Complément d information concernant la fiche de concordance
|
|
- Joel Joly
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 VENDREDI 1 ER FÉVRIER 2013 Sommaire Vous trouverez dans ce dossier les documents correspondants à ce que nous allons travailler pendant les regroupements : La fiche de concordance pour le DAEU ; Page 3 Un rappel de cours sur la notion de pourcentages ; Page 4 Un rappel sur l étude du signe d une expression ; Page 7 Un premier rappel de cours sur l étude des fonctions numériques ; Page 8 Un rappel de cours sur les suites ; Page 15 Un premier rappel de cours sur les fonctions logarithmes, exponentielles et puissances ; Page 16 Un rappel de cours sur les séries statistiques à deux variables ; Page 19 Un rappel de cours sur le calcul intégral ; Page 22 Un rappel de cours sur les probabilités ; Page 23 Un exercice intitulés: «Évolution des subventions» pour travailler la notion de pourcentage ; Page 31 Trois exercices intitulés «Élasticité des prix», «Du coût marginal au coût moyen» et Page 32 «Étude de fonction» pour travailler la notion d étude d une fonction. Deux exercices intitulés : «Association de gymnastique» et «Achat immobilier» pour Page 34 travailler la notion de suites ; Un QCM pour travailler les fonctions. Page 35 Deux exercices intitulés : «La part du nucléaire» et «Club de rugby» pour travailler la Page 36 notion de statistiques ; La suite du QCM donné précédemment, et deux exercices classiques pour poursuivre les Page 38 études de fonctions. Trois exercices intitulés : «Sexe et couleur des yeux», «Loterie» et «Tirs au but» pour Page 41 travailler la notion de probabilités ; Un problème d étude de fonction. Page 42 Complément d information concernant la fiche de concordance Vous devez avoir en votre possession la fiche de concordance «mathématiques» afin de savoir quels sont les chapitres à revoir. Je vous conseille par ailleurs de vous procurer un manuel de terminale ES si ce n est pas déjà fait, je vous propose le suivant : «Hyperbole Terminale ES : enseignement obligatoire et de spécialité». Vous ne devez revoir que les chapitres 1 à 10 ainsi que le chapitre 13 de ce manuel. Page 1
2 Pour les regroupements à venir Afin que chaque regroupement vous soit le plus utile possible, je vous invite à reprendre ce que nous aurons fait lors des séances précédentes afin de préparer des éventuelles questions. Par ailleurs, nul besoin d attendre le prochain regroupement pour avancer dans les exercices. Chacun doit aller à son rythme de façon à avoir travaillé l ensemble du programme avant l épreuve du mois de juin. Je vous rappelle les dates des prochains regroupements : Samedi 23 février 2013 ; Samedi 23 mars Je suis à votre disposition pour toutes vos questions : amandine.balestra@u-psud.fr Page 2
3 RENTRÉE 2012 MATIÈRE Mathématiques CHAPITRES À ÉTUDIER DANS LES DOCUMENTS FOURNIS PAR LE CNED Les documents fournis par le CNED ont été entièrement renouvelés il y a deux ans. Vous y trouverez l intégralité du cours au programme du DAEU. Cependant, il est inutile de s attarder sur le tome 1. Il faut le lire, puis y revenir en fonction des besoins. CONSEILS POUR LA PRÉPARATION L examen portera sur une partie du programme actuel de la classe de terminale ES (enseignement obligatoire et le complément sur les suites de l enseignement de spécialité). DOCUMENTS UTILES Un manuel de terminale ES (obligatoire et spécialité) ou tout autre livre d aide aux élèves de terminale ES (rappels de cours, fiches méthodes, exercices corrigés...) selon votre convenance. Des annales du baccalauréat de terminale ES (obligatoire et spécialité) DESCRIPTIF DE L ÉPREUVE Durée : 3 heures Matériel accepté : calculatrice Un formulaire pourra être fourni avec le sujet. Page 3
4 LA NOTION DE POURCENTAGE I. Définition : Un pourcentage est une façon d'exprimer un nombre comme une fraction de cent, généralement en utilisant le signe %. On utilise le pourcentage seulement lorsqu'un nombre représente une proportion ou une fraction d'un ensemble. Un pourcentage seul ne signifie rien. Il faut toujours préciser à quelle grandeur il se rapporte (15% de la population, 80% du temps, 10% de chances ). D'usage très fréquent dans le monde actuel puisqu'on le rencontre en statistique comme en économie, le pourcentage est une notion qui peut induire de nombreuses erreurs de raisonnement. II. Premier savoir-faire : Appliquer un pourcentage : Exemple : Dans un lycée, 500 élèves ont passé le bac. Le taux de réussite est égal à 75%. Combien d élèves ont eu leur bac? 75% de 500 se traduit mathématiquement par l opération suivante : : On effectue alors le calcul : = = élèves ont obtenu leur bac dans ce lycée. Remarque : Pour effectuer ce calcul, on peut aussi multiplier 500 par le nombre décimal : 75/100 = 0, % de 500 s écrit alors 0, = 375 III. Deuxième savoir-faire : Calculer un pourcentage : Exemple : Dans un établissement scolaire de 700 élèves, 175 sont des demi-pensionnaires. Quel est leur pourcentage? On a le tableau de proportionnalité suivant : Demi-pensionnaires 175 x Nombre total d élèves On peut aussi signaler que 175 élèves On cherche x tel que = x 100 On peut par exemple utiliser la méthode du produit en croix On a : x = = % des élèves de cet établissement sont demi-pensionnaires. sur 700 correspondent à soit 0,25 ou encore 25 (on a mis la 100 fraction précédente sur 100). Page 4
5 IV. Troisième savoir-faire : Pourcentage d augmentation ou de réduction : Exemple : Un commerçant vend une table 70. Pendant les soldes, il baisse son prix de 10%. Quel est son nouveau prix? Calculons la remise : = 0,1 70 = 7 donc la remise est de Calculons le prix après la remise 70 7 = 63 donc le prix soldé est 63 A la fin des soldes, il ré-augmente son prix de 10%. Combien vaut désormais la table? Calculons l augmentation : = 0,1 63 = 6,3 donc l augmentation est de 6,3 100 Calculons le prix après les soldes : ,3 = 69,3 donc le prix après les soldes est de 69,3 Attention!!! Réduire de 10% puis augmenter de 10% ne permet pas d obtenir le même prix qu au départ. On ne peut ni ajouter, ni soustraire des pourcentages puisqu il s agit de proportion sur des quantités différentes. Remarque et astuce importante : La méthode précédente fonctionne très bien lorsqu il n y a qu une variation à utiliser et aucun «retour en arrière» à effectuer. Il existe une méthode plus efficace et qui permet d effectuer des opérations successives. Si on diminue de 10% le prix de la table, on effectue le calcul suivant : = = (1 ) 70 = (1 0,1) 70 = 0,9 70 = 70 = Autrement dit : Effectuer une réduction de 10 % revient à ne prendre que 90 % de la quantité de départ, c'est-à-dire à multiplier par ( ) = = 0,90 De même pour l augmentation : = (1 + ) 63 = 1,1 63 = 63 = 69, Autrement dit : Effectuer une augmentation de 10 % revient à prendre 110 % de la quantité de départ, c est-à-dire à multiplier par ( ) = = 1,10 Page 5
6 V. Composer des pourcentages : Exemple : Dans un collège, l effectif a augmenté de 10% entre 2007 et 2008 puis de 20% entre 2008 et De quel pourcentage, l effectif du collège a-t-il augmenté entre 2007 et 2009? Soit x l effectif du collège en Lors de l augmentation de 10 % entre 2007 et 2008, l effectif est multiplié par ( ) = 1,10 donc 100 l effectif est 1,10x. Lors de l augmentation de 20 % entre 2008 et 2009, l effectif est multiplié par ( ) = 1,20 donc 100 l effectif est 1,20 1,10x = 1,32x. Entre 2007 et 2009, l effectif du collège est passé de x à 1,32x. Il a été multiplié par 1,32. Or 1,32 = L effectif a donc augmenté de 32%. Page 6
7 ÉTUDE DU SIGNE D UNE EXPRESSION I. Signe de ax + b, a 0 : On détermine la valeur de x qui annule ax + b puis on applique la règle «signe de a après le 0». x b a + ax + b Signe de a 0 Signe de a II. Signe de ax 2 + bx + c, a 0 : On calcule le discriminant = b 2 4ac (sauf cas évident) puis : Si < 0, on applique la règle «toujours du signe de a» : x + ax 2 + bx + c Signe de a Si = 0, on calcule la racine double : x 1 = b et on applique la règle «toujours du signe de a et s annule 2a en x 1» : x x 1 + ax 2 + bx + c Signe de a 0 Signe de a Si > 0, on calcule les deux racines : x 1 = b 2a a à l extérieur des racines» : et x 2 = b + 2a et on applique la règle «du signe de x x 1 x 2 + ax 2 + bx + c Signe de a 0 Signe de a 0 Signe de a III. Dans les autres cas : On peut utiliser les variations d une fonction ou résoudre une inéquation pour déterminer le signe d une expression. Page 7
8 FONCTIONS I. Généralités : a. Ensemble de définition : Définitions : Une fonction f définie sur D f associe à chaque réel x de D f un unique réel noté f( x ). D f est appelé l ensemble de définition de f. f( x ) est l image de x par f. Tout réel x de D f tel que f( x ) = y est dit antécédent de y par f. Principe général pour déterminer l ensemble de définition d une fonction : Si l expression de f( x ) admet un quotient, alors x appartient à l ensemble de définition D f si et seulement si le dénominateur est non nul. Si l expression de f( x ) admet une racine carrée, alors x appartient à l ensemble de définition D f si et seulement si l expression sous la racine est positive. b. Courbe représentative Dans un repère donné, la courbe représentative de la fonction f est l ensemble des points M de coordonnées ( x ; f( x ) ) où x décrit l ensemble de définition de f. Une équation de la courbe est y = f( x ). Remarque : Recherche graphique de l image d un réel : Recherche graphique des antécédents d un réel : L image d un réel a est l ordonnée du point de la Les éventuels antécédents d un réel b sont les courbe d abscisse a : abscisses des points de la courbe d ordonnée b : Page 8
9 c. Fonction croissante ou décroissante sur un intervalle Soit I un intervalle contenu dans l ensemble de définition de la fonction f. f est dite croissante sur I si pour tous réels a et b tels que a < b, on a f ( a ) < f( b ). Autrement dit, les images sont rangées dans le même ordre que les réels de départ. f est dite décroissante sur I si pour tous réels a et b tels que a < b, on a f( a ) > f( b ). Autrement dit, les images sont rangées dans l ordre contraire que les réels de départ. II. Continuité : a. Notion de continuité : On peut définir mathématiquement la notion de continuité d une fonction mais cette définition relativement compliquée. Graphiquement, on peut reconnaître une fonction continue sur un intervalle par le fait que le tracé de la courbe représentative de la fonction sur cet intervalle peut se faire sans lever le crayon de la feuille. Théorème : Continuité des fonctions de références Toute fonction polynôme est continue sur. La fonction inverse est continue sur * - et sur * +. Elle n est pas définie en 0. La fonction racine carrée est continue sur +. Théorème : Conservation de la continuité par les opérations usuelles Soient f et g deux fonctions continues sur I. Les fonctions f + g, f g et k f ( k ) sont continues sur I. Si de plus g( x ) 0 pour tout x de I, le quotient f est continu sur I. g Si f est continue sur I et si g est continue sur f( I ), la composée gof (f suivie de g) est continue sur I. Page 9
10 b. Théorème des valeurs intermédiaires et équation f( x ) = k : Théorème des valeurs intermédiaires : Soit f une fonction définie et continue sur un intervalle I et soient a I et b I. Pour tout réel k compris entre f( a ) et f( b ), il existe au moins un réel c compris entre a et b tel que f( c ) = k. Autrement dit : l équation f( x ) = k a au moins une solution c comprise entre a et b. Si de plus la fonction est strictement monotone sur l intervalle I, alors le réel c est unique. On utilise la méthode du «balayage» pour en déterminer une valeur approchée. III. Limites : a. Définitions : Définitions : Soit f une fonction définie sur un intervalle admettant + comme borne supérieure. On dit que f a pour limite + en + ou que f( x ) tend vers + quand x tend vers + lorsqu on peut toujours trouver un x assez grand pour que f( x ) soit aussi grand que l on veut. On écrit alors que lim f( x ) = + x + On peut définir de même lim f( x ) = +, lim x x f( x ) = + et lim f( x ) = x On dit qu une fonction f a pour limite le réel l en + (ou que f( x ) tend vers l quand x tend vers + ) lorsqu on peut toujours trouver un x assez grand pour que f( x ) soit aussi proche de l que l on veut. On écrit alors que lim f( x ) = + x l On peut définir de même lim f( x ) = x l Page 10
11 Soit f une fonction définie sur un intervalle de la forme ]a ; b[. On dit que f a pour limite + en a (par valeurs supérieures) lorsqu on peut toujours trouver un x assez proche de a (x > a) pour que f( x ) soit aussi grand que l on veut. On écrit alors que lim f( x ) = + x a x a On peut définir de même lim f( x ) =, lim f( x ) = + x a x a x a x a et lim f( x ) = x a x a Soit f une fonction définie sur un intervalle contenant a ou de borne a. On dit que f a pour limite le réel l en a lorsqu on peut toujours trouver un x assez proche de a pour que f( x ) soit aussi proche de l que l on veut. On écrit alors que lim f( x ) = l. x a Si f est définie en a alors lim f( x ) = f( a ) x a b. Limites des fonctions de référence : lim x x2n = + 1 lim x x = 0- lim x + x = + lim x + x2n = + 1 lim x 0 x 0 x = lim x x2n + 1 = 1 lim x 0 x 0 x = lim x + x2n + 1 = + 1 lim x + x = 0+ Propriété : En + et en, une fonction polynôme a la même limite que son terme de plus haut degré. En + et en, une fonction rationnelle (c est à dire, un quotient de deux polynômes) a la même limite que le rapport des termes de plus haut degré du numérateur et du dénominateur. c. Opérations sur les limites : Limite d une somme : Si f a pour limite et si g a pour limite Alors f + g a pour limite l l l + l l + + l Forme indéterminée Page 11
12 Limite d un produit : Si f a pour limite et si g a pour limite Alors f g a pour limite l l l l l 0 + (signe de l) l 0 (signe de l) ± Forme indéterminée Limite d un quotient : Si f a pour limite et si g a pour limite Alors f a pour limite g l l 0 l l l ± 0 l 0 ± ± ± Forme indéterminée ± l ± 0 Forme indéterminée d. Asymptotes : Asymptotes verticales : o Elles n existent que pour x tendant vers un nombre fini. o Si lim f( x ) = ± alors la droite d équation x = a est asymptote verticale x a à la courbe de f. Asymptotes horizontales : o Elles n existent que pour x tendant vers un «infini» (elles peuvent être asymptotes en un infini, ou aux deux infinis). o Si lim f( x ) = l alors la droite d équation y = l est asymptote horizontale x ± à la courbe de f. o Pour étudier la position relative entre l asymptote et la courbe de f, il suffit d étudier le signe de : f( x ) l. Asymptotes obliques : o Elles n existent que pour x tendant vers un «infini» (elles peuvent être asymptotes en un infini, ou aux deux infinis). o Si lim f( x ) ( ax + b ) = 0 alors la droite d équation y = ax + b est x ± asymptote oblique à la courbe de f. o Pour étudier la position relative entre l asymptote et la courbe de f, il suffit d étudier le signe de : f( x ) ( ax + b ). Page 12
13 IV. Variation d une fonction Dérivation : a. Variations d une fonction : Pour étudier les variations d une fonction f sur un intervalle I : On dérive la fonction f ; On étudie le signe de la fonction dérivée f sur l intervalle I à l aide d un tableau de signes ; On dresse le tableau de variation de la fonction f sur I en utilisant la propriété suivante. Propriété : f étant une fonction dérivable sur I, pour tout intervalle J inclus dans I : Si f ( x ) > 0 pour tout x de J alors f est strictement croissante sur J. Si f ( x ) < 0 pour tout x de J alors f est strictement décroissante sur J. Si f ( x ) = 0 pour tout x de J alors f est constante sur J. b. Dérivées des fonctions usuelles : Fonction f Fonction dérivée f k 0 ax + b a x n ; n * n x n 1 1 x 1 x 2 1 x n ; n n * x n 1 x 1 2 x c. Opérations sur les dérivées : Fonction Fonction dérivée u + v u + v ku ; k ku uv u v + uv 1 u u u 2 u v u v uv v 2 u n ; n * n u u n 1 d. Tangente à une courbe : Définition et propriété : Si f est une fonction définie et dérivable sur un intervalle I contenant le réel a, alors la tangente à la courbe de f au point d abscisse a est la droite passant par le point A ( a ; f( a ) ) et dont le coefficient directeur est égal à f ( a ). Une équation de cette droite est y = f( a ) + f ( a ) ( x a ). Page 13
14 V. Primitive : a. Définition et propriétés : F est une primitive de f sur un intervalle I si F est dérivable sur I et si pour tout x de I, F ( x ) = f( x ). Si F 0 est une primitive de f sur un intervalle I alors toutes les primitives de f sur I sont de la forme : F( x ) = F 0 ( x ) + C où C est une constante réelle. Toute fonction continue sur un intervalle I admet des primitives sur I. b. Primitives des fonctions usuelles : Fonction f Fonction primitive F a ax x n x n + 1 ; n * n x n ; n 1 * ( n 1 )x n x x c. Formules générales : Forme de f une primitive de f u n + 1 u u n ; n * n + 1 u u ; n > 1 1 n ( n 1 )u n 1 u 2 u u Page 14
15 LES SUITES NUMÉRIQUES I. Suites arithmétiques : Une suite arithmétique est une suite numérique pour laquelle on passe d'un terme au terme suivant en ajoutant toujours un même nombre r appelé raison de la suite. Pour tout n, on a : u n+1 = u n + r Pour tout n, on a : u n = u 0 + nr Pour tout n et tout p, on a : u n = u p + ( n - p )r Si pour tout n, on a : u n+1 - u n = constante; Alors (u n ) est une suite arithmétique de raison égale à cette constante. premier terme + dernier terme S = (nombre de termes) 2 En particulier : u 0 + u u n = (n + 1) II. Suites géométriques : Une suite géométrique est une suite numérique pour laquelle on passe d'un terme au terme suivant en multipliant toujours un même nombre q appelé raison de la suite. Pour tout n, on a : u n+1 = u n q Pour tout n, on a : u n = q n u 0 Pour tout n et tout p, on a : u n = q n - p u p Si pour tout n, on a : = constante; Alors (u n ) est une suite géométrique de raison égale à cette constante. Pour une raison différente de 1, S = En particulier : u 0 + u u n = Page 15
16 LES FONCTIONS LOGARITHME, EXPONENTIELLE ET PUISSANCE I. Fonction logarithme : 1. Définition : Définition : La fonction logarithme népérien, notée ln, est la primitive sur ]0 ; + [ de la fonction qui s'annule en 1. Conséquences : ln (1) = 0 ln est dérivable sur ]0 ; + [ et on a : (ln x)' = 1 x 2. Propriétés : 3. Étude de la fonction logarithme : x (ln x)' + + y 1 ln x x Étude d'une fonction ln (u) : Si u est une fonction définie et strictement positive sur un intervalle I, alors : Les fonctions u et ln (u) ont le même sens de variation sur l'intervalle I. On utilise le théorème sur la limite d'une fonction composée pour étudier les limites de la fonction ln (u). Si de plus, u est dérivable sur I, la fonction ln (u) est dérivable sur I et (ln (u))' = u' u. Une primitive de u' sur I est ln (u). u Page 16
17 II. Fonction exponentielle : 1. Définition : Définition : La fonction exponentielle, notée exp, est la fonction définie sur qui, à chaque réel x, associe le réel strictement positif dont le logarithme népérien est x. On convient d'écrire exp (x) = Conséquences : e 0 = 1 et e 1 = e Pour tout réel x, e x > 0 Pour tout réel x et pour tout y strictement positif, y = e x si et seulement si x = ln y Si x est strictement positif, e ln x = x ln (e x ) = x 2. Propriétés : e a + b = e a e b e - a = 1 e a e a - b = ea e b e na = (e a ) n 3. Étude de la fonction exponentielle : La fonction exponentielle est dérivable sur et (exp x)' = e x x (exp x)' + + e exp x 1 3 y x 4. Étude d'une fonction exp (u) : Si u est une fonction définie sur un intervalle I, alors : Les fonctions u et exp (u) ont le même sens de variation sur l'intervalle I. On utilise le théorème sur la limite d'une fonction composée pour étudier les limites de la fonction exp (u). Si de plus, u est dérivable sur I, la fonction exp (u) est dérivable sur I et (exp (u))' = u' exp (u). Une primitive de u' exp (u) sur I est exp (u). Page 17
18 III. Fonction puissance : 1. Définition : Définition : Pour tout réel a > 0 et pour tout réel b, on note a b le réel tel que : a b = e b ln(a). Conséquences : a b > 0 ln (a b ) = b ln (a) 2. Racine nième d'un réel positif : Pour tout entier n > 0 et pour tout réel a positif ou nul, l'équation x n = a admet une unique solution dans l'intervalle [0 ; + [. Cette solution est appelée la racine nième de a et est notée ou On a : 3. Étude de la fonction puissance : Soit a un réel strictement positif. La fonction exponentielle de base a est la fonction définie sur par f(x) = a x. Elle est dérivable et f '(x) = a x ln a Si 0 < a < 1 x - + f ' (x) - + a x 0 3 y 2 1 Si a > 1 x - + f ' (x) + + a x 0 3 y x x 4. Croissances comparées : Pour n > 0 : lim x ln x = x 0 lim ln x x + x n = e x lim x + x n = lim x - xn e x = Autrement dit : à l'infini, les puissances de x l'emportent sur le logarithme népérien de x et l'exponentielle de x l'emporte sur les puissances de x. Page 18
19 LES SÉRIES STATISTIQUES À DEUX VARIABLES Le but des statistiques est d induire des lois de comportement à partir d un grand nombre d observations. En particulier, un thème majeur d étude est la recherche d une corrélation entre deux caractères (ou grandeurs ou variables) x et y, partagés par les individus (ou éléments) d une population (ou ensemble étudié). Il s agit donc de détecter qu un caractère varie en fonction de l autre puis de trouver un modèle mathématique de cette dépendance, c est-à-dire trouver une fonction f telle que l on puisse écrire y f(x) On utilisera alors le modèle f, pour estimer la valeur de y associée à une valeur non observée de x. Quand la série est chronologique, cette approche permet de prédire des comportements futurs, à moyen terme, pour la variable y. I. Séries statistiques à deux variables : On appelle série statistique à deux variables, la donnée de n couples (x i ; y i ) de valeurs réelles. A chaque couple (x i ; y i ), on peut associer, dans un repère orthogonal, un point M i de coordonnées (x i ; y i ). L ensemble des points ainsi obtenus est appelé nuage de points associé à la série statistique. On appelle alors point moyen de cette série, le point G de coordonnées ( ; ) où et sont les moyennes respectives des séries x 1 ; x 2 ;... ; x n et y 1 ; y 2 ;... ; y n : On a : et II. Ajustement affine par la méthode des moindres carrés : Effectuer un ajustement, c est chercher une fonction dont la représentation graphique décrive au mieux le nuage de point associé à la série statistique considérée. Si la fonction cherchée est affine, on parle d ajustement affine. On peut décider, au vu du dessin, de choisir telle ou telle droite. En général on cherche à minimiser une certaine notion de distance entre la droite et le nuage. On parle alors d ajustement affine par la méthode des moindres carrés. Lors d un ajustement affine de y par x par la méthode des moindres carrés, on cherche une fonction f de la forme f(x) = ax + b passant par le point moyen G. Dans ces conditions, on a : et La droite obtenue est appelée la droite de régression de y en x. Remarques : est la covariance des deux séries x i et y i, on la note cov(x ; y) ; est la variance de la série x i, on la note var(x). On peut donc écrire : Page 19
20 III. Exemple : Le tableau suivant représente l évolution du chiffre d affaires en milliers d euros d une entreprise pendant dix années, entre 1995 et Année Rang de l année x i Chiffre d affaires y i Représenter le nuage de points M i (x i ; y i ). 2. Quel est en pourcentage, l augmentation du chiffre d affaires entre les années 1995 et 2004? 3. Soit G le point moyen du nuage. Calculer les coordonnées du point G et le placer sur le dessin. 4. Justifier qu il est judicieux de procéder pour cette série à un ajustement affine. Donner l équation de la droite D d ajustement obtenue par la méthode des moindres carrés. 5. Vérifier que G appartient à la droite D et tracer la droite D sur le dessin. 6. En admettant que l évolution continue au même rythme et en utilisant l ajustement affine, quel chiffre d affaires peut-on attendre pour l année 2010? 7. On suppose qu à partir de l année 2004, le chiffre d affaires progresse de 8 % par an. Quel est alors le chiffre d affaires prévisible en 2010? Chiffre d'affaires G Chiffre d'affaires D Entre les années 1995 et 2004 le chiffre d affaires est passé de 110 à 295 milliers d euros. On a : 295 2,69 donc entre les années 1995 et 2004 le chiffre d affaires a été multiplié par 2, ,69 = 1 + 1,69 = Entre les années 1995 et 2004, le chiffre d affaires a augmenté de 169 %. Page 20
21 3. Le point G a pour coordonnées (4,5 ; 202,4). 4. Le nuage de point a une forme rectiligne, il est donc judicieux de procéder à un ajustement affine. On remplit le tableau suivant : ,5 20,25-92,4 415, ,5 12,25-72,4 253, ,5 6,25-48, ,5 2,25-22,4 100, ,5 0,25-12,4 6, ,5 0, , ,5 2,25 37,6 56, ,5 6,25 42,6 106, ,5 12,25 67,6 236, ,5 20,25 92,6 416,7 Ainsi : et L équation de la droite D est : y = 20,8x + 108,8. 5. Pour x = 4,5, on a : 20,8x + 108,8 = 93, ,8 = 202,4 Le point G appartient à la droite D. 6. L année 2010 est l année de rang 15. Pour x = 15, on a : 20,8x + 108,8 = ,8 = 420,8 Le chiffre d affaires attendu pour 2010 est de 420,8 milliers d euros. Il s agit d une extrapolation (on parle d interpolation pour des valeurs à l intérieur de la plage des données et d extrapolation pour des valeurs à l extérieur de cette plage). 7. Une augmentation de 8 % correspond à une multiplication par = 1,08. Si on suppose une progression annuelle de 8 %, en 6 années (de 2004 à 2010) le chiffre d affaires sera multiplié 6 fois par 1,08. Le chiffre d affaires prévisible pour l année 2010 est environ 468 milliers d euros. Page 21
22 CALCUL INTÉGRAL I. Définition : Soit f une fonction continue sur un intervalle I. Pour tous a et b de I : où F est une primitive de f sur I. II. Propriétés : f et g sont des fonctions continues sur un intervalle I, a, b et c sont des éléments de I et k est un réel. Propriétés de linéarité : Positivité et ordre : Pour, si pour tout x de [a ; b] on a : Pour, si pour tout x de [a ; b] on a : Relation de Chasles : III. Valeur moyenne : Soit f une fonction continue sur un intervalle I. Pour tous a et b de I avec a < b, la valeur moyenne de f sur [a ; b] est le réel : IV. Aire sous la courbe : Soit f une fonction continue et positive sur un intervalle [a ; b]. est l aire de la partie du plan comprise entre la courbe de f, l axe des abscisses et les droites d équation x = a et x = b en unités d aire. Page 22
23 PROBABILITÉS I. Vocabulaire : Ci-contre figure le tableau de distribution des fiches d'élèves d'un lycée susceptibles de présenter une épreuve au baccalauréat, selon deux critères le niveau et la section. Niveau Section E S S L Total Première Terminale Total On définit comme épreuve ou expérience aléatoire le fait de tirer une fiche au hasard. Le résultat de l'épreuve est l'ensemble des éléments que l'on peut observer sur cette fiche. L'obtention d'une ou plusieurs caractéristiques lors de l'examen des résultats est la réalisation d'un évènement. Exemple : on note T est l évènement «Est élève de terminale» Des évènements peuvent être liés par «la relation logique et notée :» ou «la relation logique ou notée :». A B désigne l événement ( A et B ) qui est réalisé lorsque à la fois A et B sont réalisés. A B désigne l événement ( A ou B ) qui est réalisé lorsque l un au moins des deux événements est réalisé. Exemple : On note : T l évènement «Est élève de terminale» et ES l évènement «Est élève de ES». L évènement TES est l évènement «Est en terminale ou en section ES». L évènement TEs est l évènement «Est en terminale ES». II. Probabilités : 1. Définition : À partir des données du tableau précédent et en considérant que le tirage au hasard ne permet pas de favoriser une fiche par rapport à une autre, on associe à un évènement E un nombre réel compris entre 0 et 1, appelé probabilité de l évènement E. Par exemple à l évènement T : «Est élève de terminale» il semble naturel d associer le nombre T.. Ce nombre nous donne une indication sur la possibilité de réalisation de l évènement La probabilité de l évènement impossible est nulle : Si on note I l évènement : «Est élève en S et ES» :. La probabilité de l évènement certain est égale à 1 : La probabilité de l évènement U: «Est un élève» est. Page 23
24 La probabilité de l évènement contraire d un évènement E noté est :. La probabilité de l évènement : «Est élève de première» est. 2. Propriétés : La probabilité d un événement A est la somme des probabilités des événements élémentaires qui le constituent. Si A = { a 1, a 2,..., a k } alors p(a) = p(a 1 ) + p(a 2 ) p(a k ). p( A ) = 1 p(a) p(ab) = p(a) + p(b) p(ab) La probabilité p(ab) de l union de deux événements incompatibles A et B est égale à la somme p(a) + p(b) des probabilités. Exemple : On note : T l évènement «Est élève de terminale», E s l évènement «Est élève de ES», S l évènement «Est élève de S». La probabilité de l évènement «Est en terminale ou en section ES» est : E S et S sont deux évènements incompatibles, la probabilité de l évènement E S S est : 3. Équiprobabilité : L équiprobabilité correspond au cas où tous les événements élémentaires ont la même probabilité. Il en résulte que : p 1 = p 2 =... = p n = n 1. Dans le cas où tous les événements élémentaires sont équiprobables, la probabilité d un événement A est : Exemple : Une roue est partagée en douze secteurs de même dimension : 3 sont rouges ; 4 sont verts et 5 sont bleus. Quand on fait tourner la roue elle s arête de façon aléatoire et la flèche ne peut indiquer qu un seul secteur. On note B l évènement «le secteur désigné est bleu», R l évènement «le secteur désigné est rouge» et V l évènement «le secteur désigné est vert» Si on s interresse à la couleur du secteur du secteur désigné : Page 24
25 III. Probabilité conditionnelle : Reprenons le tableau de distribution des élèves. On tire la fiche d un élève de terminale, la probabilité qu il soit en section ES est :. La probabilité de l évènement «est inscrit en section ES, sachant qu il est élève de terminale» est dite probabilité conditionnelle. Si on note : T l évènement «Est élève de terminale», et ES l évènement «Est en section ES», la probabilité conditionnelle de l évènement ES sachant T est notée p(est) ou p T (ES). 1. Définition : Si p(a) 0, la probabilité conditionnelle de l événement B sachant que l événement A est réalisé, notée p A (B) ou p(b A), est définie par : Dans le tableau suivant on a calculé les probabilités conditionnelles des différentes sections pour le niveau connu : Tableau de distribution des probabilités conditionnelles des différentes sections pour le niveau connu. Section E S S L Ensemble Première 7/19 8/19 4/19 1 Niveau Terminale 8/21 9/21 4/21 1 Rappel Ensemble 15/40 17/40 1/5 1 Remarque : La lecture du tableau de distribution des probabilités conditionnelles des différentes sections pour le niveau connu ne nous permet pas de trouver les probabilités des différents évènements ES, S ou L. Pour cela nous avons besoin de formules permettant de calculer la probabilité d un évènement, à partir de la probabilité d autres évènements. 2. Formule des probabilités composées : Cette formule permet de calculer la probabilité p(ab) de la réalisation simultanée des évènements A et B à partir de la réalisation de l un des évènements et de la probabilité de réalisation conditionnelle de l autre évènement sachant que le premier est réalisé. Elle se déduit de la définition de la probabilité conditionnelle. A et B sont deux événements, de probabilité non nulle. p( A B ) = p( A B ) p(b) = p( B A ) p(a) Exemple : On note : T l évènement «Est élève de terminale», E s l évènement «Est élève de ES» p( E s T ) = p( E s T ) p(t) = ce qui est bien ce que l on avait d après le premier tableau : Page 25
26 3. Formule des probabilités totales : E est l ensemble des évènements élémentaires d une expérience aléatoire. Les évènements A 1, A 2,..., A m forment une partition de E lorsque E est la réunion des évènements A i et que les évènements A i sont deux à deux incompatibles. A 1, A 2,..., A m forment une partition de E, la probabilité d un évènement B est donnée par événements, de probabilité non nulle. p(b) = p( B A 1 ) + p( B A 2 ) p( B A m ) Exemple : On note : T l évènement «Est élève de terminale», E s l évènement «Est élève de ES» T et forment une partition d où p(e s ) = p( E s T ) + p( E s ) =. 4. Arbres pondérés : Arbre pondéré T T probabilités composées E s p( E s T ) = p( E s T ) p(t) = S p( S T ) = p( S T ) p(t) = probabilités totales L p( L T ) = p( L T ) p(t) = p(e s )= E s p( E s T ) = p( E s T ) p( T ) = S p( S T ) = p( S T ) p( T ) = p(l)= L p( L T ) = p( L T ) p(t ) = p(s)= Règles d'utilisation : On admettra plus généralement que : La somme des probabilités affectées aux branches issues d un même nœud est égale à 1. Lorsqu'une situation est représentée par un arbre pondéré, la probabilité d'un événement correspondant à un chemin est égale au produit des probabilités inscrites sur chaque branche de ce chemin. Page 26
27 IV. Indépendance de deux évènements : Définition : Dire que deux événements sont indépendants signifie que : p( A B ) = p(a) p(b) Remarques : Si p( A B ) = p(a) p(b) alors p( A B ) = p(a) et p( B A ) = p(b). Ainsi la probabilité d obtenir A sachant que B est réalisé est égale à la probabilité d obtenir A. intuitivement cela signifie que A ne dépend pas de B. Ne pas confondre événements indépendants et événements incompatibles Exemple : Considérons le tirage au hasard d une carte d un jeu de 32 cartes. On note A l événement «tirer un as», B l événement «tirer un cœur» et C l événement «tirer un as rouge». donc A et B sont indépendants. donc B et C ne sont pas indépendants. V. Variable aléatoire : Une roue est partagée en quinze secteurs de même dimension. Trois secteurs sont de couleur rouge six de couleur verte, cinq sont bleu-clair et un de couleur bleu foncé. Quand on fait tourner la roue elle s arête de façon aléatoire et la flèche ne peut indiquer qu un seul secteur. On complète la situation précédente par la règle suivante : «On mise d abord 5 pour une partie. Si la flèche désigne un secteur rouge on gagne 25 ; Si la flèche désigne un secteur vert on ne gagne rien ; Si la flèche désigne un secteur bleu-clair on récupère sa mise ; Si la flèche désigne le secteur bleu foncé on perd 25» À chacune des quatre couleurs on associe le gain algébrique obtenu à la fin de la partie. On dit que l on définit ainsi une variable aléatoire notée X. Définir une variable aléatoire X, c est associer à chaque évènement élémentaire {a i } d une épreuve un nombre réel x i. Page 27
28 Quel est l ensemble des gains possibles? Si on tombe sur un secteur rouge, on gagne 20, cet évènement est noté (X = 20) Si on tombe sur un secteur vert, on perd 5 (la mise) ; Si on tombe sur un secteur bleu clair, on ne gagne rien et on ne perd rien ; Si on tombe sur le secteur bleu foncé, on perd 30. La variable aléatoire peut donc prendre 4 valeurs : 20 ; 5 ; 0 et 30. Remarque : On peut définir plusieurs variables aléatoires sur un même ensemble ; il suffit, par exemple de définir de nouvelles règles de jeu). Pour un joueur il est préférable avant de jouer de connaître la probabilité de gagner ou de perdre plutôt que celle de tirer telle ou telle couleur. Gain x i p( X = x i ) On dit que l on a ainsi définit la loi de probabilité de la variable aléatoire X. Quelle est la probabilité de l évènement G «avoir un gain positif»? Quelle est la probabilité de l évènement? Quelle est la probabilité p(-25 X 25)? L espérance mathématique de la variable aléatoire X est le nombre : Elle donne le gain moyen que l on peut espérer. On dit qu un jeu est équitable lorsque son espérance est nulle. La variance de la variable aléatoire X est le nombre : La variance mesure le risque de s écarter de l espérance. Quel est le gain moyen qu un joueur obtiendrait s il jouait un très grand nombre de fois? Page 28
29 VI. Loi Binomiale : 1. Épreuve de Bernoulli : Considérons une expérience dont l'univers ne contient que deux événements élémentaires. On appelle SUCCÈS la réalisation de A et ÉCHEC la réalisation de son contraire. Posons P(A) = p la probabilité de l événement A et P( ) = q la probabilité de l événement. p et q sont liés par la relation p + q = 1 Exemple : Un joueur lance un dé non pipé et on s intéresse à l obtention du six. Soit A l'événement «on obtient un six». Nous avons P(A) = 1/6 et P ( ) = 5/6. Lorsqu'on s'intéresse ainsi à un événement A ou à son contraire appelée épreuve de Bernoulli. Son espérance est p, sa variance est pq ou p(1 p)., la réalisation de l'expérience est 2. Loi binomiale : Considérons une suite de n épreuves de Bernoulli identiques et indépendantes. On note p la probabilité commune de succès. On dit alors qu on est dans un schéma de Bernoulli caractérisé par p la probabilité de succès à chaque épreuve et n le nombre d épreuves. Soit n un entier tel que n 1 et soit p [0, 1]. Par définition la variable aléatoire X qui désigne le nombre de succès de probabilité commune p dans un schéma de Bernoulli suit une loi binomiale de paramètres n et p, notée B (n ; p). Son espérance est np, sa variance est npq ou np(1 p). Exemple : On lance plusieurs fois un dé et on s intéresse au nombre d apparitions du six on lance le dé deux fois : S S Probabilités S (1/6) 2 S (1/6) (5/6) S (1/6) (5/6) S (5/6) 2 La loi de probabilité de la variable X qui compte le nombre de succès est : x i p( X = x i ) L espérance mathématique est La variance est Page 29
30 on lance le dé trois fois : S S S S S S Probabilités S (1/6) 3 S (1/6) 2 (5/6) S (1/6) 2 (5/6) S (1/6) (5/6) 2 S (1/6) 2 (5/6) S (1/6) (5/6) 2 S (1/6) (5/6) 2 S (5/6) 3 La loi de probabilité de la variable X qui compte le nombre de succès est : x i p( X = x i ) L espérance mathématique La variance est Page 30
31 EXERCICE : ÉVOLUTION DES SUBVENTIONS La subvention accordée par une entreprise à son club sportif était de pour l année Depuis 2002, l évolution de la subvention en pourcentage d une année sur l autre est celle décrite dans le tableau ci-dessous : Année Évolution en + 17% + 15% + 10% + 9% + 6% pourcentage Par exemple, le taux d évolution de la subvention de 2004 à 2005 est une augmentation de 10% 1. a. Calculer, pour chacune des années, le montant de la subvention attribuée (en euros). Les résultats seront arrondis à l unité. b. Le responsable sportif se plaint d une diminution continuelle des subventions depuis l année Quelle confusion fait-il? 2. On admet que le montant de la subvention en 2007 est de a. Calculer le pourcentage de diminution ou d augmentation de la subvention de 2002 à b. Si le taux d évolution de la subvention d une année à l autre était fixe et égal à t %, quelle serait la valeur de t arrondie à 10 3 près qui donnerait la même augmentation de la subvention entre 2002 et 2007? c. Avec ce même taux d évolution t, quelle serait la subvention, arrondie à l unité, en 2008? Page 31
32 EXERCICE : ÉLASTICITÉ DES PRIX Pour un certain article, on a pu établir que sa demande est fonction du prix p, en euros, et vérifie : f( p ) = 100, où p ]5 ; + [. p 5 On appelle élasticité de la demande par rapport au prix p le réel : E( p ) = p f ( p ) f( p ). On admettra que ce réel, sans unité, indique le pourcentage de variation de la demande pour un accroissement de 1 % d un prix p donné. L élasticité E( p ) est négative quand une augmentation du prix entraîne une diminution de la demande. 1. Vérifier que la fonction de demande f est décroissante. 2. Déterminer la fonction élasticité pour la fonction de demande f. 3. Etudier les variations de la fonction E donnée par : E( p ) = p sur ]5 ; + [. p 5 4. Etudier les limites de E aux bornes de ]5 ; + [. 5. Calculer l élasticité de la demande pour un prix donné de Pour quel prix p 0 une augmentation de 1 % du prix conduit-elle à une diminution de 1,5% de la demande? EXERCICE : DU COÛT MARGINAL AU COÛT MOYEN Une entreprise fabrique q milliers d objets, q appartenant à l intervalle [0 ; 15]. Le coût marginal en euros de cette production est défini sur [0 ; 15] par : C m ( q ) = 3q 2 36q La fonction coût total C est une primitive sur [0 ; 15] de la fonction coût marginal C m. On sait de plus que les coûts fixes s élèvent à 200. Déterminer l expression de C( q ). 2. La fonction coût moyen C M est définie par C M ( q ) = C( q ) sur l intervalle ]0 ; 15]. q a. Déterminer l expression de C M ( q ). b. Calculer C M ( q ) et vérifier que l on a, pour tout q de ]0 ; 15] : C M ( q ) = 2( q 10 )( q2 + q + 10 ) q 2 c. Etudier le signe de C M ( q ) et dresser le tableau de variation de C M sur ]0 ; 15]. d. Combien d objets faut-il fabriquer pour que le coût moyen soit minimal? e. Calculer le coût moyen et le coût marginal correspondant. Que remarque-t-on? Page 32
33 Soit f une fonction définie par : f( x ) = x3 x 2 + 3x + 5 x EXERCICE : ÉTUDE DE FONCTION 1. Quel est son ensemble de définition? c 2. Mettre f sous la forme : f( x ) = ax + b + x En déduire les limites de f( x ) en + et en. 4. Montrer que la courbe de f admet la droite D d équation y = x 1 comme asymptote en + et en. 5. Calculer la dérivée de f. Montrer que f s écrit pour tout x : f ( x ) = ( x 1 )2 ( x 2 + 2x + 9 ) ( x ) 2 6. En déduire les variations de f. 7. Montrer qu il existe un et un seul point A de la courbe de f notée C f tel que la tangente à C f en A soit parallèle à D. 8. Tracer la courbe représentative de f dans le repère orthonormé suivant : y 1 1 x Page 33
34 EXERCICE : ASSOCIATION DE GYMNASTIQUE Dans un village, l association de gymnastique volontaire possédait 50 adhérents en Depuis cette date, la trésorière a remarqué que chaque année, elle reçoit 18 nouvelles adhésions et que 85 % des anciens inscrits renouvellent leur adhésion. On note a n le nombre d adhérents pour l année n. 3. Déterminer a 0 puis exprimer a n+1 en fonction de a n pour tout entier naturel n. 4. Soit (u n ) la suite définie par u n = a n 120 pour tout entier naturel n. a. Montrer que la suite (u n ) est une suite géométrique dont on précisera la raison et le premier terme. b. Démontrer que pour tout entier naturel n, a n = ,85 n. c. Déterminer la limite de la suite (a n ) quand n tend vers l infini. Interpréter ce résultat. 5. Chaque semaine, 60 % des adhérents s inscrivent pour une heure de gymnastique et 40 % pour deux heures de gymnastique. a. Exprimer en fonction de n le nombre d heure de gymnastique à prévoir par semaine pour l an n. b. Une séance de gymnastique dure une heure et est limitée à 20 personnes. On veut déterminer à partir de quelle année l association devra prévoir plus de 8 séances par semaine. Démontrer qu alors n doit vérifier l inéquation 98 0,85 n < 8. c. Résoudre cette inéquation et conclure. EXERCICE : ACHAT IMMOBILIER Pour un achat immobilier, lorsqu'une personne emprunte une somme de euros, remboursables par n mensualités chacune égales à A euros, pour un intérêt mensuel de 0,4 %, le montant de cette mensualité est donné par : (on ne demande pas d'établir cette relation). 1. Calculer la mensualité A lorsque cette personne emprunte euros remboursables par 120 mensualités pour un intérêt mensuel de 0,4 %. On donnera une valeur arrondie au centième d'euro. Calculer alors le montant total des intérêts pour ce prêt. 2. Mêmes questions avec un emprunt de euros sur 8 ans à 0,4 % mensuel. 3. Afin de payer le moins d'intérêts possible, l'emprunteur doit augmenter le montant de la mensualité et diminuer la période de remboursement. Mais il ne peut supporter au maximum que des remboursements de 950 euros par mois. a. Résoudre dans [0 ; + [ l'inéquation : 950 b. En déduire le nombre entier n minimum de mensualités pour lequel le montant de la mensualité A est inférieur ou égal à 950 euros. Que vaut alors A arrondi au centime d'euro? Calculer alors le montant total des intérêts. 4. Voici des extraits du tableau d'amortissement d'un prêt de euros remboursable par 60 mensualités pour un intérêt mensuel de 0,4 %. Calculer, en détaillant, les nombres a, b, c, d et e qui figurent dans le tableau. On donnera des valeurs arrondies au centime d'euro. N de la mensualité Montant de la mensualité en euros Part des intérêts en euros pour cette mensualité Capital amorti en euros Capital restant à rembourser en euros 1 938, , , ,99 197,04 a b 3 938,99 c d e 4 938,99 191,10 747, , ,99 7,47 931,52 935, ,99 3,74 935,25 0 Page 34
35 QCM Cet exercice est un questionnaire à choix multiples. Pour chacune des questions, trois réponses sont proposées. Une seule de ces réponses est exacte. On considère une fonction f définie et dérivable sur l'intervalle [ 5 ; 5 2 ]. Le plan est muni d'un repère orthonormé. La courbe (C f ) représentée ci-dessous est celle de la fonction f. Les points A (0 ; 2), B (1 ; e) et C (2 ; 0) appartiennent à la courbe (C f ). Le point de la courbe (C f ) d'abscisse 5 a une ordonnée strictement positive. La tangente (T) en A à la courbe (C f ) passe par le point D ( 2 ; 0). La tangente en B à la courbe (C f ) est parallèle à l'axe des abscisses. 1. On note f ( 0 ) le nombre dérivé de la fonction f en 0. Quelle est sa valeur? a. f ( 0 ) = 1 b. f ( 0 ) = 2 c. f ( 0 ) = 0 2. On note ln la fonction logarithme népérien et g la fonction composée ln( f ). Quel est l'ensemble de définition de la fonction g noté D g? a. D g = ] 0 ; 5 2 [ b. D g = [ 5 ; 2 ] c. D g = [ 5 ; 2 [ 3. Quelle est la valeur de g( 0 )? a. g( 0 ) = 2 b. g( 0 ) = 0 c. g( 0 ) = ln (2) 4. On note g ' la fonction dérivée de la fonction g. Quelle est la valeur de g ( 1 )? a. g ( 1 ) = e b. g ( 1 ) = 0 c. g ( 1 ) = 1 e 2 5. Quelle est la limite de g( x ) quand x tend vers 2? a. lim x g( x ) = b. lim 2 x g( x ) = 0 2 c. lim x 2 g( x ) = + Page 35
36 EXERCICE : LA PART DU NUCLÉAIRE Le tableau suivant donne la production d électricité d origine nucléaire en France, exprimée en milliards de kwh, entre 1979 et Les rangs des années sont calculés par rapport à l année Année Rang de l année x i Production y i 37,9 213,1 297,9 358,8 395,2 401,3 416,5 420,7 427,7 Ces données sont représentées par le nuage de points ci-dessous : Partie A : Recherche d un ajustement affine 1. Donner une équation de la droite d ajustement affine de y en x par la méthode des moindres carrés (les coefficients seront arrondis au dixième). 2. a. D après cet ajustement, quelle serait la production d électricité nucléaire en France en 2005? b. En réalité, en 2005, la production d électricité nucléaire a été de 430 milliards de kwh. Calculer le pourcentage de l erreur commise par rapport à la valeur réelle, arrondi à 0,1 % près, lorsque l on utilise la valeur fournie par l ajustement affine. Partie B : Un autre modèle Compte tenu de l allure du nuage de point, on choisit un ajustement logarithmique et on modélise la production d électricité nucléaire par la fonction f définie pour tout x de [4 ; + [ par : f(x) = 197 ln x Calculer la production d électricité nucléaire prévisible avec ce modèle pour l année Quelle conclusion peut-on en tirer? 2. a. Résoudre dans [4 ; + [ l inéquation f(x) 460. b. Avec ce modèle, en quelle année peut-on prévoir que la production d électricité dépassera 460 milliards de kwh? Page 36
37 EXERCICE : CLUB DE RUGBY Le tableau suivant donne l évolution du nombre d adhérents d un club de rugby de 2001 à Année Rang de l année x i Nombre d adhérents y i On cherche à étudier l évolution du nombre y d adhérents en fonction du rang x de l année. Partie A : Un ajustement affine 1. Dans le plan muni d un repère orthogonal d unités graphiques : 2 cm pour une année sur l axe des abscisses et 1 cm pour 20 adhérents sur l axe des ordonnées, représenter le nuage de points associés à la série (x i ; y i ). 2. Déterminer une équation de la droite d ajustement de y en x obtenue par la méthode des moindres carrés et la tracer sur le graphique précédent. (les coefficients seront arrondis à l unité). 3. En supposant que cet ajustement reste valable pour les années à venir, donner une estimation du nombre d adhérents en On pose z = ln y. Partie B : Un ajustement exponentiel 1. Compléter le tableau suivant en arrondissant les valeurs de z i au millième : x i z i 4, Déterminer une équation de la droite d ajustement de z en x obtenue par la méthode des moindres carrés. (les coefficients seront arrondis au millième). 3. En déduire une approximation du nombre d adhérents y en fonction du rang x de l année. 4. En prenant comme approximation et en supposant qu elle reste valable pour les années suivantes, donner une estimation du nombre d adhérents en Partie C : Comparaison des ajustements En 2007, il y eu 280 adhérents. Lequel des deux ajustements semble le plus pertinent? Justifier la réponse. Page 37
38 QCM (SUITE) Cet exercice est un questionnaire à choix multiples. Pour chacune des questions, trois réponses sont proposées. Une seule de ces réponses est exacte. On considère une fonction f définie et dérivable sur l'intervalle [ 5 ; 5 2 ]. Le plan est muni d'un repère orthonormé. La courbe (C f ) représentée ci-dessous est celle de la fonction f. Les points A (0 ; 2), B (1 ; e) et C (2 ; 0) appartiennent à la courbe (C f ). Le point de la courbe (C f ) d'abscisse 5 a une ordonnée strictement positive. La tangente (T) en A à la courbe (C f ) passe par le point D ( 2 ; 0). La tangente en B à la courbe (C f ) est parallèle à l'axe des abscisses. 6. A quel intervalle appartient le réel I =? a. [0 ; 3] b. [3 ; 6] c. [6 ; 9] 7. Parmi les trois courbes ci-après, l une est la représentation graphique de la fonction dérivée f de la fonction f. Laquelle? a. La courbe (C 1 ) b. La courbe (C 2 ) c. La courbe (C 3 ) 8. Parmi les trois courbes ci-après, l une est la représentation graphique d une primitive F de la fonction f, F étant définie sur l intervalle. Laquelle? a. La courbe (C 1 ) b. La courbe (C 2 ) c. La courbe (C 3 ) Page 38
Complément d information concernant la fiche de concordance
Sommaire SAMEDI 0 DÉCEMBRE 20 Vous trouverez dans ce dossier les documents correspondants à ce que nous allons travailler aujourd hui : La fiche de concordance pour le DAEU ; Page 2 Un rappel de cours
Plus en détailBac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)
Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre
Plus en détailt 100. = 8 ; le pourcentage de réduction est : 8 % 1 t Le pourcentage d'évolution (appelé aussi taux d'évolution) est le nombre :
Terminale STSS 2 012 2 013 Pourcentages Synthèse 1) Définition : Calculer t % d'un nombre, c'est multiplier ce nombre par t 100. 2) Exemples de calcul : a) Calcul d un pourcentage : Un article coûtant
Plus en détailBaccalauréat ES/L Amérique du Sud 21 novembre 2013
Baccalauréat ES/L Amérique du Sud 21 novembre 2013 A. P. M. E. P. EXERCICE 1 Commun à tous les candidats 5 points Une entreprise informatique produit et vend des clés USB. La vente de ces clés est réalisée
Plus en détailTSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1
TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun
Plus en détailProbabilités conditionnelles Exercices corrigés
Terminale S Probabilités conditionnelles Exercices corrigés Exercice : (solution Une compagnie d assurance automobile fait un bilan des frais d intervention, parmi ses dossiers d accidents de la circulation.
Plus en détailChapitre 1 : Évolution COURS
Chapitre 1 : Évolution COURS OBJECTIFS DU CHAPITRE Savoir déterminer le taux d évolution, le coefficient multiplicateur et l indice en base d une évolution. Connaître les liens entre ces notions et savoir
Plus en détailDÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation )
DÉRIVÉES I Nombre dérivé - Tangente Eercice 0 ( voir animation ) On considère la fonction f définie par f() = - 2 + 6 pour [-4 ; 4]. ) Tracer la représentation graphique (C) de f dans un repère d'unité
Plus en détailEXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats)
EXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats) On cherche à modéliser de deux façons différentes l évolution du nombre, exprimé en millions, de foyers français possédant un téléviseur à écran plat
Plus en détailComparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10
PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?
Plus en détailChapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme
Chapitre 3 Quelques fonctions usuelles 1 Fonctions logarithme et eponentielle 1.1 La fonction logarithme Définition 1.1 La fonction 7! 1/ est continue sur ]0, +1[. Elle admet donc des primitives sur cet
Plus en détailBaccalauréat ES Amérique du Nord 4 juin 2008
Baccalauréat ES Amérique du Nord 4 juin 2008 EXERCICE 1 Commun à tous les candidats f est une fonction définie sur ] 2 ; + [ par : 4 points f (x)=3+ 1 x+ 2. On note f sa fonction dérivée et (C ) la représentation
Plus en détailContinuité et dérivabilité d une fonction
DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité
Plus en détailSeconde Généralités sur les fonctions Exercices. Notion de fonction.
Seconde Généralités sur les fonctions Exercices Notion de fonction. Exercice. Une fonction définie par une formule. On considère la fonction f définie sur R par = x + x. a) Calculer les images de, 0 et
Plus en détailProbabilités conditionnelles Loi binomiale
Exercices 23 juillet 2014 Probabilités conditionnelles Loi binomiale Équiprobabilité et variable aléatoire Exercice 1 Une urne contient 5 boules indiscernables, 3 rouges et 2 vertes. On tire au hasard
Plus en détailBaccalauréat ES Antilles Guyane 12 septembre 2014 Corrigé
Baccalauréat ES Antilles Guyane 12 septembre 2014 Corrigé EXERCICE 1 5 points Commun à tous les candidats 1. Réponse c : ln(10)+2 ln ( 10e 2) = ln(10)+ln ( e 2) = ln(10)+2 2. Réponse b : n 13 0,7 n 0,01
Plus en détailItems étudiés dans le CHAPITRE N5. 7 et 9 p 129 D14 Déterminer par le calcul l'antécédent d'un nombre par une fonction linéaire
CHAPITRE N5 FONCTIONS LINEAIRES NOTION DE FONCTION FONCTIONS LINEAIRES NOTION DE FONCTION FONCTIONS LINEAIRES NOTION DE FONCTION Code item D0 D2 N30[S] Items étudiés dans le CHAPITRE N5 Déterminer l'image
Plus en détailCommun à tous les candidats
EXERCICE 3 (9 points ) Commun à tous les candidats On s intéresse à des courbes servant de modèle à la distribution de la masse salariale d une entreprise. Les fonctions f associées définies sur l intervalle
Plus en détailLes devoirs en Première STMG
Les devoirs en Première STMG O. Lader Table des matières Devoir sur table 1 : Proportions et inclusions....................... 2 Devoir sur table 1 : Proportions et inclusions (corrigé)..................
Plus en détailBaccalauréat S Antilles-Guyane 11 septembre 2014 Corrigé
Baccalauréat S ntilles-guyane 11 septembre 14 Corrigé EXERCICE 1 6 points Commun à tous les candidats Une entreprise de jouets en peluche souhaite commercialiser un nouveau produit et à cette fin, effectue
Plus en détailProbabilité. Table des matières. 1 Loi de probabilité 2 1.1 Conditions préalables... 2 1.2 Définitions... 2 1.3 Loi équirépartie...
1 Probabilité Table des matières 1 Loi de probabilité 2 1.1 Conditions préalables........................... 2 1.2 Définitions................................. 2 1.3 Loi équirépartie..............................
Plus en détailProbabilités Loi binomiale Exercices corrigés
Probabilités Loi binomiale Exercices corrigés Sont abordés dans cette fiche : (cliquez sur l exercice pour un accès direct) Exercice 1 : épreuve de Bernoulli Exercice 2 : loi de Bernoulli de paramètre
Plus en détailLa fonction exponentielle
DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 novembre 204 à :07 La fonction exponentielle Table des matières La fonction exponentielle 2. Définition et théorèmes.......................... 2.2 Approche graphique de la fonction
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)
Plus en détailChapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle
Chapitre 6 Fonction réelle d une variable réelle 6. Généralités et plan d étude Une application de I dans R est une correspondance entre les éléments de I et ceu de R telle que tout élément de I admette
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 7 août 204 Enoncés Probabilités sur un univers fini Evènements et langage ensembliste A quelle condition sur (a, b, c, d) ]0, [ 4 existe-t-il une probabilité P sur
Plus en détailRaisonnement par récurrence Suites numériques
Chapitre 1 Raisonnement par récurrence Suites numériques Terminale S Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Raisonnement par récurrence. Limite finie ou infinie d une suite.
Plus en détailContinuité en un point
DOCUMENT 4 Continuité en un point En général, D f désigne l ensemble de définition de la fonction f et on supposera toujours que cet ensemble est inclus dans R. Toutes les fonctions considérées sont à
Plus en détailBACCALAUREAT GENERAL MATHÉMATIQUES
BACCALAUREAT GENERAL FEVRIER 2014 MATHÉMATIQUES SERIE : ES Durée de l épreuve : 3 heures Coefficient : 5 (ES), 4 (L) 7(spe ES) Les calculatrices électroniques de poche sont autorisées, conformement à la
Plus en détailMathématiques financières
Mathématiques financières Table des matières 1 Intérêt simple 1 1.1 Exercices........................................ 1 2 Intérêt composé 2 2.1 Taux nominal, taux périodique, taux réel.......................
Plus en détailMais comment on fait pour...
Mais comment on fait pour... Toutes les méthodes fondamentales en Maths Term.S Édition Salutπaths Table des matières 1) GÉNÉRALITÉS SUR LES FONCTIONS...13 1.Comment déterminer l'ensemble de définition
Plus en détailFonctions homographiques
Seconde-Fonctions homographiques-cours Mai 0 Fonctions homographiques Introduction Voir le TP Géogébra. La fonction inverse. Définition Considérons la fonction f définie par f() =. Alors :. f est définie
Plus en détailLoi binomiale Lois normales
Loi binomiale Lois normales Christophe ROSSIGNOL Année scolaire 204/205 Table des matières Rappels sur la loi binomiale 2. Loi de Bernoulli............................................ 2.2 Schéma de Bernoulli
Plus en détailBaccalauréat ES Polynésie (spécialité) 10 septembre 2014 Corrigé
Baccalauréat ES Polynésie (spécialité) 10 septembre 2014 Corrigé A. P. M. E. P. Exercice 1 5 points 1. Réponse d. : 1 e Le coefficient directeur de la tangente est négatif et n est manifestement pas 2e
Plus en détailRessources pour le lycée général et technologique
éduscol Ressources pour le lycée général et technologique Ressources pour la classe de terminale générale et technologique Exercices de mathématiques Classes de terminale S, ES, STI2D, STMG Ces documents
Plus en détailBaccalauréat ES Pondichéry 7 avril 2014 Corrigé
Baccalauréat ES Pondichéry 7 avril 204 Corrigé EXERCICE 4 points Commun à tous les candidats. Proposition fausse. La tangente T, passant par les points A et B d abscisses distinctes, a pour coefficient
Plus en détailFctsAffines.nb 1. Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008. Fonctions affines
FctsAffines.nb 1 Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008 Fonctions affines Supports de cours de mathématiques de degré secondaire II, lien hpertete vers la page mère http://www.deleze.name/marcel/sec2/inde.html
Plus en détailSoit la fonction affine qui, pour représentant le nombre de mois écoulés, renvoie la somme économisée.
ANALYSE 5 points Exercice 1 : Léonie souhaite acheter un lecteur MP3. Le prix affiché (49 ) dépasse largement la somme dont elle dispose. Elle décide donc d économiser régulièrement. Elle a relevé qu elle
Plus en détailBACCALAURÉAT GÉNÉRAL SESSION 2012 OBLIGATOIRE MATHÉMATIQUES. Série S. Durée de l épreuve : 4 heures Coefficient : 7 ENSEIGNEMENT OBLIGATOIRE
BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SESSION 2012 MATHÉMATIQUES Série S Durée de l épreuve : 4 heures Coefficient : 7 ENSEIGNEMENT OBLIGATOIRE Les calculatrices électroniques de poche sont autorisées, conformément à la
Plus en détailmathématiques mathématiques mathématiques mathématiques
mathématiques mathématiques mathématiques mathématiques mathématiques mathématiques mathématiques mathématiques mathématiques mathématiques mathématiques mathématiques mathématiques mathématiques mathématiques
Plus en détailCorrection du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 2007
Correction du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 7 EXERCICE points. Le plan (P) a une pour équation cartésienne : x+y z+ =. Les coordonnées de H vérifient cette équation donc H appartient à (P) et A n
Plus en détailProbabilités. Une urne contient 3 billes vertes et 5 billes rouges toutes indiscernables au toucher.
Lycée Jean Bart PCSI Année 2013-2014 17 février 2014 Probabilités Probabilités basiques Exercice 1. Vous savez bien qu un octet est une suite de huit chiffres pris dans l ensemble {0; 1}. Par exemple 01001110
Plus en détailExercices sur le chapitre «Probabilités»
Arnaud de Saint Julien - MPSI Lycée La Merci 2014-2015 1 Pour démarrer Exercices sur le chapitre «Probabilités» Exercice 1 (Modélisation d un dé non cubique) On considère un parallélépipède rectangle de
Plus en détailLogistique, Transports
Baccalauréat Professionnel Logistique, Transports 1. France, juin 2006 1 2. Transport, France, juin 2005 2 3. Transport, France, juin 2004 4 4. Transport eploitation, France, juin 2003 6 5. Transport,
Plus en détailI. Ensemble de définition d'une fonction
Chapitre 2 Généralités sur les fonctions Fonctions de références et fonctions associées Ce que dit le programme : Étude de fonctions Fonctions de référence x x et x x Connaître les variations de ces deux
Plus en détailCours Fonctions de deux variables
Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté
Plus en détailPROBABILITÉS CONDITIONNELLES
PROBABILITÉS CONDITIONNELLES A.FORMONS DES COUPLES Pour la fête de l école, les élèves de CE 2 ont préparé une danse qui s exécute par couples : un garçon, une fille. La maîtresse doit faire des essais
Plus en détailTerminale STMG Lycée Jean Vilar 2014/2015. Terminale STMG. O. Lader
Terminale STMG O. Lader Table des matières Interrogation 1 : Indice et taux d évolution........................... 2 Devoir maison 1 : Taux d évolution................................ 4 Devoir maison 1
Plus en détailDéveloppements limités, équivalents et calculs de limites
Développements ités, équivalents et calculs de ites Eercice. Déterminer le développement ité en 0 à l ordre n des fonctions suivantes :. f() e (+) 3 n. g() sin() +ln(+) n 3 3. h() e sh() n 4. i() sin(
Plus en détailCorrection du baccalauréat STMG Polynésie 17 juin 2014
Correction du baccalauréat STMG Polynésie 17 juin 2014 EXERCICE 1 Cet exercice est un Q.C.M. 4 points 1. La valeur d une action cotée en Bourse a baissé de 37,5 %. Le coefficient multiplicateur associé
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailBACCALAURÉAT PROFESSIONNEL SUJET
SESSION 203 Métropole - Réunion - Mayotte BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL ÉPREUVE E4 CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE : MATHÉMATIQUES Toutes options Durée : 2 heures Matériel(s) et document(s) autorisé(s)
Plus en détailMoments des variables aléatoires réelles
Chapter 6 Moments des variables aléatoires réelles Sommaire 6.1 Espérance des variables aléatoires réelles................................ 46 6.1.1 Définition et calcul........................................
Plus en détailSINE QUA NON. Découverte et Prise en main du logiciel Utilisation de bases
SINE QUA NON Découverte et Prise en main du logiciel Utilisation de bases Sine qua non est un logiciel «traceur de courbes planes» mais il possède aussi bien d autres fonctionnalités que nous verrons tout
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 10 août 2015 Enoncés 1 Proailités sur un univers fini Evènements et langage ensemliste A quelle condition sur (a,, c, d) ]0, 1[ 4 existe-t-il une proailité P sur
Plus en détailO, i, ) ln x. (ln x)2
EXERCICE 5 points Commun à tous les candidats Le plan complee est muni d un repère orthonormal O, i, j Étude d une fonction f On considère la fonction f définie sur l intervalle ]0; + [ par : f = ln On
Plus en détailFonctions linéaires et affines. 1 Fonctions linéaires. 1.1 Vocabulaire. 1.2 Représentation graphique. 3eme
Fonctions linéaires et affines 3eme 1 Fonctions linéaires 1.1 Vocabulaire Définition 1 Soit a un nombre quelconque «fixe». Une fonction linéaire associe à un nombre x quelconque le nombre a x. a s appelle
Plus en détailProbabilités et Statistiques. Feuille 2 : variables aléatoires discrètes
IUT HSE Probabilités et Statistiques Feuille : variables aléatoires discrètes 1 Exercices Dénombrements Exercice 1. On souhaite ranger sur une étagère 4 livres de mathématiques (distincts), 6 livres de
Plus en détailDéveloppements limités. Notion de développement limité
MT12 - ch2 Page 1/8 Développements limités Dans tout ce chapitre, I désigne un intervalle de R non vide et non réduit à un point. I Notion de développement limité Dans tout ce paragraphe, a désigne un
Plus en détailCCP PSI - 2010 Mathématiques 1 : un corrigé
CCP PSI - 00 Mathématiques : un corrigé Première partie. Définition d une structure euclidienne sur R n [X]... B est clairement symétrique et linéaire par rapport à sa seconde variable. De plus B(P, P
Plus en détailCorrection du baccalauréat ES/L Métropole 20 juin 2014
Correction du baccalauréat ES/L Métropole 0 juin 014 Exercice 1 1. c.. c. 3. c. 4. d. 5. a. P A (B)=1 P A (B)=1 0,3=0,7 D après la formule des probabilités totales : P(B)=P(A B)+P(A B)=0,6 0,3+(1 0,6)
Plus en détailExercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes
Opérations sur les polynômes Exercice 1 - Carré - L1/Math Sup - Si P = Q est le carré d un polynôme, alors Q est nécessairement de degré, et son coefficient dominant est égal à 1. On peut donc écrire Q(X)
Plus en détailEXERCICES - ANALYSE GÉNÉRALE
EXERCICES - ANALYSE GÉNÉRALE OLIVIER COLLIER Exercice 1 (2012) Une entreprise veut faire un prêt de S euros auprès d une banque au taux annuel composé r. Le remboursement sera effectué en n années par
Plus en détailEtude de fonctions: procédure et exemple
Etude de fonctions: procédure et exemple Yves Delhaye 8 juillet 2007 Résumé Dans ce court travail, nous présentons les différentes étapes d une étude de fonction à travers un exemple. Nous nous limitons
Plus en détailTable des matières. I Mise à niveau 11. Préface
Table des matières Préface v I Mise à niveau 11 1 Bases du calcul commercial 13 1.1 Alphabet grec...................................... 13 1.2 Symboles mathématiques............................... 14 1.3
Plus en détailChapitre 3. Les distributions à deux variables
Chapitre 3. Les distributions à deux variables Jean-François Coeurjolly http://www-ljk.imag.fr/membres/jean-francois.coeurjolly/ Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), Grenoble University 1 Distributions conditionnelles
Plus en détailBaccalauréat technique de la musique et de la danse Métropole septembre 2008
Baccalauréat technique de la musique et de la danse Métropole septembre 008 EXERCICE 5 points Pour chacune des cinq questions à 5, trois affirmations sont proposées dont une seule est exacte. Pour chaque
Plus en détailSOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique
SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des
Plus en détailImage d un intervalle par une fonction continue
DOCUMENT 27 Image d un intervalle par une fonction continue La continuité d une fonction en un point est une propriété locale : une fonction est continue en un point x 0 si et seulement si sa restriction
Plus en détailBaccalauréat ES/L Métropole La Réunion 13 septembre 2013 Corrigé
Baccalauréat S/L Métropole La Réunion 13 septembre 2013 Corrigé A. P. M.. P. XRCIC 1 Commun à tous les candidats Partie A 1. L arbre de probabilité correspondant aux données du problème est : 0,3 0,6 H
Plus en détailL ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ
L ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ INTRODUCTION Données : n individus observés sur p variables quantitatives. L A.C.P. permet d eplorer les liaisons entre variables et
Plus en détailavec des nombres entiers
Calculer avec des nombres entiers Effectuez les calculs suivants.. + 9 + 9. Calculez. 9 9 Calculez le quotient et le rest. : : : : 0 :. : : 9 : : 9 0 : 0. 9 9 0 9. Calculez. 9 0 9. : : 0 : 9 : :. : : 0
Plus en détailExercice 3 (5 points) A(x) = 1-e -0039' -0 156e- 0,039x A '() -'-,..--,-,--,------:-- X = (l_e-0,039x)2
Les parties A et B sont indépendantes. Partie A Exercice 3 (5 points) Commun à tous les candidats On considère la fonction A définie sur l'intervalle [1 ; + 00 [ par A(x) = 1-e -0039' ' x 1. Calculer la
Plus en détailTravaux dirigés d introduction aux Probabilités
Travaux dirigés d introduction aux Probabilités - Dénombrement - - Probabilités Élémentaires - - Variables Aléatoires Discrètes - - Variables Aléatoires Continues - 1 - Dénombrement - Exercice 1 Combien
Plus en détailRappels sur les suites - Algorithme
DERNIÈRE IMPRESSION LE 14 septembre 2015 à 12:36 Rappels sur les suites - Algorithme Table des matières 1 Suite : généralités 2 1.1 Déition................................. 2 1.2 Exemples de suites............................
Plus en détailExercice autour de densité, fonction de répatition, espérance et variance de variables quelconques.
14-3- 214 J.F.C. p. 1 I Exercice autour de densité, fonction de répatition, espérance et variance de variables quelconques. Exercice 1 Densité de probabilité. F { ln x si x ], 1] UN OVNI... On pose x R,
Plus en détailNotion de fonction. Résolution graphique. Fonction affine.
TABLE DES MATIÈRES 1 Notion de fonction. Résolution graphique. Fonction affine. Paul Milan LMA Seconde le 12 décembre 2011 Table des matières 1 Fonction numérique 2 1.1 Introduction.................................
Plus en détailC f tracée ci- contre est la représentation graphique d une
TLES1 DEVOIR A LA MAISON N 7 La courbe C f tracée ci- contre est la représentation graphique d une fonction f définie et dérivable sur R. On note f ' la fonction dérivée de f. La tangente T à la courbe
Plus en détailCarl-Louis-Ferdinand von Lindemann (1852-1939)
Par Boris Gourévitch "L'univers de Pi" http://go.to/pi314 sai1042@ensai.fr Alors ça, c'est fort... Tranches de vie Autour de Carl-Louis-Ferdinand von Lindemann (1852-1939) est transcendant!!! Carl Louis
Plus en détailmathématiques mathématiques mathématiques mathématiques mathématiques mathématiques SÉRIE ES ANNALES DES SUJETS DE MATHÉMATIQUES SESSION 2013
mathématiques mathématiques mathématiques mathématiques mathématiques mathématiques mathématiques mathématiques mathématiques mathématiques mathématiques mathématiques mathématiques mathématiques mathématiques
Plus en détailFonction inverse Fonctions homographiques
Fonction inverse Fonctions homographiques Année scolaire 203/204 Table des matières Fonction inverse 2. Définition Parité............................................ 2.2 Variations Courbe représentative...................................
Plus en détailEconomie de l incertain et de l information Partie 1 : Décision en incertain probabilisé Chapitre 1 : Introduction à l incertitude et théorie de
Economie de l incertain et de l information Partie 1 : Décision en incertain probabilisé Chapitre 1 : Introduction à l incertitude et théorie de l espérance d utilité Olivier Bos olivier.bos@u-paris2.fr
Plus en détailBien lire l énoncé 2 fois avant de continuer - Méthodes et/ou Explications Réponses. Antécédents d un nombre par une fonction
Antécédents d un nombre par une fonction 1) Par lecture graphique Méthode / Explications : Pour déterminer le ou les antécédents d un nombre a donné, on trace la droite (d) d équation. On lit les abscisses
Plus en détailIV- Equations, inéquations dans R, Systèmes d équations
IV- Equations, inéquations dans R, Systèmes d équations 1- Equation à une inconnue Une équation est une égalité contenant un nombre inconnu noté en général x et qui est appelé l inconnue. Résoudre l équation
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détailCONCOURS D ENTREE A L ECOLE DE 2007 CONCOURS EXTERNE. Cinquième épreuve d admissibilité STATISTIQUE. (durée : cinq heures)
CONCOURS D ENTREE A L ECOLE DE 2007 CONCOURS EXTERNE Cinquième épreuve d admissibilité STATISTIQUE (durée : cinq heures) Une composition portant sur la statistique. SUJET Cette épreuve est composée d un
Plus en détailI3, Probabilités 2014 Travaux Dirigés F BM F BM F BM F BM F B M F B M F B M F B M 20 20 80 80 100 100 300 300
I3, Probabilités 2014 Travaux Dirigés TD 1 : rappels. Exercice 1 Poker simplié On tire 3 cartes d'un jeu de 52 cartes. Quelles sont les probabilités d'obtenir un brelan, une couleur, une paire, une suite,
Plus en détailGEA II Introduction aux probabilités Poly. de révision. Lionel Darondeau
GEA II Introduction aux probabilités Poly. de révision Lionel Darondeau Table des matières Énoncés 4 Corrigés 10 TD 1. Analyse combinatoire 11 TD 2. Probabilités élémentaires 16 TD 3. Probabilités conditionnelles
Plus en détailStatistique : Résumé de cours et méthodes
Statistique : Résumé de cours et méthodes 1 Vocabulaire : Population : c est l ensemble étudié. Individu : c est un élément de la population. Effectif total : c est le nombre total d individus. Caractère
Plus en détailNombre dérivé et tangente
Nombre dérivé et tangente I) Interprétation graphique 1) Taux de variation d une fonction en un point. Soit une fonction définie sur un intervalle I contenant le nombre réel a, soit (C) sa courbe représentative
Plus en détailF411 - Courbes Paramétrées, Polaires
1/43 Courbes Paramétrées Courbes polaires Longueur d un arc, Courbure F411 - Courbes Paramétrées, Polaires Michel Fournié michel.fournie@iut-tlse3.fr http://www.math.univ-toulouse.fr/ fournie/ Année 2012/2013
Plus en détailTP1 Méthodes de Monte Carlo et techniques de réduction de variance, application au pricing d options
Université de Lorraine Modélisation Stochastique Master 2 IMOI 2014-2015 TP1 Méthodes de Monte Carlo et techniques de réduction de variance, application au pricing d options 1 Les options Le but de ce
Plus en détailExercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer
Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy
Plus en détailMATHEMATIQUES TES 2012-2013 Corrigés des devoirs
MATHEMATIQUES TES 2012-2013 Corrigés des devoirs DS1 26/09/2012 page2 DV 09/10/2012 page 6 DS 24/10/2012 page 8 DV 30/11/2012 page 14 DV 14/12/2012 page 16 BAC BLANC 18/01/2013 page 17 DV 05/02/2013 page
Plus en détailSouad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/
Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation
Plus en détailSuites numériques 4. 1 Autres recettes pour calculer les limites
Suites numériques 4 1 Autres recettes pour calculer les limites La propriété suivante permet de calculer certaines limites comme on verra dans les exemples qui suivent. Propriété 1. Si u n l et fx) est
Plus en détailEXPLOITATIONS PEDAGOGIQUES DU TABLEUR EN STG
Exploitations pédagogiques du tableur en STG Académie de Créteil 2006 1 EXPLOITATIONS PEDAGOGIQUES DU TABLEUR EN STG Commission inter-irem lycées techniques contact : dutarte@club-internet.fr La maquette
Plus en détailExercices types Algorithmique et simulation numérique Oral Mathématiques et algorithmique Banque PT
Exercices types Algorithmique et simulation numérique Oral Mathématiques et algorithmique Banque PT Ces exercices portent sur les items 2, 3 et 5 du programme d informatique des classes préparatoires,
Plus en détailMaple: premiers calculs et premières applications
TP Maple: premiers calculs et premières applications Maple: un logiciel de calcul formel Le logiciel Maple est un système de calcul formel. Alors que la plupart des logiciels de mathématiques utilisent
Plus en détailCouples de variables aléatoires discrètes
Couples de variables aléatoires discrètes ECE Lycée Carnot mai Dans ce dernier chapitre de probabilités de l'année, nous allons introduire l'étude de couples de variables aléatoires, c'est-à-dire l'étude
Plus en détail