Traitement automatique de textes juridiques

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Traitement automatique de textes juridiques"

Transcription

1 Tratement automatque de textes jurdques Vncent Psetta, Hakm Hacd, Faza Bellal, Glbert Rtschard et Djamel A. Zghed artcle paru dans R. Lehn, M. Harzallah, N. Aussenac-Glles, J. Charlet (eds), Semanes de la connassance, SdC 2006, Nantes jun, Actes électronques sur CD-Rom

2 Tratement automatque de textes jurdques 1 Vncent Psetta 1*, Hakm Hacd 1**, Faza Bellal 1*, Glbert Rtschard 2 et Djamel Zghed 1*** 1 Laboratore ERIC, Unversté Lumère Lyon 2, 5, av. Perre Mendès-France, Bron- France, *{vpsettta,fbellal}@mal.unv-lyon2.fr, **hhacd@erc.unvlyon2.fr, ***Abdelkader.Zghed@unv-lyon2.fr 2 Unversté de Genève, Département d économétre, 40 bd du Pont d Arve, Genève 11- Susse Résumé La foulle de données textuelles consttue un champ majeur du tratement automatque des données. Une large varété de conférences, comme TREC, lu sont consacrées. Dans cette étude, nous nous ntéressons à la foulle de textes jurdques, dans l objectf est le classement automatque de ces textes. Nous utlsons des outls d analyses lngustques (extracton de termnologe) dans le but de repérer les concepts présents dans le corpus. Ces concepts permettent de construre un espace de représentaton de fable dmensonnalté, ce qu nous permet d utlser des algorthmes d apprentssage basés sur des mesures de smlarté entre ndvdus, comme les graphes de vosnage. Nous comparons les résultats ssus du graphe et de C4.5 avec les SVM qu eux sont utlsés sans réducton de la dmensonnalté. Mots clés : Textes jurdques ; Apprentssage automatque ; Termnologe. 1 Introducton Le cadre général de l apprentssage automatque part d un fcher d apprentssage comportant n lgnes et p colonnes. Les lgnes représentent les ndvdus et les colonnes les attrbuts, quanttatfs ou qualtatfs observés pour chaque ndvdu lgne. Dans ce contexte, on suppose également que l échantllon d apprentssage est relatvement conséquent par rapport au nombre d attrbuts. Généralement la talle de l échantllon est de l ordre de 10 fos le nombre de varables pour espérer obtenr une certane stablté, c'est-à-dre une erreur en généralsaton qu n est pas trop lon de l erreur en apprentssage. De plus, l attrbut à prédre est supposé à valeur unque. C est une varable à valeurs réelles dans le cas de la régresson et c est une varable à modaltés dscrètes, appelées classes d appartenance, dans le cas du classement. Ces questons relatves aux rapports entre talle d échantllon et talle de l espace des varables sont étudées de façon très approfondes dans les publcatons relatves à l apprentssage statstque [19]. Dans ce paper nous décrvons une stuaton d apprentssage qu s écarte sgnfcatvement du cadre classque tel que décrt plus haut. En effet, le contexte expérmental ne nous permet pas de dsposer mmédatement d un ensemble d apprentssage conséquent, chaque ndvdu peut appartenr à pluseurs classes smultanément, et chaque ndvdu, au leu d être décrt par un ensemble attrbuts-valeurs, l est par un texte en langage naturel en anglas. Avant de décrre l approche que nous préconsons pour apprendre dans ce contexte, nous allons tout d abord rappeler la problématque de l applcaton vsée (secton 2). En secton tros, nous décrvons l approche méthodologque retenue. Dans la secton quatre, nous décrvons les étapes mses en œuvre pour mettre en forme les données et notamment, la stratége d analyse lngustque mse en œuvre pour extrare les prncpaux concepts qu vont jouer le rôle de varables. Nous décrvons ensute, secton 5, les modèles topologques à base de graphes de proxmté qu nous permettent de gérer le mult-classes. Dans un but comparatf, nous utlsons une méthode à base d arbre de décson qu nous sert également à meux dentfer les concepts dscrmnants. En secton 6, nous présentons les résultats ssus de l analyse lngustque et de l apprentssage. Nous décrvons également le prncpe de l apprentssage par boucle de pertnence (relevance feedback). Ce concept est central car l met l usager dans la boucle vsant à amélorer le modèle de prédcton. Nous détallons les performances obtenues. En secton 7, nous concluons et détallons les perspectves de ce traval. 2 Cadre expérmental 2.1 Problématque Ce traval s nscrt dans un projet en collaboraton avec le Bureau Internatonal du Traval (BIT). Pluseurs pays ont sgné des conventons avec le BIT qu les lent au drot du traval nternatonal. Plus concrètement, l accord porte sur deux conventons élaborées par le BIT, La Conventon n 87 et la Conventon n 98. Celles-c contennent une sére 1 Recherche réalsée dans le cadre du projet RUIG «Socal dalogue regmes».

3 Psetta et al. d artcles de los que le sgnatare s engage à respecter. Ces derners sont soums, une fos par an, à une nspecton ayant pour but de vérfer la bonne applcaton de ces conventons. A la fn de chaque nspecton, les experts du BIT délvrent un rapport au pays concerné. Le rapport fat état des règles non applquées, des volatons constatées à partr de fats concrets et soulgne les efforts à mettre en place pour être en adéquaton avec les conventons. Il est en texte lbre sans codfcaton rgde des volatons. Tous les rapports d experts sont stockés dans une banque de données accessble aux membres et aux experts qu effectuent régulèrement des analyses, défnssent de nouvelles recommandatons et étudent les évolutons du drot du traval dans les dfférents pays, etc. L objectf de notre traval est défnr et de mettre en place des méthodes et des outls de data mnng permettant de trater plus effcacement et plus rapdement ces corpus qu devennent nexplotables manuellement. Les experts du BIT souhateraent avor des outls permettant le repérage automatque des textes sgnalant la volaton d une ou pluseurs règles par pays. La fnalté étant la catégorsaton automatque des textes non étquetés. Les experts pourront alors synthétser plus vte les dffcultés que rencontrent les dfférents pays dans l applcaton de ces conventons, et, le cas échéant, dentfer les moyens de les ader. 2.2 Descrpton du corpus La base de données du BIT comprend 1325 textes. Chaque texte, correspond à un commentare annuel adressé par les experts du BIT au pays concerné. Chaque texte décrt les règles relatves à chaque conventon qu ont été volées et les modaltés de cette volaton. Les textes sont rédgés en anglas par des jurstes mandatés par le BIT. La banque de données consttuée par le BIT comporte 834 textes sgnalant des volatons relatves à la Conventon N 87 et 481 pour la Conventon N 98. Les textes sont classés par Conventon, date, pays. On peut ans étuder l évoluton dans le temps des textes relatfs à un même pays sur chaque conventon. Ces trajectores consttuent des ponts mportant pour le traval des experts. Notons pour clore sur ce corpus qu un texte peut relater la volaton de pluseurs règles. Précsons également que l dentfcaton des règles volées s effectue a posteror par nterprétaton des observatons et des commentares des enquêteurs. Ce traval d étquetage s effectue à l heure actuelle par des experts jurste du BIT. Les rasons de délas d nterprétaton et de coût assocé ne facltent pas l explotaton des enquêtes menées. Il exste 17 volatons pour la Conventon n 87 et 10 pour la Conventon n Méthodologe 3.1 Prncpes généraux Pour mettre au pont un outl d dentfcaton des volatons dans un corpus, nous avons procédé par des technques d apprentssage automatque. Le chox s est porté sur les méthodes d apprentssage supervsé qu produsent des modèles de prédcton qu une fos évalués et jugés acceptables par l utlsateur, peuvent alors être utlsés comme moyen automatque de catégorsaton pour les nouveaux textes. Pour aboutr à un modèle de prédcton, le prncpe consste à fournr à l algorthme d apprentssage des exemples de textes pré-classés que nous appellerons ensemble d apprentssage. Dans notre cas, l s agt d un problème à classes multples. Autrement dt, chaque texte de l échantllon d apprentssage peut appartenr à pluseurs classes, chacune est dentfée à une règle d une conventon qu serat volée. Plus formellement, s on note w un texte du corpus global W et par c = 1, K, k les règles de la conventon va susceptbles d être volées, alors C() w = { c1, c2, c5} exprme que le texte w comporte des volatons relatves aux règles { c1, c2, c5} de la conventon v a. Notons que dans ce contexte, l est dffcle et extrêmement coûteux d effectuer cette catégorsaton manuellement en une seule trate. Nous avons suggéré aux experts d annoter une soxantane de textes par conventon (71 pour la conventon n 87 et 65 pour la conventon n 98) qu servront de base d apprentssage ntale. Appelons ce premer corpus d amorçagew 1. Sot Y un algorthme d apprentssage supervsé. Cela peut être un graphe d nducton [20], un SVM [19], etc. Le résultat d un apprentssage est un modèle noté M et un taux d erreur e en généralsaton estmé sur échantllon test ou par cross valdaton. YW (, C) = ( M, e) L applcaton du modèle M sur un échantllon de textes anonyme W de talle relatvement modeste, dsons une vngtane de cas, permet de prédre pour chaque ndvdu anonyme w les règles qu seraent volées, M ( w ) = { c, ck} par exemple. Le contrôle de pertnence permet à l utlsateur d évaluer chaque étquetage sur les ndvdus anonymes. L usager U peut alors valder totalement ou partellement l étquetage proposé par le modèle. Dans le cas où pour un texte w la prédcton est jugée erronée par U alors, le texte concerné est extrat et rems dans l échantllon d apprentssage W + 1 = WÈ w. Cette opératon étant renouvelée à chaque fos qu un ndvdu est

4 Tratement automatque de textes jurdques jugé mal étqueté. A la fn, nous rétérons le processus d apprentssage avec le nouvel échantllon ans construt. Nous obtenons un nouveau modèle M dont on espère un taux d erreur e plus fable ( e < e). Un nouvel échantllon anonyme de talle modeste pour faclter une vérfcaton manuelle est consttué. La rétératon de ce processus de recyclage des ndvdus mal étquetés par le classfeur dans un nouvel apprentssage après rectfcaton manuelle des étquettes devrat condure à une améloraton tératve du modèle. La queston qu se pose dès lors est le chox d un algorthme capable de gérer l étquetage multple. Le graphes de proxmté [18] qu font parte des méthodes d apprentssage à base d nstance permettent cela. Toutes ces technques supposent par alleurs que les ndvdus sont plongés dans un espace de représentaton sur lequel on peut défnr une métrque. Les textes dovent par conséquent être transformés en un ensemble de vecteur. Chaque texte p pourra être alors consdéré comme un pont de R. Les coordonnées d un texte w dans cet espace seront X () w = ( X1() w, X2() w, K, X p () w). Que représentent alors ces varables, comment sont elles extrates? C est l objet de la parte analyse lngustque. L objectf étant de trouver les concepts et les plus adaptés. 3.2 Applcaton sur les données du BIT Nous effectuons l extracton de la termnologe sur l ntégralté du corpus. La fnalté de cette extracton est la constructon de concepts relatfs aux deux Conventons. Les concepts ans extrats consttuent l espace de représentaton des documents. Les textes étquetés par les experts du BIT (volatons connues), nous servent ensute de base d apprentssage. Nous utlsons deux classfeurs : C4.5 [14] et les graphes des vosns relatfs (GVR) [18] dans le but de prédre les volatons contenues dans les textes non étquetés. La méthodologe est décrte par (FIG. 1). 4 Espace de représentaton des textes 4.1 Extracton de la termnologe Nous chosssons de construre notre espace de représentaton par extracton de concepts. Un des avantages de cette technque par rapport à des méthodes telles que les N- grammes, ou les matrces de co-occurrences de mots, est la réducton mportante de la dmensonnalté, permettant notamment l usage de classfeurs utlsant des mesures de smlarté. Dverses applcatons basées sur ce prncpe ont données des résultats ntéressants [10]. Deux méthodes dfférentes exstent pour la constructon de concepts : par apprentssage et par extracton. La premère (statstque) recherche les mots les plus dscrmnants selon un attrbut à prédre. Les mots sont ensute regroupés en concepts sur la base de leur cooccurrences ou à partr de règles d assocaton [10]. La seconde méthode (lngustque) consste à extrare la termnologe du corpus et à regrouper les termes extrats selon leur proxmté sémantque. Notre préférence se porte vers les technques d analyse lngustque. Ce chox se justfe par le fat que l analyse lngustque permet de lutter contre la polyséme et de lever certanes ambguïtés lées au contexte [6]. Elle fonctonne également sur de pettes untés textuelles [12]. De plus, notre base d apprentssage comportant peu d exemples, l nous semble dffcle d utlser les technques d apprentssage décrtes plus haut. Notre traval est effectué en collaboraton avec des experts du domane jurdque, ce qu est une rason supplémentare pour utlser les technques lngustques. Nous utlsons la chaîne de tratement décrte en (FIG. 2). FIG. 2 Chaîne de tratement lngustque FIG. 1 Méthodologe d analyse

5 Psetta et al. 4.2 Chox des canddats-termes et créaton de concepts Nous reprenons c une méthodologe utlsée dans [1]. Nous dstnguons deux étapes dans la sélecton des canddats termes : 1. Dans un premer temps, nous parcourons l ensemble des résultats donnés par EXIT [15], et nous étudons tout d abord les termes dont la fréquence d apparton est supéreur à un seul l. Dans un premer temps, nous fxons un seul élevé. Cette étape prélmnare permet de repérer les grands axes conceptuels ; 2. Nous regroupons ensute les canddats termes sémantquement proches à l ade d outls tels que WordNet [11]. Le recours à l expert est c prmordal. Certanes plates-formes proposent des outls plus sophstqués comme Syntex-Upery [3] qu permettent d analyser la proxmté dstrbutonnelle entre les canddats-termes. Les phases de constructon 1 et 2 étant tératves, nous augmentons très rapdement la représentaton en examnant les canddats-termes dont la fréquence d apparton dans le corpus est nféreure au seul l. L augmentaton progressve du nombre de canddats-termes possède deux ssues : certans canddats-termes vennent renforcer les concepts exstants ; d autres créent de nouveaux concepts qu peuvent être des concepts fls de ceux déjà exstants. 4.3 Représentaton vectorelle des documents A ce nveau se pose le problème du chox du modèle de représentaton. Nous avons chos le modèle vectorel [16] nous paraît plus adapté que le modèle booléen. La rason est qu l semble smplste d applquer une logque bnare à une recherche d nformaton. De plus, le modèle vectorel permet de calculer des scores de smlartés entre dfférents documents [12]. Le modèle vectorel propose de représenter un document sur les dmensons représentées par les mots. Nous l'avons adapté pour représenter un document par un vecteur de concepts. Et, plutôt que de le représenter en foncton de la fréquence du concept dans le document, nous utlsons la pondératon TF x IDF [17]. Ce score permet de donner une mportance au concept en foncton de sa fréquence dans le document (TF = Term Frequency) pondérée par la fréquence d'apparton du concept dans tout le corpus (IDF = Inverse Document Frequency). Ans un concept très spécfque au document aura un score correspondant à sa fréquence d'apparton, par contre, un concept apparassant dans tous les documents du corpus aura une pondératon maxmale. Nous calculons donc, pour chaque concept dans un document, son score TF x IDF. æ () () log n ö TF IDF = TF X w X w ç DF è ø Avec X un concept ; w le document ; TFX () w : la fréquence absolue d apparton du concept dans le document w ; DF X : le nombre de documents de la base d apprentssage contenant le concept X ; n : le nombre de documents de la base d apprentssage. A la fn de cette opératon, nous dsposons d une base d apprentssage que nous dsposons sous forme tabulare. 5 Modélsaton et outls de généralsaton Nous avons à présent défn un espace de représentaton pour les documents. L objectf est mantenant d utlser des technques d apprentssage dans le but de classer automatquement les documents. Dans notre étude, nous sommes amenés à classer des textes «mult-étquettes», autrement dt, susceptbles de comporter pluseurs volatons. Deux possbltés sont alors envsageables : une approche globale ; une approche bnare en une dvson en m sousproblèmes. Nous effectuons les deux approches. Deux classfeurs dfférents sont utlsés. Nous utlsons les arbres de décson dans l approche bnare et les graphes de vosnage dans l approche globale. 5.1 Prédcton par le graphe des vosns relatfs La représentaton vectorelle de nos documents est d une dmensonnalté très rasonnable et nous permet par conséquent d avor recourt à des classfeurs basés sur la noton de vosnage. Nous avons chos les graphes de proxmté provenant de la géométre computatonnelle [13] plutôt que les k-nn. Les graphes présentent pluseurs avantages par rapport aux k-nn et permettent de meux défnr la proxmté entre des ndvdus [4]. Ils nécesstent une mesure de dssmlarté [18]. Nous chosssons la dstance eucldenne. Pluseurs modèles de graphes exstent. Notre chox se porte sur le graphe des vosns relatfs qu est un bon comproms entre nombre de vosns et complexté algorthmque (en O(n 3 )). Dans le graphe des vosns relatfs Grng( Ω, ϕ), deux ponts ( α, β ) de Ω 2 sont vosns s ls vérfent la proprété suvante. Sot H( α, β ) l hypersphère de rayon δ ( αβ, ) et centrée sur α, et H( β, α ) l hypersphère de rayon δ ( βα, ) et centrée sur β. δ ( αβ, ) et δ ( βα, ) sont des mesures de X

6 Tratement automatque de textes jurdques dssmlarté entre les deux ponts α et β. δ ( αβ, ) = δ ( βα, ). α et β sont vosns s et seulement s la lunule A( α, β ) formée par l ntersecton des deux hypersphères H( α, β ) et H( β, α ) est vde [18] De façon formelle: A( α, β) = H( α, β) H( β, α) ( αβ, ) ϕ A( αβ, ) Ω= Nous applquons une foncton de décson smple. Un texte non étqueté hérte des proprétés de ses vosns contenus dans la base d apprentssage. Sot K le nombre de vosns du texte à étqueter ω ', c la ème règle. La probablté que le nouveau texte ω ' à étqueter contenne une volaton de c s écrt : P( c ω ') = Nombre de vosns de ω ' contenan tune volaton de c L applcaton du GVR sur un texte anonyme ω ' permet de prédre les règles qu seraent volées, par exemple : K { j u} GVR( ω ') = c, c 5.2 Prédcton par arbre de décson Nous nous plaçons c dans l optque de prédre la présence ou l absence de chaque volaton. Nous construsons par conséquent autant d arbres qu l exste de règles. Plus formellement, nous consdérons chaque règle comme étant un attrbut booléen c = { 0,1}. S l exste k règles pour la volaton v α, nous construsons k arbres. Chaque arbre est alors un modèle M prévoyant la présence ou l absence de chaque règle c. Nous obtenons ans k modèles qu renvoent c s la règle est estmée volée, snon. Notons que cette approche est valable dans la mesure où les volatons sont a pror ndépendantes. 6 Résultats, méthodes et comparatfs A l ssue de l analyse lngustque, nous obtenons 17 concepts pour la Conventon n 87 et 11 concepts pour la conventon n 98. Nous présentons les résultats observés sur la Conventon n 98. Notre base de textes étquetés est de talle modeste (65 textes). A ce jour, une étape du processus de relevance feedback a été réalsée. Elle concerne 20 textes qu ont été étquetés par les experts du BIT et qu n étaent pas présents ntalement dans la base d apprentssage. Nous présentons les résultats de la prédcton sur ces 20 textes ssue de C4.5 et GVR. Dans un but comparatf, nous avons utlsé les SVM selon le même prncpe que pour C4.5. Les SVM sont des méthodes robustes résstant très ben à la forte dmensonnalté des données [9]. La dfférence essentelle résde dans le fat que les SVM sont utlsées sans pré-tratement des textes (excepté la normalsaton). Les résultats sont présentés en secton Résultats obtenus Nous présentons les résultats obtenus en terme de reclassement. Les résultats sont décrts dans (FIG. 3). On observe de bon taux de reclassement. Notons qu l n exste qu une seule volaton pour laquelle SVM fat meux que C4.5 ou GVR. La non prse en compte de séquences de mots par SVM rend les prédctons parfos nstables, ce qu se tradut par une mauvase sensblté ou spécfcté. Nous observons des taux de sensbltéspécfcté parfos nuls pour GVR. Cec est dû au fat que deux des dx volatons (n 4 et n 10) sont peu fréquemment rencontrées dans le corpus d apprentssage. Ans, l y a peu de chances que les quelques textes contenant ces volatons soent en nombre suffsant pour être prs en compte dans le vosnage de l ndvdu à étqueter. Ce problème peut éventuellement se résoudre par la technque de retour pertnent décrte précédemment. FIG. 3 Résultats des tros méthodes de classfcaton 7 Concluson et perspectves La fnalté de ce traval est de proposer un modèle de prédcton capable de détermner les volatons de pluseurs pays concernant deux conventon de drot du traval. Une approche d apprentssage automatque a été adoptée. Dans un premer temps (préparaton des données), nous avons extrat, grâce aux technques d analyses lngustques, un ensemble de canddats termes qu nous permettent ensute de construre des concepts relatfs au corpus étudé. Cette opératon a pour but de rédure la dmensonnalté de l espace de représentaton des textes du corpus. Nous avons été ans en mesure d utlser les graphes de vos-

7 Psetta et al. nage, en plus d une méthode plus classque (C4.5) pour la catégorsaton automatque. Les résultats semblent ntéressants dans la mesure où les deux méthodes de prédcton que nous utlsons aboutssent à des taux de reclassement tout à fat acceptables en dépt d une base d apprentssage comportant peu d exemples. Nous envsageons à présent d augmenter la talle de cellec dans le but d amélorer la prédcton et d aboutr à des résultats plus robustes. La phase de test avec les experts du BIT est en cours. La lste des concepts extrats du corpus a été valdée par ces derners. L une des perspectves de ce traval est d observer l mpact du relevance feedback sur la qualté de prédcton. En effet, cette dernère devrat augmenter au fur et à mesure du nombre d nterventons des experts. De plus, l serat ntéressant de comparer de nouveau la qualté de prédcton de notre approche avec les SVM lorsque la base d apprentssage sera plus conséquente. L utlsaton d autres technques de catégorsaton textuelles, comme Wnnow [5] et éventuellement d autres classfeurs peut auss s avérer ntéressantes. Références [1] A. Baneyx, J. Charlet, et M. C. Jaulent. Constructon d ontologes médcales fondée sur l extracton termnologque à partr de textes : applcaton au domane de la pneumologe. Journées Francophones d Informatque Médcale (JFIM), pages 1-6, [2] E. Brll. Transformaton-Based Error-Drven Learnng and Natural Language Processng: A Case Study n Part-of- Speech Taggng. Computatonal Lngustcs, pages , [3] D. Bourgault et C. Jacquemn. Term Extracton + Term Clusterng: An Integrated Platform for Computer-Aded Termnology. Proceedngs of the European Chapter of the Assocaton for Computatonal Lngustcs (EACL'99), Bergen, pages 15-22, [4] J. Clech. Contrbuton Méthodologque à la Foulle de Données Complexes. Thèse. Laboratore ERIC, Unversté Lumère Lyon 2, [5] I. Dagan, Y. Karov, et D. Roth. Mstake-Drven Learnng n Text Categorzaton. Proceedngs of the Second Conference on Emprcal Methods n NLP, pages 55-63, [6] C. Fluhr. Indexaton et recherche d'nformaton textuelle. Ingénere des langues. Hermès, [7] M. Ganes et B. Shaw. Comparng Conceptual Structures : Consensus, Conflct, Correspondence and Contrast. Knowledge Scence Insttute, Unversty of Calgary, [8] P. Hajek, T. Havranek et M. Chytl. GUHA Method. Academa, Prague, [9] T. Joachm. Text categorzaton wth support vector machnes wth many relevant features. Proceedngs of ICML-99, 16th Iternatonal Conference on Machne Learnng (Bled, Slovena, 1999), pages , [10] N. Kumps, P. Francq et A. Delchambre. Créaton d un espace conceptuel par analyse de données contextuelles. JADT 2004, (Internatonal Conference on Statstcal Analyss of Textual Data), pages , [11] A. G. Mller, C. Fellbaum, R. Teng, S. Wolff, P. Wakefeld, H. Langone et B. Haskell. WordNet 2.1, Cogntve Scence Laboratory, Prnceton Unversty, [12] B. Poulquen, D. Delamarre et P. Le Beux. Indexaton de textes médcaux par extracton de concepts, et ses utlsatons. JADT 2002, pages , [13] F. Preparata et M. Shamos. Computatonal Geometry An Introducton. New-York, Sprnger, [14] J.-R. Qunlan. C4.5 : Programs for Machne Learnng. San Mateo, CA, [15] M. Roche, M., T. Hetz, O. Matte-Tallez, et Y. Kodratoff. EXIT: Un système tératf pour l'extracton de la termnologe du domane à partr de corpus spécalsés. Proceedngs of JADT 2004 (Internatonal Conference on Statstcal Analyss of Textual Data), vol 2, pages , [16] G. Salton. The SMART retreval system. Experment n automatc document processng. Prentce Hall. Englewood Clffs. New Jersey, [17] G. Salton et C. Buckley. Term weghtng approaches n automatc text retreval. Informaton Processng and Management, (l) 24, vol 5, pages , [18] G.-T. Toussant. The relatve neghborhood graphs n a fnte planar set. Pattern recognton, pages , [19] V.-N. Vapnk. The Nature of Statstcal Learnng Theory. Sprnger, [20] D.-A. Zghed et R. Rakotomalala. Graphe d nducton et DataMnng, Hermès, 2000.

Multi-catégorisation de textes juridiques et retour de pertinence

Multi-catégorisation de textes juridiques et retour de pertinence Multi-catégorisation de textes juridiques et retour de pertinence Vincent Pisetta, Hakim Hacid et Djamel A. Zighed article paru dans G. Ritschard et C. Djeraba (eds), Extraction et gestion des Connaissances

Plus en détail

Contrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations

Contrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations Contrats prévoyance des TNS : Clarfer les règles pour sécurser les prestatons Résumé de notre proposton : A - Amélorer l nformaton des souscrpteurs B Prévor plus de souplesse dans l apprécaton des revenus

Plus en détail

hal-00409942, version 1-14 Aug 2009

hal-00409942, version 1-14 Aug 2009 Manuscrt auteur, publé dans "MOSIM' 008, Pars : France (008)" 7 e Conférence Francophone de MOdélsaton et SIMulaton - MOSIM 08 - du mars au avrl 008 - Pars - France «Modélsaton, Optmsaton et Smulaton des

Plus en détail

Editions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait

Editions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait Edtons ENI Project 2010 Collecton Référence Bureautque Extrat Défnton des tâches Défnton des tâches Project 2010 Sasr les tâches d'un projet Les tâches représentent le traval à accomplr pour attendre l'objectf

Plus en détail

TD 1. Statistiques à une variable.

TD 1. Statistiques à une variable. Danel Abécasss. Année unverstare 2010/2011 Prépa-L1 TD de bostatstques. Exercce 1. On consdère la sére suvante : TD 1. Statstques à une varable. 1. Calculer la moyenne et l écart type. 2. Calculer la médane

Plus en détail

Mesure avec une règle

Mesure avec une règle Mesure avec une règle par Matheu ROUAUD Professeur de Scences Physques en prépa, Dplômé en Physque Théorque. Lycée Alan-Fourner 8000 Bourges ecrre@ncerttudes.fr RÉSUMÉ La mesure d'une grandeur par un système

Plus en détail

Les jeunes économistes

Les jeunes économistes Chaptre1 : les ntérêts smples 1. défnton et calcul pratque : Défnton : Dans le cas de l ntérêt smple, le captal reste nvarable pendant toute la durée du prêt. L emprunteur dot verser, à la fn de chaque

Plus en détail

LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF

LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF 1 LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régme») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF AVIS AUX RETRAITÉS ET AUX PARTICIPANTS AVEC DROITS ACQUIS DIFFÉRÉS Expédteurs

Plus en détail

Chapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3.

Chapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3. Chaptre 3 : Incerttudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES Lgnes drectrces 2006 du GIEC pour les nventares natonaux de gaz à effet de serre 3.1 Volume 1 : Orentatons générales et établssement des rapports Auteurs

Plus en détail

Assurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire

Assurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire Assurance malade et aléa de moralté ex-ante : L ncdence de l hétérogénété de la perte santare Davd Alary 1 et Franck Ben 2 Cet artcle examne l ncdence de l hétérogénété de la perte santare sur les contrats

Plus en détail

Dirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social

Dirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social Drgeant de SAS : Lasser le chox du statut socal Résumé de notre proposton : Ouvrr le chox du statut socal du drgeant de SAS avec 2 solutons possbles : apprécer la stuaton socale des drgeants de SAS comme

Plus en détail

Pourquoi LICIEL? Avec LICIEL passez à la vitesse supérieure EPROUVE TECHNICITE CONNECTE STABILITE SUIVIE COMMUNAUTE

Pourquoi LICIEL? Avec LICIEL passez à la vitesse supérieure EPROUVE TECHNICITE CONNECTE STABILITE SUIVIE COMMUNAUTE L og c el s de D agnos t c s I mmob l er s Cont ac t eznous 32BddeS t r as bougcs3010875468 Par scedex10tel. 0253354064Fax0278084116 ma l : s er v c e. c l ent @l c el. f r Pourquo LICIEL? Implanté sur

Plus en détail

COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION

COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION DE LA NON-RÉPONSE TOTALE : MÉTHODE DES SCORES ET SEGMENTATION Émle Dequdt, Benoît Busson 2 & Ncolas Sgler 3 Insee, Drecton régonale des Pays de la Lore, Servce

Plus en détail

Remboursement d un emprunt par annuités constantes

Remboursement d un emprunt par annuités constantes Sére STG Journées de formaton Janver 2006 Remboursement d un emprunt par annutés constantes Le prncpe Utlsaton du tableur Un emprunteur s adresse à un prêteur pour obtenr une somme d argent (la dette)

Plus en détail

BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES

BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES BUREAU DAPPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES BAMSI REPRINT 04/2003 Introducton à l analyse des données Samuel AMBAPOUR BAMSSI I BAMSI B.P. 13734 Brazzavlle BAMSI REPRINT 04/2003 Introducton

Plus en détail

STATISTIQUE AVEC EXCEL

STATISTIQUE AVEC EXCEL STATISTIQUE AVEC EXCEL Excel offre d nnombrables possbltés de recuellr des données statstques, de les classer, de les analyser et de les représenter graphquement. Ce sont prncpalement les tros éléments

Plus en détail

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Elayeb Bilel Le 26 juin 2009

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Elayeb Bilel Le 26 juin 2009 THÈSE En vue de l'obtenton du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délvré par Insttut Natonal Polytechnque de Toulouse (INPT) Dscplne ou spécalté : Informatque Présentée et soutenue par Elayeb Blel Le

Plus en détail

Stéganographie Adaptative par Oracle (ASO)

Stéganographie Adaptative par Oracle (ASO) Stéganographe Adaptatve par Oracle ASO Sarra Kouder, Marc Chaumont, Wllam Puech To cte ths verson: Sarra Kouder, Marc Chaumont, Wllam Puech. Stéganographe Adaptatve par Oracle ASO. CORESA 12: COmpresson

Plus en détail

Chapitre IV : Inductance propre, inductance mutuelle. Energie électromagnétique

Chapitre IV : Inductance propre, inductance mutuelle. Energie électromagnétique Spécale PSI - Cours "Electromagnétsme" 1 Inducton électromagnétque Chaptre IV : Inductance propre, nductance mutuelle. Energe électromagnétque Objectfs: Coecents d nductance propre L et mutuelle M Blan

Plus en détail

METHODE AUTOMATIQUE POUR CORRIGER LA VARIATION LINGUISTIQUE LORS DE L INTERROGATION DE DOCUMENTS XML DE STRUCTURES HETEROGENES

METHODE AUTOMATIQUE POUR CORRIGER LA VARIATION LINGUISTIQUE LORS DE L INTERROGATION DE DOCUMENTS XML DE STRUCTURES HETEROGENES METHODE AUTOMATIQUE POUR CORRIGER LA VARIATION LINGUISTIQUE LORS DE L INTERROGATION DE DOCUMENTS XML DE STRUCTURES HETEROGENES Ourda Boudghaghen(*),Mohand Boughanem(**) yugo_doudou@yahoo.fr, bougha@rt.fr

Plus en détail

DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS

DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS Le cabnet Enetek nous démontre les mpacts négatfs de la multplcaton des stocks qu au leu d amélorer le taux de servce en se rapprochant du clent, le dégradent

Plus en détail

Calcul de tableaux d amortissement

Calcul de tableaux d amortissement Calcul de tableaux d amortssement 1 Tableau d amortssement Un emprunt est caractérsé par : une somme empruntée notée ; un taux annuel, en %, noté ; une pérodcté qu correspond à la fréquence de remboursement,

Plus en détail

Performances de la classification par les Séparateurs à Vaste Marge (SVM): application au diagnostic vibratoire automatisé

Performances de la classification par les Séparateurs à Vaste Marge (SVM): application au diagnostic vibratoire automatisé 4th Internatonal Conference on Coputer Integrated Manufacturng CIP 2007 03-04 Noveber 2007 Perforances de la classfcaton par les Séparateurs à Vaste Marge (SVM): applcaton au dagnostc vbratore autoatsé

Plus en détail

Plan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks

Plan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks Plan Geston des stocks Abdellah El Fallah Ensa de Tétouan 2011 Les opératons de gestons des stocks Les coûts assocés à la geston des stocks Le rôle des stocks Modèle de la quantté économque Geston calendare

Plus en détail

EH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes

EH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes EH SmartVew Servces en lgne Euler Hermes Identfez vos rsques et vos opportuntés Plotez votre assurance-crédt www.eulerhermes.be Les avantages d EH SmartVew L expertse Euler Hermes présentée de manère clare

Plus en détail

MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES

MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES Émle Garca, Maron Le Cam et Therry Rocher MENESR-DEPP, bureau de l évaluaton des élèves Cet artcle porte sur les méthodes de

Plus en détail

Fiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage

Fiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage Fche n 7 : Vérfcaton du débt et de la vtesse par la méthode de traçage 1. PRINCIPE La méthode de traçage permet de calculer le débt d un écoulement ndépendamment des mesurages de hauteur et de vtesse.

Plus en détail

Grandeur physique, chiffres significatifs

Grandeur physique, chiffres significatifs Grandeur physque, chffres sgnfcatfs I) Donner le résultat d une mesure en correspondance avec l nstrument utlsé : S avec un nstrument, ren n est ndqué sur l ncerttude absolue X d une mesure X, on consdère

Plus en détail

Paquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11

Paquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11 Paquets Paquets natonaux 1 Paquets nternatonaux 11 Paquets natonaux Servces & optons 1 Créaton 3 1. Dmensons, pods & épasseurs 3 2. Présentaton des paquets 4 2.1. Face avant du paquet 4 2.2. Comment obtenr

Plus en détail

Terminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33

Terminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33 Termnal numérque TM 13 raccordé aux nstallatons Integral 33 Notce d utlsaton Vous garderez une longueur d avance. Famlarsez--vous avec votre téléphone Remarques mportantes Chaptres à lre en prorté -- Vue

Plus en détail

L enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir

L enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir L ensegnement vrtuel dans une économe émergente : percepton des étudants et perspectves d avenr Hatem Dellag Laboratore d Econome et de Fnances applquées Faculté des scences économques et de geston de

Plus en détail

Le Prêt Efficience Fioul

Le Prêt Efficience Fioul Le Prêt Effcence Foul EMPRUNTEUR M. Mme CO-EMPRUNTEUR M. Mlle Mme Mlle (CONJOINT, PACSÉ, CONCUBIN ) Départ. de nass. Nature de la pèce d dentté : Natonalté : CNI Passeport Ttre de séjour N : Salaré Stuaton

Plus en détail

RAPPORT DE STAGE. Approcher la frontière d'une sous-partie de l'espace ainsi que la distance à cette frontière. Sujet : Master II : SIAD

RAPPORT DE STAGE. Approcher la frontière d'une sous-partie de l'espace ainsi que la distance à cette frontière. Sujet : Master II : SIAD UFR SCIENCES ET TECHNOLOGIES DEPARTEMENT DE MATHEMATIQUES ET INFORMATIQUE 63 177 AUBIERE CEDEX Année 2008-2009 Master II : SIAD RAPPORT DE STAGE Sujet : Approcher la frontère d'une sous-parte de l'espace

Plus en détail

Contact SCD Nancy 1 : theses.sciences@scd.uhp-nancy.fr

Contact SCD Nancy 1 : theses.sciences@scd.uhp-nancy.fr AVERTISSEMENT Ce document est le frut d'un long traval approuvé par le jury de soutenance et ms à dsposton de l'ensemble de la communauté unverstare élarge. Il est soums à la proprété ntellectuelle de

Plus en détail

Impôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD

Impôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD Conservatore atonal des Arts et Méters Chare de BAQUE Document de recherche n 9 Impôt sur la fortune et nvestssement dans les PME Professeur Dder MAILLARD Avertssement ovembre 2007 La chare de Banque du

Plus en détail

Prise en compte des politiques de transport dans le choix des fournisseurs

Prise en compte des politiques de transport dans le choix des fournisseurs INSTITUT NATIONAL POLYTECHNIQUE DE GRENOBLE N attrbué par la bblothèque THÈSE Pour obtenr le grade de DOCTEUR DE L I.N.P.G. Spécalté : Géne Industrel Préparée au Laboratore d Automatque de Grenoble Dans

Plus en détail

Séparation de Sources par lissage cepstral des masques binaires

Séparation de Sources par lissage cepstral des masques binaires Séparaton de Sources par lssage cepstral des masques bnares Ibrahm Mssaou 1 Zed Lachr 1, 2 (1) École natonale d ngéneurs de Tuns, ENIT, BP. 37 Le Belvedere, 1002 Tuns, Tunse (2) Insttut natonal des scences

Plus en détail

INTERNET. Initiation à

INTERNET. Initiation à Intaton à INTERNET Surfez sur Internet Envoyez des messages Téléchargez Dscutez avec Skype Découvrez Facebook Regardez des vdéos Protégez votre ordnateur Myram GRIS Table des matères Internet Introducton

Plus en détail

I. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle»

I. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle» Evaluaton des projets et estmaton des coûts Le budget d un projet est un élément mportant dans l étude d un projet pusque les résultats économques auront un mpact sur la réalsaton ou non et sur la concepton

Plus en détail

Réseau RRFR pour la surveillance dynamique : application en e-maintenance.

Réseau RRFR pour la surveillance dynamique : application en e-maintenance. Réseau RRFR pour la survellance dynamue : applcaton en e-mantenance. RYAD ZEMOURI, DANIEL RACOCEANU, NOUREDDINE ZERHOUNI Laboratore Unverstare de Recherche en Producton Automatsée (LURPA) 6, avenue du

Plus en détail

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 THÈSE En vue de l'obtenton du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délvré par l'unversté Toulouse III - Paul Sabater Spécalté : Informatque Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 Ttre

Plus en détail

1.0 Probabilité vs statistique...1. 1.1 Expérience aléatoire et espace échantillonnal...1. 1.2 Événement...2

1.0 Probabilité vs statistique...1. 1.1 Expérience aléatoire et espace échantillonnal...1. 1.2 Événement...2 - robabltés - haptre : Introducton à la théore des probabltés.0 robablté vs statstque.... Expérence aléatore et espace échantllonnal.... Événement.... xomes défnton de probablté..... Quelques théorèmes

Plus en détail

Q x2 = 1 2. est dans l ensemble plus grand des rationnels Q. Continuons ainsi, l équation x 2 = 1 2

Q x2 = 1 2. est dans l ensemble plus grand des rationnels Q. Continuons ainsi, l équation x 2 = 1 2 Exo7 Nombres complexes Vdéo parte. Les nombres complexes, défntons et opératons Vdéo parte. Racnes carrées, équaton du second degré Vdéo parte 3. Argument et trgonométre Vdéo parte 4. Nombres complexes

Plus en détail

IDEI Report # 18. Transport. December 2010. Elasticités de la demande de transport ferroviaire: définitions et mesures

IDEI Report # 18. Transport. December 2010. Elasticités de la demande de transport ferroviaire: définitions et mesures IDEI Report # 18 Transport December 2010 Elastctés de la demande de transport ferrovare: défntons et mesures Elastctés de la demande de transport ferrovare : Défntons et mesures Marc Ivald Toulouse School

Plus en détail

Analyse des Performances et Modélisation d un Serveur Web

Analyse des Performances et Modélisation d un Serveur Web SETIT 2009 5 th Internatonal Conference: Scences of Electronc, Technologes of Informaton and Telecommuncatons March 22-26, 2009 TUNISIA Analyse des Performances et Modélsaton d un Serveur Web Fontane RAFAMANTANANTSOA*,

Plus en détail

Système solaire combiné Estimation des besoins énergétiques

Système solaire combiné Estimation des besoins énergétiques Revue des Energes Renouvelables ICRESD-07 Tlemcen (007) 109 114 Système solare combné Estmaton des besons énergétques R. Kharch 1, B. Benyoucef et M. Belhamel 1 1 Centre de Développement des Energes Renouvelables

Plus en détail

ÉLÉMENTS DE THÉORIE DE L INFORMATION POUR LES COMMUNICATIONS.

ÉLÉMENTS DE THÉORIE DE L INFORMATION POUR LES COMMUNICATIONS. ÉLÉMETS DE THÉORIE DE L IFORMATIO POUR LES COMMUICATIOS. L a théore de l nformaton est une dscplne qu s appue non seulement sur les (télé-) communcatons, mas auss sur l nformatque, la statstque, la physque

Plus en détail

Exercices d Électrocinétique

Exercices d Électrocinétique ercces d Électrocnétque Intensté et densté de courant -1.1 Vtesse des porteurs de charges : On dssout une masse m = 20g de chlorure de sodum NaCl dans un bac électrolytque de longueur l = 20cm et de secton

Plus en détail

Integral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation

Integral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation Integral T 3 Compact raccordé aux nstallatons Integral 5 Notce d utlsaton Remarques mportantes Remarques mportantes A quelle nstallaton pouvez-vous connecter votre téléphone Ce téléphone est conçu unquement

Plus en détail

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune a, Marc Bourreau a,b et Abel Franços a,c a Télécom ParsTech, Département

Plus en détail

UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS

UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS BRUSSELS ECONOMIC REVIEW - CAHIERS ECONOMIQUES DE BRUXELLES VOL. 49 - N 2 SUMMER 2006 UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS DANS LE SECTEUR DE L ASSURANCE AUTOMOBILE* MARÍA DEL CARMEN MELGAR**

Plus en détail

VIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4

VIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4 GEMINI-E3 XL France Un outl destné à l étude des mpacts ndustrels de poltques énergétques et envronnementales VIELLE Marc CEA-IDEI Janver 1998 I LA STRUCTURE DU MODELE GEMINI-E3 XL FRANCE 3 1 La nomenclature

Plus en détail

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune Marc Bourreau Abel Franços Jun 2006 Département Scences Economques et

Plus en détail

Professionnel de santé équipé de Médiclick!

Professionnel de santé équipé de Médiclick! Professonnel de santé équpé de Médclck! Dosser Médcal Partagé en Aqutane Ce gude vous présente les prncpales fonctonnaltés réservées aux professonnels de santé membres du réseau AquDMP. Sommare Connexon

Plus en détail

1. Les enjeux de la prévision du risque de défaut de paiement

1. Les enjeux de la prévision du risque de défaut de paiement Scorng sur données d entreprses : nstrument de dagnostc ndvduel et outl d analyse de portefeulle d une clentèle Mrelle Bardos Ancen chef de servce de l Observatore des entreprses de la Banque de France

Plus en détail

CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE?

CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? Boulanger Frédérc Avanssur, Groupe AXA 163-167, Avenue Georges Clémenceau 92742 Nanterre Cedex France Tel: +33 1 46 14 43

Plus en détail

Parlons. retraite. au service du «bien vieillir» L Assurance retraite. en chiffres* 639 192 retraités payés pour un montant de 4,2 milliards d euros

Parlons. retraite. au service du «bien vieillir» L Assurance retraite. en chiffres* 639 192 retraités payés pour un montant de 4,2 milliards d euros Édton Pays de la Lore Parlons La lettre aux retratés du régme général de la Sécurté socale 2012 retrate L Assurance retrate en chffres* 12,88 mllons de retratés 17,58 mllons de cotsants 346 000 bénéfcares

Plus en détail

Les prix quotidiens de clôture des échanges de quotas EUA et de crédits CER sont fournis par ICE Futures Europe

Les prix quotidiens de clôture des échanges de quotas EUA et de crédits CER sont fournis par ICE Futures Europe Méthodologe CDC Clmat Recherche puble chaque mos, en collaboraton avec Clmpact Metnext, Tendances Carbone, le bulletn mensuel d nformaton sur le marché européen du carbone (EU ETS). L obectf de cette publcaton

Plus en détail

BTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES

BTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES I. Concepts généraux. Le référentel précse : Cette parte du module M4 «Acquérr des outls mathématques de base nécessares à l'analyse de données économques» est en relaton avec

Plus en détail

Pour plus d'informations, veuillez nous contacter au 04.75.05.52.62. ou à contact@arclim.fr.

Pour plus d'informations, veuillez nous contacter au 04.75.05.52.62. ou à contact@arclim.fr. Régulaton Sondes & Capteurs Détente frgo électronque Supervson & GTC Humdfcaton & Déshu. Vannes & Servomoteurs Comptage eau, elec., énerge Ancens artcles Cette documentaton provent du ste www.arclm.eu

Plus en détail

Interface OneNote 2013

Interface OneNote 2013 Interface OneNote 2013 Interface OneNote 2013 Offce 2013 - Fonctons avancées Lancer OneNote 2013 À partr de l'nterface Wndows 8, utlsez une des méthodes suvantes : - Clquez sur la vgnette OneNote 2013

Plus en détail

santé Les arrêts de travail des séniors en emploi

santé Les arrêts de travail des séniors en emploi soldarté et DOSSIERS Les arrêts de traval des sénors en emplo N 2 2007 Les sénors en emplo se dstnguent-ls de leurs cadets en termes de recours aux arrêts de traval? Les sénors ne déclarent pas plus d

Plus en détail

Table des Matières RÉSUMÉ ANALYTIQUE... 1 I. CONTEXTE... 2 1. La dette publique du Gouvernement... 2 2. Contexte institutionnel de gestion de la

Table des Matières RÉSUMÉ ANALYTIQUE... 1 I. CONTEXTE... 2 1. La dette publique du Gouvernement... 2 2. Contexte institutionnel de gestion de la Out ld éval uat on del aper f or manceen mat èr e degest on del adet t e (empa) Maur t an a Mar s2011 LeeMPA estunemét hodol og epouréval uerl aper f or manceenmat èr edegest on del adet t eàt r aver sunensembl

Plus en détail

RÉSUMÉ ANALYTIQUE... 1

RÉSUMÉ ANALYTIQUE... 1 Out ld éval uat on del aper f or manceen mat èr e degest on del adet t e (DeMPA) Républ quedu Sénégal Ma2010 LeDeMPA estunemét hodol og epouréval uerl aper f or manceenmat èr edegest on del adet t eàt

Plus en détail

Corrections adiabatiques et nonadiabatiques dans les systèmes diatomiques par calculs ab-initio

Corrections adiabatiques et nonadiabatiques dans les systèmes diatomiques par calculs ab-initio Correctons adabatques et nonadabatques dans les systèmes datomques par calculs ab-nto Compte rendu du traval réalsé dans le cadre d un stage de quatre mos au sen du Groupe de Spectroscope Moléculare et

Plus en détail

La Quantification du Risque Opérationnel des Institutions Bancaires

La Quantification du Risque Opérationnel des Institutions Bancaires HEC Montréal Afflée à l Unversté de Montréal La Quantfcaton du Rsque Opératonnel des Insttutons Bancares par Hela Dahen Département Fnance Thèse présentée à la Faculté des études supéreures en vue d obtenton

Plus en détail

Faire des régimes TNS les laboratoires de la protection sociale de demain appelle des évolutions à deux niveaux :

Faire des régimes TNS les laboratoires de la protection sociale de demain appelle des évolutions à deux niveaux : Réformer en profondeur la protecton socale des TNS pour la rendre plus effcace Résumé de notre proposton : Fare des régmes TNS les laboratores de la protecton socale de deman appelle des évolutons à deux

Plus en détail

APPROXIMATION PAR RÉSEAUX À FONCTIONS RADIALES DE BASE APPLICATION À LA DÉTERMINATION DU PRIX D ACHAT D UNE

APPROXIMATION PAR RÉSEAUX À FONCTIONS RADIALES DE BASE APPLICATION À LA DÉTERMINATION DU PRIX D ACHAT D UNE APPROXIMATION PAR RÉSEAUX À FONCTIONS RADIALES DE BASE APPLICATION À LA DÉTERMINATION DU PRIX D ACHAT D UNE OPTION. A. Lendasse, J. Lee 2, E. de Bodt 3, V. Wertz, M. Verleysen 2 Unversté catholque de Louvan,

Plus en détail

Be inspired. Numéro Vert. Via Caracciolo 20 20155 Milano tel. +39 02 365 22 990 fax +39 02 365 22 991

Be inspired. Numéro Vert. Via Caracciolo 20 20155 Milano tel. +39 02 365 22 990 fax +39 02 365 22 991 Ggaset SX353 / französsch / A31008-X353-P100-1-7719 / cover_0_hedelberg.fm / 03.12.2003 s Be nspred www.onedrect.fr www.onedrect.es www.onedrect.t www.onedrect.pt 0 800 72 4000 902 30 32 32 02 365 22 990

Plus en détail

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE DE LA MAÎTRISE EN ÉCONOMIQUE PAR ERIC LÉVESQUE JANVIER

Plus en détail

Prêt de groupe et sanction sociale Group lending and social fine

Prêt de groupe et sanction sociale Group lending and social fine Prêt de roupe et sancton socale Group lendn and socal fne Davd Alary Résumé Dans cet artcle, nous présentons un modèle d antsélecton sur un marché concurrentel du crédt. Nous consdérons l ntroducton de

Plus en détail

ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE

ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE - 1 - ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE 5453F QC FR-2010/01 Taux fxe Le. Devant M e, notare soussgné pour la provnce de Québec, exerçant à. ONT COMPARU : ET : (C-après parfos appelé dans le présent Acte l «emprunteur»

Plus en détail

GENESIS - Generalized System for Imputation Simulations (Système généralisé pour simuler l imputation)

GENESIS - Generalized System for Imputation Simulations (Système généralisé pour simuler l imputation) GENESS - Generalzed System for mputaton Smulatons (Système généralsé pour smuler l mputaton) GENESS est un système qu permet d exécuter des smulatons en présence d mputaton. L utlsateur fournt un ensemble

Plus en détail

GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES

GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES Gude destné au mleu muncpal québécos NOVEMBRE 2013 Coordnaton : Martn Cormer,

Plus en détail

Driss HARRIZI. MOTS CLES : contrôle de gestion - système d'éducation et de formation système d information - établissement public.

Driss HARRIZI. MOTS CLES : contrôle de gestion - système d'éducation et de formation système d information - établissement public. Ver sunenouvel l ecul t ur emanagér al e:mét hodol og e dem seenpl aced unsyst èmedecont r ôl edegest on dansunét abl ssementpubl c Casd uneacadém er ég onal ed éducat onetde f or mat on. Aut eur s:dr

Plus en détail

Calculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria.

Calculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria. 1 CAS nédt d applcaton sur les normes IAS/IFRS Coût amort sur oblgatons à taux varable ou révsable La socété Plumera présente ses comptes annuels dans le référentel IFRS. Elle détent dans son portefeulle

Plus en détail

Projet de fin d études

Projet de fin d études Unversté Franços Rabelas Tours Ecole Polytechnque Unverstare de Tours Département Informatque Projet de fn d études Ordonnancement Juste à Temps avec geston des stocks Chopn Antone Mrault Arnaud 3ème année

Plus en détail

Pro2030 GUIDE D UTILISATION. Français

Pro2030 GUIDE D UTILISATION. Français Pro2030 GUIDE D UTILISATION Franças Contents Garante... Introducton... 1 Artcle nº 605056 Rév C Schéma nº A605056 Novembre 2010 2010 YSI Incorporated. Le logo YSI est une marque déposée de YSI Incorporated.

Plus en détail

Documents de travail. «La taxe Tobin : une synthèse des travaux basés sur la théorie des jeux et l économétrie» Auteurs

Documents de travail. «La taxe Tobin : une synthèse des travaux basés sur la théorie des jeux et l économétrie» Auteurs Documents de traval «La taxe Tobn : une synthèse des travaux basés sur la théore des jeux et l économétre» Auteurs Francs Bsmans, Olver Damette Document de Traval n 2012-09 Jullet 2012 Faculté des scences

Plus en détail

La théorie classique de l information. 1 ère partie : le point de vue de Kolmogorov.

La théorie classique de l information. 1 ère partie : le point de vue de Kolmogorov. La théore classque de l nformaton. ère parte : le pont de vue de Kolmogorov. La sute de caractères comme outl de descrpton des systèmes. La scence peut être vue comme l art de compresser les données quelles

Plus en détail

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Un Peuple - Un But Une Fo MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES DIRECTION DE LA PREVISION ET DES ETUDES ECONOMIQUES Document de traval N 03 GESTION DU RISQUE DE CREDIT ET FINANCEMENT DES ECONOMIES DE

Plus en détail

Surveillance temps-réel des systèmes Homme-Machine. Application à l assistance à la conduite automobile

Surveillance temps-réel des systèmes Homme-Machine. Application à l assistance à la conduite automobile Survellance temps-réel des systèmes Homme-Machne. Applcaton à l assstance à la condute automoble Mguel Gonzalez-Mendoza To cte ths verson: Mguel Gonzalez-Mendoza. Survellance temps-réel des systèmes Homme-Machne.

Plus en détail

Ecole Polytechnique de Montréal C.P. 6079, succ. Centre-ville Montréal (QC), Canada H3C3A7 lucas.greze@polymtl.ca robert.pellerin@polymtl.

Ecole Polytechnique de Montréal C.P. 6079, succ. Centre-ville Montréal (QC), Canada H3C3A7 lucas.greze@polymtl.ca robert.pellerin@polymtl. CIGI 2011 Processus d accélératon de proets sous contrantes de ressources avec odes de chevaucheent LUCAS GREZE 1, ROBERT PELLERIN 1, PATRICE LECLAIRE 2 1 CHAIRE DE RECHERCHE JARISLOWSKY/SNC-LAVALIN EN

Plus en détail

master Objectif Université d Auvergne - Université Blaise Pascal Rentrée 2014 AUVERGNE

master Objectif Université d Auvergne - Université Blaise Pascal Rentrée 2014 AUVERGNE entrée 2014 Objectf master Unversté d Auvergne - Unversté Blase ascal Certans masters sont cohabltés avec d autres établssements d ensegnement supéreur mnstère de l éducaton natonale, de l ensegnement

Plus en détail

Généralités sur les fonctions 1ES

Généralités sur les fonctions 1ES Généraltés sur les fonctons ES GENERALITES SUR LES FNCTINS I. RAPPELS a. Vocabulare Défnton Une foncton est un procédé qu permet d assocer à un nombre x appartenant à un ensemble D un nombre y n note :

Plus en détail

LA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION?

LA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION? LA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION? Anne PERRAUD (CRÉDOC) Phlppe MOATI (CRÉDOC Unversté Pars) Nadège COUVERT (ENSAE) INTRODUCTION Au cours des dernères années, de nombreux

Plus en détail

Montage émetteur commun

Montage émetteur commun tour au menu ontage émetteur commun Polarsaton d un transstor. ôle de la polarsaton La polarsaton a pour rôle de placer le pont de fonctonnement du transstor dans une zone où ses caractérstques sont lnéares.

Plus en détail

P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D

P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D Sommare 1 2 2.1 2.2 2.3 3 3.1 3.2 3.3 4 4.1 4.2 4.3 4.4 4.5 4.6 5 6 7 7.1 7.2 7.3 8 8.1 8.2 8.3 8.4 8.5 8.6 Contenu du carton... 4 Paramétrage... 4 Connexon

Plus en détail

Page 5 TABLE DES MATIÈRES

Page 5 TABLE DES MATIÈRES Page 5 TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE I LES POURCENTAGES 1. LES OBJECTIFS 12 2. LES DÉFINITIONS 14 1. La varaton absolue d'une grandeur 2. La varaton moyenne d'une grandeur (par unté de temps) 3. Le coeffcent

Plus en détail

THESE. Khalid LEKOUCH

THESE. Khalid LEKOUCH N d ordre : /2012 THESE Présentée à la FACULTE DES SCIENCES D AGADIR En vue de l obtenton du GRADE DE DOCTEUR EN PHYSIQUE (Spécalté : Energétque, Thermque et Métrologe) Par Khald LEKOUCH MODELISATION ET

Plus en détail

Manuel d'installation du système

Manuel d'installation du système Manuel d'nstallaton du système Système -énerge pour le chauffage et l'eau chaude GENIA HYBRID INTRODUCTION Tale des matères Gude d nstructons Documentaton produt Documents assocés Explcaton des symoles

Plus en détail

Afflux de capitaux, taux de change réel et développement financier : évidence empirique pour les pays du Maghreb

Afflux de capitaux, taux de change réel et développement financier : évidence empirique pour les pays du Maghreb Global Journal of Management and Busness Research Volume Issue Verson.0 November 20 Type: Double Blnd Peer Revewed Internatonal Research Journal Publsher: Global Journals Inc. (USA) Onlne ISSN: 2249-4588

Plus en détail

Version provisoire Ne pas citer sans l accord des auteurs

Version provisoire Ne pas citer sans l accord des auteurs Verson provsore Ne pas cter sans l accord des auteurs Les détermnants du beson d ade non satsfat des personnes âgées vvant à domcle : un modèle probt bvaré avec sélecton d échantllon Bérengère Davn 1,2,

Plus en détail

GATE Groupe d Analyse et de Théorie Économique DOCUMENTS DE TRAVAIL - WORKING PAPERS W.P. 08-24. Préférences temporelles et recherche d emploi

GATE Groupe d Analyse et de Théorie Économique DOCUMENTS DE TRAVAIL - WORKING PAPERS W.P. 08-24. Préférences temporelles et recherche d emploi GATE Groupe d Analyse et de Théore Économque UMR 5824 du CNRS DOCUMENTS DE TRAVAIL - WORKING PAPERS W.P. 08-24 Préférences temporelles et recherche d emplo «Applcatons économétrques sur le panel Européen

Plus en détail

TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1

TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1 TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1 1. PROBLEMATIQUE 1 2. MISSION 1 3. ACTES D ENQUETE 2 4. ANALYSE

Plus en détail

Comparative performance for isolated points detection operators: application on surface defects extraction

Comparative performance for isolated points detection operators: application on surface defects extraction Comparatve performance for solate ponts etecton operators: applcaton on surface efects extracton R. Seuln, G. Delcrox, F. Merenne Laboratore Le2-12, Rue e la Fonere - 71200 Le Creusot - FRANCE e-mal: ralph.seuln@utlecreusot.u-bourgogne.fr

Plus en détail

Dynamique du point matériel

Dynamique du point matériel Chaptre III Dynaqe d pont atérel I Généraltés La cnéatqe a por objet l étde des oveents des corps en foncton d teps, sans tenr copte des cases q les provoqent La dynaqe est la scence q étde (o déterne)

Plus en détail

INTRODUCTION. Jean-Pierre MAGNAN Chef de la section des ouvrages en terre Département des sols et fondations Laboratoire central

INTRODUCTION. Jean-Pierre MAGNAN Chef de la section des ouvrages en terre Département des sols et fondations Laboratoire central Etude numérque de la consoldaton undmensonnelle en tenant compte des varatons de la perméablté et de la compressblté du sol, du fluage et de la non-saturaton Jean-Perre MAGNAN Chef de la secton des ouvrages

Plus en détail

LICENCE DE SCIENCES PHYSIQUES UV 3LSPH50. Année 2004-2005 MODÉLISATION. Recherche des paramètres d'une représentation analytique J.P.

LICENCE DE SCIENCES PHYSIQUES UV 3LSPH50. Année 2004-2005 MODÉLISATION. Recherche des paramètres d'une représentation analytique J.P. LICENCE DE SCIENCES PHYSIQUES UV 3LSPH50 Année 004-005 MODÉLISATION Recherche des paramètres d'une représentaton analytque JP DUBÈS 3 MODÉLISATION Recherche des paramètres d'une représentaton analytque

Plus en détail

CATALOGUE EXCLUSIF TOUCH MEDIA CATALOGUE DE SITES FORMATS GLOSSAIRE. Notre sélection de supports en représentation exclusive au Maroc

CATALOGUE EXCLUSIF TOUCH MEDIA CATALOGUE DE SITES FORMATS GLOSSAIRE. Notre sélection de supports en représentation exclusive au Maroc CATALOGUE EXCLUSIF Notre sélecton de supports en représentaton exclusve au Maroc CATALOGUE DE SITES FORMATS A PROPOS DE NOUS Make ordnary, Extraordnary Phlosophe Équpe Réactvté est la rége publctare web

Plus en détail