Rapport de Progrès Environnemental

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Rapport de Progrès Environnemental"

Transcription

1 Rapport de Progrès Environnemental HYGIÈNE - SÉCURITÉ - ENVIRONNEMENT 21

2 Donnez-nous votre avis Sanofi-Synthélabo s engage à répondre à vos questions sur son bilan Hygiène-Sécurité-Environnement (HSE) Ce document s adresse à toutes les personnes qui veulent suivre l engagement de Sanofi-Synthélabo dans le sens du développement durable, à travers ses responsabilités essentielles en matière d Hygiène, de Sécurité et d Environnement, à l égard de ses collaborateurs, des riverains de ses établissements, des patients utilisateurs de ses médicaments ainsi que de l ensemble des parties prenantes dans la santé et les pays où le Groupe est présent. Il fait ressortir les progrès accomplis depuis plusieurs années et souligne les points sur lesquels nous devons porter encore nos efforts. Notre but est de faire avancer un modèle de développement qui concilie nos objectifs économiques avec les exigences sociales et environnementales et notre contribution à la santé. Ce rapport n est qu une étape dans une démarche que nous nous efforçons d améliorer et dont nous mesurons toutefois les limites et les insuffisances. Nous vous remercions de nous aider par vos suggestions et vos remarques. Vous pouvez nous retourner la carte réponse ci-jointe Vous pouvez aussi poser vos questions sur notre site :

3 somma ire inde x La politique d entreprise 2, 3 I Les enjeux liés à notre activité pharmaceutique 4, 5 II La sécurité au travail 6, 9 III L hygiène industrielle 1, 11 IV Le respect de l environnement 12, 17 V Nos efforts de formation et d investissements 18, 19 VI Nos actions auprès de nos partenaires économiques 2 VII Nos relations avec les acteurs locaux 21 VIII Nos relations avec les partenaires sociaux 22, 23 IX La démarche de management Hygiène Sécurité Environnement (HSE) 24, 29 X Les points sensibles... nos priorités 3 XI Notre volonté de progrès pour la période à venir 31 Accidents du travail 6, 7, 8, 9, 3, 31 Arèse 25 Audit 24 Azote total 16 CO 2 15 Composé organique volatil (COV) 14, 3 COVALIS 1 CHSCT 23, 29 Déchets 16, 17, 18 Demande chimique en oxygène (DCO) 15, 31 Eau 13, 19, 31 Energie 14 Entreprises extérieures 9 Formation 18, 3, 31, Façonniers 2 Gaz à effet de serre 15 Hygiène industrielle 1, 11, 31 Intérimaires 9 Investissements 19 Laboratoire physico-chimie des procédés (PCP) 29 Matières en suspension (MES) 16 Norme ISO , 31 Partenaires économiques 2, 31 Partenaires sociaux 22, 23 PASS 28, 29 Politique HSE 27 Risques industriels 5, 29 Sécurité incendie 24 SEVESO II 5, 7, 12, 21, 29 Sols 17, 3 Système de management HSE 24, 25, 26, 28, 29 Taux de fréquence des accidents du travail 6, 7, 8, 9 TRIBIO 1 Visiteurs médicaux 9, 18, 3 XII Glossaire 32

4 La politique d entreprise "La volonté du Groupe est de faire Jean-François Dehecq, PDG de Sanofi-Synthelabo de ses performances en matière de politique d Hygiène, de Sécurité et d Environnement, un facteur de progrès interne et un atout dans la relation avec les partenaires du Groupe, qu il s agisse du monde de la Santé, des populations et de leurs représentants et de nos clients et consommateurs". 2

5 Nous avons pleinement conscience de notre responsabilité globale en matière sanitaire et environnementale. Comment considérez-vous les démarches nouvelles en faveur du développement durable? Quels sont les principaux progrès réalisés en 21? L internationalisation des entreprises entraîne une demande de responsabilité sans cesse plus large : les entreprises doivent s efforcer de répondre aux défis de la planète pour ce qui est de leur ressort. C est en ce sens que s inscrivent les démarches en faveur du développement durable : la durabilité de l entreprise et celle de la société dans laquelle elle évolue sont deux considérations que l on ne peut pas dissocier. A ce titre il est bon que l industrie du médicament ait su trouver en 21 un accord au sein de l OMC pour concilier la satisfaction des aides d urgence en matière de santé publique, avec le respect des droits issus de la recherche privée. Comment évaluez vous la situation en matière d Hygiène-Sécurité-Environnement au sein du Groupe Sanofi-Synthélabo? La démarche du Groupe est ancienne de faire de ses performances en matière de politique d Hygiène, de Sécurité et d Environnement, un facteur de progrès interne et un atout dans la relation avec les partenaires du Groupe, qu il s agisse du monde de la Santé, des populations et de leurs représentants et de nos clients et consommateurs. Au nom de cette volonté, nous avons accompli des progrès substantiels par la mise en place d une politique Hygiène-Sécurité-Environnement qui est aujourd hui intégrée dans le management opérationnel des sites ; cette implication interne fait l objet d indicateurs de mesures chiffrées et d évaluations qualitatives ; nous l avons modélisée c est notre système PASS. Pour nous, il s agit de ne pas faire courir de risque à nos salariés et à notre environnement, du fait des matières, des produits et des process que nous utilisons pour accomplir notre mission au service de la Santé. Parmi les résultats atteints grâce à cet engagement qui date maintenant de quelques années, les risques biologiques et chimiques sont suivis très précisément par des comités indépendants. La réduction des accidents, dont les accidents de trajet de nos visiteurs médicaux, va continuer de nous mobiliser jusqu à ce que nous atteignions des niveaux plus satisfaisants. Quels sont vos axes de progrès pour les années à venir? Les axes d amélioration que nous avons identifiés s appliqueront à la réduction des points sensibles mais aussi à l élévation des standards que nous nous donnons et que la réglementation tend elle même à renforcer. Tous nos publics, dont nos actionnaires, doivent savoir ce que nous mettons dans cette politique qui leur garantit une entreprise plus sûre et mieux considérée. Nous avons pleinement conscience de notre responsabilité globale en matière sanitaire et environnementale et nous entendons tout faire pour l assumer, afin d envisager le futur avec une vision long terme, cohérente avec les obligations d une entreprise au service de la Santé. 3

6 Sanofi-Synthélabo fait aujourd hui partie des vingt plus grands groupes pharmaceutiques mondiaux. Septième européen et second français, le Groupe développe des médicaments dans quatre domaines : cardiovasculaire/thrombose, système nerveux I Les enjeux liés à notre activité pharmaceutique Le Groupe veut être exemplaire dans les domaines de l Hygiène, de la Sécurité et de l Environnement. De la conception des molécules jusqu'à la mise sur le marché des médicaments, nos chercheurs évaluent en permanence l impact de nos produits sur la santé humaine. Une expertise scientifique qu ils mettent au service de l ensemble des collaborateurs du Groupe. central, oncologie et médecine interne. Combattre la maladie, lutter contre la douleur et faire progresser l espérance de vie sont les principales motivations de nos collaborateurs répartis dans plus de cent pays. Les enjeux à l égard Préserver la santé de nos collaborateurs de nos collaborateurs au travail à court, moyen et long terme, c est d abord maîtriser les risques physiques, chimiques et biologiques inhérents à notre activité pharmaceutique. Nous découvrons et développons des molécules thérapeutiques de plus en plus actives à des doses de plus en plus faibles, c est-à-dire des substances de plus en plus puissantes biologiquement. Notre première préoccupation est d évaluer, de façon scientifique, les effets de ces produits sur la santé afin de définir les mesures nécessaires pour protéger la santé de nos collaborateurs durant leur vie professionnelle. Atelier de Chimie, Aramon, France 4

7 Les collaborateurs du Groupe Autres Force de vente Production Recherche et développement Les enjeux quant Développer et exploiter des procédés chimiques les plus sûrs possibles constitue le deuxième enjeu aux risques industriels de notre activité. Reste du monde Effectifs par zone géographique France Japon : Europe hors France États-Unis La maîtrise des risques industriels dans nos unités chimiques, dont trois sont classées SEVESO II, est un objectif majeur de notre politique HSE. Les 54 établissements industriels et de recherche par activité Recherche Chimie Economiser les ressources Les enjeux à l égard de l environnement naturelles, limiter les rejets et les émissions pour que soit préservée la biodiversité, assurer la sûreté de la chaîne d élimination des déchets, chimiques, biologiques ou radioactifs : tels sont nos principaux enjeux vis-à-vis de l environnement. L examen du cycle de vie des médicaments montre que la quasi-totalité des principes actifs qui les composent se retrouve dans l environnement après leur administration aux patients : caractériser et évaluer cet impact est pour Sanofi-Synthélabo un sujet d étude. 13 Distribution Production pharmaceutique Les 54 établissements industriels et de recherche par zone géographique Europe hors France Asie Amérique du Nord Amérique Latine France 22 3 Afrique 5

8 6 Dans le domaine de la sécurité au travail, notre politique est de préserver le patrimoine santé de tous nos collaborateurs quels que soient la nature et le type de collaboration : salariés, intérimaires et personnel des entreprises extérieures. LE ZÉRO ACCIDENT EN 21 À la fin de 2, l absence d accident était une réalité dans 1 de nos établissements industriels et de recherche, pour un effectif de 214 salariés. En 21, 19 établissements sur 54, soit 35 %, ont connu une année sans accident, pour un effectif de salariés. Pour 5 d entre eux (*), c est la deuxième année consécutive. Chimie Aramon (France) : 675 collaborateurs La Grange-St-Clair (France) : 23 collaborateurs Pharmacie Hangzhou (Chine) : 142 collaborateurs Séoul (Corée du sud) : 29 collaborateurs Saint-Louis (USA) : 8 collaborateurs Colomiers (France) : 184 collaborateurs Quétigny*(France) : 39 collaborateurs Ho Chi Minh Ville (Vietnam) : 257 collaborateurs Distribution Amilly (France) : 124 collaborateurs St-Loubès (France) : 143 collaborateurs Des Plaines* (USA) : 55 collaborateurs San-Agustin (Espagne) : 2 collaborateurs Chapeltown* (Royaume-Uni) : 24 collaborateurs Recherche Alnwick* (Royaume-Uni) : 28 collaborateurs Porcheville (France) : 219 collaborateurs Rueil-Malmaison (France) : 148 collaborateurs Strasbourg* (France) : 19 collaborateurs Ujpest (Hongrie) : 167 collaborateurs Milan (Italie) : 53 collaborateurs II La sécurité au travail Les résultats du Groupe Fin 2, le taux de fréquence des accidents(*) était égal à 4,3. Tout au long de 21, nous en avons identifié les causes et leur avons apporté des solutions. Résultats : le taux de fréquence a diminué de 18 % en un an. Nous avions constaté au niveau du Groupe, à la fin de l année 2, que le taux de fréquence des accidents, bien que faible, était encore supérieur à nos objectifs. En 21, nous avons mis en place un programme de diagnostic et d évaluation de tous les évènements accidentels afin d en identifier les causes. A partir de cette analyse, nous avons ensuite engagé un plan de prévention, impliqué les directions dans la gestion des accidents et développé des standards. Diminution du taux de fréquence en 21 : -18,6 % ,5 4,3 3, Taux de fréquence ( * ) Taux de fréquence : nombre d accidents avec arrêt consécutif supérieur à une journée de travail survenus au cours d une période de douze mois, rapporté à un million d heures travaillées

9 Recherche et développement Dans cette activité, les risques sont essentiellement chimiques, biologiques et radioactifs. Notre but étant de fiabiliser au maximum les procédés utilisés dans le développement des molécules, nous avons constitué en 21 un groupe de travail ad hoc. Sa mission : prévenir les risques chimiques dans les laboratoires de recherche et de développement. Il a réalisé en 21 un guide énonçant les règles à suivre en fonction des différents niveaux de risques. Un logiciel a été par ailleurs développé pour maîtriser le risque radioactif. Diminution du taux de fréquence en 21 : -12,9 % Chimie Les résultats détaillés Le principal risque est lié aux manipulations de substances et de préparations chimiques. Tous les produits utilisés au sein du Groupe ont été évalués par le comité COVALIS (COmité des VAleurs Limites Internes de Sanofi-Synthélabo) puis ont donné lieu à la fixation de valeurs limites d exposition. La mise en application des standards de protection est suivie dans chaque atelier par des mesures de performance. Tout est consigné dans une base de données qui référence les postes de travail en fonction de la dangerosité et qui définit les priorités d amélioration. S agissant des accidents majeurs, nous avons créé un groupe de travail qui, à partir de la directive européenne SEVESO II, a formalisé des règles homogènes. Elles sont dorénavant appliquées dans tous nos établissements de chimie dans le monde. Diminution du taux de fréquence en 21 : - 16,7 % , ,2 3,1 2, ,4 2, Taux de fréquence Taux de fréquence 7

10 Production pharmaceutique Outre les dangers d exposition aux principes actifs, nos collaborateurs sont confrontés à des risques liés aux machines, à des problèmes de manutention, à des risques ergonomiques qui peuvent provoquer des troubles musculo-squelettiques ainsi qu à des nuisances sonores. Chaque risque a fait l objet d une évaluation précise puis d une étude pour en réduire l occurence. L utilisation des machines a également fait l objet d un plan mondial dont le but était d éliminer les opérations dangereuses. Nous travaillons aussi, mais plus ponctuellement, sur les problèmes d ergonomie au travail. Dans certains établissements européens, une méthode pilote a été définie. Elle sera prochainement étendue aux autres établissements du Groupe. Diminution du taux de fréquence en 21 : - 18,3 % ,2 6, 4,9 Distribution La circulation des chariots élévateurs, la présence simultanée de personnes et d engins de manutention, les manipulations liées au stockage sont les principaux dangers auxquels sont exposés nos collaborateurs. En 21, un groupe de travail s est intéressé aux règles à observer en cas de bris de flacon ou d épandage d un principe actif pharmaceutique. Une procédure spéciale a été développée à cet effet. Après une augmentation des accidents en 2, nous constatons une diminution du taux de fréquence en 21: - 13,3 % ,3 4,5 3, Taux de fréquence Taux de fréquence Sièges Le principal risque est celui d un incendie. Après avoir évalué les différentes méthodes d intervention et de secours, nous avons élaboré des programmes de formation comportant des exercices d évacuation réguliers. Après une augmentation des accidents en 2, nous constatons une diminution du taux de fréquence en 21: - 57,9% ,4 1,9, Taux de fréquence

11 Après une augmentation des accidents en 2, nous constatons une diminution du taux de fréquence en 21 : - 34,1 % 1 Visiteurs médicaux Les visiteurs médicaux représentent le tiers des collaborateurs du Groupe. Le reporting de leurs accidents a été progressivement mis en place. La consolidation totale au niveau mondial a été achevée en 21. En 2, nous avions effectué un diagnostic en France afin d évaluer la typologie des accidents, puis mis en place un plan d actions en six points pour réduire de 1 % les accidents du travail, notamment les accidents de la circulation. En 21 ce programme a été étendu à l Italie, l Allemagne, la Belgique et la Suisse. Diminution du taux de fréquence en 21 : - 18 % ,5 8,5 5, Taux de fréquence 8 Entreprises extérieures ,8 6,1 4,6 Pour ces personnels (temps de travail représentant personnes à temps plein), nous avons mis en œ uvre des moyens (plans de prévention, accueil-formation, tableaux de bord) qui ont permis de diminuer le nombre d accidents du travail. Par exemple, sur le site chimique d Aramon, nous comptons 7 jours sans accident pour le personnel des entreprises extérieures, soit environ 1 personnes présentes chaque jour sur le site, et appartenant à tous 1 les corps de métier: mécaniciens, électriciens, etc Taux de fréquence Diminution du taux de fréquence en 21 : - 17,1 % 12 11, ,5 9 Personnel intérimaire Nous faisons bénéficier ces personnels (temps de travail représentant personnes à temps plein) de la même ,7 formation que celle assurée à notre personnel. Nous avons 5 en outre signé avec les entreprises de travail temporaire françaises une convention de partenariat pour la maîtrise de la sécurité. Notre but est d avoir une démarche coordonnée de prévention fondée sur une sensibilisation préalable aux missions, un accueil formation dans l établissement ainsi qu au poste de travail et un retour d expérience sur les accidents et incidents Taux de fréquence 9

12 Pour Sanofi-Synthélabo, préserver la santé III L hygiène industrielle Pour analyser les dangers potentiels, deux comités scientifiques pluridisciplinaires, COVALIS (Comité des valeurs limites internes de Sanofi-Synthélabo) et TRIBIO (Biosécurité, Bioéthique, Biovigilance) évaluent respectivement les dangers chimiques et biologiques des molécules que nous développons. Indépendants des structures opérationnelles, ils sont composés de médecins, de chimistes, de biologistes, de pharmacologues, de toxicologues et d un juriste. de ses collaborateurs est une priorité. Cela passe par une limitation et un contrôle de leur exposition à tous types de risques, qu ils proviennent des substances utilisées ou des procédés employés. COVALIS définit les valeurs limites d exposition professionnelle applicables à l ensemble du Groupe Sanofi-Synthélabo. TRIBIO référence tous les agents biologiques auxquels nos collaborateurs peuvent être exposés à leur poste de travail. A chaque risque correspond un niveau de protection. Sanofi-Synthélabo en a défini trois: le confinement, la protection collective, la protection individuelle et un système de management associé. La politique de prévention des risques du Groupe repose sur des standards de protection qui sont décidés par deux comités, COVALIS et TRIBIO. Chaque poste est ensuite évalué à l aide de 3 indicateurs de performance. Le confinement Système clos, généralement constitué d isolateurs ou de boîtes à gants empêchant la dissémination des substances chimiques dans l atmosphère de travail. Cette méthode est notamment utilisée pour les transferts de liquides, de poudres ou de gaz. 1 Isolateur dans une unité de production pharmaceutique, UJPEST, Hongrie

13 La protection collective Équipement utilisé lorsque le confinement est impossible à réaliser. Il s agit en général de hottes aspirantes, de sorbonnes ou d enceintes efficaces pour capter la contamination à la source. La protection individuelle Elle est assurée par le port de masques ou de scaphandres pour la protection respiratoire et des tenues et des gants pour la protection cutanée. Le management associé recouvre l ensemble des consignes, modes opératoires et formations nécessaires à la bonne utilisation des moyens de protection collective et individuelle. Trois indicateurs de performances ont été institués pour suivre l application du programme d hygiène industrielle : Évaluation formalisée du risque Tâche maîtrisée avec l utilisation d équipements de protection collective et d équipements de protection individuelle Tâche maîtrisée avec l utilisation exclusive d équipements de protection collective. À la fin de 21, 23 % des postes des sites chimiques et 55 % des postes des sites de production pharmaceutique étaient maîtrisés de sorte que le port d équipement de protection individuelle n était plus nécessaire. GREAT-VALLEY, CENTRE DE RECHERCHE (ÉTATS-UNIS) Pour développer des principes actifs destinés au traitement de certaines formes de cancer, nous avons équipé le centre de recherche et de développement de moyens de confinement. D un coût de 165 euros, cet investissement a permis d installer des équipements répondant aux standards de protection définis par le comité COVALIS. FAWDON, UNITÉ DE PRODUCTION PHARMACEUTIQUE (ROYAUME-UNI) Lors de la création d une nouvelle ligne de fabrication de produits pharmaceutiques nous avons installé des modules qui utilisent de nouvelles technologies de confinement et qui améliorent l ergonomie et la manutention. Les objectifs que nous nous étions fixés ont été atteints : répondre aux exigences de protection de la santé et améliorer les conditions de travail. Port des équipements individuels en production pharmaceutique, Quétigny, France Module de compression évitant l exposition au risque chimique, supprimant les manipulations manuelles et protégeant contre le bruit, Fawdon, Royaume-Uni. 11

14 Les investissements consacrés à l'environnement, 15,2 millions d euros en 1999 et 2, puis 11,2 millions d euros en 21, ont porté leurs fruits. Ils ont en effet permis de limiter les impacts environnementaux malgré la croissance de la production. IV Le respect de l environnement L activité chimique, source de rejets et d émissions chroniques et facteur de risque de pollution accidentelle, fait l objet d une vigilance particulière. Celle-ci porte spécialement sur les trois établissements classés SEVESO II. Sanofi-Synthélabo dans son secteur Il n existe pas de méthode universelle de comparaison des performances. Nous avons voulu cependant nous situer par rapport à 8 entreprises du secteur sur la base des chiffres qu elles publient dans leur rapport Environnement annuel 2, disponibles sur Internet. Pour les divers indicateurs Environnement, nous avons retenu la mesure de la donnée en valeur absolue rapportée au chiffre d affaires consolidé de la société considérée. Plus performant que la moyenne DCO Consommation d'eau Consommation d'énergie CO2 Moyenne COV Déchets non dangereux Déchets dangereux Taux de fréquence des accidents 1% -1% Moins performant que la moyenne Ce graphique représente l écart de l indicateur de Sanofi-Synthélabo par rapport à la moyenne de l échantillon. Sanofi-Synthélabo a de meilleurs résultats que la moyenne pour 6 indicateurs et de moins bons résultats pour les déchets dangereux et les COV. Cette appréciation n a qu une valeur indicative car il existe une marge d erreur en fonction de l interprétation des données et du périmètre de comparaison. 12

15 Les indicateurs de performance Les chiffres sont donnés à périmètre constant et en valeur absolue, ils sont rapportés aux variations du chiffre d affaires consolidé du Groupe, +12 % en 2 et +9% en 21, qui reflètent l évolution globale de l activité. Les courbes en rouge donnent le ratio de chaque mesure au chiffre d affaires en kiloeuros. La consommation d eau Nos nouvelles installations sont conçues pour consommer le moins d'eau possible. Des projets de recyclage sont identifiés sur les installations anciennes pour réduire l usage de l'eau. Conséquence: rapportée à l activité, la consommation a chuté de 7 % depuis m 3 litres/k OPTIMISATION D UN SYSTÈME DE REFROIDISSEMENT EN CIRCUIT FERMÉ À SISTERON, CHIMIE (FRANCE) Deux bâtiments qui comptent parmi les ateliers de production les plus importants du site utilisaient des tours de refroidissement obsolètes. D une capacité insuffisante, celles-ci nécessitaient la consommation d eau brute d appoint provenant d un canal ou de forages. Le but a donc été de diminuer la consommation d eau, de diminuer les rejets vers la station d épuration et dans les eaux pluviales, et enfin, d optimiser la fonction refroidissement. Chimie Pharmacie Recherche Distribution Ratio Pour un investissement de l ordre de 2millions d euros, les réseaux ont été modernisés et les tours changées. Le système de refroidissement est maintenant totalement en circuit fermé. Résultat: la consommation d eau de l usine a diminué de 19 % en 21 et la maintenance a été facilitée. Systèmes de refroidissement en circuit fermé à Sisteron, Chimie France 13

16 Les émissions de composés organiques volatils (COV) En 2 et 21, nous avons accéléré le programme de réduction des émissions de solvants dans la production pharmaceutique. Le but est d en supprimer l emploi ou d en réduire les émissions par amélioration des procédés de traitement. La consommation d énergie Le Groupe n'est pas un grand consommateur industriel d'énergie et 97 % de celle ci est peu polluante : gaz naturel, électricité. Un tiers est utilisé par nos unités chimiques. Le reste l est pour assurer des conditions correctes de fabrication dans les unités pharmaceutiques (filtration, contrôle de température et d humidité de l air, confinement de certaines zones) et pour garantir la qualité des produits dans les centres de distribution (contrôle de la température). Par rapport à 1999, la consommation totale du Groupe a diminué de 8 % rapportée à l activité. Nous veillons à ce que des matériels performants soient sélectionnés et installés lors d extensions et de rénovations. Des économies d'énergie au jour le jour sont par ailleurs encouragées à travers des sensibilisations au respect de l'environnement. Toutefois, il faut noter que les équipements de dépollution de l'air et de l'eau sont consommateurs d'énergie, mais les progrès enregistrés dans les émissions de COV et dans la qualité des eaux résiduaires sont à ce prix. Nous avons par ailleurs mené trois types d actions pour réduire les émissions dans la production chimique : équipement des réacteurs avec de nouveaux moyens de condensation, mise en place de nouveaux réseaux de captage des émissions et mise en service d unités de traitement associées. Résultat: une réduction de 29 % des émissions de COV par rapport à 1999, rapportée à l activité. D autres projets sont aujourd hui en phase de réalisation ou à l étude, ils permettront dans les trois ans à venir de poursuivre la réduction des émissions de COV à un rythme soutenu. Tonnes g/k GJ 3 5 MJ/k 6 Chimie Pharmacie Recherche Distribution Ratio LA CRYOGÉNIE PIÈGE LES COV À BUDAPEST Ayant à traiter de gros volumes d air faiblement chargés en composés organiques volatils, nous utilisions jusqu à présent, dans notre unité chimique de Budapest, un grand nombre de laveurs d air et de colonnes d absorption. Après avoir réduit les débits d air à la rénovation des unités, nous avons porté notre choix sur la cryocondensation, technologie plus économique et plus flexible : Chimie Pharmacie Recherche Distribution Ratio plutôt que d investir dans des installations encombrantes, l investissement peut être modulaire. Cette opération pilote d un montant de 76 euros sera étendue à d autres sites confrontés aux mêmes difficultés. 14

17 La demande chimique en oxygène (DCO) des effluents La demande chimique en oxygène caractérise la charge polluante des effluents. Par rapport à 1999, la DCO des effluents a augmenté de 2 % rapportée à l activité. La DCO des effluents est aujourd hui bien maîtrisée en sortie de nos unités de synthèse chimique. A Aramon et Sisteron, jusqu à 96 % de la DCO entrante est éliminée dans une station de traitement innovante, équipée de bioréacteurs à membranes. Dans les établissements de production pharmaceutique, notre programme d équipement en stations ou bassins de pré-traitement se poursuit, contribuant à la régression constante de cet impact. tonnes 7 g/k 12 Les émissions directes de gaz à effet de serre (CO 2 ) C est principalement l utilisation de chaudières et des installations de chauffage, des procédés ou des bâtiments qui est à l origine des émissions de CO 2. Par rapport à 1999, nous avons enregistré une baisse des émissions de 12 %, rapportée à l activité. tonnes 1 8 kg/k Chimie Pharmacie Recherche Distribution Ratio Chimie Pharmacie Recherche Distribution Ratio 15

18 Les matières en suspension (MES) Après une très importante diminution en 2, le poids total des MES rejetées dans nos effluents a augmenté en 21, représentant toutefois une diminution de 31% par rapport à tonnes g/k Les déchets non dangereux La quantité totale de déchets non dangereux a reculé par rapport à 1999, de 26 % en valeur absolue et de 39 % par rapport à l activité. Les deux tiers des déchets sont aujourd hui réutilisés, recyclés ou valorisés thermiquement. En conséquence, sur la même période, le tonnage mis en décharge a diminué de 4 %. Nous avons obtenu ces résultats grâce à la recherche systématique de filières de valorisation par nos équipes, en partenariat avec nos prestataires de service. Chimie Pharmacie Recherche Distribution Ratio tonnes 12 g/k L azote total Après une diminution très importante enregistrée en 2 après la mise en service des stations de traitement de nos unités de synthèse chimique, les rejets ont augmenté en 21 au même rythme que notre activité tonnes g/k Non valorisés Valorisés Ratio Chimie Pharmacie Recherche Distribution Ratio

19 Les déchets dangereux En 2 et 21, nous avons systématisé la valorisation des déchets dangereux. Aujourd hui, seuls 3 % de ces déchets ne sont pas valorisés. Nous avons porté nos efforts sur leur récupération thermique passant de 59 % en 1999 à 86 % en 2 et 97 % en 21. Au total, la quantité de déchets dangereux a diminué de 5 % par rapport à 1999 à activité constante. tonnes g/k Non valorisés Valorisés Ratio TRAITEMENT DES DÉCHETS AU BLOC STÉRILE DE MISE EN SERINGUE À NOTRE DAME DE BONDEVILLE, PRODUCTION PHARMACEUTIQUE (FRANCE) Les sols D une manière générale, Sanofi-Synthélabo évalue la qualité environnementale du sol et du sous-sol des sites et anciens sites. Lorsque des sources potentielles de pollution sont mises en évidence, des études complémentaires sont entreprises afin de mettre en place des programmes de surveillance et, le cas échéant, de remise en l état des lieux. Ainsi, un ancien établissement de production pharmaceutique situé à Massy dans l Essonne (France) et une décharge anciennement exploitée à Valernes, dans les Alpes de Haute-Provence (France) ont fait l objet, en 21, d une étude détaillée des risques dans le but de déterminer les conditions de remise en état des lieux. Des provisions ont été constituées à cet effet. Sanofi-Synthélabo a souhaité optimiser le tri et le recyclage pour que le volume des déchets d emballage ou de production soit le plus faible possible, tout en continuant à améliorer la qualité pharmaceutique de ses fabrications. L équipe HSE a recherché des filières de valorisation et un procédé de recyclage a été mis au point puis validé par les autorités pharmaceutiques. 17

20 Le système de management HSE du Groupe s accompagne d un programme de formation V Nos efforts de formation et d investissements La formation et d investissements qui a permis une amélioration des résultats de sécurité et la réduction de l impact des activités sur l environnement. La norme ISO 141 est l aboutissement d un processus interne de management HSE. LA FORMATION AU RISQUE CHIMIQUE Sanofi-Synthélabo a développé un cédérom de formation au risque chimique en anglais, en français et en espagnol Patrimoine Santé- Substances Dangereuses (méthodologie COVALIS). Cet outil de formation qui est déjà mis en œuvre dans deux tiers des sites concernés a reçu en 21 un prix spécial de l INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité) pour sa méthodologie de prévention. Informer, sensibiliser et accroître les compétences des collaborateurs à la gestion des risques professionnels, tels sont les objectifs des formations. En 21, 4 heures de formation HSE ont été dispensées sur les sites industriels et de recherche. LA GESTION DES DÉCHETS À LABÈGE, CENTRE DE RECHERCHE (FRANCE) En 21, un outil pédagogique a été remis à l ensemble des collaborateurs du site pour les aider à s impliquer dans la gestion quotidienne des déchets. Se présentant sous forme d un nuancier de poche, cet outil de sensibilisation, de formation et de rappel de procédures d élimination des déchets a pour but de professionnaliser les gestes quotidiens afin de renforcer la protection de l environnement. LA FORMATION DES VISITEURS MÉDICAUX Cédérom Patrimoine Santé Substances Dangereuses Cette catégorie de collaborateurs est particulièrement exposée aux accidents de la route. Le Groupe a conçu un programme de formation à la conduite, disponible via Internet aux Etats-Unis et sur cédérom au Royaume-Uni. 18

21 Les investissements En 21, Sanofi-Synthélabo a consacré 11,2 millions d euros pour limiter l impact de son activité sur l environnement. NOUVEAUX ATELIERS DE SYNTHÈSE CHIMIQUE EN FRANCE À Aramon et Sisteron, Sanofi-Synthélabo a investi 25 millions d euros dans la construction de deux unités chimiques de grande capacité (1 6 t/an de poudres manipulées). Deux exigences fortes faisaient partie du cahier des charges : l ergonomie des manutentions et le respect de nos standards de protection de la santé (valeur limite d exposition de 5 µg/nm 3 ). Les solutions adoptées ont consisté en des systèmes de manutention par conteneurs étanches et des vannes de transfert assurant le confinement des produits. Cela a permis de limiter fortement le port d équipements de protection individuelle et la manipulation des fûts, ce qui a conduit à un haut degré de sécurité mais aussi à un niveau très élevé de confort de travail pour ce type d atelier de chimie fine. STATION DE TRAITEMENT DES EAUX USÉES À HO CHI MINH VILLE, PRODUCTION PHARMACEUTIQUE (VIETNAM) Jusqu à la fin de l année 2, les eaux résiduaires étaient directement rejetées dans le milieu naturel. En collaboration avec les autorités locales chargées de l environnement et des activités pharmaceutiques, nous avons mis en place en janvier 21 un système de traitement de ces effluents d un coût de 72 euros. Les eaux subissent des traitements physicochimique et biologique avant d être rejetées dans le milieu naturel. Les rejets de DCO ont ainsi été réduits de 9 % en un an. BASSIN DE RÉTENTION DES EAUX À BUDAPEST, CHIMIE ET PRODUCTION PHARMACEUTIQUE (HONGRIE) Nous avons décidé de compléter le dispositif de prévention des pollutions accidentelles. L'objectif était de contenir sur le site les eaux d'extinction d'un éventuel incendie ainsi que tout déversement accidentel. Pour un coût de 4 euros, nous avons créé un bassin de rétention d'une capacité de 1 5 m 3, raccordé aux réseaux de collecte des eaux pluviales et des eaux usées. Atelier de production chimique synthèse 3 à Aramon (France) La normalisation La norme ISO 141 tend à assurer que l impact sur l environnement des procédés industriels et des équipements de recherche a été analysé et évalué. Elle permet de contrôler que des moyens sont prévus pour réduire continuellement cet impact et maîtriser les effets indésirables. En août 21, le centre de recherche d Alnwick, au cœur du Northumberland dans le nord-est de l Angleterre, a été certifié ISO141. La certification récompense les efforts de tous les collaborateurs du site qui ont tous été associés au projet pendant dix mois. Ce projet nous a permis de réduire les coûts en optimisant les consommations d énergie et d eau, en recyclant autant que possible les matériaux utilisés et en améliorant les procédures. 19

22 Sanofi-Synthélabo ne se limite pas à une vision interne de ses responsabilités environnementales. Le Groupe s efforce aussi de mettre en place une chaîne de VI Nos actions auprès de nos partenaires économiques Sanofi-Synthélabo fait appel à de multiples partenaires extérieurs, tels les façonniers et les transporteurs de matières dangereuses. Nous leur demandons de tenir compte de nos exigences en matière d Hygiène, de Sécurité et d Environnement. Cette étroite collaboration s est véritablement concrétisée en 21 par des visites d évaluation, des échanges d informations et une proposition d assistance. vigilance tout au long du processus de fabrication auprès de ses fournisseurs et de ses prestataires. Les transporteurs de matières dangereuses Nous avons pour objectif d uniformiser les procédures relatives au transport de matières dangereuses notamment lors des passations de commandes, de la rédaction des clauses contractuelles et des contrôles des opérations de chargement ou de déchargement. Le programme a été engagé en 21 dans le secteur de la chimie. Il sera étendu en 22, à celui de la production pharmaceutique. En 21, la Direction HSE a diligenté de nouvelles inspections pour vérifier que les façonniers prenaient en compte les exigences définies dans une annexe technique HSE jointe au contrat. Les façonniers Ainsi, une mission a été menée auprès de fournisseurs chinois à l occasion d un audit qualité. À chaque fois qu une situation anormale a été constatée, des suggestions d amélioration ont été formulées. Une prochaine mission auprès de ces mêmes fournisseurs permettra d apprécier la mise en œuvre des solutions préconisées. 2 Audit conjoint qualité et HSE chez un fournisseur en Chine

23 Pour satisfaire aux dispositions réglementaires et conscient du rôle à jouer auprès des acteurs locaux, le Groupe a développé des relations avec les riverains de ses sites industriels et de recherche. Cette démarche en est à ses débuts. Elle sera étendue au vu À titre d illustration, voici quelques unes des actions menées en France. PROFESSIONNALISATION DE L INGÉNIERIE DE LA SANTÉ À L INSTITUT UNIVERSITAIRE DE MONTPELLIER VII Nos relations avec les acteurs locaux L'IUP Ingénierie de la santé de Montpellier a créé un cycle de spécialisation Stratégie Industrielle Environnement-Santé en dernière année de formation (Bac+4). Sanofi-Synthélabo, qui a soutenu la création de cet IUP, intervient à la fin du cycle Santé- Environnement, en effectuant un tour d'horizon des différentes questions environnementales en s'appuyant sur des exemples concrets dérivés de l expérience de nos établissements industriels. Cela permet d éclairer les étudiants, préalablement à leur stage en entreprise, sur les conditions pratiques d'application sur le terrain des principes théoriques qui leur ont été enseignés au cours de leurs études, en insistant sur les difficultés à résoudre pour les exploitants. des expériences actuelles. RENCONTRES AVEC LES RIVERAINS À SISTERON, CHIMIE L'établissement chimique de Sisteron, classé SEVESO II, a mené à l'automne 21 une campagne de sensibilisation de ses riverains les plus proches qui, pour la plupart, appartiennent à des entreprises ou sont artisans. Ont été organisées à l intention des représentants de ces entreprises ou de leurs salariés des réunions d information et de dialogue. Animées conjointement par le chef d établissement de Sisteron et les animateurs HSE, celles-ci ont permis de présenter le site, ses activités, son personnel (qualification, formation), les moyens mis en œuvre, la démarche sécurité et environnement ainsi que les règles à appliquer en cas d'un accident éventuel. Au total, 15 réunions ont été tenues et suivies pour certaines, d une visite de l établissement de Sisteron. OPÉRATION 1 ARBRES À ARAMON, CHIMIE Sanofi-Synthélabo recrée un paysage méditerranéen autour de son site d Aramon. Mille arbres - oliviers, arbres de Judée, érables, micocouliers, pins d Autriche et d Alep, noisetiers, charmes, lilas, rosiers - ont ainsi été plantés. Menée par une équipe de quinze étudiants de l École forestière de Montélimar, cette opération a permis de réduire l impact visuel de l établissement. 21

24 L accord Hygiène Sécurité Conditions de travail et Environnement vise à associer l ensemble du personnel en définissant les outils et les moyens de la politique HSE. VIII Nos relations avec les partenaires sociaux Extrait de l accord Hygiène Sécurité Conditions de travail et Environnement Au-delà du strict respect des dispositions légales et réglementaires, Consciente que le thème HSE suppose l implication de tous les acteurs de l entreprise, Sanofi-Synthélabo a noué un dialogue avec les partenaires sociaux qui s est traduit par un accord, pour la France, signé par quatre organisations syndicales. les parties signataires reconnaissent qu un haut degré de performance dans les domaines de l hygiène, de la sécurité, des conditions de travail et de l environnement fait partie intégrante de la bonne marche de l entreprise et participe à sa performance économique. Cette performance s exprime par le maintien, la préservation et l amélioration des conditions de travail, d hygiène, de sécurité et d environnement de l ensemble des salariés du Groupe mais aussi de ceux des entreprises sous-traitantes ou travaillant dans l enceinte des établissements. Frédéric Cluzel, directeur des relations sociales de Sanofi-Synthélabo Notre Groupe a toujours eu le sens des responsabilités vis-à-vis de ses collaborateurs et de l environnement, en matière de HSE. Dans le passé, nous avons organisé de nombreuses réunions pour améliorer la sécurité mais nous nous sommes dit qu il fallait aller plus loin, c est-à-dire être d accord, non plus uniquement sur la manière dont les règles de sécurité sont appliquées, mais aussi sur les grands principes de la politique HSE du Groupe. Nous avons donc engagé une discussion avec les représentations syndicales et nous nous sommes mis d accord sur un texte qui identifie désormais les orientations politiques et les responsabilités de chacun en matière de HSE. Cet accord n est pas figé, il est amené à évoluer. Ainsi cette année, il devrait intégrer tout ce qui concerne les problèmes de harcèlement moral dont la réglementation a évolué depuis la signature de l'accord. Par ailleurs, cet accord n est aujourd hui valable qu en France. Nous aurons très vraisemblablement des discussions HSE au niveau européen. 22

25 Jean-Claude Michetti, directeur Hygiène, Sécurité, Environnement de Sanofi-Synthélabo Cet accord traduit la volonté du Groupe d'associer les représentants du personnel à ses engagements HSE, en renforcement des rôles joués par les CHSCT (Comité d'hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail) dans les établissements. Partager avec les partenaires sociaux les principes directeurs de la politique HSE du Groupe et ses modes de mise en application, c'est un atout supplémentaire pour obtenir l'implication de l'ensemble de nos collaborateurs. Ceci est très important car cette implication est la clé de la réussite de la prévention qui est fortement dépendante du comportement de chacun dans l'entreprise. L avis des partenaires sociaux Jack Fontanille, délégué syndical CFDT de Sanofi-Synthélabo L accord en lui-même couvre énormément d aspects en matière de Sécurité, d Hygiène et d Environnement. Il faut reconnaître que les dirigeants de Sanofi-Synthélabo et la direction HSE n ont jamais négligé ces trois aspects compte tenu notamment de l existence de nos trois unités classées Seveso II : nous n avons donc pas attendu les événements récents survenus à Toulouse pour investir dans la Sécurité, l Hygiène et l Environnement de manière importante. Nous restons aujourd hui très vigilants : nous voulons voir comment cet accord est appliqué sur chaque site où des accords locaux ont été déclinés. Point très positif : il a formalisé l obligation qu ont dorénavant les sites de se pencher sur leurs propres règles de Sécurité, d Hygiène et d Environnement. Jean Pierre Davigny, délégué syndical CFTC de Sanofi-Synthélabo L accord Hygiène Sécurité Conditions de travail et Environnement que nous avons signé en septembre 2 était, dans les faits, quasiment identique à celui qui existait chez Sanofi avant la fusion avec Synthélabo. Nous en étions extrêmement contents, nous avons donc tout lieu d être également satisfaits de celui que nous avons signé il y a un an et demi. Apparemment, cet accord est aujourd hui un succès, tous les acteurs semblent en être en effet contents. Dans le Groupe Sanofi-Synthélabo, la politique HSE fonctionne et on peut vraiment parler aujourd hui de sécurité. Si je prends le cas de la visite médicale, un métier où les contraintes sont lourdes, la direction a fait de très nets efforts pour éviter les accidents, ce qui rejaillit sur l environnement global des visiteurs médicaux. Dominique Maurange, délégué syndical pour la CFE CGC de Sanofi-Synthélabo Nous avons signé un bon accord ; c est en effet une véritable référence en matière HSE pour tous les sites et sociétés du Groupe. Les organisations syndicales ont un rôle important à jouer pour continuer à améliorer les dispositions prévues. Dans le cadre de la loi de modernisation sociale, l accord sera amené à évoluer : il sera notamment complété pour tenir compte de toutes les formes de harcèlement. Il y a aujourd hui une volonté politique très sincère de l entreprise de faire en sorte d avoir des systèmes de protection HSE pour l ensemble des catégories professionnelles. Annie Valais, coordinatrice Force Ouvrière de Sanofi-Synthélabo Nous sommes signataires pour de nombreuses raisons. D abord, parce que cet accord existait avant la fusion et fonctionnait parfaitement, ensuite parce qu il concerne chaque collaborateur du Groupe. Il intègre même des notions qui seront amenées à prendre une certaine importance dans le futur comme le harcèlement moral. Plus qu un accord, c est un esprit et tout le monde y trouve sa place. Nous avons voulu que cet accord qui repose sur le PASS et le comité TRIBIO, soit le plus large possible afin qu il soit adaptable à chaque société du Groupe. De manière plus générale, l implication de la Direction en matière HSE est importante. Il n y a en effet pas une fois où ce thème ne soit abordé aux réunions de comité Groupe. La Direction porte aujourd hui ses efforts pour diminuer le trop grand nombre d intérimaires, facteurs de risques. 23

26 La démarche de progrès continu est le principe fondateur de la politique HSE de Sanofi-Synthélabo. Le Groupe a mis en place IX La démarche de management Hygiène Sécurité Environnement (HSE) La Direction centrale HSE comprend 18 collaborateurs. Elle se compose d experts en sécurité du travail, toxicologie industrielle, hygiène industrielle, sécurité incendie, technologies de l environnement, sciences de la vie et risques industriels. une organisation spécifique, la Direction HSE chargée de définir les objectifs et les actions dans ce domaine. La Direction HSE est chargée de développer la culture HSE et de former les collaborateurs à la méthodologie et à la pratique opérationnelle. En contact avec les 54 chefs d établissement et les 78 animateurs HSE, elle anime les réseaux HSE en définissant des programmes d application de la politique. Enfin, elle contrôle l application de la méthodologie à l échelle locale grâce en particulier à des audits. AUDITS En 21, l équipe interne HSE a effectué des audits dans 4 établissements pharmaceutiques et 1 établissement de distribution. 4 audits externes ont également été conduits dans des établissements de la chimie sur la sécurité des stockages des matières dangereuses. Parallèlement, 31 audits de Prévention Résultats de sécurité incendie : sur la période , pour l ensemble des établissements industriels, des centres de recherche et des centres administratifs du Groupe, nous n avons à déplorer que 5 incendies dont les dommages n ont pas excédé au total 35 euros. Sécurité Incendie ont été effectués conjointement avec nos assureurs. Ils ont concerné 8 établissements de recherche, 5 établissements de chimie, 13 établissements pharmaceutiques, 2 établissements de distribution, 3 établissements administratifs. Lors de ces audits, 9 critères ont été examinés puis consolidés par un indicateur de performance. Ce dernier a progressé de 77 en 1999 à 86 à 21, le maximum théorique étant de 1. 24

27 La mission La mission de la Direction centrale HSE est de prévenir les risques professionnels et environnementaux. À cet effet, elle définit les objectifs HSE du Groupe et veille à développer une culture interne. Elle fixe les directives et standards HSE, assiste les opérationnels, élabore des méthodes et outils d aide à la mise en œuvre de la politique. Elle s assure enfin que celle-ci est comprise et appliquée sur le terrain. HSE Ce logo accompagne toutes les initiatives et actions menées dans le Groupe relatives à l hygiène, la sécurité et l environnement. Avis d Arèse Agence de notation sociale et environnementale sur les entreprises, Arèse note tous les ans les principales sociétés cotées en bourse à l attention des investisseurs. Comment jugez-vous la politique environnementale de Sanofi-Synthélabo? Très positivement : la Direction des Ressources Techniques - elle chapeaute l'environnement - a les moyens de mener une politique environnementale efficace. Son mode de fonctionnement repose sur des outils performants comme le système de reporting et de gestion des informations ou son réseau d'interlocuteurs clairement identifiés : à tout moment, il est ainsi possible de déterminer les responsabilités. Sanofi-Synthélabo doit cependant prendre garde : on attendra en effet toujours plus d'une entreprise rentable dont l'activité a un impact non négligeable sur l environnement. Sur quoi repose l efficacité de cette politique? Cette politique HSE est le résultat de la convergence entre l'implication des salariés et le développement des outils de gestion adaptés. La Direction HSE anime un réseau de partenaires internes et externes : Les directions opérationnelles (Chimie, Pharmacie, Distribution, Recherche & Développement, Forces de Vente) : suivi de la politique HSE. Les chefs d établissement : soutien et aide à la définition de programmes HSE conformes aux objectifs du Groupe. Les réseaux HSE (Animateurs, Médecins, Comités) : aide au pilotage des actions HSE et formation pour développer l expertise des participants. Les équipes de projets : aide à l intégration des exigences HSE dans tous les projets d investissement. L ensemble du personnel : développement de la culture HSE chez le personnel notamment d encadrement. Les co-contractants : prise en compte des exigences HSE par les fournisseurs et prestataires. En plus, la communication des engagements et des résultats est faite auprès des diverses communautés en relation avec le Groupe. Comment le Groupe Sanofi-Synthélabo se comporte-t-il par rapport à ses concurrents? Sanofi-Synthélabo que nous comparons avec les vingt plus grands groupes mondiaux de pharmacie, se situe dans la moyenne sur le plan de l'environnement. Geneviève Férone, Présidente Directrice Générale. 25

Métiers de la Qualité, Sécurité, Environnement

Métiers de la Qualité, Sécurité, Environnement Les fiches Métiers de l Observatoire du Travail Temporaire Emploi, compétences et trajectoires d intérimaires cadres Métiers de la Qualité, Sécurité, Environnement Ingénieur méthodeordonnancement Qualité

Plus en détail

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion

Plus en détail

Système Management Environnemental

Système Management Environnemental Système Management Environnemental Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine - Bassin Eaux Pluviales Environnemental Politique Qualité Sécurité Environnement Sommaire Norme

Plus en détail

Mémoire technique Aide à la rédaction

Mémoire technique Aide à la rédaction Mémoire technique Aide à la rédaction Pour apprécier la valeur technique de l offre, le maître d ouvrage peut exiger des candidats la fourniture d un mémoire technique. Deux cas de figure s offrent alors

Plus en détail

Intitulé du stage. Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011

Intitulé du stage. Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011 Intitulé du stage Dates Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011 Recherche et réduction des rejets de Substances Dangereuses dans l'eau Mardi 20 septembre 2011 Mardi

Plus en détail

Le Responsible Care, une démarche accessible aux PME - PMI: Les 9 principes du Responsible Care illustrés par des actions simples et efficaces

Le Responsible Care, une démarche accessible aux PME - PMI: Les 9 principes du Responsible Care illustrés par des actions simples et efficaces Le Responsible Care, une démarche accessible aux PME - PMI: Les 9 principes du Responsible Care illustrés par des actions simples et efficaces 1 Origine du Responsible Care Démarche volontaire de l'industrie

Plus en détail

Le développement durable clé en main

Le développement durable clé en main Le développement durable clé en main Le développement durable au cœur de la stratégie d Assa Abloy 2 de la sécurité est un marché dynamique, tiré par les évolutions sociétales (besoins de sécurité grandissants,

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE : SANTE ET SECURTE AU TRAVAIL

FICHE TECHNIQUE : SANTE ET SECURTE AU TRAVAIL SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL Mesurer et prévenir les risques professionnels Liés aux conditions générales de travail, les risques professionnels font peser sur les salariés la menace d une altération de

Plus en détail

8) Certification ISO 14 001 : une démarche utile et efficace

8) Certification ISO 14 001 : une démarche utile et efficace Aller plus loin 8) Certification ISO 14 001 : une démarche utile et efficace 8) Certification ISO 14 001 8 La norme ISO 14001 et la certification Cette norme internationale vise à établir dans l organisme

Plus en détail

Métiers d études, recherche & développement dans l industrie

Métiers d études, recherche & développement dans l industrie Les fiches Métiers de l Observatoire du Travail Temporaire Emploi, compétences et trajectoires d intérimaires cadres Métiers d études, recherche & développement dans l industrie R&D Production Ingénieur

Plus en détail

SYNTHESE SUR L ETUDE DES METIERS DU PRESSING - Janvier 2008 -

SYNTHESE SUR L ETUDE DES METIERS DU PRESSING - Janvier 2008 - SYNTHESE SUR L ETUDE DES METIERS DU PRESSING - Janvier 2008 - OBJECTIF DE L ETUDE L objectif de cette étude est de répertorier tous les risques professionnels dans un pressing (base de l évaluation des

Plus en détail

ENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS

ENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS ENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS Cette étude a été réalisée auprès de six entreprises de transport urbain de voyageurs, sur le territoire de la CINOR, sur la base des déclarations des

Plus en détail

Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement

Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement Depuis la création de Syngenta en 2000, nous avons accordé la plus haute importance à la santé, à la sécurité et à l environnement (SSE) ainsi qu

Plus en détail

Bien vivre, dans les limites de notre planète

Bien vivre, dans les limites de notre planète isstock Bien vivre, dans les limites de notre planète 7e PAE le programme d action général de l Union pour l environnement à l horizon 2020 Depuis le milieu des années 70, la politique environnementale

Plus en détail

Le développement durable clé en main

Le développement durable clé en main Le développement durable clé en main 2 Le développement durable au cœur de la stratégie d ASSA ABLOY de la sécurité est un marché dynamique, tiré par les évolutions sociétales (besoins de sécurité grandissants,

Plus en détail

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte

Plus en détail

Métallerie / Serrurerie

Métallerie / Serrurerie Votre activité peut être liée à celles de traitement de surface/polissage et de décapage. Si vous êtes dans ce cas, reportezvous aux fiches correspondantes. 1 Les déchets Les déchets issus de votre activité

Plus en détail

Emis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014

Emis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014 Emetteur : CRMA Limousin Page 1 sur 6 1. Quelle réglementation s applique à mon entreprise? Emis le : 5/08/2011 Toute entreprise artisanale ou industrielle est soumise au règlement sanitaire départemental.

Plus en détail

CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel

CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel N 38 Développement durable n 2 En ligne sur le site www.fntp.fr / extranet le 19/02/2013 ISSN 1769-4000 CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L

Plus en détail

Ecoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets

Ecoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets Ecoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets Présentation d Ecoval Maroc 2 Sommaire Présentation d Ecoval Maroc Perception du Marché de déchets Objectifs de la plateforme Ecoval

Plus en détail

La RSE au service de la stratégie de l entreprise et de la création de valeur

La RSE au service de la stratégie de l entreprise et de la création de valeur La RSE au service de la stratégie de l entreprise et de la création de valeur La RSE est aujourd hui un enjeu de première importance pour les entreprises : il reflète la prise de conscience grandissante

Plus en détail

la climatisation automobile

la climatisation automobile Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous

Plus en détail

GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE

GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE Politique Environnementale du Groupe UNILOGI 70.000 personnes logées au sein de notre patrimoine dans 210 communes sur 7 départements et 3 régions, xxx entreprises fournisseurs

Plus en détail

L obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail

L obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 21 novembre 2012 à 14 h 30 «Pénibilité. Transition emploi-retraite. Elaboration de cas-types pour les projections.» Document N 6 Document de travail,

Plus en détail

Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1.

Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1. Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1 Juin 2015 NOTICE D HYGIENE ET DE SECURITE P. 2 sur 8 SOMMAIRE 1 Hygiène...

Plus en détail

RAPPORT DE LA PRESIDENTE DU CONSEIL DE SURVEILLANCE A L'ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE ANNUELLE DU 15 JUIN

RAPPORT DE LA PRESIDENTE DU CONSEIL DE SURVEILLANCE A L'ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE ANNUELLE DU 15 JUIN " PRECIA " Société Anonyme à Directoire et à Conseil de Surveillance Au capital de 2 200 000 Siège social à VEYRAS - 07000 PRIVAS R.C.S. AUBENAS B. 386.620.165 (1966 B 16) RAPPORT DE LA PRESIDENTE DU CONSEIL

Plus en détail

Recours aux entreprises extérieures

Recours aux entreprises extérieures RECOMMANDATION R429 Recommandations adoptées par le Comité technique national de la chimie, du caoutchouc et de la plasturgie le 21 novembre 2006. Cette recommandation annule et remplace la recommandation

Plus en détail

Enjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise

Enjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise Enjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise Journées d échanges franco-suisses sur la gestion des sites et sols pollués 14 15 juin 2012 Hans-Jürg Reinhart Carine

Plus en détail

Qualité Sécurité Environnement

Qualité Sécurité Environnement Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...

Plus en détail

H1302 - Management et ingénierie Hygiène Sécurité Environnement -HSE- industriels

H1302 - Management et ingénierie Hygiène Sécurité Environnement -HSE- industriels Appellations Adjoint / Adjointe au responsable environnement-hygiène-sécurité en industrie Ingénieur / Ingénieure en traitement des déchets industriels Chargé / Chargée de l'hygiène et de la sécurité du

Plus en détail

Document unique d évaluation des risques professionnels

Document unique d évaluation des risques professionnels Document unique d évaluation des risques professionnels La loi n 91-1414 du 31 décembre 1991 (article L.230-2 du Code du travail), demande au chef d établissement de prendre toutes les mesures nécessaires

Plus en détail

Autorisation et Convention

Autorisation et Convention Autorisation et Convention Déversement d eaux usées non domestiques dans les réseaux publics de collecte Entreprises et Collectivités : procédures pour être en conformité avec la loi Crédit photo CA Évry

Plus en détail

H1303 - Intervention technique en Hygiène Sécurité Environnement -HSE- industriel

H1303 - Intervention technique en Hygiène Sécurité Environnement -HSE- industriel H1303 - Intervention techniue en Hygiène Sécurité Environnement -HSE- industriel Appellations Animateur / Animatrice en déchets en industrie Technicien / Technicienne en environnement, sécurité et conditions

Plus en détail

AVIS 1 / 6. Afssa Saisine n 2008-SA-0319 Saisine liée n 2005-SA-0081. Maisons-Alfort, le 18 août 2009. Rappel de la saisine

AVIS 1 / 6. Afssa Saisine n 2008-SA-0319 Saisine liée n 2005-SA-0081. Maisons-Alfort, le 18 août 2009. Rappel de la saisine Maisons-Alfort, le 18 août 2009 AVIS LA DIRECTRICE GÉNÉRALE ADJOINTE de l Agence française de sécurité sanitaire des aliments relatif à une demande d'avis relatif au guide de bonnes pratiques d'hygiène

Plus en détail

Système de management H.A.C.C.P.

Système de management H.A.C.C.P. NM 08.0.002 Norme Marocaine 2003 Système de management H.A.C.C.P. Exigences Norme Marocaine homologuée par arrêté du Ministre de l'industrie, du Commerce et des Télécommunications N 386-03 du 21 Février

Plus en détail

EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON

EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie

CAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie CAHIER DES CHARGES Etude de faisabilité : Version septembre 2011 Chaufferie bois Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie Direction Régionale Ile de France Page 1/8 SOMMAIRE A.- OBJECTIFS

Plus en détail

Table des matières... i. Liste des figures...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des tableaux...fehler! Textmarke nicht definiert.

Table des matières... i. Liste des figures...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des tableaux...fehler! Textmarke nicht definiert. Table des matières Table des matières... i Liste des figures...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des tableaux...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des annexes... iv Liste des abréviations

Plus en détail

10.CARBON DESKTOP : RÉDUIRE SES COÛTS GRÂCE A UN SUIVI INFORMATISE DES DONNÉES DÉCHETS ET ÉNERGIE

10.CARBON DESKTOP : RÉDUIRE SES COÛTS GRÂCE A UN SUIVI INFORMATISE DES DONNÉES DÉCHETS ET ÉNERGIE ÉTUDE DE BENCHMARKING SUR LES DÉCHETS DANS LES MÉTHODOLOGIES D ACTION SUR LES COÛTS ET SUR LES 10.CARBON DESKTOP : RÉDUIRE SES COÛTS GRÂCE A UN SUIVI INFORMATISE DES DONNÉES DÉCHETS ET ÉNERGIE Type de

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS

Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS 23 mars 2015 Synthèse Avec plus de 12.000 évaluations

Plus en détail

Système de Management Intégré Qualité, Sécurité et Environnement. Un atout pour l entreprise

Système de Management Intégré Qualité, Sécurité et Environnement. Un atout pour l entreprise CCI Moselle, le16 avril 2013 Système de Management Intégré Qualité, Sécurité et Environnement Un atout pour l entreprise Intervention de Olivier Rousseaux, Auditeur QSE, Expert en organisation et management

Plus en détail

Éléments méthodologiques sur le reporting environnemental 2011

Éléments méthodologiques sur le reporting environnemental 2011 1 Nos performances environnementales, sociales et sociétales en 2011 Éléments méthodologiques sur le reporting environnemental 2011 Sur les données environnementales publiées dans le présent rapport, il

Plus en détail

INDUSTRIELS EN DEMARCHE ISO 14001 MANUEL D ACCOMPAGNEMENT

INDUSTRIELS EN DEMARCHE ISO 14001 MANUEL D ACCOMPAGNEMENT INDUSTRIELS EN DEMARCHE ISO 14001 MANUEL D ACCOMPAGNEMENT DIRECTION DES ACTIONS INDUSTRIELLES Directeur de publication : Jean-Marc Picard - Directeur des Actions Industrielles Agence de l Eau Seine-Normandie.

Plus en détail

ASSISTANCE ET RENFORCEMENT DES CAPACITÉS OFFERTS DANS D AUTRES INSTANCES INTERNATIONALES. Document soumis par l Unité d appui à l application *

ASSISTANCE ET RENFORCEMENT DES CAPACITÉS OFFERTS DANS D AUTRES INSTANCES INTERNATIONALES. Document soumis par l Unité d appui à l application * RÉUNION DES ÉTATS PARTIES À LA CONVENTION SUR L INTERDICTION DE LA MISE AU POINT, DE LA FABRICATION ET DU STOCKAGE DES ARMES BACTÉRIOLOGIQUES (BIOLOGIQUES) OU À TOXINES ET SUR LEUR DESTRUCTION BWC/MSP/2009/MX/INF.4

Plus en détail

SYSTÈME DE MANAGEMENT ENVIRONNEMENTAL

SYSTÈME DE MANAGEMENT ENVIRONNEMENTAL 15 e École d été en évaluation environnementale Évaluation de la durabilité du développement urbain et industriel : outils d analyse de l empreinte écologique et des impacts sociaux et sanitaires Douala,Hôtel

Plus en détail

EnviroPro Questionnaire de Souscription

EnviroPro Questionnaire de Souscription Instructions Ce questionnaire est un document confidentiel, sa signature n engage pas le demandeur à souscrire un contrat d assurance. Ce questionnaire peut être accompagné de la copie du dossier de demande

Plus en détail

Service Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09

Service Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 CAISSE RÉGIONALE D ASSURANCE MALADIE RHÔNE -ALPES Service Prévention des Risques Professionnels 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 FT 1022 OCTOBRE

Plus en détail

COMMENTAiRES/ DECISIONS

COMMENTAiRES/ DECISIONS Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N

Plus en détail

DU COMITE TECHNIQUE NATIONAL DES INDUSTRIES DES TRANSPORTS, DE L EAU, DU GAZ, DE L ELECTRICITE, DU LIVRE ET DE LA COMMUNICATION

DU COMITE TECHNIQUE NATIONAL DES INDUSTRIES DES TRANSPORTS, DE L EAU, DU GAZ, DE L ELECTRICITE, DU LIVRE ET DE LA COMMUNICATION RECO DU COMITE TECHNIQUE NATIONAL DES INDUSTRIES DES TRANSPORTS, DE L EAU, DU GAZ, DE L ELECTRICITE, DU LIVRE ET DE LA COMMUNICATION Mise en œuvre du dispositif CATEC : Certificat d aptitude à travailler

Plus en détail

Fonctionnalités HSE PILOT. Groupe QFI www.hse-pilot.com

Fonctionnalités HSE PILOT. Groupe QFI www.hse-pilot.com Fonctionnalités HSE PILOT Groupe QFI www.hse-pilot.com Module produit chimique RECENSEMENT DES PRODUITS Les produits chimiques sont omniprésents dans les entreprises. La gestion qui leur est associée peut

Plus en détail

Facility Management Une organisation à votre service

Facility Management Une organisation à votre service Facility Management Une organisation à votre service Les Services d Efficacité Energétique et Environnementale Sommaire Le FM, au service de votre stratégie page 4 Une organisation à votre service page

Plus en détail

Mesure de l efficacité énergétique du site et externalisation de maintenance

Mesure de l efficacité énergétique du site et externalisation de maintenance Mesure de l efficacité énergétique du site et externalisation de maintenance Deux outils d Amélioration Continue en Facilities Management chez Merck Millipore à Molsheim Thèse professionnelle présentée

Plus en détail

Livret d accueil. Notice - modèle type de livret d accueil Conseils pour assurer une intégration réussie. Livret d accueil.

Livret d accueil. Notice - modèle type de livret d accueil Conseils pour assurer une intégration réussie. Livret d accueil. 1 Notice - modèle type de livret d accueil Conseils pour assurer une intégration réussie Janvier 2014 2 NOTICE L intégration d un jeune embauché dans une entreprise et au sein d une équipe de travail est

Plus en détail

Annexe A : tableau des Indicateurs GRI

Annexe A : tableau des Indicateurs GRI Annexe A : tableau des Indicateurs GRI Ce tableau présente les indicateurs de la Global Reporting Initiative (GRI) ayant été utilisés dans la préparation de notre rapport. Symboles I Inclus P Partiellement

Plus en détail

Epreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014 DOSSIER REPONSE

Epreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014 DOSSIER REPONSE SUJET DE CONCOURS COMMUN AUX CENTRES DE GESTION : CONCOURS D ADJOINT TECHNIQUE DE 1ERE CLASSE SESSION 2014 SPECIALITE «ENVIRONNEMENT, HYGIENE» Epreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014

Plus en détail

Retour à la croissance

Retour à la croissance Après une forte amélioration de ses résultats au T4 2010 et la finalisation de ses programmes d investissement et de réorganisation, Eurofins réaffirme ses objectifs à moyen terme 28 janvier 2011 A l occasion

Plus en détail

SECTION 3: Composition/informations sur les composants 3.2. Mélanges % CAS # (EC) No 1272/2008 1999/45/EC Deuterium oxide 99.

SECTION 3: Composition/informations sur les composants 3.2. Mélanges % CAS # (EC) No 1272/2008 1999/45/EC Deuterium oxide 99. FICHE TECHNIQUE SANTE-SECURITE Selon la règlementation (CE) n 1907/2006 Date de la modification: 07/10/14 www.restek.com SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise

Plus en détail

Bilan des émissions de gaz à effet de serre

Bilan des émissions de gaz à effet de serre Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de

Plus en détail

3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux

3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux 3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux (111) Cette section présente une liste d actions recommandées qui devraient être mises en place par le gouvernement central

Plus en détail

AUDIT SUR L UTILISATION ET L IMPACT DU DOCUMENT UNIQUE DANS L ENTREPRISE

AUDIT SUR L UTILISATION ET L IMPACT DU DOCUMENT UNIQUE DANS L ENTREPRISE AUDIT SUR L UTILISATION ET L IMPACT DU DOCUMENT UNIQUE DANS L ENTREPRISE EN45b/a39 Version 0 le 03/09/12 Date de l audit : / / Nom : N adhérent : Adresse : ENTREPRISE AUDITEE : Nature de l activité : Nombre

Plus en détail

Bachelors Technologiques

Bachelors Technologiques Bachelors Technologiques Mines et Carrières - Gestion et Maintenance de Parc de Matériels de Travaux Publics - QHSE Qualité Hygiène Sécurité Environnement www.2ie-edu.org Institut International d Ingénierie

Plus en détail

Nouveau jeune collaborateur

Nouveau jeune collaborateur Insérez le logo de l'entreprise LIVRET D'ACCUEIL Nouveau jeune collaborateur Livret d accueil de : Prénom NOM ACCUEIL ACCOMPAGNEMENT Nous sommes heureux de vous accueillir au sein de notre entreprise.

Plus en détail

La politique environnementale de Computershare

La politique environnementale de Computershare La politique environnementale de Computershare Computershare est un chef de file mondial en matière de transfert de titres, de régimes d employés à base d actions, de sollicitation de procurations et d

Plus en détail

Healthcare * sdv.com. Logistique. Imagination. *Santé

Healthcare * sdv.com. Logistique. Imagination. *Santé Healthcare * sdv.com Logistique. Imagination. *Santé SDV, un service de proximité et une performance assurée La puissance de notre réseau : Notre présence dans 102 pays garantit un service de proximité

Plus en détail

Autorité de sûreté nucléaire et Bilan du contrôle de la centrale nucléaire de Saint-Alban / Saint-Maurice en 2013

Autorité de sûreté nucléaire et Bilan du contrôle de la centrale nucléaire de Saint-Alban / Saint-Maurice en 2013 Autorité de sûreté nucléaire et Bilan du contrôle de la centrale nucléaire de Saint-Alban / Saint-Maurice en 2013 CLI de Saint-Alban / Saint-Maurice l Exil 19 mai 2014 19/05/2014 1 L Autorité de sûreté

Plus en détail

CONVENTION POUR LE RACCORDEMENT DES INDUSTRIELS DE SAINT-BRIEUC AU RESEAU D'ASSAINISSEMENT. Mesdames, Messieurs,

CONVENTION POUR LE RACCORDEMENT DES INDUSTRIELS DE SAINT-BRIEUC AU RESEAU D'ASSAINISSEMENT. Mesdames, Messieurs, Ville de SAINT-BRIEUC ------------------------------- Conseil Municipal ---------------------- Séance du 8 décembre 2000 ----------------- Rapporteur : M. MANGOLD ----------------- N 10 CONVENTION POUR

Plus en détail

SERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER. d AURILLAC. 1er congrès de l AFGRIS

SERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER. d AURILLAC. 1er congrès de l AFGRIS SERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER henri MONDOR d AURILLAC 1er congrès de l AFGRIS METHODE D ANALYSE ET DE PREVENTION DES RISQUES ET CERTIFICATION ISO 9002 Un couple pertinent pour les services techniques

Plus en détail

MANUEL DE MANAGEMENT QUALITE SECURITE - ENVIRONNEMENT

MANUEL DE MANAGEMENT QUALITE SECURITE - ENVIRONNEMENT MANUEL DE MANAGEMENT QUALITE SECURITE - ENVIRONNEMENT Indice : F Date : 05/02/2014 Siège : Z.I 13 Rue de la Résistance BP -61620-14406 BAYEUX cedex Tel. : 02 31 51 40 00 Atelier de montage/ajustage : Z.I

Plus en détail

Métiers de la Production/ Logistique

Métiers de la Production/ Logistique Les fiches Métiers de l Observatoire du Travail Temporaire Emploi, compétences et trajectoires d intérimaires cadres Métiers de la Production/ Logistique R & D Production Ingénieur de recherche Responsable

Plus en détail

PARTENAIRE COMMERCIAL DE MSD CODE DE CONDUITE

PARTENAIRE COMMERCIAL DE MSD CODE DE CONDUITE PARTENAIRE COMMERCIAL DE MSD CODE DE CONDUITE «Nos valeurs et nos règles» pour nos partenaires commerciaux Code de conduite pour le partenaire commercial de MSD [Édition 1] MSD est engagée dans une démarche

Plus en détail

N/Réf. : CODEP-PRS-2010-037299 Monsieur le Directeur Institut Gustave Roussy (IGR) 39, rue Camille Desmoulins 94800 VILLEJUIF

N/Réf. : CODEP-PRS-2010-037299 Monsieur le Directeur Institut Gustave Roussy (IGR) 39, rue Camille Desmoulins 94800 VILLEJUIF RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE PARIS N/Réf. : CODEP-PRS-2010-037299 Monsieur le Directeur Institut Gustave Roussy (IGR) 39, rue Camille Desmoulins 94800 VILLEJUIF Paris, le 06 juillet 2010 Objet : Inspection

Plus en détail

Article225: Guide sectoriel CNCC Audition plateforme RSE, 20 février 2014

Article225: Guide sectoriel CNCC Audition plateforme RSE, 20 février 2014 Article225: Guide sectoriel CNCC Audition plateforme RSE, 20 février 2014 Jean-Michel Silberstein Délégué Général CNCC Christophe Garot CNCC UNIBAIL-RODAMCO Le CNCC Le CNCC, Conseil National des Centres

Plus en détail

L approche Casino en matière de développement durable?

L approche Casino en matière de développement durable? L approche Casino en matière de développement durable? 1 Les principaux enjeux pour Casino Optimiser la conception et la gestion des magasins (énergie, paysage, ) Environnement Maîtriser les impacts du

Plus en détail

Vulcano Pièges Fourmis

Vulcano Pièges Fourmis FDS Conforme au règlement 1907/2006/CE et 1272/2008/CE 16-12-10- Page 1/5 FICHES DE DONNEES DE SECURITE 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Produit : Utilisation : Fournisseur : Vulcano Pièges

Plus en détail

Le 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie

Le 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie Le 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie Les aides aux activités économiques Franck LEROY Responsable du Service Investissements Collectivités et Industrie Direction Seine Aval

Plus en détail

CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010

CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010 CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010 Objet : Utilisation des fluides frigorigènes dans les installations de réfrigération A l'attention de(s) : Pour information : Monsieur l'administrateur général de l'administration

Plus en détail

La gestion durable du chantier en pratique

La gestion durable du chantier en pratique Formation Bâtiment Durable : La gestion durable du chantier en pratique Bruxelles Environnement Le coût de la gestion durable du chantier Marc Vanderick Les Entreprises Louis De Waele Le coût de la gestion

Plus en détail

La cartographie des risques outil fédérateur de pilotage: exemple d'application dans un groupement d'établissements. Marc MOULAIRE

La cartographie des risques outil fédérateur de pilotage: exemple d'application dans un groupement d'établissements. Marc MOULAIRE La cartographie des risques outil fédérateur de pilotage: exemple d'application dans un groupement d'établissements. Marc MOULAIRE Définitions Successivement la cartographie a été: L'Art de dresser les

Plus en détail

Activités. Boîte à idées pour remplir la fiche de poste * Direction. Animation d équipe et organisation du travail. Conduite de projets

Activités. Boîte à idées pour remplir la fiche de poste * Direction. Animation d équipe et organisation du travail. Conduite de projets Boîte à idées pour remplir la fiche de poste * Activités 1. 1. Pilotage, management Direction Informer et aider les élus à la décision Définir (ou participer à la définition de) la stratégie de la direction

Plus en détail

HUMI-BLOCK - TOUPRET

HUMI-BLOCK - TOUPRET FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET

Plus en détail

l entretien des chaudières

l entretien des chaudières Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d

Plus en détail

Fiche de données de sécurité

Fiche de données de sécurité Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION

Plus en détail

Questionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise

Questionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise Questionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise Questionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise La politique environnementale

Plus en détail

1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2

1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2 EXTRAIT DE LA DECLARATION ENVIRONNEMENTALE et SANITAIRE CONFORME A LA NORME NF P 01-010 PROFILES PVC DE DECORATION ET D AMENAGEMENT INTERIEURS ET EXTERIEURS Edition DECEMBRE 2005 SNEP - Profilés PVC de

Plus en détail

Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011

Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 SOMMAIRE Synthèse et Conclusion... 1 Introduction... 4 1. La description

Plus en détail

Les Cahiers QSE I) LES ENJEUX D UN SYSTÈME DE MANAGEMENT INTÉGRÉ QUALITÉ - SÉCURITÉ ENVIRONNEMENT. 1) Introduction...6-7. 2) Contexte...

Les Cahiers QSE I) LES ENJEUX D UN SYSTÈME DE MANAGEMENT INTÉGRÉ QUALITÉ - SÉCURITÉ ENVIRONNEMENT. 1) Introduction...6-7. 2) Contexte... I) LES ENJEUX D UN SYSTÈME DE MANAGEMENT INTÉGRÉ QUALITÉ - SÉCURITÉ ENVIRONNEMENT 1) Introduction...6-7 2) Contete...8 à 10 3) Des enjeu Qualité, Sécurité, Environnement qui sont liés...11 4) Intérêts

Plus en détail

Bioénergie. L énergie au naturel

Bioénergie. L énergie au naturel Bioénergie L énergie au naturel Les références d AREVA en bioénergie Plus de 2,5 GW dans le monde : la plus grande base installée de centrales biomasse AREVA développe des solutions de production d électricité

Plus en détail

Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales»

Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales» Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales» Les chaînes d activité mondiales (CAM) Les chaînes d activité recouvrent la gamme complète des fonctions et des tâches

Plus en détail

les outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir

les outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir connaître pour agir Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement les enjeux les outils les applications locales Enjeux d une analyse environnementale et leviers d améliorations QU EST-CE

Plus en détail

Or, la prévention des risques psychosociaux relève de l obligation générale de l employeur de protéger la santé physique et mentale des salariés.

Or, la prévention des risques psychosociaux relève de l obligation générale de l employeur de protéger la santé physique et mentale des salariés. Introduction Les symptômes du stress (troubles du sommeil, de l appétit, agressivité, épuisement, troubles de la concentration ), touchent un nombre croissant de salariés en France : un salarié sur 6 déclare

Plus en détail

Point d actualités du site AREVA Tricastin

Point d actualités du site AREVA Tricastin Point d actualités du site AREVA Tricastin Frédéric De Agostini Directeur d AREVA Tricastin CLIGEET du 21 juin 2012 Direction Tricastin Journée sécurité des chantiers du Tricastin Plus de 1200 participants

Plus en détail

La Commission des Titres d ingénieur a adopté le présent avis

La Commission des Titres d ingénieur a adopté le présent avis Avis n 2010/05-10 relatif à l habilitation de l École polytechnique fédérale de Lausanne (Suisse) à délivrer des titres d ingénieur diplômé admis par l état Objet : G : accréditation et admission par l'état

Plus en détail

Fiche de données de sécurité selon 1907/2006/CE, Article 31

Fiche de données de sécurité selon 1907/2006/CE, Article 31 Page : 1/5 1 Identification de la substance/du mélange et de la société/l'entreprise Identificateur de produit Utilisations identifiées pertinentes de la substance ou du mélange et utilisations déconseillées

Plus en détail

PROCEDURES DE CONTROLE INTERNE RAPPORT CONTROLE INTERNE. Enjeux du Contrôle interne au sein du Groupe Cegedim

PROCEDURES DE CONTROLE INTERNE RAPPORT CONTROLE INTERNE. Enjeux du Contrôle interne au sein du Groupe Cegedim RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION SUR LES CONDITIONS DE PRÉPARATION ET D ORGANISATION DES TRAVAUX DU CONSEIL AINSI QUE SUR LES PROCÉDURES DE CONTRÔLE INTERNE MISES EN PLACE PAR LA SOCIÉTÉ

Plus en détail

SOMMAIRE Thématique : Prévention des risques professionnels - Environnement

SOMMAIRE Thématique : Prévention des risques professionnels - Environnement SOMMAIRE Thématique : Prévention des risques professionnels - Environnement Rubrique : Fonctionnels de la prévention du ministère... 2... 4 Rubrique : Risques psychosociaux...12 1 SOMMAIRE Rubrique : Fonctionnels

Plus en détail

REFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE :

REFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE : REFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE : RECONNU GARANT DE L ENVIRONNEMENT Date de mise en application : 20/02/2014 QUALIFELEC RE/0010 indice A 1 SOMMAIRE 1. DOMAINE D APPLICATION... 4 1.1 Objet...

Plus en détail