de la croissance des truites de la Cure et du Chalaux. Échantillonnages de juin/juillet 2015.

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1 Étude scalimétrique de la croissance des truites de la Cure et du Chalaux. Échantillonnages de juin/juillet La Cure à Saint-André Truite d un affluent de la Cure Février 2016

2 SOMMAIRE 1. OBJECTIFS DE L ETUDE PARTENAIRES FINANCIERS PARTENAIRES TECHNIQUES MATERIEL ET METHODES Localisation des stations d étude Plan d échantillonnage Détermination de l âge des individus et rétromesures PRINCIPAUX RESULTATS Principales caractéristiques des analyses d écailles Relation taille de la truite / rayon total de l écaille sur les 3 stations Croissance des truites du Chalaux à Chalaux : Croissance des truites de la Cure à Lingoult : Croissance des truites de la Cure à Saint-André en Morvan : ELEMENTS DE DISCUSSION CONCLUSIONS BIBLIOGRAPHIE ANNEXES ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février 2016.

3 Etude scalimétrique de la croissance des truites de la Cure et du Chalaux. Echantillonnages de juin / juillet La Fédération de Pêche et de Protection du Milieu Aquatique de l Yonne a initié une étude portant sur la croissance des truites de la Cure, en aval proche du réservoir du Crescent, et du Chalaux, entre les réservoirs de Chaumeçon et du Crescent. Cette étude s intègre dans le cadre de suivis lancés suite aux modifications de régimes hydrologiques (passage au 1/10 ème du Module) dans les tronçons court-circuités des aménagements hydroélectriques de Bois de Cure et de Chaumeçon. Le présent rapport rend compte de l analyse scalimétrique de la croissance des truites de la Cure, dans le TCC de Bois de Cure et du Chalaux, dans le TCC de Chaumeçon. 1. Objectifs de l étude Des prélèvements d écailles ont été réalisés sur les truites de la Cure et du Chalaux afin de déterminer leur croissance et de la mettre, si possible, en relation avec les paramètres mésologiques et l influence des réservoirs du Crescent et de Chaumeçon. 2. Partenaires financiers Cette étude a été financée par la Fédération de Pêche et de Protection du Milieu Aquatique de l Yonne. 3. Partenaires techniques La récolte des écailles sur le terrain a été assurée par le personnel de la Fédération de Pêche et de Protection du Milieu Aquatique de l Yonne. Le bureau d études E.CO.G.E.A. a assuré la partie traitement et interprétation des données scalimétriques. 4. Matériel et méthodes 4.1. Localisation des stations d étude ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février

4 CURESA : La Cure à Saint André en Morvan CURELI : La Cure à Lingoult CHALAUX : Le Chalaux à Chalaux Figure 1 : Localisation des 3 stations d étude de la croissance. D amont en aval, l analyse scalimétrique de la croissance des truites a porté sur 1 station sur le Chalaux et sur 2 stations sur la Cure : Station CHALAUX : le Chalaux à Chalaux, station située entre les réservoirs de Chaumeçon et du Crescent, Station CURELI : la Cure à Lingoult, station située à l aval immédiat du réservoir du Crescent, Station CURESA : la Cure à Saint-André en Morvan, station située à l aval proche du réservoir du Crescent. Les échantillonnages ont été réalisés le 22/06/2015 sur le Chalaux, le 07/07/2015 sur la Cure à Lingoult et le 08/07/2015 sur la Cure à Saint-André en Morvan. ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février

5 4.2. Plan d échantillonnage Le tableau ci-dessous présente le plan d échantillonnage des prélèvements d écailles réalisés sur les 3 stations. Cours d'eau Chalaux Cure Cure Station CHALAUX : le Chalaux à Chalaux CURELI : la Cure à Lingoult CURESA : la Cure à Saint- André en Morvan Altitude approximative Date pêche Nb. Individus exploités Min-Max longueur totale ind. étudiés 280 m 22/06/ mm 210 m 07/07/ mm 200 m 08/07/ mm Tableau 1 : Plan d échantillonnage des analyses d écailles Détermination de l âge des individus et rétromesures Préparation et lecture des écailles Après anesthésie, les individus capturés par pêche électrique par le personnel de la Fédération de Pêche et de Protection du Milieu Aquatique de l Yonne ont été mesurés et pesés. Ensuite, des écailles ont été prélevées sur la zone standard (OMBREDANE et BAGLINIERE, 1992) située, chez la truite commune (Salmo trutta L.), de part et d autre de la ligne latérale et comprise entre l arrière de la nageoire dorsale et l avant de la nageoire anale. Zone de prélèvement standard Photo 1 : Zone standard de prélèvement d écailles sur une truite de Corse. Après le prélèvement d écailles, celles-ci ont été conditionnées individuellement dans un cahier qui a été transmis au bureau d études E.CO.G.E.A.. Au laboratoire, après un tri rigoureux permettant d éliminer les écailles de remplacement 1, trois à cinq écailles de forme similaire par individu ont été nettoyées dans une solution d eau de javel diluée à 10 %, séchées puis montées entre deux lames porte-objet. Elles ont ensuite été lues sur un lecteur de microfiches Canon (grossissement 48x) afin de déterminer l âge de chaque individu. 1 Après la perte d une écaille (suite à une blessure ou autre), une écaille «repousse» rapidement à sa place mais sans trace de la croissance antérieure de l individu. ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février

6 Dans les régions à hiver marqué ou en montagne, la croissance des poissons n est pas continue. Ainsi, les rythmes saisonniers de croissance se traduisent sur les écailles : en période de forte croissance, les crêtes circulaires, appelées circuli, formées sur l écaille sont espacées et en période de faible croissance, elles se resserrent, constituant un anneau hivernal ou annulus (figure ci-dessous). C est en comptant ces anneaux que l on peut donner l âge du poisson. 2 ème anneau hivernal 1 er anneau hivernal Photo 2 : Une écaille de truite de la Cure à Lingoult (LT : 196 mm Age 2+). Les mesures de rayons entre le centre (focus) de l écaille et chaque annulus hivernal sont réalisées dans le champ antérieur de l écaille, à l aide d une règle graduée et ceci à grossissement constant du lecteur de microfiches. La lecture et la mesure des différents rayons de 2 à 5 écailles de chaque poisson échantillonné permet de déterminer convenablement son âge et d établir un rayon moyen pour chaque âge, en s affranchissant de la variabilité intra-individus des écailles Rétromesures (pour plus de détails, voir LAGARRIGUE et al., 2001) L écaille est une structure osseuse qui grandit en même temps que le poisson et il existe une relation de proportionnalité entre la croissance linéaire du poisson et celle de l écaille (OMBREDANE et BAGLINIERE, 1992). Ainsi, les tailles qu avait le poisson lors de chaque anneau hivernal peuvent être rétrocalculées (JEARLD, 1983 in OMBREDANE et BAGLINIERE, 1992 ; FRANCIS, 1990). ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février

7 Figure 2 : Schéma de principe des rétromesures (d après ARRIGNON). Selon les critères de validation donnés par OMBREDANE et BAGLINIERE (1992), le modèle linéaire s est révélé satisfaisant pour établir la relation entre la taille de l écaille et la longueur du poisson du type : L c = c + d S c Avec L c, la longueur totale du poisson à la capture, S c le rayon total de l écaille à la capture et c, d des constantes. Ensuite, nous avons appliqué une méthode dite «proportionnelle» de rétrocalcul au moyen du modèle proposé par FRANCIS (1990) et repris par LAGARRIGUE (2000) du type : L i = [(c + d S i ) / (c + d S c )] L c Avec L i et S i, respectivement la longueur totale du poisson et le rayon de l écaille à l âge i. ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février

8 5. Principaux résultats Préambule : Les prélèvements d écailles ont été réalisés le 22 juin 2015 sur le Chalaux et les 07 et 08 juillet sur la Cure, soit en début de la saison de croissance des truites. Le fait d échantillonner à une période précoce de l année implique notamment 3 choses : Sur les écailles, la reprise de croissance après le dernier anneau hivernal est très peu marquée et la lecture est donc assez difficile, si bien qu il y a un risque de sous-estimation de l âge des individus, Pour les rétromesures, la longueur du dernier rayon de l écaille est donc inférieure à celle qu elle devrait avoir en fin de saison de croissance, ce qui n est pas le cas pour les rayons précédents. Ainsi, cette donnée ne doit pas être utilisée pour établir la longueur moyenne des rayons de cette classe d âge car cela amènerait à sous-estimer la taille moyenne calculée à cet âge, A cette période de l année, les individus sont encore en pleine croissance. Nous les appèlerons donc par exemple 1+, c est à dire une truite âgée de plus d un an mais qui n a pas encore atteint la taille qu elle aura à l âge de 2 ans Principales caractéristiques des analyses d écailles Station Date pêche Nb. Individus exploités Min-Max Nb. Individus étudiés par classe d âge longueur totale ind. étudiés CHALAUX : le Chalaux à Chalaux CURELI : la Cure à Lingoult CURESA : la Cure à Saint- André en Morvan 22/06/ mm /07/ mm /07/ mm Tableau 2 : Principales caractéristiques des analyses d écailles. Les écailles d une trentaine d individus par station ont pu être exploitées. Un seul individu d âge 0+ a été étudié par station puisque la mesure du rayon total moyen de ses écailles sert uniquement à caler la partie basse de la relation entre le Rayon de l écaille et la Longueur totale du poisson. Comme souvent cité dans la littérature (BEALL et al., 1992 ; OMBREDANE et BAGLINIERE, 1992), les individus les plus âgés ont été les plus difficiles à analyser (très peu ou pas d écailles lisibles). Ainsi, si le nombre d individus est suffisamment important pour les classes d âges 0+ à 3+ (voire 4+ sur le Chalaux), il est nettement plus restreint pour les classes d âges plus élevées et il conviendra de rester prudent dans l analyse des résultats concernant ces individus les plus âgés. ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février

9 5.2. Relation taille de la truite / rayon total de l écaille sur les 3 stations Le meilleur ajustement de la relation entre la taille de la truite et la longueur du rayon total de l écaille a été obtenu avec un modèle linéaire pour les 3 stations. 350 Relation entre la taille de la truite et le rayon total de l'écaille sur les 3 stations y = x R 2 = Taille de la truite (mm) y = x R 2 = y = x R 2 = Longueur du rayon total de l'écaille Rt CHALAUX Rt CURELI Rt CURESA Figure 3 : Relations taille de la truite / longueur du rayon total de l écaille sur les 3 stations. Les écarts les plus importants sont classiquement observés pour les poissons les plus grands mais les 3 relations restent globalement satisfaisantes (R² de 0.87 à 0.95). Bien que très proches, nous avons choisi de conserver ces 3 relations pour les rétromesures (pour une station donnée, les rétrocalculs pour chaque truite analysée de cette station sont effectués avec la relation propre à la station). ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février

10 5.3. Croissance des truites du Chalaux à Chalaux : 300 Croissance des truites sur le Chalaux à Chalaux Taille moyenne (mm) Age (années) Figure 4 : Tailles moyennes par classes d âges de truites sur le Chalaux à Chalaux (taille moyenne en mm +/- écart-type). Avec une moyenne 2 de 212 +/- 6 mm, la taille à 3 ans des truites du Chalaux à Chalaux peut être considérée comme moyenne d après les barèmes de CUINAT (1971) 3 et de LAGARRIGUE (2000) 4. La taille à 3 ans est généralement utilisée pour la détermination des tailles légales de capture (BEAUDOU et CUINAT, 1990 ; THIBAULT, 1991). Elle est sensée protéger les individus afin de leur permettre d effectuer au moins une reproduction 5. Sur le Chalaux à Chalaux, avec une taille moyenne à 3 ans de 212 mm, la taille légale de capture de 20 cm sur ce secteur permet de protéger l intégralité des poissons âgés de 1 an et 2 ans et environ 20% des truites âgées de 3 ans. 2 Taille moyenne en mm +/- intervalle de confiance à 95% rivières à truites françaises réparties en Normandie, dans le Nord-Est, dans le Massif-Central et au Pays basque. 4 Etude de 215 sites, répartis sur 84 cours d eau positionnés sur l ensemble de la chaîne des Pyrénées françaises. 5 L âge de première reproduction chez la truite commune en France est généralement de 1+ pour les mâles et 2+ pour les femelles mais peut s étendre de 1+ à 3+ pour les mâles et de 2+ à 4+ pour les femelles. ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février

11 Taille moyenne +/- IC95% (mm) 1 an 2 ans 3 ans 4 ans CHALAUX : le Chalaux à Chalaux / / / /- 2.3 Tableau 3 : Tailles moyennes par classes d âges de truites sur le Chalaux à Chalaux. Il existe une variabilité assez importante des tailles de truites par classes d âges, en particulier pour les poissons de 1 à 3 ans (intervalle de confiance autour de la taille moyenne de 5.4 à 6 mm). Ainsi par exemple à l âge de 2 ans, la taille moyenne rétrocalculée des individus nés en 2013 est de mm alors qu elle est de mm pour ceux nés en Cette variabilité tend ensuite à s estomper chez les poissons plus âgés. On retrouve cette variabilité sur les histogrammes de classes de tailles des 0+ et 1+ capturés sur la même station en 2013, 2014 et Effectifs de 0+ et 1+ de truite capturés sur le Chalaux à Chalaux en 2013, 2014 et 2015 Effectif capturé [35-40[ [40-45[ [45-50[ [50-55[ [55-60[ [60-65[ [65-70[ [70-75[ [75-80[ [80-85[ [85-90[ [90-95[ [95-100[ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ Taille (mm) Figure 5 : Histogrammes de classes de tailles de truites 0+ et 1+ capturés sur le Chalaux à Chalaux. En 2013, les 0+ et les 1+ ont tendance à être nettement plus petits qu en 2014 et 2015 où leurs tailles semblent assez comparables, ce qui pourrait expliquer les différences de tailles rétrocalcuées pour un âge donné concernant des individus qui ne sont pas nés la même année. ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février

12 5.4. Croissance des truites de la Cure à Lingoult : 300 Croissance des truites sur la Cure à Lingoult Taille moyenne (mm) Age (années) Figure 6 : Tailles moyennes par classes d âges de truites sur la Cure à Lingoult (taille moyenne en mm +/- écart-type). Avec une moyenne de / mm, la taille à 3 ans des truites de la Cure à Lingoult peut être considérée comme moyenne d après les barèmes de CUINAT (1971) et de LAGARRIGUE (2000). Sur la Cure à Lingoult, avec une taille moyenne à 3 ans de mm, la taille légale de capture de 23 cm sur ce secteur permet de protéger l intégralité des poissons âgés de 1 an et 2 ans et environ 70% des truites âgées de 3 ans. Taille moyenne +/- IC95% (mm) 1 an 2 ans 3 ans 4 ans CURELI : la Cure à Lingoult / / / /- 2.0 Tableau 4 : Tailles moyennes par classes d âges de truites sur la Cure à Lingoult. Sur la Cure à Lingoult, la variabilité des tailles de truites par classes d âges est assez importante, en particulier pour les poissons de 1 à 3 ans (intervalle de confiance autour de la taille moyenne de 5.3 à 13.7 mm). Ainsi par exemple à l âge de 2 ans, la taille moyenne rétrocalculée des individus nés en 2013 est de mm alors qu elle est de mm pour ceux nés en Maximale à 3 ans, cette variabilité tend ensuite à s estomper chez les poissons plus âgés. On retrouve une part de cette variabilité sur les histogrammes de classes de tailles des 0+ et 1+ capturés sur la même station en 2013, 2014 et ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février

13 Effectifs de 0+ et 1+ de truite capturés sur la Cure à Lingoult en 2013, 2014 et 2015 Effectif capturé [35-40[ [40-45[ [45-50[ [50-55[ [55-60[ [60-65[ [65-70[ [70-75[ [75-80[ [80-85[ [85-90[ [90-95[ [95-100[ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ Taille (mm) Figure 7 : Histogrammes de classes de tailles de truites 0+ et 1+ capturés sur la Cure à Lingoult En 2013, comme sur le Chalaux, les 0+ ont tendance à être nettement plus petits qu en 2014 et 2015 où leurs tailles semblent assez comparables, ce qui pourrait expliquer les différences de tailles rétrocalcuées pour un âge donné concernant des individus qui ne sont pas nés la même année. Par contre, contrairement au Chalaux, les 1+ ont des tailles à peu près comparables pour les 3 années de pêche. En 2014, il existe une grosse variabilité de tailles chez les 0+ puisque le plus petit mesure 39 mm et le plus grand fait 78 mm. Ceci se répercute en 2015 avec une forte variabilité de tailles chez les 1+ puisque le plus petit mesure 105 mm et les plus grands font environ 180 mm. ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février

14 5.5. Croissance des truites de la Cure à Saint-André en Morvan : 300 Croissance des truites sur la Cure à Saint André en Morvan Taille moyenne (mm) Age (années) Figure 8 : Tailles moyennes par classes d âges de truites sur la Cure à Saint-André en Morvan (taille moyenne en mm +/- écart-type). Avec une moyenne de /- 4.8 mm, la taille à 3 ans des truites de la Cure à Saint-André peut être considérée comme moyenne d après le barème de CUINAT (1971) et forte d après celui de LAGARRIGUE (2000). Sur la Cure à Saint-André, avec une taille moyenne à 3 ans de 227.3, la taille légale de capture de 23 cm sur ce secteur permet de protéger l intégralité des poissons âgés de 1 an et 2 ans et environ 55% des truites âgées de 3 ans. Taille moyenne +/- IC95% (mm) 1 an 2 ans 3 ans 4 ans CURESA : la Cure à Saint-André / / / /- 2.0 Tableau 5 : Tailles moyennes par classes d âges de truites sur la Cure à Saint-André en Morvan. Les truites de la Cure à Saint-André montrent également une variabilité assez importante des tailles par classes d âges, en particulier pour les poissons de 1 à 3 ans (intervalle de confiance autour de la taille moyenne de 4.8 à 7.9 mm). Maximale à 2 ans, cette variabilité tend ensuite à s estomper chez les poissons plus âgés. On retrouve une part de cette variabilité sur les histogrammes de classes de tailles des 0+ et 1+ capturés sur la même station en 2013, 2014 et ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février

15 Effectif capturé Effectifs de 0+ et 1+ de truite capturés sur la Cure à Saint-André en 2013, 2014 et [35-40[ [40-45[ [45-50[ [50-55[ [55-60[ [60-65[ [65-70[ [70-75[ [75-80[ [80-85[ [85-90[ [90-95[ [95-100[ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ [ Taille (mm) Figure 9 : Histogrammes de classes de tailles de truites 0+ et 1+ capturés sur la Cure à Saint- André en Morvan En 2013, trop peu de 0+ ont été capturés pour se faire une idée de la répartition de leurs tailles. En 2014, très peu de 1+ ont été capturés. En revanche, une grosse cohorte de 0+ a été échantillonnée : leur taille moyenne est plus importante que ceux de 2015 et il existe une grosse variabilité de tailles pour cette classe d âge puisque le plus petit 0+ mesure 42 mm et le plus grand 85 mm. Enfin, les 1+ capturés en 2015 semblent plus petits que ceux contactés en 2013 et il existe également une grosse variabilité de tailles pour cette classe d âge puisque le plus petit 1+ mesure 100 mm et le plus grand 181 mm. ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février

16 6. Eléments de discussion Croissance comparée sur les 3 stations 300 Courbes de croissance des truites du Chalaux et de la Cure 250 Taille moyenne (mm) Age (années) CHALAUX CURELI CURESA Figure 10 : Croissance comparée des truites sur les 3 stations. La croissance des truites la plus faible est observée sur le Chalaux, à l amont du réservoir du Crescent. Sur la Cure à Lingoult (aval immédiat du réservoir du Crescent), la croissance est un peu plus élevée que sur le Chalaux les 2 premières années puis la différence tend à s estomper pour les truites âgées de 3 et 4 années. Les truites de la Cure à Saint-André en Morvan (aval proche du réservoir du Crescent) présentent la croissance la plus élevée, pour toutes les classes d âges. Entre 2 et 4 ans, l écart de taille moyenne par rapport aux truites de la Cure à Lingoult est de +13 à +14 mm alors que ces 2 stations se trouvent à moins de 5 km l une de l autre. La forme des 3 courbes de croissance est assez similaire, avec une croissance linéaire importante la première année, puis un ralentissement de croissance dès la 2 ème année (correspond plus ou moins à l âge de première maturité), puis à nouveau une croissance linéaire mais plus faible. C est ce qu on retrouve en calculant les gains en taille entre années. ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février

17 100% Gains de croissance en taille des truites du Chalaux et de la Cure 90 Gains de croissance en taille des truites du Chalaux et de la Cure 90% 80% Gain de taille (%) 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% Gain de taille (mm) % 1-2 ans 2-3 ans 3-4 ans ans 2-3 ans 3-4 ans CHALAUX CURELI CURESA CHALAUX CURELI CURESA Figure 11 : Gain de croissance en taille des truites sur les 3 stations. Le gain de croissance en taille est assez similaire sur les 3 stations : il est maximal entre 1 et 2 ans d âge (+72% à +84% ; +75 à +85 mm), puis il diminue fortement entre 2 et 3 ans d âge (+19% à +26% ; +35 à +44 mm), ainsi qu entre 3 et 4 ans d âge (+15% à +16% ; +33 à +35 mm). Rôle de la température et du mode de gestion des retenues Variabilité saisonnière : 20 Régime thermique sur les 3 stations d'août 2013 à octobre T ( C) /08/13 03/09/13 03/10/13 02/11/13 02/12/13 01/01/14 31/01/14 02/03/14 01/04/14 01/05/14 31/05/14 30/06/14 30/07/14 29/08/14 28/09/14 28/10/14 27/11/14 27/12/14 26/01/15 25/02/15 27/03/15 26/04/15 26/05/15 25/06/15 25/07/15 24/08/15 23/09/15 Cure - Lingoult Cure - Standré Chalaux Figure 12 : Régime thermique sur les 3 stations. Parmi les facteurs gouvernant la croissance chez la truite commune, le paramètre température constitue un, voire le principal facteur (ELLIOTT et al., 1995 ; EKLÖV et al., 1999). ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février

18 Sur le Chalaux, les truites sont soumises aux lâchers d eau depuis Chaumeçon, avec des eaux froides issues des couches profondes du réservoir au printemps et en été, en pleine saison habituelle de croissance chez la truite. En revanche en hiver, ces eaux issues du fond du réservoir sont moins froides qu en régime thermique «naturel». Températures moyennes mensuelles en 2014 sur les 3 stations Températures moyennes mensuelles en 2015 sur les 3 stations T ( C) T ( C) Janvier Mars Avril Mai Juin Juillet Septembre CHALAUX CURELI CURESA Octobre Novembre Janvier Mars Avril Mai Juin Juillet Septembre CHALAUX CURELI CURESA Octobre Novembre Figure 13 : Régime thermique en Figure 14 : Régime thermique en Si l on prend l exemple de l année 2014 (figure 13), par rapport à la Cure à l aval du Crescent, les eaux du Chalaux à l aval de Chaumeçon sont un peu plus chaudes en hiver mais nettement plus froides du printemps jusqu à fin juillet où elles redeviennent plus chaudes durant 1 à 2 mois avant de retrouver des valeurs comparables en automne. Par contre en 2015 (figure 14), le régime thermique du Chalaux est intermédiaire entre ceux des deux stations de la Cure à l aval du Crescent T ( C) T ( C) /06/14 24/06/14 01/07/14 08/07/14 15/07/14 22/07/14 29/07/14 05/08/14 12/08/14 19/08/14 27/12/14 03/01/15 10/01/15 17/01/15 24/01/15 31/01/15 07/02/15 14/02/15 21/02/15 Cure - Lingoult Cure - Standré Cure - Lingoult Cure - Standré Figure 15 : Régime thermique sur la Cure en été Figure 16 : Régime thermique sur la Cure en hiver De même sur la Cure, le débit réservé restitué à l aval du Crescent est en principe issu des couches profondes du réservoir. Le régime thermique à l aval est donc : Plus froid au printemps et en été qu un régime thermique «naturel» (sur la figure 15, on voit qu en juin et en août l eau est nettement plus froide à Lingoult puis se réchauffe d environ 1.5 C à Saint-André du fait des températures atmosphériques clémentes), ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février

19 Plus chaud en hiver qu un régime thermique «naturel» (sur la figure 16, on voit qu en janvier l eau qui sort de la retenue est plus chaude à Lingoult puis se refroidit entre Lingoult et Saint-André du fait des températures atmosphériques rigoureuses). Toutefois depuis 2012, diverses contraintes techniques ont entraîné au Crescent des déversements d eau du surface qui est nettement plus chaude à certaines périodes que les eaux des couches profondes. Ceci accentue encore le caractère artificiel du régime thermique à l aval de la retenue. Par exemple sur la figure 15, on voit très bien que du 02/07/14 au 07/08/14, la température de la Cure augmente brusquement (+4 à +5 C) et que les régimes thermiques sont très proches sur les 2 stations. Après le 07/08/14, la température diminue à nouveau et on retrouve l écart de température entre Lingoult et Saint- André (1 à 1.5 C) lié à la restitution à nouveau d un débit réservé issu des couches profondes du réservoir. Sur la Cure à l aval du Crescent, en général les eaux sont entre 2 et 6 C plus froides qu à l amont de la retenue (ONEMA, 2001). Mais en 2012, la moyenne des températures les plus chaudes sur 30 jours consécutifs a été de 18.6 C contre 13.6 C en 2010, en raison de déversements d eau de surface. Cette situation atypique a pu favoriser la croissance des truites par rapport à une année «normale». Ceci semble se confirmer puisque nous avons vu qu en 2013, la croissance des 0+ était nettement plus faible qu en 2014 et 2015 (en lien avec une année particulièrement froide, ce phénomène se retrouvant aussi sur le Chalaux, ainsi que sur la majorité des affluents du secteur). Pourtant la taille moyenne des 1+ en 2013 (donc des individus nés en 2012) est comparable à celle des 1+ en 2014 et 2015 sur les deux stations de la Cure, alors qu elle reste nettement inférieure sur le Chalaux. Ces modes de gestion des retenues et de restitution du débit à l aval ont donc des conséquences sur la croissance des truites de ces deux cours d eau, comme cela a déjà été montré à l aval d ouvrages turbinant par éclusées (LAUTERS, 1995 ; LAGARRIGUE et al., 2002). ou dans des tronçons court-circuités (LAGARRIGUE, 2000 ; LAGARRIGUE et al., 2001 ; DE CRESPIN DE BILLY et al., 2002). Toutefois, ces conséquences restent difficiles à préciser d avantage ici puisqu elles peuvent avoir un effet globalement positif sur la croissance en hiver mais négatif au printemps et en été. Enfin, un régime thermique artificiellement froid au printemps et en été favorise la présence des espèces d eau froide (truite, chabot) mais limite la présence d espèces plus thermophiles comme le vairon, la loche ou les cyprins d eaux vives. Variabilité inter annuelle : La température joue un rôle déterminant sur la croissance des 0+ (BAGLINIERE et MAISSE, 1990), ce qui peut engendrer une variabilité inter annuelle importante de leur croissance. Ainsi en 2013, les 0+ du Chalaux et de la Cure à Lingoult sont nettement plus petits qu en 2014 et Ceci se retrouve également sur la majorité des affluents du secteur avec des 0+ en 2013 significativement plus petits qu en 2014 (FDAAPPMA89, 2014). En 2014 à Saint- André, une grosse cohorte de 0+ a été échantillonnée et leur taille moyenne est plus importante que ceux de ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février

20 Températures moyennes mensuelles de la Cure à Lingoult Températures moyennes mensuelles de la Cure à Saint-André T ( C) 10 8 T ( C) Janvier Mars Avril Mai Juin Juillet Septembre Octobre Novembre 2 0 Janvier Mars Avril Mai Juin Juillet Septembre Octobre Novembre Figure 17 : Régime thermique sur la Cure à Lingoult. Figure 18 : Régime thermique sur la Cure à Saint-André. Ces observations peuvent être reliées aux différences inter annuelles de régime thermique sur la Cure avec une année 2013 nettement plus rigoureuse que 2014 et 2015 et une année 2014 globalement plus chaude que 2015 (figures 17 et 18). Rôle probable des affluents Sur les deux stations de la Cure, la structure en âge de la population de truites est généralement dominée par les 0+ mais on constate également que la proportion de 1+ peut être équivalente, voire supérieure à celle des 0+ selon les années et les stations. En outre, il existe sur ces deux stations une grande amplitude de tailles chez les 0+, ainsi que chez les 1+. Cette variabilité de taille d une cohorte est moins marquée sur le Chalaux. Ainsi par exemple en 2014, les 0+ du Chalaux mesurent entre 40 et 63 mm (amplitude de 23 mm) contre 39 à 78 mm (amplitude de 39 mm) sur la Cure à Lingoult et entre 42 et 85 mm (amplitude de 43 mm) sur la Cure à Saint-André. Ceci pourrait s expliquer par une origine différente des individus, à savoir que les cohortes de 0+ et de 1+ des deux stations de la Cure pourraient être constituées à la fois d individus nés dans la Cure, mais également d individus issus des affluents (Rau de Lingoult ou Vauldrain ; Rau du Saloir ; Rau de Verdot). En effet, la reproduction 2013 et 2014 a été très bonne sur les affluents (JL CLERE, comm. pers.), avec une hydrologie soutenue favorable à la dévalaison. En outre, plusieurs études sur le secteur ont montré le rôle majeur des affluents dans le fonctionnement des populations de truites de la Cure (ONEMA, 2001 ; QUATRE et BARAN, 2005). Un ruisseau comme le Voldrain héberge une population intéressante de truites (FDAAPPMA89, 2014), majoritairement constituée d individus 0+ et 1+, dont certains sont potentiellement aptes à dévaler vers la Cure pour la recherche d habitats de grossissement pour les juvéniles (migration hivernale et printanière) ou quand les conditions d habitat notamment deviennent limitantes (réchauffement estival, étiage sévère ). Récapitulatif des tailles moyennes par classes d âges de truites sur les 3 stations Taille moyenne +/- IC95% (mm) 1 an 2 ans 3 ans 4 ans CHALAUX : le Chalaux à Chalaux / / / /- 2.3 CURELI : la Cure à Lingoult / / / /- 2.0 CURESA : la Cure à Saint-André / / / /- 2.0 ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février

21 7. Conclusions La croissance des truites du Chalaux à Chalaux et de la Cure à Lingoult peut être considérée comme moyenne alors qu elle est moyenne à forte sur la Cure à Saint-André en Morvan. Le mode de gestion des retenues de Chaumeçon et du Crescent et de restitution du débit à l aval (eau froide issue des couches profondes) refroidissent significativement les eaux des deux rivières en aval des aménagements au printemps et en été et les réchauffent en hiver. Ceci a pour conséquence de modifier significativement la croissance des truites qui au final est plus faible qu en régime thermique «naturel». On retiendra que toute modification du mode de gestion de ces deux retenues est susceptible d impacter (en positif ou en négatif) la croissance des truites. Sur la Cure, cette croissance montre une forte variabilité pour les classes d âges les plus jeunes, variabilité qui tend à s estomper pour les individus plus âgés. Cette variabilité est probablement liée à l arrivée d individus issus des affluents. Cette hypothèse est d ailleurs confortée par la structure en âge des populations de truites de la Cure avec, certaines années, des proportions d individus 1+ équivalentes voire supérieures à celles des 0+, témoignant de «l arrivée» de nouveaux poissons sur la station. Enfin, la taille légale de capture en vigueur de 20 cm sur le Chalaux dans le TCC de Chaumeçon est bien adaptée puisque seuls des poissons âgés de 3 ans et plus sont susceptibles d être capturés par les pêcheurs. Sur la Cure dans le TCC de Bois de Cure, la taille légale de capture en vigueur de 23 cm semble aussi bien adaptée, bien qu un peu élevée puisqu elle protège environ 70% et 55% des truites âgées de 3 ans respectivement à Lingoult et à Saint-André en Morvan. En effet sur ce TCC, revenir à une taille légale de capture à 20 cm ne permettrait pas de protéger l intégralité des poissons âgés de 2 ans. ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février

22 8. Bibliographie Bagliniere J.L., Maisse G., La croissance de la truite commune (Salmo trutta L.) sur le bassin du Scorff. Bull. Fr. Pêche Piscic., 318, Beall E., Davaine P., Bazin D., Etude scalimétrique de la truite commune à Kerguelen, TAAF. Principales difficultés et validation. In : Bagliniere J.L., Castanet J., Conand F., Meunier F.J. (Eds), Tissus durs et âge individuel des vertébrés, , Colloques et Séminaires ORSTOM-INRA. Beaudou D., Cuinat R., Relation entre croissance de la truite commune, Salmo trutta fario L., et caractéristiques du milieu, dans les rivières du Massif-Central. Bull. Fr. Pêche Piscic., 318, Cuinat R., Principaux caractères démographiques observés sur 50 rivières à truites françaises. Influence de la pente et du calcium. Ann. Hydrobiol., 2, De Crespin de Billy V., Dumond B., Lagarrigue T., Baran P., Statzner B., Invertebrate accessibility and vulnerability in the analysis of brown trout (Salmo trutta L.) summer habitat suitability. River Res. Applic., 18, Eklöv A.G., Greenberg L.A., Brönmark C., Larsson P., Berglund O., Influence of water quality, habitat and species richness on brown trout populations. J. Fish Biol., 54, Elliott J.M., Hurley M.A., Fryer R.J., A new, improved growth model for brown trout, Salmo trutta. Funct. Ecol., 9, FDAAPPMA89, Restauration de la continuité écologique et suivi du peuplement piscicole sur 12 affluents de la Cure et du Chalaux. Rapport FDAAPPMA89, 38 p + annexes. Francis R.I.C.C., Back-calculation of fish length : a critical review. J. Fish Biol., 36, Lagarrigue T., Croissance de la truite commune (Salmo trutta L.) dans les Pyrénées françaises. Analyse régionale et locale des principaux facteurs de variabilité en rivière de montagne. Thèse doc., Institut National Polytechnique de Toulouse, 143 p. Lagarrigue T., Baran P., Lascaux J.M., Delacoste M., Abad N., Lim P., Taille à 3 ans de la truite commune (Salmo trutta L.) dans les rivières des Pyrénées françaises : relations avec les caractéristiques mésologiques et influence des aménagements hydroélectriques. Bull. Fr. Pêche Piscic., 357/360, Lagarrigue T., Céréghino R., Lim P., Reyes-Marchant P., Chappaz R., Lavandier P. Belaud A., Diel and seasonal variations in brown trout (Salmo trutta L.) feeding patterns and relationship with invertebrate drift under natural and hydropeaking conditions in a mountain stream. Aquat. Living Resour., 15, Lauters F., Impacts sur l écosystème aquatique de la gestion par éclusées des ouvrages hydroélectriques Etude de quelques cours d eau et analyse des phénomènes mis en jeu. Thèse doc., Université Paul Sabatier, Toulouse, 189 p. Maisse G., Bagliniere J.L., The biology of brown trout, Salmo trutta L., in the river Scorff, Britanny : a synthesis of studies from 1973 to Aquacul. Fish. Manage., 21, Ombredane D., Bagliniere J.L., Les écailles et leur utilisation en écologie aquatique. In : Bagliniere J.L., Castanet J., Conand F., Meunier F.J. (Eds), Tissus durs et âge individuel des vertébrés, , Colloques et Séminaires ORSTOM-INRA. ONEMA, Introduction de l ombre commun sur la basse Cure. Etude des potentialités écologiques de la rivière. Rapport ONEMA. ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février

23 PNR du Morvan, Diagnostic initial des composantes biologiques et physico-chimiques sur la Cure aval. Rapport GEN-TEREO pour le PNRM, 47 p + annexes. Quatre C., Baran P., Etude des populations piscicoles des ruisseaux de la Forêt aux Ducs. Rapport ONEMA. Thibault M., La gestion des populations naturelles de truite commune en France analysée dans une perspective historique ( ). In : Bagliniere J.L., Maisse G. (Eds), La truite, biologie et écologie, , Edition INRA, Paris. ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février

24 ANNEXES ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février 2016.

25 Le CHALAUX à Chalaux : 22/06/2015 N truite Longueur totale (mm) Poids (g) Age ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février 2016.

26 La CURE à Lingoult : 07/07/2015 N truite Longueur totale (mm) Poids (g) Age ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février 2016.

27 La CURE à Saint-André en Morvan : 08/07/2015 N truite Longueur totale (mm) Poids (g) Age ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février 2016.

28 Ecailles de truites du CHALAUX à Chalaux : Age Taille (mm) Photo d une écaille ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février 2016.

29 Ecailles de truites de la CURE : Age Taille (mm) Photo d une écaille ECOGEA pour la FDAAPPMA de l Yonne Février 2016.

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