Apport de l analyse morphoconstitutionnelle. urinaires et des cristalluries au diagnostic étiologique des pathologies lithiasiques

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Apport de l analyse morphoconstitutionnelle. urinaires et des cristalluries au diagnostic étiologique des pathologies lithiasiques"

Transcription

1 Apport de l analyse morphoconstitutionnelle des calculs urinaires et des cristalluries au diagnostic étiologique des pathologies lithiasiques Michel DAUDON Service de Biochimie A Hôpital Necker-Enfants Malades, Paris

2 En cas de lithiase rénale, quelles sont les maladies pour lesquelles le diagnostic étiologique est donné ou suggéré immédiatement par l analyse morphoconstitutionnelle du calcul? 1. Cystinurie 2. Hyperparathyroïdie primaire 3. Hyperoxalurie entérique 4. Hyperoxalurie primaire 5. Maladie de Dent 6. Maladie de Cacchi-Ricci 7. Déficit en xanthine déshydrogénase 8. Déficit en adénine-phosphoribosyltransférase 9. Déficit en alanine glyoxylate aminotransférase 10. Déficit en hypoxanthine guanine phosphoribosyltransférase 11. Syndrome de Gougerot-Sjögren 12. Maladie des laxatifs

3 INTRODUCTION Les calculs urinaires se forment sur des périodes de temps plus ou moins prolongées (plusieurs semaines à plusieurs années) Ils conservent l empreinte des facteurs lithogènes qui se sont exprimés au cours de cette période, ce qui n est pas le cas des explorations biologiques qui représentent un état «instantané» La présence d une anomalie biologique n est pas la preuve de son implication dans la formation du calcul Les causes d un calcul peuvent évoluer dans le temps. Elles peuvent être appréciées par sa morphologie et sa composition cristalline, synthétisées à partir: d un typage morphologique du noyau, de la section et de la surface de l analyse de leur composition cristalline semi-quantitative obtenue par spectrophotométrie infrarouge

4 Enfant de 9 ans: calcul pyélique de 18mm bilan biologique = hypercalciurie mais composition inhomogène Urate NH4 Weddellite + Whewellite Carbapatite = nucléation par hyperuricurie dans un contexte de diarrhées + carence phosphorée => croissance secondaire par hyperoxalurie (alimentation végétale + diurèse faible) => croissance finale par hypercalciurie diététiq.

5 Surface IVc = Inf. urinaire, mais section du calcul différente 12 cm H,26 ans. Diagnostic clinique: inf. urinaire chronique à germes uréasiques

6 Surface IVc = Inf. urinaire, mais section du calcul différente 12 cm Section Ia = Hyperoxalurie H,26 ans. Diagnostic clinique: inf. urinaire chronique à germes uréasiques

7 Noyau Ic = Hyperoxalurie primaire Surface IVc = Inf. urinaire, mais section du calcul différente 12 cm Section Ia = Hyperoxalurie H,26 ans. Diagnostic clinique: inf. urinaire chronique à germes uréasiques

8 Type Ia WHEWELLITE (Wh) = oxalate de calcium monohydraté (C1) = oxalo-dépendant (hyperoxalurie = 88%) oxalate de calcium Importance de la composition cristalline WEDDELLITE (Wd) = oxalate de calcium dihydraté (C2) = calcium-dépendant (hypercalciurie = 86%) Type IIa

9 Type Ic whewellite = oxalate de calcium monohydraté = hyperoxalurie primaire oxalate de calcium Grosses lames quadratiques 3 m m Importance de la morphologie weddellite Type IIb Hypercalciurie + hyperoxalurie +- hypocitraturie

10 Classification morpho-constitutionnelle Type I sous-type Ia, Ib, Id Ic I actif composition whewellite whewellite whewellite II IIa, IIb, IIc weddellite III IIIa, IIIb IIIc IIId acide urique urates divers urate d ammonium IV IVa, IVa2 IVb IVc IVd carbapatite carbapatite + struvite struvite brushite V VI Va, Vb cystine VIa, VIb, VIc calculs riches en protéines

11 Quelques clés pour l interprétation des données de l analyse morphologique et infrarouge (1) Relations morphologie-étiologie pour la WHEWELLITE (1) le type Ia correspond à des hyperoxaluries intermittentes, essentiellement nutritionnelles ou par défaut de diurèse (hyperoxalurie de concentration) le type Ic correspond essentiellement à des hyperoxaluries d origine génétique (hyperoxaluries primitives de types I, II et non I-non II (~ 15% des hyperoxaluries majeures) Le type I actif s observe surtout dans les hyperoxaluries absorptives des pathologies digestives inflammatoires avec stéatorrhée Le type Id traduit des situations de stase avec confinement anatomique (obstruction, anomalies anatomiques post-papillaires, diverticules caliciels)

12 Whewellite pure Type Ia Hyperoxaluries nutritionnelles intermittentes: >80% Ia Whewellite pure Type Ic Hyperoxaluries primaires: 99% Ic

13 Whewellite pure Type I actif Hyperoxaluries absorptives: 80% I actif Whewellite pure Type Id Hyperoxaluries de concentration avec stase et confinement anatomique

14 Quelques clés pour l interprétation des données de l analyse morphologique et infrarouge (3) Relations morphologie-étiologie pour la WHEWELLITE (2) La présence d une ombilication papillaire et d un dépôt phosphocalcique à l intérieur de l ombilication témoignent d un processus lithogène par nucléation hétérogène sur plaque de Randall => l origine de la plaque de carbapatite n est pas encore très claire, mais pourrait être liée à une hypercalciurie ancienne (diététique ou thérapeutique) La pigmentation du calcul témoigne de son caractère récent ou ancien, actif ou quiescent La présence d un voile grisâtre à la surface d un calcul Ia témoigne que celui-ci est en phase active

15 PR Carbapatite Ombilication papillaire Voile grisâtre Plaque de Randall Ombilication sans PR (détachée) PR Urate Na Calcul jeune Whewellite ~ pure

16 Quelques clés pour l interprétation des données de l analyse morphologique et infrarouge (4) Les morphologies et/ou les compositions mixtes doivent faire rechercher les étiologies associées à chaque type morphologique: Calculs oxalo-phosphocalciques de morphologie mixte, IIa+IVa, plus fréquents dans les hypercalciuries résorptives, dont l hyperparathyroïdie Si teneur en phosphates calciques > 40%, hypo-citraturie fréquente, de même que les troubles de l acidification rénale Si calcul majoritaire en brushite, il faut rechercher une hypercalciurie (83% des cas) et tout particulièrement une hyperparathyroïdie primaire (14% des cas)

17 Carbapatite > Wh > Wd Calculs majoritaires en CARBAPATITE Carbapatite > PACC Type IVa Type IVa+II b = Hyperparathyroïdie I = Infection urinaire Type IVa2 Carbapatite >> Wh => Craquelures caractéristiques = Acidose tubulaire distale congénitale ou acquise (validée dans ~ 90% des cas hors IU)

18 Acides uriques Type IIIb Stase Type IIIa U NH4 Synd Met Diabete Urate d ammonium Carence phosptate + NH4 Type IIId Type IIIc

19 Fréquence des constituants majoritaires en cas de diabète (n=631) (Daudon et coll, NDT 2005;20: ) Composé principal Non diabétiques ( ) Diabétiques Hommes Femmes Hommes Femmes (n=193) (n=9254) (n=438) (n=4032) Whewellite 52,5 33,7 50,1 42,9 Weddellite 13,9 * 6,2 24,8 13,8 Carbapatite 6,0 16,0 7,2 23,2 24,9 * 37,0 * Struvite 0,7 3,6 1,1 2,2 Autres 4,3 4,4 5,9 10,9 Ac.Urique * P < 0,0001 vs non diabétiques 10,9 (14,7 ) 7,0 (9,7 ) ( ) appariés pour l âge => La femme diabétique est plus sensible que l homme diabétique au risque de lithiase urique

20 Différence de facteurs de risque lithogène selon le statut des patients et le type de calcul Daudon et al [JASN 2006; 17: ] 272 lithiasiques dont 25 diabétiques Patients Diabète (+) Lithiase AU Ca Diabète (-) AU Ca Age IMC (kg/m²) Vol. urinaire Glycémie Ac.Ur sg (µmol/l) Ac.Ur U (mmol/24h) FeAU (%) ph urinaire Ca urinaire Citrate urinaire 58,0 42,2* 26,5 23,7* 1,85 1,7* 5,4 5, ,66 3,89 5,8 8,1* 5,13 5,91* 5,02 7,51* 3,72 2,9* 56,7 28,7 2,3 9, ,38* 9,4* 5,07* 5,54* 5,46 53,4 30,0 2,1 7, ,26 6,9 5,52 8,52 3,98 p < 0,001 D(-) / D(+) * p < 0,001 Ca / AU

21 CRITÈRES D INFECTION LITHOGÈNE DÉDUITS DE L ANALYSE INFRAROUGE DES CALCULS Calculs souvent associés à une infection urinaire, mais celle-ci pas forcément responsable du calcul => Critères permettant d affirmer le rôle de l infection dans la formation du calcul: 1. Présence de struvite 2.% CO3 des phosphates calciques (CA/PACC) > 15%

22 CRITÈRES D INFECTION LITHOGÈNE DÉDUITS DE L ANALYSE INFRAROUGE DES CALCULS Calculs souvent associés à une infection urinaire, mais celle-ci pas forcément responsable du calcul => Critères permettant d affirmer le rôle de l infection dans la formation du calcul: 1. Présence de struvite 2.% CO3 des phosphates calciques (CA/PACC) > 15% 3.Association de CA et d urate d ammonium => Infection urinaire chronique par des micro-organismes uréasiques

23 CRITÈRES D INFECTION LITHOGÈNE DÉDUITS DE L ANALYSE INFRAROUGE DES CALCULS Calculs souvent associés à une infection urinaire, mais celle-ci pas forcément responsable du calcul => Critères permettant d affirmer le rôle de l infection dans la formation du calcul: 1. Présence de struvite 2.% CO3 des phosphates calciques (CA/PACC) > 15% 3.Association de CA et d urate d ammonium 4.Présence de whitlockite en proportions > 20% => Infection urinaire chronique par des bactéries uréasiques ou non uréasiques

24 CRITÈRES D INFECTION LITHOGÈNE DÉDUITS DE L ANALYSE INFRAROUGE DES CALCULS Calculs souvent associés à une infection urinaire, mais celle-ci pas forcément responsable du calcul => Critères permettant d affirmer le rôle de l infection dans la formation du calcul: 1. Présence de struvite 2.% CO3 des phosphates calciques (CA/PACC) > 15% 3.Association de CA et d urate d ammonium 4.Présence de whitlockite en proportions > 20% 5.Calcul acide urique contenant filaments mycéliens => Infection urinaire chronique par des champignons (Candidoses)

25 AUTRES CONSTITUANTS ANALYSE INFRAROUGE DU CALCUL permet immédiatement et facilement de: dépister des causes rares ou peu fréquentes de lithiases: - cystinurie - déficit en APRT (calculs de dihydroxyadénine) - xanthinurie congénitale (xanthine) - métabolites de la caféine (acide méthyl-1-urique) - médicaments ou d orienter l étiologie dans des contextes cliniques particuliers: - Phosphate octocalcique au cours de la grossesse - Acide urique et syndrome métabolique ou, surtout, diabète de type 2

26 Pourquoi étudier la cristallurie? Parce que la cristallurie est l étape intermédiaire entre les anomalies biochimiques urinaires et la formation du calcul. Elle peut donc aider à identifier les facteurs de risque lithogènes ou les anomalies métaboliques, génétiques ou non, qui favorisent la lithiase Parce qu en absence de calcul à analyser, elle peut orienter vers la nature de celui-ci et vers des étiologies particulières (déficit en APRT, en XD, en AGT, IU chroniques à germes uréasiques ou non, médicaments ) Parce que la disparition de la cristallurie au cours du suivi clinique est l un des meilleurs critères pour juger de l efficacité des mesures diététiques et/ou thérapeutiques proposées pour éviter les récidives

27 cystine struvite 2,8-DHAd whewellite

28 Pourquoi étudier la cristallurie? 1. Mars 2007: Enfant T, 4 mois Retard de croissance fièvre IR modérée Echographie: hyperéchogénicité rénale bilatérale sans calculs ECBU => leucocytes = 105/ml culture = colibacilles Explor. métabolique complète (sg + urines, incluant oxalate et acides aminés) => bilan normal => pas de cause lithogène Etude de la cristallurie: 2,8-dihydroxyadénine (2,8-DHA) => déficit homozygote en APRT 2. Avril 2003: Vincent H, 19 ans: 1ère CN => 3 calculs rein G Explor. métabolique complète (sg + urines, incluant oxalate et acides aminés) => bilan normal => pas de cause lithogène Etude de la cristallurie: 1500 cristaux de whewellite/mm3 => hyperoxalurie primaire 3. Septembre 2004: Marc B, 34 ans: IRT + TR: Echec TR par cristallisation intrarénale ATCD: 1 calcul à 8 ans non analysé => analyse cristaux sur biopsie des reins = 2,8-DHA

29 Solubilité de la cystine en fonction de sa concentration et du ph urinaire Vcys < 100 µ3/mm3 Vcys ~ 6300 µ3/mm3 Vcys ~ 700 µ3/mm3 Vcys ~ µ3/mm3

30 Surveillance VCys = N x d2 x 0,65 N=460 urines N=57 sujets patients non récidivants 3 Vcys moyen: µ3/mm µ3/mm3 24 patients => 27 récidives Vcys max (µ /mm ) Vcys moyen: Vcys max 1000 p < 0, Valeur maximale du Vcys max: Valeur minimale du Vcys max: µ3/mm µ3/mm3 1 Pas de récidive Récidive

31 VCGcaox après TR OU THR dans l hyperoxalurie primaire (µm3/mm3) Type transplantation Sujet 1 THR Début du suivi cristallurique + hyperdiurèse Hémodialyse+furosémide + hyperdiurèse Hyperdiurèse Hyperdiurèse + thiazide Hémodialyse + thiazide Evolution Recul (1) traitement initial J3 Sujet 2 THR J * (1) (1) Sujet 3 THR Sujet 4 TR Sujet 5 TR J1 J1 J (1) FRN cristaux 13 ans 2 ans FRN 10 ans (1) (1) Cr 200 µmol/l rein à 7 ans perdu de recul FRN = fonction rénale normale

32 Agrégat volumineux ( >= 100 µm) Nucléation hétérogène Gros cristal de Weddellite (> 35 µm) = hypercalciurie + hyperoxalurie Conclusion: profil cristallurique de récidive lithiasique

33 Cristallurie et récidive lithiasique: Multivariate Cox regression analysis 181 L calciques suivis pendant durée moyenne de 6 ans => 72 récidives Facteur de risque Oxalurie (mm/l) Calciurie (mm/l) Présence Cacchi U Volume (L/j) Cristallurie >=50% Index cristallurique (Nb C+ / Nb urine) Z-value Hazard Ratio (IC 95%) ( ) ( ) ( ) ( ) ( ) ( ) P < < Daudon et al, Kidney Int 2005;67:

34 Conclusion L analyse des calculs et des cristalluries permet d identifier les facteurs de risque impliqués dans le processus lithiasique Elle révèle immédiatement les lithiases de composition particulière qui justifient des explorations et/ou des prises en charge spécifiques La composition séquentielle des calculs permet de reconstituer les grandes étapes de la lithogenèse chez un sujet donné L étude de la cristallurie est un excellent outil de surveillance et de détection précoce des risques de récidive => l analyse des calculs et des cristaux doit aujourd hui faire partie des moyens de diagnostic et de surveillance thérapeutique mis en œuvre chez un patient lithiasique, tout particulièrement s il s agit d un enfant

35 En cas de lithiase rénale, quelles sont les maladies pour lesquelles le diagnostic étiologique est donné ou suggéré immédiatement par l analyse morphoconstitutionnelle du calcul? Cystinurie Hyperparathyroïdie primaire Hyperoxalurie entérique Hyperoxalurie primaire Maladie de Dent Maladie de Cacchi-Ricci Déficit en xanthine déshydrogénase Déficit en adénine-phosphoribosyltransférase Déficit en hypoxanthine guanine phosphoribosyltransférase Syndrome de Gougerot-Sjögren Maladie des laxatifs Réponses correctes:

PROBABILITES ET STATISTIQUE I&II

PROBABILITES ET STATISTIQUE I&II PROBABILITES ET STATISTIQUE I&II TABLE DES MATIERES CHAPITRE I - COMBINATOIRE ELEMENTAIRE I.1. Rappel des notations de la théorie des ensemble I.1.a. Ensembles et sous-ensembles I.1.b. Diagrammes (dits

Plus en détail

Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)

Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil

Plus en détail

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE

CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil

Plus en détail

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :

Plus en détail

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,

Plus en détail

Prise en charge du nouveau-né prématuré «attendu» atteint d un syndrome de Bartter

Prise en charge du nouveau-né prématuré «attendu» atteint d un syndrome de Bartter Prise en charge du nouveauné prématuré «attendu» atteint d un syndrome de Bartter Docteur JeanFrançois Magny Institut de Puériculture et de Périnatalogie Problématique double Prise en charge de la prématurité

Plus en détail

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on

Plus en détail

AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS

AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS CONCOURS EXTERNE ÉPREUVES D ADMISSION session 2010 TRAVAUX PRATIQUES DE CONTRE-OPTION DU SECTEUR A CANDIDATS DES SECTEURS B ET C

Plus en détail

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE

Plus en détail

Définition d un Template

Définition d un Template Objectif Ce document a pour objectif de vous accompagner dans l utilisation des templates EuroPerformance. Il définit les différents modèles et exemples proposés. Définition d un Template Un template est

Plus en détail

Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente

Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente Examens périodiques de santé pour tout assuré social (sauf RSI) Les examens périodiques de santé Pour qui? En règle générale Pour tous les assurés sociaux

Plus en détail

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît

Plus en détail

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7

Plus en détail

INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»

INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

Insulinothérapie et diabète de type 1

Insulinothérapie et diabète de type 1 Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas

Plus en détail

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux

Plus en détail

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

Migraine et Abus de Médicaments

Migraine et Abus de Médicaments Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

Les Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est

Plus en détail

Marquage CE et dispositifs médicaux

Marquage CE et dispositifs médicaux Marquage CE et dispositifs médicaux Références officielles Trois principales directives européennes réglementent la mise sur le marché et la mise en service des dispositifs médicaux : la directive 90/385/CEE

Plus en détail

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue

Plus en détail

Carte de soins et d urgence

Carte de soins et d urgence Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative

Plus en détail

Service d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3

Service d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3 Efficacité de la stimulation transcutanée chronique du nerf tibial postérieur dans l hyperactivité vésicale de la femme atteinte de Maladie de Parkinson ou d Atrophie Multisystématisée A. Ohannessian 1,2,4,

Plus en détail

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent

Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

Incontinence anale du post-partum

Incontinence anale du post-partum Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop

Plus en détail

CRPP. Syndrome MYH9. Centre de Référence des Pathologies Plaquettaires. Livret destiné au patient

CRPP. Syndrome MYH9. Centre de Référence des Pathologies Plaquettaires. Livret destiné au patient CRPP Centre de Référence des Pathologies Plaquettaires Syndrome MYH9 Macrothrombocytopénies constitutionnelles liées à MYH9 (Anomalie de May-Hegglin, Syndrome de Sebastian, d Epstein, de Fechtner, d Alport-like

Plus en détail

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université

Plus en détail

«Boire est un besoin, mais c est aussi un plaisir, un acte social lors d évènements ou de bons moments»

«Boire est un besoin, mais c est aussi un plaisir, un acte social lors d évènements ou de bons moments» 1 «Boire est un besoin, mais c est aussi un plaisir, un acte social lors d évènements ou de bons moments» Magali Marchand, Chef de service Diététique RHMS Diététicienne agréée ABD 12.01.2012 - Maison du

Plus en détail

MATIERES PM 2. VERT (Axe/mesures/actions) AXE I

MATIERES PM 2. VERT (Axe/mesures/actions) AXE I AXE I CAPITAL HUMAIN MESURE I.1 I.1.A I.1.B I.1.C Mobiliser collectivement les acteurs de l'enseignement, de la formation professionnelle et de l'emploi Développer les bassins de vie et créer des pôles

Plus en détail

Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE

Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING

Plus en détail

Donneurs vivants Risques à long terme. Cours de transplantation Univ. Montréal et McGill 5 avril 2013

Donneurs vivants Risques à long terme. Cours de transplantation Univ. Montréal et McGill 5 avril 2013 Donneurs vivants Risques à long terme Michel R. Pâquet MD, PhD Unité de Transplantation Le Centre Hospitalier de l Université de Montréal Hôpital Notre-Dame Montréal Hôtel-Dieu Hôpital Notre-Dame Cours

Plus en détail

Logiciel «My-Labo Cool!»

Logiciel «My-Labo Cool!» Capitalisez vos Connaissances et votre Expérience des Compléments Alimentaires! Logiciel «My-Labo Cool!» La Solution pour optimiser votre Compétence sur les Compléments Alimentaires, que vous soyez Thérapeute

Plus en détail

La goutte la maladie des rois

La goutte la maladie des rois La goutte la maladie des rois Tous droits protégés Pharmanetis Sàrl Tout savoir sur la goutte Comment bien gérer sa maladie? Par Van Nguyen et Xavier Gruffat (pharmaciens) Photo: Matthew Cole - Fotolia.com

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité

Plus en détail

TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND

TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules

Plus en détail

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet

Plus en détail

compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte

compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction

Plus en détail

Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?

Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 19 octobre 2011 PEDIAVEN AP-HP G15, solution pour perfusion 1000 ml de solution en poche bi-compartiment, boîte de 4 (CIP: 419 999-0) PEDIAVEN AP-HP G20, solution pour

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE

ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Référence HCL : Titre de l étude : ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Investigateur Coordonnateur : Méthode. Définition du niveau de risque

Plus en détail

Conditions Générales d'utilisation

Conditions Générales d'utilisation Conditions Générales d'utilisation Préambule Le présent site Internet www.tournoi7decoeur.com (le " Site Internet") est édité par l association Côté Ouvert, Association loi de 1901, enregistrée à la préfecture

Plus en détail

Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique

Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier

Plus en détail

Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie

Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux

Plus en détail

Transformations nucléaires

Transformations nucléaires I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière

Plus en détail

DIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS

DIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE ET SPORT Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE TYPE 1#TYPE 2 Jeunes sportifs Risque hypoglycémie Adaptation schémas Autosurveillance +++ Sports souvent sources de difficultés Contre

Plus en détail

Information pour les patients dialysés qui prennent du chlorhydrate de sévélamer (RENAGEL)

Information pour les patients dialysés qui prennent du chlorhydrate de sévélamer (RENAGEL) Les autorités de santé de l Union Européenne ont assorti la mise sur le marché du médicament RENAGEL de certaines conditions. Le plan obligatoire de minimalisation des risques en Belgique, dont cette information

Plus en détail

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome PHYSIQUE-CHIMIE Ce sujet traite de quelques propriétés de l aluminium et de leurs applications. Certaines données fondamentales sont regroupées à la fin du texte. Partie I - Propriétés de l atome I.A -

Plus en détail

SÉLECTION DE CONSULTANTS

SÉLECTION DE CONSULTANTS MODÈLE DE RAPPORT D ÉVALUATION SÉLECTION DE CONSULTANTS Banque mondiale Washington Octobre 1999 iii Préface 1 Les Consultants 2 qui sont employés par les Emprunteurs de la Banque mondiale et dont les

Plus en détail

LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE

LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE Une technique chirurgicale Pour vous, pour la vie Qu est-ce que la cholécystectomie? C est l intervention chirurgicale pratiquée pour enlever la vésicule biliaire.

Plus en détail

Secrétariat du Grand Conseil PL 9670. Projet de loi. Projet présenté par le Conseil d Etat Date de dépôt: 20 septembre 2005 Messagerie

Secrétariat du Grand Conseil PL 9670. Projet de loi. Projet présenté par le Conseil d Etat Date de dépôt: 20 septembre 2005 Messagerie Secrétariat du Grand Conseil PL 9670 Projet présenté par le Conseil d Etat Date de dépôt: 20 septembre 2005 Messagerie Projet de loi ouvrant un crédit au titre de subvention cantonale d'investissement

Plus en détail

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en

Plus en détail

Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique

Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours

Plus en détail

Dépistage du cancer colorectal :

Dépistage du cancer colorectal : Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990

Plus en détail

Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08

Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08 Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,

Plus en détail

Cas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier

Cas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan

Plus en détail

Bonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici

Bonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général

Plus en détail

Anémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4

Anémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4 Anémie et maladie rénale chronique Phases 1-4 Initiative de qualité en matière d issue des maladies rénales de la National Kidney Foundation Saviez-vous que l initiative de qualité en matière d issue des

Plus en détail

INCONTINENCE URINAIRE

INCONTINENCE URINAIRE INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour

Plus en détail

7- Les Antiépileptiques

7- Les Antiépileptiques 7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques

Plus en détail

Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.

Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique?

Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Références : Pr Samama Journée de Biologie Praticienne Décembre 2011 I. Gouin-Thibault Journée de Biologie Clinique 2012

Plus en détail

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction

Plus en détail

Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1

Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,

Plus en détail

Peut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique?

Peut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique? Peut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique? Service des Maladies Infectieuses; CHR Orléans Unité Inserm U-707,

Plus en détail

Le déficit en MCAD. La maladie. Déficit en acyl-coa déshydrogénase des acides gras à chaîne moyenne MCADD. Qu est-ce que le déficit en MCAD?

Le déficit en MCAD. La maladie. Déficit en acyl-coa déshydrogénase des acides gras à chaîne moyenne MCADD. Qu est-ce que le déficit en MCAD? Le déficit en MCAD Déficit en acyl-coa déshydrogénase des acides gras à chaîne moyenne MCADD La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec

Plus en détail

LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE

LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont

Plus en détail

Assurance maladie grave

Assurance maladie grave ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès

Plus en détail

LIVRET BAILLEURS. Stratégie pour l'amélioration de la gestion urbaine de proximité à partir du dispositif d'abattement de la TFPB

LIVRET BAILLEURS. Stratégie pour l'amélioration de la gestion urbaine de proximité à partir du dispositif d'abattement de la TFPB LIVRET BAILLEURS Stratégie pour l'amélioration de la gestion urbaine de proximité à partir du dispositif d'abattement de la TFPB Novembre 2011 Sommaire I.Préambule...4 I.A.«L'abattement» : un terme à préciser...4

Plus en détail

Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant

Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement

Plus en détail

La maladie de Berger Néphropathie à IgA

La maladie de Berger Néphropathie à IgA Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer

Plus en détail

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe

Plus en détail

Ethique, don d organe et Agence de la Biomédecine

Ethique, don d organe et Agence de la Biomédecine Ethique, don d organe et Agence de la Biomédecine Patrick Niaudet Président du Conseil d Orientation de l ABM Servie de Néphrologie Pédiatrique Hôpital Necker-Enfants Malades, Paris Mon intervention ne

Plus en détail

epm > nutrition Formation & Conseil

epm > nutrition Formation & Conseil CATALOGUE FORMATIONS THEME : NUTRITION et SANTE Septembre 2011 Juin 2012 Journée Spéciale pour les Pharmaciens «Conseils Nutritionnels en Officine» Journées de Formation sur Paris «Nutrition de l Adulte»

Plus en détail

Compléments - Chapitre 5 Spectroscopie

Compléments - Chapitre 5 Spectroscopie ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une

Plus en détail

curité du patient 19 mai 2009 Aurore MAYEUX Guy CLYNCKEMAILLIE

curité du patient 19 mai 2009 Aurore MAYEUX Guy CLYNCKEMAILLIE Déclarer un événement indésirable un élément majeur pour la sécurits curité du patient 19 mai 2009 Aurore MAYEUX Guy CLYNCKEMAILLIE Les hôpitaux plus meurtriers que la route Courrier de l escaut, janvier

Plus en détail

ACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2. Docteur R.POTIER

ACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2. Docteur R.POTIER ACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2 Docteur R.POTIER DEFINITION DU DIABETE soit : Syndrome polyuro-polydipsique + amaigrissement + 1 glycémie > 2g/L 2 glycémies à jeun > 1,26g/l 1 glycémie

Plus en détail

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication

Plus en détail

Les formes cliniques. Maxime Breban

Les formes cliniques. Maxime Breban Reconnaître la Spondylarthrite en 2011 Les formes cliniques Maxime Breban maxime.breban@apr.aphp.fr Qu'est-ce que les rhumatismes inflammatoires? Inflammation chronique des articulations Maladies complexes

Plus en détail

ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE

ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation

Plus en détail

PHYSIQUE. Calculatrices autorisées. Quelques enjeux de la fusion thermonucléaire inertielle laser

PHYSIQUE. Calculatrices autorisées. Quelques enjeux de la fusion thermonucléaire inertielle laser PHYSIQUE Calculatrices autorisées Quelques enjeux de la fusion thermonucléaire inertielle laser Les différentes parties sont très largement indépendantes Tout résultat donné par l énoncé peut être utilisé

Plus en détail

Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours

Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Septembre 2011 Pourquoi repérer l excès de poids? Que faire chez les sujets ayant un âge physiologique avancé? Quand diagnostiquer

Plus en détail

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures

Plus en détail

Encyclopédie de la. Nutrition. Clinique Féline. Pascale Pibot Vincent Biourge Denise Elliott

Encyclopédie de la. Nutrition. Clinique Féline. Pascale Pibot Vincent Biourge Denise Elliott Fermez cette fenêtre pour retourner sur IVIS Encyclopédie de la Nutrition Clinique Féline Pascale Pibot Vincent Biourge Denise Elliott DMV, Responsable des Éditions Scientifiques, Communication, Groupe

Plus en détail

La maladie de Still de l adulte

La maladie de Still de l adulte La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée

Plus en détail

BILAN projet DIABSAT 2010-2011. Diabétologie par Satellite

BILAN projet DIABSAT 2010-2011. Diabétologie par Satellite BILAN projet DIABSAT 2010-2011 Diabétologie par Satellite 1 OBJECTIFS Développer et évaluer 3 services de télémédecine assistés par satellite Volet 1 : Education à la nutrition et promotion de l activité

Plus en détail

Les Jeudis de l'europe

Les Jeudis de l'europe LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER

Plus en détail

Gestion hybride de la mémoire dynamique dans les systèmes Java temps-réel

Gestion hybride de la mémoire dynamique dans les systèmes Java temps-réel Gestion hybride de la mémoire dynamique dans les systèmes Java temps-réel Nicolas Berthier Stage de Magistère M encadré par Christophe Rippert et Guillaume Salagnac Laboratoire Vérimag Septembre 007 Résumé

Plus en détail

Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010

Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur

Plus en détail

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension

Plus en détail

Maternité et activités sportives

Maternité et activités sportives Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations

Plus en détail

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique

Plus en détail

Documentation technique du logiciel Moduleo Version du 03/12/2014

Documentation technique du logiciel Moduleo Version du 03/12/2014 Version du 03/12/2014 SOMMAIRE I) Architecture globale... 3 I.A) Logiciel modulaire... 3 I.B) Logiciel réseau... 3 I.C) Information en temps-réel... 3 I.D) Client lourd / serveur lourd... 4 II) Réseau...

Plus en détail

les deux premières années du Bachelor of Science en sciences pharmaceutiques

les deux premières années du Bachelor of Science en sciences pharmaceutiques UNIVERSITÉ DE FRIBOURG SUISSE FACULTÉ DES SCIENCES UNIVERSITÄT FREIBURG SCHWEIZ MATHEMATISCH-NATURWISSENSCHAFTLICHE FAKULTÄT Plan d'études pour les deux premières années du Bachelor of Science en sciences

Plus en détail