Université PANTHEON ASSAS (PARIS II) Droit Economie Sciences sociales
|
|
- Pascal Lafontaine
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Assas Université PANTHEON ASSAS (PARIS II) Droit Economie Sciences sociales Session : Septembre 2014 Année d étude : Deuxième année de Licence économie-gestion mention sciences économiques Discipline : Comptabilité nationale (Unité d Enseignements Complémentaires 1) Titulaire du cours : Mme Geneviève Grangeas REMARQUES A lire avant de commencer L exercice fourni consiste à lire les propositions suivantes, à retenir celles qui sont justes et à cocher la case correspondant à leur numéro dans la grille de réponses (cf. exemple, case 0). Seule la feuille comportant la grille de réponses sera examinée par le correcteur et utilisée pour le calcul de la note. De plus, les réponses difficilement compréhensibles du fait de ratures ne seront pas prises en compte. L étudiant remarquera que l énoncé des questions n obéit à aucun ordre particulier. Il lui est conseillé de répondre le plus rapidement possible à celles qui lui paraissent simples. On notera que les propositions faites dans le cadre d une question donnée peuvent comporter plusieurs réponses justes. On signale par ailleurs que le barème peut comporter des points négatifs. Organisation du sujet *Pour exemple : ceci est une question, posée sous la forme d un début de phrase précédé de «*» 0. et ceci est une réponse (numérotée), dont on doit déterminer si elle est juste ou fausse (cf. grille de réponses : la croix indique qu elle est supposée juste) QUESTIONS *La comptabilité nationale peut se définir comme 1. le livre de comptes de la 3. l'ensemble des outils nation permettant d'évaluer la qualité 2. l'ensemble agrégé des livres de la vie dans un pays de comptes de la ménagère 4. un outil utile pour l'analyse microéconomique 5. un outil utile pour l'analyse macroéconomique *On doit la publication du Tableau économique de 1758 à 6. William Petty 7. Gregory King 8. Charles Davenant 9. Sébastien Le Prestre de Vauban 10. Pierre Le Pesant de Boisguillebert 11. François Quesnay 12. John Maynard Keynes 13. Richard Stone 14. James Meade 15. Jan Tinbergen 16. François Perroux *On doit le premier tableau de dépense et revenu par pays comparatif au niveau international 17. William Petty 18. Gregory King 19. Charles Davenant 20. Sébastien Le Prestre de Vauban 21. Pierre Le Pesant de Boisguillebert 22. François Quesnay 23. John Maynard Keynes 24. Richard Stone 25. James Meade 26. Jan Tinbergen 27. François Perroux *Dans une nomenclature de CN, tous les agents économiques ayant une autonomie de décision doivent pouvoir être classés, de même que toutes les activités économiques, c'est à dire ayant un caractère pécuniaire, c'est le principe dit 28. d'exclusion 29. de couverture générale 30. de codage 31. de révision périodique 32. d'invariance 1 / 6
2 *Dans une nomenclature, il faut qu'un agent ou une opération puisse être rattaché à un élément de la nomenclature sans ambiguïté, c'est le principe dit 33. d'exclusion 34. de couverture générale 35. de codage 36. de révision périodique 37. d'invariance *Le système de comptabilité nationale distingue trois types d opérations sur les flux, qualifiées de 38. réelles, fictives et monétaires 39. réelles, en valeur et en volume 40. sur biens et services, de répartition, et financières 41. à prix constants, à prix chainés et à prix courants 42. monétaires, en flux et en stocks 43. en flux, en stocks et en encours *Offrir un service de santé, pour une infirmière ayant installé un cabinet, c est produire au sens 44. de Quesnay 45. de Smith 46. d une conception de la production qui serait fondée sur l analyse néo-classique 47. du système de comptabilité du produit matériel (CPM) 48. du système de comptabilité nationale mis en place en France après la seconde guerre mondiale 49. du système en vigueur depuis 1976 seulement 50. du système actuellement en vigueur *Offrir un service de santé, pour une infirmière travaillant à l hôpital, c est produire au sens 51. de Quesnay 52. de Smith 53. d une conception de la production qui serait fondée sur l analyse néo-classique 54. du système de comptabilité du produit matériel (CPM) 55. du système de comptabilité nationale mis en place en France après la seconde guerre mondiale 56. du système en vigueur depuis 1976 seulement 57. du système actuellement en vigueur *L opération exportations est enregistrée dans le ou les (sous-)secteurs 58. S11, sociétés non financières 63. S14, pour ce qui concerne les ménages non 59. S12, sociétés financières EI 60. S13, administrations publiques 64. S15, ISBLSM 61. S14, ménages 65. S2, reste du monde 62. S14, pour ce qui concerne les EI *Un produit est considéré comme marchand dès lors que 66. son prix de vente couvre son coût de 72. l unité de production ne perçoit aucune production subvention régulière 67. son prix de vente couvre au moins la moitié 73. la vente du produit couvre l ensemble des de son coût de production coûts de production de celui-ci 68. son prix de vente couvre moins de la moitié 74. la vente du produit permet de dégager un de son coût de production profit 69. la recette de l unité de production provient 75. la vente du produit permet de dégager un entièrement de la vente du produit profit au moins égal à la moitié du coût de 70. la recette de l unité de production provient, production pour l essentiel, de la vente du produit 71. l unité de production ne perçoit aucune subvention *Le principe du compte-écran n est pas utilisé pour la construction 76. des comptes des secteurs institutionnels 81. des comptes de patrimoine 77. du tableau économique d ensemble 82. de la totalité des tableaux du système de 78. du tableau entrées-sorties comptabilité nationale 79. du tableau des opérations financières 80. des comptes d opérations 2 / 6
3 *Sont enregistrées des opérations sur biens et services dans le(s) compte(s) 83. de production 84. d exploitation 85. d affectation du revenu primaire 86. de distribution secondaire du revenu 87. d utilisation du 88. d utilisation du ajusté 89. de capital 90. financier *La consommation intermédiaire est une opération enregistrée dans le compte 91. de production 92. d exploitation 93. d affectation du revenu primaire 94. de distribution secondaire du revenu 95. d utilisation du 96. d utilisation du ajusté 97. de capital 98. financier *Le apparaît en solde du compte 99. de production 102. de distribution 100. d exploitation secondaire du revenu 101. d affectation du 103. d utilisation du revenu primaire 104. d utilisation du ajusté 105. de capital 106. financier *Le calcul du PIB incorpore le travail domestique 107. intégralement depuis intégralement, de même 108. partiellement que le travail bénévole 109. pas du tout 111. intégralement, de même que le travail au noir 112. partiellement, lorsqu il est rémunéré *Supposons une statistique qui indique un PIB à prix courants égal au PIB à prix constants pour une année donnée ; cela veut dire que 113. les données sont fausses 114. le PIB en valeur est égal au PIB en volume par coïncidence 115. il n y a pas eu de hausse de prix 116. l année en question est utilisée comme base 117. la croissance des quantités physiques a été identique à celle des prix 118. l année a été une année de déflation *Les données statistiques dont on dispose cette année pour 2010 sont qualifiées de 119. définitives 120. semi-définitives 121. provisoires 122. surdéterminées 123. conjoncturelles *On appelle consommation de capital fixe 124. l'achat par les ménages de machines au titre de la consommation de biens durables 125. la dépréciation subie par le capital variable au cours de la période considérée par suite d'usure normale et d'obsolescence 126. la dépréciation subie par le capital fixe au cours de la période considérée par suite d'usure normale et d'obsolescence 127. la dépréciation subie par le capital fixe, qu'on évoque aussi parfois sous le terme d'amortissement dans les modèles macroéconomiques 128. la dépréciation subie par le capital fixe, dont l'existence rend nécessaire un investissement non nul si on souhaite maintenir la capacité productive 129. l'élément permettant de faire passer les agrégats du "brut" au "net" 130. l'élément permettant de faire passer passer les agrégats d' "intérieur" à "national" 131. l'élément permettant de faire passer passer les agrégats de "global" à "par tête" *En 2010, d'après le TES joint, pour obtenir un euro de produit agricole, il est nécessaire de dépenser, en centimes d'euros, tous produits confondus / 6
4 *En 2010, d'après le TES joint, pour obtenir un euro de produit agricole, il est nécessaire d'acheter un montant du même produit valant, en centimes d'euros *En 2010, d'après le TES joint, pour obtenir un euro de produit industriel, il est nécessaire d'acheter un montant du même produit valant, en centimes d'euros *En 2010, d'après le TES joint, pour obtenir un euro de produit de type 'services', il est nécessaire d'acheter un montant du même produit valant, en centimes d'euros *En 2010, d'après le TES joint, pour obtenir un euro de produit industriel, il est nécessaire d'acheter un montant du même produit de type 'services' valant, en centimes d'euros *En 2010, d'après le TES joint, le taux de marge de la branche agriculture est de % % % % % % % % % % *En 2010, d'après le TES joint, le taux de marge de la branche industrie est de % % % % % % % % % % *En 2010, d'après le TES joint, le taux de marge de la branche services est de % % % % % % % % % % % % % % % % *Le taux de marge le plus élevé constaté dans ce tableau s'explique par 228. la plus forte productivité de la branche 230. le nombre d'entreprises dans les branches concernée respectives 229. la forme des entreprises de la branche 231. le degré d'agrégation du tableau concernée *D'après le TES joint, on peut calculer que le PIB était en 2010 de (en milliards d'euros) : - : - : - : - 4 / 6
5 ANNEXE TABLEAU DES RESSOURCES EN PRODUITS TABLEAU DES ENTREES INTERMEDIAIRES TABLEAU DES EMPLOIS FINALS Année 2010 Source : Comptes nationaux - Base 2005, Insee Unité : Milliards d'euros Production des produits Importations Correction CAF/FAB Marges commerce et transport Impôts sur produits nets des subv. TOTAL DES RESSOURCES BRANCHES PRODUITS PRODUITS PRODUITS A A Agriculture A DCF DCF Industrie DCF GHIJKLMOR GHIJKLMOR Services GHIJKLMOR Pcorr Pcorr. Corrections Pcorr TOTAL TOTAL TOTAL Agriculture Industrie Services TOTAL Dépense CF FBC totale Exportations Total des emplois finals P2 Conso. intermédiaire B1 Valeur ajoutée P1 PROD. DES BRANCHES P1 PROD. DES BRANCHES TR12 Total des transferts TR13 PRODUCTION DES PRODUITS COMPTE D'EXPLOITATION PAR BRANCHE B1 VAB D1 Rémunération des salariés B2 ou B3 EBE ou RMB Agriculture Agriculture Industrie Industrie Services Services TOTAL TOTAL 5 / 6
6 Assas Session : Septembre 2014 Année d étude : Université PANTHEON ASSAS (PARIS II) Droit Economie Sciences sociales Deuxième année de Licence économie-gestion mention sciences économiques Discipline : Comptabilité nationale (Unité d Enseignements Complémentaires 1) Titulaire du cours : Mme Geneviève Grangeas Pour mémoire, numéro de code-barres de l étudiant : Grille de réponses unités dizaines 0 0 (exemple) / 6
ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE
ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE Cours de M. Di Roberto Université Victor Segalen Bordeaux 2 Bibliographie Ce cours s inspire largement des ouvrages essentiels suivants. Merci à leurs auteurs. BOSSERELLE
Plus en détailObservation et Conjoncture Économique. Économie Nationale approche par les revenus
Observation et Conjoncture Économique Économie Nationale approche par les revenus qu est ce que le Revenu? La rémunération des facteurs de production? Le capital Le travail La consommation intermédiaire
Plus en détailINTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur
Université Montesquieu Bordeaux IV 1 ère année Licence AES Année universitaire 2012-2013 INTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur Questions préliminaires
Plus en détailChapitre 3. La répartition
Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations
Plus en détail3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques
3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques Le calcul du PIB (1) PIB : Résultat final de l activité de production des unités productrices résidentes 3 façons de le mesurer : Par la production Par
Plus en détailCHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU
CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU 1. Le compte de production... 129 2. Le compte d exploitation... 129 3. Le compte de revenu d entreprise... 130 4. Les indicateurs de revenu
Plus en détailDEVOIR N 1 économie générale
PROGRAMME : DEVOIR N 1 économie générale L économie et son domaine Le circuit économique comme méthode d'analyse La production marchande et non marchande Le travail Le capital et le progrès technique Le
Plus en détailENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010
Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques
Plus en détailLes comptes nationaux et le SEC 2010
Les comptes nationaux et le SEC 2010 7 ème séminaire de la Banque nationale de Belgique pour enseignants en économie du secondaire Bruxelles, le 22 octobre 2014 Catherine RIGO Plan de l exposé Introduction
Plus en détailLes opérations et autres flux
Les opérations et autres flux Les nomenclatures présentées ici sont celles du Système européen des comptes 2010 (SEC 2010). Nomenclature des opérations Opérations sur produits (biens et services) (P) P.1
Plus en détailLa séquence des comptes
La séquence des comptes Comptes des institutions sans but lucratif au service des ménages I: Compte de production P.2 Consommation intermédiaire B.1b Valeur ajoutée brute P.51c Consommation de capital
Plus en détailNote méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1.
Version intégrale Note méthodologique 1. Les tableaux des ressources et des emplois dans les comptes nationaux L élaboration des comptes nationaux de la Belgique s effectue conformément à la méthodologie
Plus en détailDépenses nationales totales 3.0 3.4 2.3
Chiffres clés pour l'économie belge Pourcentages de variation en volume - sauf indications contraires Dépenses de consommation finale des particuliers 2.0 2.6 1.4 Dépenses de consommation finale des pouvoirs
Plus en détailProjet de mise en place de l Enquête Emploi du temps en Algérie
Projet de mise en place de l Enquête Emploi du temps en Algérie Mechti samia, Mokri samia, Roggaz Nacera Direction de la Population et de l Emploi, ONS Objectif L enquête Nationale sur l Emploi du temps
Plus en détailLA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS
LA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS Fabrice LENGLART INSEE Comptes nationaux Bruno LONGET - Banque de France - SESOF CNIS 22 juin 2009 Plan I Place des activités
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détailENSIIE. Macroéconomie - Chapitre I
ENSIIE Macroéconomie - Chapitre I Le 13 avril 2013 Table des matières 1 Introduction 2 2 La théorie Keynésienne 3 2.1 Keynes......................................... 3 2.2 Quelques ordres de grandeur.............................
Plus en détailÉCONOMIE GÉNÉRALE FIIFO1
ÉCONOMIE GÉNÉRALE FIIFO1 2000-2001 MÉRÉ Aurélien AMC Economie - Page 1 INTRODUCTION GENERALE 3 NATURE DE L ACTIVITE ECONOMIQUE 3 L OBJET DE LA SCIENCE ECONOMIQUE 4 LES GRANDS COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE
Plus en détailAinsi, les utilisateurs auront à leur disposition une série cohérente et complète portant sur la période 1974 à 2013.
N 688 Les Tableaux Economiques d Ensemble 2002 à 2013 Introduction Nous mettons à la disposition des divers utilisateurs une nouvelle série de Tableaux Economiques d Ensemble (TEE) pour les années 2002
Plus en détailL équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance
IV) l équilibre ressources - emplois et son interprétation Cet article fait suite à ceux du 19 janvier et du 18 février 2013. Il en est le complément logique sur les fondamentaux macro- économiques d un
Plus en détailRAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT
RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT PIB + M = CF+ FBCF + S + X Demande intérieure Valeur 2006 en milliard s d'euros ) Évolutions en volume au prix de l'année précédente Évolutions en volume au prix de l'année précédente
Plus en détailAPPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES
4 mars 1996 FRANCAIS Original : RUSSE COMMISSION DE STATISTIQUE et COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'EUROPE CONFERENCE DES STATISTICIENS EUROPEENS OFFICE STATISTIQUE DES COMMUNAUTES EUROPEENNES (EUROSTAT) ORGANISATION
Plus en détailEPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE
CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailDépartement des affaires économiques et sociales. études méthodologiques Série F, n 85 Manuel de comptabilité nationale
ST/ESA/STAT/SER.F/85 Département des affaires économiques et sociales Division de statistique études méthodologiques Série F, n 85 Manuel de comptabilité nationale Comptabilité nationale : introduction
Plus en détailChiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008
Chiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008 O:\Ifw-daten\IFW-FF\14 FinMaerkte_FinPlatzPolitik\143.2 FM CH Statistik\Publ Kennzahlen\Kennzahlen_Dezember08\Internet\Kennzahlen_CD-
Plus en détailCode du Travail, Art. L6222-23 à L6222-33
F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est
Plus en détailPartie 5 : La consommation et l investissement
Partie 5 : La consommation et l investissement Enseignant A. Direr Licence 2, 1er semestre 2008-9 Université Pierre Mendès France Cours de macroéconomie suite La troisième partie a exposé les théories
Plus en détailLes mécanismes de transmission de la politique monétaire
Chapitre 5 Les mécanismes de transmission de la politique monétaire Introduction (1/3) Dans le chapitre 4, on a étudié les aspects tactiques de la politique monétaire Comment la BC utilise les instruments
Plus en détailChapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)
Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,
Plus en détailECONOMIE GENERALE. La représentation de l économie : la comptabilité nationale
IUFM AUVERGNE ECONOMIE - GESTION Cours de Mr DIEMER ECONOMIE GENERALE Mots clés : PARTIE I CHAPITRE 3 La représentation de l économie : la comptabilité nationale Administration publique Circuit économique
Plus en détailLa rémunération de l apprenti :
F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est
Plus en détailPérennisation de l entreprise. Participation au contrôle de gestion
btsag.com 1/15 26/09/2011 Pérennisation de l entreprise Auteur : C. Terrier; mailto:webmaster@btsag.com ; http://www.btsag.com Utilisation: Reproduction libre pour des formateurs dans un cadre pédagogique
Plus en détailLES COOPÉRATIVES ET MUTUELLES DANS LES COMPTES NATIONAUX
LES COOPÉRATIVES ET MUTUELLES DANS LES COMPTES NATIONAUX XXe COLLOQUE DE L ADDES PARIS LE 7 MARS 2006 PAR JOSÉ LOUIS MONZON PRESIDENT DU CIRIEC-ESPAGNE PROFESSEUR D ÉCONOMIE À L UNIVERSITÉ DE VALENCE (ESPAGNE)
Plus en détailLES SCPI CHEZ SPIRICA Description et méthodes de valorisation MARS 2013
1 LES SCPI CHEZ SPIRICA Description et méthodes de valorisation MARS 2013 2 Sommaire Contexte et objectifs 3 Les Principales Caractéristiques des SCPI 4 Les SCPI dans un contrat Spirica 13 Exemple de calculs
Plus en détailTD n 1 : la Balance des Paiements
TD n 1 : la Balance des Paiements 1 - Principes d enregistrement L objet de la Balance des Paiements est de comptabiliser les différentes transactions entre résidents et non-résidents au cours d une année.
Plus en détailEpargne et investissement
Epargne et investissement Nature du sujet : Sujet de type «mise en relation». Mots-clés / Définitions : Tous! «Epargne» : Part du revenu qui n est pas consommée Epargne des ménages : - Concept le plus
Plus en détailmais on suppose maintenant que ses préférences sont représentées par la fonction
Ecole Nationale de la Statistique et de l Administration Economique 2ème année, 1er semestre, 2007/2008 Examen de Macroéconomie Stéphane Gauthier 2 heures, sans document ni calculatrice 1. Questions de
Plus en détailThème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale
Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale 1. Le secteur informel en Afrique : définition et caractéristiques générales Le secteur informel est défini comme l'ensemble des unités
Plus en détailFINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC
FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC Rabat, 19 octobre 21 M. Ahmed HAJOUB Adjoint au Directeur du Trésor et des Finances Extérieures chargé du pôle macroéconomie I- Consolidation budgétaire: expérience
Plus en détailInstitut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de
Plus en détailINSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE. Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec
INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec Édition 2013 Pour tout renseignement concernant l ISQ et les données statistiques dont il dispose, s
Plus en détailREVENUS DE CAPITAUX MOBILIERS
N 51275 # 04 N 2777-D-Not @internet-dgfip DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES REVENUS DE CAPITAUX MOBILIERS PRÉLÈVEMENT FORFAITAIRE LIBÉRATOIRE ET PRÉLÈVEMENTS SOCIAUX DUS À LA SOURCE SUR LES REVENUS
Plus en détailDOSSIER DE GESTION. Sommaire
102 Allée de Barcelone 31000 TOULOUSE Forme juridique : ENTREPRISE INDIVIDUELLE Régime fiscal : R. Simplifié Date exercice : 01/07/2012 au 30/06/2013-12 DOSSIER DE GESTION Sommaire Présentation de l'exploitation
Plus en détailDossier de demande de subvention
Nous sommes là pour vous aider Association Loi du 1 er juillet 1901 relative au contrat d association N 12156*02 Dossier de demande de subvention Veuillez cocher la case correspondant à votre situation
Plus en détailTable des matières. Principaux indicateurs macro-économiques. 1
Tableau de bord des indicateurs macro-économiques mai 2015 Table des matières Présentation générale Principaux indicateurs macro-économiques. 1 Comptes et agrégats de la nation.... 2 Valeur ajoutée réelle
Plus en détailIntroduction aux théories et aux concepts de l économie
Chapitre 1 : Introduction aux théories et aux concepts de l économie Professeur Georges WEIL UE7 - Santé Société Humanité Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailPARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE
PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE Par Madame F. Bintou DJIBO, COORDONNATRICE DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES AU SENEGAL Plan
Plus en détailBIC Bénéfices Industriels et Commerciaux. BA Bénéfices Agricoles X X X
Quel que soit son régime d imposition, chaque exploitant a le choix entre 2 assiettes pour le calcul de ses cotisations sociales : soit la moyenne triennale des revenus professionnels des années N-3 /
Plus en détail12ème. *Source : Centre d Analyse Stratégique «Les secteurs de la nouvelle croissance : une projection à l horizon 2030», Rapport n 48, janvier 2012
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2013-T1 2013-T2 2013-T3 2013-T4 2014-T1 2014-T2 2014-T3 2014-T4 Fiche Synthèse Sectorielle juillet 2015 Activités juridiques, comptables,
Plus en détailContrôle. Consultation CDEC
Chapitre 1 : Monnaie et financement de l économie marocaine Financement de l activité économique Financement Direct Financement Indirect Marché financier Marché monétaire Marché hypothécaire Banques Stés.
Plus en détailPerspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010
Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne FMI Département Afrique Mai 21 Introduction Avant la crise financière mondiale Vint la grande récession La riposte politique pendant le ralentissement
Plus en détailRAPPORT ANNUEL FMFF 2011
RAPPORT ANNUEL FMFF 2011 Fonds de la mairie de Fort-de-France Caisse des Dépôts - Direction des retraites et de la solidarité rue du vergne - 33059 Bordeaux cedex 05 56 11 41 23 www.cdc.retraites.fr RETRAITES
Plus en détailPerspectives de l industrie suisse Pierres et Terres
Perspectives de l industrie suisse Pierres et Terres Session d hiver 2008 de l ASGB Association suisse de l industrie des Graviers et du Béton Jongny, le 20 février 2008 Christoph Koellreuter, Fondateur
Plus en détailQu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs?
Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? En ces temps de crise économique et de crise des dettes souveraines (ou publiques), tous les hommes politiques de gauche comme de droite
Plus en détailDeuxi&me Forum Halieumétrique, Nantes, 1995 Session III : Modélisation et représentation des connaissances
Deuxi&me Forum Halieumétrique, Nantes, 1995 Session III : Modélisation et représentation des connaissances UNE ILLUSTRATION DU PROBLEME DE TRADUCTION DES GAINS DE PRODUCTIVITE EN GAINS DE RENTABILITE DANS
Plus en détailANALYSE FINANCIÈRE ET COMPTABILITÉ DE GESTION DUT - GEA
ANALYSE FINANCIÈRE ET COMPTABILITÉ DE GESTION DUT - GEA Sommaire Partie 1 : Analyse des documents de synthèse Cours 1 - Soldes Intermédiaires de Gestion... 3 Cas 1-1 : Marie (SIG sans retraitement)...
Plus en détailEpargner en période de crise : le dilemme
Epargner en période de crise : le dilemme L épargne tient souvent l actualité en ce début d été 2013. Plusieurs chiffres laissent interrogateurs en cette période de très faible croissance (rappel : - 0.2%
Plus en détailENTREPRISE DE NETTOYAGE
ENTREPRISE DE NETTOYAGE SOMMAIRE LE MARCHÉ DE L'ENTREPRISE DE NETTOYAGE... 2 LA RÉGLEMENTATION DE L'ENTREPRISE DE NETTOYAGE... 5 L'ACTIVITÉ DE L'ENTREPRISE DE NETTOYAGE... 7 LES POINTS DE VIGILANCE DE
Plus en détailANALYSE D'INVESTISSEMENT IMMOBILIER
ANALYSE D'INVESTISSEMENT IMMOBILIER 9 NOVEMBRE 2009 PRÉPARÉ PAR : 9, rue Chayer, Mascouche Québec, J7L 3H9 s.gariepy@devimo.ca 514-282-6669 DEVIMO inc. 16plex Montréal, Québec Sommaire 16plex, Montréal
Plus en détailCartographie & libellés cantonaux
Lexique Cartographie & libellés cantonaux Capobianco Sagro-di-Santa-Giulia Corte Venaco Calvi Calenzana Niolu-Omessa Deux-Sevi Deux-Sorru Bastelica Ajaccio Île-Rousse Cruzini-Cinarca Celavo-Mezzana Santa-Maria-Siché
Plus en détail- 01 - GESTION DES INVESTISSEMENTS RENTABILITE ECONOMIQUE
- 01 - GESTION DES INVESTISSEMENTS RENTABILITE ECONOMIQUE Objectif(s) : o Choix des investissements et rentabilité économique : Capacité d'autofinancement prévisionnelle ; Flux nets de trésorerie ; Evaluations.
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailRoyaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers
Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation
Plus en détailhttp://www.apce.com/pid1627/comparaison-rapide.html?espace=1
Page 1 of 9 Comparaison rapide EIRL : entrepreneur individuel à responsabilité limitée : entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée ( unipersonnelle) : société à responsabilité limitée SA : société
Plus en détailFORTUNEO FCPI FIP ISF 2011 BP 45 29801 BREST CEDEX 09
MODE D EMPLOI SOUSCRIPTION FCPI-FIP 2011 1 QUESTIONNAIRE PRODUITS DEFISCALISANTS Ce questionnaire, établi dans le cadre des dispositions de l article L. 541-8-1 du Code monétaire et financier, nous permet
Plus en détailCommune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier. Conseil Municipal du 22 juillet 2014
Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier Conseil Municipal du 22 juillet 2014 Eléments de cadrage de la situation financière de la Commune de Bourcefranc-le- Chapus Les soldes intermédiaires
Plus en détailPOUR LES COMITES DEPARTEMENTAUX ET LES ASSOCIATIONS SPORTIVES DE LA CREUSE
C E N T R E N A T I O N A L P O U R L E D E V E L O P P E M E N T D U S P O R T ------------- C. N. D. S. -------------- DOSSIIER COMMUN DE DEMANDE DE SUBVENTIION au titre du Centtre Nattiionall pourr
Plus en détailANALAYSE FINANCIERE 1] BILAN FONCTIONNEL
ANALAYSE FINANCIERE 1] BILAN FONCTIONNEL Il donne une vision plus économique, il présente la manière dont les emplois sont financés par les ressources. Il permet de mieux comprendre le fonctionnement de
Plus en détailDébat participatif. La vie chère. «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse»
Débat participatif La vie chère «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse» Ségolène ROYAL Les enjeux de notre débat : Réconcilier les Français
Plus en détailL AMORTISSEMENT III NOUVEAUTE AVEC L INSTRUCTION CODIFICATRICE M9.6
L AMORTISSEMENT I DEFINITION L amortissement est la constatation comptable de l amoindrissement de la valeur d un élément d actif sur sa durée probable de vie. Les immobilisations demeurent les éléments
Plus en détailKU Leuven. Étude sur l importance du crédit à la consommation et du crédit hypothécaire dans l économie belge
Étude sur l importance du crédit à la consommation et du crédit hypothécaire dans l économie belge Prof. Dr Nancy Huyghebaert Professeur Corporate Finance Département «Accountancy, Finance & Insurance
Plus en détail1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs?
Ménages et consommation 1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? question 1: comment le revenu des ménages est-il réparti? question 2: quelle est l influence
Plus en détailSITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE
SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation
Plus en détailInventaires des méthodes d estimation du PIB suisse
Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la statistique OFS Economie 04 Comptes nationaux Mars 2013 Inventaires des méthodes d estimation du PIB suisse Renseignements: Fabrice Jacolet,
Plus en détailGuide pour l élaboration des rapports sur le projet (rapport descriptif et rapport financier)
Guide pour l élaboration des rapports sur le projet (rapport descriptif et rapport financier) Ce sont les projets qui doivent être les premiers bénéficiaires de l élaboration des rapports. Ils permettent
Plus en détailLa comptabilité de gestion : Fiche pourquoi?
La comptabilité de gestion : Fiche pourquoi? 1 Définition Selon le plan comptable général, la comptabilité de gestion fait apparaître deux aspects : Connaître les coûts et les résultats par produit. Agir
Plus en détailL assurance française : le bilan de l année 2012
L assurance française : le bilan de l année 2012 1 L assurance française : le bilan de l année 2012 1 2 L environnement économique et financier : accalmie et incertitude Le bilan d activité : résistance
Plus en détailAnnexe A de la norme 110
Annexe A de la norme 110 RAPPORTS D ÉVALUATION PRÉPARÉS AUX FINS DES TEXTES LÉGAUX OU RÉGLEMENTAIRES OU DES INSTRUCTIONS GÉNÉRALES CONCERNANT LES VALEURS MOBILIÈRES Introduction 1. L'annexe A a pour objet
Plus en détailConseil économique et social
Nations Unies E/ESCAP/CST(2)/4 Conseil économique et social Distr. : Générale 7 octobre 2010 Français Original : Anglais Commission économique et sociale pour l Asie et le Pacifique Comité de statistique
Plus en détail2.1.4. L'équilibre général des échanges
2.1.4. L'équilibre général des échanges La prise en compte des offres et des demandes de l'ensemble des pays participants au commerce mondial permet la détermination des prix mondiaux. L'existence d'un
Plus en détailNOTICE EXPLICATIVE QUI SOUSCRIT CETTE DÉCLARATION?
N 2777-D-NOT N 51275 # 07 DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES REVENUS DE CAPITAUX MOBILIERS PRÉLÈVEMENT FORFAITAIRE ET PRÉLÈVEMENTS SOCIAUX DUS À LA SOURCE SUR LES REVENUS DISTRIBUÉS ET LES INTÉRÊTS
Plus en détailChapitre II: VARIATIONS DU BILAN NOTION DE RESULTAT
Chapitre II: VARIATIONS DU BILAN NOTION DE RESULTAT I. MOUVEMENTS COMPTABLES Nous avons vu que le Bilan représente la photographie de la situation de l entreprise à une date donnée : chaque opération nouvelle
Plus en détailRépublique de Guinée. Ministère de l Economie et des Finances. Unité de Coordination et d Exécution des Projets
République de Guinée Ministère de l Economie et des Finances Unité de Coordination et d Exécution des Projets PROJET D APPUI AU RENFORCEMENT DES CAPACITES DE GESTION ECONOMIQUE ET FINANCIERE (PARCGEF)
Plus en détailFaculté de sciences économiques et de gestion Nabeul. 1ère année Sciences économiques et Gestion COURS DE MACROECONOMIE. Enseignant Dr Jalel BERREBEH
Faculté de sciences économiques et de gestion Nabeul 1ère année Sciences économiques et Gestion COURS DE MACROECONOMIE Enseignant Dr Jalel BERREBEH Année Universitaire 2010/2011 Thème I. Eléments de la
Plus en détail1. La fonction de règlement ne peut être assurée au niveau international que dans des conditions bien différentes. D une part, les agents concernés
Introduction La notion de système évoque l idée d organisation. Un système monétaire national est l organisation des relations monétaires dans un pays : comment les agents économiques peuvent-ils utiliser
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME
ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME SOMMAIRE I. IMPACT MACROÉCONOMIQUE DES VOIES DE RÉFORMES ENVISAGÉES.. 3 A. EVALUATION DES EFFETS MACROÉCONOMIQUES DE COURT TERME EN CAS DE BAISSE UNIFORME
Plus en détailRAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415
RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 CCE 2014-2415 Rapport technique 2014 22 décembre 2014 2 CCE 2014-2415 3 CCE 2014-2415 Le tableau 1 présente les principaux indicateurs du contexte macro-économique belge
Plus en détailLA COMPTABILITE ASSOCIATIVE
LA COMPTABILITE ASSOCIATIVE 1. Pourquoi une comptabilité? 2. Les principes comptables 3. Le plan comptable associatif 4. La tenue de la comptabilité CDOS90-Formations/Juin 2009 1 1 1. POURQUOI UNE COMPTABILITE?
Plus en détailRecueil de formules. Franck Nicolas
Recueil de formules Nous avons répertorié dans cette section, les différentes formules expliquées tout au long de cet ouvrage, afin de vous permettre de trouver rapidement l opération que vous souhaitez
Plus en détailSynthèse n 16, Février 2012. Financement de la croissance verte et orientation de la création monétaire
Synthèse n 16, Février 2012 Financement de la croissance verte et orientation de la création monétaire ----------- 1. Les investissements nécessaires à la transition vers un modèle de croissance durable
Plus en détailUn essai de mesure de la ponction actionnariale note hussonet n 63, 7 novembre 2013
Un essai de mesure de la ponction actionnariale note hussonet n 63, 7 novembre 2013 L objectif de cette note est de présenter une mesure de la ponction actionnariale. Son point de départ est un double
Plus en détailCommuniqué de presse S1 2014-2015
Communiqué de presse 27 novembre 2014 Huizingen, Belgique Communiqué de presse S1 2014-2015 (Résultats pour le premier semestre clôturé le 30 septembre 2014) Le chiffre d affaires semestriel a connu une
Plus en détailRecommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL. concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 13.5.2015 COM(2015) 265 final Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015 et portant avis du Conseil
Plus en détailDIAGNOSTIC SOCIO-ÉCONOMIQUE ET FINANCIER LE BILAN-SANTÉ DES COMMUNES
LE BILAN-SANTÉ DES COMMUNES EYSINES FÉVRIER 214 POPULATION Population 1999 (sans double compte) Population 26 (municipale) Population 211 (municipale) Classement en fonction de la population (211) Rangs
Plus en détailMonnaie, chômage et capitalisme
Franck Van de Velde Monnaie, chômage et capitalisme Presses Universitaires du Septentrion internet : www.septentrion.com Sommaire Introduction Générale 7 1. Monnaie 7 2. Monnaie et capitalisme 10 3. Monnaie,
Plus en détailPOURQUOI LES ETATS ET LES ENTREPRISES ONT NORMALEMENT UNE TRESORERIE NETTE NEGATIVE OU POURQUOI LES ETATS SONT NORMALEMENT EN «DEFICIT»
POURQUOI LES ETATS ET LES ENTREPRISES ONT NORMALEMENT UNE TRESORERIE NETTE NEGATIVE OU POURQUOI LES ETATS SONT NORMALEMENT EN «DEFICIT» Bernard Vallageas Faculté Jean Monnet Université Paris-Sud 54 boul.
Plus en détail