Méningites,Encéphalites. Dr Jean-Luc Meynard Emma Torres IDE Service des Maladies Infectieuses Hôpital Saint Antoine
|
|
- Eliane Gravel
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Méningites,Encéphalites Dr Jean-Luc Meynard Emma Torres IDE Service des Maladies Infectieuses Hôpital Saint Antoine
2 méningites Définition Epidemiologie Signes cliniques Surveillance Traitement Prévention
3 définition Inflammation des méninges d origine infectieuse Les méninges sont les membranes protectrices qui enveloppent: le système nerveux central (SNC), la portion intracrânienne des nerfs crâniens, les racines des nerfs spinaux De la surface vers la profondeur, on distingue: la dure-mère, l'arachnoïde, la pie-mère L arachnoïde séparée de la pie-mère par l espace sous arachnoïdien, est située entre la dure-mère et la pie mère L espace sous arachnoïdien contient le liquide céphalorachidien
4 méningites Définition Epidemiologie Signes cliniques Surveillance Traitement Prévention
5 Epidémiologie (1)
6 Epidémiologie (2) :Agents causals Les méningites bactériennes Agent causal différent selon l âge Tuberculose possible à tous les âges mais terrain particulier Les méningites virales Accompagnant une virose connue (oreillons, VZV) Méningite, expression principale de la maladie ( entérovirus, polio, HSV, VIH) Méningites mycosiques et parasitaires Méningite à cryptocoque chez le patient immunodéprimé
7 Principales bactéries responsables de méningites purulentes aux différents âges de la vie Âge Étiologies principales Adulte > 24 ans Enfant, adolescent, adulte jeune < 24 ans Neisseria meningitidis Streptococcus pneumoniae Listeria monocytogenes Neisseria meningitidis Streptococcus pneumoniae H. influenzae* Nourrisson et enfant 1 à 5 ans Nouveau-né <3 mois * si enfant non ou mal vacciné Streptococcus pneumoniae Neisseria meningitidis H. influenzae* Streptococcus B Entérobactéries Neisseria meningitidis Listeria monocytogenes 43 Méningites
8 meningites Définition Epidemiologie Signes cliniques Surveillance Traitement Prévention
9 Clinique Formes communes Diagnostic aisé en cas de syndrome méningé fébrile
10 Forme typique de méningite aiguë chez l adulte : Syndrome infectieux : fièvre élevée >39C Syndrome méningé : céphalées surtout frontales, déclenchées par bruits (phonophobie) et lumière (photophobie) vomissements en jet Raideur méningée avec attitude antalgique en chien de fusil : Raideur douloureuse à la flexion passive de la nuque Rechercher troubles de conscience La méningite aiguë peut s exprimer différemment selon le terrain
11 SIGNES DE GRAVITE Signes neurologiques témoignant d une atteinte encéphalitique associée : troubles de la conscience, crise d épilepsie, signes déficitaires on parle alors de MENINGO-ENCEPHALITE atteinte du tronc cérébral associée : atteinte des paires crâniennes, désordres cardio-respiratoires MENINGO-RHOMBENCEPHALITE Purpura extensif (extravasation de sang dans le derme et l'hypoderme, caractère essentiel du purpura est que les tâches ne s'effacent pas à la vitropression) Purpura fulminans: purpura dont les éléments s étendent rapidement en taille et en nombre avec au moins un élément nécrotique > 3 mm de diamètre associé à un syndrome infectieux sévère ( hypotension )
12
13
14 Comment affirmer le diagnostic? Ponction lombaire Urgence Pour ne pas retarder l antibiothérapie d une méningite bactérienne L imagerie cérébrale avant la PL ne se discute que Signes de localisation neurologiques Crise d épilepsie focale ou généralisées récentes
15 Conduite à tenir en attendant résultat de la PL Mise en place de la surveillance Pouls, tension, conscience, peau Rechercher signes de gravité Purpura extensif Troubles des fonctions supérieures Signes de localisation Glascow < 8
16 Score de glasgow /15 Ouverture des yeux : Spontanée 4 Sur ordre 3 A la douleur 2 Absence 1 Réponse motrice Sur ordre 6 Localisée vers le stimulus 5 En flexion 4 Décortication 3 Décérébration 2 Absence 1 Réponse verbale : Orientée 5 Confuse 4 Mots inappropriés 3 Incompréhensible 2 Absence 1
17 PONCTION LOMBAIRE
18 Objectif pédagogique Préparation et surveillance d un patient lors d une ponction lombaire en étant garant de la qualité du soin et de la sécurité pour le patient : préparation psychologique du patient en vue d optimiser les conditions de déroulement de l examen. Favoriser l asepsie du prélèvement de LCR (liquide céphalo-rachidien) Prévenir les complications et incidents à court et moyen terme.
19 Définition : Introduction d une aiguille dans l espace sous-arachnoïdien entre L4-L5 en vue de prélever une fraction de LCR. Cadre législatif Geste relevant d un acte médical. Rôle IDE de collaboration: art R décret du 29/07/2004 Surveillance relevant du rôle propre IDE : art R décret du 29/07/2004
20 Ponction Lombaire Indications à visée diagnostique (analyse de la composition du LCR) : syndrome méningé Contre-indications Absolues : Hypertension intracrânienne tumeur intracérébrale ou intra médullaire. Relatives : Infections cutanées localisées plaies présentant des risques de dissémination troubles de l hémostase.
21 Préparation du matériel non stérile : chariot de soins préalablement désinfecté étiquettes d identification du patient demande de bactériologie,anapath, biochimie,virologie identifié au nom du patient (autres en fonction de la prescription) gants pour l infirmière masque simple (1 pour chaque soignant) bétadine scrub bétadine dermique ou alcoolique (selon protocole CLIN) sérum physiologique patch d EMLA selon PM à appliquer 30mn avant le geste si besoin prémédication PO sur PM si besoin
22 Préparation du matériel non stérile : oreiller ou couverture roulée pour mettre sur les genoux du patient (dos rond) conteneur à aiguilles souillées sacs à déchets (DASRI/DAOM) Préparation du Matériel stérile : une paire de gants (taille en fonction du médecin) aiguille à PL (3 en cas d èchec) compresses Champs (troué et non troué) pansement occlusif 4 pots (ou plus selon les pathologies)
23 Etape 1:Explication du soin au patient Prélever une glycémie ou dextro pour l interprétation des résultats (normalement la glycorachie = ½ glycémie) Etape 2: Préparation du matériel Etape 3: Installation du patient Soit assis au bord du lit, jambe pendante Soit couché position en «chien de fusil» (dans les 2 cas : dos rond bras croisés sur un oreiller maintenu sur l abdomen : tête fléchie, menton sur la poitrine) Repérage du point de ponction par le médecin Désinfection du dos (selon protocole du CLIN) FHA et pose gants stériles pour le médecin Pose de gants non stériles pour IDE Mise en place du champs stérile
24
25
26 Etape 4 : Déroulement de l acte médical Ponction récupération du LCR (liquide céphalo-rachidien) dans les 4 tubes stériles identifiés (1 er,2 ème, 3 ème,4 ème ) Chez l adulte recueillir 10 gouttes maximum de LCR par tube (sauf demande particulière)
27 Mettre les tubes dans les sachets avec les demandes Retrait de l aiguille et évacuation dans le conteneur à aiguilles souillées Mise en place d un pansement sec, stérile Lavage simple des mains après le retrait des gant ou FHA installation du patient confortablement (la position allongée n est plus une obligation) Acheminer les tubes dans les différents labo Certains germes sont très fragiles notamment au froid les envoyer dans les plus brefs délais(anapath,bactério) rangement,désinfection, évacuation du matériel
28 Risque de malaise vagal pendant et après l examen Etat de conscience Tension artérielle Pouls Risque de syndrome post PL (devenu exceptionnel avec les aiguilles de type «crayon» surveillance de la douleur EVA (échelle visuelle analogique)
29
30 Céphalées post-pl (nausées, vomissements, vision floue, hypoacousie, acouphène, vertiges) déclenchées par l orthostatisme, survenant dans les 24 heurs suivants le geste si les céphalées persistent au-delà de 3 jours, une injection épidurale de sang autologue ou de macromolécules ( si méningite authentifiée) (blood-pacth) est proposé (effet antalgique immédiat) Des antalgiques peuvent être prescrits si céphalées importantes (caféine IV : vasoconstriction cérébroméningée)
31 Risque infectieux: Pouls Température, céphalées, troubles de conscience surveillance du point de ponction (inflammation, écoulement, saignement..) administration et surveillance de l antibiothérapie selon la prescription surveillance de la VVP(voie veineuse périphérique)
32 ANALYSE DU LCR Aspect macroscopique: liquide clair= eau de roche, liquide trouble Analyse cytologique: nombres d éléments, formule leucocytaire (PNN, Lymphocytes) Analyse biochimique: protéinorachie, glycorachie, Analyse bactériologique: examen direct et mise en culture Aussi recherche d Ag solubles bactériens, examen parasitologique, mycologique, PCR
33 LCR normal Macroscopie : clair, eau de roche Eléments: <10 éléments/mm3 Glycorachie> 0,5 x Glycémie Protéinorachie < 0,45g/l Examen direct négatif
34 Méningite purulente Macroscopie: trouble Eléments: >1000/mm3 dont >50% de PNN Glycorachie< 0,5 x glycémie Protéinorachie >1g/l Examen direct: + dans 60% des cas, si négatif : méningite décapitée
35 Méningite à liquide clair Macroscopie: clair Eléments: 10 à 1000/mm3 dont >50% de lymphocytes Glycorachie: >0,5 x Glycémie : viral, <0,5 x Glycémie : listéria ou BK Protéinorachie: <1 g/l si virale, >1g/l si bactérien Examen direct négatif si viral, positif parfois si BK ou listéria Méningite virale ou bactérienne (listeria/bk)
36 Résultats PL PL normale Méningites bactériennes Méningites virales Proteinorachie <0.5 g/l > 0.5 g/l > 0.5 g/l Glycorachie > 2/3 glycémie diminuée normale cellularité < 5 éléments augmentée augmentée formule Non faite PNN ( méningo, pneumo, listéria,hémophilus) lymphocytes Lymphocytes : tuberculose ou listériose Examen direct négatif Variable selon le germe négatif culture négatif positive Négative PCR Herpes, Entérovirus, VZV
37 AUTRES EXAMENS Bilan standard CRP Hémocultures Ag solubles bactériens dans sang, urines PCR sur le LCR en fonction du contexte ( Herpes, CMV, VZV, Entérovirus) ECBU Radiographie du thorax, sinus
38 Surveillance Surveiller les constantes : pouls, TA, T, conscience, fréquence respiratoire, revêtement cutané, examen neurologique avec le score de glasgow Surveiller perfusion : l antibiotique passe t il bien? Diffusion? Tolérance antibiotique
39 Méningites à méningocoque (1) Agent causal Diplocoque à Gram négatif PL : méningite purulente hypoglycorachique Met en jeu le pronostic vital Mortalité : 5 % si pas de purpura fulminans 20 à 30 % si purpura fulminans Urgence thérapeutique Déclaration obligatoire
40 Méningites à méningocoque (2) Epidémiologie 1000 cas par an en France Réservoir strictement humain (rhinopharynx de l homme) Diffusion par voie hématogène à partir d un portage rhino-pharyngé Responsable de 75 % des méningites bactériennes avant 25 ans Mortalité et morbidité plus importante chez l enfant ( morbidité 43 %) Transmission interhumaine directe par voie aérienne Isolement respiratoire initial
41 Méningites à méningocoque (3) Purpura Fulminans Purpura extensif Choc Hypovolémique Indication a antibiothérapie d extreme urgence Ceftriaxone
42 Méningites à méningocoque (4) Antibiothérapie Méningocoque Céphalosporine 3 eme génération par voie injectable cefotaxime (200 mg/kg/j) ou ceftriaxone ( mg/kg/j) Les C3G permettent d éradiquer le portage 5 à 7 jours Pas de PL de controle Isolement respiratoire pdt heures Pas d intérêt de la corticothérapie
43 Méningites à méningocoque Modalités de la chimioprophylaxie Doit être réalisée autant que possible dans les 24 à 48 heures suivant le diagnostic de cas d infection invasive à méningocoque Rifamicine par voie orale pendant 2 jours Adulte 600 mg, 2 fois par jour Indications : sujets ayant eu contacts étroits et prolongés avec le cas dans les 10 jours précédents Vaccinations Si sérogroupe A, C, Y, W 135
44 Méningites bactériennes Pneumocoque 1 ere étiologie des méningites purulentes chez l adulte Coque Gram + PL: méningite purulente hypoglycorachique Il existe des facteurs de risque : Atcd de trauma cranien, chirurgie endonasale, otoneurochirurgicale Infection des voies respiratoires asplénisme Mortalité : %, séquelles ds 30 % des cas Réaliser systématiquement un TDM cérébral ( porte d entrée ORL, brèche)
45 Méningites à S. pneumoniae Traitement antibiotique Céphalosporine de 3 eme génération forte dose Durée de traitement j
46 Méningites à S. pneumoniae Corticothérapie initiale ( diminue mortalité) Dexamethasone 10 mg/6h pendant 2 jours 1 ére injection à débuter avant ou au moment de l injection de la première dose d antibiotique Pas de transmission interhumaine donc pas de prophylaxie ni d isolement
47 Méningites bactériennes Listeria Bacille gram + Porte d entrée digestive et envahissement du SNC par voie hématogène 100 cas par an lésions prédominantes au niveau du tronc cérébral Facteurs prédisposants : age avancé, grossesse, éthylisme, déficit immunitaire(corticothérapie, chimiothérapie) Traitement: Amoxicilline 200 mg/kg /j IV + genta 3 mg/kg 3 semaines Pas de transmission interhumaine
48 Méningites lymphocytaires hypoglycorachiques de l adulte et de l enfant de plus de 5 ans Méningite tuberculeuse Surtout observé chez les patients immunodéprimés Début progressif Les signes méningés peuvent être au second plan Signes de focalisation fréquents Traitement antituberculeux classique ( durée 12 mois + corticoides ) Méningite à Listeria Méningite à cryptoccoque Méningite ourlienne
49 Méningites lymphocytaires normoglycorachiques de l adulte et de l enfant de plus de 5 ans Méningites aigues Le plus souvent virale Sujets jeunes, contexte épidémique Entérovirus, oreillons Penser à la primo-infection à VIH
50 Méningo-encéphalite (1) Syndrome méningé fébrile Troubles de conscience Signes de localisation ( crise d épilepsie) Étiologies Virales: HSV, VZV, CMV, VIH, Entérovirus, Lyme, Grippe Bactériennes : Tuberculose, Listériose Parasites champignons : paludisme, cryptocoque
51 Méningo-encéphalite (2) Arguments du diagnostic Ponction lombaire Imagerie cérébrale EEG
52 Méningo-encéphalite (3) Méningoencéphalite herpétique Urgence diagnostique et thérapeutique Début brutal PL : Méningite lymphocytaire normoglycorachique PCR herpes sur LCR Traitement Acyclovir IV
53 Conclusion Les agents responsables des méningites varient en fonction de l âge et du terrain Seule la PL permet de les différencier de façon certaine Les méningites bactériennes mettent en jeu le pronostic vital Le purpura fulminans justifie le début de l antibiothérapie avant la PL Les sujets en contacts étroits avec un patient ayant une méningite à méningocoque doivent recevoir une prophylaxie Parmi les causes de méningo-encéphalite, la méningoencéphalite herpétique est la plus grave et doit être systématiquement suspectée
54 BACK UP
55
56 Etiologie des méningites en fonction de l âge 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% S. agalactiae S. pneumoniae L. monocytogenes N. meningitidis H. influenzae 30% 20% 10% 0% < 2 mois 2-11 mois 1-2 ans 3-14 ans ans ans ans > 64 ans Total Adultes * Cas redressés et corrigés, Réseau EPIBAC, InVS
57 Méningites à méningocoque Attitude thérapeutique et suivi En cas de purpura fulminans URGENCE ere injection d antibiotique SAMU (délai +++)
58
Syndromes méningés de l'adulte
Syndromes méningés de l'adulte Conférence d actualisation de la SFAR 1996 Ce document, établi d après la conférence d actualisation de la Sfar en 1996 a été élaboré à partir de la présentation de : AM
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailGestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015
Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailCEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailGuide des vaccinations Édition 2006. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations
Guide des vaccinations Édition 2006 Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations 200 La vaccination contre les infections invasives à méningocoque Depuis l introduction du vaccin contre
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailA C T I V Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007
Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007 Edouard BINGEN, Robert COHEN, Corinne LEVY, France de La ROCQUE, Emmanuelle VARON, Yannick AUJARD, pour le GPIP-ACTIV Objectifs de l Observatoire des Méningites
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailLes céphalées aux urgences. G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie
Les céphalées aux urgences G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie Céphalées et urgences Pathologie très fréquente dans la population générale ; 5 ième motif de consultation aux urgences (Minen
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailLes Arbres décisionnels
Les Arbres décisionnels Les aides à la décision plainte-traitement (ou arbres décisionnels ) sont tirés de travaux effectués dans le cadre de l Organisation Mondiale de la Santé. Ils sont destinés à soutenir
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailCONVULSIONS DE L ENFANT Item 190 JP. CARRIERE
CONVULSIONS DE L ENFANT Item 190 JP. CARRIERE Les crises convulsives sont les symptômes les plus fréquents en pratique neurologique pédiatrique. Ce terme a la même signification que «crise épileptique»
Plus en détailFièvre sans foyer chez l enfant de moins de 3 mois
Fièvre sans foyer chez l enfant de moins de 3 mois Dr Sophie Blumental Service de Maladies Infectieuses Pédiatriques Hôpital Universitaire des Enfants Reine Fabiola Bruxelles INTRODUCTION Fièvre = symptôme
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailInfection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailmal de tête d installation subite 12/10 Éliminer une céphalée secondaire
LES CÉPHALÉES 4 e Forum Département de médecine familiale et de médecine d urgence St-Georges de Beauce le 29 mai 2009 Les céphalées: objectifs Appliquer un algorithme diagnostique des céphalées Reconnaître
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailDes soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6
Des soins après avortement : Amis des Jeunes Cartes à conseils 1-6 SAA: Avant l intervention Accueillir cordialement la cliente et la mettre à l aise Garantir la confidentialité et l intimité Prendre les
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailLa version électronique fait foi
Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.
Plus en détailL ANGINE. A Epidémiologie :
L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailVous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à
Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailL infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.
Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un
Plus en détailFaq 1 - Mener l interrogatoire et l examen clinique d un enfant fébrile
Fièvre aiguë de l enfant (et de l adulte : non traité) Critères de gravité d un syndrome infectieux Auteurs : J. Gaudelus, M.Voisin Objectifs : Objectifs terminaux Diagnostiquer une fièvre aiguë chez l
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailLe psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se
Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailBienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques
SIP Août 2010 Route : 354 Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques Août 2010 1 Table des matières 1. Présentation du service p 3 2. Pathologies les plus courantes aux SIP. P 5 3. Objectifs de stage p
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailClassification internationale des céphalées, 2 édition (d après l Internationial Headache Society,
Dr A.Donnet (1), (2) La céphalée est motif de consultation important. Sa prévalence est estimée à 90% dans les pays occidentaux (1) La plupart sont des céphalées primaires mais 1 à 4% sont des céphalées
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailItem 201. Évaluation de la gravité et recherche des complications précoces chez un traumatisé crânio facial : fracture du rocher.
Item 201. Évaluation de la gravité et recherche des complications précoces chez un traumatisé crânio facial : fracture du rocher. I. INTRODUCTION II. MECANISME DES FRACTURES DU ROCHER III. TABLEAU CLINIQUE
Plus en détailLe problème de la première ou nouvelle. céphalée. Il faudra avant tout :
Les céphalées Le problème de la première ou nouvelle Il faudra avant tout : céphalée Rechercher des signes d alarme Rechercher avant tout le caractère secondaire de la céphalée Signes d alarme Début après
Plus en détailTRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ
TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ «Un atelier de deux jours en spécialité EMDR» Présenté par Dr Steven MARCUS,, Ph.D 30 AVRIL & 1er MAI 2011 A PARIS SAMEDI 30 AVRIL : 9H - 16H30 - DIMANCHE 1ER
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailQuelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?
53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées
Plus en détailLa Responsabilité Civile De L anesthésiste
La Responsabilité Civile De L anesthésiste Point de vue du médecin conseil de l assurance Saint-Luc, 9 juin 2004 Fondements de la Art 1382 code civil Une faute Un dommage responsabilité Un lien de causalité
Plus en détailDocteur, j ai pris froid!
Dr j ai pris froid: Objectifs Docteur, j ai pris froid! Jean-Paul Humair Avec la contribution de MC Kramer Colloque SMPR 21.12.2011 Connaitre l épidémiologie des infections des voies respiratoire sup (IVRS)
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailDÉRIVATION VENTRICULAIRE EXTERNE (DVE)
Hôpital de Bicêtre Département d Anesthésie-Réanimation Service de Neurochirurgie DÉRIVATION VENTRICULAIRE EXTERNE (DVE) Mise à jour 2008 1 SOMMAIRE Points essentiels...3 Définitions et généralités...4
Plus en détailAblation de sutures. Module soins infirmiers
Ablation de sutures Module soins infirmiers Equipe enseignante de l IFSI du Centre Hospitalier de ROUBAIX Diaporama réalisé par : Stéphane Dubus, Formateur I. Définition Il s agit d ôter les sutures cutanées
Plus en détailLES CEPHALEES I- INTRODUCTION
Cours Magistraux Pr. S. AIDI LES CEPHALEES I- INTRODUCTION La céphalée désigne classiquement une douleur ressentie au niveau du crâne. Les céphalées sont extrêmement fréquentes et relèvent de causes multiples.
Plus en détailMigraine et mal de tête : des "casse-tête"
Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,
Plus en détailConsignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2
Généralisation 2014 d un recueil d indicateurs pour l amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé de soins de courte durée Consignes de remplissage - Grille
Plus en détailLA PERTE DE CONSCIENCE
CES QUELQUES NOTIONS PEUVENT SAUVER DES VIES. PENSEZ Y SV D URGENCES Pompiers et service médical urgent : 100 Police : 101 L'HEMORRAGIE Comment reconnaître une hémorragie? Le sang s'écoule abondamment
Plus en détailSuivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation
SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de
Plus en détailSport et traumatisme crânien
Sport et traumatisme crânien Sylma M Pamara DIABIRA Neurochirurgie, CHU Rennes Commotion cérébrale «Perturbation physiologique, en général transitoire, de la fonction cérébrale à la suite d'un traumatisme
Plus en détailItem 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre)
Annales de dermatologie et de vénéréologie (2012) 139, A57 A61 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com I. MODULES TRANSDISCIPLINAIRES Module 7 : Santé et environnement, maladies transmissibles Item
Plus en détailBMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents
BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailFièvre chez un patient immunodéprimé.
Fièvre chez un patient immunodéprimé. N 187. Fièvre chez un patient immunodéprimé Connaître les situations d'urgence et les grands principes de la prise en charge. Connaître les principes de la prise en
Plus en détailPrépration cutanée de l opéré
Prépration cutanée de l opéré Xème Journée d Hygiène Hospitalière de Bizerte. Bizerte le 3 décembre 2005 Conférence de Consensus de la Société Française d Hygiène Hospitalière 1 Définition: Ensemble de
Plus en détailMinistère du travail, de l emploi et de la santé
Secrétariat d Etat à la santé Ministère du travail, de l emploi et de la santé Direction générale de la Santé Sous -direction Prévention des risques infectieux Bureau Risques infectieux et politique vaccinale
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailOrientation et prise en charge d une céphalée. Dr Valérie Domigo Service de Neurologie Unité Neuro-vasculaire Hôpital Sainte Anne
Orientation et prise en charge d une céphalée Dr Valérie Domigo Service de Neurologie Unité Neuro-vasculaire Hôpital Sainte Anne Interroger Examiner Soulager orienter INTERROGER: 1. PROFIL EVOLUTIF de
Plus en détailDéficit neurologique récent. Dr N. Landragin CCA Neuro
Déficit neurologique récent Dr N. Landragin CCA Neuro Question vague: couvre toute la neurologie... ou presque... comprendre une démarche diagnostique en neurologie...? Cas clinique n 1 Mlle M, 21 ans,
Plus en détailEtat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC
1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailExemple de Projet d Accueil Individualisé ELEVE CONCERNE
Exemple de Projet d Accueil Individualisé Circulaire projet d accueil n 2003-135 du 08/09/2003 (Bulletin Officiel n 34 du 18/9/2003) Circulaire restauration scolaire n 2001-118 du 25/06/2001(BO Spécial
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailLA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT!
LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT! Douleur induite Douleur induite Douleur de courte durée, causée par le soignant ou une thérapeutique dans des circonstances de survenue prévisibles et susceptibles
Plus en détailATTENTES DE L ÉQUIPE & MFP
B R O C H U R E 2 0 1 2 US52 HÉMATOLOGIE À L ATTENTION DES ÉTUDIANT(E)S EN SOINS INFIRMIERS z Bienvenue à l US52 z Le 52,qu est-ce que c est? L unité 52 est un service d hospitalisation d hématologie adulte.
Plus en détailOtite Moyenne Aiguë. Origine bactérienne dans 70 % des cas. Première infection bactérienne tous âges confondus
Otite Moyenne Aiguë OMA / modèle Origine bactérienne dans 70 % des cas Première infection bactérienne tous âges confondus Efficacité prouvée des antibiotiques Une des première cause d utilisation des antibiotiques
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détail