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1 L INDUSTRIE TEXTILE QUÉBÉCOISE EN BREF En 2013 Le secteur textile québécois a connu plus d une transformation au cours des dernières décennies. Le dernier diagnostic sectoriel provincial datant de 2010, ce sommaire vous permettra de mieux saisir la situation de l industrie textile en C est la firme FGC Conseil qui a été mandatée pour dresser le diagnostic du secteur. Cela s est fait avec la précieuse collaboration de près de 100 entreprises textiles et des partenaires, par le biais d un sondage et d entrevues téléphoniques. Ce document a été divisé en 4 grandes sections, soient : 1. Le portrait du secteur; 2. La main-d œuvre; 3. Le marché et l activité commerciale; 4. Les défis du secteur et les enjeux de la main-d œuvre en textile. Si vous souhaitez en connaître davantage, communiquez avec le CSMO Textile pour obtenir le diagnostic sectoriel complet de l industrie textile Des fiches des sous-secteurs sont aussi disponibles. Bonne lecture! 1. LE PORTRAIT DU SECTEUR Le secteur compte 432 entreprises au Québec en Selon la base de données du CSMO Textile, le nombre d entreprises est demeuré relativement stable depuis Les entreprises textiles embauchent personnes. Les entreprises et l emploi dans l industrie textile au Québec en 2013 Usine de textiles (SCIAN 313) Usine de produits textiles (SCIAN 314) Usine de tricotage de vêtements (SCIAN 3151) Les particularités des entreprises Un peu plus de neuf entreprises sur dix (93,6 %) existent depuis dix ans ou plus. Près de la moitié (44 %) des entreprises ont une masse salariale d un million de dollars et plus. Le quart (24,2 %) a une masse salariale inférieure à $. Quarante et un pour cent (41 %) des entreprises ont un chiffre d affaires supérieur à cinq millions de dollars dont 66,6 % provenant du sous-secteur des Usines de textiles (SCIAN 313). 12% 35 % Entreprises : % 9% 48% Emplois : %

2 Les entreprises de l industrie textile Taille des entreprises Proportion de main-d œuvre De 200 employés et plus 14,6 % De 100 à 199 employés De 50 à 99 employés De 20 à 49 employés 19,6 % 25,5 % 27,1 % Les entreprises de 20 employés et plus représentent 25 % du nombre total d entreprises et embauchent 87 % de la main-d œuvre. Plus de la moitié des entreprises (57 %) ont moins de dix employés et emploient 6 % de la main-d œuvre. De 10 à 19 employés De 5 à 9 employés 4 % 7,6 % Les entreprises de 50 employés et plus ne représentent que 13 % du nombre total d entreprises, mais emploient 67 % des personnes œuvrant dans l industrie québécoise du textile. Moins de 5 employés 1,7 % Distribution régionale des entreprises et de l emploi de l industrie textile 37,6 % 29 % Entreprises 22 % Emploi Les emplois textiles sont concentrés dans trois régions administratives : Montréal (29 %), la Montérégie (22%) et Chaudière-Appalaches (11,6%). Plus de la moitié (55,7 %) sont dans la grande région de Montréal (Montréal, Montérégie et Laval). 15,2 % 8,3 % 1,9 % 7,4 % 6,9 % 6,2 % 11,6 % 4,8 % 5,8 % 4 % 3,6 % 4 % 7,8 % 3,1 % 4,7 % 2,6 % 1,6 % 6,7 % 4,9 % Montréal Montérégie Capitale-Nationale Centre-du-Québec Chaudière-Appalaches Laurentides Lanaudière Estrie Laval Saguenay _ Lac-Saint-Jean Autres régions Les principaux secteurs d activité des clients de l industrie textile québécoise Les clients des entreprises de l industrie textile au Québec sont très diversifiés et leurs produits, pour plus de quarante-cinq pour cent des répondants, sont destinés à plus d un secteur d activité. Bien que le secteur Vêtements et chaussures occupe la première place, les activités de la construction et du bâtiment constituent une clientèle pour plus du tiers (35,4 %) des répondants. On estime qu en 2013, 78 entreprises textiles sont des fabricants de produits à base de grosse toile comme les bâches, les tentes et les auvents. 2 Vêtements et chaussures Construction et bâtiment Matériaux et produits industriels Ameublement er revêtement de sol Équipement pour le sport et les loisirs Équipements de protection Transport Hygiène et médical Protection de l environnement Emballage Autres Génie civil Agriculture, horticulture 40,5 % 35,4 % 22,8 % 21,5 % 20,3 % 17,7 % 15,2 % 15,2 % 8,9 % 8,9 % 7,6 % 6,3 % 6,3 %

3 2. LA MAIN-D OEUVRE Caractéristiques de la main-d œuvre Une certaine stabilité de l emploi est observée depuis les 3 dernières années. En prenant compte de toutes les données disponibles sur les perspectives d emploi, incluant les résultats du sondage auprès des entreprises, l emploi devrait demeurer stable d ici Il importe de mentionner qu une augmentation du niveau de scolarité est remarquée en 2011 par rapport à En effet, le taux de personnes n ayant aucun certificat ou diplôme est passé de 32,9 % à 28 %. Une diminution de 4,9 %. Emploi à temps plein 95,0 % Emploi saisonnier 37,2 % 7,5 % de la main-d œuvre Main-d œuvre masculine 58,1 % SCOLARITÉ DES PERSONNES EN EMPLOI (2011) Aucun certificat ou diplôme 28,0 % Diplôme d études secondaires ou équivalent 28,0 % Certificat ou diplôme d études professionnelles, d apprenti ou d une école de métiers 15,9 % Diplôme collégial ou universitaire 28,2 % Entreprises employant du personnel syndiqué 8,0 % 20 % de la main-d œuvre Personnel immigrant 7,2 % SALAIRES MOYENS (2011) Travailleurs de la production $ Personnel autre $ Répartition des personnes en emploi selon l âge 34,4 % 26,4 % Ensemble de l industrie textile La situation est sérieuse, car le quart de la main-d œuvre textile en 2011 (25,3 %) était âgée de 55 ans et plus comparativement à 17,6 % en Un grand défi de relève attend le secteur, une occasion de revoir l organisation du travail. 4,1 % 13,3 % 15 à 24 ans 15,1 % 21,1 % 25 à 34 ans 21 % 21,6 % 35 à 44 ans 45 à 54 ans 25,3 % 17,6 % 55 ans et plus Ensemble des industries au Québec Source : Statistique Canada, Enquête nationale auprès des ménages, Les métiers clés pour l industrie textile Métiers % d entreprises qui emploient ces métiers Opérateur de machines à coudre industrielles (couturière) 60,0 % Opérateur de métier à tisser Représentant aux ventes Superviseur Opérateur de machines de traitement des fibres et des fils Mécanicien industriel Acheteur ou agent d approvisionnement Personnel en R et D Technicien (de laboratoire, qualité, à la production) Inspecteur en assurance qualité Opérateur de machines à teindre Opérateur de métier à filer Coloriste/technicien en coloration Mécanicien de machines à coudre Estimation du nombre d emplois 16,8 % ,6 % ,1 % ,8 % ,1 % ,3 % ,0 % ,8 % ,8 % 133 9,5 % 112 8,4 % ,7 % 47 14,7 % 40 En 2011, les opérateurs de machines à coudre industrielles se classent au premier rang et représente 11% de l ensemble de la main-d œuvre de l industrie textile. Les répondants, dans une proportion de 66,7 %, affirment avoir eu des difficultés à embaucher des mécaniciens industriels. Plus de la moitié des entreprises (55,2 %) ont eu à embaucher des opérateurs de machines à coudre industrielles en 2013, et 56,8 % ont eu beaucoup de difficulté lors du recrutement. Le tiers des entreprises ont également eu à recruter des superviseurs et 40,9 % ont indiqué avoir eu des difficultés à cause du manque de connaissances techniques en textile. Selon l Enquête nationale auprès des ménages (2011), quatre professions représentent plus du tiers (34,1%) de l ensemble de la main-d œuvre de l industrie textile : Opérateurs de machines à coudre industrielles, Opérateurs de machines et travailleurs de traitement des fibres et des fils textiles, du cuir et des peaux, Tisseurs, tricoteurs et autres opérateurs de machines textiles et Manœuvres des produits du textile. 3

4 Les cinq principaux défis en gestion des ressources humaines Les cinq métiers clés de l industrie textile les plus difficiles à recruter en 2013, selon les employeurs Recruter du personnel compétent Rendre le personnel plus polyvalent Retenir et fidéliser les employés Superviser efficacement le personnel Faire face au vieillissement de la main-d œuvre et préparer la relève dans l entreprise 39,6 % 49 % 49 % 46,9 % 62,5 % Mécanicien industriel Coloriste ou technicien en coloration Opérateur de machines à coudre industrielles (couturière) Mécanicien de machines à coudre industrielles Superviseur 40,9 % 66,7 % 60 % 56,8 % 50% Les résultats démontrent que le recrutement de personnel compétent est un défi. Les participants ont précisé qu il est primordial de cibler les actions permettant de rendre les employés plus mobiles et polyvalents. Le transfert de connaissances et le partage de compétences s avèrent être des défis importants. Le développement de la main-d œuvre Les objectifs des activités de formation réalisées en 2013 Objectifs Augmenter la productivité Rendre les employés plus polyvalents Réduire les coûts Offrir des produits de meilleure qualité Développer et offrir de nouveaux produits Favoriser l innovation ou la R et D Retenir et fidéliser les employés Ensemble des répondants 68,4 % 60,0 % 44,2 % 42,1 % 37,9 % 27,4 % 20,0 % Les deux principaux objectifs de la formation en emploi sont l amélioration de la productivité et la polyvalence. L importance de la formation pour préparer la relève est aussi soulignée afin de faire face au vieillissement. Pour les employeurs, le développement des employés vise à rendre les entreprises plus efficientes et plus compétitives. Principales difficultés liées à la réalisation d activités de formation Difficultés Difficulté à libérer les employés (pas de remplaçant) Formation offerte ne répondant pas aux besoins de l entreprise Coûts des formations Accessibilité des activités de formation (déplacement, etc.) Nombre restreint d employés à former Disponibilité des formateurs (horaires) Manque d information sur les ressources et les formations offertes Peu d intérêt des employés à recevoir de la formation Autres Ensemble des répondants 60,4 % 35,4 % 31,3 % 26,0 % 26,0 % 15,6 % 14,6 % 13,5 % 3,2 % Les entreprises de plus de 30 employés prévoient offrir des activités de formation au cours des 12 prochains mois à leurs employés de production (83%) et aux autres employés de leur entreprise (85,1 %). Ces pourcentages sont beaucoup plus importants que pour les entreprises de 30 employés et moins, dont les pourcentages sont respectivement 43,8% et 38,1%. 4

5 Les besoins de compétences à combler d ici les 12 prochains mois pour les employés de production 1 Compétences spécifiques à l exécution des tâches Connaissances techniques Compétences interpersonnelles Compétences en lien avec la santé et la sécurité Compétences personnelles (autonomie, motivation) Connaissances en informatique Compétences de base (lire, écrire et compter) Sources : Sondage Diagnostic textile, et Sondage petites entreprises Textile, 2012 (30 employés et moins). 1 Les employés de production incluent, pour les besoins de ce diagnostic, tous les employés affectés à des tâches de production et les personnes réalisant des travaux d entretien ainsi que le personnel technique impliqué directement dans la production. Les besoins de compétences à combler d ici les 12 prochains mois pour les autres employés Les formations pour les autres employés, c est-à-dire les employés de bureau, la direction, les superviseurs et le personnel de recherche et développement, varient selon la taille des entreprises et elles visent surtout à combler les besoins suivants : Connaissances techniques Amélioration de la productivité Connaissances en informatique Supervision de personnel Gestion des ressources humaines Compétences interpersonnelles Gestion des opérations Ventes et marketing Compétences personnelles (autonomie, motivation) Compétences spécifiques reliées à leur fonction Pratiques visant l implication des employés Entreprises de 30 employés et moins Ventes et marketing Informatique Gestion des opérations Amélioration de la productivité Entreprises de plus de 30 employés Compétences techniques Compétences interpersonnelles Supervision de personnel Amélioration de la productivité Gestion des ressources humaines Sources : Sondage Diagnostic textile, 2013 et Sondage petites entreprises Textile, 2012 (30 employés et moins). Moyens de formation privilégiés POUR LES EMPLOYÉS DE LA PRODUCTION POUR LES AUTRES EMPLOYÉS Formation par compagnonnage 80,2 % Ateliers de formation en entreprise 37,5 % Formation par une entreprise offrant 30,2 % des services de formation Formation par un établissement scolaire 22,9 % Participation à des séminaires 60,4 % et à des congrès Formation par une entreprise offrant 44,8 % des services de formation Le tableau ci-dessus démontre bien que les moyens de formation qui sont privilégiés par les employeurs diffèrent selon la catégorie des employés. 5

6 3. LE MARCHÉ ET L ACTIVITÉ COMMERCIALE Évolution des ventes de biens fabriqués (livraison) En 2013, le total des revenus de l industrie textile québécoise est estimé à 1,4 milliard de dollars, c est-à-dire 41 % du total des ventes de biens fabriqués pour l ensemble du Canada. Le taux annuel moyen de variation des ventes pour la période , même s il est négatif (moins 2,3 %), est nettement mieux que celui de la période (moins 10,9 %). Une relative stabilité des ventes de biens fabriqués est observée entre 2010 et Cela est confirmé par les répondants au sondage pour les trois dernières années. Près de la moitié d entre eux, 45,2 %, ont vu leur chiffre d affaires demeurer stable ou l ont vu augmenter (35,5 %). Les répondants prévoient une augmentation de leur chiffre d affaires au cours des trois prochaines années (52,7 %). Seulement 7,5 % des répondants prévoient une diminution. Principaux défis des entreprises Tout comme en 2010, le vieillissement et la pénurie de main-d œuvre qualifiée ressortent parmi les principaux défis du secteur. La difficulté d avoir des prix peu compétitifs est aussi importante puisqu elle pourrait empêcher les entreprises de faire face aux autres lacunes identifiées. Finalement, l image négative de l industrie ainsi que l absence d une offre de formation professionnelle et technique ont été mentionnées. Évolution de la balance commerciale de l industrie textile L effet combiné des importations et des exportations totales fait en sorte que la balance commerciale est négative pour toute la période Ce déficit (2,9 %) se stabilise à environ un milliard de dollars de 2011 à La progression du déficit commercial est principalement attribuable au recul constant des exportations de 2009 à Environnement économique La crise économique de 2008 a engendré des baisses importantes de la demande de textiles et de produits textiles. De 2007 à 2011, les fermetures d usines et l effet du ralentissement de l économie ont évidemment contribué à une diminution significative du montant total de la valeur ajoutée. Évolution de la valeur ajoutée par employé de production La valeur ajoutée par employé de production a augmenté en moyenne de 0,6 % par année de 2007 à 2011, avec une progression plus marquée de 3,1 % de 2010 à Si on considère les variations de la valeur ajoutée par employé de production et de la proportion de la valeur ajoutée sur les revenus, la productivité se stabilise ou même s améliore légèrement pour la période de 2007 à Estimation des profits des entreprises Sous-secteurs Écart Usines de textiles 5,2 % 7,0 % 1,8 % 314 Usines de produits textiles 15,7 % 13,3 % -2,4 % En 2011, l industrie textile a le même taux de rentabilité que l ensemble des entreprises de fabrication. Une augmentation du taux de rentabilité est observée, mais de façon moins rapide que pour l ensemble de la fabrication Usines de tricotage de vêtements Ensemble de l industrie textile Ensemble du secteur de la fabrication 7,1 % 10,5 % 3,4 % 8,5 % 9,8 % 1,3 % 7,3 % 9,9 % 2,6 % Source : Statistique Canada, Statistiques principales pour les industries manufacturières, tableau CANSIM

7 Des opportunités pour le secteur Opportunités et forces L importance du déficit commercial permet de croire qu il y a des opportunités pour des entreprises du Québec à se tailler une place dans le marché local en offrant des produits innovateurs et concurrentiels à ceux qui sont actuellement importés. C est plus de la moitié des répondants (53 %) qui fabriquent au moins un des produits pouvant être classés comme textiles à usage technique (TUT) ou textiles à valeur ajoutée (ATVA). La qualité des produits offerts, la capacité de produire sur mesure ou en petites séries, la capacité à bien répondre aux exigences des clients et à des délais de livraison rapides sont les principales forces des entreprises. Développement durable Pratiquement neuf entreprises sur dix (89 %) ont mis en place au moins une mesure en lien avec le développement durable. Ce pourcentage est en progression depuis 2010 (84,7 %). Recherche et développement Ce sont 23% des entreprises qui consacrent plus de 5 % de leur chiffre d affaires à la recherche et au développement comparativement à 15,6 % en Les trois quarts des entreprises ont un budget de Recherche et développement. En moyenne, 66 % des investissements sont consacrés au développement de nouveaux produits. Un autre atout est que les entreprises sont en mesure de développer des réseaux leur permettant de collaborer à des projets communs comme ceux des créneaux ACCORD en textiles techniques. 4. LES DÉFIS DU SECTEUR ET LES ENJEUX DE LA MAIN-D ŒUVRE EN TEXTILE Les défis Les entreprises textiles québécoises souhaitent être plus productives et plus innovatrices afin d être compétitives dans des niches de marché où la concurrence est très forte. Pour ce faire, le secteur devrait : Accentuer sa diversification et le développement de marchés afin d augmenter le niveau et les sources des revenus. Augmenter le niveau d investissement en immobilisation et réparation afin d atteindre au moins le même ratio investissement/vente que celui de l ensemble de l industrie de la fabrication. Augmenter les exportations et poursuivre le développement de nouveaux marchés à l exportation afin de stabiliser, voire augmenter, sa balance commerciale. Poursuivre le développement et la commercialisation de produits textiles à usage technique et à valeur ajoutée. Augmenter le nombre d entreprises de l industrie qui réalisent des activités de Recherche et développement et qui allouent des ressources à l interne pour réaliser ces activités. Mettre de l avant des changements afin d accroître sa productivité. Les enjeux de la main-d œuvre Le vieillissement de la main-d œuvre Le besoin de renouvellement est plus urgent et se fait dans un contexte de forte concurrence pour attirer, recruter et retenir la main-d œuvre. La difficulté de recruter une main-d œuvre qualifiée Cela peut avoir un impact très négatif sur l évolution de l industrie textile. Elle peut influencer les décisions stratégiques de certains employeurs qui hésitent à investir dans le développement de nouveaux produits, dans l augmentation de leur capacité de production ou encore dans la modernisation de leur équipement faute de main-d œuvre qualifiée. Plusieurs besoins de développement des compétences Les entreprises ne devront pas négliger l aspect formation dans leur décision stratégique, puisque le développement des compétences est un facteur clé pour réussir le renouvellement de la main-d œuvre et les changements visant l augmentation de la productivité ainsi que le développement de nouveaux produits et marchés pour l industrie textile. L implication des employés dans le processus de changement Plusieurs entreprises de l industrie textile ont amorcé ou devraient effectuer d ici peu des changements susceptibles d avoir des impacts directs sur leur organisation du travail. Toutefois, plusieurs dirigeants d entreprises et représentants d employés devront être sensibilisés aux avantages de mettre à contribution les employés et être formés sur les meilleures pratiques pour réussir concrètement cette façon de faire. 7

8 LA VISION ET LES INTERVENTIONS DU CSMO TEXTILE LA VISION «Le CSMO Textile s engage à être une référence en gestion des ressources humaines, en développement des compétences et en promotion du secteur pour toutes les entreprises textiles québécoises. Le CSMO Textile fera le nécessaire pour garder à jour un portrait juste et actuel du secteur, de sa réalité, de ses défis et de ses besoins.» Les interventions Lors des consultations, les interventions souhaitables pour le CSMO Textile afin de répondre aux besoins de l industrie ont été les suivantes : Poursuivre son offre d activités de formation continue adaptées aux besoins de l industrie textile; Pour nous joindre : Continuer de faire la promotion de l industrie textile et de faire connaître une image plus positive de ce secteur d emploi; Aider les entreprises dans le développement de leurs ressources humaines, incluant le transfert de compétences. D autres pistes d intervention, pour le CSMO Textile, ont été identifiées et validées lors de la Consultation stratégique triennale ( ) tenue à Drummondville les 3 et 4 avril Prenez note que le compte rendu de cette consultation est disponible sur demande et que le plan d action annuel du CSMO Textile est accessible via le Les données de ce sommaire ont été tirées du Diagnostic sectoriel de main-d œuvre pour l industrie textile du Québec réalisé en 2013 par la firme FGC Conseil. Avec l aide financière :

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