Enquête sur le recrutement et l emploi au Québec (EREQ) En collaboration avec
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- Lucienne Dupont
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1 Enquête sur le recrutement et l emploi au Québec (EREQ) En collaboration avec l Institut de la statistique du Québec Dimension régionale - Données de 2006 Dans la série Les Indicateurs du Faits saillants Le roulement du personnel s avère le plus intense dans l industrie de la construction où les taux d embauche et de départ excèdent 40 %, voire 70 % dans les régions ressources, effervescence s insérant dans le boom immobilier des dernières années Il est, en revanche, plus faible, quelle que soit la région, dans la fabrication et les services de haute technologie, signe de stabilité d emploi dans ces industries. Le roulement des travailleurs hautement qualifiés est deux fois plus faible que celui des autres travailleurs, ce qui indique une stabilité d emploi beaucoup plus grande chez les premiers que chez les seconds. Ce roulement est plus intense dans la région de Montréal que dans les régions centrales et dans celles-ci que dans les régions ressources, ce qui suggère que le marché du travail des hautes qualifications est d autant plus effervescent qu il est plus urbanisé. Le taux de vacance d emploi s élève, pour le Québec, à 3,6 % et le taux de vacance de longue durée à 0,8 %. On ne saurait donc conclure, eu égard à la petitesse de ce dernier pourcentage, à une pénurie générale de main-d œuvre au Québec en Il y a très peu de différences, entre les régions, quant aux taux de vacance et aux taux de vacance de longue durée, les premiers et les seconds oscillant tout près des moyennes de 3,6 % et de 0,8 %. On ne saurait donc conclure à des pénuries générales de main-d œuvre dans les régions, même dans la région de Montréal qui constitue le cœur industriel du Québec. La fabrication et les services de haute technologie, ainsi que les services professionnels, ont, en général, des taux de vacance de longue durée plus importants que ceux des autres industries. Les taux de vacance de longue durée se révèlent deux fois plus élevés pour les travailleurs hautement qualifiés que pour les autres travailleurs. Si les travailleurs hautement qualifiés, incorporant davantage de capital humain, profitent d emplois plus stables, ils prennent plus de temps à se faire recruter....suite des faits saillants en page 3
2 2 Enquête sur le recrutement et l emploi au Québec - Dimension régionale, données de 2006 Cette publication est réalisée par le () Direction du et de l information sur le marché du travail (DCIMT) - Emploi-Québec Coordination : Malika Hamzaoui Analyse et rédaction : Louis-Philippe Longtin, économiste Support technique, conception graphique et mise en pages : Stéphane Leroux Secrétariat : Najah Awad Collaboration pour la réalisation de l enquête : Institut de la statistique du Québec Abonnement et changement d adresse : 276, rue Saint-Jacques, 6 e étage Montréal (Québec) H2Y 1N3 Téléphone : (514) Télécopieur : (514) Courrier électronique : cetech@mess.gouv.qc.ca Dépôt légal : Bibliothèque nationale du Québec, 2008 Bibliothèque nationale du Canada, 2008 ISSN (imprimé) ISSN (pdf) Cette publication est aussi publiée en ligne sur le site du Ce document fait partie de la série Les Indicateurs du ISSN (imprimé) ISSN (pdf)
3 Faits saillants (suite) 3...suite des faits saillants Les trois moyens de pallier les vacances de longue durée auxquels les établissements recourent le plus fréquemment sont le temps supplémentaire, la sous-traitance et la formation interne. Au Québec, 56,3 % des établissements proposent de la formation à leurs employés en regard de 55 % dans la région de Montréal, 58,6 % dans les régions centrales et 57 % dans les régions ressources. La formation se révèle davantage disponible dans la fabrication et les services de haute technologie ainsi que dans les services professionnels où plus de 70 % des établissements l offre à leur personnel. Le bouche à oreille, les journaux et les curriculums vitæ, les moyens traditionnels de recrutement, demeurent les plus populaires dans toutes les régions. Les moyens de rétention du personnel les plus utilisés, quelle que soit la région, sont les salaires concurrentiels, les avantages sociaux, la formation et les horaires flexibles.
4 4 Table des matières Table des matières Avant-propos 5 1. Nombre d employés 6 2. Embauches et départs 7 3. Vacances d emploi Taux de vacances d emploi par industries, professions et régions Taux de vacances d emploi de longue durée par industries, professions et régions Moyens de pallier les vacances d emploi de longue durée Formation Moyens de recrutement et de rétention du personnel Moyens de recrutement Moyens de rétention 13
5 Avant-propos 5 Avant-propos L Enquête sur l emploi et le recrutement au Québec (EREQ) est un sondage annuel conçu par le Centre d étude sur l emploi () et réalisé par l Institut de la statistique du Québec auprès de quelque établissements (une entreprise peut avoir plus d un établissement) de cinq employés ou plus des industries de la fabrication, des services et de la construction à l exclusion de l industrie primaire et du secteur public. Les donnés de l EREQ sont ventilées par industries, professions, régions et tailles d entreprises. La présente publication ne tiendra pas compte des tailles d entreprises et, laissant dans l ombre les sous-catégories des ventilations, limitera son analyse à des agrégats statistiques. Le choix de ces agrégats répond à l intérêt particulier du pour les industries de haute technologie et les professions hautement qualifiées. Les définitions des industries de haute technologie et des professions hautement qualifiées reposent sur des travaux de l OCDE. La ventilation par industries comporte les éléments suivants : Fabrication de haute technologie (fabrication de produits pharmaceutiques, fabrication de produits informatiques et électroniques et fabrication de produits aérospatiaux); Services de haute technologie (services de conception de systèmes informatiques, services d architecture et de génie et services de recherche et de développement); Services professionnels; Fabrication et services sauf de haute technologie; Construction. Enfin la ventilation régionale se compose des groupes de régions que voici : Région de Montréal (Montréal, Montérégie, Lanaudière, Laurentides et Laval); Régions centrales (Capitale-Nationale, Chaudières-Appalaches, Estrie, Centre-du-Québec et Outaouais); Régions ressources (Abitibi-Témiscamingue, Bas-Saint-Laurent, Côte-Nord et Nord-du-Québec, Gaspésie Îles-de-la-Madeleine, Mauricie et Saguenay Lac-Saint-Jean). Le questionnaire de l EREQ porte sur cinq thèmes : 1. le nombre d employés de l établissement à la fin de 2006; 2. les embauches et les départs en 2006; 3. les vacances d emploi; 4. les activités de formation en 2006; 5. les moyens de recrutement et de rétention du personnel. Les réponses ne sont pas toutes de même fiabilité statistique. Par exemple les réponses provenant de la région de Montréal, qui compte 59 % des établissements du Québec, sont en général plus fiables statistiquement que celles recueillies dans les régions centrales ou de ressources. Les cas de faible fiabilité statistique seront signalés. La ventilation des travailleurs par professions se présente comme suit : Travailleurs hautement qualifiés (cadres, professionnels des sciences naturelles et appliquées, autres professionnels, techniciens des sciences naturelles et appliquées et autres techniciens); Autres travailleurs (secrétaires, métiers, superviseurs et surveillants, personnel général de bureau, personnel général de la vente et des services et travailleurs de la production et de domaines connexes).
6 6 Nombre d employés 1. Nombre d employés La région de Montréal compte 63,2 % de l emploi du Québec contre 24,8 % pour les régions centrales et 11,9 % pour les régions ressources. La fabrication et les services de haute technologie représentent 6,8 % de la main-d œuvre au travail et les travailleurs hautement qualifiés 24,6 %. Graphique 2 La part de l emploi consacrée à la fabrication et aux services de haute technologie s avère la plus élevée dans la région de Montréal, moindre dans les régions centrales et la plus basse dans les régions ressources. On peut en dire autant de la distribution régionale des services professionnels. Évidemment le gros de l emploi, dans toutes les régions, va à la fabrication et aux services sauf de haute technologie (plus de 80 %). Graphique 1 La région de Montréal est également prépondérante quant aux hautes qualifications car 27,2 % de l emploi s y compose de travailleurs hautement qualifiés (THQ) comparativement à 21,7 % dans les régions centrales et à 17,2 % dans les régions ressources. Le complément de ces pourcentages réfère, évidemment, aux autres travailleurs.
7 Embauches et départs 7 2. Embauches et départs Le nombre d embauches et de départs, divisé par le nombre d employés en fin d année, définit les taux d embauche et de départ d un établissement, la différence entre ces derniers, autrement dit le taux net d embauche ou de départ, mesurant son taux de gain ou de perte d emploi. Le taux d embauche du Québec, en 2006, s établissant à 33,3 % et son taux de départ à 31,7 %, son taux net d embauche, ou son taux de gain d emploi, se monte à 1,6 %. La région de Montréal enregistre, en 2006, un taux net d embauche, un taux de gain d emploi de 1,8 %, supérieur à la moyenne québécoise de 1,6 %. Le gain le plus considérable se révèle celui des services professionnels, le moins considérable celui de la construction. Graphique 4 Les taux d embauche et de départ mesurent également, par leur extension même, l intensité de roulement du personnel. Un roulement intense, impliquant de forts pourcentages d embauche et de départ, peut témoigner d un marché du travail effervescent, une profusion de postes à combler, ou d un secteur de l économie offrant des emplois précaires ou peu intéressants; cependant qu un roulement faible peut indiquer une léthargie des affaires, une rareté de postes à combler, ou des emplois stables et attrayants. L interprétation du degré de roulement n est pas univoque. Le roulement du personnel s avère le plus intense dans l industrie de la construction où les taux d embauche et de départ excèdent 40 %, voire 70 % dans les régions ressources (graphiques 3, 4 et 5), effervescence s insérant dans le boom immobilier des dernières années. Il est, en revanche, plus faible, quelle que soit la région, dans la fabrication et les services de haute technologie, signe de stabilité d emploi dans ces industries. Graphique 3 Dans les régions centrales, la fabrication de haute technologie essuie une perte d emploi de 0,9 % tandis que des gains d emploi relativement importants apparaissent dans les services de haute technologie, les services professionnels et la construction. Ces régions, au total, bénéficient d un taux net d embauche de 1,1 %. Graphique 5
8 8 Embauches et départs La fabrication de haute technologie essuie aussi une perte d emploi dans les régions ressources, un taux net de départ de 7,5 %, donc considérable en termes relatifs. Mais, en termes absolus, une telle perte représente très peu de postes étant donné que cette industrie ne génère que 0,2 % de l emploi (graphique 1). Le taux net d embauche le plus élevé se trouve dans les services de haute technologie. Au total, le taux de gain d emploi se chiffre à 1,4 %. Graphique 6 Maintenant, si nous nous tournons vers la ventilation par professions, nous constatons que, dans toutes les régions, le roulement des travailleurs hautement qualifiés est deux fois plus faible que celui des autres travailleurs, ce qui indique une stabilité d emploi beaucoup plus grande chez les premiers que chez les seconds (graphique 6). Nous voyons, également, que le roulement est plus intense dans la région de Montréal que dans les régions centrales et dans cellesci que dans les régions ressources, ce qui suggère que le marché du travail des hautes qualifications est d autant plus effervescent qu il est plus urbanisé. Les travailleurs hautement qualifiés présentent les taux de gain d emploi les plus importants, sauf dans les régions ressources.
9 Vacances d emploi 9 3. Vacances d emploi Le taux de vacance d emploi se définit comme le rapport entre le nombre de postes vacants et le nombre d emplois. Ce rapport s établit, pour le Québec, à 3,6 %. Par ailleurs, les postes vacants de quatre mois ou plus sont conventionnellement appelés des postes vacants de longue durée, que d aucuns peuvent assimiler à des pénuries de maind œuvre. Le taux de vacance de longue durée s élève à 0,8 %. On ne saurait donc conclure, eu égard à la petitesse de ce dernier pourcentage, à une pénurie générale de main-d œuvre au Québec en 2006, du moins dans l univers de référence de l EREQ composé des établissements de cinq employés ou plus du secteur privé à l exclusion de l industrie primaire. Il y a très peu de différences, entre les régions, quant aux taux de vacance et aux taux de vacance de longue durée, les premiers comme les seconds oscillant tout près des moyennes de 3,6 % et de 0,8 % (graphique 7). On ne saurait donc conclure à des pénuries généralisées de main-d œuvre dans les régions, même dans la région de Montréal qui constitue le cœur industriel du Québec Taux de vacance d emploi par industries, professions et régions 1 Peu d informations signifiantes se dégagent de la ventilation des taux de vacance par industries et régions (graphique 8). Il faut dire que ces taux de vacance, incluant des postes vacants de courte et de longue durée, réfèrent à la fois à des délais frictionnels et structurels de recrutement. Notons que, dans les régions ressources, la construction souffre d un taux de vacance relativement fort, ce qui renvoie à son roulement extrêmement élevé (graphique 5), de même que la fabrication de haute technologie en perte d emplois (graphique 5), signe évident de difficultés de recrutement. Graphique 8 Graphique 7 La concentration de la demande des travailleurs hautement qualifiés dans la région de Montréal (graphique 2) se confirme au graphique 9 où leur taux de vacance de 4,3 % est 26 % supérieur à celui des autres travailleurs (3,4 %), tandis que les écarts sont minimes ailleurs. 1. L EREQ estime à 27,8 % et à 7,9 % les proportions des établissements ayant, respectivement, des postes vacants et des postes vacants de longue durée. Ces proportions sont fractionnées en industries, professions et régions; elles le sont également par les réponses multiples à la question sur les moyens de pallier les postes vacants de longue durée. Il suit, de cet émiettement, une fiabilité statistique des résultats de l EREQ, dans cette section, généralement faible.
10 10 Vacances d emploi Graphique 9 Par ailleurs, les taux de vacance de longue durée se révèlent (graphique 11) deux fois plus élevés pour les travailleurs hautement qualifiés que pour les autres travailleurs. Graphique Taux de vacance d emploi de longue durée par industries, professions et régions La fabrication et les services de haute technologie, ainsi que les services professionnels, ont, en général, des taux de vacance de longue durée plus importants que ceux des autres industries (graphique 10). L existence de difficultés de recrutement, dans les régions ressources, de la fabrication de haute technologie se trouve ici corroborée de façon éclatante quand on se rappelle que le taux global de vacance de longue durée n est que de 0,8 %. Graphique 10 On se souviendra que le degré de roulement des travailleurs hautement qualifiés s avère deux fois moins élevé que celui des autres travailleurs, ce qui suggère une stabilité d emploi beaucoup plus grande chez les premiers que chez les seconds (graphique 6). Bref, si les travailleurs hautement qualifiés, incorporant davantage de capital humain, profitent d emplois plus stables, ils prennent plus de temps à se faire recruter.
11 Vacances d emploi Moyens de pallier les vacances d emploi de longue durée 2 Les trois moyens de pallier les vacances de longue durée auxquels les établissements recourent le plus fréquemment sont le temps supplémentaire, la soustraitance et la formation interne. Les assouplissements des critères d embauche prennent une importance particulière dans les régions ressources de même que les contrats refusés qui représentent une perte économique. L appel à de la main-d œuvre provenant de l extérieur du Québec est surtout le fait de la région de Montréal. Graphique L établissement pouvant mentionner plus d un moyen, la somme des pourcentages peut excéder 100 %.
12 12 Formation 4. Formation Au Québec, 56,3 % des établissements proposent de la formation à leurs employés en regard de 55 % dans la région de Montréal, 58,6 % dans les régions centrales et 57 % dans les régions ressources. La formation se révèle davantage disponible dans la fabrication et les services de haute technologie ainsi que dans les services professionnels où plus de 70 % des établissements l offre à leur personnel. Graphique 13
13 5. Moyens de recrutement et de rétention du personnel 3 Les moyens de recrutement et de rétention du personnel figurent parmi les éléments de la théorie de la gestion des ressources humaines. Leur examen s insère très naturellement dans une enquête sur le recrutement et l emploi comme l EREQ Moyens de recrutement Moyens de recrutement et de rétention du personnel 5.2. Moyens de rétention Les moyens de rétention du personnel les plus utilisés, quelle que soit la région, sont les salaires concurrentiels, les avantages sociaux, la formation et les horaires flexibles (graphique 15). Les primes au rendement et les possibilités d avancement sont aussi largement employées. Graphique Le bouche à oreille, les journaux et les curriculums vitæ, les moyens traditionnels de recrutement, demeurent les plus populaires dans toutes les régions (graphique 14). L embauche par le bouche à oreille étant informel et les curriculums vitæ inaccessibles, ce résultat de l EREQ indique que les journaux constituent une précieuse banque de données pour informer le public quant aux emplois disponibles. 4 Outre ces moyens traditionnels, le web gouvernemental s impose également comme un moyen de recrutement important. Graphique L établissement pouvant mentionner plus d un moyen, la somme des pourcentages peut excéder 100 %. 4. Le publie l Indice des possibilités d emploi hautement qualifié au Québec, un indicateur trimestriel construit sur la base des offres d emploi parues dans La Presse et Le Soleil.
14 14
15 15
16 Le () est une unité d Emploi-Québec dédiée à l amélioration de la connaissance du marché du travail, de l emploi hautement qualifié et des secteurs de haute technologie. Le s intéresse également aux différentes relations entre l emploi. Le produit et diffuse des analyses, des articles, des études et des avis sur des sujets reliés à ses domaines d expertise. Ces travaux visent à informer et à éclairer la prise de décision (choix de carrière, gestion des ressources humaines, élaboration de politiques gouvernementales ), tout en favorisant une meilleure compréhension du rôle joué par le capital humain dans la progression des niveaux de vie. Enquête sur le recrutement et l emploi au Québec - Dimension régionale, données de 2006 Cette publication est réalisée par le () Direction du et de l information sur le marché du travail (DCIMT) - Emploi-Québec Abonnement et changement d adresse 276, rue Saint-Jacques, 6 e étage Montréal (Québec) H2Y 1N3 Téléphone : (514) Télécopieur : (514) Courrier électronique : cetech@mess.gouv.qc.ca Dépôt légal Bibliothèque nationale du Québec, 2008 Bibliothèque nationale du Canada, 2008 ISSN (imprimé) ISSN (pdf) Coordination : Malika Hamzaoui Analyse et rédaction : Louis-Philippe Longtin, économiste Conception graphique et mise en pages : Stéphane Leroux Secrétariat : Najah Awad Cette publication est aussi publiée en ligne sur le site du Ce document fait partie de la série Les Indicateurs du ISSN (imprimé) ISSN (pdf)
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