DEMENCES et MALADIE D ALZHEIMER. Dr Marie Sarazin Hôpital de la Salpêtrière et Hôpital Bretonneau, AP-HP
|
|
- Josiane Couture
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 DEMENCES et MALADIE D ALZHEIMER Dr Marie Sarazin Hôpital de la Salpêtrière et Hôpital Bretonneau, AP-HP
2 CRITÈRES DU DSM IV DE DÉMENCE 1. Trouble de la mémoire 2. Au moins une des atteintes cognitives suivantes : Aphasie apraxie agnosie Perturbation des fonctions exécutives (planification, abstraction ) 3. Retentissement social ou professionnel ou déclin par rapport au niveau antérieur 4. Indépendamment de toute confusion ou dépression À début précoce < 65 ans
3 MA: Physiopathologie (1) Deux marqueurs histologiques associés à des dépôts de protéines : Plaque sénile : extra-cellulaire, sphérique constitué de peptide bêta amyloïde entouré de prolongements nerveux dégénérés : les neurites DNF (dégénérescence neuro-fibrillaire) intraneuronale formés de neurofilaments anormaux organisés en paire de filaments en hélice (PFH) constitué de protéine tau anormalement phosporylée
4 MA : Physiopathologie (2) Lésions associées : Angiopathie amyloïde (dépôts vasculaires d Aß40) Prolifération gliale reflet d un processus inflammatoire (autour des PS) Stress oxydatif : augmentation du calcium intracellulaire toxicité d acides aminés excitoexcitateurs (glutamate) mécanisme d apoptose Perte synaptique et mort neuronale
5 Distribution des DNF en fonction de l évolution D après Delacourte
6 D après Delacourte
7 D après Delacourte
8 Atrophie corticale et maladie d Alzheimer
9 LA MALADIE D ALZHEIMER EST UNE DÉMENCE AMNÉSIQUE PROGRESSIVE Une perte progressive des capacités mnésiques secondairement associée à l atteinte d autres fonctions cognitives est une MA dans 20/21 des cas (Mesulam, 1993)
10 La MA est une affection évolutive non hétérogène Démence amnésique progressive 1/ syndrome amnésique progressif isolé hippocampique 2/ phase de diffusion troubles instrumentaux Troubles psychocomportementaux Perte d autonomie
11 Mémoire à long terme apprentissage information Stimulus? souvenirs
12 Mémoire à long terme perception information encodage mémorisation Stimulus rappel Stratégie de récupération consolidation de la trace mnésique
13 Analyse des performances mnésiques RL RT intrusions vieillissement dépression Alzheimer
14 Analyse quantitative et qualitative de la mémoire épisodique - Rappel différé libre - Rappel différé indicé - Intrusions et fausses reconnaissances
15 1ère ÉTAPE Syndrome amnésique hippocampique progressif Trouble de la mémoire épisodique à long terme : Rappel libre effondré Peu d amélioration des performances par l indiçage Nombreuses intrusions et fausses reconnaissances La plainte mnésique du sujet est modérée, alors que l inquiétude du conjoint est majeure (anosognosie).
16 2ème ETAPE Apparition des troubles des fonctions instrumentales Apraxie : idémotrice (gestes imités gestes mimés) constructive de l habillage Langage : dénomination, manque de mots trouble de la compréhension trouble de l écriture et de la lecture Troubles visuo-spatiaux : désorientation spatiale Troubles des fonctions exécutives (frontales) : jugement, abstraction, conceptualisation planification
17 MMS
18 MMS
19 Copies de dessins Femme 76 ans MMS = 17 / 30
20 Test de l horloge Femme 76 ans, MMS = 17 / 30
21 I.A.D.L. Autonomie dans les activités de la vie quotidienne 1. Capacité à utiliser le téléphone 2. Utilisation des moyens de transport (transport en commun ou sa propre voiture) 3. Responsabilité pour la prise des médicaments 4. Capacité à gérer son budget
22 Signes et symptômes comportementaux et psychologiques de la MA (SSCPD) La prévalence des SSCPD augmente avec l évolution de la maladie. Au début : apathie, dépression, anxiété, irritabilité Puis les troubles sont plus productifs, motivant parfois un placement. D une façon générale, ils sont souvent temporaires et liés au contexte de survenue
23 Signes et symptômes comportementaux et psychologiques de la MA Apathie inertie (# dépression) diminution de l'initiation motrice, de l'initiation cognitive et du ressenti affectif. Hyperémotivité, réactions de catastrophe Manifestations dépressives tristesse de l'humeur fluctuante et temporaire. Les idées suicidaires sont inhabituelles Anxiété Troubles du sommeil et du rythme circadien fragmentation du rythme de sommeil phénomène du coucher de soleil
24 Signes et symptômes comportementaux et psychologiques de la MA (SSCPD) Délires et troubles de l'identification : TARDIFS croyances paranoïdes (soupçon de vol ou d infidélité du conjoint) trouble de la reconnaissance de sa propre image dans le miroir trouble de l'identification d'une autre personne conviction que les personnes observées sur l'écran de télévision s adressent personnellement à soi délire de Capgras (non reconnaissance d'un proche alors que la ressemblance est soulignée, identification d'un sosie)
25 Hallucinations : visuelles >>> auditives ou somesthésiques Non critiquées, avec adhérence comportementale Agitation - déambulation tasikinésie (incapacité de rester assis ou allongé) syndrome de Godot (suivre l'aidant principal dans ses déplacements). - impulsivité - aggressivité, parfois avec violence physique Troubles des conduites alimentaires Désinhibition : perte des convenances sociales
26 Troubles du comportement en fonction de la sévérité de la MA
27 EXAMENS PARACLINIQUES Recommandations de l ANAES : Bilan biologique + Imagerie cérébrale Il n y a pas de marqueur de diagnostic
28 BILAN BIOLOGIQUE Hémogramme Ionogramme sanguin incluant une calcémie et une protidémie TSH glycémie Selon le contexte : Bilan hépatique B12 folates TPHA VDRL, HIV Bilan inflammatoire et immunitaire PL
29 IMAGERIE CEREBRALE Indispensable : imagerie morphologique TDM / IRM Selon le contexte : imagerie fonctionnelle SPECT
30 Atrophie hippocampique dans la maladie d Alzheimer 1
31 IRM CÉRÉBRALE ET MALADIE D ALHEIMER (2) Témoin du même âge
32 IRM première consultation (MMS =23) Séquence 3D SPGR pondérée en T1 perpendiculaire au grand axe du lobe temporal - atrophie nette de l hippocampe et du gyrus parahippocampique. - sillons de la convexité et des régions temporales latérales préservés. - ventricules latéraux et le troisième ventricule discrètement élargis. - petite dilatation de la corne temporale des ventricules latéraux. - anomalies relativement symétriques.
33 Séquence FLAIR coronale L atrophie hippocampique et parahippocampique contrastant avec des sillons de la convexité préservés est visible. Les ventricules latéraux et le troisième ventricule sont discrètement élargis. La séquence FLAIR montre de plus des hypersignaux de la substance blanche sus-tentorielle en liseré périventriculaire et quelques images focales dans le centre ovale.
34 IRM lors du suivi trois années plus tard (MMS = 15) Séquence 3D SPGR T1 perpendiculaire au grand axe du lobe temporal - Progression de l atrophie de l hippocampe et du gyrus parahippocampique - Elargissement très net des sillons corticaux, traduisant l extension de la pathologie dégénérative au cortex cérébral temporo-pariétal. - Les ventricules se sont élargis. Il existe également une petite dilatation de la corne temporale du ventricule latéral.
35 SPECT EN MALADIE D ALZHEIMER Hypoperfusion bilatérale du cortex temporo-pariétal Respect des aires corticales primaires, frontales et des NGC.
36 Hypoperfusion amygdalo-hippocampique bilatérale modérée
37 Les Démences Fronto-temporales Consensus sur les critères diagnostiques cliniques des Dégénérescences Lobaires Fronto-Temporales (DLFT) (Neary et al, 1998) Met à jour et élargit le consensus sur les DFT Se manifestent sous forme de 3 syndromes : - Démence fronto-temporale - Aphasie progressive non-fluente - Démence sémantique
38 DLFT = terme générique Dégénérescence progressive circonscrite Syndrome clinique déterminé par la distribution lésionnelle - comportement : lobes frontaux DFT - langage : Aphasie Progressive : lobes F-T Gauches Démence Sémantique : lobes Temporaux gauche : aspects verbaux` droits: aspects visuels (prosopagnosie)
39 Séquences graphiques
40 Maladie de Pick
41 DFT : IRM cérébrale
42 DFT : IRM cérébrale
43 Scintigraphie cérébrale (SPECT)
44 Scintigraphie cérébrale (SPECT)
45 APP: progression de l atrophie focale corticale périsylvienne G IRM 1 an après le début des symptômes (62 ans) IRM 4 ans après le début des symptômes
46 APP, 73 ans IRM pas d atrophie corticale focale visible SPECT hypodébit périsylvien gauche
47 DCL :Critères de diagnostic (1) Détérioration cognitive progressive retentissant sur la vie sociale et quotidienne avec prédominance de troubles de l attention et visuo-spatiaux Présence d au moins deux des signes suivants : 1. Fluctuation cognitive avec variation de la vigilance et de l attention 2. Hallucinations visuelles élaborées et récurrentes 3. Syndrome parkinsonien (sans NLP)
48 DCL : Critères de diagnostic (2) Signes évocateurs : Chutes à répétition Syncopes PC brèves Hypersensibilité aux NLP Délires systématisés et élaborés Hallucinations non visuelles Trouble du sommeil
49
50 Dat Scan : étude de la fixation du transporteur de la dopamine Sévère diminution, de la fixation des 2 putamen, plus discrète du noyau caudé droit.
51 MA : OBJECTIF THERAPEUTIQUE A Autonomie B Behaviour C Cognition
52 PRINCIPES THERAPEUTIQUES Stratégie pharmacologique cognition Comportement humeur anticholinestérasique Antidépresseur (IRSS) anticholinestérasique normothymique NLP, anxiolytique Stratégie non pharmacologique utilisation d un carnet / agenda = aide mémoire stabilité de l environnement pilulier sécurité du patient soins quotidiens Structures d accueil, aides au domicile, institution
53 Principes d action des IAC Acetyl CoA + Choline ChAT Choline Cellule gliale ACh BuChE R cholinergique nicotinique Neurone post synaptique ACh AChE AChE Choline + Acetate BuChE
54 Pourquoi traiter «tôt» Age = 75,3 years MMSE = 19 Reminyl 24mg/24mg 32mg/24mg Placebo/24mg Mean change from baseline in 11-item AD ADAS-cog/11 scores over 12 months Raskind et al. Neurology 2000;54:
55 Pourquoi traiter longtemps (ADAS-cog) Evolution moyenne du score ADAS-cog/11 par rapport à la valeur initiale (+/- erreur type) Valeur initiale Placebo à 12 mois 1 Estimation du déclin : équation de Stern 2 Galantamine / 24 mg Temps (mois) 1. Torfs K, Feldman M. Poster presenté au 7ème congrès Alzheimer International mondial, Washington 9 18 Juillet Stern RG et al. Am K Psychiatry 151: 3 Mars Truyen L, Kershaw P. Poster presenté au 7ème International Geneva Springfield, Suisse, Avril 2002
56 En conclusion, le diagnostic de la MA est un diagnostic positif Des traitements symptomatiques sont actuellement disponibles. le diagnostic de la MA peut se poser dès les stades débutant de la maladie
57 S agit- il de la maladie d Alzheimer? Les 10 signes d alerte (1) 1. Perte de la mémoire oublis inhabituels des évènements récents sans parvenir à sans souvenir augmentation de la fréquence des oublis 2. Difficultés à exécuter les tâches familières pouvant occasionner un abandon de certaines activités 3. Problème de langage difficultés pour trouver le mot juste remplacement par des mots génériques ou par un autre mot 4. Désorientation dans le temps et dans l espace 5. Appauvrissement du jugement le patient ne s en inquiète que rarement
58 S agit- il de la maladie d Alzheimer? Les 10 signes d alerte (2) 6. Difficultés face aux notions abstraites calcul sens symbolique de certaines dates ou lieux 7. Objets égarés, mal rangés 8. Changement d humeur et de comportement labilité émotionnelle, irritabilité apathie 9. Changement de la personnalité modification du rôle familial 10. Manque d initiative retrait social
Place de la PSP et des AMS. «Parkinson plus!» Ce qui doit alerter. Paralysie supra-nucléaire progressive (PSP) Ce qui doit alerter
«Parkinson plus!» Pr Marc Verny Centre de Gériatrie, pav. M. Bottard Hôpital de la Salpêtrière Place de la PSP et des AMS Maladie de Parkinson : diagnostic clinique et certitude neuropathologique. Etude
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailAssociation France - DFT
Association France - DFT Dégénérescences Fronto-Temporales Pour nous contacter Nous écrire Association France - DFT 41, rue de Richelieu 75001 Paris Nous adresser un mail Le site internet www.dft-france.org
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détail1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :
La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la
Plus en détailLes démences fronto-temporales
Les démences fronto-temporales Maladie de Pick Démence fronto-temporale sans lésions spécifiques Démence fronto-temporale avec syndrome Parkinsonien (DFTP17) La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques
Plus en détailmentale Monsieur Falize la création et l utilisation d imagerie interactive, les associations noms-visages, la méthode des lieux.
Pr Anne-Marie Ergis le vieillissement entraîne le déclin d un certain nombre de fonctions cognitives, comme la vitesse de traitement, les ressources attentionnelles, la mémoire de travail, la mémoire épisodique
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailLes mécanismes de la récupération neurologique. PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007
Les mécanismes de la récupération neurologique PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007 Introduction Plasticité cérébrale / Récupération après lésion cérébrale Récupération spontanée
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailSpécial Praxies. Le nouveau TVneurones est enfin arrivé! Les métiers. NOUVEAUX JEUX de stimulation cognitive, orientés praxies.
Enfants Adolescents AdultesPersonnesÂgéesPlasticité NeuronalePathologiesMaintienCognitif MémoireAttentionLangage FonctionsExécutivesVisuoSpatial Les métiers Spécial Praxies Le nouveau est enfin arrivé!
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailAgenda. Prevalence estimates in France PAQUID 23/11/14. Workshop Innovation Alzheimer 6 Novembre 2014. Atelier BANQUE NATIONALE ALZHEIMER
23/11/14 Workshop Innovation Alzheimer 6 Novembre 2014 Atelier BANQUE NATIONALE ALZHEIMER Agenda La Banque Nationale Alzheimer Exemples d application Quelles potentialités pour la BNA? (à quelles conditions?)
Plus en détailSophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique Beauséjour, Michel Pépin, Isabelle Gélinas, et Michelle McKerral
Le traumatisme cranio-cérébral léger chez les personnes âgées : impact sur les processus mnésiques et exécutifs - Mise en relation avec les habitudes de vie Sophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailSport et traumatisme crânien
Sport et traumatisme crânien Sylma M Pamara DIABIRA Neurochirurgie, CHU Rennes Commotion cérébrale «Perturbation physiologique, en général transitoire, de la fonction cérébrale à la suite d'un traumatisme
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailTRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ
TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ «Un atelier de deux jours en spécialité EMDR» Présenté par Dr Steven MARCUS,, Ph.D 30 AVRIL & 1er MAI 2011 A PARIS SAMEDI 30 AVRIL : 9H - 16H30 - DIMANCHE 1ER
Plus en détailIMMED Monitoring vidéo porté
IMMED Monitoring vidéo porté L indexation vidéo au service du soin des personnes Projet financé par PEPS S2TI CNRS et des bourses BQR de l Université Bordeaux 1 1 Contexte Maladies et dépendances liées
Plus en détailLe bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009
Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif
Plus en détailDépression. du sujet âgé. Docteur Patrick Frémont. Professeur Joël Belmin. Psychiatrie
360 Psychiatrie Dépression du sujet âgé Docteur Patrick Frémont Service de Psychiatrie, Hôpital de Lagny-sur-Marne, Marne-la-Vallée Professeur Joël Belmin Service de Gériatrie, Hôpital Charles-Foix, Ivry-sur-Seine
Plus en détailDES : Médecine physique et de réadaptation DIU : Médecine de rééducation Module : MPR et Personnes âgées Garches: 1,2 et 3 avril 2009
DES : Médecine physique et de réadaptation DIU : Médecine de rééducation Module : MPR et Personnes âgées Garches: 1,2 et 3 avril 2009 Coordonnateur : Coordonnateurs : Philippe AZOUVI et Jean-Michel MAZAUX
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailMIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.
MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailAutisme Questions/Réponses
Autisme Questions/Réponses 1. Quelle est la définition de l autisme et des autres troubles envahissants du développement établie dans l état des connaissances élaboré et publié par la HAS? Les définitions
Plus en détailL infarctus veineux hémorragique (IVH) du nouveau-né, une pathologie mal connue. À propos de 19 patients.
L infarctus veineux hémorragique (IVH) du nouveau-né, une pathologie mal connue. À propos de 19 patients. Dr M. Lahutte, radiologie pédiatrique, hôpital Saint-Vincent-de-Paul, Paris Dr C. Bordarier, néonatalogie,
Plus en détailGuide de rédaction d un protocole de recherche clinique à. l intention des chercheurs évoluant en recherche fondamentale
V E R S I O N A V R I L 2 0 1 2 C E N T R E D E R E C H E R C H E C L I N I Q U E É T I E N N E - L E B E L D U C H U S Guide de rédaction d un protocole de recherche clinique à l intention des chercheurs
Plus en détailEtude MAPT (Multidomain Alzheimer Preventive Trial)
Etude MAPT (Multidomain Alzheimer Preventive Trial) F Portet CMRR CHU de Montpellier (J Touchon) et Inserm U 888 Promoteur : CHU Toulouse (B Vellas) MAPT : objectif principal évaluer l efficacité d une
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailCréation d interfaces facilitant l utilisation de tablettes tactiles par les personnes hébergées dans l établissement
Création d interfaces facilitant l utilisation de tablettes tactiles par les personnes hébergées dans l établissement CISS Limousin : trophée des usagers 1 Préambule La tablette tactile est un outil caractérisé
Plus en détailAttention soutenue chez la personne âgée. atteinte de démence : validité pathologique de l adaptation. du Test des 2 Barrages de Zazzo
Université Paul Sabatier - Toulouse III Faculté de Médecine Toulouse Rangueil Institut de Formation en Psychomotricité Attention soutenue chez la personne âgée atteinte de démence : validité pathologique
Plus en détailCommuniqué de presse. Merck Serono. 18 septembre 2008
Communiqué de presse 18 septembre 2008 Merck Serono annonce le lancement de l'essai clinique ORACLE MS destiné à évaluer la cladribine en comprimés chez des patients à risque de développer une sclérose
Plus en détailPermis de conduire et maladie d Alzheimer. Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes
Permis de conduire et maladie d Alzheimer Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes Introduction Conduite automobile : Tâche complexe à forte exigence cognitive Liberté
Plus en détailGuide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite
Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,
Plus en détail«Démence vasculaire» Troubles cognitifs
«Démence vasculaire» J Ghika Troubles cognitifs Prof Joseph André Ghika 1 Perte de mémoire Confirmée par informateur Objectivé par un examen cognitif (neuropsychologique) Normal: viellissement normal 1
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailDU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE
DU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE SEPTEMBRE 2009 A. AUTRET, TOURS au moins 5 crises : de MIGRAINE SANS AURA 4 72 heures, 2 des caractères : 1 signe d accompagnement : modérée ou sévère, pulsatile,
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailLa prise en charge de votre épilepsie
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailEVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME
EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailLe logiciel EduAnatomist.
Le logiciel EduAnatomist. Les travaux de l équipe ACCES (Actualisation Continue des Connaissances des Enseignants en Sciences) de l INRP restent, hélas, largement méconnus des enseignants de SVT. Pourtant,
Plus en détailDémence et fin de vie chez la personne âgée
Démence et fin de vie chez la personne âgée Dr C le Provost Gériatre C.H.B.A Vannes Dr M Michel Gériatre C.H.U Rennes Démence et fin de vie Sujet grave: la mort la «de mens» = être privé de son esprit
Plus en détailI. Qu est ce qu un SSIAD?
1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailTrouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée
Trouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée Dr G. Fournis Service de Psychiatrie et d Addictologie CHU Angers Faculté de Médecine Angers 1 Introduction
Plus en détailLes troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson
Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson Comprendre la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson se définit classiquement par des troubles moteurs. Néanmoins, de nombreux autres symptômes,
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailTraumatisme crânien léger (TCL) et scolarité
Document destiné aux enseignants, aux médecins et aux infirmières scolaires H.Touré pour l'équipe du CSI (Centre de Suivi et d Insertion pour enfant et adolescent après atteinte cérébrale acquise), M.Chevignard,
Plus en détailMieux connaître les publics en situation de handicap
Mieux connaître les publics en situation de handicap Plus de 40 % des Français déclarent souffrir d une déficience 80 Comment définit-on le handicap? au moins une fois au cours de leur vie et 10 % indiquent
Plus en détailDoit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur?
Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur? Dr Philippe Poulain Unité Territoriale de Soins Palliatifs Polyclinique de l Ormeau Tarbes phpoulain@wanadoo.fr Placebo: de
Plus en détailSOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5
SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS
Plus en détailLes difficultés scolaires, ou «l Echec scolaire»
Les difficultés scolaires, ou «l Echec scolaire» Par le Dr Stéphane BURLOT Plan : Les chiffres de l échec scolaire La spirale de l echec Les points d appels des difficultés scolaires Les Origines «médicales»
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailDOSSIER DE SOINS INFIRMIERS
DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS Débuté le Terminé le. FICHE ADMINISTRATIVE PATIENT Nom Prénom Date de naissance / / Téléphone. ADRESSE...... N SS / / / / / // ENTOURAGE-PERSONNE RESSOURCE NOM QUALITE..TEL...
Plus en détailCritères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction
Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie Etudes cliniques dans l autisme Marie-Christine Picot Congrès Epsylon 5 avril 2013 Introduction Mesurer la Qualité de Vie liée à la Santé : Evaluer les
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailSpécial Tablette. Spécial Tablette. Rentrez dans l ère tactile. nouveau! Le must * de la rééducation sur tablette tactile Android
Spécial Tablette nouveau! Rentrez dans l ère tactile EnfantsAdolescents AdultesPersonnesÂgées CabinetDomicileEtablissement PratiqueRapideMotivant ErgonomiqueCoordination DésignationAccessibilité Spécial
Plus en détailEpilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire?
Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? L épilepsie concerne plus de 500 000 personnes en France, dont la moitié sont des enfants ou des adolescents.
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailTROUBLES COGNITIFS DE L ANCIEN PRÉMATURÉ
8 ÈME JOURNÉE RÉGIONALE DES RÉSEAUX DE PÉRINATALITÉ DE L ILE DE FRANCE 17 OCTOBRE 2013 TROUBLES COGNITIFS DE L ANCIEN PRÉMATURÉ DR PATRICIA DWORZAK PÉDIATRE, MEMBRE DU RÉSEAU PSOF RESPONSABLE DE L UNITÉ
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailVivre avec le syndrome de Korsakoff
Vivre avec le syndrome de Korsakoff Informations à l usage du patient et de son entourage Mai 2006 Editeurs Responsables : Francis PITZ et Benoît LECOMTE Rue saint-hubert, 84 5100 Dave 1 Ce fascicule a
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailL enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé
L enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé 3 e conférence sur les traitements de la dépendance aux opioïdes Genève, 19 octobre 2012 Nicolas Bonnet, directeur du Respadd Anne
Plus en détailAPRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.
PROCESSUS D ASSURANCE QUALITE MIS EN ŒUVRE APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE 1. Identification des circonstances déclenchantes de l acte de maltraitance. 2. Définition des objectifs correctifs. 3. Elaboration
Plus en détailQue représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil
Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailLe complexe démentiel associé au VIH : aspects particuliers chez les sujets âgés
Synthèse Psychol NeuroPsychiatr Vieil 2007 ;5(3):193-207 Le complexe démentiel associé au VIH : aspects particuliers chez les sujets âgés Dementia complex due to HIV disease and aging ANTOINE MOULIGNIER
Plus en détailJuillet 2013. La SEP et la cognition
Juillet 2013 La SEP et la cognition Comité de rédaction Fédération Internationale contre la Sclérose en Plaques (MSIF) La mission de la MSIF est de diriger le mouvement international de la SEP afin d améliorer
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détail