COLLOQUE INTERNATIONAL LES ETATS-UNIS ET LE MONDE ARABE

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1 Le 1 er juin 2011 COLLOQUE INTERNATIONAL LES ETATS-UNIS ET LE MONDE ARABE Compte-rendu du séminaire qui s est tenu à l Ifri le 23 mai 2011, organisé par le programme Maghreb/Moyen-Orient. L objectif premier de cette conférence, deux ans après le discours du Caire, était d analyser les implications et les conséquences de la «politique arabe des Etats-Unis». Cependant, la concordance des temps entre cette conférence et les discours tant attendus du président Obama au Département d Etat et à AIPAC les 19 et 21 mai, a permis de replacer ces enjeux dans une actualité criante. En ayant privilégié la diversité des points de vue les intervenants provenant d horizons très différents, chercheurs, diplomates, responsables politiques américains Républicains et Démocrates, ont répondu présent cette conférence nous a éclairés sur la politique extérieure des Etats-Unis dans le monde arabe, tant d une perspective historique, que stratégique ou géopolitique. La confrontation de points de vue arabe, américain et français sur cette question a ainsi pu mettre en exergue la complexité des relations entre les Etats-Unis et le monde arabe, et a mené à une réflexion approfondie sur des questions aussi essentielles que l existence réelle ou supposée d une «politique arabe des Etats-Unis», les perspectives américaines dans le conflit israélo-palestinien, les intérêts stratégiques et économiques des Etats-Unis dans la région, ou encore les réactions américaines face aux soulèvements actuels. 1

2 Y a-t-il une politique arabe des Etats-Unis? Suite à l allocution d ouverture de Dominique Moïsi et de l Ambassadeur des Etats-Unis en France, Louis Balthazar s est montré d emblée réticent face à la question «y a-t-il une politique arabe des Etats-Unis?» : l idéalisme probant des Etats-Unis, ainsi que la croyance en une volonté divine et une destinée manifeste comme fondement de la nation américaine, écartent les Etats-Unis de considérations pratiques que requiert pourtant la mise en place d une politique arabe. En raison de leurs connaissances très limitées de la région, à la fois dans le domaine culturel, politique, et économique, les Etats-Unis qui par ailleurs ne sollicitent que peu les experts sur ces questions sont handicapés pour la mise en œuvre d une politique arabe telle qu on l entend, notamment en France. Les acteurs de cette politique la Maison Blanche, le Département d État, le Pentagone, le Congrès, et les Lobbies font alors de leur mieux pour mettre en œuvre des politiques qu ils adaptent en fonction des pressions exercées. Nassif Hitti a rejoint à son tour l argument selon lequel il serait difficile de parler de «politique arabe américaine», puisqu il n existe pas de paradigme analytique unique pour comprendre le Moyen-Orient, utilisé tant par des intellectuels que des hommes politiques américains. Par conséquent, on ne peut, d après lui, qu évoquer des politiques arabes, ou encore des politiques «sous arabes». En outre, ce manque de cohésion géopolitique répond au véritable manque d unité dans cette région. D aucuns devraient plutôt parler de définitions «conjoncturelles», ces dernières répondant avant tout à des ambitions stratégiques, tel que le projet de Greater Middle East. S il n existe pas de politique arabe des Etats-Unis, l Ambassadeur de la Ligue Arabe en France a tout de même insisté sur le fait que trois piliers structurent l approche américaine au Moyen-Orient : Israël, le Pétrole, et la Stabilité/Status Quo. Philippe Droz-Vincent a livré une toute autre approche du concept de «politique arabe des Etats-Unis» : cette notion serait à rapprocher de celle d intérêt, mêlée à une vision de l autre qui est souvent telle qu on l imagine, construite sur un grand nombre d idées reçues. En effet, l écart semble grand entre les politiques américaines et la compréhension des enjeux locaux, cette tendance étant d autant plus exacerbée sous l administration Bush avec ses velléités de remodelage de la région. Le dernier discours d Obama au Département d Etat, en réponse aux mouvements de démocratisation, est cependant susceptible de mener à la formulation d une politique arabe moins uniformisée en ce que les Etats-Unis semblent prêts à prendre en compte les perceptions et dynamiques locales. Le cas de l Egypte est symptomatique d une politique extérieure américaine s adaptant au cas par cas : en l espace de quelques semaines, les Etats-Unis sont passés du soutien à un régime «stable», à un appui aux révolutions, en passant par un appel aux «réformes». Cette absence d approche idéologique dans la conception de la politique étrangère des Etats-Unis dans le monde arabe, au profit d une approche réaliste, est symptomatique de l administration Obama, comme l a précisément souligné James Zogby. Il a souvent été reproché à Barack Obama de ne pas avoir mis en œuvre de politique cohérente dans le monde arabe ; pour le président de l Arab American Institute, Barack Obama a hérité d une situation inextricable dans la région, inévitable legs des deux mandats Bush. 2

3 C est enfin sur la question des acteurs, notamment sur l existence d une «voix arabe» susceptible d influencer la construction de cette politique arabe que s est conclue la première table-ronde. D après James Zogby, on ne peut parler d un «lobby arabe». Si lobby il y a, c est bien un lobby «arabo-américain» qui émerge, et non un qui s établirait sur le modèle et en concurrence d AIPAC. En effet, ces «groupes de pression» militent avant tout pour que les Américains s engagent dans une politique juste, sous tendue par les Droits de l Homme, ou encore la notion d équité, mais ne s établissent pas en tant que représentants d un quelconque pays arabe. Il a attiré notre attention sur la nécessité de faire évoluer les mentalités aux Etats-Unis : il se peut que les révoltes arabes permettent alors de précipiter cette «révolution des mentalités», que James Zogby appelle de ses vœux. Dès lors, le rôle des Arabes américains se situerait à cette jonction : faire évoluer les mentalités pour que la politique arabe des Etats-Unis prenne en compte les trois défis mentionnés par Nassif Hitti : recréer une «infrastructure humaine», engager un dialogue sérieux avec les acteurs principaux des sociétés civiles arabes en voie de changement, et enfin créer des espaces de partenariats économiques. Tous les intervenants de la table-ronde se sont accordés pour avertir que si une politique arabe des Etats-Unis doit exister, c est une politique se traduisant dans l action et non pas de simples beaux discours, comme cela a pu être le cas dans le discours prononcé devant le Département d Etat le 19 mai, et plus encore une politique loin de l impérialisme américain si souvent dénoncé. Les perspectives américaines dans le conflit israélo-palestinien: entre anciens et nouveaux défis? Les questions cruciales, qui sous-tendent toute perspective américaine dans la région ont été posées lors de cette table-ronde analysant les perspectives américaines dans le conflit israélo-palestinien: les intérêts américains et israéliens coïncident-ils? L évolution de la politique intérieure israélienne n accentue-t-elle pas les tensions, à un moment où le printemps arabe se développe? Dans ce contexte, quelles sont les chances pour un Etat palestinien et une paix durable ; et plus encore, quel rôle les Etats-Unis peuvent-il jouer en cette faveur? Henry Laurens a offert une perspective historique de la présence américaine dans ce conflit, qui se trouve être dans la continuité des grandes crises d Orient du 19 ème siècle. Il a insisté sur les facteurs menant au soutien américain à l Etat d Israël. Alors qu en 1948 l antisémitisme est très fort aux Etats-Unis, la création de l Etat d Israël est vue comme une solution pour que les juifs ne puissent émigrer aux Etats-Unis. Le poids de l Holocauste qui ne se fera sentir que dans les années 1950 est un facteur supplémentaire expliquant l alignement politique des Américains sur les positions israéliennes. La guerre froide qui s installe dans la région, en même temps que le premier conflit israélo-arabe joue également un rôle crucial en ce sens. Les motivations changent néanmoins avec Septembre Noir, qui transforme Israël en atout stratégique pour les Américains. 3

4 Le professeur au Collège de France a insisté sur l évolution notable de la terminologie relative à ce conflit : tandis que l on passe de «conflit israéloarabe» à «conflit israélo-palestinien», la dimension palestinienne prend de l ampleur dans le discours Américain. Henry Laurens a conclu sur «la ligne Kissinger» : d après lui, «si elle a réussi dans la pratique, elle échoue dans son fondement». Plusieurs Etats arabes sont certes alignés sur les Etats-Unis, mais demandent la contrepartie, i.e. un règlement satisfaisant du conflit. Le contexte tout particulier de l accord récent d unité en le Fatah et le Hamas a permis à Sara Roy de revenir plus spécifiquement sur la situation à Gaza, et les enjeux qu elle implique. Elle a en effet précisé qu une nouvelle initiative pour la paix est susceptible d être créée avec cet accord. Alors que Mahmoud Abbas avait perdu tout espoir de paix pendant quatre ans, différentes sources de pression ont pu raviver celui-ci : les Frères Musulmans sont non seulement un facteur clé à prendre en compte pour comprendre la réconciliation du Fatah et du Hamas, mais ce sont également des facteurs internes qui l ont influencée: la chercheuse à Harvard a en effet rappelé que les échecs économiques prégnants, la perte de 1400 vies en décembre 2008, la fermeture des frontières, un taux de chômage de 15 %, un taux d appauvrissement de 70%, quatre cinquième de la population dépendant de l aide internationale, ont été autant de facteurs influençant la marche vers un accord de réconciliation. Le tableau tracé par Sara Roy, d après ses recherches sur le terrain, révèle ainsi une situation «désespérée» pour la population palestinienne. Dans cette situation, qui interpelle de plus en plus les Etats-Unis, quel rôle ces derniers ontils à jouer? Pour répondre à cette question centrale, la chercheuse est revenue plus spécifiquement sur le rôle américain dans les tentatives de résolution du conflit, notamment d une perspective palestinienne : le véto américain lors de la résolution de l ONU condamnant la colonisation israélienne a fortement contribué à décrédibiliser les Etats-Unis aux yeux des Palestiniens ; fait qui ne semble d ailleurs pas avoir évolué, malgré le dernier discours d Obama : à ce titre, Sara Roy a décrit le président américain comme «un homme souhaitant une solution plus juste à ce conflit, mais peu disposé à faire le nécessaire pour atteindre ce but». Ofer Bronchtein s est lui concentré sur les relations entre Israël et les Etats-Unis, et s est attelé à relativiser l impact des Etats-Unis sur Israël. Rappelant les relations de ce dernier avec les puissances européennes dans les premières années de sa création, il a souligné que si Israël est une puissante atomique, elle le doit plus à la France qu aux Etats-Unis. Il a également précisé que la relation israélo-américaine a pris tout son essor à partir de l embargo déclaré par de Gaulle, après la guerre des six jours. En outre, quel que soit le rôle escompté de la puissance américaine, aucun accord de paix n a pu voir le jour sous l impulsion américaine : le président du Forum International pour la Paix a en effet précisé que les Etats-Unis ont plus été témoins de ces changements, que véritable initiateurs. L exemple de la décision stratégique et historique du président égyptien Sadate d aller à Jérusalem est significatif à cet égard, puisqu elle n était en rien une décision américaine. 4

5 Les États-Unis entre intérêts stratégiques et velléités démocratiques A quelques mois du retrait total des armées américaines en Irak, Austin Long a abordé les différentes difficultés qui en découleraient, ainsi que les différents scénarios que les Etats-Unis pourraient alternativement mettre en œuvre. Selon lui, les conséquences d un retrait total seraient désastreuses pour l Irak autant que pour la région. Après avoir évoqué les problèmes politiques (tensions entre Arabes et Kurdes, problème du nationalisme irakien, corruption), et les problèmes sécuritaires auxquels l Irak est confronté depuis 2003, Austin Long a jugé néfastes les conséquences d un retrait total américain : d après lui, la fin de la présence américaine relève d un mauvais calcul, et ne fait qu exacerber les tensions. Le cas spécifique de l Irak a permis à Charles Dunne d élargir le propos sur les enjeux de «démocratisation» au Moyen-Orient, en particulier sous l ère Obama. Le président américain ayant mis la politique étrangère au cœur de son mandat, la question à se poser est dès lors si l intervention en vue de «démocratiser» la région demeure une stratégie à adopter comme l a souhaité son prédécesseur Georges W. Bush ou une réaction à une situation donnée. La question de «faut il laisser le chaos perdurer ou intervenir en cas de conflit?» se pose avec d autant plus d acuité dans le contexte actuel. Si l aide au processus «démocratique» a été dans un premier temps marquée par un soutien économique, comme l a démontré le premier budget 2010 destiné à la Jordanie et à l Egypte, l intervention en Libye a montré que le soutien à la démocratie a repris le chemin des armes. En acceptant de s en remettre à l OTAN, les Etats- Unis évitent cependant d apparaître au premier plan d une troisième intervention militaire contre un pays musulman. Le débat s est ensuite concentré sur le Golfe, avec Richard Jones qui a relevé les intérêts géostratégiques des Etats-Unis dans la région : en plus des intérêts américains dans la région énoncés dans le dernier discours d Obama lutte contre le terrorisme, coopération de non prolifération nucléaire, coopération militaire, sécurité d Israël l ancien Ambassadeur américain a insisté sur d autres facteurs majeurs qui sont, selon lui, nécessaires à la compréhension globale des relations entre les Etats-Unis et le Golfe : parmi eux, les questions économiques (la stabilité financière, un commerce florissant), les questions politiques (notamment les relations avec le monde musulman), et enfin les problèmes globaux (les Droits de l Homme, le changement climatique, les questions diplomatiques). Contre l idée répandue que la recherche du pétrole et du gaz dans le Golfe conditionne toute la politique étrangère des Etats-Unis, Richard Jones a souligné que le plus grand intérêt américain dans la région outre la paix, était la protection des infrastructures pétrolières, notamment en Arabie Saoudite. C est en effet toute la communauté internationale qui est dépendante du pétrole et du gaz, et non pas uniquement les Etats-Unis. 5

6 Les États-Unis et les révoltes arabes: quels enjeux? Quelles réponses? En vue d appréhender pleinement les enjeux et les réponses américaines dans le contexte actuel, Alexandra de Hoop Scheffer a souligné les deux «syndromes» de la politique étrangère des Etats-Unis au Moyen-Orient : le «syndrome irakien», cette obsession du président Obama de ne pas reproduire la politique du regime change coercitif de son prédécesseur, ainsi que «le syndrome iranien» qui s expliquerait par une volonté exacerbée des Américains de se situer «du bon côté de l histoire», d où le soutien explicite affiché à plusieurs reprises par le président américain aux opposants iraniens. Les révolutions arabes ont permis de relancer la réflexion sur la notion de «démocratisation» : jusqu à la crise libyenne, l approche du regime change était devenue démilitarisée, et il s agissait alors de s intéresser à la «démocratisation par le bas». On assiste aujourd hui à un «effet domino renversé», en ce que les demandes de libertés politiques et économiques émanent des sociétés civiles et non plus d une volonté externe, comme cela a été le cas sous l administration Bush. Alexandra de Hoop Scheffer analyse ainsi la conjoncture actuelle comme un rejet du modèle américain de démocratisation qui a été si prégnant pendant des années. A l inverse, elle est revenue sur le dilemme que les Etats-Unis doivent affronter actuellement : comment les Etats-Unis doivent-ils se situer entre un soutien sans faille aux aspirations démocratiques, et un manque de visibilité quant aux conséquences politiques et géostratégiques que ce soutien induit? Bien qu un des leitmotive du moment soit de s interroger sur la nature d une «doctrine Obama», il est clair que c est plutôt une «stratégie du cas par cas» qui prévaut. Dans ce contexte, quelles ont été les réactions américaines face au «laboratoire expérimental» que représente la Tunisie? Quatre mois après la révolution, déclenchant la chute de Ben Ali, Amine Aït Chaalal a pu se demander si les autorités américaines ont été dépassées par les évolutions en Tunisie. La faculté d adaptation de la diplomatie américaine a frappé plus d un des observateurs, laissant place jusqu à maintenant au dilemme suivant : fallait-il ne rien faire, risquant en conséquence d être accusé de ne pas soutenir la démocratie? Ou fallait-il au contraire faire preuve de soutien, dans une région où les Etats-Unis ne sont pas en première ligne, au risque de susciter des comparaisons avec le cas irakien? Après un exposé complet du rôle de soutien et d accompagnateur de la Ligue Arabe face aux révoltes, Monsieur l ambassadeur de la Ligue Arabe aux Etats- Unis, est revenu sur la position de la Ligue quant au conflit israélo-palestinien et la création potentielle d un Etat Palestinien en septembre prochain. Hussein Hassouna s est ensuite attaché à répondre aux nombreuses questions que son exposé a soulevées, notamment le problème central de la résonance de la Ligue Arabe aujourd hui. Marwan Bishara, journaliste à Al-Jazeera, a abordé sous un angle plus critique la réaction américaine face aux révoltes arabes : selon lui, les Américains ont été pris de court par la situation, et plus encore se sont retrouvés dans l impossibilité d analyser les coulisses de ces révolutions. Il est également revenu sur le discours d Obama au Département d Etat le 19 mai, en exposant plus de réserves par rapport à ce qui a pu être dit durant la conférence ; car il ne s agit pas seulement d approuver un discours, l important étant de «lire entre les lignes» afin de s attarder sur ce qui n est pas dit. 6

7 Le colloque s est terminé sur les voies qu il reste à explorer. Nous sommes en effet bien conscients que malgré la qualité des travaux et la totale disponibilité de nos intervenants mise au service de ce thème et de notre colloque, il n a pas été possible d évoquer de manière exhaustive tous les aspects des relations entre les Etats-Unis et le monde arabe. L actualité ayant pris le dessus les deux discours d Obama au Département d Etat et à AIPAC dans les deux jours précédant la conférence ont fait l objet d une analyse poussée par la plupart de nos intervenants il convient de noter que la situation au Yémen, en Jordanie, en Algérie, ou encore en Libye n ont suscité que peu de débats. Cela nous amène à reconnaitre qu il n y a eu ni place, ni temps, de parler des pays où la «révolution» n a pas encore eu d échos considérables ; ce qui nous incite à envisager d autres conférences pour approfondir et explorer de manière globale la politique étrangère des Etats-Unis dans le monde arabe. 7

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