Bénin : les grandes lignes du projet de loi des Finances gestion 2014
|
|
- Georgette Pelletier
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Bénin : les grandes lignes du projet de loi des Finances gestion milliards, c est le montant du budget général de l Etat exercice 2014 dont les grandes lignes sont présentées ici. Au total, le gouvernement reste attaché au renforcement du capital humain et des infrastructures de soutien à la production, la modernisation de l agriculture et le développement local. Le Conseil des Ministres s est réuni en séance extraordinaire le lundi 07 et le mardi 08 octobre 2013 sous la présidence effective du Président de la République, Chef de l Etat, Chef du Gouvernement. Au cours de la séance, le Conseil a adopté le projet de décret portant transmission à l Assemblée Nationale du projet de loi des Finances, gestion Le projet de budget général de l Etat pour la gestion 2014, objet dudit projet de loi de finances, est élaboré sur la base des orientations économiques du quinquennat axé sur le développement de l entreprise et de l initiative privée et dans un contexte marqué par l utilisation optimale des facteurs de production pour une croissance forte dans une économie peu inflationniste. Pour l année 2014, le Gouvernement compte : - poursuivre la mise en œuvre du plan de relance de l économie à travers les trois points d application retenus en 2013 que sont : le renforcement du capital humain et des infrastructures de soutien à la production ; la modernisation de l agriculture et la promotion de l agro-industrie ; le développement local. Les moyens prévus au budget général de l Etat, gestion 2014, pour la mise en œuvre des quatre points d applications, devraient permettre au Gouvernement d agir prioritairement sur : 1) le développement des infrastructures routières, en l occurrence les axes du bassin cotonnier, ceux du plateau d Agonlin et du plateau Adja ainsi que l axe Amassât-Bohicon ; 2) l autonomie énergétique en diversifiant les sources d énergie par la réalisation des barrages hydroélectrique de Dogo-bis et d Adjarala et le développement des énergies renouvelables ; 3) l emploi des jeunes, par l opérationnalisation d un vaste plan d actions d environ 58 milliards de FCFA, orienté principalement vers le renforcement du Fonds National de la Micro-finance, l Agence Nationale pour la Promotion de l Emploi, la mise en place des business promotion center, la promotion de entrepreneuriat agricole, à travers l installation de Centre Songhaï dans tous les départements et la promotion du volontariat ; 4) l opérationnalisation du Régime d Assurance Maladie universelle (RAMU), en vue d étendre la couverture sociale aux couches les plus défavorisées ; 5) la construction du théâtre national pour offrir des espaces de promotion et de renforcement de capacités aux artistes ; 6) le développement des Technologies de l information et de la Communication (TIC) par le passage de l analogique au numérique ; 7) le développement du partenariat public-privé, en vue de la promotion de l initiative privée et, ceci, à travers la mise en place des conditions incitatives ;
2 8) le développement à la base, à travers le renforcement des moyens d actions des collectivités locales par le renforcement du Fonds d Appui au Développement des Communes (FADeC) ; 9) le financement, dans tous les secteurs concernés, des actions retenues au plan d actions biennal de l initiative 1000 jours pour l atteinte des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) ; 10) la promotion de la destination Bénin, par l accélération des travaux du Projet de Développement Touristique de la Route des Pêches. Le Programme d Investissement Public qui vise à renforcer le capital humain et le stock des infrastructures de base favorable au développement équilibré, harmonieux et durable du territoire national, s inscrit pour la gestion 2014, dans le prolongement des actions du Gouvernement à savoir : la poursuite de la relance du secteur rural pour renforcer la sécurité alimentaire et la production cotonnière la bataille pour la maîtrise de l eau et l énergie pour mieux maîtriser l avenir ; le développement des infrastructures de transports pour booster l économie ; l accélération des actions pouvant permettre l atteinte des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) dans les 1000 jours restants ; la mise en œuvre du Régime d Assurance Maladie Universelle (RAMU) ; la poursuite du processus du transfert des ressources aux communes ; la poursuite de la dynamisation des BTP avec l intensification des grands travaux ; la mise en service la Nouvelle Cimenterie du Bénin (NOCIBE) ; la bonne tenue des industries manufacturières du fait notamment de l amélioration de la production agricole et de l activité des six(6) usines de transformation de produits agricoles ; la réorganisation de tous les projets agricoles en programmes filières en vue de leur mise en synergie ; les bonnes perspectives du trafic portuaire du fait notamment de la conjoncture internationale et sous régional, la réduction du délai de traitement des containers et le renforcement de la sécurité dans l enceinte portuaire ; l autonomisation économique de la femme, notamment le renforcement du programme de microcrédits aux plus pauvres, les activités génératrices de revenus des femmes en milieux urbain, périurbain et rural. Dans le Programme d Investissements Publics pour la gestion ,4% des prévisions sont orientées vers les secteurs productifs avec : - 21,2% pour les infrastructures ; - 15,5% pour le secteur rural ; -10,1% pour l eau et l électricité ; -30,8% pour les secteurs sociaux notamment : - 9,2% pour la santé et ; - 8/,8% pour l éducation ; - 18,7% sont consacrés à l appui institutionnel et au renforcement des capacités dans l Administration.
3 La mise en œuvre efficace des mesures et actions retenues, permettra d atteindre pour le compte de la gestion2014 : - un taux de croissance économique de 6,5% contre 6,2% estimé à fin 2013 ; - un taux d inflation de 2,7% en dessous de la norme communautaire de 3% ; - un taux de pression fiscale de 17,1% contre 16,6% en 2013 ; - un taux d investissement public de 6,4% du PIB contre 6,6% en 2013 ; - un solde budgétaire de base excédentaire de 0,7% du PIB contre un déficit de 0,2% en un déficit de solde courant de la balance des paiements représentant 7,5% du PIP contre 7,9% en Il convient de souligner que l amélioration des recettes intérieures sera soutenue en 2014 par des mesures administratives et fiscales. Eu égard aux orientations économiques retenues et aux réformes et mesures à mettre en œuvre en 2014, le projet de budget pour la gestion 2014 est équilibrée en ressources et en charges à la somme de millions de FCFA contre millions de FCFA en Par rapport aux ressources intérieures estimées à millions de FCFA y compris les ressources des comptes spéciaux du Trésor, il se dégage un déficit budgétaire de millions de FCFA en 2014 contre millions de FCFA en Ce déficit sera financé en partie par les ressources extérieures pour un montant de millions de FCFA et le reste par des ressources intérieures exceptionnelles évaluées à millions de FCFA. Pour ce qui concerne plus spécifiquement la jeunesse, une attention toute particulière est accordée à l emploi des jeunes, dans la perspective d inverser la tendance de l évolution à la hausse du chômage qui est passé, selon l Institut National de la Statistique et de l Analyse Economique (INSAE), de 0,7% en 2007 à 2,6% en Dans cette perspective, il sera développé en 2014, plusieurs actions dont la finalité sera de : - faciliter l accès à l emploi par l accroissement de l offre et de l employabilité ; - améliorer le fonctionnement du marché de l emploi ; - renforcer les capacités humaines et institutionnelles pour la promotion de l emploi et - réguler la migration professionnelle. Les actions inscrites dans ce cadre sont : - le renforcement du Programme d Appui à l Emploi Salarié (PAES) créé en 2007 pour favoriser la préinsertion et l insertion des jeunes et des femmes dans l Administration Publique, les entreprises et structures privées ; - la formation d entrepreneurs par l intermédiaire du Programme d Appui à l Emploi Indépendant (PAEI) qui permet d améliorer la qualité de la formation dans le but de lutter contre le chômage et le sous-emploi des jeunes et des femmes âgés ; - l apprentissage et les programmes de formation professionnelle à travers le Renforcement de Capacités des Demandeurs d Emplois (Rcde)
4 - l accompagnement des conducteurs de taxi-motos et des vendeurs informels d essence en vue de leur reconversion dans leur métier originel ou vers d autres activités ; - le renforcement de l octroi de bourses de recyclage aux artisans et la facilitation de leur installation ; - le renforcement de la mise en œuvre de l approche Haute Intensité de Main d Œuvre ; - la promotion du volontariat pour le développement du Bénin. La mise en œuvre des mesures ci-dessus citées devrait permettre de créer emplois directs et plus emplois indirects sur la période Les ressources consacrées à l emploi des jeunes par ministère au titre du projet de budget, gestion 2014 se déclinent ainsi qu il suit : Ministère de l Industrie, du Commerce et des Petites et Moyennes Entreprises : FCFA Ministère de l Agriculture de l Elevage et de la Pêche : FCFA Ministère de la Jeunesse, des Sports et des Loisirs : FCFA Ministère chargé de la Microfinance, de l Emploi des Jeunes et des Femmes : FCFA Ministère de l Enseignement Secondaire, de la Formation Technique et Professionnelle, de la Reconversion et de l Insertion des Jeunes : FCFA ; Ministère des Enseignements Maternel et Primaire : FCFA Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique : FCFA. Les ressources prévues pour la promotion de l emploi des jeunes dans les ministères s élèvent à la somme de FCFA. Par ailleurs, dans le cadre des opérations du recrutement et de reversement en 2014 dans l Administration Publique, il est prévu un montant de FCFA. En outre, il est prévu l érection de: - sept (7) nouveaux centres d affaires à Abomey-Calavi, Kandi, Pobè, Natitingou, Parakou, Bohicon et Lokossa pour un coût global de FCFA ; - deux (2) centres SONGHAI à Djougou et Kandi. Au plan de la protection sociale, le Gouvernement a initié le Régime d Assurance Maladie Universelle (Ramu) dont la finalité est d améliorer l accessibilité financière des populations aux soins de santé de qualité. Il vise spécifiquement à : - réduire, de façon significative et durable, le phénomène de paiement direct des soins ; - garantir le paiement des soins de santé de qualité ; - accroître la solidarité, l équité et l efficience dans le système de santé. Par ailleurs, un accent particulier est mis sur les conditions de reprise des travaux de construction du siège de l Assemblée Nationale à Porto-Novo. Des ressources importantes de l ordre de cinq (5) milliards sont prévues pour être consacrés au cours de l année 2014 pour le chantier du siège de l Assemblée Nationale. Les conditions de cette reprise des travaux seront définies à la suite d une expertise internationale du chantier dans son état actuel.
5 Au total, la répartition des prévisions de dépenses courantes du budget général de l Etat pour la gestion 2014 par secteur d activités se présente comme il suit : Secteurs sociaux : 403, 6 milliards de FCFA ; Secteur production et commerce : 90,9 milliards de FCFA ; Secteurs infrastructures productives : 208,9 milliards de FCFA ; Secteur gouvernance : 96,8 milliards de FCFA ; Secteur défense et sécurité : 83,8 milliards de FCFA ; Secteur souveraineté : 57,8 milliards de FCA. En adoptant ce projet de décret portant transmission à l Assemblée Nationale du projet de loi de finances pour la gestion 2014, le Conseil a demandé : 1. au Ministre de l Economie et des Finances et au Ministre du Développement, de l Analyse Economique et de la Prospective, en relation avec le Secrétaire Général du Gouvernement, d assurer dans le délai constitutionnel la transmission à l Assemblée Nationale du projet de loi de finances pour la gestion 2014 pour examen et vote ; 2. aux membres du Gouvernement de veiller au renforcement des acquis et à la mise en œuvre des actions phares retenues pour l année 2014 dans leurs secteurs respectifs en vue de l atteinte des objectifs en matière d accélération de la croissance ; 3. aux sept (7) ministères concernés par le plan d action de l Initiative 1000 jours pour la Réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement de veiller, chacun en ce qui le concerne, à l affectation des ressources nécessaires pour leur atteinte ; 4. aux ministères et institutions de l Etat de poursuivre la mise en œuvre des mesures d assainissement des finances publiques en accordant une priorité aux ressources affectées : a. aux contreparties des projets et programmes d investissements cofinancés avec les Partenaires Techniques et Financiers ; b. aux paiements des décomptes ; c. à la poursuite et à l achèvement des chantiers en cours principalement au niveau des routes et des bâtiments ; d. à la mise en œuvre des projets liés à l emploi des jeunes. Fait à Cotonou le 8 octobre 2013 Le Secrétaire Général du Gouvernement, Eugène DOSSOUMOU
BILAN D EXECUTION DU PLAN PREVISIONNEL DE DEVELOPPEMENT DE L ENTREPRISE (PPDE) Exercice 2009
MINISTERE DE L ENERGIE ET DE L EAU SOCIETE NATIONALE DES EAUX DU BENIN DIRECTION GENERALE DIRECTION DES ETUDES ET DE LA PLANIFICATION BILAN D EXECUTION DU PLAN PREVISIONNEL DE DEVELOPPEMENT DE L ENTREPRISE
Plus en détailAgricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable
Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement
Plus en détailLE MINISTRE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE, la loi n 90-032 du 11 décembre 1990 portant Constitution de la République du Bénin ;
REPUBLIQUE DU BENIN -------o------- MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -------o------- LE MINISTRE -------o------- A R R E T E ANNEE 2013 N /MAEP/DC/SGM/DRH/DIP/SA PORTANT ATTRIBUTIONS,
Plus en détailPARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE
PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE Par Madame F. Bintou DJIBO, COORDONNATRICE DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES AU SENEGAL Plan
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailLe système de protection sociale en santé en RDC
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection
Plus en détailÉLECTION PRÉSIDENTIELLE 25 AVRIL 2015. Pour l unité, pour le progrès, pour le Togo, je vote
ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE 25 AVRIL 2015 Pour l unité, pour le progrès, pour le Togo, je vote Chers Citoyens, Chers Compatriotes, Ce 25 avril 2015, notre pays sera appelé à élire la personnalité la plus apte
Plus en détailPOURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES?
Mai 2010 POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES? Direction Générale des Statistiques Ministère de l Economie, du Commerce, de l Industrie et du Tourisme Pourquoi le Gabon a-t-il besoin
Plus en détailNomenclature d exécution 2010. Programme 315. «Programme exceptionnel d investissement public»
Nomenclature d exécution 2010 315 «exceptionnel d investissement public» Mission ministérielle : PR «Plan de relance de l économie» Ministère : 12 «Services du Premier ministre» (Version du 31/12/2010
Plus en détailAccès des populations rurales au capital en Agroland
PROGRAMME DE FORMATION AUX POLITIQUES DE LA FAO Programme de renforcement des capacités sur les politiques et les stratégies relatives à l'agriculture et au développement rural Ressources en ligne pour
Plus en détailLA CONSTITUTION DES ÉQUIPES DE TRAVAIL
3 Démarche méthodologique La réalisation de la présente étude a connu les étapes suivantes: LA CONSTITUTION DES ÉQUIPES DE TRAVAIL L équipe de consultants ayant réalisé l étude est pluridisciplinaire :
Plus en détailREPUBLIQUE DU BENIN. Fraternité-Justice-Travail -@@@ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DES PROGRAMMES DE DENATIONNALISATION -@@@
REPUBLIQUE DU BENIN Fraternité-Justice-Travail -@@@ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DES PROGRAMMES DE DENATIONNALISATION -@@@ DIRECTION GENERALE DES AFFAIRES ECONOMIQUES -@@@ DIRECTION DE LA PREVISION
Plus en détailRéduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?
Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants
Plus en détailLE BUDGET DE L ÉTAT VOTÉ POUR 2014
LE BUDGET DE L ÉTAT VOTÉ POUR 2014 en quelques chiffres (Loi de finances initiale) Évaluation des recettes perçues par l État en 2014 (art. 60 de la loi de finances initiale pour 2014) RECETTES FISCALES
Plus en détailAVIS D APPEL A CANDIDATURE POUR LE RECRUTEMENT DES MEMBRES DU COMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE BENINOISE DE SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS (ABSSA)
REPUBLIQUE DU BENIN FRATERNITE JUSTICE TRAVAIL MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE SECRETARIAT GENERAL DU MINISTERE AGENCE BENINOISE DE SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS (ABSSA) 01 BP
Plus en détailL Assurance agricole au Sénégal
COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système
Plus en détailImpact of slower economic growth in major trading partners on the Congolese economy
MPRA Munich Personal RePEc Archive Impact of slower economic growth in major trading partners on the Congolese economy Jean Blaise Nlemfu Mukoko Departement d économie, Université de kinshasa, Groupe de
Plus en détailLe compte administratif 2012 de la Région Alsace. Avis
Le compte administratif 2012 de la Région Alsace Avis 24 juin 2013 Avis Le compte administratif 2012 de la Région Alsace Avis du 24 juin 2013 Vu la Loi n 82-213 du 2 mars 1982 relative aux droits et libertés
Plus en détailLA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015
LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015 Table des matières Message du président-directeur général 3 Orientation gouvernementale 1 : Informer, sensibiliser, éduquer,
Plus en détailJournal d apprentissage. Union Technique du Mali
Journal d apprentissage Union Technique du Mali Projet Kénéya Sabatili «Assurer la santé» Contentus Le Projet... 1 Que quoi le projet traite t-il?... 1 Résumé du projet... 2 Faits Marquants... 3 Quelques
Plus en détailPoint de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du premier semestre 2014 en zone CEMAC
Point de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du premier semestre 2014 en zone CEMAC Commission de la CEMAC Département des Politiques Economique, Monétaire et Financière Direction des
Plus en détailChapitre 3. La répartition
Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations
Plus en détailRéunions publiques janvier 2013. Présentation du Débat d Orientation Budgétaire
Réunions publiques janvier 2013 Présentation du Débat d Orientation Budgétaire 7 février 2011 LE CONTEXTE Une économie mondiale très ralentie En zone Euro : des incertitudes autour de la crise de la dette
Plus en détailUnion Economique et monétaire Ouest Africaine!"#$ $% &
Union Economique et monétaire Ouest Africaine!"#$ $% & '( L enquête 1-2-3 dans les Etats membres de l UEMOA Le Programme régional d'appui statistique à la surveillance multilatérale des pays de l'uemoa
Plus en détailL écosystème de l ESS en Languedoc-Roussillon
L écosystème de l ESS en Languedoc-Roussillon Debate 7. Muriel Nivert-Boudou DG Cress LR www.cresslr.org www.coventis.org Bref historique de l ESS en France L Economie sociale est née et a pris son essor
Plus en détailUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------ La Commission ------------ RAPPORT SEMESTRIEL D'EXECUTION DE LA SURVEILLANCE MULTILATERALE
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------ La Commission ------------ RAPPORT SEMESTRIEL D'EXECUTION DE LA SURVEILLANCE MULTILATERALE Juin 2014 1 TABLE DES MATIERES Résumé... 5 INTRODUCTION...
Plus en détailMai 2014. All rights reserved
AUDIT DE LA QUALITÉ DE SERVICE DES RÉSEAUX SYNTHESE DU RAPPORT GENERAL Mai 2014 All rights reserved 1 Contexte de la Mission d Audit Licence 2G 2 Lieux Concernés L Enquête technique a été effectuée du
Plus en détailORDONNANCES. 19 Joumada Ethania 1426 26 juillet 2005 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE N 52 3
JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE N 52 3 ORDONNANCES Ordonnance n 05-05 du 18 Joumada Ethania 1426 correspondant au 25 juillet 2005 portant loi de finances complémentaire pour 2005. Le Président
Plus en détailImpact économique du secteur des coopératives. George Karaphillis CED Institute, Cape Breton University
Impact économique du secteur des coopératives George Karaphillis CED Institute, Cape Breton University Tendances Les coopératives au Canada 350 300 250 200 150 100 50 0 Les coopératives en Nouvelle- Écosse
Plus en détailDescription des variables de la base de données. a. Attractivité démographique pour les différents types de population
Description des variables de la base de données a. Attractivité démographique pour les différents types de population Sources : Recensements de 1962 à 2006 et Clap 2007 - a01_popmoy62, a01_popmoy68, a01_popmoy75,
Plus en détailINVETISSEMENTS, PRODUCTION, COMMERCIALISATION, EXPORTATION: FACILITES & CONTRAINTES. CAS DU GROUPE FALY EXPORT
INVETISSEMENTS, PRODUCTION, COMMERCIALISATION, EXPORTATION: FACILITES & CONTRAINTES. CAS DU GROUPE FALY EXPORT LA SECURITE ALIMENTAIRE DANS L INDIANOCEANIE INVESTIR DANS LA PRODUCTION AGRICOLE 25-27 MARS
Plus en détailComité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS.
Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS 28 mai 2012 Madame la Représentante permanente adjointe de Sri Lanka, Présidente
Plus en détailPLAN R E V A RETOUR VERS L AGRICULTURE
REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------ MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L HYDRAULIQUE RURALE ET DE LA SECURITE ALIMENTAIRE ------------ NOUVELLE ORIENTATION DE LA POLITIQUE AGRICOLE
Plus en détailPlan d orientations stratégiques 2012-2016
Plan d orientations stratégiques 2012-2016 Agence Française de Développement Établissement public, l Agence Française de Développement (AFD) agit depuis soixante-dix ans pour combattre la pauvreté et favoriser
Plus en détailCOMPRENDRE LA BOURSE
COMPRENDRE LA BOURSE Les principaux indicateurs économiques Ce document pédagogique n est pas un document de conseils pour investir en bourse. Les informations données dans ce document sont à titre informatif.
Plus en détailMISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC
MISE À JOUR ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DE L AUTOMNE 2014 QUÉBEC Le 2 décembre 2014 TABLE DES MATIÈRES Introduction Mesures de relance économique Mesures visant l atteinte et le maintien de l équilibre budgétaire
Plus en détailLE SYSTÈME DE PROTECTION SOCIALE EN SANTÉ DU SÉNÉGAL
République du Sénégal Un Peuple Un But Une Foi Ministère de la Santé et de l Action Sociale Cellule d Appui à la Couverture maladie Universelle LE SYSTÈME DE PROTECTION SOCIALE EN SANTÉ DU SÉNÉGAL Par:
Plus en détailCharte d utilisation du site bluefactory
Charte d utilisation du site bluefactory Version 1.5 Date : 17.05.2013 1 Sommaire 1 Contexte... 3 2 Principes d utilisation du site... 3 2.1 Principes de Création, d Innovation et d Excellence... 3 2.2
Plus en détailLES FONDS EUROPÉENS EN PAYS DE LA LOIRE 2014-2020
LES FONDS EUROPÉENS EN PAYS DE LA LOIRE 2014-2020 CONNAÎTRE les programmes européens Pour faire face à la crise et aux grands défis de l Union européenne, ses Etats membres ont adopté en 2010 la Stratégie
Plus en détailPlan. I) Mise en contexte II) Diagnostic III) Les sources de financement IV) Orientation de la politique fiscale V)Conclusion
Plan I) Mise en contexte II) Diagnostic III) Les sources de financement IV) Orientation de la politique fiscale V)Conclusion 2 I)Mise en contexte Les politiques de développement axées sur la réduction
Plus en détailUne majorité au travail
La lettre d émeric bréhier Le député de votre circonscription Assembléwe nationale-2012 Une majorité au travail Madame, Mademoiselle, Monsieur, Il y a 6 mois maintenant, le pays a donné une majorité au
Plus en détailPoint de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du second semestre 2013 en zone CEMAC
Point de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du second semestre 2013 en zone CEMAC Commission de la CEMAC Département des Politiques Economique, Monétaire et Financière Direction des
Plus en détailContrat d application 2014-2020 pour l amélioration de la compétitivité logistique IMPORT-EXPORT
Contrat d application 2014-2020 pour l amélioration de la compétitivité logistique IMPORT-EXPORT CONTEXTE GÉNÉRAL L amélioration de la compétitivité logistique des flux import-export, en termes de développement
Plus en détailFINANCEMENT DU PROJET DE LGV BORDEAUX TOULOUSE
FINANCEMENT DU PROJET DE LGV BORDEAUX TOULOUSE La présente note donne dans un premier temps quelques informations sur le coût du projet de LGV Bordeaux-Toulouse ( 1 et 2) ; puis elle donne des éléments
Plus en détailPRESENTATION DE L AGENCE NATIONALE DES PORTS. Avril 2011
PRESENTATION DE L AGENCE NATIONALE DES PORTS Avril 2011 1 Mise en place d un cadre législatif et réglementaire L instauration par la Loi 15-02 de: l obligation d exercice des activités portuaires dans
Plus en détailRESUME SYNTHETIQUE DE L IMPACT DES DELESTAGES SUR L ACTIVITE ECONOMIQUE ET LE BIEN ETRE DES POPULATIONS
RESUME SYNTHETIQUE DE L IMPACT DES DELESTAGES SUR L ACTIVITE ECONOMIQUE ET LE BIEN ETRE DES POPULATIONS La période récente a été marquée au Sénégal par des perturbations importantes dans la distribution
Plus en détailGUIDE D ORIENTATION AUX ORGANISATIONS DE BASE
FONDS D APPUI AUX INITIATIVES RAPPROCHEES (FAIR) GUIDE D ORIENTATION AUX ORGANISATIONS DE BASE I. Contexte/justification II. Eligibilité des actions 1 III. IV. Eligibilité des demandeurs Durée d exécution
Plus en détail1. NON SALARIE AGRICOLE EXERÇANT PLUSIEURS ACTIVITES DE NATURE AGRICOLE
Les chefs d exploitation ou d entreprise agricole peuvent exercer plusieurs activités simultanément, sous forme d entreprise individuelle ou sous forme sociétaire. Ces activités peuvent être : 1- de nature
Plus en détailN 1236 ASSEMBLÉE NATIONALE
Document mis en distribution le 13 novembre 2008 N 1236 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 TREIZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 5 novembre 2008.
Plus en détailRépublique de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION
République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION Investir pour le futur Anticiper - Innover 01 BP 3726 ABIDJAN
Plus en détailCote d Ivoire: Progrès et Défis de l après-crise
19 AVRIL 2012 SON EXCELLENCE MONSIEUR CHARLES KOFFI DIBY, MINISTRE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Cote d Ivoire: Progrès et Défis de l après-crise Séminaire «Marchés de la Prochaine Génération», JP Morgan
Plus en détailPAUVRETE ET SOURCES DE FINANCEMENT DANS LE SECTEUR INFORMEL URBAIN AU BENIN
MIMAP-Bénin PAUVRETE ET SOURCES DE FINANCEMENT DANS LE SECTEUR INFORMEL URBAIN AU BENIN Par : Djima M. MOUSTAPHA 1 Cotonou, mars 2003 1 Statisticien-Economiste, Chargé de cours à l Ecole Nationale d Economie
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS Décret n o 2014-1531 du 17 décembre 2014 relatif au taux des cotisations d allocations familiales et d assurance
Plus en détailOrganisation des Nations Unies pour le développement industriel
Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre
Plus en détailCouverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)
Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour
Plus en détail1-Thème du chantier : LE DEVELOPPEMENT DURABLE
Chantier d Emmaus International sur le DEVELOPPEMENT DURABLE Lisbonne du 10 au 18 octobre 2008 1-Thème du chantier : LE DEVELOPPEMENT DURABLE Le thème du développement durable a été choisi étant un vecteur
Plus en détailLES FONDS EUROPÉENS STRUCTURELS ET D INVESTISSEMENT 2014-2020 EN FRANCE CONNAÎTRE LES FONDS EUROPÉENS STRUCTURELS
LES FONDS EUROPÉENS STRUCTURELS ET D INVESTISSEMENT 2014-2020 EN FRANCE CONNAÎTRE les programmes européens LES FONDS EUROPÉENS STRUCTURELS ET D INVESTISSEMENT AU SERVICE DE LA STRATÉGIE EUROPE 2020 Stratégie
Plus en détailCouverture Maladie Universelle au Sénégal : Etat de mise en oeuvre et perspectives
République du Sénégal Un Peuple- Un But- Une Foi Ministère de la Santé et de l Action Sociale Couverture Maladie Universelle au Sénégal : Etat de mise en oeuvre et perspectives Symposium sur la Protection
Plus en détailCONSEIL DES MINISTRES
CONSEIL DES MINISTRES LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A REUNI LE CONSEIL DES MINISTRES AU PALAIS DE L ÉLYSEE LE MERCREDI 1 ER AVRIL 2015 À L ISSUE DU CONSEIL, LE SERVICE DE PRESSE DE LA PRESIDENCE DE LA
Plus en détailLa comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements
La comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements Identité fondamentale: Y= C + I + G + EX - IM Y: PIB (Produit Intérieur Brut) C: Consommation I: Investissement G: Dépenses
Plus en détailPoint d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015
Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la
Plus en détailEvaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo
Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537
Plus en détailPrésentation du Programme Excellence CSJV Boursier
Présentation du Programme Excellence CSJV Boursier Collège St-Jean-Vianney 12630, boul. Gouin Est Montréal H1C 1B9 Tél. 514-648-3821 www.st-jean-vianney.qc.ca Mise en contexte Depuis plusieurs années,
Plus en détailObjet : Mise en œuvre du compte épargne temps au ministère de l agriculture, de l alimentation, de la pêche et des affaires rurales
MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ALIMENTATION, DE LA PECHE ET DES AFFAIRES RURALES Direction générale de l administration Sous-direction du développement professionnel et des relations sociales Bureau
Plus en détailpas de santé sans ressources humaines
Résumé Une vérité universelle : pas de santé sans ressources humaines + alliance mondiale pour les personnels de santé Résumé Objectif Le présent rapport est destiné à éclairer les débats du troisième
Plus en détailAGENCE FRANCAISE DE DEVELOPPEMENT. Commission de l UEMOA
NCO NOTE DE COMMUNICATION PUBLIQUE D OPERATION AGENCE FRANCAISE DE DEVELOPPEMENT Commission de l UEMOA Projet d appui à l extension de la couverture du risque maladie dans les États membres de l UEMOA
Plus en détailTable des matières. Principaux indicateurs macro-économiques. 1
Tableau de bord des indicateurs macro-économiques mai 2015 Table des matières Présentation générale Principaux indicateurs macro-économiques. 1 Comptes et agrégats de la nation.... 2 Valeur ajoutée réelle
Plus en détailRéforme du crédit à la consommation. Statut des enseignants chercheurs. Point sur les États généraux de l outre-mer
LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A REUNI LE CONSEIL DES MINISTRES AU PALAIS DE L ÉLYSÉE LE MERCREDI 22 AVRIL 2009 A L ISSUE DU CONSEIL, LE SERVICE DE PRESSE DE LA PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE A DIFFUSÉ LE
Plus en détailCONFÉRENCES CITOYENNES - FORMATION
CONFÉRENCES CITOYENNES - FORMATION LES MISSIONS DE SERVICE PUBLIC DU GROUPE LA POSTE 1 er décembre 2013 INTRODUCTION (1/2) LES MISSIONS DE SERVICE PUBLIC DE LA POSTE AU SERVICE DE LA COLLECTIVITÉ La Poste
Plus en détailLES MUTUELLES DE SANTE AU MALI CREATION, ORGANISATION, FONCTIONNEMENT
1 REUNIONS STATUTAIRES DE L'ACI POUR L'AFRIQUE --------------------- Cotonou, du 21 au 25 Août 2000 -=-=-=-=-=-=- LES MUTUELLES DE SANTE AU MALI CREATION, ORGANISATION, FONCTIONNEMENT Dr Oumar OUATTARA
Plus en détail«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»
Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.
Plus en détailNote de présentation de la réforme fiscale
Note de présentation de la réforme fiscale Pour redonner un nouvel élan à notre pays et favoriser notre retour à la croissance, quatre actions majeures devront être menées : Ø une réforme fiscale pour
Plus en détailLettre d invitation. Toute offre parvenue au-delà des date et heure limites ci-dessus indiquées ne sera pas acceptée.
Lettre d invitation MINISTERE DE LA PROSPECTIVE, DU DEVELOPPEMENT ET DE L EVALUATION DE L ACTION PUBLIQUE Le Directeur de Cabinet A Madame / Monsieur le Directeur COTONOU Objet : Invitation à soumissionner
Plus en détailPacte de responsabilité et de solidarité. Réunions des 16, 19 et 26 juin 2014 à Digne-les-Bains, Castellane, Barcelonnette et Forcalquier
Pacte de responsabilité et de solidarité Réunions des 16, 19 et 26 juin 2014 à Digne-les-Bains, Castellane, Barcelonnette et Forcalquier 1 2 INTERVENTION DE MONSIEUR MICHEL JOUVENOT DIRECTEUR DE LA BANQUE
Plus en détailPRESENTATION AFD- juin 2004
PRESENTATION AFD- juin 2004 Présentation de FINADEV Bénin- Groupe FINANCIAL AFD Paris - juin 2004 1 1. PRESENTATION GENERALE Si vous le permettez, avant de vous exposer la situation de FINADEV BENIN, première
Plus en détailL'amélioration des performances économiques des territoires : méthodologie des cartes de performance. Application à la liaison Grenoble Sisteron
L'amélioration des performances économiques des territoires : méthodologie des cartes de performance Application à la liaison Grenoble Sisteron **** 1 Sommaire Introduction : les facteurs de développement
Plus en détailLe FMI et son rôle en Afrique
Le FMI et son rôle en Afrique M a r k P l a n t, V a l e r i a F i c h e r a, N o r b e r t F u n k e D a k a r, l e 3 n o v e m b r e 2 0 1 0 Sommaire Comment fonctionne le FMI? Comment l Afrique a-t-elle
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détailLe fonds d amorçage 2013-2014 et 2014-2015
Lundi Mardi Mercredi Jeudi Le fonds d amorçage 2013-2014 et 2014-2015 ADDITIF AU GUIDE PRATIQUE SUR LES NOUVEAUX RYTHMES À L ÉCOLE PRIMAIRE Vendredi GUIDE PRATIQUE LES NOUVEAUX RYTHMES À L ÉCOLE PRIMAIRE
Plus en détailLES FONDS EUROPÉENS EN NORD-PAS DE CALAIS 2014-2020
LES FONDS EUROPÉENS EN NORD-PAS DE CALAIS 2014-2020 CONNAÎTRE les programmes européens Pour faire face à la crise et aux grands défis de l Union européenne, ses Etats membres ont adopté en 2010 la Stratégie
Plus en détailINVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur.
INVESTIR AU TCHAD POURQUOI INVESTIR AU TCHAD Des Potentialités Economiques Enormes Un Environnement Politique et Economique Favorable Une Activité Economique Réglementée Un Cadre Indicatif Favorable. DES
Plus en détailIV- La formation sur le territoire de la MDEF
IV- La formation sur le territoire de la MDEF IV- La formation sur le territoire de la A- L offre de formations initiales BTP IV- La formation sur le territoire de la A- L offre de formations initiales
Plus en détailBOAD en Bref. Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT
BOAD en Bref Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT LA BANQUE OUEST AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT EN BREF 1. CRÉATION ET OBJET La Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) est l institution
Plus en détailLes mesures pour relancer la construction de logements
Les mesures pour relancer la construction de logements Janvier 2015 Le logement est devenu, pour la plupart des Français, cher et difficilement accessible. Le secteur de la construction traverse une grave
Plus en détailRegards croisés sur l auto-entrepreunariat
Regards croisés sur l auto-entrepreunariat Septembre 2013 Toute publication totale ou partielle doit impérativement utiliser la mention complète suivante : «Sondage OpinionWay pour l Union des Auto-Entrepreneurs
Plus en détailIntroduction. Le Canada est un pays qui donne son plein rendement.
le 23 mars 2004 «tout au long de notre histoire, les Canadiens ont été animés par une idée bien simple : que nous avons la responsabilité de faire en sorte que nos enfants et nos petits-enfants aient une
Plus en détailOeuvrer pour que les populations rurales pauvres se libèrent de la pauvreté aux Comores
Oeuvrer pour que les populations rurales pauvres se libèrent de la pauvreté aux Comores La pauvreté rurale aux Comores Depuis leur indépendance en 1975, les Comoriens ont souffert de l instabilité politique
Plus en détailSecrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles
République Islamique de Mauritanie Honneur Fraternité - Justice Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles Communication de Madame la Secrétaire d Etat Fatimetou Mint
Plus en détailPrésenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
PERSPECTIVES DES MARCHES D ASSURANCES AFRICAINS Présenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème qui nous a été confié porte sur les
Plus en détailAVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014
AVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014 Orientations Budgétaires 2015 ORIENTATIONS BUDGÉTAIRES 2015 AVIS SUR LE RAPPORT GÉNÉRAL DU PRÉSIDENT DU CONSEIL RÉGIONAL Président : Patrick TASSIN Séance
Plus en détailOFFICE TOGOLAIS DES RECETTES Commissariat Général REPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberté Patrie
OFFICE TOGOLAIS DES RECETTES.. Commissariat Général. Commissariat des Services Généraux REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail Liberté Patrie Sollicitation publique de manifestations d intérêt AMI N 01/2014/CG/CSG/DRHFP
Plus en détailMOBILISATION DES RESSOURCES ET COORDINATION
REPUBLIQUE DU SENEGAL --------------- Un Peuple, Un But, Une Foi --------------- MINISTERE DE L ECONOMIE DES FINANCES ET DU PLAN MOBILISATION DES RESSOURCES ET COORDINATION Besoins de financement global
Plus en détailL'extension de la sécurité sociale aux populations non couvertes
Association internationale de la sécurité sociale Colloque des directeurs d'institutions de sécurité sociale des pays francophones d'afrique Limbé, Cameroun, 28-30 janvier 2004 L'extension de la sécurité
Plus en détailCOOPAMI? Rôle des mutuelles sociales dans les processus de mise en place de Couverture Maladie Universelle (CMU).
www.coopami.org COOPAMI? Rôle des mutuelles sociales dans les processus de mise en place de Couverture Maladie Universelle (CMU). Abidjan 15 juillet 2014 Michel Vigneul Cellule Expertise&COOPAMI Mutuelle
Plus en détailA. DISPOSITIONS DES TRAITÉS EN MATIÈRE D'AIDES D'ETAT
DISPOSITIONS DES TRAITÉS EN MATIÈRE D'AIDES D'ETAT DISPOSITIONS DES TRAITÉS EN MATIERE D'AIDES D'ETAT Tableau de correspondance entre l'ancienne et la nouvelle numérotation des articles suite à l'entrée
Plus en détailCentre d excellence Numérique en territoire rural
«S adapter au numérique est une obligation mais aussi une opportunité pour la France, tant au niveau économique que social» Philippe Lemoine, président du Forum Action Modernités et Président de la FING
Plus en détailRapport financier - Exercice 2013
Rapport financier - Exercice 2013 Sommaire Le budget réalisé en 2013 // Résultat de l'exercice 2013 page 4 // Origine des recettes page 4 // Destination des dépenses page 4 Les grands équilibres financiers
Plus en détailLe point sur la couverture du risque maladie au Niger
REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE ET DE LA LUTTE CONTRE LES ENDEMIES Le point sur la couverture du risque maladie au Niger I PLACE ACTUELLE DE L ASSURANCE MALADIE 1. Recensement des dispositions
Plus en détailTITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE)
TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) PAYS ET REGION DE MISE EN ŒUVRE DU PROJET Ce projet sera mise en
Plus en détailRéunion tenue en séance publique sous la présidence de M. DESHAYES Jean-Pierre, Maire.
Le lundi 28 octobre 2013 à 20h00, réunion du Conseil Municipal suivant convocation du 18 octobre 2013 remise ou envoyée aux conseillers municipaux et affichée ce même jour en mairie. Ordre du jour : -
Plus en détail