Epidémie de varicelle dans une maison d accueil spécialisée pédiatrique en Champagne-Ardenne

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Epidémie de varicelle dans une maison d accueil spécialisée pédiatrique en Champagne-Ardenne"

Transcription

1 Epidémie de varicelle dans une maison d accueil spécialisée pédiatrique en Champagne-Ardenne Martine BLASSIAU, cadre coordonnateur Resclin-Champagne-Ardenne, Arlin du CClin Est Dr Chrystelle SCHEPENS, CRFME de Warnécourt Centre de Réadaptation Fonctionnelle et de Rééducation Motrice pour Enfants 147Rte de Charleville WARNECOURT 1 Tél :

2 Présentation de l établissement Situé dans les Ardennes CRFME de Warnécourt Centre de Réadaptation Fonctionnelle et Rééducation Motrice pour Enfants De l UGECAM Nord Est Instances institutionnelles communes avec le site adulte (CRFA et Soins de Suite et de Réadaptation) Mixte sanitaire et médico-social 2

3 Présentation de l établissement Environ 140 enfants suivis Pathologies très diverses : Chroniques : infirmités motrices cérébrales, polyhandicaps sévères, pathologies neuro-musculaires, traumatisés crâniens, Aigues : pathologies tumorales, chirurgie orthopédique, brûlures 3

4 Activités et personnels Activités variées Consultations externes, Soins à domicile (SESSAD), Externat Hôpital de jour Internat continu ou partiel Gestion du RIAS Président de Clin Cadre de santé Equipe active de correspondants 4

5 Equipes: Médicale, Activités et personnels Para médicale : IDE, AS, kiné, ergothérapeutes, orthophonistes, psychologue, psychomotriciens, neuropsychologue, orthoptiste, orthoprothésistes Médico-sociale : éducateur, AMP Éducative : professeur d éducation physique, enseignement Logistique : personnels de cuisine Administrative Technique : chauffeurs 5

6 Organisation des locaux et des activités 3 secteurs distincts (selon le décret n fixant les conditions d agréments des étblts prenant en charge les enfants handicapés, déficients) Sanitaire, 24 ter (polyhandicapés) 24 bis (handicapés plus légers scolarisation possible) décloisonnements partiels (hébergements, salles éducatives) Les soins de rééducation sont réalisés : En chambre: kiné respiratoire Dans les services d hébergement: verticalisation, orthophonie Au sein du plateau technique (autre aile du bâtiment): marche, piscine 6

7 Modes de transport des patients Selon le type de prise en charge (hôp jour, CS, ) Modes de transports diversifiés Familles VSL Transporteurs privés Chauffeurs de l établissement, Selon les possibilités familiales et conventions mises en place 7

8 Rappel varicelle Maladie infantile bénigne Phase d incubation : 7 à 21 jours, 14 jours en moyenne, silencieuse, avec contagiosité dans les 48 heures précédant l éruption par voie air et contact Phase d invasion: peu spécifique, contagiosité+++, éruption typique de vésicules prurigineuses, en nombre très variable d un seul élément à la varicelle profuse, par poussées pendant 1 semaine en moyenne, - Guérison : dessication complète des vésicules (arrêt de contagiosité) Mais Risques de complications Surinfections cutanées Pneumopathie varicelleuse Encéphalopathies 8

9 Population à risque: Insuffisants respiratoires, Immunodéprimés Rappel varicelle Femmes enceintes (au contact des patients) Statut immunitaire parfois difficile à connaître: Pour les patients (rupture familiale) Pour le personnel (oubli d une maladie infantile banale, pas de recherche systématique pour la médecine du travail) Sérologies possibles mais résultat non immédiat 9

10 Non obligatoire Vaccination varicelle Vaccin vivant atténué Possible dans les 3 jours suivant le contact Risques de complications pour certains enfants, Recommandations actuelles, à partir de 4 ans en cas de contact, à partir de 12 ans si statut non immun Sérologies possibles mais de résultat non immédiat 10

11 Description de l épidémie 11

12 Synoptique de l épidémie ALERTE Cas index Cas 2 et 3 Cas 4, 5, // juin Juillet Cas déclaré au CRFME Cas déclaré hors CRFME 12

13 21/06/2010 Cas index Diagnostic de varicelle chez une pensionnaire de 6 ans, de retour d un séjour de 3 jours en Center Parc avec des éducateurs et plusieurs autres enfants de l établissement Repas au réfectoire avant diagnostic Vue par un médecin du Centre: sortie le jour même au domicile en raison de sa contagiosité Contexte familial épidémique, connu par la famille (frère) mais non communiqué au Centre 13

14 Cas N 2 et 3 05/07/2010 Diagnostic de varicelle d une patiente de 3 ans de retour du domicile après le week-end sortie immédiate au domicile. 06/07/2010 Diagnostic de varicelle d un patient en internat continu Sortie à domicile impossible (contexte familial) Mesures barrières pour le patient 3: précautions contact et air 14

15 Cas n 4, 5 et 6 Alerte : 3 cas/2 jours, secteur polyhandicapés Lundi 19/07/2010 Eruption typique chez 2 patients dont le retour à domicile est impossible Mise en place de mesures barrières Mardi 20/07/2010 Eruption chez un 6 ème enfant Situation particulièrement à risque en soins externes: Une patiente en cours de chimiothérapie: risque de varicelle grave+++ Le médecin appelle la présidente du Clin de l établissement 15

16 Intervention des instances et des ressources extérieures 20/07/2010 : contacts structures d appui ou instances Présidente du CLIN Médecin anciennement Resclin (Dr REVEIL) Resclin : contact avec M. Blassiau Cclin Est Mise en place de mesures barrières en urgence (précautions complémentaires) Conseils sur la suite des démarches à effectuer déclaration ARS, cellule de crise, descriptif des cas recherche des statuts immunitaires, vaccinaux, des contacts patients et personnels, Envoi de documents spécifiques pour aide à la gestion d une épidémie de varicelle Visite dans l établissement prévue au plus vite, soit le 23/07 Réunion téléphonique avec l ARS (cellule veille sanitaire) CIRE EST, Médecin du travail Médecin infectiologue du CHU de Reims 16

17 L alerte :en pratique Le même jour 1 ère série de mesures Instauration d une cellule de crise en présence : Pour Directeur Médecin Cadres présents, Correspondants en hygiène présents Informer les familles, les personnels Débuter l enquête des cas, Gérer les décisions rapides au cas par cas Mettre en place les mesures préconisées : air, contact, circuits Prévoir le suivi de l épidémie, réajustement des mesures selon évolution épidémique 17

18 L alerte : en pratique Gestion des décisions rapides au cas par cas Transport collectif d enfants contact / non contact / immunisés / non immunisés Retour à domicile des patients qui le peuvent Annulation piscine : cours de préparation à l accouchement Information des transports, Mise en place les mesures préconisées (air et contact) disponibles en prévision du plan grippe, Masques FFP2, surblouse Circuits patients et personnels dans l établissement Hygiène et précautions pour les transports, Modalités des prises en charge thérapeutiques (séances ne pouvant être différées) en terme de poursuite et de mesures d hygiène 18

19 1 ère visite sur site du Resclin 23/07/2010: 2 ème série de mesures En collaboration : Adaptation des mesures d hygiène complémentaires, Révisions des pratiques et produits utilisés pour le bionettoyage Sectorisation des patients Zone malades Zone contacts Sectorisation du personnel Personnel dédié : difficile en période de congés Devant l impossibilité Mesures complémentaires ajustées: Respect de circuits internes (tenue : habillage) 19

20 1 ère visite sur site du Resclin Prévision des démarches Suivi en cellule de crise Affichage des circuits Information des personnels présents Transmissions aux personnels de garde pour le week-end Des mesures prises Prévision de la suite des mesures à prendre en fonction de l évolution naturelle de la maladie (période d incubation) en fonction des impératifs des services accueil prévu de patients 20

21 2 ème visite sur site du Resclin 29/07/2010 : 3 ème série de mesures Réajustement à partir de l évolution de l épidémie Constitution d une zone saine (sanitaire) Accueil de patients de l extérieur 5 polyhandicapés normalement hébergés de façon permanente dans un établissement fermant pendant les vacances, accueil planifié de longue date 1 enfant grand brûlé, 3 vaccinés pour la circonstance, mais immunité encore non acquise ou incertaine Aile dédiée «malades» (partie du 24 Ter) Pour accueil de 3 patients, personnels en partiedédiés Reste de l établissement en zone contact (y compris la restauration des enfants) Zone de restauration des personnels : dédiée 21

22 Levée des mesures 12/08/2010 : A partir du suivi de l évolution de l épidémie, des données fournies au Resclin - Dernier cas déclaré : 25 juillet - 2 enfants partis en vacances au domicile familial - 1 enfant reste en permanence Décisions prises en accord avec le Resclin, Désinfection de la zone malade, Remise en service du secteur dédié après guérison déclarée du dernier malade 20/08/2010 : Fin d épidémie déclarée L établissement reprend son organisation antérieure 22

23 Bilan des cas 12 cas Déclarés du 21/06 au 26/07/2010 Aucun décès, Mais Une hospitalisation d une semaine pour dégradation de l état général chez un patient polyhandicapé, dont la durée d évolution a été d un mois à partir du 1 er jour de l éruption 23

24 Problématique Période estivale : Temps distincts à cheval sur 3 mois : Juin : fonctionnement normal, avec des sorties et des fêtes de fin d année scolaire Juillet : fonctionnement normal jusqu au 23 mais congés déjà en cours pour personnels et certains enfants Août :congés du centre prévus du 23/07/2010 au 30/08/2010, Pas de fermeture, mais congés pour la plupart des enfants Période de fonctionnement restreint pour le plateau technique, les thérapeutes, les éducateurs etc 24

25 Problématiques rencontrées Liées à la pathologie Pathologie connue comme bénigne, difficultés à informer et à convaincre de l importance des risques Vaccination existante mais non obligatoire ni forcément recommandée Statut immunitaire irrégulièrement recherché ou connu à l admission des enfants et jamais recherché pour le personnel 25

26 Problématiques rencontrées Liées aux mesures Souffrance des patients («isolement») Souffrance du personnel dans le respect : - Des circuits, - Tenue :masques, habillage, - Surcroît de travail, - Bouleversement des horaires et des habitudes Constitution de circulations rationnelles : Avec matériel adéquat aux entrées et sorties de zone, en quantité suffisante (masques, surblouses ) 26

27 Problématiques rencontrées Liées aux mesures Transmission : entre les équipes parfois difficile (équipes de nuit, de week-end), voire intervenants extérieurs (propreté, transports privés ) Consignes : le respect est apparu très lié à leur compréhension par le personnel, avec difficultés à «suivre» les réajustements au fur et à mesure de l évolution des événements Traçabilité : nécessité accrue des mouvements de personnes 27

28 Problématiques rencontrées Liées au contexte Période de vacances : A la fois période : Difficile en raison du manque de personnel, Mais Personnels médical et paramédical du Centre Personnels des institutions et autres structures ressources, L absence a toujours pu être palliée Favorable pour l extinction de l épidémie par le retour de beaucoup d enfants en famille 28

29 Problématiques rencontrées Liées au contexte Fonctionnement atypique, mixte, d un établissement pédiatrique, avec décloisonnements, animations, mais aussi partie sanitaire importante, plateau technique pouvant servir à d autres structures, multiplicité des intervenants (stagiaires IDE, stagiaires kinésithérapeutes ) Transports quotidiens : source de contagion, Nombreux déplacements, rencontres : fête de la musique Dernier contact «non maîtrisé» : un enfant en cours d incubation, non patient, frère de 2 patientes de l établissement, s étant «promené» dans l établissement 29

30 Analyse de situation Cas index : Risque de transmission non évalué pour contacts du 1 er cercle Mesures globales de lutte contre la diffusion de l épidémie mais mise en place tardive Liés à l éviction du centre impossible pour certains enfants Retard à l instauration des précautions complémentaires appropriées quand : contacts non recensés et traités comme tels dès 1 er cas Recenser sur calendrier dès le 1er cas pour détecter 30

31 Analyse de situation Problème de l information des familles en amont : Sur risque de contagiosité encouru pour la collectivité la famille du cas princeps informée par le médecin de famille (de la très probable contagion de la petite patiente) N a pas informé le Centre, n ayant pas mesuré les conséquences d une épidémie ni celles de la varicelle parmi des enfants plus lourdement handicapés ou plus fragile que leur fille 31

32 Analyse de situation Problème de la reproductibilité de la méthode en dehors d une période estivale Circuits instaurés les circuits possibles à condition de passer par les issues extérieures, avec matériel déposé en plein air parfois Fonctionnement de l établissement : relativement conservé nombre de patients présents restreint pendant les vacances, mais beaucoup plus lourd en terme d activité en cas d épidémie en période normale 32

33 Conclusion/Perspectives Recherche accrue du statut immunitaire et vaccinal : Des enfants pour les maladies contagieuses (varicelle, ROR ) Pour le personnel Bilan positif : La limitation des cas La mobilisation du personnel, médical, paramédical, hygiène, administratif, technique fort coût de gestion en terme : De temps de travail, De risque vital pour les patients, méritant une prévention en amont par l information à faire aux familles en cas de suspicion de maladie contagieuse chez leurs enfants 33

34 Conclusion/Perspectives Fortement ressenti : Mais Souffrance parmi les enfants ayant été «isolés» le personnel ayant supporté les mesures (masques notamment) Mise en situation concrète des équipes à la gestion de gestion de crise MONTRE L IMPORTANCE de De former les personnels à la compréhension des mesures : Communiquer par messages appropriés (écrits et verbaux) Donner du sens 34

CENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE

CENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE CENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE 12 rue aux raisins - 62600 BERCK SUR MER 03.21.89.44.01 - Fax : 03.21.89.44.82 Le mot d

Plus en détail

Association La vie pour Christie Section «On devient moins petit» Les chemins de L Isle-84800 Lagnes

Association La vie pour Christie Section «On devient moins petit» Les chemins de L Isle-84800 Lagnes Association La vie pour Christie Section «On devient moins petit» Les chemins de L Isle-84800 Lagnes QUESTIONNAIRE D ENQUETE SUR LES BESOINS RELATIFS A L ACCUEIL DES ENFANTS DEFICIENTS INTELLECTUELS Ce

Plus en détail

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme

Plus en détail

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion

Plus en détail

Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu

Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière

Plus en détail

ASSOCIATION ARISSE INSTITUT MEDICO-EDUCATIF ARMONIA Avec prise en charge de jour et d internat séquentiel LIVRET D ACCUEIL

ASSOCIATION ARISSE INSTITUT MEDICO-EDUCATIF ARMONIA Avec prise en charge de jour et d internat séquentiel LIVRET D ACCUEIL ASSOCIATION ARISSE INSTITUT MEDICO-EDUCATIF ARMONIA Avec prise en charge de jour et d internat séquentiel LIVRET D ACCUEIL Directeur: Chef de Service Éducatif Assistante de Direction Accueil - Secrétariat

Plus en détail

IMC Val de Murigny. Centre de Rééducation Motrice pour Infirmes Moteurs Cérébraux. C.R.M-I.M.C. Val de Murigny 51100 REIMS

IMC Val de Murigny. Centre de Rééducation Motrice pour Infirmes Moteurs Cérébraux. C.R.M-I.M.C. Val de Murigny 51100 REIMS CRM-IMC IMC Val de Murigny Centre de Rééducation Motrice pour Infirmes Moteurs Cérébraux C.R.M-I.M.C. Val de Murigny 42, Boulevard Edmond Michelet 51100 REIMS Tél. 03 26 36 08 08 Fax 03 26 49 91 21 crm51direction@wanadoo.fr

Plus en détail

Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales.

Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. 1 Les outils de mesure existants et description du handicap épileptique Il ne s agit pas ici de mesurer

Plus en détail

PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation

PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation Centre Hospitalier d Argenteuil (95) F. Lémann, PH-coordonnateur de la gestion des risques associés aux soins Co-facilitateur

Plus en détail

BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES

BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES Septembre 2014 CARTOGRAPHIE DES MÉTIERS DES PRESTATAIRES BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES DANS LES DOMAINES MÉDICO-TECHNIQUES www.metiers-medico-techniques.fr CPNEFP de la branche Négoce et

Plus en détail

Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire?

Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? L épilepsie concerne plus de 500 000 personnes en France, dont la moitié sont des enfants ou des adolescents.

Plus en détail

Accompagnement de fin de vie des enfants et adolescents polyhandicapés en établissements et services médico-sociaux

Accompagnement de fin de vie des enfants et adolescents polyhandicapés en établissements et services médico-sociaux Accompagnement de fin de vie des enfants et adolescents polyhandicapés en établissements et services médico-sociaux Cette enquête est réalisée en partenariat avec le Groupe Polyhandicap France (GPF) et

Plus en détail

Le décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.

Le décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V. Siège social : 9 bis, rue Armand Chabrier 47400 TONNEINS Tél. : 05.53.64.61.57 Fax : 05.53.64.63.12 e-mail : adestonneins@yahoo.fr Site : www.adesformations.fr Antenne de Bazas 7 chemin Larriou 33430 BAZAS

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E

CAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,

Plus en détail

DOSSIER DE RENSEIGNEMENTS

DOSSIER DE RENSEIGNEMENTS INSTITUT DE FORMATION EN MASSO-KINESITHERAPIE DE POITIERS DOSSIER DE RENSEIGNEMENTS 2012-2013 1 PRESENTATION de L IFMK 2 L institut de Formation en Masso-Kinésithérapie (IFMK) du Centre Hospitalier Universitaire

Plus en détail

LA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES. Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone

LA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES. Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone LA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone SOMMAIRE 1. La mort aux urgences 2. Les Limitations et Arrêts des Thérapeutiques

Plus en détail

Livret de Présentation (Extrait du livret des patients distribué à leur accueil)

Livret de Présentation (Extrait du livret des patients distribué à leur accueil) Livret de Présentation (Extrait du livret des patients distribué à leur accueil) Centre de Rééducation et de Réadaptation Fonctionnelles PASTEUR «Tout faire pour la personne, ne rien faire à sa place»

Plus en détail

NOTE D INFORMATION sur la formation sociale préparatoire au Diplôme d Etat d AIDE MEDICO-PSYCHOLOGIQUE

NOTE D INFORMATION sur la formation sociale préparatoire au Diplôme d Etat d AIDE MEDICO-PSYCHOLOGIQUE Ce.F Centre de Formation au Travail Sanitaire et Social Place du Marché Couvert - BP 414-24104 BERGERAC CEDEX Tél : 05 53 22 23 00 Fax : 05 53 23 93 05 Email : cef@johnbost.fr Site : www.johnbost.org/cef

Plus en détail

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de

Plus en détail

Hospitalisation à Temps Partiel Soins de Suite et Réadaptation Affections cardio-vasculaires et Affections respiratoires Livret de séjour

Hospitalisation à Temps Partiel Soins de Suite et Réadaptation Affections cardio-vasculaires et Affections respiratoires Livret de séjour CENTRE HOSPITALIER de BOURG-EN-BRESSE CS 90401 900 route de Paris 01012 BOURG-EN-BRESSE CEDEX 04 74 45 44 08 Hospitalisation à Temps Partiel Soins de Suite et Réadaptation Affections cardio-vasculaires

Plus en détail

Formulaire de demande(s) auprès de la MDPH Enfants/Jeunes (0-20 ans)

Formulaire de demande(s) auprès de la MDPH Enfants/Jeunes (0-20 ans) Tampon dateur de la Formulaire de demande(s) auprès de la Enfants/Jeunes (0-20 ans) Vous formulez une demande auprès de la pour votre enfant Nom de naissance : I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I

Plus en détail

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable

Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau

Plus en détail

Vaccinations et milieu professionnel

Vaccinations et milieu professionnel La place de la vaccination dans la prévention des risques infectieux La prévention des risques infectieux au travail ne se réduit pas à la protection vaccinale. La vaccination s inscrit comme une des mesures

Plus en détail

VILLE D ASNIERES SUR SEINE PLAN DE CONTINUITE DE L ACTIVITE DES SERVICES MUNICIPAUX - PANDEMIE GRIPPALE

VILLE D ASNIERES SUR SEINE PLAN DE CONTINUITE DE L ACTIVITE DES SERVICES MUNICIPAUX - PANDEMIE GRIPPALE VILLE D ASNIERES SUR SEINE PLAN DE CONTINUITE DE L ACTIVITE DES SERVICES MUNICIPAUX - PANDEMIE GRIPPALE A. EQUIPE PANDEMIE... 1 B. ORGANIGRAMME DEGRADE... 2 C. GESTION DES SERVICES DELEGUES... 4 D. FORMATION

Plus en détail

LE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1

LE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1 LE FINANCEMENT Il ne faut pas se le cacher, le financement est une difficulté et de nombreuses maisons médicales dans les 10 dernières années, qui fonctionnaient de manière satisfaisante, sont «décédées»

Plus en détail

GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ

GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ PLAN Préambule Historique de la démarche Cartographie Organigramme Situation actuelle Constat Préambule OVE comprend : Un secteur social Un secteur médico-social

Plus en détail

prise en charge paramédicale dans une unité de soins

prise en charge paramédicale dans une unité de soins Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en

Plus en détail

Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen

Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux

Plus en détail

COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE

COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE

Plus en détail

ASSURANCE COLLECTIVE RÉSUMÉ DES GARANTIES. Régime d assurance collective multi-employeur RAPNQ-RBA

ASSURANCE COLLECTIVE RÉSUMÉ DES GARANTIES. Régime d assurance collective multi-employeur RAPNQ-RBA ASSURANCE COLLECTIVE RÉSUMÉ DES GARANTIES Régime d assurance collective multi-employeur RAPNQ-RBA Mars 2014 des garanties d assurance Assurance vie de base Adhérent Option 1 : 1 fois le salaire annuel

Plus en détail

Offre santé 2015 FGMM-CFDT

Offre santé 2015 FGMM-CFDT SOMILOR - HARMONIE MUTUELLE Offre santé 2015 FGMM-CFDT Réservée aux adhérents régime général La FGMM-CFDT a négocié pour vous une complémentaire santé groupe SOMILOR-HARMONIE MUTUELLE. Bénéficiez de tous

Plus en détail

Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP

Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE

Plus en détail

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble

Plus en détail

QUESTIONNAIRE COMPLEMENTAIRE A.E.E.H.

QUESTIONNAIRE COMPLEMENTAIRE A.E.E.H. QUESTIONNAIRE COMPLEMENTAIRE A.E.E.H. Document nécessaire à l étude de la demande d Allocation d Education d Enfants handicapés DOSSIER N (GED) :. Cadre réservé à la MDPH NOM Prénom de l enfant : Date

Plus en détail

QU'EST-CE QU'UNE MAISON D ASSISTANTS MATERNELS (MAM)? QUI EST L EMPLOYEUR DES ASSISTANTS MATERNELS?

QU'EST-CE QU'UNE MAISON D ASSISTANTS MATERNELS (MAM)? QUI EST L EMPLOYEUR DES ASSISTANTS MATERNELS? Mise à jour Septembre 2011 Un assistant maternel est agréé par le Conseil général. Il peut moyennant rémunération, accueillir habituellement et de façon non permanente des mineurs : - à son domicile (art.

Plus en détail

ARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.

ARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre

Plus en détail

ZOOM ETUDES Les études paramédicales. Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013

ZOOM ETUDES Les études paramédicales. Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013 ZOOM ETUDES Les études paramédicales Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013 L enseignement supérieur français - santé Études de médecine, pharmacie et odontologie : Universités en partenariat

Plus en détail

LE DIETETICIEN AU SEIN DES COLLECTIVITES TERRITORIALES

LE DIETETICIEN AU SEIN DES COLLECTIVITES TERRITORIALES LE DIETETICIEN AU SEIN DES COLLECTIVITES TERRITORIALES Sommaire : Les missions page 2 Les secteurs d interventions page 2 Les contacts privilégiés page 3 Les cibles : A La restauration collective 1. Objectifs

Plus en détail

Définition de l Infectiologie

Définition de l Infectiologie Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

PARAMEDICAL. Métiers et formations. Centre d information et d orientation de NOUMEA

PARAMEDICAL. Métiers et formations. Centre d information et d orientation de NOUMEA PARAMEDICAL Métiers et formations Centre d information et d orientation de NOUMEA Santé et paramédical Soins médicaux médecin, chirurgien dentaire, pharmacien, sage-femme Soins paramédicaux infirmier,

Plus en détail

CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES. Transports sanitaires

CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES. Transports sanitaires Marché de service CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES Transports sanitaires - Etablissement contractant : CENTRE HOSPITALIER 858 rue des Drs. Devillers 02120 GUISE 03.23.51.55.55 03.23.51.55.35 Procédure

Plus en détail

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre

Plus en détail

Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012

Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 1 er février 2008 Sommaire 10 MESURES PHARES 6 RESUME DES FINANCEMENTS 7 SYNTHESE DES FINANCEMENTS PAR MESURE 8 AXE I. AMELIORER LA QUALITE DE VIE DES

Plus en détail

M.A.S. Franche Terre/ A.S.F.A. Tél. : 0262 90 87 60 Fax : 0262 92 23 39 E-mail : direction.samsah.mas@asfa.re B.P. 840 97476 Saint-Denis Cedex

M.A.S. Franche Terre/ A.S.F.A. Tél. : 0262 90 87 60 Fax : 0262 92 23 39 E-mail : direction.samsah.mas@asfa.re B.P. 840 97476 Saint-Denis Cedex M.A.S. Franche Terre/ A.S.F.A. Tél. : 0262 90 87 60 Fax : 0262 92 23 39 E-mail : direction.samsah.mas@asfa.re B.P. 840 97476 Saint-Denis Cedex ÉDITO «La loi rappelle que le pouvoir de décision en matière

Plus en détail

SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)

SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation

Plus en détail

SUPPLEMENT AU DIPLÔME

SUPPLEMENT AU DIPLÔME SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des

Plus en détail

I N A M I Institut National d'assurance Maladie Invalidité

I N A M I Institut National d'assurance Maladie Invalidité I N A M I Institut National d'assurance Maladie Invalidité CIRCULAIRE AUX KINESITHERAPEUTES 2008/1 SOINS DE SANTE Correspondant : Tél. : 02/739.74.79 E-mail : kine@inami.fgov.be Website : www.inami.be

Plus en détail

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION

Plus en détail

Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC

Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC 1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur

Plus en détail

I. Qu est ce qu un SSIAD?

I. Qu est ce qu un SSIAD? 1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation

Plus en détail

INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des Soins d Urgence

INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des Soins d Urgence Centre Hospitalier Universitaire Groupe Hospitalo-Universitaire Carémeau Place du Professeur R. Debré - 30009 Nîmes cedex 9-04 66 68 68 68 www.chu-nimes.fr INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des

Plus en détail

ACCOMPAGNEMENT INSERTION PROFESSIONNELLE ORIENTATION REMISE À NIVEAU SENSIBILISATION RÉENTRAINEMENT AU TRAVAIL FORMATION INGÉNIERIE PÉDAGOGIQUE

ACCOMPAGNEMENT INSERTION PROFESSIONNELLE ORIENTATION REMISE À NIVEAU SENSIBILISATION RÉENTRAINEMENT AU TRAVAIL FORMATION INGÉNIERIE PÉDAGOGIQUE Depuis 1978, 35 ans d accompagnement professionnel et d engagement durable auprès des personnes en situation de handicap ACCOMPAGNEMENT INSERTION PROFESSIONNELLE ORIENTATION RECONVERSION O PROFESSIONNELLE

Plus en détail

Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon)

Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Intervention personnalisée à tous les stades de la Maladie Rénale Chronique Prévention de la progression de la maladie rénale Consultation

Plus en détail

Livret d accueil. Aux familles, aux enfants et aux adolescents

Livret d accueil. Aux familles, aux enfants et aux adolescents Livret d accueil S.E.M. - A.P.F 46, rue de la fuye - 53000 Laval 02 43 98 35 41 - Fax. 02 43 98 35 42 E-mail : apf.sem.53@wanadoo.fr La présentation 2 L emploi du temps du jeune 6 L accueil et l admission

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. A l occasion de la remise du rapport de Cécile Gallez, députée du Nord,

DOSSIER DE PRESSE. A l occasion de la remise du rapport de Cécile Gallez, députée du Nord, DOSSIER DE PRESSE Lille, le 13 février 2008 A l occasion de la remise du rapport de Cécile Gallez, députée du Nord, sur l accueil des personnes âgées et des personnes handicapées françaises en Belgique,

Plus en détail

sociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT)

sociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT) Le Ministre de la Santé, de la Famille Et des personnes Handicapées A Mesdames et Messieurs les Préfets de région Direction régionales des affaires sanitaires et sociales Mesdames et Messieurs les Préfets

Plus en détail

Coordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme

Coordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme Coordination de la Gestion des risques Bilan - Programme La démarche Mise en place en 2007 Regroupe l ensemble des Vigilances Sanitaire. Associe le programme CLIN Associe les risques liés aux vigilances

Plus en détail

LES DÉPLACEMENTS EN VÉHICULES un risque pour l entreprise

LES DÉPLACEMENTS EN VÉHICULES un risque pour l entreprise LES DÉPLACEMENTS EN VÉHICULES un risque pour l entreprise Guide de sensibilisation ACCIDENTS DE CIRCULATION AU TRAVAIL Mission - Trajet LES ENJEUX DE LA PREVENTION DU RISQUE ROUTIER ENCOURU PAR LES SALARIES

Plus en détail

l hébergement temporaire

l hébergement temporaire Dossier technique État des lieux et préconisations sur l hébergement temporaire des personnes âgées et des personnes handicapées Octobre 2011 II Ce dossier technique rend compte de l atelier pratique organisé

Plus en détail

«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie»

«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» DOSSIER PAERPA «Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» 1 _ SOMMAIRE Quelques données chiffrées 3 Les initiatives déjà engagées pour améliorer les parcours de

Plus en détail

NOTE D INFORMATION L AGENT TERRITORIAL SPÉCIALISÉ DES ÉCOLES

NOTE D INFORMATION L AGENT TERRITORIAL SPÉCIALISÉ DES ÉCOLES L AGENT TERRITORIAL SPÉCIALISÉ DES ÉCOLES M AT E RNE L L E S Note d information réalisée par le rectorat de l académie de Montpellier, le centre national de la fonction publique territoriale, le centre

Plus en détail

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,

Plus en détail

Calendrier des formations INTER en 2011

Calendrier des formations INTER en 2011 Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement

Plus en détail

L'Obésité : une épidémie?

L'Obésité : une épidémie? Communiqué de presse 5 mars 2014 L'Obésité : une épidémie? Résultats de l'étude MGEN «Habitudes de vie et surpoids» 3 Français sur 4 se jugent en bonne santé, 1 sur 2 est en surpoids, 16% sont obèses 2/3

Plus en détail

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure

Plus en détail

CONTRAT D ACCUEIL. Parents Assistant(e)s Maternel(le)s. Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin

CONTRAT D ACCUEIL. Parents Assistant(e)s Maternel(le)s. Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin CONTRAT D ACCUEIL Parents Assistant(e)s Maternel(le)s Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin Parents, assistant(e) maternel(le), L enfant est au cœur de vos préoccupations, la qualité

Plus en détail

FAQ Mesures de fin de carrière

FAQ Mesures de fin de carrière FAQ Mesures de fin de carrière Accord relatif aux secteurs fédéraux de la santé du 26 avril 2005 conclu entre le gouvernement fédéral et les organisations représentatives du secteur privé non marchand

Plus en détail

1- LA CHARTE DU PATIENT HOSPITALISÉ...19 2- DROIT À L INFORMATION DU MALADE...20 3- PERSONNE DE CONFIANCE...20 4- RÉCLAMATIONS ET CONCILIATION...

1- LA CHARTE DU PATIENT HOSPITALISÉ...19 2- DROIT À L INFORMATION DU MALADE...20 3- PERSONNE DE CONFIANCE...20 4- RÉCLAMATIONS ET CONCILIATION... T U L L E I - PRÉSENTATION....2 II - PLAN....3 III - POUR NOUS JOINDRE....4 IV - PRÉSENTATION DU PERSONNEL.....5 V - PRÉSENTATION DUSERVICE... 10 VI - PRÉPARER SON HOSPITALISATION INFORMATIONS PRATIQUES....17

Plus en détail

Aide kinésithérapeute : une réalité?

Aide kinésithérapeute : une réalité? Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée

Plus en détail

au service de chacun!

au service de chacun! Les associations sanitaires et sociales : au service de chacun! Petite enfance Handicap Jeunes en danger Santé Personnes âgées Pauvreté, Exclusion * «L association est la convention par laquelle deux ou

Plus en détail

SOINS DE SUITE ET READAPTATION FONCTIONNELLE CAHIERS DES CHARGES SSR ADULTES

SOINS DE SUITE ET READAPTATION FONCTIONNELLE CAHIERS DES CHARGES SSR ADULTES République Française Agence Régionale de l'hospitalisation de l'ile de France SOINS DE SUITE ET READAPTATION FONCTIONNELLE CAHIERS DES CHARGES SSR ADULTES Socle commun général (adultes et enfants) Cahiers

Plus en détail

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service

Plus en détail

PRESENTATION ACTION SOCIALE PREVOYANCE MICHELIN

PRESENTATION ACTION SOCIALE PREVOYANCE MICHELIN PRESENTATION ACTION SOCIALE PREVOYANCE MICHELIN 1 1 L ACTION SOCIALE NOS VALEURS SOLIDARITÉ Valeur centrale, elle s exprime par la mise en œuvre d interventions au profit de tous ses clients : entreprises,

Plus en détail

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * *

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * République du Sénégal Ministère de la Santé et de l Action Sociale Direction Générale de la Santé Direction des Laboratoires Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * PLAN DE FORMATION DES PERSONNELS

Plus en détail

Votre séjour à l hôpital

Votre séjour à l hôpital Votre séjour à l hôpital LE MOT DU DIRECTEUR Madame, Mademoiselle, Monsieur, Nous vous souhaitons la bienvenue au CH Saint Jean de Dieu. Ce livret d accueil a été conçu pour répondre au mieux à vos questions

Plus en détail

TERRITOIRES ET SANTE

TERRITOIRES ET SANTE TERRITOIRES ET SANTE UNE REPONSE A L EVOLUTION DE LA DEMOGRAPHIE DES PROFESSIONNELS DE SANTE ET A L AMELIORATION DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE : LES MAISONS DE SANTE PLURIDISCIPLINAIRES GUIDE DE MISE

Plus en détail

Rapport d activités Année 2012. Association Résidence Saint Nicolas

Rapport d activités Année 2012. Association Résidence Saint Nicolas Rapport d activités Année 2012 Association Résidence Saint Nicolas Introduction : Présentation de l Association et de ses établissements L Association «Résidence ST Nicolas» a démontré sa capacité à s

Plus en détail

L AUDIT DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES SUR LE TRI DES DECHETS AU CENTRE DE READAPTATION DE MULHOUSE ET LA DYNAMIQUE D AMÉLIORATION

L AUDIT DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES SUR LE TRI DES DECHETS AU CENTRE DE READAPTATION DE MULHOUSE ET LA DYNAMIQUE D AMÉLIORATION L AUDIT DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES SUR LE TRI DES DECHETS AU CENTRE DE READAPTATION DE MULHOUSE ET LA DYNAMIQUE D AMÉLIORATION Martine HELL - Jean-Claude SCHREPFER 2ème rencontre RMS Strasbourg 25-26

Plus en détail

UNE EXPÉRIENCE INOUBLIABLE!

UNE EXPÉRIENCE INOUBLIABLE! ... e i o J é t i C! e r i r à r u e o Le C UNE EXPÉRIENCE INOUBLIABLE! EMPLOIS 2015 Le sourire, c est dans notre nature! 28, chemin des Cascades Lac-Beauport (Québec) G3B 0C4 Téléphone : (418) 849-7183

Plus en détail

REGLEMENT DEPARTEMENTAL DES SERVICES DE RESTAURATION ET D HEBERGEMENT Collège Joseph PEYRE à Garlin

REGLEMENT DEPARTEMENTAL DES SERVICES DE RESTAURATION ET D HEBERGEMENT Collège Joseph PEYRE à Garlin REGLEMENT DEPARTEMENTAL DES SERVICES DE RESTAURATION ET D HEBERGEMENT Collège Joseph PEYRE à Garlin Vu les articles L.213-2 et L.421-23 II du code de l Education qui confient aux départements la compétence

Plus en détail

d infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en

d infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de

Plus en détail

Proyecto Telemedicina

Proyecto Telemedicina Seminario Internacional Desarrollo de Servicios Sociales para Personas Mayores 3-4 octubre 2013 Proyecto Telemedicina Dr Jean-Philippe Flouzat Médico geriatra, Consejero Médico Social de la Agencia Regional

Plus en détail

CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES

CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES Formalisation des engagements réciproques entre l EPS Ville-Evrard et les internes Ressources humaines médicales Delphine LEBIGRE AAH NOVEMBRE 2012 Objectifs L établissement

Plus en détail

DESTINATION LONDRES 2012

DESTINATION LONDRES 2012 DESTINATION LONDRES 2012 Présentation L IME André Coudrier Les jeunes et le sport Projet «London 2012» L IME André Coudrier La structure La mission et le projet L IME et l APAJH Le personnel encadrant

Plus en détail

Livret. Maison. handicapées. Maison. de prestations. des personnes. départementale

Livret. Maison. handicapées. Maison. de prestations. des personnes. départementale Livret de prestations Maison départementale des personnes handicapées Vous informer, vous orienter, évaluer vos besoins, suivre vos prestations Maison départementale des personnes handicapées PYRÉNÉES-ATLANTIQUES

Plus en détail

«Politique des ARS pour les seniors»

«Politique des ARS pour les seniors» «Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service

Plus en détail

La complémentaire santé des salariés des établissements et services pour personnes inadaptées et handicapées

La complémentaire santé des salariés des établissements et services pour personnes inadaptées et handicapées La complémentaire santé des salariés des établissements et services pour personnes inadaptées et handicapées Une complémentaire santé obligatoire pour les salariés de la CCN 1966 L avenant 328 du 1 er

Plus en détail

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n

Plus en détail

lv. Fiches de présentation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires P.16

lv. Fiches de présentation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires P.16 P.3! " P.7! # $!%& # $!# $ ' (") P.9 *$ (") +,(") a) )! " #$ %$ lv. Fiches de présentation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires P.16 & ' (()# " )2 #% * +,,,- - -$. / 0 ()./ *. 1 - -() * 2+,3+ 1 (.

Plus en détail

La prise en charge de votre épilepsie

La prise en charge de votre épilepsie G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

LA VACCINATION PROFESSIONNELLE

LA VACCINATION PROFESSIONNELLE F I C H E P R E V E N T I O N N 1 1 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LA VACCINATION PROFESSIONNELLE INTRODUCTION La vaccination en milieu professionnel a un intérêt individuel dans le sens où elle protège

Plus en détail

CONTENU DU CAHIER DE GESTION

CONTENU DU CAHIER DE GESTION COMMISSION SCOLAIRE DE KAMOURASKA RIVIÈRE-DU-LOUP CONTENU DU CAHIER DE GESTION SECTION I CONSEIL DES COMMISSAIRES Règlement fixant le jour, l heure et le lieu des séances ordinaires du conseil des commissaires

Plus en détail

Information au patient

Information au patient Information au patient Hôpital de jour médico-chirurgical Je vais subir une intervention chirurgicale en hôpital de jour, cela signifie que l intervention et le retour à domicile s effectueront le même

Plus en détail