Les comportements sexuels chez les élèves du secondaire en Estrie

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1 Numéro 8 Avril 2013 Les comportements sexuels chez les élèves du secondaire en Estrie L EQSJS en bref De novembre 2010 à mai 2011, l Institut de la statistique du Québec (ISQ) a procédé à une enquête de santé auprès des jeunes inscrits dans une école secondaire du Québec : l Enquête québécoise sur la santé des jeunes du secondaire (EQSJS). L objectif de l EQSJS est de dresser un portrait de l état de santé physique, mentale et psychosociale des jeunes fréquentant l école secondaire, ainsi que des habitudes de vie susceptibles d avoir un impact sur leur santé. Près de répondants en Estrie Au niveau régional, près de élèves répartis dans 25 écoles et 256 classes ont participé à l enquête, un nombre qui nous permet d obtenir des données fiables et représentatives par territoire de MRC, ainsi que par commission scolaire. PROBLÉMATIQUE Au Québec, les infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS) représentent un problème de santé de plus en plus important, notamment chez les jeunes (1). Ce constat peut aussi être fait pour l Estrie (2). Ainsi, entre 2006 et 2011, le nombre de cas d ITSS déclarés à la Direction de santé publique de l Estrie a augmenté de 66 %. Le taux d incidence (nouveaux cas) des ITSS déclarées en Estrie est maintenant supérieur à celui de la province. Les jeunes de 15 à 24 ans sont particulièrement touchés par les ITSS. Ainsi, en 2011, le taux d incidence des infections à chlamydia chez les 15 à 24 ans est six fois plus élevé que dans la population générale. Afin de mieux lutter contre les ITSS chez les jeunes, il est important de mieux connaître leurs comportements sexuels. Le présent bulletin Vision Santé publique fait la synthèse des résultats de l Enquête québécoise sur la santé des jeunes du secondaire (EQSJS) concernant les comportements sexuels des élèves du secondaire de 14 ans et plus en Estrie. RÉSULTATS DE L EQSJS Seuls les élèves du secondaire de 14 ans et plus 1 ont été interrogés relativement à leurs comportements sexuels. Seules les relations sexuelles consensuelles 2, c est-à-dire avec le consentement de l élève, ont été étudiées dans l enquête. Toutes les différences notifiées dans le texte sont statistiquement significatives au seuil de 5 %, sauf mention contraire. FAITS SAILLANTS En Estrie Environ 40 % des élèves ont eu au moins une relation sexuelle au cours de leur vie, ce qui est plus élevé qu au Québec (37 %). Les filles sont en proportion plus nombreuses que les garçons à avoir eu au moins une relation sexuelle (42 % contre 37 %). Environ 9 % de l ensemble des élèves de 14 ans et plus ont eu leur première relation sexuelle avant l âge de 14 ans, ce qui est comparable au Québec. Environ 65 % des élèves sexuellement actifs ont utilisé le condom lors de leur dernière relation vaginale, ce qui est légèrement inférieur au Québec (68 %). Cette proportion est beaucoup moins élevée parmi les élèves de la 5 e secondaire (59 %) que parmi ceux du premier cycle (80 %). Les consommateurs de tabac et de drogues sont en proportion plus nombreux à ne pas utiliser le condom et à avoir eu trois partenaires ou plus. De façon générale, il n y a pas de différence significative entre les MRC et l Estrie. 1 Dans la suite du texte, «les élèves» désignent les élèves du secondaire de 14 ans et plus. 2 Dans la suite du texte, «relation sexuelle» fait référence à une relation sexuelle orale, vaginale ou anale consensuelle. 1

2 RELATION SEXUELLE AU COURS DE LA VIE En Estrie, près de 40 % des élèves déclarent avoir eu au moins une relation sexuelle au cours de leur vie. Parmi ceux-ci, les garçons sont proportionnellement moins nombreux que les filles (37 % contre 42 %; Tableau 1). Comparativement aux élèves du Québec, les élèves estriens sont en proportion plus nombreux à avoir eu au moins une relation sexuelle (40 % contre 37 %). C est également le cas pour les filles (42 % contre 38 %), mais pas pour les garçons (Figure 1). Si on considère chacun des types de relation individuellement, on constate qu en Estrie, environ 35 % des élèves ont eu une relation orale ou vaginale, et 6 %, une relation anale. Toutes proportions gardées, il y a plus de filles que de garçons à avoir eu une relation orale ou vaginale (38 % contre 32 %). Cette différence n est pas observée pour les relations anales (Tableau 1). Tableau 1 au moins une relation sexuelle au cours de leur vie, selon le sexe, Estrie, Sexe Orales, vaginales ou anales Orales Vaginales Anales Garçons Filles Total Figure 1 au moins une relation sexuelle au cours de leur vie, selon le sexe, Estrie et Québec, Tableau 2 au moins une relation sexuelle au cours de leur vie, selon la MRC, Estrie, Territoire Proportion MRC du Granit 38 MRC des Sources 39 MRC du Haut-St-François 42 MRC du Val-St-François 42 Ville de Sherbrooke 38 MRC de Coaticook 36 MRC de Memphrémagog 46 Estrie 40 La proportion d élèves ayant eu au moins une relation sexuelle au cours de la vie augmente à chacun des niveaux scolaires. Ainsi, 22 % des élèves du premier cycle ont eu une relation, contre 59 % en 5 e secondaire. On constate également une telle augmentation pour chacun des types de relations orales ou vaginales. Dans le cas des relations anales, la même tendance se dessine sans toutefois que les différences observées entre les niveaux soient toutes significatives (Tableau 3). Tableau 3 au moins une relation sexuelle au cours de leur vie, selon le niveau scolaire, Estrie, Niveau scolaire 1 re et 2 e secondaire Orales, vaginales ou anales Orales Vaginales Anales * 3 e secondaire * 4 e secondaire e secondaire (+) : Valeur significativement plus élevée que celle du Québec, au seuil de 0,05. Source : Institut de la statistique du Québec. Enquête québécoise sur la santé des jeunes du secondaire Dans chacune des MRC de l Estrie, la proportion d élèves ayant eu au moins une relation sexuelle est comparable à celle de la région (Tableau 2). C est le cas quel que soit le type de relation sexuelle et chez les garçons comme chez les filles. Facteurs associés au fait d avoir eu au moins une relation sexuelle au cours de la vie L EQSJS a permis de montrer un lien entre la proportion d élèves ayant eu au moins une relation sexuelle au cours de leur vie et certaines caractéristiques sociodémographiques. 2

3 Ainsi, cette proportion est : moins élevée parmi les élèves vivant avec leurs deux parents (34 %) que parmi ceux vivant dans une toute autre situation familiale 3 (47 %); plus élevée parmi les élèves dont les parents n ont pas de diplôme d études secondaires (50 %), comparativement à ceux dont les parents ont complété leur secondaire (42 %) ou effectué des études postsecondaires (38 %). En revanche, l enquête ne permet pas de mettre en évidence de relation entre la proportion d élèves ayant eu au moins une relation sexuelle et l indice de défavorisation matérielle et sociale en Estrie. Notons que cette association est observée pour l ensemble de la province. Par ailleurs, en Estrie, comme dans l ensemble de la province, la proportion d élèves ayant eu au moins une relation sexuelle au cours de leur vie est plus élevée parmi les élèves qui : fument actuellement la cigarette; ont déjà consommé de l alcool au cours de leur vie; ont déjà consommé de la drogue au cours de leur vie. De plus, les jeunes qui ne présentent pas a priori de consommation problématique (Feu vert DEP-ADO) 4 sont en proportion moins nombreux que les autres à avoir eu une relation sexuelle. Il n y a pas de différence entre les élèves des catégories «Feu jaune» et «Feu rouge» (Tableau 4). Tableau 4 au moins une relation sexuelle au cours de leur vie, selon certains comportements à risque, Estrie, Comportements à risque Proportion Statut de fumeur Fumeurs 82 Non-fumeurs 35 Consommation d alcool à vie Oui 47 Non 10 Consommation de drogues à vie Oui 67 Non 23 Indice DEP-ADO Feu vert 34 Feu jaune 76 Feu rouge 81 PREMIÈRE RELATION SEXUELLE AVANT L ÂGE DE 14 ANS Cet indicateur permet d évaluer la précocité des comportements sexuels chez les jeunes. Il concerne tous les jeunes de 14 ans et plus et pas seulement les jeunes sexuellement actifs. En Estrie, un peu plus de 9 % de l ensemble des élèves ont eu une première relation sexuelle avant l âge de 14 ans (Tableau 5). Cette proportion est comparable à celle du Québec. De plus, on n observe pas de différence entre les sexes. Ces constats sont les mêmes pour les différents types de relations pris individuellement, excepté en ce qui concerne les relations anales pour lesquelles les garçons sont en proportion plus nombreux que les filles. Dans chacune des MRC considérées individuellement, la proportion de jeunes à avoir eu une première relation sexuelle avant l âge de 14 ans est comparable à celle de l Estrie (Tableau 5). C est le cas chez les garçons comme chez les filles. Tableau 5 une première relation sexuelle avant l âge de 14 ans, selon la MRC, Estrie, Territoire Proportion MRC du Granit 6* MRC des Sources 10* MRC du Haut-St-François 11* MRC du Val-St-François 12 Ville de Sherbrooke 8 MRC de Coaticook 12* MRC de Memphrémagog 11 Estrie 9 La proportion d élèves de 14 ans et plus ayant eu une première relation sexuelle avant l âge de 14 ans est plus élevée en 1 re et en 2 e secondaire, ou en 3 e secondaire, qu en 4 e et en 5 e secondaire (Tableau 6). 3 Reconstituée, monoparentale, garde partagée, tuteur (trice), famille ou foyer d accueil, seul(e), en colocation, etc. 4 Bulletin Vision Santé publique : La consommation de cigarettes, d alcool et de drogues chez les jeunes du secondaire en Estrie. L indice DEP-ADO est un indicateur permettant d évaluer la consommation problématique d alcool ou de drogues. Les élèves sont classés dans l un des trois groupes suivants : feu vert (élèves ne présentant aucune évidence de consommation problématique et ne nécessitant aucune intervention), feu jaune (élèves qui présentent des problèmes en émergence et pour qui une intervention de première ligne est jugée souhaitable), feu rouge (élèves qui présentent des problèmes importants de consommation et pour qui une intervention spécialisée est suggérée). 3

4 Tableau 6 une première relation sexuelle avant l âge de 14 ans, selon le niveau scolaire, Estrie, Niveau scolaire Proportion 1 re et 2 e secondaire 15* 3 e secondaire 11 4 e secondaire 7 5 e secondaire 7 Facteurs associés au fait d avoir des relations sexuelles précoces En Estrie, comme dans l ensemble de la province, la proportion des élèves ayant eu une première relation sexuelle avant l âge de 14 ans est plus faible parmi les élèves : qui vivent avec leurs deux parents; dont les parents ont un diplôme postsecondaire; qui résident dans un milieu favorisé; dont les deux parents sont en emploi. UTILISATION DU CONDOM PARMI LES ÉLÈVES SEXUELLEMENT ACTIFS En Estrie, 65 % des élèves déclarent avoir utilisé le condom lors de leur dernière relation sexuelle vaginale 5. Cette proportion est légèrement inférieure à celle du Québec (68 %). Lorsqu on considère les relations anales, la proportion d utilisation du condom tombe à 46 %. Ce chiffre est comparable à celui du Québec. De plus, en Estrie comme au Québec, pour les relations vaginales comme pour les relations anales, les garçons sont proportionnellement plus nombreux que les filles à avoir utilisé le condom lors de la dernière relation sexuelle (Tableau 7). Tableau 7 utilisé le condom lors de la dernière relation sexuelle vaginale ou anale, selon le sexe, Estrie, Sexe Vaginales Anales Garçons Filles 59 31* Total Dans toutes les MRC, la proportion d élèves ayant utilisé le condom lors de la dernière relation sexuelle vaginale 6 est comparable à celle de l Estrie (Tableau 8). Cela est vrai chez les garçons comme chez les filles. Tableau 8 utilisé le condom lors de la dernière relation sexuelle vaginale, selon la MRC, Estrie, Territoire Proportion MRC du Granit 70 MRC des Sources 72 MRC du Haut-St-François 69 MRC du Val-St-François 69 Ville de Sherbrooke 64 MRC de Coaticook 71 MRC de Memphrémagog 60 Estrie 65 La proportion d élèves ayant utilisé le condom lors de la dernière relation vaginale est plus élevée chez les élèves de la 1 re et de la 2 e secondaire, comparativement aux élèves de la 4 e ou de la 5 e secondaire. Ce lien n est pas démontré lors d une relation anale (Tableau 9). Tableau 9 utilisé le condom lors de la dernière relation sexuelle vaginale, selon le niveau scolaire, Estrie, Niveau scolaire Proportion 1 re et 2 e secondaire 80 3 e secondaire 71 4 e secondaire 65 5 e secondaire 59 5 Dans le questionnaire de l EQSJS, la question concernant l utilisation du condom lors des relations orales n a pas été posée. 6 En raison de l imprécision des données les concernant, nous ne parlerons pas des relations anales dans l analyse par MRC pour cet indicateur. 4

5 Facteurs associés à l utilisation du condom En Estrie, comme au Québec, la proportion d élèves ayant utilisé le condom lors de la dernière relation vaginale est plus faible parmi : les fumeurs actuels; les élèves ayant déjà consommé de la drogue; les élèves classés dans la catégorie «Feu rouge» de l indice DEP-ADO. En revanche, même si la tendance est la même qu au Québec, ce lien n est pas démontré pour la consommation d alcool, probablement en raison d un manque de puissance de l enquête en Estrie (Tableau 10). Tableau 10 utilisé le condom lors de la dernière relation sexuelle vaginale, selon certains comportements à risque, Estrie, Comportements à risque Proportion Statut de fumeur Fumeurs 52 Non-fumeurs 69 Consommation de drogues à vie Oui 63 Non 69 Indice DEP-ADO Feu vert 68 Feu jaune 64 Feu rouge 47 NOMBRE DE PARTENAIRES À VIE Près de 30 % des élèves ayant eu des relations sexuelles orales ou vaginales ont eu trois partenaires ou plus au cours de leur vie (Tableau 11). Pour tous les types de relations sexuelles, il n y a pas de différence entre le nombre de partenaires des élèves estriens et québécois. C est le cas chez les garçons comme chez les filles. Tableau 11 Répartition des élèves du secondaire de 14 ans et plus ayant déjà eu des relations sexuelles, selon le nombre de partenaires et le type de relation, Estrie, Nombre de partenaires Orales Vaginales Anales Un partenaire Deux partenaires Trois partenaires ou plus * Deux partenaires ou plus. Il n y a pas de différence selon le sexe pour ce qui est des relations vaginales ou orales. En revanche, relativement aux relations anales, les filles sont en proportion moins nombreuses que les garçons à avoir eu deux partenaires ou plus (15 % 7 contre 34 %). Contrairement à ce qu on pourrait penser, de façon générale, pour les élèves de 14 ans et plus, le nombre de partenaires au premier cycle est similaire à celui au deuxième cycle. Facteurs associés au nombre de partenaires On remarque que, pour les relations vaginales comme pour les relations orales, il existe une association entre la situation familiale de l élève et le nombre de partenaires. La proportion d élèves ayant eu trois partenaires ou plus est plus faible parmi ceux qui vivent avec leurs deux parents que parmi les autres (Tableau 12). Ce lien n est pas démontré pour les relations anales. Pour chaque type de relations, l enquête ne permet pas de montrer un lien entre le nombre de partenaires et l indice de défavorisation matérielle et sociale en Estrie. Notons que cette association existe à l échelle de la province. Il se pourrait que cela soit dû à un manque de puissance de l enquête pour l Estrie. 25 * 7 Coefficient de variation supérieur à 15 % et inférieur à 25 %. Cela signifie que être interprétée avec prudence. 5

6 Pour ce qui est des relations orales ou vaginales, la proportion d élèves ayant eu trois partenaires ou plus au cours de la vie est plus élevée parmi : les fumeurs actuels; les consommateurs de drogues à vie; les élèves classés dans la catégorie «Feu rouge» de l indice DEP-ADO (Tableau 12). Même si la tendance est la même qu au Québec, aucun lien n est démontré avec la consommation d alcool, d une part, et pour ce qui est des relations anales, d autre part. Tableau 12 Proportion des élèves ayant eu trois partenaires ou plus au cours de leur vie selon certaines caractéristiques, élèves du secondaire de 14 ans et plus ayant eu au moins une relation sexuelle orale ou vaginale, Estrie, Caractéristiques Relations orales Relations vaginales Situation familiale Biparentale Autre Statut de fumeur Fumeurs Non-fumeurs Consommation de drogues à vie Oui Non Indice DEP-ADO Feu vert Feu jaune Feu rouge Reconstituée, monoparentale, garde partagée, tuteur (trice), famille ou foyer d accueil, seul(e), en colocation, etc. PISTES DE SOLUTION Les données de l EQSJS apportent un éclairage sur les comportements sexuels des jeunes du secondaire. Ceux-ci ont un impact majeur sur le taux d ITSS. Favoriser une sexualité saine et responsable fait donc partie des moyens de lutte contre ces infections. Pour cela, il est important de mobiliser les différents partenaires du réseau de la santé et des services sociaux, du réseau communautaire et du réseau de l éducation autour d une vision commune qui encourage la mise en œuvre de multiples stratégies, selon une approche globale et intégrée. En ce sens, le réseau de la santé et des services sociaux et le réseau de l éducation travaillent de concert au sein de l approche École en santé pour, entre autres, aider les jeunes à adopter des comportements sains et sécuritaires en matière de sexualité. De plus, un sous-comité du comité directeur de santé publique composé de plusieurs partenaires régionaux provenant de la Direction de santé publique de l Estrie, des centres de santé et de services sociaux, des organismes communautaires et d organisations en lien avec les jeunes a été créé en septembre Ce sous-comité a pour mandat de développer un plan d action régional pour lutter contre les ITSS en Estrie. Par ailleurs, une campagne régionale de prévention des ITSS a été menée en 2011 et reconduite en Les objectifs de cette campagne sont de promouvoir le port du condom, faciliter l accès à des condoms et au dépistage, ainsi que familiariser les jeunes avec les services préventifs disponibles en Estrie. À cet effet, des kiosques d information ont été tenus notamment à l Université, au Cégep et dans des écoles secondaires. Les partenaires intersectoriels impliqués dans ces stratégies pourraient être amenés à utiliser les résultats de l EQSJS, en complément des pratiques reconnues efficaces, pour appuyer leurs messages et leurs actions. LISTE DES RÉFÉRENCES (1) MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX (2010). Quatrième rapport national sur l état de santé de la population du Québec. L épidémie silencieuse : les infections transmissibles sexuellement et par le sang. Gouvernement du Québec, 73 p. (2) AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE L ESTRIE (2012). Portrait des infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS) en Estrie Agence de la santé et des services sociaux de l Estrie, 21 p. Rédaction : Béatrice Poirier, Direction de santé publique de l Estrie Collaboration : Françoise Gendron, Geneviève Petit, Monique Drapeau, Marie-Josée Riel et Renée Lemieux, Direction de santé publique de l Estrie ISBN

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