Nourrit - 01 53 25 76 56 - clement.nourrit@sncf.fr Gaëlle Rual - 01 53 25 74 83 - gaelle.rual@sncf.fr TER 2020 : VERS
Plus en détailLES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013
LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 Étude réalisée pour Imagerie Santé Avenir 2013 CEMKA-E VAL 43,
Plus en détailDossier de Presse. Contact : Luc Petit Tél. : 06 07 28 92 33 E-mail : lpetit@forces.fr. FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville
Dossier de Presse Contact : Luc Petit Tél. : 06 07 28 92 33 E-mail : lpetit@forces.fr FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville Historique Jean-Paul Debeuret, diplômé d'expertise comptable,
Plus en détailLe Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE
Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat (FSPOEIE) constitue
Plus en détailLes enjeux du quotidien
Les enjeux du quotidien LES FRANCAIS ET LES JEUX D ARGENT EN LIGNE Sondage réalisé pour : La Presse quotidienne Nationale, Régionale, Urbaine Gratuite et la Presse Hebdomadaire Régionale ATTENTION EMBARGO
Plus en détailLivret. du professeur OBJECTIF TRAVAUX PUBLICS. Le programme Le site Internet La visite Le concours photo
Livret du professeur Le programme Le site Internet La visite Le concours photo OBJECTIF TRAVAUX PUBLICS OBJECTIF TRAVAUX PUBLICS Découverte professionnelle 2010-2011 Découverte professionnelle 2010-2011
Plus en détailLes touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France
Les touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France Résultats annuels 2014 des dispositifs permanents d enquêtes dans les aéroports, dans les trains et sur les aires d autoroutes
Plus en détailISF et intermédiation : Collecte 2009
ISF et intermédiation : Collecte 2009 juillet 2009 1 Contexte et méthodologie Contexte: L AFIC et l AFG ont conduit une enquête pour suivre l impact des mesures dites «ISF PME», et en particulier, pour
Plus en détailCet article s attache tout d abord
Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE :
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux vivre votre argent 27 janvier 2012 Pour ce palmarès 2012, la CLCV et Mieux vivre votre argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février
Plus en détailFICHE CANDIDATURE. Ain de mieux vous connaître, nous vous remercions de compléter soigneusement toutes les rubriques de ce document.
FICHE CANDIDATURE Ain mieux vous connaître, nous vous remercions compléter soigneusement toutes les rubriques ce document. Ce document dûment complété n engage en rien Planet Sushi ou le candidat. L intégralité
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE :
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 25 janvier 2013 Pour ce palmarès 2013, la CLCV et Mieux Vivre Votre Argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février
Plus en détailBaromètre de la transmission de PME en France
Baromètre de la transmission de PME en France Première édition - 2010 Observatoire CNCFA EPSILON de la Transmission de PME SOMMAIRE Objectifs & méthodologie p.2 Synthèse p.3 1. Potentiel du marché p.4
Plus en détailLe financement et les effectifs de l apprentissage
CNEFOP Le financement et les effectifs de l apprentissage Données 2012 Janvier 2015 CNEFOP 2 Introduction Le rapport sur le financement et les effectifs de l apprentissage (données 2012) s inscrit dans
Plus en détailde l artisanat Tableau économique ÉTUDES et Recherches Cahier III : Les entreprises artisanales dans l économie des territoires
ÉTUDES et Recherches de l Institut Supérieur des Métiers Tableau économique de l artisanat MAI 2014 Cahier III : Les entreprises artisanales dans l économie des territoires Tableau économique de l artisanat
Plus en détailENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité
Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com
Plus en détailDIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable
DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable Guide de l utilisateur 2010 Si vous êtes amenés à utiliser cet outil, merci d indiquer votre source. Réseau agriculture durable - Inpact Bretagne
Plus en détailÉtude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier
Étude trimestrielle de Crédit Foncier Immobilier Octobre 2014 Direction des Études Point de conjoncture logement SUR FOND DE MOROSITÉ, LES FRAGILITÉS DU MARCHÉ RÉSIDENTIEL S ACCENTUENT Alors que la France
Plus en détailGrenelle de l environnement BONUS ECOLOGIQUE
Grenelle de l environnement BONUS ECOLOGIQUE N 51243#03 Décret n 2010-1618 du 23 décembre 2010 modifiant le décret n 2007-1873 du 26 décembre 2007 instituant une aide à l acquisition des véhicules propres
Plus en détailPour une économie démocratique. Douze propositions de l économie sociale et solidaire
Pour une économie démocratique Douze propositions de l économie sociale et solidaire Novembre 2011 Le Conseil des Entreprises, Employeurs et Groupements de l Economie Sociale (CEGES) regroupe les entreprises,
Plus en détailQuelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013
Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013 Sommaire Le Top 15.... 3 Les évolutions récentes... 7 Evolution du PNB... 12 Les résultats
Plus en détailFonds de Dotation L observatoire Deloitte. N 20 31 décembre 2011
Fonds de Dotation L observatoire Deloitte N 20 31 décembre 2011 Éditorial L année vient de s achever avec 863 fonds de dotation enregistrés au 31 décembre 2011. C est une année record car pas moins de
Plus en détailL épargne de tous au service de l intérêt général
L épargne de tous au service de l intérêt général 1 Pour la réussite de tous les projets Sommaire Un modèle unique et vertueux 4 Prêts au logement social et à la politique de la ville 7 Prêts au secteur
Plus en détailEdition février 2015. CEGEDIM CD, droits réservés : GDR_201502
1 Edition février 215 Chaque mois, CEGEDIM CD propose une vue de son référentiel ENTREPRISES, constitué à partir du répertoire SIRENE (source INSEE) valorisé (fiabilisation & enrichissement), pour vous
Plus en détailForm. tion. Magazine. spécial emploi. Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie
Form tion Magazine Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie spécial emploi Région Haute-Normandie Édito P 3 P 4 P 6 P 7 P 8 P 10 P 11 Engagé dans
Plus en détailChaque mois, IMS Health propose une vue de son référentiel ENTREPRISES, constitué à partir du répertoire SIRENE (source INSEE) valorisé
Chaque mois, IMS Health propose une vue de son référentiel ENTREPRISES, constitué à partir du répertoire SIRENE (source INSEE) valorisé (fiabilisation & enrichissement), pour vous accompagner dans la compréhension
Plus en détailCarte d identité du secteur de la mutualité
Carte d identité du secteur de la mutualité Données mises à jour- DADS 2010 Mickaële Molinari-Perrier, Céreq Octobre 2012 1 SOMMAIRE RAPPEL DE LA COMMANDE ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Plus en détailPanorama des formations post-baccalauréat en Transport et Logistique
Panorama des formations post-baccalauréat en Transport et Logistique AFITL - 3 mai 2006 L objectif poursuivi Offrir aux membres de l AFITL (ou à quiconque se promène sur son site Internet) un recensement
Plus en détailBIENVENUE AU PETIT DEJEUNER DES TRANSPORTS du Vendredi 27 Novembre 2009 SUR PANORAMA DE L OFFRE DE FORMATION *****
BIENVENUE AU PETIT DEJEUNER DES TRANSPORTS du Vendredi 27 Novembre 2009 SUR PANORAMA DE L OFFRE DE FORMATION ***** SOMMAIRE 1.Offre de Formation Education Nationale 2.Offre de Formation par Apprentissage
Plus en détailQuelle image avez-vous de la Belgique?
Quelle image avez-vous de la Belgique? Saviez vous que?. Sont d origine belge. Le saxophone. La marque de montres Ice watch. La chaine de fast food Quick. l ile de Porquerolles au large de Toulon appartenait
Plus en détailBovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4
Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux
Plus en détailMICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL
ÉDUCATION FORMATION UDGET INSERTION ORMATION MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ 2012 EDUCATION INSERTION SOCIAL MESSAGE DE LA PRÉSIDENTE Florence RAINEIX Directrice générale de la Fédération
Plus en détailBilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie
Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et
Plus en détailTests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections
Plus en détailPRÉSENTATION DU PROGRAMME DE SERVICE PUBLIC 2014 DE L IGN
PRÉSENTATION DU PROGRAMME DE SERVICE PUBLIC 2014 DE L IGN Commission Animation territoriale CNIG 28/01/2014 Marie-Louise ZAMBON IGN (chef du service des programmes à la direction des programmes civils
Plus en détailRAPPORT D ACTIVITE 2002
1 RAPPORT D ACTIVITE 2002 C M U Fonds de financement de la protection complémentaire de la couverture universelle du risque maladie Tour Onyx 10, rue Vandrezanne 75013 PARIS SOMMAIRE SOMMAIRE... 2 AVANT
Plus en détailgérants d immeubles agents immobiliers syndics de copropriétés marchands de biens experts immobiliers
L i m m o b i l i e r v o u s o u v r e t o u t e s s e s p o r t e s gérants d immeubles agents immobiliers syndics de copropriétés marchands de biens experts immobiliers Bienvenue à l UNIS De plus en
Plus en détailN 11 mars 2015 LE SOMMAIRE DE LA LETTRE N 11
LA LETTRE DU CERCLE DE L EPARGNE N 11 mars 2015 LE SOMMAIRE DE LA LETTRE N 11 L édito du Président du Cercle Un autre monde? Côté Epargne Les chiffres du Cercle de l épargne Petit point sur les derniers
Plus en détailLa VAE à travers les régions. (information conseil et validation) Année 2012. études. Etude logo Proposition 4 bis
La VAE à travers les régions (information conseil et validation) Année 2012 études Etude logo Proposition 4 bis Décembre 2014 Sommaire NOTICE DE LECTURE p. 3 INFORMATION CONSEIL EN VAE Points relais conseil
Plus en détailBienvenue à Loire-Centre. Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre
Bienvenue à Loire-Centre Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre Présentation Le Groupe BPCE 2 Un groupe puissant et solide Les groupes Banque Populaire et Caisse d Epargne se sont unis pour créer
Plus en détailLes dons de sang en France Disparités territoriales et profil des donneurs en 2010
Les dons de sang en France Disparités territoriales et profil des donneurs en 2010 Rapport final Août 2013 Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé 62 boulevard Garibaldi 75015 Paris
Plus en détail56 rue Laffitte - 75320 PARIS CEDEX 09 Tél. : 01 55 07 85 85 Site internet : www.sett.org
56 rue Laffitte - 75320 PARIS CEDEX 09 Tél. : 01 55 07 85 85 Site internet : www.sett.org I II L emploi intérimaire s est contracté de 2,7% en 2003 L évolution de l emploi intérimaire est soumise aux fluctuations
Plus en détailGEOGRAPHIE PRIORITAIRE DE LA POLITIQUE DE LA VILLE ET CONTRACTUALISATION
GEOGRAPHIE PRIORITAIRE DE LA POLITIQUE DE LA VILLE ET CONTRACTUALISATION Document pour la concertation Mars 2009 SOMMAIRE La nécessité de faire évoluer le cadre de la politique de la ville... 4 Les obligations
Plus en détailLe marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel
Le marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel Le nouveau paradigme de l IT IDC Visit us at IDC.com and follow us on Twitter: @IDC 2 L arrivée de nouvelles technologies insuffle
Plus en détailL évolution des parts modales des déplacements domicile-travail
Thème : Transport durable Orientation : Faire évoluer les pratiques de mobilité L évolution des parts modales des déplacements domicile-travail par aire urbaine et département hors aires urbaines La part
Plus en détailDocument. de travail n 32. Audit de la situation des entreprises françaises
Document de travail n 32 Audit de la situation des entreprises françaises juillet 2012 Ce document de travail a été réalisé sous la direction de Michel DiDieR, Président et Denis FeRRAND, Directeur Général
Plus en détail"La santé des étudiants en 2009"
Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2009" 6ème Enquête Nationale Communiqué de presse. p 2 L USEM et les mutuelles étudiantes régionales.......... p 4 Présentation de l enquête santé... p 5 Méthodologie
Plus en détailTableau de bord de l apprentissage dans le bâtiment et les travaux publics
Tableau de bord de l apprentissage dans le bâtiment et les travaux publics Édition octobre 2008 Le service Études du CCCA-BTP Mission Servir la profession du BTP dans la défi nition de ses orientations
Plus en détailRapport d activité. Rhône-Alpes Active Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires
Rapport d activité 2014 Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires EN En 2014 3 668 emplois créés ou consolidés 907 projets accompagnés et 20,9 M mobilisés en Jean Jacques Martin Président
Plus en détailEtude sur l évolution des diagnostics et des stratégies régionales d innovation dans les régions françaises dans le cadre des PO FEDER 2007-2013
Etude sur l évolution des diagnostics et des stratégies régionales d innovation dans les régions françaises dans le cadre des PO FEDER 2007-2013 Volume 1 Rapport final (synthèse) Juillet 2010 ADE s.a.
Plus en détailQuelles sont les motivations des Français qui font le choix de l investissement locatif en 2014? Une étude du Crédit Foncier
Quelles sont les motivations des Français qui font le choix de l investissement locatif en 2014? Une étude du Crédit Foncier SOMMAIRE PAGE 02 SYNTHÈSE PAGE 03 L INVESTISSEMENT LOCATIF DES MÉNAGES EN FRANCE
Plus en détailDéveloppement des compétences, construction des parcours, prévention de la pénibilité et de l usure professionnelle, égalité professionnelle,
Des secteurs professionnels et des territoires investis sur les conditions de travail et la qualité de vie au travail L Serge DELTOR Directeur de l ARACT LR Délégué régional de l ANACT Aider les secteurs
Plus en détail21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5
21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 I TAUX AU PLUS BAS : et si ça continuait? II RENEGOCIATION DE CREDITS : les règles du jeu changent
Plus en détailETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00
ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE Atelier de 14h30 16h00 Objectifs Identifier les zones en difficultés afin d éviter des fermetures De maintenir des effectifs suffisants dans les CFA
Plus en détailIdentification : ERDF-NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14
3. ACCES RACCORDEMENT D Identification : -NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14 Version Date Nature de la modification Annule et remplace V.1.0 17/10/2013 Version initiale -NOI-RAC-02E V.2.7
Plus en détailMémento du tourisme. Édition 2013
Mémento du tourisme Édition 2013 Date de parution : novembre 2013 Directeur de la publication : Pascal Faure Rédaction en chef : François Magnien Coordination : Gwenaëlle Solignac Maquette : Hélène Allias-Denis,
Plus en détail