Laurier Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke Titulaire de la Chaire de recherche de la Commission Scolaire de la Région de Sherbrooke.
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1 Engagement scolaire et persévérance rance au secondaire : Modèle théorique, types, évaluation et intervention Laurier Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke Titulaire de la Chaire de recherche de la Commission Scolaire de la Région de Sherbrooke. Université de Sherbrooke, Chaire de recherche de la CSRS,
2 Plan de la présentation Problématique 1. Étude longitudinale 2. Modèle multidimensionnel et explicatif du décrochage d scolaire, 3. Sous groupes d éd élèves à risque de décrochage d scolaire 4. Évaluation des élèves à risque 5. Programme d engagement d à la persévérance rance scolaire 5.1 Trait d Union d Conclusion 2
3 Prédiction des élèves à risque de décrochage scolaire Critères pour qu un facteur ait une très bonne valeur de prédiction: présence de façon stable sur une longue période de temps Facteurs de risque permettent d identifier très tôt des jeunes à risque Réaction différentes aux facteurs de risque Certains facteurs de risque présentent une plus grande puissance de prédiction Laurier Fortin, Ph.D. Université de Sherbrooke; 3
4 Le cumul des facteurs de risque Offre la meilleure représentation ou prédiction possible. 1 facteur de risque, peu de probabilité de développer des problèmes ultérieurs. Si 3 ou 4 facteurs de risque sont présents, le risque augmente considérablement (Rutter, 1985; Loeber, 1998). Laurier Fortin, Ph.D. Université de Sherbrooke; Pierre Potvin, Ph.D. UQTR 4
5 Principales difficultés à prédire le risque de décrochage scolaire Souvent, ces facteurs ne constituent qu un pourcentage de la variance expliquée. Il y a des jeunes qui étaient en difficultés scolaires et sociales pendant l enfance mais qui ne décrocheront pas. Certains n étaient pas en difficultés pendant leur enfance mais le deviendront à l adolescence. Les enfants résilients réussissent à bien s'adapter malgré les événements stressants et les conditions d adversité de l'environnement. Risque élevé d identifier des faux positifs et des faux négatifs. Laurier Fortin, Ph.D. Université de Sherbrooke; Pierre Potvin, Ph.D. UQTR 5
6 1. Étude longitudinale (Fortin, Marcotte, Potvin, Royer, ) 6
7 Étude longitudinale sur les difficultés d adaptation sociales et scolaires ( ) (Fortin, Potvin, Marcotte et Royer) Les participants 808 élèves inscrits en première secondaire, en septembre 1996 à Sherbrooke, Trois-Rivières et Québec Évalués chaque année depuis l âge 12 ans jusqu à 23 ans Évalués de 1996 à mesures personnelles 3 mesures familiales 1 mesure sociale 3 mesures scolaires 132 décrocheurs après 9 ans, dont 31 sont retournés aux études L. Fortin, Ph.D. professeur, Université de Sherbrooke Chaire de recherche de la CSRS, novembre,
8 2. Modèle multidimensionnel et explicatif du décrochage d scolaire (Fortin et al. soumis) 8
9 Interactions parents-adolescent Communication parents-adolescent Soutien affectif parental.67***.97***.59*** Dépression et difficultés familiales Relation parents-adolescent.67**.70*** Dépression Conflits familiaux Ordre et organisation Engagement en classe Environnement de classe Notes en maths Notes en français Notes en anglais.82***.79***.84***.66***.77***.90*** Interactions à l école Climat de classe Réussite scolaire.79***.86***.90***.70* Cohésion familiale Coopération en classe Attitudes de l enseignant Problèmes de comportement *p<.05 **p<.001 ***p<.000
10 Modèle Multidimensionnel et explicatif du décrochage scolaire : Fortin et al. (2010) Université de Sherbrooke ans 19 ans Faible statut socioéconomique.14** Relations parents-adolescent détériorées.53***.52***.14*.17** Interactions à l école négatives.52*** Faible réussite scolaire -.26***.71*** Genre (garçon) -.17** R 2 = 58.71% DÉCROCHAGE.15* Dépression et difficultés familiales.48*** Climat de classe négatif *p<.05 **p<.001 ***p<.001
11 3. Sous-groupes d élèves à risque de décrochage d scolaire Référence : Fortin, L., Marcotte, D., Potvin, P., Royer, É. et Joly, J. (2006). Typology of Students at Risk of Dropping Out of School: Description by Personal, Family and School Factors, European Journal of Psychology of Education, XXI(4),
12 Sous-groupes d élèves à risque de décrochage d scolaire (analyses de clustering) Conduites antisociales cachées 1449 élèves à risque: (n=73; 5%) Peu intéressés et peu motivés par l école 1449 élèves à risque: (n=150; 10.4%) Problèmes de comportement 1449 élèves à risque: (n=856; 59.1%) Dépressifs 1449 élèves à risque: (n=285; 19.7 %) 5. Atypiques 1449 élèves à risque: (n=85; 5.9 %) L. Fortin, Ph.D. professeur, Université de Sherbrooke Chaire de recherche de la CSRS
13 Groupe 1 : Le type conduites antisociales cachées élèves à risque: (n=73; 5 %) Personnel La performance scolaire est bonne mais légèrement sous la moyenne Perceptions positives des enseignants qui les décrivent comme ne présentant pas de problème de comportement. Conduites antisociales cachées. Haut niveau de dépression (limite du seuil clinique). Familial Ils vivent plusieurs problèmes familiaux. Peu de cohésion familiale. Peu d expression familiale. Peu d organisation familiale. Peu de soutien affectif. Peu de contrôle parental. Classe Ils perçoivent peu d ordre et peu d organisation en classe. Laurier Fortin, 2009, professeur, Université de Sherbrooke 13
14 Groupe 2 : Le type peu motivé /peu intéressé 1449 élèves à risque: (n=150; 10.4 %) Personnel Leur performance scolaire est très bonne. Perceptions positives des enseignants qui les décrivent comme ne présentant pas de problème. Niveau de dépression légèrement plus élevé que le groupe contrôle. Peu motivés en classe et, de façon générale, ils s ennuient à l école. Le groupe qui se rapproche le plus du groupe contrôle et est le moins à risque. Familial Ces élèves proviennent de familles qui présentent un bon fonctionnement, mais les parents leur offrent peu de soutien affectif. Classe Ils perçoivent peu d ordre et peu d organisation en classe. Laurier Fortin, 2009, professeur, Université de Sherbrooke 14
15 Groupe 3 : Le type problèmes de comportement 1449 élèves à risque: (n=187; 58.1 %) Personnel Leur performance scolaire est très faible. Les enseignants les décrivent comme présentant beaucoup de problèmes de comportement. Beaucoup de problèmes de délinquance. Niveau assez élevé de dépression. Familial Ils vivent plusieurs problèmes familiaux. Peu de cohésion familiale. Peu d expression familiale. Peu d organisation familiale. Peu de soutien affectif. Peu de contrôle parental. Classe Ils perçoivent peu d ordre et peu d organisation en classe. Laurier Fortin, 2009, professeur, Université de Sherbrooke 15
16 Groupe 4 : Le type dépressif 1449 élèves à risque: (n=42; 13%) Personnel Leur performance scolaire est très bonne (dans la moyenne). Les élèves que les enseignants perçoivent le plus positivement et décrivent comme présentant le moins de problèmes de comportement. Très haut niveau de dépression (au-delà du seuil clinique) (41% rapportent penser au suicide). Familial C est le groupe qui présente le plus de problèmes au niveau : de la cohésion familiale; de l expression familiale; du soutien affectif; de l organisation familiale; du contrôle familial. Classe Ils perçoivent peu d ordre et peu d organisation en classe. Laurier Fortin, 2009, professeur, Université de Sherbrooke 16
17 1.4 Points communs entre les sous-groupes : Comparés aux non décrocheurs du même groupe: Notes scolaires plus faibles, difficultés scolaires et retard. Attitudes de l enseignant plus négatives. Habiletés scolaires plus lacunaires dès le début du secondaire pour certains sousgroupes. Peu d engagement dans les études. Attitudes négatives envers l école. Au plan familial Moins d encadrement, moins de support et de soutien. Moins de cohésion et plus de conflits. Troubles concomitants P.C, délinquance, troubles de l attention, dépression, Anxiété. Cumul de facteurs de risque dès le début du secondaire. 17 Laurier Fortin, 2010, professeur, Université de Sherbrooke
18 Pourquoi étudier les sous-groupes d élèves? Reconnaître les différences individuelles et appliquer des programmes différenciés selon les besoins des types d élèves. 18
19 4. Développement du logiciel de dépistage du décrochage scolaire (LDDS) Étude longitudinale (Fortin et al., ) 808 élèves inscrits en première secondaire, en septembre 1996 Sherbrooke, Trois-Rivières, Québec 7 mesures personnelles, 3 familiales, 1 sociale et 3 scolaires 136 décrocheurs Soutien à la réussite scolaire (Fortin et al., ) 4 Commissions scolaires (Estrie) 16 écoles secondaires N= 6188 élèves évalués -3 mesures personnelles, -1 familiale, -3 scolaires Laurier Fortin, 2010, professeur, Université de Sherbrooke 19
20 Laurier Fortin Ph. D., Université de Sherbrooke Pierre Potvin Ph. D., Université du Québec à Trois-Rivières Centre de transfert pour la réussite éducative du Québec (CTREQ), éditeur GRICS, conception du site Web
21 La trousse de prévention du décrochage scolaire : Y a une place pour toi! 2004, Pierre Potvin, Laurier Fortin, Diane Marcotte, Égide Royer, Rollande Deslandes 2007, Centre de transfert pour la réussite éducative du Québec (CTREQ), éditeur, 2 e édition Télécharger gratuitement : 21
22 Interactions parentsadolescent Communication parents-adolescent Soutien affectif parental Modèle théorique explicatif en lien avec le LDDS et la typologie Fortin et al. (ne pas reproduire) Niveau socioéconomique Relation parentsadolescent Coopération en classe Attitudes de l enseignant Interactions à l école Problèmes de comportement Q4 Types Conduites antisociales cachées et Problèmes de comportement Q5 Type peu intéressé / peu motivé Réussite scolaire sexe 19 ans DÉCROCHAGE Q6 Type dépressif Dépression Conflits familiaux Cohésion familiale Fortin et al., 2009 Dépression et difficultés familiales Climat de classe Notes en maths Notes en français Notes en anglais Q1 Identification de l élève à risque de décrochage Ordre et Engagement Environnement organisation en classe de classe 22 Chaire de recherche de la Commission scolaire de la Région de Sherbrooke sur la réussite et la persévérance des élèves, février 2009
23 Taux d élèves selon le type, par école NAR CAC PI/PM PC Dép Aty Écoles N ,0 2,1 3,9 22,7 7,5 1, ,6 3,3 9,0 35,7 8,1 2, ,4 1,5 3,3 23,6 12,4 4, ,8 0,9 3,1 9,2 4,9 3, ,4 2,2 1,8 21,4 5,0 1, ,1 1,8 3,0 23,9 8,0 2,2 Total 60,6 2,1 4,0 23,7 7,4 2,2 N NAR = non à risque; CAC = Conduites antisociales cachées; PI/PM = Peu intéressé/ peu motivé; PC = Problèmes de comportement; Dép = Dépressif; Aty = Atypique Laurier Fortin, 2010, professeur, Université de Sherbrooke 23
24 5. Volet Trait d Union d : développement, d composantes, formation et supervision 24
25 5.1 Volet Trait d Union: d le développement d Recherche collaborative. Adaptation d un programme américain qui a démontré son efficacité (Check & Connect). Évaluation des élèves et pré-expérimentation dans les écoles secondaires en Bonification du programme selon les résultats de la pré-expérimentation dans les écoles et les recommandations du milieu. Poursuite de l implantation en L. Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke, Chaire de recherche de la CSRS, mars
26 5.2 Volet Trait d Union: d la philosophie Le suivi s appuie sur une relation significative et éducative entre l accompagnateur et l élève. Intervention proactive et positive: promotion de la réussite scolaire, des facteurs de protection et la résolution des problèmes; pas de méthode coercitive centrée sur les comportements indésirables de l élève. Intervention multidimensionnelle: cible principalement le jeune, mais comprend aussi des interventions auprès de la famille, de l enseignant et de l école. Ressources complémentaires de l école et de la communauté mises à contribution dans le but de soutenir l engagement et la réussite scolaire. M. Bernard, CSRS L. Fortin, Ph. D., Marie-France Bradley, pséd, US Chaire de recherche de la CSRS, mars
27 5.3 Les composantes de Trait d Uniond Composante Trait : Vérification des indicateurs d engagement et de réussite scolaire. Composante Union : Composante Union : Rencontre de l élève sur une base régulière. L. Fortin, Ph. D.,; Chaire de recherche de la CSRS, mars 2010
28 5.4 La composante Trait Objectif : Évaluer systématiquement le niveau d engagement des élèves et l intensité des indicateurs de désengagement scolaire. Les indicateurs Retards (motivés ou non) Absences (motivées ou non) Références pour comportement (local d encadrement) Retenues Suspensions internes et externes Échecs scolaires L. Fortin, Ph. D. professeur, Université de Sherbrooke, Chaire de recherche de la CSRS, mars 2010
29 5.5 La composante Union Objectifs : Rencontrer l élève sur une base régulière (une fois par cycle minimum). Offrir du soutien et un encadrement éducatif. Trouver avec l élève des stratégies positives favorisant la réussite et l engagement scolaire. Effectuer quelques communications avec le parent. L. Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke, Chaire de recherche de la CSRS, mars
30 4.5 La pyramide de l accompagnement l Trait d Uniond Fortin, Girard, Bradley, Plante, Thibaudeau et Vincent Chaire de recherche de la CSRS, mars 2010
31 Conditions essentielles pour l implantation efficace d un programme Favoriser l appropriation du programme par le milieu. S assurer de disposer des ressources nécessaires (humaines, financières, matérielles). Nommer un responsable porteur du dossier à l interne. Proposer une stratégie de formation et de supervision des acteurs clés. Sensibiliser à la question de la fidélité d implantation. Laurier Fortin, 2009, professeur, Université de Sherbrooke 31
32 Conclusion Le décrochage scolaire est une problématique complexe et multidimensionnelle, et les efforts de prévention doivent cibler avant tout les facteurs les plus puissants : personnels, familiaux et scolaires. Pour comprendre et identifier les élèves à risque et leurs besoins, il faut une évaluation rigoureuse de l ensemble des contextes; une analyse des résultats à partir d un modèle explicatif du décrochage; la planification de programmes de prévention différents selon les types et les besoins des jeunes. Pour plus d efficacité dans la lutte au décrochage, il faut mobiliser le milieu coordonner les actions et les diverses mesures; s appuyer davantage sur les résultats de recherche et les programmes probants; accompagner les milieux en difficulté; former les intervenants; un engagement et une gestion efficace de la part de la direction. L. Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke, Chaire de recherche de la CSRS,
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