TG3 - LES ESPACES MARITIMES : APPROCHE GÉOSTRATÉGIQUE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "TG3 - LES ESPACES MARITIMES : APPROCHE GÉOSTRATÉGIQUE"

Transcription

1 TG3 - LES ESPACES MARITIMES : APPROCHE GÉOSTRATÉGIQUE Abréviation : EM pour espaces maritimes Objectif du cours : - évaluer l organisation des échanges mondialisés entre sociétés, au travers de la problématique du fonctionnement et de la gestion des espaces maritimes - identifier, connaître et expliquer l importance des interfaces maritimes et des enjeux pour le contrôle des couloirs de circulation maritime Données initiales : A l échelle du monde : 361 millions de km2 ; 70% de la surface terrestre («planète bleue») - Mers : 131 mers, dont 3 «fermées» (mers Morte, Caspienne et d Aral) - Océans : 5 océans, correspondant à 361 millions km2 dont 14 M km2 «gelés» en Arctique - L Antarctique : espace maritime certes, mais pas «mer» car c est un continent gelé - Détroits : ; 4 sont stratégiques (Ormuz, ), 2 sous forme de canaux (Panama, Suez) - Détroit le plus fréquenté au monde : Malacca ( navires marchands / an) ; 10,3 Mds barils de pétrole / an (13 Mds à Ormuz). Détroit n 2 : la Manche ( navires marchands / an) - Etats- archipels : Japon, îles britanniques, Indonésie, Philippines - Etats- péninsule : Arabie Saoudite ; Italie ; France - Etats continents : Russie, Australie ; Danemark (Groenland) - Etats transcontinentaux : USA, Russie, - Micro- Etats stratégiques, certains sont enclavés : Luxembourg, Malte, Monaco, îles Caïmans, Singapour, Hong- Kong, Prérequis / notions : - Pôles - Espaces intégrés - Espaces en marge - Espaces enclavés (sans accès maritime) : au nombre de 33 La mondialisation est arrimée à des territoires moteurs : - Pays initiateurs : pays industrialisés - Pays émergents - Pays- ateliers Le contexte de monde multipolaire ou zéropolaire explique la diversification des puissances et des acteurs et souligne l absence de leadership possible / mis en œuvre La mondialisation défavorise certains territoires : - À l échelle de pays : pays en retard, PMA - À l échelle de territoires régionaux ou locaux : populations sous le seuil de pauvreté (45% de la population du monde vivant avec moins de 2 $ par jour) Les courroies de transmission du commerce mondial sont de deux types : - Métropoles décisionnelles de diverses tailles (les villes- monde, les mégalopoles, des mégapoles, des métropoles) : fonction de contrôle et de décision (sièges politiques, institutionnels, économiques), fonctions d accumulation et de transfert (hommes, capital, connaissances, réseaux) - Océans et voies maritimes pour l organisation du commerce de capitaux, de marchandises et de matières premières (80% de ce qui est physiquement transporté entre pays) : fonction de circulation, de mise en relation (interconnexion), de captation (ressources) et transformation (navires usines), de secret (paradis fiscaux) et de vol (piraterie, paradis fiscaux / centres financiers off- shore)

2 Accroche : Depuis les 14 points du président Wilson (1918), les relations internationales ont officiellement établi la liberté de circulation sur les espaces maritimes et océaniques comme une donnée incontournable du développement du commerce et de la paix. Qu en est- il aujourd hui? Contextualisation : 70% de la planète sont recouverts d étendues maritimes et océaniques, qui ont souvent fait l objet de guerres entre puissances coloniales puis lors des guerres mondiales. Ces espaces encadrent les continents, eux- mêmes de plus en plus reliés par la mondialisation des échanges et des activités. Définition des termes du sujet : Par espaces maritimes, il faut entendre les océans et mers, mais aussi les interfaces littorales qui leur sont liées. Ces interfaces (ou façades) servent de point d ancrage et d intermédiaire entre les avant- pays maritimes et les arrière- pays continentaux. L approche géostratégique doit privilégier les relations entre puissances et entre sphères décisionnelles du monde. Elle implique avant tout les problématiques d organisation, d aménagement, de contrôle et de conflits pour les territoires ; ici, ce sont les EM qui font l objet de ces relations complexes et intenses. Problématisation : Dans quelle mesure les espaces maritimes expliquent- ils le fonctionnement asymétrique de la mondialisation? Comment témoignent- ils des relations intenses, concurrentielles et conflictuelles qui nourrissent un espace pourtant ouvert et dynamique? Le dynamisme des espaces maritimes est- il plus prometteur qu inquiétant pour la planète? Développement:/ annonce du plan : Après avoir détaillé les atouts stratégiques de ces espaces, nous évaluerons les enjeux dont ils sont l objet ; nous terminerons par nous demander si ces espaces sont suffisamment bien gérés et contrôlés, et si une logique de bonne gouvernance s y applique. 1. Des espaces stratégiques au cœur de la mondialisation : A) Richesse des ressources : Ressources halieutiques : Principaux bassins (pêche intensive en foncé) Principaux acteurs et lieux En 2006, les 10 premiers pays producteurs étaient la Chine, le Pérou, les États- Unis, l Indonésie, le Japon, le Chili, l Inde, la Fédération de Russie, la Thaïlande et les Philippines Les 4 principales zones de pêche : le Pacifique Nord- Ouest, le Pacifique Sud- Est, le Pacifique Centre- Ouest et l Atlantique Nord- Est Les volumes exportés : «Les exportations mondiales de poisson et produits dérivés ont atteint 85,9 milliards de dollars en En termes réels, elles ont augmenté de 103,9 % entre 1986 et 2006, et de 32,1 % entre 2000 et 2006.» (ONU) Principales pêches industrielles : anchois, lieu, hareng, thon (1 er rang, la France), maquereau.

3 Ressources minières et énergétiques traditionnelles : - Ampleur : entre ¼ et 1/3 des réserves mondiales en pétrole et en gaz ; réalise 1/3 de la production mondiale - Production offshore profond : débute en 1947 (USA, Golfe Mexique), puis s accélère dès 1971 (Royaume- Uni / mer du Nord ; États du Golfe Persique). Vont suivre des États africains du Golfe de Guinée (Nigéria, Gabon, Angola, ). Les chantiers récents sont ceux du Brésil (au large de Rio) et de la Russie (en Antarctique). Golfe du Mexique : vue satellite des 3858 plateformes pétrolières et gazières sur le littoral américain du golfe Mer du Nord : 450 plateformes sur les mondiales - Echelle nationale / locale : Ex. Brésil ; forages dans la zone littorale de Rio de Janeiro (l équivalent de 14 milliards de barils à extraire à plus de mètres de profondeur) Ex. Nigéria : fleuve Niger et son embouchure sur le Golfe de Guinée Ressources pharmacologiques et néo- alimentaires : - Industrie des cosmétiques et des soins du corps très présente depuis les années Aquaculture en pleine expansion (à gauche) ; domination chinoise (à droite) (Wikiversité) L aquaculture a atteint 47% de l offre piscicole en 2006.

4 B) Fonctions multiples des façades : A faire sur le site : Éléments de définition : la façade maritime fait partie des espaces maritimes car elle est un lieu d'échanges et de production où les pôles de la mondialisation se situent, dans des ensembles urbains et portuaires de plus en plus décisionnels. La façade sert de relais mais aussi de tremplin ; elle est un facteur de différenciation des territoires de la mondialisation. Elle possède trois caractéristiques : une interface, qui met en relation un arrière- pays continental (l hinterland) et un avant- pays maritime (le foreland). Les 4 plus grandes façades maritimes du monde : en Atlantique, le Northern Range (de Dunkerque ou du Havre à Hambourg, 700 km de long) et la façade atlantique de l'amérique du Nord (du Saint- Laurent au golfe du Mexique) ; dans le Pacifique, la façade occidentale de l'amérique du Nord (de Seattle à la Californie) et la façade de l'asie orientale (de la Corée du Sud à Singapour) Les quatre fonctions illustrées par l exemple du port de Tianjin (Chine) Powerpoint sur odyssee.eklablog.com/tg3- espaces- maritimes- facade- de- tianjin- a Schéma type : Source : facades- maritimes- littoralisation/

5 C) Importance des flux : Espaces maritimes : principale courroie de transport de biens de la mondialisation - 80% des flux de marchandises - flux multipliés par 7 de 1950 à 2000 (usage des porte- conteneurs) navires à grand tonnage, dont les (super- )vraquiers ( pétroliers et méthaniers), (super- ) porte conteneurs (5.000 navires) - «40 millions de barils de pétrole traversent chaque jour les océans, et ce chiffre devrait atteindre 67 millions en 2020 lorsque les Etats- Unis importeront plus de la moitié de leur pétrole au lieu du tiers actuellement» (source : Les Échos, 2007) Concentration des moyens : - 21 États possèdent 80% de la flotte navale commerciale - 25 ports canalisent 50% des flux maritimes Ports, détroits et canaux de la mondialisation : des flux très organisés. Schéma / croquis

6 2. Des espaces à forts enjeux politiques et économiques : A) Complexité du droit de la mer : Données géo- historiques : - Début des négociations sur le droit de la mer en 1973, sous l égide de l ONU : conférence de Montego Bay (Jamaïque) naissance de la Convention des Nations unies sur le Droit de la Mer (CNUDM). Objectif : trouver un accord entre les États (133 ont ratifié la convention) pour délimiter les juridictions maritimes : attribution définitive des EM et application de la CNDUM (modifiée jusqu en 2009). Les limites de juridiction et de souveraineté : - 11 espaces maritimes coexistent, dont la haute mer (64% des océans, liberté totale de circulation, appropriation nationale impossible mais concurrence mondialement ouverte) et les grands fonds marins («biens communs de l humanité») - La règle des 200 milles marins Les 12 premiers milles marins : sur 12 milles marins depuis la côte (soit 22,224 km), les États sont pleinement souverains Puis, établissement des ZEE (zones économiques exclusives) : de 12 milles à 200 milles. L État y prélève ses ressources mais doit laisser libre toute circulation de navires. - Les 33 États enclavés (= sans accès maritime) sont en principe handicapés Les litiges de type classique : - Les pavillons de complaisance : «le pavillon d'un navire pour lequel la propriété réelle et le contrôle se situent dans un pays autre que celui du pavillon sous lequel il est immatriculé» - La surpêche en Afrique : afrique- de- l- ouest- greenpeace- denonce- la- surpeche- des- navires- chinois B) La «course à la mer» : les EM, lieux de conflits La mondialisation : une autre forme de concurrence maritime et océanique La mondialisation a modifié les règles d échanges entre pays mais se sert de ces espaces comme de clés pour une puissance voulant mettre en œuvre son l influence et sa stratégie de conquête de marchés. Les zones actuelles à risques / de conflits : Les détroits et les îles sont les zones les plus conflictuelles : menaces de blocus, délimitations des ZEE historiques, proximité des zones de conflits armés (Suez, Ormuz, ) - Russie et Norvège : revendications croisées sur des territoires en Arctique - Danemark et Canada : délimitation des ZEE depuis le Groenland - Japon et Chine : îles Senkaku / Diaoyu - Chine et Asie du sud- est : îles Spratly et Paracel - Brunei et Malaisie : contours des ZEE respectives - Argentine et Royaume- Uni : Malouines Schéma : «Les espaces maritimes dans la mondialisation : convoitises et conflits» (Fonds de carte : synthétiser cartes du manuel + blog) à rendre / en AP.

7 C) Les puissances militaires de la mer : Un rapport très déséquilibré à l échelle du monde : - 40 pays possèdent 98% de la flotte militaire totale (2.000 navires) - 10 pays possèdent 84% Puissance actuelle : les USA - 40% du tonnage militaire mondial - 7 flottes navales réparties dans le monde : marins en poste - 18 sous- marins nucléaires (dotés de missiles stratégiques de longue portée, les SNS) Puissances secondaires : - Russie - UK - France Puissance en devenir : Chine - 5% du tonnage mondial - 1er porte- avion mis en service en Ambition : reprendre la main sur le Pacifique Puissances en gestation? - La rivalité Inde Pakistan Iran sur l océan indien - Taïwan Vs. Chine - La Corée du sud - La Turquie

8 3. Des espaces sous contrôle? A) Un environnement naturel en grand danger : Surpêche, surexploitation, pollutions d usage sur les milieux marins : - Industrialisation des moyens de pêche, révélées par les 132 millions de tonnes consommées par an en 2014 (contre 20 millions en 1950), dont 20 à 26 millions de tonnes pêchées illégalement - Raréfaction des ressources : «Selon la FAO en 2010, 2/3 des espèces sont surexploitées dans le monde ; Greenpeace soutient que ce sont 40% de la surface mondiale des océans sur lesquelles il faudrait arrêter de pêcher complètement et soustraire à toute activité humaine» (Planetoscope.com). L ONU estime que 80% des zones de pêche sont surexploitées par les 21 millions de navire de pêche, dont 90% se concentrent sur les façades d Asie. - Surexploitation des milieux naturels confrontés au tourisme de masse : pression sur les zones de corail, rejets chimique, «soupe de plastique» Enjeu géostratégique lié : raréfaction / dégradation / destruction des ressources augmentation des rivalités pour le contrôle des espaces maritimes ; luttes idéologiques et politiques sur le futur de la planète Accidents et catastrophes technologiques : - Les plus tristement célèbres : pétrolier Erika (1975, Bretagne), pétrolier supertanker Amoco Cadiz (1978, Bretagne), pétrolier Prestige en 2002 (du Portugal à l Aquitaine), explosion de la plateforme Deepwater Horizon (Golfe Mexique, 2010) - Les Golfes et baies : des espaces très touchés. Golfe du Mexique en 2010 suite à l accident Deepwater (nappe totale de km3, fuite équivalente à barils par jour, et au total au moins litres déversés) Baie de Rio : tonnes de pétrole répandues en 2001 Golfe Persique : déversement de tonnes de pétrole dans les années 1980 (plateforme iranienne) L Erika, 1999 Le Prestige, 2002 Deepwater, vue satellite, 2010 Les convoitises sur l Antarctique : - continent inhabité : le seul au monde - statut spécifique : sanctuaire de la paix et des sciences ; traité de Washington (1959) - le protocole de Madrid (1991) interdit pour 50 ans les recherches / exploitations industrielles - retour des ambitions nationales : Australie, France - motivations : ressources minières et énergétiques ; pêche intensive du krill (crevette) Les signes du réchauffement et de l inconscience des sociétés humaines : - Le «détroit du nord» (ou l «autoroute maritime polaire») : né(e) du réchauffement du climat affectant le pôle nord ; accessible 7 mois dans l année, fait «économiser km» en évitant le détour par le canal de Panama - L acidification des océans : diminution grave du ph (potentiel en Hydrogène) des océans

9 B) Des capacités de gestion et de contrôle encore limitées : Les techniques de surveillance des EM : - Le satellite - La détection des nappes de fioul (dégazages maritimes sauvages) : radars - Les patrouilles maritimes : ex. vers la Guadeloupe, en Méditerranée (EDC) Les migrants en Méditerranée : entre surveillance, indifférence et mauvaise gestion - Des afflux surdimensionnés? Echange en classe. - «Mare Nostrum» C) Des espaces maritimes laissés hors de contrôle ou dangereux : Les zones d ombre de la mondialisation : - Carte piraterie / paradis fiscaux à analyser : odyssee.eklablog.com/tg3- espaces- maritimes- conflits- et- tensions- a Les espaces maritimes restent difficiles à contrôler du fait même de l absence de frontières visibles, d identification aisée des navires (traçabilité GPS ou des origines des pavillons attribués)

10 Les trafics illicites et de drogue via les espaces maritimes : - espaces les plus touchés : Caraïbes, Golfe du Mexique, Golfe de Guinée, détroit de Malacca - échelle transocéanique : flux partant de l Amérique latine + bassin caraïbe Afrique (golfe de Guinée) et Europe - échelle continentale : cabotage sur les littoraux américains USA (Floride) - échelle régionale / locale : mer des Caraïbes investie par les trafiquants de cocaïne (50% de la production sont réalisés en Colombie, puis utilisation des littoraux colombiens et vénézuéliens pour aller vers les îles, via les hors- bord, go- fast de la mer) La piraterie maritime, en fort développement - L ampleur de la piraterie: 339 actes recensés en 2006 ; - Techniques de l abordage ou du minage (mines flottantes pour obstruer le trafic) - En Asie du sud- est : Malacca le plus convoité - Dans le golfe de Guinée : vol de ressources énergétiques, abordage de navires et vol de cargaisons - Au large de la Somalie : commerce des otages ; parfois mélange avec revendications terroristes (l USS Cole en 2000, le pétrolier français Limburg en 2002) La lutte contre ce fléau : - Mobilisation de certains États ou d institutions : opération Ocean Shield de l OTAN (2009) en Somalie ; la Russie s y implique également (2 navires patrouillent en permanence en Somalie) ; la Chine développe ses bases militaires en Asie (stratégie du «collier de perles») ; la France s appuie sur la base militaire de Djibouti pour aider à contrôler Bab- el- Mandeb - À l échelle de l UE : opération Atalante lancée en 2008 pour freiner la piraterie dans la Corne de l Afrique (au large de la Somalie) ; coordination et solidarité budgétaire - Nécessité de créer un espace mondial mieux coordonné : besoin de bonne gouvernance et de leaderships dans ce domaine Conclusion Les espaces maritimes mondiaux reflète des logiques typiques de la mondialisation : lieux essentiels de transit des marchandises, ils attestent des trafics marchands en pleine expansion. Ils participent à la mise en relation des économies mondiales, de leurs villes et de leurs sociétés. En favorisant la littoralisation des activités et des structures de décision, ils participent de la sélectivité des territoires (hiérarchisation des territoires de la mondialisation). Toutefois, ils sont des espaces en danger : leur caractère stratégique augmente les pressions entre puissances et réseaux, officiels ou criminels. Les espaces maritimes sont des lieux si disputés que leur sécurité apparaît aujourd hui très vulnérable. Ils témoignent du besoin grandissant de leadership(s) dans un monde zéropolaire. Peut- on envisager ce leadership régulateur comme le résultat d une prise de conscience collective rapide, ou doit- on le voir comme une conséquence de graves dysfonctionnements qui, dès qu ils auront affectés les circuits marchands de la mondialisation, seront perçus comme vraiment inéluctables?

11 Croquis type bac (obligatoire) : «Les espaces maritimes, approche géostratégique»

12 Ressources : - Wikiversité : Ressources_à_exploiter - Données scientifiques et disciplinaires : presse.com/?p=593 fig- st- die.cndp.fr/actes/actes_2007/poirson/article.htm olitique sciences.org/odb/poles_loupe.php?page=antarctique_02&cat=6 pedagogique/plateformes- petrolieres oceans/199- peche- et- prises- mondiales- de- poissons.html aquablog.blogspot.fr/2014/01/news- peche- monde- asie- afrique- oceanie.html - Actus : bresil- mystere- poissons- morts- baie- rio- intrigue- scientifiques afrique- de- l- ouest- greenpeace- denonce- la- surpeche- des- navires- chinois chronique- agora.com/petrole- bresilien- importance- de- offshore/ en- mer- du- nord- du- petrole- aux- eoliennes/ ECH_la- surveillance- des- detroits- surcharges- devient- une- preoccupation- cruciale.htm - Géopolitique à venir? blog.com/pages/_the_great_arctic_war_la_guerre_au_dessus_du_continent_blanc_vue_par_ un_thinktank_etasunien html en- mer- de- chine- du- sud/

THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES

THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES I. SECTEURS D ACTIVITES - Aéronautique - Agriculture - Assurances - Banques (épargne, office des chèques postaux) - Bâtiment et génie civil - Communications - Postes - Télécommunications

Plus en détail

à la Consommation dans le monde à fin 2012

à la Consommation dans le monde à fin 2012 Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du

Plus en détail

Les Journées Régionales de la Création & Reprise d Entreprise 8 ème ÉDITION

Les Journées Régionales de la Création & Reprise d Entreprise 8 ème ÉDITION Les Journées Régionales de la Création & Reprise d Entreprise 8 ème ÉDITION S.M.A.R.T. Production 2004-2005 - Tous droits de reproduction réservés. Par les mêmes organisateurs : 40 ateliers gratuits sur

Plus en détail

Le Moyen-Orient depuis `1990: carte `1

Le Moyen-Orient depuis `1990: carte `1 Le Moyen-Orient depuis `1990: carte `1 L essentiel de la carte comprend des états membres de la ligue arabe. Au nord, se trouvent des états non membres, en allant d ouest en est: la Turquie, l Iran et

Plus en détail

Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry *

Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry * Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry * 1) Base de données 2) Sources et définitions * Alix de Saint Vaulry est économiste au CEPII, responsable de la production de la base de données

Plus en détail

ACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944

ACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944 ACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944 Entrée en vigueur : L Accord est entré en vigueur le 30 janvier 1945. Situation : 130 parties. Cette liste

Plus en détail

Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI

Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds

Plus en détail

LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013

LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013 LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES 1. Facteurs structurels du ralentissement de la croissance dans les BRIC 2. Interdépendances commerciales entre les BRIC et le reste du monde Françoise Lemoine, Deniz

Plus en détail

Le Conseil d administration. L Article VI du Statut du PAM définit comme suit les fonctions du Conseil:

Le Conseil d administration. L Article VI du Statut du PAM définit comme suit les fonctions du Conseil: 1. L E C O N S E I L D A D M I N I S T R A T I O N E T S E S F O N C T I O N S 1er janvier 1996, suite à l adoption de résolutions parallèles par l Assemblée générale des Nations Unies et la Conférence

Plus en détail

FICHE DOCUMENTAIRE IFM n 3/12

FICHE DOCUMENTAIRE IFM n 3/12 Comité de Toulon Provence Toulon, 5 mars 2012 FICHE DOCUMENTAIRE IFM n 3/12 Objet : Préambule -o- La dernière réunion de la Convention de Barcelone sur la protection de la Méditerranée, à Paris en février

Plus en détail

LES NON-ALIGNÉS D HIER À AUJOURD HUI

LES NON-ALIGNÉS D HIER À AUJOURD HUI ÉDITORIAL LES NON-ALIGNÉS D HIER À AUJOURD HUI MICHEL ROGALSKI Privé de la présence de Fidel Castro pour cause de maladie, le XIV e Sommet des Non-alignés s est tenu en septembre 2006 à La Havane. L usage

Plus en détail

À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires

À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse

Plus en détail

La guerre de l énergie n est pas une fatalité

La guerre de l énergie n est pas une fatalité Mission parlementaire d information de la commission des Affaires étrangères «Energie et géopolitique» La guerre de l énergie n est pas une fatalité RÉSUMÉ DU RAPPORT Nous savons depuis fort longtemps

Plus en détail

Chapitre 3 La mondialisation en fonctionnement

Chapitre 3 La mondialisation en fonctionnement CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN Chapitre 3 La mondialisation en fonctionnement Table des matières 1 Le processus de mondialisation 2 1.1 Les principales phases de la mondialisation..............

Plus en détail

Chapitre 2 : La logistique. Pour le commerce international, les modes de transport utilisés sont :

Chapitre 2 : La logistique. Pour le commerce international, les modes de transport utilisés sont : I) La chaine logistique internationale. A. Le concept de logistique. Chapitre 2 : La logistique. Les activités de logistique et de transport permettent de gérer l ensemble des flux de matières et de produits,

Plus en détail

Délégation Asie-Pacifique du Groupe Crédit Agricole à Hong Kong et à Shanghai. Le RMB s internationalise: Un simple filet d eau ou le déluge?

Délégation Asie-Pacifique du Groupe Crédit Agricole à Hong Kong et à Shanghai. Le RMB s internationalise: Un simple filet d eau ou le déluge? Délégation Asie-Pacifique du Groupe Crédit Agricole à Hong Kong et à Shanghai Le RMB s internationalise: Un simple filet d eau ou le déluge? Le Tour du Monde en 8 heures Poitiers, le 21 juin 2011 Agenda

Plus en détail

Pays 1 où il y a un risque de transmission de la fièvre jaune 2 et pays exigeant la vaccination antiamarile

Pays 1 où il y a un risque de transmission de la fièvre jaune 2 et pays exigeant la vaccination antiamarile ANNEXE 1 Pays 1 où il y a un risque de transmission de la fièvre jaune 2 et pays exigeant la vaccination antiamarile Pays Pays où il y a un Pays exigeant Pays exigeant risque de transmission la vaccination

Plus en détail

Thème 2 Les dynamiques de la mondialisation. Chapitre 2 Les territoires dans la mondialisation.

Thème 2 Les dynamiques de la mondialisation. Chapitre 2 Les territoires dans la mondialisation. Thème 2 Les dynamiques de la mondialisation. Chapitre 2 Les territoires dans la mondialisation. Introduction : Étudier les territoires dans la mondialisation, c est s interroger sur leur recomposition

Plus en détail

Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés

Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance

Plus en détail

Où sont les Hommes sur la Terre

Où sont les Hommes sur la Terre Où sont les Hommes sur la Terre Introduction : Notre planète est constituée de régions peuplées et d autres qui sont presque vides, ainsi 90% de la population vit dans l hémisphère nord. Dans certains

Plus en détail

BOURSES SCOLAIRES. au bénéfice des enfants français résidant avec leur famille à l étranger AGENCE POUR L ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L ÉTRANGER

BOURSES SCOLAIRES. au bénéfice des enfants français résidant avec leur famille à l étranger AGENCE POUR L ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L ÉTRANGER BOURSES SCOLAIRES au bénéfice des enfants français résidant avec leur famille à l étranger AGENCE POUR L ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L ÉTRANGER ÉTABLISSEMENT PUBLIC NATIONAL À CARACTÈRE ADMINISTRATIF SOUS

Plus en détail

Vos lignes téléphoniques fixes Analogiques, numériques (T0/T2) ou IP (Trunk SIP)

Vos lignes téléphoniques fixes Analogiques, numériques (T0/T2) ou IP (Trunk SIP) OFFRE ANNIVERSAIRE Profitez des promotions exceptionnelles Vos lignes téléphoniques fixes Analogiques, numériques (T0/T2) ou IP (Trunk SIP) Avec appels illimités vers les fixes et les mobiles en France

Plus en détail

Fonds internationaux d indemnisation pour les dommages dus à la pollution par les hydrocarbures

Fonds internationaux d indemnisation pour les dommages dus à la pollution par les hydrocarbures Fonds internationaux d indemnisation pour les dommages dus à la pollution par les hydrocarbures Édition 2012 Rôle des FIPOL Le Fonds de 1992 et, le cas échéant, le Fonds complémentaire, fournissent un

Plus en détail

Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP)

Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) F CDIP/12/INF/4 ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 3 OCTOBRE 2013 Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) Douzième session Genève, 18 21 novembre 2013 RÉSUMÉ DE L ÉTUDE SUR LA PROPRIÉTÉ

Plus en détail

C EST PAS SORCIER LE PORT DE ROTTERDAM : PRÉSENTATION. Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 Description... 2

C EST PAS SORCIER LE PORT DE ROTTERDAM : PRÉSENTATION. Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 Description... 2 Présentation de la vidéo................................................... 2 Générique..................................................................... 2 Description....................................................................

Plus en détail

BASE DE DONNEES - MONDE

BASE DE DONNEES - MONDE BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar

Plus en détail

A. Liste des pays tiers dont les ressortissants doivent être munis d un visa pour traverser la frontière nationale. 1.

A. Liste des pays tiers dont les ressortissants doivent être munis d un visa pour traverser la frontière nationale. 1. Liste des pays tiers dont les ressortissants doivent être munis d un visa pour traverser la frontière nationale et pays dont les ressortissants en sont exemptés A. Liste des pays tiers dont les ressortissants

Plus en détail

Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays

Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays Octobre 2012 RESULTATS DE L ANALYSE DES COUPLES PAYS/SECTEURS PORTEURS EN FAVEUR DU COMMERCE EXTERIEUR DE LA FRANCE SOMMAIRE Résumé 2

Plus en détail

Les perspectives économiques

Les perspectives économiques Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois

Plus en détail

Quel est le temps de travail des enseignants?

Quel est le temps de travail des enseignants? Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans

Plus en détail

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve

Plus en détail

Étude de cas «Le bassin des caraïde : interface américaine et interface mondiale»

Étude de cas «Le bassin des caraïde : interface américaine et interface mondiale» CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN Étude de cas «Le bassin des caraïde : interface américaine et interface mondiale» Table des matières 1 Une interface américaine 2 1.1 Un espace entre l Amérique

Plus en détail

L Épargne des chinois

L Épargne des chinois L Épargne des chinois (Patrick ARTUS Johanna MELKA) Colloque Cirem-Cepii-Groupama AM 29 septembre 25 Indicateurs de «qualité de vie» en Chine 199 1995 2 22 23 Nombre d'écoles par 1 habitants 9,1 7,82 6,48

Plus en détail

CAMPUS FRANCE. Janvier 2015

CAMPUS FRANCE. Janvier 2015 n 46 CAMPUS FRANCE Les notes Janvier 2015 Les États-Unis dans la mobilité étudiante internationale Synthèse Open Doors 2014 Avant-propos Offrant un tableau général de la mobilité internationale du point

Plus en détail

Bienvenue au service d audioconférence sans réservation de Bell. Guide de démarrage de votre nouveau service de Bell

Bienvenue au service d audioconférence sans réservation de Bell. Guide de démarrage de votre nouveau service de Bell Bienvenue au service d audioconférence sans réservation de Bell Guide de démarrage de votre nouveau service de Bell Table des matières Bienvenue au service d audioconférence sans réservation de Bell...

Plus en détail

Travailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale

Travailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale ACADEMIE DE GRENOBLE Géographie Programme de Troisième, partie II, thème 1 LES ESPACES PRODUCTIFS Travailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale alexandre.bouineau@ac-grenoble.fr

Plus en détail

Question 2 Le Proche et le Moyen-Orient, un foyer de conflits depuis la fin de la Première Guerre mondiale

Question 2 Le Proche et le Moyen-Orient, un foyer de conflits depuis la fin de la Première Guerre mondiale Terminales ES-L /Histoire Regards historiques sur le monde actuel Thème 3 - Puissances et tensions dans le monde de la fin de la Première Guerre mondiale à nos jours Question 2 Le Proche et le Moyen-Orient,

Plus en détail

Atlas économique de Paris 2013 du greffe du tribunal de commerce de Paris

Atlas économique de Paris 2013 du greffe du tribunal de commerce de Paris Atlas économique de Paris 213 du greffe du tribunal de commerce de Paris Sommaire INTRODUCTION... 3 PARTIE 1 PARIS DANS SA GLOBALITÉ... 4 GÉOGRAPHIE DES ENTREPRISES PARISIENNES... 5 DENSITÉ DES ENTREPRISES

Plus en détail

LA SOCIETE DE PARTICIPATIONS FINANCIERES «LA SOPARFI»

LA SOCIETE DE PARTICIPATIONS FINANCIERES «LA SOPARFI» LA SOCIETE DE PARTICIPATIONS FINANCIERES «LA SOPARFI» La SOPARFI n'est pas régie par une loi spécifique, mais se définit comme une société de capitaux luxembourgeoise soumise à une fiscalité tant directe

Plus en détail

- Introduction : la globalisation commerciale d hier et d aujourd hui

- Introduction : la globalisation commerciale d hier et d aujourd hui Plan du cours : - Introduction : la globalisation commerciale d hier et d aujourd hui - I. Les théories du commerce international - les avantages comparatifs (Ricardo) - les dotations de facteurs (HOS)

Plus en détail

Région Haute-Normandie. Plan régional pour l internationalisation des entreprises en Haute-Normandie

Région Haute-Normandie. Plan régional pour l internationalisation des entreprises en Haute-Normandie Région Haute-Normandie Plan régional pour l internationalisation des entreprises en Haute-Normandie Novembre 2013 ! "# $"% &%'' $ (')#!*+,*'-#&+,./ 0 $1&/2+,(.'1&/2+,(.'' 3,/,// 4 (553 5#+' 2 '+ 0 6 #

Plus en détail

de résultat opérationnel courant (3) en hausse de 20,7 % (4) Ratings AA-, perspective stable par Fitch Ratings et A2, perspective stable par Moody s

de résultat opérationnel courant (3) en hausse de 20,7 % (4) Ratings AA-, perspective stable par Fitch Ratings et A2, perspective stable par Moody s REGARD SUR COFACE / Le Groupe Coface est un leader mondial de l assurance-crédit et un expert reconnu des risques commerciaux. Il propose aux entreprises du monde entier des solutions pour les protéger

Plus en détail

EOLIEN EN MER : Projet de Saint Nazaire. 15 Novembre 2012. Instance de Suivi et de Concertation

EOLIEN EN MER : Projet de Saint Nazaire. 15 Novembre 2012. Instance de Suivi et de Concertation EOLIEN EN MER : Projet de Saint Nazaire 15 Novembre 2012 Instance de Suivi et de Concertation AGENDA A/ Les acteurs du consortium A/ Les acteurs du consortium B/ Le projet C/ Les études environnementales

Plus en détail

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.

Plus en détail

Le gaz de schiste «pertubateur» du marché de l électricité? Jacques PERCEBOIS Directeur du CREDEN Professeur à l Université de Montpellier I

Le gaz de schiste «pertubateur» du marché de l électricité? Jacques PERCEBOIS Directeur du CREDEN Professeur à l Université de Montpellier I Le gaz de schiste «pertubateur» du marché de l électricité? Jacques PERCEBOIS Directeur du CREDEN Professeur à l Université de Montpellier I CLUB DE NICE 5/12/2012 Le gaz naturel dans l Union Européenne

Plus en détail

MSH INTERNATIONAL pour le compte de l ASFE

MSH INTERNATIONAL pour le compte de l ASFE 2014 RELAIS EXPAT L ASSURANCE SANTÉ EN COMPLÉMENT DE LA POUR EXPATRIÉS MSH INTERNATIONAL pour le compte de l ASFE L ASSURANCE SANTÉ SANS FRONTIÈRES Le contrat Relais Expat de l ASFE : pourquoi vous couvrir?

Plus en détail

Briefings de Bruxelles sur le

Briefings de Bruxelles sur le Briefings de Bruxelles sur le développement rural Une série de réunions sur des questions de développement ACP-UE Lutte contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INN) : Impacts et défis

Plus en détail

Quelles évolutions a connue la gouvernance mondiale depuis 1944?

Quelles évolutions a connue la gouvernance mondiale depuis 1944? Thème 4 Les échelles de gouvernement dans le monde Chapitre 3 : La gouvernance économique mondiale depuis 1944 L après Seconde Guerre mondiale marque une étape majeure dans la prise de conscience de la

Plus en détail

La BRI. Au service de la stabilité monétaire et financière

La BRI. Au service de la stabilité monétaire et financière La BRI Au service de la stabilité monétaire et financière Fondée le 17 mai 1930, la BRI est la plus ancienne organisation financière internationale. Outre son siège social, à Bâle (Suisse), elle possède

Plus en détail

Les banques suisses 2013 Résultats des enquêtes de la Banque nationale suisse

Les banques suisses 2013 Résultats des enquêtes de la Banque nationale suisse Communiqué presse Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 19 juin 2014 Les banques suisses 2013 Résultats s enquêtes la Banque nationale suisse

Plus en détail

Note relative à l investissement direct étranger dans le monde et au Maroc

Note relative à l investissement direct étranger dans le monde et au Maroc Royaume du Maroc Département de l Economie, des Finances et de la Privatisation Direction de la Politique Economique Générale Note relative à l investissement direct étranger dans le monde et au Maroc

Plus en détail

FIN-INTER-01 LE CONTEXTE

FIN-INTER-01 LE CONTEXTE FIN-INTER-01 LE CONTEXTE Public concerné : Etudiants niveau Bac + 2. Durée indicative : 2 heures Objectifs : Positionner le domaine de la finance internationale dans son contexte. Pré requis : Néant. Modalités

Plus en détail

Aux services secrets de sa majesté : l accompagnement personnalisé dans l implantation à l international 18 mars 2014

Aux services secrets de sa majesté : l accompagnement personnalisé dans l implantation à l international 18 mars 2014 Aux services secrets de sa majesté : l accompagnement personnalisé dans l implantation à l international 18 mars 2014 Groupe Crédit Agricole Une Banque Universelle de Proximité à votre service Métiers

Plus en détail

Étiquette des rencontres d affaires en pays étranger Guide des références sur Internet

Étiquette des rencontres d affaires en pays étranger Guide des références sur Internet Étiquette des rencontres d affaires en pays étranger Guide des références sur Internet à l intention des entreprises des secteurs de l agroalimentaire et des fruits de mer de la C.-B. Sa Majesté la Reine

Plus en détail

0.941.291 relative à l établissement d un bureau international des poids et mesures

0.941.291 relative à l établissement d un bureau international des poids et mesures Texte original 0.941.291 Convention relative à l établissement d un bureau international des poids et mesures Conclue à Paris le 20 mai 1875 Approuvée par l Assemblée fédérale le 2 juillet 1875 1 Instruments

Plus en détail

http://www.societeoffshore.fr - http://www.societeoffshore.fr - http://www.societeoffshore.fr Situation générale

http://www.societeoffshore.fr - http://www.societeoffshore.fr - http://www.societeoffshore.fr Situation générale République des Seychelles Situation générale 1. Géographie La Républiques des Seychelles est un archipel composé de 115 îles, situé au nord-est de Madagascar. L île la plus importante est l île de Mahé.

Plus en détail

Commission des finances

Commission des finances Autorité internationale des fonds marins ISBA/21/FC/5 Commission des finances Distr. limitée 4 juin 2015 Français Original : anglais Vingt et unième session Kingston (Jamaïque) 13-24 juillet 2015 État

Plus en détail

ENJEUX ENERGETIQUES. Le Monde et la France. L énergie dans les territoires

ENJEUX ENERGETIQUES. Le Monde et la France. L énergie dans les territoires ENJEUX ENERGETIQUES Le Monde et la France L énergie dans les territoires * Bernard LAPONCHE (Données statistiques : Enerdata) 1 Monde : Consommation d énergie primaire (2008 : 12,2 milliards de tep) Energies

Plus en détail

Discovering Hidden Value

Discovering Hidden Value Discovering Hidden Value A la découverte de la valeur cachée Consultation pour les Opérations de Forage Proposées en Offshore Marocain 2013 Qui est Cairn Energy? Cairn est une société de pétrole et de

Plus en détail

touristique : quelle vision partager? Les perspectives de normalisation AFNOR Responsable Développement Sport, Loisirs

touristique : quelle vision partager? Les perspectives de normalisation AFNOR Responsable Développement Sport, Loisirs Sport, loisirs et développement touristique : quelle vision partager? Les perspectives de normalisation internationales Marie Solange BUREAU AFNOR Responsable Développement Sport, Loisirs 1 Normalisation

Plus en détail

L'Afrique peut-elle devenir le nouvel atelier du monde à l'horizon 2050? Quelques conditions préalables

L'Afrique peut-elle devenir le nouvel atelier du monde à l'horizon 2050? Quelques conditions préalables La partie de l'image avec l'id de relation rid2 n'a pas été trouvé dans le fichier. L'Afrique peut-elle devenir le nouvel atelier du monde à l'horizon 2050? Quelques conditions préalables Contribution

Plus en détail

notre vision CARTE DE VISITE

notre vision CARTE DE VISITE 360 notre vision CARTE DE VISITE 2012 Malgré un durcissement de la conjoncture économique à partir du second semestre 2011, le Groupe SEB a maintenu son cap et consolidé ses positions sur la plupart des

Plus en détail

LES DÉFIS DE L EXPANSION

LES DÉFIS DE L EXPANSION LES DÉFIS DE L EXPANSION DU MONDE 49 e ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DES ÉLEVEURS DE PORCS DU QUÉBEC JEAN-LOUIS ROY, 28 MAI 2015 L ESPACE AGRICOLE GLOBAL JEAN-LOUIS ROY, MAI 2015 Tous les pays du monde 1,35 milliards

Plus en détail

Global WorkPlace Solutions. Créer un avantage concurrentiel

Global WorkPlace Solutions. Créer un avantage concurrentiel Global WorkPlace Solutions Créer un avantage concurrentiel Prêt pour le business? Etre un business international profitable n est pas chose facile. Le maintenir en tête requiert pensée innovante, courage

Plus en détail

SBM Offshore OIL & GAS* sdv.com. Logistique. Imagination. *Pétrole et Gaz

SBM Offshore OIL & GAS* sdv.com. Logistique. Imagination. *Pétrole et Gaz SBM Offshore OIL & GAS* sdv.com Logistique. Imagination. *Pétrole et Gaz SDV, UN SERVICE DE PROXIMITÉ ET UNE PERFORMANCE ASSURÉE La puissance de notre réseau : Notre présence dans 102 pays garantit un

Plus en détail

Assemblée générale. Nations Unies A/AC.105/772

Assemblée générale. Nations Unies A/AC.105/772 Nations Unies A/AC.105/772 Assemblée générale Distr.: Générale 7 décembre 2001 Français Original: Anglais Comité des utilisations pacifiques de l espace extra-atmosphérique Rapport du deuxième Atelier

Plus en détail

à ANVERS SEA DIFFERENT

à ANVERS SEA DIFFERENT CMA CGM à ANVERS SEA DIFFERENT Cliquez pour modifier les styles du texte du masque Deuxième niveau Troisième niveau Quatrième niveau» Cinquième niveau Le développement du port d Anvers Pays-Bas Belgique

Plus en détail

Cours 3. Japon-Chine : concurrences régionales, ambitions mondiales. I. Les deux pôles principaux de l Asie orientale

Cours 3. Japon-Chine : concurrences régionales, ambitions mondiales. I. Les deux pôles principaux de l Asie orientale Thème 3 Dynamiques des grandes aires continentales Question 3 - L Asie du Sud et de l Est : les enjeux de la croissance Cours 3. Japon-Chine : concurrences régionales, ambitions mondiales Quel pays assurera,

Plus en détail

PRESENTATION DE L AGENCE NATIONALE DES PORTS. Avril 2011

PRESENTATION DE L AGENCE NATIONALE DES PORTS. Avril 2011 PRESENTATION DE L AGENCE NATIONALE DES PORTS Avril 2011 1 Mise en place d un cadre législatif et réglementaire L instauration par la Loi 15-02 de: l obligation d exercice des activités portuaires dans

Plus en détail

DIVERSITÉ CULTURELLE JOURS FÉRIÉS Pour en savoir Plus, veuillez vous adresser à :

DIVERSITÉ CULTURELLE JOURS FÉRIÉS Pour en savoir Plus, veuillez vous adresser à : Le Manitoba en bref Le Manitoba : Province du Canada depuis 1870. Manitoba signifie «lieu où vit l Esprit» dans les langues des peuples autochtones de la province. Chef politique : Premier ministre (Greg

Plus en détail

SAEGIS SUR SERION DES BASES DE DONNÉES DIVERSIFIÉES. UNE COUVERTURE MONDIALE. THOMSON COMPUMARK. Registre international.

SAEGIS SUR SERION DES BASES DE DONNÉES DIVERSIFIÉES. UNE COUVERTURE MONDIALE. THOMSON COMPUMARK. Registre international. DES DIVERSIFIÉES. UNE COUVERTURE MONDIALE. REUTERS/ANDY GAO Registre international Registre international Amérique du Nord Bermudes Canada Mexique États-Unis : Marques fédérales, Marques d État Amérique

Plus en détail

Charte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable

Charte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable Charte de la coopération décentralisée pour le développement durable Mise en œuvre des principes de l Agenda 21 dans les coopérations transfrontalières, européennes et internationales des collectivités

Plus en détail

Bien vivre, dans les limites de notre planète

Bien vivre, dans les limites de notre planète isstock Bien vivre, dans les limites de notre planète 7e PAE le programme d action général de l Union pour l environnement à l horizon 2020 Depuis le milieu des années 70, la politique environnementale

Plus en détail

LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?

LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre

Plus en détail

2. L offre et la demande d énergie: tendances et perspectives

2. L offre et la demande d énergie: tendances et perspectives 5 2. L offre et la demande d énergie: tendances et perspectives La demande d énergie devrait s accroître considérablement dans les années à venir à cause de l augmentation de la population et du développement

Plus en détail

ROBERT WALTERS ENQUÊTE CANDIDATS 2015. www.robertwalters.fr CHIFFRES CLÉS

ROBERT WALTERS ENQUÊTE CANDIDATS 2015. www.robertwalters.fr CHIFFRES CLÉS ROBERT WALTERS ENQUÊTE CANDIDATS 2015 Pour mieux comprendre les attentes des candidats, Robert Walters référence mondiale du recrutement spécialisé a diffusé une enquête au début de l année 2015, auprès

Plus en détail

Louvain School of Management The Preferred International Management School in Belgium CAMPUS UCL MONS

Louvain School of Management The Preferred International Management School in Belgium CAMPUS UCL MONS Louvain School of Management The Preferred International Management School in Belgium CAMPUS UCL MONS Our mission : Educating Responsible Leaders For a Responsible World LSM the Business School of UCL

Plus en détail

Aperçu du rôle que tient EDC dans le succès canadien à Hong Kong et en Chine élargie

Aperçu du rôle que tient EDC dans le succès canadien à Hong Kong et en Chine élargie Aperçu du rôle que tient EDC dans le succès canadien à Hong Kong et en Chine élargie Exportation et développement Canada Juin 2012 Quelques mots sur EDC Organisme de crédit à l exportation du Canada créé

Plus en détail

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

COMMUNIQUÉ DE PRESSE COMMUNIQUÉ DE PRESSE La croissance mondiale des investissements publicitaires se poursuit : les achats publicitaires devraient croître de 4,8% en 2012. Un chiffre en légère progression par rapport aux

Plus en détail

Document 1 : Les 500 premières firmes transnationales dans le monde en 2010

Document 1 : Les 500 premières firmes transnationales dans le monde en 2010 I. Londres, ville mondiale, centre d impulsion de la mondialisation En quoi les villes mondiales sont-elles des territoires symptomatiques de la mondialisation qu elles dominent et dirigent? A. Un centre

Plus en détail

NOTRE MISSION PROFIL DE NOTRE SOCIÉTÉ

NOTRE MISSION PROFIL DE NOTRE SOCIÉTÉ PRÉSENTATION NOTRE MISSION Générer de la valeur pour nos clients, collaborateurs, partenaires et actionnaires, en offrant des services professionnels de qualité Suisse alliés à l efficacité asiatique.

Plus en détail

ENQUÊTE SUR LE COMMERCE D'ESPÈCES SAUVAGES SUR L'INTERNET

ENQUÊTE SUR LE COMMERCE D'ESPÈCES SAUVAGES SUR L'INTERNET 1 ENQUÊTE SUR LE COMMERCE D'ESPÈCES SAUVAGES SUR L'INTERNET Introduction L Internet a révolutionné notre façon d échanger des idées, des informations et des marchandises. Tout naturellement, cette technique

Plus en détail

Les clés de l amélioration des systèmes scolaires

Les clés de l amélioration des systèmes scolaires Education Les clés de l amélioration des systèmes scolaires Comment passer de "bon" à "très bon"? "Les clés de l amélioration des systèmes scolaires" est le titre du nouveau rapport publié par McKinsey

Plus en détail

De la Guerre Froide à un nouvel ordre mondial?(1975-2009)

De la Guerre Froide à un nouvel ordre mondial?(1975-2009) (1975-2009) Ruptures et continuités dans les relations internationales des années 80 à nos jours? L ouverture du mur de Berlin : le 9/11/1989 Sommet d Oslo : un espoir de paix en 1993 I/ Une remise en

Plus en détail

Mission de prospection multisectorielle JAPON

Mission de prospection multisectorielle JAPON en partenariat avec organise une : Mission de prospection multisectorielle Du lundi 27 au vendredi 31 octobre 2014 A Tokyo et Kobe JAPON [Tapez un texte] 3 ème PIB mondial en 2014 Zoom sur le Japon Superficie

Plus en détail

COMPRENDRE CE QU EST L OTAN

COMPRENDRE CE QU EST L OTAN COMPRENDRE CE QU EST L OTAN LES ORIGINES DE L ALLIANCE Au lendemain de la seconde guerre mondiale, l Europe de l Est et l Europe de l Ouest se sont trouvées séparées par les divisions idéologiques et politiques

Plus en détail

REGARDS SUR L ÉDUCATION RAPPORT INTERMÉDIAIRE MISE À JOUR DES INDICATEURS RELATIFS A L EMPLOI ET AU NIVEAU DE FORMATION

REGARDS SUR L ÉDUCATION RAPPORT INTERMÉDIAIRE MISE À JOUR DES INDICATEURS RELATIFS A L EMPLOI ET AU NIVEAU DE FORMATION REGARDS SUR L ÉDUCATION RAPPORT INTERMÉDIAIRE MISE À JOUR DES INDICATEURS RELATIFS A L EMPLOI ET AU NIVEAU DE FORMATION Regards sur l éducation Rapport intermédiaire Mise à jour des indicateurs relatifs

Plus en détail

PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE

PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE Par Madame F. Bintou DJIBO, COORDONNATRICE DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES AU SENEGAL Plan

Plus en détail

QUEL RÔLE POUR LE FMI DANS LE NOUVEL ORDRE ÉCONOMIQUE MONDIAL?

QUEL RÔLE POUR LE FMI DANS LE NOUVEL ORDRE ÉCONOMIQUE MONDIAL? QUEL RÔLE POUR LE FMI DANS LE NOUVEL ORDRE ÉCONOMIQUE MONDIAL? Clément ANNE, clem.anne@hotmail.fr Doctorant, Ecole d Economie de Clermont-Ferrand, CERDI 18/03/2015, Assises Régionales de l économie EN

Plus en détail

DIRECTIVES CONCERNANT LES GROUPES DE COMPÉTITEURS ET LES RAPPORTS DE TENDANCE

DIRECTIVES CONCERNANT LES GROUPES DE COMPÉTITEURS ET LES RAPPORTS DE TENDANCE STR DIRECTIVES CONCERNANT LES GROUPES DE COMPÉTITEURS ET LES RAPPORTS DE TENDANCE Directives pour l Amérique du Nord et les Caraïbes Nombre minimum de propriétés Les groupes de compétiteurs doivent inclure

Plus en détail

L ENERGIE NUCLEAIRE A T ELLE UN AVENIR? Une réponse dans l espace?

L ENERGIE NUCLEAIRE A T ELLE UN AVENIR? Une réponse dans l espace? L ENERGIE NUCLEAIRE A T ELLE UN AVENIR? Une réponse dans l espace? Sur la Lune, le carburant du futur 3He et la fusion nucléaire La fusion est partout dans l Univers : cent milliards d étoiles dans notre

Plus en détail

Que reste-t-il de la French Connection? Thierry Colombié Docteur es sciences économiques (Ehess)

Que reste-t-il de la French Connection? Thierry Colombié Docteur es sciences économiques (Ehess) Que reste-t-il de la French Connection? Thierry Colombié Docteur es sciences économiques (Ehess) Les bases de la French Connection Un trafic d héroïne planétaire (Liban, Pakistan, France, USA) de 1935

Plus en détail

NOTRE MISSION PROFIL DE NOTRE SOCIÉTÉ

NOTRE MISSION PROFIL DE NOTRE SOCIÉTÉ PRÉSENTATION 1 2 NOTRE MISSION Générer de la valeur pour nos clients, collaborateurs, partenaires et actionnaires, en offrant des services professionnels de qualité Suisse alliés à l efficacité asiatique.

Plus en détail

Pourquoi et comment le monde se divise-t-il après 1945? I/DEUX BLOCS FACE A FACE ( p90/91)

Pourquoi et comment le monde se divise-t-il après 1945? I/DEUX BLOCS FACE A FACE ( p90/91) LA GUERRE FROIDE p82 à 89 Fiche d objectifs/plan détaillé Pourquoi et comment le monde se divise-t-il après 1945? I/DEUX BLOCS FACE A FACE ( p90/91) Comment à partir de 1947, Etats-Unis et l URSS s affrontent-ils

Plus en détail

Décryptage des pouvoirs économiques et politiques du continent africain à travers 5 titres de référence

Décryptage des pouvoirs économiques et politiques du continent africain à travers 5 titres de référence BROCHURE TARIFAIRE 2015 AFRICA Africa Intelligence Décryptage des pouvoirs économiques et politiques du continent africain à travers 5 titres de référence L abonnement à Africa Intelligence comprend l

Plus en détail

JOURNAL OFFICIEL. de la République Démocratique du Congo CABINET DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE. Journal Officiel - Numéro Spécial - 09 mai 2009

JOURNAL OFFICIEL. de la République Démocratique du Congo CABINET DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE. Journal Officiel - Numéro Spécial - 09 mai 2009 JOURNAL OFFICIEL de la République Démocratique du Congo CABINET DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE - LOI N 09/002 DU 07 MAI 2009 PORTANT DELIMITATION DES ESPACES MARITIMES DE LA REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO

Plus en détail

Les facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012. 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux

Les facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012. 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux Les facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux 1 Les facteurs de compétitivit titivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle

Plus en détail

Le Moyen-Orient et le pétrole. pp32-39

Le Moyen-Orient et le pétrole. pp32-39 Le Moyen-Orient et le pétrole. pp32-39 Sujet 2 : Introduction : Définir l espace géographique qui constitue le M-O est une difficulté car cette notion ne recoupe pas les mêmes espaces lorsque l on utilise

Plus en détail