Maltraitance à enfant A. TAIMI

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1 Maltraitance à enfant A. TAIMI

2 Définition de l OMS La maltaraitance existe depuis toujours Elle comprend toutes les formes de mauvais traitements physiques et/ou psychoaffectifs, de sévices sexuels, de négligences ou d exploitation commerciale, entraînant un préjudice réel ou potentiel pour la santé de l enfant, sa survie, son développement ou sa dignité dans un contexte d une relation de responsabilité, de confiance ou de pouvoir 1989 : loi relative à la protection des mineurs et à la prévention des mauvais traitements et ratification par la France de la Convention des Droits de l Enfant

3 Observatoire national de l action sociale décentralisée (ODAS), création en catégories d enfants en danger : L enfant à risque est le mineur qui «connaît des conditions d existence risquant de mettre en danger sa santé, sa sécurité, sa moralité, son éducation ou son entretien, mais qui n est pas pour autant maltraité» (pas de lésion corporelle) L enfant maltraité est l enfant victime de violences physiques, de cruauté mentales, de négligences lourdes et d abus sexuels «ayant des conséquences graves sur son développement physique et psychologique». (l enfant est victime, il souffre de lésions corporelles, de carences graves, ou de troubles psychologiques

4 Épidémiologie Age des enfants victimes de maltraitance Moins de 5ans: 30% Entre 6 et 11 ans : 36% Entre 12 et 17 ans : 34%

5 Tous les milieux socioculturels sont concernés surtout pour les abus sexuels et psychologiques Facteurs de vulnérabilité Parents Déficience ou pathologie psychiatrique Alcoolisme, toxicomanie.. Facteurs sociaux : familles monoparentales et/ou mère très jeunes, Milieux défavorisés (chômage, difficultés de logement..) Grossesse et post partum : Grossesse non désirée ou mal investie, IVG refusée, Déni de G Fratrie : antécédent de mauvais traitement dans la famille Qui sont les «mal traitants» Mère : 25 % Pères 46%

6 Diagnostic difficile savoir y penser «On ne trouve que ce que l on cherche» Toujours examen complet même pour un diagnostic évident On suspecte une maltraitance devant : Histoire incohérente Signes cliniques suspects Facteurs de risque Mais on ne peut pas voir ce qui n existe pas au moment de la consultation

7 Signes physiques de maltraitance Lésions cutanées Lésions traumatiques (d âges différents) Traumatisme de l encéphale Syndrome de Münchhausen par procuration Signes cliniques de négligences Signes psychiques

8 Ecchymoses La plus fréquente des manif. cutanées Localisations inhabituelles : zones couvertes (fesses, tronc, dos, oreilles, régions génitales..) E. multiples et d âges différents

9 8 à 25 % des brûlures de l enfant sont dues à la maltraitance 20 % des enfants victime de maltraitance subissent des brûlures Brûlure par immersion dans l eau bouillante est la plus fréquente D autres origine sont possibles : chimique, ou électrique Brûlures

10 Atteinte des phanères Alopécie traumatique Décollement d ongle

11 Fracture métaphysaire Arrachement métaphysaire Fr. spiroide fémur décollement épiphysio- Fr. crâne métaphysaire Humérus

12 Hématome sous dural bilatéral épanchement sous dural bilatéral d âge différent scanner initial : hématome sous dural hyper dense IRM, H24 : hyper signal cortico-sous-cortical Scanner à 3 semaine atrophie cérébrale majeure

13 syndrome du bébé secoué 300 à 500 bébés secoués par an en France Il provient de mouvements de translation imposés à l enfant par maltraitance ou par un comportement inadapté à des pleurs par exemple. Hématome sous dural par déchirure des veines péricébrales Hémorragies rétiniennes Pas de lésions osseuses Manifestations cliniques : vomissements, irritabilités, convulsions, Pronostic très péjoratif avec séquelles neuropsychologiques +++

14 Münchhausen par procuration Maltraitance spécifique dans laquelle un parent, souvent la mère: Invente une maladie chez l enfant dans un quart des cas (malaise,convulsion, malaises, saignement ) Provoque une maladie dans un quart des cas : anémie par saignée, vomissement par ingestion d ipéca, hypoglycémie par ingestion d insuline Invente et provoque une maladie dans un peu moins de la moitié des cas Simule une maladie dans les autres cas Prises en charge répétées par plusieurs médecins dans différents hôpitaux et cliniques

15 Signes cliniques de négligence Dénutrition et déshydratation par privation Carences affectives pouvant être responsable d un retard psychomoteur ou d un nanisme psychosocial Manque de soins adaptés à l enfant Mauvais suivi de grossesse et consommation excessive d alcool, tabac ou drogue en connaissant les risques encourus pour l enfant à naître

16 Signes psychiques Elles sont dus généralement à 5 types de sévices psychologiques : le rejet, l ignorance, l isolement, la terreur et la corruption Elle peuvent entraîner Épuisement psychique (dépression, retard psychomoteur, désintérêt aux apprentissages.. Mise en place d une pathologie de la personnalité : psychose, perversion ) Conduites de mise en danger : TS, automutilation, Conduites d hétéro agressivité Conduites sadiques vis-à-vis des autres Violences envers les adultes

17 Abus sexuels Toutes formes d attouchement ou de pénétration sexuelle (orale, anale, vaginale) Diagnostic devant le récit d un enfant ou d un parent au cours d une consultation Importance +++ de l interrogatoire de l enfant Examen clinique très difficile et sa normalité n exclue pas le diagnostic

18 Conduite à tenir : 3 éventualités 1- Suspicion de l existence de sévices, sans preuve = enfant à risque : Alerter les services administratifs 2 - Probabilité de sévices car regroupement de présomptions «graves, précises et concordantes» = enfant en danger différé : Alerter les autorités administratives (ASE) et judiciaires Juge pour enfants et/ou Procureur de la République 3 - Certitude de sévices avec signes avérés = danger immédiat : Signalement immédiat au Procureur de la République ou à son substitut

19 Cadre juridique de signalement Article du code pénal : permet au médecin de déroger au secret professionnel. Il autorise le signalement des violences mais n impose pas en aucun cas la dénonciation de leur auteur, il n est tenu de signaler que les faits Articles 43 et 44 du code déontologique : le médecin doit alerter, sauf circonstances particulières qu il apprécie en conscience, les autorités médicales, judiciaires ou administratives

20

21 En pratique En cas de danger il faut hospitaliser l enfant L hospitalisation permet : de préciser le diagnostic un signalement administratif ou judiciaire un entretien avec l enfant et la famille d alerter les services sociaux de l Hôpital Si refus d hospitalisation : Juge pour enfants ou substitut du Procureur pour OPP (Ordonnance

22 Le 119 Service National d'accueil Téléphonique pour l'enfance Maltraitée (SNATEM), communément appelé «Allô Enfance Maltraitée». existe depuis 1989, N simplifié en 1997 Permanence 24/24h Réponse aux particuliers et aux professionnels En 2002 : demandes d aides immédiates + transmission à l A.S.E. ( enfants concernés)

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