Fiche Synthétique : Addictions et Réseaux de Santé : Avantages et inconvénients

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1 COLLECTIF NATIONAL DES RESEAUX DE SANTE EN ADDICTOLOGIE Fiche Synthétique : Addictions et Réseaux de Santé : et inconvénients Les spécificités des addictions L addiction n est pas seulement une pathologie mais également un mode de vie et un comportement qui concerne plus d un tiers de la population. La problématique addictive a de très lourdes conséquences en termes de santé publique ( décès par an liés à la consommation d alcool ; décès par an liés au tabac). Elle nécessite de pouvoir s appuyer sur une prise en charge ambulatoire, le repérage précoce, la réduction des risques et la maitrise/gestion des consommations. Le soin en addictologie est également très spécifique ; il suppose un partage de l expertise dans entre savoir médical du soignant et expertise des pratiques de consommations et connaissance de soi de l usager, dans une dynamique de «co-construction du parcours». Les représentations autour des problématiques addictives sont fortes en population générale comme auprès des professionnels, avec des refus de soin et des manques dans la formation initiale. Il existe, de plus une grande disparité de l offre de soin sur les territoires. Les patients sont des usagers présentant un profil particulier ; souvent peu enclins au soin, ils peuvent présenter de manière plus prégnante qu en population générale des comorbidités psychiatriques, des psychotraumatismes, des situations sociales particulières et des problématiques d ambivalence aigües, ce qui va supposer une prise en charge spécifique. La prise en charge des usagers nécessite une forte intrication du médical, du psychologique et du social avec la nécessité d un appui fait aux professionnels libéraux qui s engagent dans des prises en charges. Elle engage donc une pluralité d acteurs, spécialistes ou non, exerçant dans des secteurs d activité différents. 1

2 Les missions des réseaux addictions La mission première et transversale du réseau de santé Addictions est bien de solutionner les problèmes d articulation, pour favoriser l accès à une réponse graduée adaptée au bénéfice de l usager. - Soutien à la coordination des acteurs : avec l ensemble des acteurs médico-psycho-sociaux d un territoire donné autour de la situation des patients avec selon les cas leur présence. o Valoriser les ressources disponibles et en offrir de nouvelles pour la prise en charge o Accompagner les orientations de manière à offrir une réponse graduée la plus adaptée en fonction Des besoins, attentes et priorités de la personne (stades motivationnels) De l offre de soin en présence sur le territoire concerné o Rationnaliser les parcours o Mettre en lien les acteurs pour le développement d une culture et d un langage communs. - Appui à la pratique aux professionnels pour permettre des prises en charges de qualité et notamment professionnels libéraux (prise en charge d actes dérogatoires, plateformes téléphoniques, documentation, expertise, etc. ) o Sensibiliser et former les acteurs à la spécificité des problématiques addictives et de leur prise en charge o Rendre visible l offre de soin et informer les acteurs o Créer les espaces de partage et d interconnaissance nécessaire à la montée en compétence et en connaissance o Former les différents acteurs selon les besoins et en proximité o Créer/favoriser les conditions d une prise en charge pluridisciplinaire par La création d espace et de temps de connaissance et de partage La mise en complémentarité des approches, pratiques et professions lors de temps de synthèse favorisant les codécisions. - Diagnostic de territoire et veille partagés pour assurer aux acteurs les meilleures conditions possibles des prises en charge, et garantir l adaptation du parcours de soin au contexte territorial. o Rendre visible et informer sur les éléments de cadrage de la pratique professionnelles (cadre légal, cadre éthique, outils ) o Développer et coconstruire un diagnostic institutionnel sur les identités, spécificités, évolutions et difficultés des acteurs en présence (démographie des professionnels de santé, annuaire) o Rendre visible de manière renouvelée et valorisante les expériences (innovations, expériences, évolutions, impact des pratiques professionnelles) o Evaluer et diffuser un diagnostic fin et renouvelé (mis à jour) des produits, usages et consommations en présence sur le territoire. Une mission transversale sur la mise en place d actions innovantes (mis en place de protocoles, par exemple sur le Baclofène, des ateliers à la RDR, des actions pour favoriser la vaccination VHB des populations vulnérables, perspective d appui pour la primo prescription de méthadone en ville, participation à des études de santé publique etc.) 2

3 Les réseaux de santé Addictions : Modèles d organisation, avantages et inconvénients : Réseau Addictions de proximité à l échelle locale ou départementale - Permet une meilleure connaissance des acteurs, une meilleure proximité avec le terrain. - Permet d assurer pleinement la mission de coordination des acteurs et des parcours de soin par une connaissance des acteurs et une proximité avec le terrain. - La taille plus petite des réseaux à l échelle locale permet de mener la mission d appui auprès des professionnels de manière plus fine et plus adaptée, notamment en termes de formation, aux enjeux du terrain concerné (notamment pour les secteurs de la ville, une connaissance fine du terrain permet de dépasser les obstacles). - Meilleure adaptabilité aux territoires et réactivité améliorée : Etats des lieux, missions transversales plus fines, la coordination et la formation sont plus adaptées aux besoins du terrain. - la proximité avec les acteurs permet également un accès aux soins, aux dispositifs, au repérage précoce...etc plus rapide grâce à un maillage de réseaux qui se font relais sur la région. Cela peut permettre de créer du lien entre professionnels, et d articuler notamment de manière plus limpide le passage des usagers du soin spécialisé au droit commun. - Plusieurs réseaux sont nécessaires par région ce qui n offre pas de vision claire de ses interlocuteurs à l Agence Régionale de Santé (ARS). - la pluralité des réseaux départementaux ou locaux ne permet pas la centralisation de l information. - le réseau à l échelle départementale ou locale ne permet que peu d adopter un point de vue global sur les enjeux de santé généraux ou sur les questions qui se jouent à l échelle de la région. 3

4 Réseau Addictions à l échelle régionale Il faudrait raisonner en termes de bassin de population : entre la région Midi- Pyrénées (huit départements et plus de km²) et la région Limousin (trois départements et km²) les enjeux sont extrêmement différents. - Fait monter la représentativité des acteurs en addictologie non plus seulement au niveau local mais également au niveau régional et de manière trans-sectorielle (aussi bien les acteurs de la ville, du sanitaire que du médico-social sont représentés au sein des réseaux) - Permet une vision globale sur le territoire régional, mais cela dépend de l échelle de la région. - Sur une région de petite ou moyenne taille, l échelle régionale permet de diversifier les actions départementales et la découverte des identités de chacun des acteurs, la confrontation avec des professionnels avec lesquels l habitude de travail n est pas acquise. - l Agence régionale de santé a un interlocuteur clair et précis sur le thème des addictions. - L échelle régionale permet aussi, lorsqu elle concerne un territoire relativement restreint, une neutralité méthodologique qui peut favoriser le rôle d information et de crédibilité du réseau par l ensemble des acteurs : le réseau va s appuyer sur des données régionales précises et objectivées pour proposer ses actions. - possibilité de mutualiser les moyens pour les ETP notamment. - permet d appréhender des dispositifs plus importants en taille, et de développer une même action sur l ensemble de la région. - Une moindre connaissance du terrain (du fait de l éloignement et de la globalité du point de vue territorial considéré) risque de faire perdre au réseau sa capacité à s adapter au plus proche des besoins des professionnels. - La mission d appui aux professionnels et de formation nécessite une connaissance minimale du réseau par les acteurs présents sur le terrain, il faut donc que l information circule. Sur des régions très vastes et diversifiées, l échelon régional peut empêcher d être visible par tous. Il faut donc impérativement construire des relais du réseau au niveau local pour les territoires les plus vastes, sans quoi les actions seraient détachées des enjeux du terrain et donc peu efficaces. - logistiquement, il est bien plus difficile de faire venir les professionnels dans un seul lieu par région pour les formations, les ateliers de concertation, les réunions, les analyses de la pratique... etc. - Risque de perdre, pour les réseaux existants qui se rassembleraient au niveau régional dans des réseaux généralistes, leur créativité et leur liberté de prise de position. - les situations d articulation, de dispositifs existants, de prise en charge...etc. au niveau départemental et/ou local peuvent différer de manière très importantes au sein même de certaines régions (déserts médicaux, grandes communauté urbaine...), le réseau aura donc plus de difficulté à adopter une approche adaptée à chaque situation s il est d un niveau régional. 4

5 Réseau de santé généraliste et polyvalent dont le volet addictions est spécifique - La confrontation avec d autres spécialisations permet de dépasser les représentations qui entourent souvent la question des addictions dans le domaine de la santé (pas les mêmes profils de patients...etc). Elle permet potentiellement la valorisation d une spécialité «Addictions» nécessaire auprès des professionnels de santé, tous secteurs confondus. - l inscription d une spécialité addictions dans un réseau de santé généraliste et polyvalent peut permettre une vision globale du territoire en termes d enjeux de santé, et un partage des connaissances entre professionnels des différents professionnels. Potentiellement, cela rend possible - une évaluation globale des pratiques professionnelles et des projets de type «recueil de données» (comme le réseau addictions régional), mais en maintenant une vigilance à l adaptation de la méthodologie à la spécificité des questions d addictions, et à ne pas remplacer les missions des institutions publiques. - une meilleure orientation, à terme, des usagers entre les secteurs (relais avec la psychiatrie, les secteurs sanitaires...) - Permet d ouvrir les disciplines à des approches diverses (TCA, Prise en charge sociale, intervision...). - Risque de perdre la spécificité de l addictologie, qui ne doit pas être mise sur le même plan que les actions de type diabète ou personnes âgées. -Risque de marginalisation de la thématique addiction par des professionnels aux représentations négatives des usagers addicts. -Risque de mise en place de documents, de procédures et d évaluation commune non adaptés à la problématique «addiction». - Une moindre connaissance du terrain (du faut de l éloignement et de la globalité du point de vue territorial considéré) risque de faire perdre au réseau sa capacité à s adapter au plus proche des besoins des professionnels. - la mission d appui aux professionnels et de formation aux professionnels nécessite une connaissance minimale du réseau par les acteurs présents sur le terrain, il faut donc que l information circule. Sur des régions très vastes et diversifiées, l échelon régional peut empêcher d être visible par tous. Il faut donc penser des relais du réseau au niveau local sur les territoires très vastes. Note concernant les microstructures : Le mode d organisation «microstructure» par l accès à un psychologue et à un travailleur social, grâce à une présence hebdomadaire, au sein du cabinet du médecin (ou de la maison médicale) et avec une réunion de synthèse mensuelle avec les différents acteurs et un médecin addictologue.est compatible avec tous les modèles de réseau, mais réservée aux médecins de ville ayant une importante file active. 5

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