DU régulation des naissances et suivi de la femme. Epidémiologie et sociologie de la sexualité

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1 DU régulation des naissances et suivi de la femme Epidémiologie et sociologie de la sexualité 1

2 Pourquoi une approche épidémiologique et sociologique? Les résultats des enquêtes quantitatives et qualitatives permettent de connaître les phénomènes sociaux et démographiques dans le champ de la santé sexuelle et génésique d adapter les politiques sanitaires de participer à une réflexion sur ces politiques et sur nos pratiques quotidiennes 2

3 Age des premières règles Données enquête Analyse Comportement Sexuel des Jeunes (1994) Fiche pédagogique INED (Institut National d Etude Démographique) L'âge moyen aux premières règles en France depuis deux siècles ans ans 13 12, année 3

4 Une baisse qui semble se stabiliser Précocité liée à l amélioration de l alimentation et au soleil (plus la latitude est basse, plus le degré d ensoleillement est fort) 4

5 Les garçons deviennent pubères vers 15 ans Mue de la voix Pic de croissance, développement du pénis, de la pilosité, de la maturité sexuelle La majorité des ados vont bien 5

6 Age au premier rapport sexuel de plus en plus similaire En 2010, à environ 17 ans, la moitié des ados a déjà eu un rapport sexuel : 17,4 ans pour les garçons et 17,6 ans pour les filles 22% des filles de 15 ans ont déjà eu des rapports sexuels 6

7 Les préceptes mis en œuvre Aujourd hui, un premier partenaire n est pas un futur conjoint : 1 personne sur 10 (il y a 50 ans 2/3 des F et 1/3 des hommes) La virginité et la chasteté n ont plus le même écho Pendant des siècles : 3 interdits (pas de sexe avant et hors du mariage, après la mort du conjoint) Pratiques sexuelles = reproduction et non plaisir Interdiction suprême : la sodomie (contre-nature), avec la condamnation absolue de l homosexualité (Enquête Sexualité en France N. Bajos M. Bozon 2006) 7

8 Des interdits pas universellement respectés Conduites libertines de l aristocratie française au 18e siècle Mœurs bourgeoises du 19e siècle (les hommes ont des maîtresses + ou - vues L idée du plaisir créée des sentiments + ou - forts de culpabilité Une partie de la communauté chrétienne et musulmane continue à s imposer le respect de leurs traditions 8

9 La pilule, l IVG, le divorce par consentement mutuel ont modifié le couple Aujourd hui 1 mariage sur 3 évolue vers la séparation Multiplication des familles recomposées Le mariage n est plus l acte fondateur du couple Le couple n est plus la famille 1/3 des couples sont non mariés Plus de la moitié des enfants naissent hors mariage Homosexualité = 5 % 9

10 Mais des croyances toujours présentes... Les hommes ont des besoins sexuels quasi physiologiques Tandis que les femmes ont des aspirations affectives et se rendent disponibles Une femme diplômée a + de facilité à décider de ses rapports sexuels et à refuser un rapport non désiré 60 % des H et des F désiraient leur 1er rapport au moment où il a eu lieu 1/3 des H déclarent n y avoir pas beaucoup pensé 10

11 Même si on assiste à une montée d un idéal de réciprocité et prise en compte du désir F 18,9% des F et 6,7 % des H sont forcés, n ont pas envie ou auraient souhaité un rapport plus tard Quand le partenaire d une F est déjà expérimenté, le % des «+ tard» est multiplié par 2 Souvent, les F s initient avec un H + âgé de 5 ans 1er rapport pour l H = étape de jeunesse 1er rapport pour la F = engagement affectif Les F se perçoivent et sont perçues comme les gardiennes du temple de la santé sexuelle et reproductive 11

12 Hausse des expériences érotiques et affectives + de partenaires sexuels dans la vie 1/3 des H et F de 35 à 49 ans ont connu une séparation conjugale + de pratiques et jeux sexuels (fellation, cunnilingus ) Stimulation par consommation domestique des films pornographiques (1 H sur 2 ; 1 F sur 5) L échangisme reste une pratique très minoritaire (H de 25 à 49 ans), comme le Viagra (cher) Le recours à la prostitution n a pas reculé depuis 1992 (H de 20 à 34 ans) 12

13 L activité sexuelle ne se limite pas à sa fréquence ou à son ancienneté mais au sens et aux représentations de chaque individu Durée du rapport sexuel en minutes : 30 mn en moyenne (décroît avec l âge, plus long avec un partenaire nouveau ou occasionnel) Fréquence : en moyenne un peu moins de 9 par mois (quelques écarts entre partenaire cohabitant, privilégié, occasionnel, nouveau et âge) 87 à 90 % d H et de F satisfaits La satisfaction croie nettement avec la fréquence des rapports 13

14 Modes de rencontres transformés Moins de lieux publics, bals, fêtes Mais plus les études, les soirées entre amis, Internet 10% (on échappe au contrôle et aux limites de l environnement),... 14

15 Le préservatif est utilisé dans 90 % des premiers rapports mais... Seulement 1 personne sur 2, âgée de ans a parlé IST avec son partenaire Les circonstances d arrêt de l utilisation du préservatif sont insuffisamment explorées (IST, contraception) Le fait d avoir eu récemment une IST ne favorise pas le recours au préservatif Des inégalités d accès à la prévention (socioculturel, générationnel, genre) : on parle de situations à risque liées à des contextes sociaux et relationnels plus que d individus à risque 15

16 Filaire de soin CeGIDD, généraliste, dermatologue, gynécologue, CPEF, pharmacie Traitements : peu de suivi des hommes En France recrudescence de gonococcies et syphilis, en particulier HSH ; infections à chlamydiae fréquentes (F ans, faible niveau d étude, FSF) Vis-à-vis d un partenaire sexuel principal : Les H préviennent 4 fois moins leur partenaire principal La moitié des H et des F n informe pas un partenaire occasionnel 16

17 Agressions sexuelles Nouvelle loi votée en 1980 viol = crime Loi 1992 : harcèlement sexuel plaintes pour viol / an (sur 50 à F) déclarations mais peu parlé car souffrance et honte Au plan juridique, c est l intention qui compte, telle qu elle a été perçue par la victime Les HSH et FSF déclarent + de rapports forcés Ces violences proviennent exclusivement d H (99% pour les F, 94% pour les H) La violence touche toutes les catégories sociales 17

18 Dysfonctions sexuelles + fréquentes aux âges avancés Au-delà des contraintes physiques : durée de vie du couple, présence d enfants, répartition des tâches ménagères Aujourd hui, c est l échange sexuel qui fait exister le couple et non l institution matrimoniale La sexualité des H est + sensible aux problèmes professionnels et économiques Les conditions de vie affectent les H et les F selon leurs représentations de leurs rôles sociaux, professionnel, économique et familial 18

19 De nombreux changements Amélioration du statut social des F (scolarité, marché du travail) Autonomie vis-à-vis des H avec contrôle croissant sur la procréation Dernières décennies marquées par une précarisation croissante sociale et économique Irruption du VIH à transmission majoritairement sexuel Tendance à un renouvellement des partenaires Evolution des comportements sur le long terme grâce aux politiques de préventions sur les pratiques 19

20 Répartition des premières naissances selon l âge de la mère Insee 2011 En 2010, en France métropolitaine, les femmes ont en moyenne leur premier enfant à 30 ans (12,5 ans en moyenne après l âge du premier rapport) Plus le diplôme est élevé, plus le premier enfant arrive tard 20

21 Des relations sexuelles plus tôt, une maternité plus tard : Nécessité du maintien d une contraception efficace avant le premier enfant plus longue qu auparavant 21

22 22

23 Une utilisation plus systématique de la contraception lors du premier rapport sexuel 90 % des ans déclarent avoir fait usage d un préservatif lors de leur premier rapport (Baromètre santé 2010, Inpes) Premier rapport sans contraceptif : - En 1980 : 30% - En 2005 : 9% 23

24 La loi Aubry du 4 juillet 2001 a facilité l accès à la contraception et à l avortement chez les mineurs (recours sans autorisation parentale) En France en 2010, 50% des femmes de ans utilisent la pilule Légère baisse depuis 2000 compensée par de nouvelles méthodes hormonales (sauf les ans) Recours au DIU continu de diminuer légèrement Utilisation du préservatif progresse Stérilisation contraceptive concerne une minorité de femme 3% n utilisent rien 24

25 Près de 75% des F en âge de procréer et sexuellement actives, utilisent un moyen de contraception et 95 % en sont satisfaites (Enquête INPES février 2007 ) Mais : Une minorité utilise des méthodes non médicales, plus fréquentes chez les F seules, sans enfant ou qui ont des partenaires occasionnels La situation sociale et affective des femmes influence leur choix : en situation financière difficile, en religion, peu diplômées, en milieu rural (ou ville de + de habitants), elles n utilisent pas de contraception du tout plus fréquemment que les autres. Les ouvrières sont 6,5% dans ce cas contre seulement 1,6 % des femmes cadres. (N.Bajos et coll.enquête Fecond 2010, Population et Sociétés, n 4 92, septembre 2012) 25

26 Le recours à la contraception d urgence Trop peu 14% des F disent avoir eu recours à la CU à la suite : d un problème de préservatif (32.5%) d un oubli de pilule (24.9%) de rapports sexuels non protégés (21.8%) (En vente libre ou remboursée sur ordonnance gratuité et anonymat pour les mineures) 26

27 Des freins à la contraception Des représentations erronées : «on ne craint rien la première fois»,«la pilule, ça peut rendre stérile», «ça fait grossir» Des lacunes concernant le cycle menstruel : «il existe des jours sans risque en surveillant son cycle» (64 %) «la fécondation, c est seulement le 14ème jour du cycle» ou l utilisation des méthodes contraceptives : 54 % des femmes interrogées en 2010 considèrent «qu elle n est pas indiquée pour une femme n ayant pas eu d enfant». Ce pourcentage s élève à 69 % chez les gynécologues et 84 % chez les généralistes. (N.Bajos et coll.enquête Fecond 2010) 27

28 Des freins à la contraception 35 % pensent que la CU ne concerne que les femmes < 25 ans, Beaucoup ne savent pas comment diminuer le risque de grossesse après un oubli de pilule (INPES 2007 «Les Français et la contraception» février 2007) La CU reste peu évoquée lors des consultations médicales : 36 % des gynécologues indiquent avoir souvent recommandé cette méthode au cours de la dernière année et 11 % des généralistes. (N.Bajos et coll.enquête Fecond

29 Les Interruptions Volontaires de Grossesse 9,8% de F se trouvent dans une situation jugée risquée en matière contraceptive (Baromètre santé Inpes 2010) Dû à des difficultés de gestion quotidienne Fréquents oublis de pilule : 21% des F (27% des ans) l oublie 1 fois / mois (Inpes, février 2007) 88% des F de 20 ans et moins (contre 54% de l ensemble des F) l on oublié au cours des 3 mois précédents (Marie P, Champollion S, OUrabah R «Que font les patientes lorsqu elles oublient leur pilule?», Exercer, n 80, p.13-16, 2008) 29

30 La part des IVG médicamenteuse continue de croître 54 IVG sur 100 (pratiquées ou non en établissement de santé) 1 IVG sur 8 est réalisée en cabinet Les IVG en Centre de santé, CPEF (autorisées depuis mai 2009) représentent en 2010 : 0,6 % de l ensemble des IVG en métropole Les IVG chirurgicales réalisées en établissement de santé diminuent légèrement Parmi les IVG réalisées en établissement, le secteur public, largement majoritaire, continue de progresser, avec 79 % des IVG en 2010 Ref A. VILAIN, M.-C MOUQUET, 2012, «Les interruptions volontaires de grossesse en 2010», Études et résultats n 804, jui n 30

31 L absence d utilisation d une contraception fiable est à l origine d un nombre important d IVG en France Parmi les femmes ayant eu recours à l IVG : 33 % n utilisaient pas de moyen de contraception 54% évoquaient un oubli de la contraception (le plus souvent de la pilule) 38 %, des erreurs de contraception (préservatifs déchirés, mauvais calcul des dates) Exposition maximum au risque d échec : Les premiers rapports (si non protégés) Périodes de transition (changement de contraception, post partum ) (DRESS, 2007) 31

32 Contexte de survenue des grossesses imprévues Ambivalence quant à un désir d enfant Grossesse extraconjugale Instabilité socio-économiques et/ou affectives Echecs de la contraception Une femme sur deux avait changé de situation contraceptive dans les six mois précédant l IVG Manque d informations ( physiologie et anatomie sexuelles, rattrapage d oublis, CU) Mauvaise utilisation du moyen de contraception Utilisation de moyens peu fiables Mauvaise accessibilité à la contraception Importance des déterminants sociaux et économiques 32

33 Nombre d'ivg et taux de recours selon l'âge Total IVG Répartition par groupe d'âge ans dont ans dont ans ans ans ans ans ans ans ans Taux de recours (pour femmes dans chaque groupe d'âge) ans 10,9 13,8 15,8 15,3 15,3 dont ans 7 8, ,4 10,6 dont ans 16,4 21,9 22,9 22,3 22, ans 21,8 24,4 27,3 26,7 26, ans 21,7 20,8 24,1 23, ans 18,8 17,7 18,7 18,5 19, ans 13,2 13,3 13,9 13,4 13, ans ans ans 5,7 0,7 0,5 0,6 14 5,8 13,6 5,9 14,8 5,7 0,6 14,4 6 0,6 14,7 33

34 34

35 Recours à l IVG en cas de grossesse non prévue 35

36 Evolution de la fécondité des adolescentes en France Taux pour 1000 femmes de 15 à 17 ans (Insee) 36

37 Grossesse chez les mineures : chiffres-clés 1980 : naissances de mères mineures 2010 : 3600 naissances de mères mineures (INSEE) En 30 ans, le taux de fécondité des mineures a diminué des deux-tiers (0.25% contre 0.8%) Nombre de conceptions : 1980 : environ dont 50% de naissances (10 000) et 50% d IVG (10 000) 2010 : environ dont 25% de naissances (3500) et 75% d IVG (11 500) Mais chez les <16 ans : environ 1200 conceptions dont 50% de naissances 37

38 Contraception et IVG : pas d opposition L incidence de l IVG reste stable mais est estimé élevé alors que le taux de contraception est parmi les plus élevés d Europe L absence de contraception chez 33% des femmes ayant eu recours à une IVG explique donc une part importante des IVG mais n y suffit pas 2 grossesses non prévues sur 3 et près d 1 IVG sur 2 surviennent chez des femmes qui déclarent utiliser une contraception supposée efficace au moment de la survenue de cette grossesse Rapport parlementaire sur l IVG et la contraception, Délégation aux droits des femmes, octobre

39 En conclusion 20% des femmes (30% parmi les ans) : oubli de pilule régulièrement 10 % des femmes : pas de moyen de contraception lors de leur dernier rapport sexuel Usage parfois très approximatif ou non systématique de la contraception Connaissance assez faible des méthodes de rattrapage en cas d oubli de pilule, de rupture de préservatifs, de rapport non protégé, 39

40 Stratégies pour diminuer le nombre de grossesses imprévues Intensifier et systématiser des actions de promotion de la santé sexuelle Faciliter l accès à la contraception Adapter les moyens de contraception Informer sur les moyens de rattrapage des oublis Améliorer l accès à la contraception d urgence 40

41 Vos questions, commentaires... Merci de votre attention 41

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