Communiqué de presse POUR DIFFUSION IMMÉDIATE. Annick Robinson Relations avec les médias : Teri Loxam
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- Théodore Marchand
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1 Communiqué de presse POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Relations avec les médias : Annick Robinson Relations avec les investisseurs : Teri Loxam Le pembrolizumab, un produit de Merck, améliore de façon significative la survie globale, comparativement à la chimiothérapie, chez les patients atteints d un cancer de la vessie (tumeur urothéliale) de stade avancé ayant déjà été traités Données de l étude de phase III KEYNOTE-045 présentées pour la première fois à l occasion du 31 e congrès annuel de la Society for Immunotherapy of Cancer (SITC) KIRKLAND, Québec, le 12 novembre 2016 Merck (NYSE : MRK), connue sous le nom de MSD à l extérieur du Canada et des États-Unis, a annoncé aujourd hui les résultats de l étude pivot KEYNOTE-045 évaluant l utilisation du pembrolizumab, le traitement anti-pd-1 de l entreprise, chez les patients atteints d un cancer de la vessie (tumeur urothéliale) de stade avancé ayant déjà été traités avec une chimiothérapie à base de platine. Comme annoncé précédemment, le traitement avec le pembrolizumab s est révélé supérieur à la chimiothérapie choisie par l investigateur sur le plan de la survie globale (SG), paramètre principal de cette étude de phase III interrompue plus tôt que prévu. En particulier, une réduction de l ordre de 27 % du risque de décès chez les patients traités avec le pembrolizumab a été observée par rapport à la chimiothérapie (SG, RR : 0,73; p : 0,0022). Les données présentées au 31 e congrès annuel de la SITC sont les premiers résultats de cette étude à être rendus publics. «L amélioration de la survie globale des patients traités dans cette étude avec le pembrolizumab est significative sur le plan clinique et pourrait influencer la façon dont les médecins envisagent de soigner les patients déjà traités pour un cancer urothélial de stade avancé», a déclaré le D r Roger Dansey, vice-président principal, développement en oncologie au stade avancé, Laboratoires de recherche de Merck. «Ces nouvelles données s ajoutent à l ensemble de données probantes de plus en plus important de notre programme de
2 - 2 - développement clinique du pembrolizumab dans le traitement de divers types de cancer, notamment le cancer urothélial de stade avancé.» Les résultats de l étude ont été présentés par le D r Joaquim Bellmunt, du Dana-Farber Cancer Institute, le samedi 12 novembre, entre 11 h 45 et 12 h (HNE) [résumé n o 470]. «Peu de progrès ont été réalisés dans le traitement du cancer de la vessie au cours des dernières décennies, et la chimiothérapie demeurait la seule option», a déclaré le D r Dean F. Bajorin, investigateur de l étude et oncologue au Memorial Sloan Kettering Cancer Center. «Ces données montrent la capacité potentielle du pembrolizumab d améliorer de façon significative la survie globale chez les patients présentant un cancer urothélial de stade avancé ayant déjà reçu une chimiothérapie à base de platine.» Le programme de développement clinique du pembrolizumab vise plus de 30 types de tumeurs dans plus de 360 études cliniques, dont près de 200 portent sur l association du pembrolizumab à d autres antinéoplasiques. À l heure actuelle, le programme de développement clinique en immuno-oncologie de Merck sur le cancer de la vessie atteint une envergure sans précédent, avec 27 études en cours sur le pembrolizumab, en monothérapie et en association, dont quatre études d homologation. Résultats de l étude KEYNOTE-045 L étude KEYNOTE-045 est une étude pivot de phase III, avec répartition aléatoire, visant à évaluer le pembrolizumab en monothérapie, par rapport à une chimiothérapie (paclitaxel, docétaxel, vinflunine) choisie par l investigateur, pour le traitement des patients atteints d un cancer urothélial (carcinome urothélial du bassinet du rein, de l uretère, de la vessie ou de l urètre) métastatique ou localement avancé, non résécable (inopérable), qui a récidivé ou progressé après une chimiothérapie à base de platine. Les coparamètres principaux de l étude étaient la survie globale (SG) et la survie sans progression (SSP), et les paramètres secondaires étaient le taux de réponse global (TRG), la durée de la réponse et l innocuité. Dans le cadre de cette étude, 542 patients ont été répartis au hasard pour recevoir le pembrolizumab (200 mg toutes les 3 semaines) [n = 270] ou la chimiothérapie choisie par l investigateur (n = 272), à savoir, du paclitaxel (175 mg/m 2 toutes les 3 semaines), du docétaxel (75 mg/m 2 toutes les 3 semaines) ou de la vinflunine (320 mg/m 2 toutes les 3 semaines). L étude était conçue de manière à évaluer les paramètres principaux chez des patients dont les cellules tumorales exprimaient ou non le marqueur PD-L1 (population totale de l étude : n = 542), de même que chez des patients dont les cellules tumorales exprimaient le marqueur PD-L1 (taux
3 - 3 - d expression d au moins 10 %) [n = 74/270 dans le groupe recevant le pembrolizumab; n = 90/272 dans le groupe recevant la chimiothérapie]. Les résultats présentés lors du congrès annuel de la SITC pour la population totale à l étude indiquent une amélioration significative de la SG avec le pembrolizumab, comparativement à la chimiothérapie, avec une réduction du risque de décès de l ordre de 27 % (RR : 0,73 [IC à 95 % : 0,59 à 0,91]; p : 0,0022). La SG médiane dans ce groupe était de 10,3 mois (IC à 95 % : 8,0 à 11,8) avec le pembrolizumab, comparativement à 7,4 mois (IC à 95 % : 6,1 à 8,3) avec la chimiothérapie. Le taux de SG à un an a été estimé à 43,9 % avec le pembrolizumab, comparativement à 30,7 % avec la chimiothérapie. Dans le cadre de l analyse de la SG chez les patients dont les cellules tumorales exprimaient le marqueur PD-L1, une réduction de 43 % du risque de décès a été observée avec le pembrolizumab, comparativement à la chimiothérapie (RR : 0,57 [IC à 95 % : 0,37 à 0,88]; p : 0,0048). La SG médiane était de 8,0 mois (IC à 95 % : 5,0 à 12,3) avec le pembrolizumab, comparativement à 5,2 mois (IC à 95 % : 4,0 à 7,4) avec la chimiothérapie. Le taux de SG à un an a été estimé à 39,8 % avec le pembrolizumab, comparativement à 26,9 % avec la chimiothérapie. D après une analyse de la SSP, second paramètre principal de l étude, la SSP médiane était de 2,1 mois (IC à 95 % : 2,0 à 2,2) avec le pembrolizumab, comparativement à 3,3 mois (IC à 95 % : 2,3 à 3,5) avec la chimiothérapie (RR : 0,98; [IC à 95 % : 0,81 à 1,19]; p : 0,42). Le taux de SSP à six mois était de 28,8 % avec le pembrolizumab, comparativement à 26,8 % avec la chimiothérapie; le taux de SSP à un an était de 16,8 % avec le pembrolizumab, par rapport à 6,2 % avec la chimiothérapie. L écart entre les taux de réponse des deux groupes était de 9,6 % (p : 0,0011), soit une différence statistiquement significative et en faveur du pembrolizumab. Le TRG était de 21,1 % avec le pembrolizumab (dont 7,0 % étaient des réponses complètes), comparativement à 11,4 % avec la chimiothérapie (dont 3,3 % étaient des réponses complètes). Chez les patients exprimant le marqueur PD-L1, le TRG était de 21,6 % avec le pembrolizumab (dont 6,8 % étaient des réponses complètes), comparativement à 6,7 % avec la chimiothérapie (dont 2,2 % étaient des réponses complètes). La durée médiane de la réponse chez les patients traités avec le pembrolizumab n avait pas encore été atteinte au moment de l analyse (intervalle : 1,6 à 15,6 mois) avec des réponses d une durée estimée d au moins 12 mois dans 68 % des cas. Dans le groupe recevant la chimiothérapie, la durée médiane de la réponse était de 4,3 mois (intervalle : 1,4
4 - 4 - à 15,4 mois) avec des réponses d une durée estimée d au moins 12 mois dans 35 % des cas. Dans cette étude, le profil d innocuité du pembrolizumab concorde avec celui obtenu au cours d études rapportées antérieurement et menées auprès de patients atteints d un cancer urothélial de stade avancé. Les effets indésirables liés au traitement observés pendant cette étude (chez au moins 10 % des patients, tous grades confondus) étaient les suivants : prurit (19,5 % avec le pembrolizumab; 2,7 % avec la chimiothérapie), fatigue (13,9 % avec le pembrolizumab; 27,8 % avec la chimiothérapie), nausées (10,9 % avec le pembrolizumab; 24,3 % avec la chimiothérapie), diarrhée (9,0 % avec le pembrolizumab; 12,9 % avec la chimiothérapie), perte d appétit (8,6 % avec le pembrolizumab; 16,1 % avec la chimiothérapie), asthénie (5,6 % avec le pembrolizumab; 14,1 % avec la chimiothérapie), anémie (3,4 % avec le pembrolizumab; 24,7 % avec la chimiothérapie), constipation (2,3 % avec le pembrolizumab; 20,4 % avec la chimiothérapie), neuropathie sensorielle périphérique (0,8 % avec le pembrolizumab; 11,0 % avec la chimiothérapie), neuropathie périphérique (0,4 % avec le pembrolizumab; 10,6 % avec la chimiothérapie), baisse des polynucléaires neutrophiles (0,4 % avec le pembrolizumab; 14,1 % avec la chimiothérapie), alopécie (37,6 % avec la chimiothérapie) et neutropénie (15,3 % avec la chimiothérapie). Les effets indésirables à médiation immunitaire étaient les suivants : troubles thyroïdiens (9,4 % avec le pembrolizumab;1,6 % avec la chimiothérapie), pneumonite (4,1 % avec le pembrolizumab; 0,4 % avec la chimiothérapie), colite (2,3 % avec le pembrolizumab; 0,4 % avec la chimiothérapie), réactions liées à la perfusion (0,8 % avec le pembrolizumab; 3,9 % avec la chimiothérapie), toxicité cutanée sévère (0,8 % avec le pembrolizumab; 1,2 % avec la chimiothérapie), néphrite (0,8 % avec le pembrolizumab), insuffisance surrénale (0,4 % avec le pembrolizumab) et myosite (0,4 % avec la chimiothérapie). Quinze patients dans le groupe recevant le pembrolizumab et 28 dans celui recevant la chimiothérapie ont interrompu leur traitement en raison d un effet indésirable lié au traitement; le traitement a entraîné quatre décès dans chacun des groupes. À propos du cancer de la vessie La survenue d un cancer de la vessie se caractérise par une prolifération incontrôlée des cellules de la vessie. Cette augmentation anarchique du nombre de cellules peut donner lieu à la formation d une tumeur susceptible de se propager ailleurs dans l organisme. Le carcinome urothélial, le plus fréquent de tous les cancers de la vessie, prend naissance dans les cellules urothéliales qui tapissent l intérieur de la vessie. En 2012, environ personnes partout
5 - 5 - dans le monde ont reçu un diagnostic de cancer de la vessie, et sont décédées des suites de la maladie. L incidence du cancer de la vessie est élevée en Amérique du Nord, en Europe, en Afrique du Nord, au Moyen-Orient, en Australie et en Nouvelle-Zélande. À propos du pembrolizumab 1 Le pembrolizumab est un anticorps monoclonal humanisé qui agit en renforçant le système immunitaire de l organisme, de sorte que celui-ci est mieux armé pour déceler et combattre les cellules tumorales. Le pembrolizumab bloque l interaction entre le PD-1 et ses ligands, le PD-L1 et le PD-L2. Ce faisant, il active des lymphocytes T qui peuvent agir autant sur les cellules tumorales que sur les cellules saines. Au Canada, le pembrolizumab, connu sous le nom de KEYTRUDA, est indiqué pour le traitement des patients atteints d un mélanome non résécable ou métastatique n ayant jamais été traités avec l ipilimumab. KEYTRUDA a reçu une autorisation de commercialisation sans condition. Les sujets atteints d un mélanome à mutation BRAF V600 peuvent avoir été traités au moyen d un inhibiteur du gène BRAF. KEYTRUDA est aussi indiqué pour le traitement du mélanome non résécable ou métastatique avec progression de la maladie à la suite d un traitement avec l ipilimumab et, en présence d une mutation V600 du gène BRAF, à la suite d un traitement avec un inhibiteur du gène BRAF ou de la protéine MEK, ainsi que pour le traitement des patients atteints d un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) métastatique avec une tumeur exprimant le PD-L1 (tel que déterminé par un test validé), qui a progressé durant ou après une chimiothérapie à base de platine. Chez les patients présentant des aberrations génomiques tumorales du gène EGFR ou ALK, une progression de leur maladie doit être constatée au cours d un traitement autorisé pour ces aberrations avant que KEYTRUDA leur soit administré. Aucune amélioration du taux de survie ou des symptômes associés à la maladie n a encore été observée. KEYTRUDA bénéficie de ces autorisations de commercialisation avec conditions, en attendant les résultats d études permettant d attester son bienfait clinique. KEYTRUDA est administré à une dose de 2 mg/kg par perfusion intraveineuse durant 30 minutes, toutes les 3 semaines pour les indications approuvées. Pour consulter l intégralité de la monographie canadienne du produit et ainsi obtenir les renseignements d ordonnance complets, y compris les contre-indications, les mises en garde, les précautions, les effets indésirables, les interactions médicamenteuses, la posologie et les conditions d utilisation clinique, veuillez cliquer ici.
6 - 6 - Notre intérêt pour le cancer Notre objectif est de traduire les percées scientifiques en médicaments novateurs pour le traitement du cancer dans le but d aider les personnes atteintes de cancer partout dans le monde. Chez Merck, aider à lutter contre le cancer est une passion, favoriser l accès à nos médicaments contre le cancer est un engagement et poursuivre la recherche en immunooncologie est un idéal, et nous accélérons chaque étape du processus du laboratoire à la clinique pour offrir un nouvel espoir aux personnes aux prises avec un cancer. Dans cette optique, Merck s emploie à explorer le potentiel des traitements d immunooncologie grâce à des programmes de développement connaissant la plus forte croissance de l industrie. Nous menons actuellement un vaste programme de recherche clinique regroupant plus de 360 études cliniques visant à évaluer notre traitement anti-pd-1 contre plus de 30 types de tumeurs. Nous continuons également à consolider notre gamme de produits d immunooncologie au moyen d acquisitions stratégiques et nous établissons les priorités en ce qui a trait au développement de plusieurs immunothérapies prometteuses susceptibles d améliorer le traitement de différents types de cancers de stade avancé. Pour obtenir un complément d information sur nos études cliniques en oncologie, visitez le site à l adresse À propos de Merck Depuis 125 ans, la société Merck est un chef de file mondial dans le domaine des soins de santé qui vise à aider le monde à vivre mieux. Merck est connue sous le nom de MSD à l extérieur du Canada et des États-Unis. Grâce à nos médicaments, vaccins, traitements biologiques et produits de santé animale, nous collaborons avec nos clients et œuvrons à procurer des solutions de santé novatrices dans plus de 140 pays. Nous démontrons également notre détermination à améliorer l accès aux soins de santé grâce à des politiques, programmes et partenariats d envergure. Pour de plus amples renseignements à propos de nos activités au Canada, visitez le site ou suivez-nous sur YouTube. Déclarations prospectives de Merck & Co., Inc., Kenilworth, N.J., États-Unis Ce communiqué de Merck & Co., Inc., Kenilworth, N.J., États-Unis (la «Société») contient des «déclarations prospectives» (forward looking statements), au sens des dispositions libératoires de la Private Securities Litigation Reform Act de 1995 des États-Unis. Ces déclarations sont fondées sur les convictions et les prévisions actuelles de la direction de la Société et sont soumises à de nombreux risques et incertitudes. Rien ne garantit que les
7 - 7 - produits au stade expérimental recevront les approbations nécessaires des organismes de réglementation ou qu ils auront un succès commercial. Si les postulats comptables se révèlent inexacts, ou en cas de risques ou d incertitudes, les résultats réels peuvent différer de façon appréciable de ceux que décrivent les déclarations prospectives. Les risques et les incertitudes comprennent, sans s y limiter, les conditions générales du secteur et la concurrence; les facteurs économiques généraux, y compris le taux d intérêt et les fluctuations du taux de change; les effets de la réglementation de l industrie pharmaceutique ou des lois concernant les soins de la santé aux États-Unis et à l échelle mondiale; les tendances mondiales en matière de limitation des coûts de soins de santé; les percées technologiques et les nouveaux produits des concurrents ainsi que les brevets obtenus par ces derniers; les défis inhérents à la mise au point des nouveaux produits, y compris l obtention de l approbation réglementaire; la capacité de la Société à prédire précisément les conditions de marché futures; les difficultés ou les retards liés à la fabrication; l instabilité financière des économies mondiales et le risque-pays; la dépendance à l égard de l efficacité des brevets de la Société et des autres protections relatives aux produits innovants, ainsi que le risque de faire l objet d actions judiciaires, y compris les litiges sur les brevets, ou de mesures réglementaires. La Société ne s engage aucunement à publier des mises à jour de ses déclarations prospectives à la suite de nouveaux renseignements, d événements futurs ou de quelque fait que ce soit. D autres facteurs susceptibles d entraîner une différence notable entre les résultats réels et les résultats décrits dans les déclarations prospectives sont énoncés dans le rapport annuel 2015 de la Société établi sur le formulaire 10-K et dans les autres documents déposés par la Société auprès de la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis et accessibles sur le site Internet de cette dernière ( # # # 1 Monographie de KEYTRUDA, Merck Canada Inc., 9 août Accessible à l adresse :
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Communiqué de presse Relations avec les médias : Annick Robinson Dominique Quirion Merck NATIONAL Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Relations avec les investisseurs
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